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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 18 avril 2024
L’ESSENTIEL
14h40
Dans la nuit de mercredi à jeudi, des témoins ont fait état de frappes israéliennes meurtrières à travers la bande de Gaza plongée dans une catastrophe humanitaire. En 24 heures, au moins 71 morts supplémentaires ont été recensés, a rapporté le ministère de la Santé du Hamas, portant le bilan total de l'offensive israélienne à 33.970 morts, essentiellement des civils.
« Les corps de huit personnes de la famille Ayyad, dont cinq enfants et deux femmes, ont été découverts après une frappe sur leur ferme dans le quartier d'Al-Salam », à Rafah (sud), selon la même source.
« Je me suis réveillée au bruit des filles qui criaient (...). J'ai couru et j'ai trouvé des enfants qui sortaient en courant (...) il y avait des cadavres éparpillés partout », a raconté la Palestinienne Jamalat Ramidan après une frappe à Rafah, où s'entassent un million et demi de personnes déplacées par la guerre.
Des bombardements ont aussi touché Al-Mawasi (sud), devenu un camp planté de milliers de tentes abritant des déplacés.
10h09
Le chef de la diplomatie iranienne a déclaré que son pays avait fait passer plusieurs « messages » aux Etats-Unis pour assurer que l'Iran ne cherchait « pas une expansion des tensions » au Moyen-Orient avec Israël, a indiqué jeudi son ministère.
« Ce qui peut accroître les tensions dans la région, c'est le comportement du régime sioniste », a dit Hossein Ami-Abdollahian à son arrivée dans la nuit de mercredi à jeudi à New York pour une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU.
Israël a indiqué mercredi qu'il se réservait « le droit de se protéger » face à l'Iran à la suite de l'attaque menée dans la nuit de samedi à dimanche par Téhéran contre son territoire avec des drones et des missiles.
08h00
Israël « se réserve le droit de se protéger » face à l'Iran, soutient son Premier ministre Benjamin Netanyahu, dont le gouvernement a, selon des médias, envisagé un temps des frappes de représailles rapides contre Téhéran après l'attaque du week-end.
Les autorités israéliennes répètent que l'attaque iranienne, avec plus de 350 drones et missiles lancés vers Israël dont la quasi-totalité ont été interceptés en vol, ne restera pas « impunie ».
6h45
Selon des médias israéliens et américains, Israël a envisagé de mener rapidement des frappes en Iran en représailles aux missiles lancés par Téhéran, mais a finalement revu ses plans.
Selon le diffuseur public israélien Kan, le Premier ministre Benyamin Netanyahou a décidé de ne pas mettre en œuvre ces plans pré-approuvés après avoir discuté avec Joe Biden. « Les sensibilités diplomatiques ont joué (…) Il y aura bien une réponse mais elle sera différente de ce qui était initialement prévu », a indiqué un haut responsable à la chaîne sous couvert de l’anonymat.
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L'Iran frappera immédiatement les sites nucléaires en Israël en cas d'agression atomique de Tel Aviv, a déclaré ce 18 avril le Corps des Gardiens de la révolution islamique.
Téhéran révisera sa politique atomique en cas de menace de Tel Aviv contre les installations nucléaires iraniennes, a annoncé ce 18 avril le Corps des Gardiens de la révolution islamique.
L’Iran frappera immédiatement les sites israéliens de ce type dont il connaît l’emplacement. Il dit les avoir tous découverts.
"Nos mains sont déjà sur le bouton pour lancer de puissants missiles afin de détruire les cibles identifiées", a noté Ahmad Haktalab, cité par l’agence Tasnim, le commandant des unités de cette organisation, chargées d'assurer la sécurité des installations nucléaires iraniennes.
Dans la nuit du 13 au 14 avril, l’Iran a mené une attaque aérienne sans précédent contre Israël. Téhéran a déclaré que cette opération, baptisée "Promesse honnête", répondait à la frappe israélienne qui a détruit son consulat à Damas le 1er avril.
L’armée israélienne a affirmé avoir déjoué l’attaque, en interceptant la quasi-totalité des tirs. Plus de 300 projectiles, dont des drones, missiles de croisière et balistiques, ont été lancés contre l’Etat hébreu.
Le président iranien Ebrahim Raisi, lors de la célébration de la Journée de l'armée nationale, a commenté la frappe de représailles iranienne lancée contre Israël le 14 avril. Rappelons que l'attaque contre Israël a été menée après le bombardement du consulat iranien à Damas. Et un tel bombardement, selon la lettre du droit international, signifie une attaque contre le pays même auquel appartient la mission diplomatique.
