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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 14 avril 2024
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Interviewé sur BFMTV, le colonel Olivier Rafowicz, porte-parole de l'armée israélien, souligne qu'"il faut être extrêmement prudent" sur le sujet d'une éventuelle riposte à l'attaque menée par l'Iran alors qu'un conseil de guerre se réunit en Israël cet après-midi.
"À l'heure où nous parlons, ce serait une erreur de commencer à imaginer quelle pourrait être la suite de cette histoire", affirme-t-il.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé ce dimanche à une réponse mondiale "résolue et unie" face à la "terreur" de l'Iran et de la Russie, en condamnant l'attaque menée par Téhéran contre Israël dans la nuit.
"Les actions de l'Iran menacent l'ensemble de la région et du monde, tout comme les actions de la Russie menacent d'un conflit plus vaste, et la collaboration évidente entre les deux régimes pour répandre la terreur doit faire l'objet d'une réponse résolue et unie de la part du monde", a-t-il écrit, appelant à tout faire pour éviter une "escalade" au Moyen-Orient.
Le président irakien Abdel Latif Rachid appelle à ne pas "étendre le conflit" au Moyen-Orient.
Évoquant "les derniers développements dans la région et leurs répercussions", Abdel Latif Rachid souligne également dans un communiqué "la nécessité de stopper l'agression contre la bande de Gaza et de trouver une solution à la question palestinienne, étant donné qu'il s'agit d'un élément fondamental à la stabilité de la région".
Le Premier ministre Rishi Sunak confirme que "plusieurs" drones iraniens ont été abattus par le Royaume-Uni.
Le Royaume-Uni a participé à un "effort international coordonné" pour intercepter les missiles et les drones iraniens, ajoute-t-il.
"La RAF (Royal Air Force) a envoyé des avions supplémentaires dans la région", indique encore Rishi Sunak.
Le Premier ministre, qui doit participer à une réunion des dirigeants du G7, appelle également au "calme".
Interrogée sur une éventuelle riposte d'Israël et sur la forme qu'elle pourrait prendre, l'ambassadrice d'Israël explique sur BFMTV qu'"il ne faut rien exclure" et que "nous laissons toutes les portes ouvertes".
Je crois qu'il n'y aucun pays dans le monde qui resterait tranquille, sans activité, sans réagir à une attaque de plus de 300 drones et missiles contre ses territoires et ses citoyens."
"Mais en même temps nous sommes très, très prudents", ajoute Alona Fisher-Kamm.
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L'attaque de l'Iran qui s'est produite dans la nuit est "inouïe" et "sans précédent", souligne Alona Fisher-Kamm sur BFMTV.
L'État hébreu "veut éviter une escalade" et "ne veut pas d'embrasement régional", assure-t-elle. "En Israël, c'est l'inquiétude qui règne."
Le Premier ministre jordanien, Bisher Khasawneh, met en garde ce dimanche contre toute escalade dans la région, qui mènerait selon lui à des "voies dangereuses".
Devant les membres de son cabinet, il a assuré que les forces armées du pays s'opposeraient à toute tentative de mise en danger de la sécurité du royaume.
Au lendemain de l’attaque iranienne contre Israël – et après avoir, deux jours auparavant, recommandé aux Français de « s’abstenir impérativement » de se rendre en Iran, en Israël et au Liban –, le ministère des affaires étrangères français a recommandé aux Français résidant en Iran de « quitter temporairement » le pays.
Le ministère russe des Affaires étrangères a appelé dimanche "toutes les parties impliquées" à la "retenue", après les frappes iraniennes visant Israël.
"Nous appelons toutes les parties impliquées à la retenue. Nous comptons sur les Etats de la région pour trouver une solution aux problèmes existants, par des moyens politiques et diplomatiques", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Voici quelques-unes des nombreuses réactions internationales (Etats et organisations) à la suite de l’attaque aérienne sans précédent menée dans la nuit par l’Iran contre Israël.
Ebrahim Raïssi a prévenu dimanche que la réaction de son pays serait "plus forte" en cas de "comportement imprudent" d'Israël, après l'attaque iranienne inédite menée dans la nuit.
"La punition de l'agresseur s'est réalisée", s'est-il félicité dans un communiqué, en ajoutant que "si le régime sioniste ou ses partisans" faisaient "preuve d'un comportement imprudent, ils recevraient une réponse décisive et bien plus forte".
L'Iran a appelé ce dimanche Israël à ne pas réagir militairement à son attaque inédite lancée dans la nuit, qu'il a présentée comme une riposte justifiée à la frappe ayant détruit son consulat à Damas.
"L'affaire peut être considérée comme close", a annoncé la mission iranienne à l'ONU dans un message posté trois heures après le début de son opération.
Mais, a-t-elle aussitôt prévenu, "si le régime israélien commettait une nouvelle erreur, la réponse de l'Iran serait considérablement plus sévère".
LIRE AUSSI: "L'affaire peut être considérée comme close": l'Iran estime s'être vengé et met en garde Israël
Le chef des forces armées iraniennes a affirmé dimanche que l'attaque menée dans la nuit contre Israël avait "atteint tous ses objectifs".
"L'opération Promesse honnête a été menée avec succès entre hier soir et ce matin, et a atteint tous ses objectifs", a déclaré à la télévision le général Mohammad Bagheri, en précisant qu'aucun centre urbain ou économique n'avait été visé par les drones et missiles iraniens
L'Irak, le Liban et la Jordanie ont annoncé dimanche matin la réouverture de leur espace aérien, fermé depuis samedi soir en raison de l'attaque inédite lancée par l'Iran contre Israël.
Ces trois pays avaient annoncé dans la nuit de samedi à dimanche la fermeture de l'espace aérien ainsi que l'interruption du trafic.
Dans un communiqué dimanche matin l'Autorité de l'aviation civile confirme "la réouverture de l'espace aérien" aux avions qui arriveraient ou partiraient des aéroports irakiens notamment, assurant que "tous les risques pesant sur la sécurité des avions civils en Irak -- pays voisin de l'Iran -- ont été écartés."
Note : j'ai dit hier que l'Iran n'avait pas le courage d'affronté Israël de face, et je le redis aujourd'hui, l'Iran n'a (pour l'instant) pas le courage de le faire. Ce que vous avez vous aujourd'hui c'est juste du cinéma grand public, une attaque de pétard mouillé. Rien sur le fait que plusieurs aéroports d'orient ont fermer leur vol, juste avant l'attaque iranienne, démontre que tout le monde a été prévenu avant l'attaque. Les drones iraniens étaient équipés de lumière pour prévenir (source Spoutnik – voir plus bas) ! Les iraniens ont voulu montrer leurs muscles, mais sans chercher à faire de victimes, sans vraiment chercher l'escalade (leur attaque n'a fait aucun morts).
Maintenant la balle est dans le camp d'Israël, si Israël riposte, là ça risque de devenir séreux. Les iraniens devront cette fois passer réellement à l'offensive (l'Iran a visé le désert du Golan, terre inhabité ! preuve qui ne pas chercher réellement à faire de victime israélienne) mais le bouclier antimissile d'Israël semble, a premières vues, infranchissable.
LIRE AUSSI: Attaque de l’Iran contre Israël : plus de 300 drones et missiles lancés par Téhéran, la plupart interceptés
Pour autre information, la Pâque juive se déroulera du lundi 22 avril 2024 au mardi 30 avril 2024. Si la vraie guerre commence en pleine Pâque juive, ce sera un signe
A 10 heures 37
L’opération True Promise, menée par l’Iran contre Israël, a pris fin et Téhéran n’a pas l’intention de la poursuivre. C'est ce qu'a déclaré l'état-major général des forces armées iraniennes, Mohammad Bagheri. Cependant, l’Iran a averti que si Tel Aviv intensifiait le conflit, une nouvelle frappe serait beaucoup plus puissante et décisive.
L'Iran a achevé son opération militaire contre Israël et ne prévoit plus de frappes. Comme indiqué à Téhéran, l'opération a eu plus de succès que prévu, de nombreuses cibles ont été détruites et des dégâts ont été causés à Israël. L'état-major général des forces armées iraniennes a précisé que les principales cibles de l'opération True Promise étaient le centre d'information situé à la frontière israélo-syrienne, ainsi que la base de l'armée de l'air israélienne "Nevatim", d'où les avions ont frappé le consulat iranien. a décollé.
Téhéran a également averti qu’en cas de représailles israéliennes, l’Iran attaquerait à nouveau le territoire israélien, mais cette fois « de manière plus décisive » et « plus puissante ». Un avertissement officiel a également été envoyé aux États-Unis via la Suisse. Il affirme que si Washington soutient une frappe de représailles israélienne, les bases militaires américaines dans la région deviendront une cible militaire pour les missiles iraniens.
Pendant ce temps, le Pentagone a déclaré qu'il ne recherchait pas un conflit avec l'Iran, mais qu'il avait l'intention de continuer à protéger ses forces et d'aider Israël dans cette composante. Rien n'a été dit concernant une frappe de représailles, mais Washington s'y était auparavant catégoriquement opposé, déclarant la nécessité de consultations préliminaires avec les alliés.
Nous ne recherchons pas un conflit avec l'Iran, mais nous n'hésiterons pas à prendre des mesures pour protéger nos forces et soutenir la défense d'Israël.
Les craintes d’une plus grande escalade au Moyen-Orient ont été déclenchées après que l’Iran a lancé une attaque massive de drones et de missiles contre Israël, avec l’aide du Hezbollah et des Houthis yéménites. L'Iran a déclaré que l'attaque était une réponse au bombardement israélien du consulat iranien à Damas, en Syrie, qui a tué sept membres du corps d'élite des Gardiens de la révolution.
de l'Iran Les représailles massives contre Israël depuis son propre territoire sont le signe que le conflit pourrait « devenir incontrôlable ». »
Michael Maloof , ancien analyste principal de la sécurité au bureau du secrétaire américain à la Défense, a déclaré à Sputnik que la toute première attaque iranienne directe contre Israël a créé un dangereux précédent.
« Ce qui me préoccupe, c’est que cela pourrait facilement dégénérer en un conflit non seulement entre l’Iran et Israël, mais au-delà de la région du Moyen-Orient », a-t-il déclaré.
L'attaque de l'Iran, qu'il a qualifiée d'acte de « légitime défense » après la frappe israélienne contre son consulat à Damas, était initialement prévue pour être « limitée », a déclaré Maloof.
L’Iran a d’abord envoyé « des essaims de drones avec des lumières allumées en signe de guerre psychologique », mais l’envoi de missiles de croisière et de missiles balistiques par Téhéran était une « nette escalade », a déclaré Maloof.
L'ampleur de l'attaque iranienne contre Israël suggère que Téhéran envoyait un message démontrant qu'il possède des « capacités extraordinaires », a déclaré Maloof.
" Ils ont extraordinairement développé leurs capacités en matière de missiles, ils disposent actuellement de drones, de missiles de croisière et de certains des missiles balistiques les plus précis de la région ", a-t-il ajouté.
« Je pense que cela montre clairement que l’Iran a une capacité. Je pense que c'est limité. Ils ne peuvent pas le faire de manière durable. Et ils ont envoyé leurs munitions plus lentes, comme des drones, des drones. Mais ils prétendent aussi avoir des hypersoniques", a noté Maloof.
"Je pense que si Israël devait riposter, alors je pense qu'il utiliserait potentiellement des missiles et des hypersoniques plus sophistiqués, s'il en dispose", a-t-il ajouté. "Il s'agit alors d'une escalade très grave dans l'ensemble de la région. C'est déjà sans précédent, mais cette escalade pourrait même s'intensifier, ce qui pourrait éventuellement en entraîner d'autres et s'étendre au-delà de cette seule région."
L'Iran a mené une attaque massive de drones et de missiles contre Israël, aux côtés du Hezbollah libanais et du gouvernement dirigé par Ansar Allah au Yémen. Plus de 300 projectiles ont été tirés sur le territoire israélien depuis l'Iran. Le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) a déclaré que l'attaque était un acte de légitime défense en représailles à « la frappe contre la section du consulat de l'ambassade iranienne à Damas ». Israël a affirmé que 99 pour cent des projectiles avaient été interceptés, mais a ajouté que un « petit nombre de coups ont été identifiés », notamment sur une base du sud d'Israël, « où des dommages mineurs ont été causés aux infrastructures ».
Tous les signes indiquent la possibilité d’une guerre régionale plus vaste, a averti Maloof, ajoutant que tout dépend désormais de la réaction d’Israël. " S'agit-il d'un échange de représailles, d'un face-à-face ou d'une nouvelle escalade ? " a-t-il demandé.
« Je pense que nous recevons déjà ce message de Netanyahu et de ses ministres, à savoir qu'ils vont réagir... La manière dont ils réagiront déterminera l'ampleur de cette escalade dans la région [du Moyen-Orient] », a souligné Maloof. "Je crains qu'aucune des deux parties ne se retire à ce stade."
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est prêt à « poursuivre une guerre sans fin dans la région », a suggéré Maloof, ajoutant qu'il « sait qu'il a le soutien des États-Unis » et qu'il pourrait choisir de frapper maintenant, en profitant de cette « fenêtre d'opportunité ».
« Il n'aura peut-être pas une telle opportunité sous l'éventuelle administration Trump [après les élections américaines de novembre] », a déclaré l'expert.
En examinant les scénarios possibles de réponse d'Israël, il a noté que Tel Aviv avait déjà déclaré publiquement son intention de « s'attaquer aux sites nucléaires en Iran ».
« Cela va être extrêmement difficile, et de plus, je ne sais pas s'ils ont la projection de puissance nécessaire pour le faire de manière cohérente, et deuxièmement, je ne crois pas qu'ils disposent de ce qu'on appelle « briseurs de bunkers » qui seraient Il fallait pouvoir forer à travers les montagnes pour atteindre ces installations. Les États-Unis ont été réticents à fournir à Israël ces [munitions] anti-bunker ", a déclaré Maloof.
Quant aux États-Unis, ils se sont déjà « laissés entraîner dans cette affaire », a noté Maloof.
Le président américain Joe Biden a publié une déclaration sur l'attaque iranienne contre Israël après s'être entretenu par téléphone avec Netanyahu. Biden a condamné l’attaque « dans les termes les plus forts possibles ». » de Washington Il a réaffirmé « l'engagement à toute épreuve à contribuer à soutenir la sécurité d'Israël. Le secrétaire d'État Antony Blinken a déclaré que les États-Unis « ne cherchent pas l'escalade » mais « continueront à soutenir » la défense d'Israël. « Je consulterai mes alliés et partenaires dans la région et dans le monde entier dans les heures et les jours à venir », a-t-il ajouté.
« Il y a déjà un appel au Congrès pour accélérer la législation pour approuver une nouvelle ordonnance et les 14 milliards de dollars pour Israël », a déclaré l’expert. Il a fait remarquer que le Pentagone pourrait « vider ses stocks pour soutenir Israël » et a rappelé qu’en plus de fournir à Israël des bombes et de l’artillerie, les États-Unis soutiennent son système de défense aérienne Iron Dome, dont les missiles devront être réapprovisionnés.
« Si vous avez un essaim, vague après vague d’essaims, Israël aura beaucoup de mal à se défendre contre cela. Et c'est pourquoi les États-Unis interviennent maintenant, et cela implique directement les États-Unis », a souligné Maloof. « Et cela pourrait alors ouvrir des actifs américains dans la région. » Nous avons quelque 35 bases qui entourent l'Iran, et elles Ils sont devenus vulnérables. Ils étaient censés être un moyen de dissuasion. De toute évidence, la dissuasion n'est plus d'actualité ici. Ils deviennent désormais le talon d'Achille des États-Unis en raison de leur vulnérabilité aux attaques. "
Selon l'ancien analyste du Pentagone, beaucoup dépend désormais aussi des stocks dont dispose l'Iran et « avec quelle cohérence il peut continuer à envoyer ces vagues après vagues de drones et de missiles balistiques... En fin de compte, s'ils en ont, les hypersoniques... et il n’y a aucune défense contre les hypersoniques. Pas même le système israélien « Arrow », conçu pour lutter contre les missiles balistiques… Et apparemment, cela a été engagé ce soir, ainsi que le Dôme de Fer. »
Le Conseil de sécurité des Nations Unies (ONU) doit se réunir dimanche en réponse à une demande de Gilad Erdan, le représentant permanent d'Israël auprès des Nations Unies. La réunion est prévue à 16 heures, heure de New York (2000 GMT), comme l'a annoncé le Département de la communication mondiale des Nations Unies.
" J'espère que le Conseil de sécurité de l'ONU pourra s'en saisir et peut-être qu'une supervision d'adultes pourrait commencer à intervenir et peut-être essayer de mettre un terme à cela pour l'instant", a déclaré Maloof. "Mais pour le moment, à ce moment-là, il ça n'en a pas l'air. Et encore une fois, cela dépendra de la réponse des Israéliens s’ils interviennent directement en Iran. "
La frénésie médiatique actuelle autour de la frappe iranienne est « amplifiée de manière disproportionnée par rapport aux événements réels qui se déroulent sur le terrain », le Dr Ahmed Al Ibrahim , un analyste politique basé à Riyad a déclaré à Sputnik .
Il a ajouté que les véritables conséquences de la frappe iranienne seront discernables après une « évaluation approfondie ». »
"En effet, je considère la situation actuelle comme étant largement sensationnaliste, une "bulle" gonflée par la couverture médiatique et l'attention du public", a déclaré l'analyste politique.
Il a exprimé son scepticisme quant au fait que des pays du Moyen-Orient « s’impliqueraient volontairement dans le chaos en cours. » Arguant que « la capacité de l'Iran à menacer directement Israël est limitée par des contraintes géographiques », Ibrahim a reconnu qu'il existe « un potentiel d'escalade ».
L’attaque massive de l’Iran contre Israël a soulevé la question d’une éventuelle escalade du conflit vers un conflit nucléaire. Il semblerait que l'armée israélienne se prépare à lancer une « frappe de représailles » contre l'Iran, mais seulement après avoir consulté les États-Unis d'Amérique. Au cours de ces types de consultations, qui ont déjà commencé, la question de l'identification de cibles spécifiques pour une « frappe de représailles » est discutée.
Dans ce contexte, des sources du Moyen-Orient rapportent que la principale question des consultations avec les États-Unis n'est pas tant la définition d'objectifs que la définition d'un objectif spécifique. оружия pour mener une grève. Et la discussion tourne autour de la possibilité d’utiliser des armes nucléaires sur le territoire iranien.
À son tour, l’attaque massive iranienne contre Israël indique que Téhéran est prêt à différents scénarios, y compris nucléaire. En conséquence, cela indique indirectement une forte probabilité que l’Iran crée ses propres armes nucléaires.
Rappelons qu'en février de cette année, le 45e président des États-Unis, Donald Trump, avait annoncé que l'Iran était entré dans la phase finale de l'obtention de l'arme nucléaire. Selon Trump à l’époque, l’Iran « pourrait disposer d’une bombe nucléaire d’ici deux semaines ». Ces « deux semaines » sont déjà passées, et si l’on en croit les déclarations de l’ancien président américain, l’Iran pourrait bien avoir créé des armes nucléaires. Et en attaquant Israël en réponse au bombardement du consulat en Syrie, l’Iran pourrait bien démontrer qu’il et Israël sont désormais à parité en termes d’armes, y compris nucléaires, et que ce fait doit être pris en compte à la fois par Netanyahu et par Israël. les autorités américaines.
Note : c'est une éventualité. Les iraniens sont plutôt sûrs d'eux en ce moment, ils pourraient bien cacher quelque chose
Note : c'est une éventualité. Les iraniens sont plutôt sûrs d'eux en ce moment, ils pourraient bien cacher quelque chose. Attention aussi aux alliés de l'Iran comme la Chine et la Russie, les conflits pourraient devenir généralisés (d'après les prophéties, ils le deviendront)
14h33.
Le président ukrainien a appelé à une réponse mondiale "résolue et unie" face à la "terreur" de l'Iran et de la Russie, en condamnant l'attaque menée par Téhéran contre Israël dans la nuit, appelant à tout faire pour éviter une "escalade" au Moyen-Orient.
"En Ukraine, nous connaissons très bien l'horreur des attaques similaires de la Russie, qui utilise les mêmes drones Shahed et des missiles russes, les mêmes tactiques de frappes aériennes massives", a-t-il ajouté, en référence à ces drones de fabrication iranienne. "Les actions de l'Iran menacent l'ensemble de la région et du monde, tout comme les actions de la Russie menacent d'un conflit plus vaste, et la collaboration évidente entre les deux régimes pour répandre la terreur doit faire l'objet d'une réponse résolue et unie de la part du monde", a-t-il déclaré.
"Il est essentiel que le Congrès américain prenne les décisions nécessaires pour renforcer les alliés de l'Amérique en cette période critique", a plaidé Volodymyr Zelensky. L'Ukraine réclame à ses alliés davantage d'aide militaire pour affronter l'invasion russe, mais des divisions politiques à Washington ont enrayé ce processus et une aide de 60 milliards reste bloquée au Congrès américain.
Moscou affirme avoir intercepté une attaque de drones ukrainiens en Mer noire. "Une tentative du régime de Kiev de lancer une attaque terroriste à l'aide de drones [...] contre des installations sur le territoire de la Fédération de Russie a été déjouée", a écrit le ministère de la défense russe sur Telegram . Selon ce dernier, "cinq drones" ont été abattus "au-dessus des eaux de la Mer noire".
L’Allemagne a annoncé, ce samedi 13 avril qu’elle allait livrer à l’Ukraine un système de défense antiaérienne Patriot supplémentaire, alors que l’armée russe a renforcé son offensive sur le front Est.
"L’Allemagne va livrer un système de défense aérienne Patriot supplémentaire à l’Ukraine", a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz sur le réseau social X, rappelant que l’Allemagne est désormais l’un des principaux soutiens de l’Ukraine alors que l’aide américaine est toujours bloquée au Congrès. "Nous sommes résolument du côté de l’Ukraine", a-t-il ajouté.
Le chancelier allemand a précisé que le président ukrainien Volodymyr Zelensky l’avait informé, lors d’un appel téléphonique samedi, d'"attaques aériennes massives de la Russie contre les infrastructures énergétiques civiles".
De son côté, Volodymyr Zelensky a remercié le dirigeant allemand d’avoir approuvé la livraison de ce système supplémentaire et de missiles de défense aérienne à un "moment critique" pour son pays. Il a qualifié leur conversation d'"importante et productive." "J’appelle tous les autres dirigeants des États partenaires à suivre cet exemple", a-t-il ajouté.
Un porte-parole du gouvernement allemand a précisé que les deux dirigeants avaient discuté de mesures visant à renforcer la défense aérienne de l’Ukraine. "Ils sont convenus de la nécessité d’efforts supplémentaires de la part des partenaires", peut-on lire dans un communiqué.
Cette livraison intervient alors que le front Est subit un assaut intensif de la Russie. Il y a une semaine, le président ukrainien a déclaré que 25 systèmes Patriot, de fabrication américaine, étaient nécessaires pour couvrir l’ensemble du pays.
Ce système antiaérien va être livré immédiatement et s’ajoute à ceux déjà envoyés et promis, a précisé le ministère allemand de la Défense sur X. L’Allemagne a déjà livré à l’Ukraine deux systèmes Patriot ainsi que des équipements de défense aérienne, selon une note du gouvernement allemand datant du 10 avril.
Trois djihadistes présumés de 15, 16 et 18 ans ont été récemment arrêtés en Suisse en raison de possibles projets d’attentats à l’explosif, des affaires en lien avec des enquêtes en Allemagne, a indiqué samedi le parquet fédéral helvétique. (…)
Mise à Jour article du Figaro : Dans le cadre de ce même affaire, un quatrième mineur, âgé de 16 ans, a été arrêté le lundi de Pâques et placé en détention préventive le 2 avril, a indiqué le parquet de Stuttgart (sud-ouest).
Trois mineurs soupçonnés de préparer en Allemagne un attentat terroriste pour un motif islamiste ont été arrêtés et placés en détention provisoire lors du week-end de Pâques, annonce ce vendredi la justice allemande. Les mandats d’arrêt concernent trois jeunes, deux filles de 15 et 16 ans et un garçon de 15 ans originaires de Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
«En raison de l’âge des suspects et de l’enquête en cours», le parquet n’a pas donné de détails supplémentaires sur ce qu’ils préparaient. Le quotidien allemand Bild affirme que les adolescents comptaient attaquer avec des couteaux et des cocktails molotov au nom de l’État islamique (EI) des policiers et des églises. «Ils ont réfléchi à se procurer des armes à feu», ajoute le journal. […]
À l’issue de sa garde à vue, l’homme a été présenté samedi à une audience de comparution immédiate au tribunal correctionnel de Paris. Son procès pour détention non autorisée d’arme de catégorie C a été renvoyé au 6 mai, selon le parquet. Dans l’attente de cette audience, il a été placé sous contrôle judiciaire avec «obligation de pointage une fois par semaine» et «obligation de soins», a-t-il détaillé.
Un mineur, qui l’accompagnait et qui a tenté d’empêcher son interpellation, avait été placé en garde à vue puis relâché. Aucune infraction n’a pu lui être reprochée, avait indiqué le parquet. (…)
Deux jeunes hommes de 18 et 17 ans ont été interpellés à la gare RER de Villeparisis (Seine-et-Marne) ce jeudi matin, après de longues recherches des policiers. L’un d’entre eux était armé d’une carabine et sa présence avait été signalé dans une rame à Paris un peu plus tôt, par des passagers.
Deux suspects de 18 et 17 ans ont été interpellés à la gare RER de Villeparisis – Mitry-le-Neuf (Seine-et-Marne) ce jeudi matin peu après 10 heures, alors qu’ils étaient munis d’un fusil non approvisionné. Ces derniers sont tous les deux en situation irrégulière sur le sol français, indique une source proche de l’affaire, confirmant une information d’Europe 1.
Tout a commencé à Paris plus tôt dans la matinée lorsque deux passagers du RER B ont contacté la police, expliquant qu’un homme vêtu d’une djellaba se trouvait dans une rame avec un fusil qu’il dissimulait sous ses vêtements. Le train se trouvait alors à la station Denfert-Rochereau à Paris (XIVe).
Les recherches se sont poursuivies et c’est finalement en Seine-et-Marne que le suspect, ainsi qu’un adolescent de 17 ans, ont été interpellés. L’arme, qui serait une carabine de calibre 22 long rifle, a été découverte sur le jeune majeur. Ce dernier, qui est de nationalité algérienne, est déjà connu de services de police et fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), indique une deuxième source. L’adolescent, qui est quant à lui un ressortissant marocain, est un mineur non accompagné. Il est lui aussi déjà connu des services de police.
Une étude du think tank Destin commun dissèque les ressorts de la « méthode Callac », du nom de ce village breton instrumentalisé par les sphères identitaires.
Cette « méthode Callac », du nom de ce village traditionnellement de gauche devenu malgré lui l’emblème d’une guerre civilisationnelle, est autopsiée dans l’étude « De Callac à Crépol : les campagnes au cœur des batailles identitaires », menée par Raphaël Llorca, essayiste et expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, et Laurence de Nervaux, directrice du think tank Destin commun. Une méthode qui repose sur la stratégie de la métonymie, une figure de style qui consiste à montrer une partie pour
(…)
« Les “ingénieurs du chaos” cherchent à faire entrer les campagnes dans la bataille identitaire », lit-on à la fin du rapport. Après Callac, Saint-Brevin, et aujourd’hui Bélâbre, quel sera le prochain village pris comme symbole d’une guerre identitaire ? « L’extrême droite place l’ancrage dans la ruralité au cœur de sa stratégie, avec les municipales de 2026 en ligne de mire, souligne Laurence de Nervaux. Les choses ne vont pas s’arrêter là » « Quand on arrive à susciter le sentiment de l’importation de violence généralisée dans cette France paisible, loin du chaos du monde, on finit par se dire qu’on n’est plus à l’abri nulle part, souligne Raphaël Llorca. D’un coup, le narratif des identitaires prend chair. » Et c’est l’une des principales conclusions de cette étude : « En politique comme en psychanalyse, c’est la réalité (subjective) qui domine le réel (objectif). » L’affrontement identitaire passe aussi par la bataille des imaginaires.
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