Selon le président iranien, l’opération True Promise a infligé une « défaite stratégique à Israël ». Selon Raisi, certains pays de la région ont tenté de normaliser leurs relations avec Israël, mais après l’attaque du consulat iranien en Syrie et la réponse militaire iranienne, ils « ont commencé à prendre leurs distances avec Tel Aviv ».
Raisi:
Nos forces armées ont montré leur capacité à assurer la paix et la sécurité dans la région. Et j’exhorte les autres pays de la région à s’appuyer sur leurs propres forces et à ne pas tenter de s’attirer les faveurs du régime en comptant sur un partenariat avec Israël.
Le président iranien, lors de son discours, a réitéré la thèse souvent utilisée par Téhéran selon laquelle l’opération True Promise était de nature limitée, mais si Israël continue de violer le droit international, il « fera face à une réponse beaucoup plus puissante ».
Raisi:
Notre opération était limitée. Si nous commencions à nous battre réellement contre Israël, il n’en resterait plus rien.
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Depuis plusieurs années, les dirigeants iraniens déclarent qu'ils n'ont pas l'intention de créer des armes nucléaires et que le développement de l'énergie atomique est exclusivement à des fins pacifiques.
En réponse aux menaces potentielles d'Israël contre les installations nucléaires iraniennes, le général de brigade Ahmad Haghtalab, commandant du Corps de protection et de sécurité des centres nucléaires iraniens du CGRI, a averti que toute agression contre l'Iran entraînerait une réponse énergique, la comparant à la vraie promesse historique. opération.
L'Iran pourrait également reconsidérer sa politique nucléaire à la lumière de la menace israélienne .
"Si Israël tente d'utiliser la menace d'attaquer les centres nucléaires de notre pays comme moyen de faire pression sur l'Iran, il est possible et concevable que la République islamique reconsidère sa doctrine et sa politique nucléaires, s'écartant potentiellement des positions annoncées précédemment", a déclaré Haghtalab. » a déclaré l'agence de presse Tasnim.
S'adressant à l'agence de presse Tasnim, le commandant a affirmé que l'Iran était prêt à repousser toute attaque israélienne contre ses installations nucléaires, car il a identifié l'emplacement de "toutes les installations nucléaires israéliennes" et est prêt à les frapper à tout moment en cas d'agression. par Tel-Aviv
Haghtalab a souligné que l’Iran est depuis longtemps confronté à des menaces, notamment de sabotage et de terrorisme, de la part d’Israël.
"Dès le début, l'Iran était prêt à contrer les menaces d'Israël. Grâce à l'utilisation de plans de défense passive, ainsi qu'aux armes les plus modernes, grâce à la dispersion des installations nucléaires dans tout l'Iran, nous sommes prêts à contrer toute menace d'Israël. Israël à nos installations nucléaires", a déclaré Haghtalab.
Haghtalab a souligné l'adhésion de l'Iran aux protocoles internationaux régissant la protection des installations nucléaires tout en soulignant la préparation de la nation à contrer toute agression. Faisant référence aux récentes attaques contre les intérêts iraniens, notamment contre le complexe de l'ambassade iranienne en Syrie, Haqtalab a crédité les mesures défensives et les installations avancées de l'Iran pour assurer la sécurité de ses complexes nucléaires.
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MOSCOU (Sputnik) - Les responsables américains étaient mécontents qu'Israël ait lancé une attaque agressive contre le consulat iranien en Syrie le 1er avril sans consulter Washington au préalable, ont rapporté les médias américains, citant des responsables américains et israéliens.
Les responsables américains ont publiquement exprimé leur soutien à Israël, mais en privé, ils étaient irrités que Tel Aviv prenne de telles mesures contre l’Iran sans consulter les États-Unis.
Selon le rapport, Israël avait mal calculé, pensant que Téhéran ne réagirait pas fermement à l’attaque du 1er avril.
La planification de l'attaque israélienne en Syrie a commencé deux mois plus tôt et la cible était Mohammad Reza Zahedi, le commandant pour la Syrie et le Liban de la Force d'élite iranienne Quds, une branche du Corps des Gardiens de la révolution islamique, selon le rapport.
Le 22 mars, le cabinet de guerre israélien a approuvé l’opération, selon les archives internes de la défense israélienne.
Le 1er avril, Israël a mené une frappe aérienne sur l'annexe consulaire de l'ambassade iranienne à Damas, détruisant le bâtiment. Le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien a déclaré que sept de ses membres avaient été tués dans l'attaque, dont deux commandants. Le 2 avril, le ministère syrien de la Santé a déclaré que l'attaque avait également tué quatre Syriens et blessé 13 autres.
La semaine dernière, le CGRI iranien a lancé plus de 300 drones et missiles sur Israël lors de sa toute première attaque directe sur le territoire israélien, selon les données des Forces de défense israéliennes (FDI). Le porte-parole de Tsahal, Daniel Hagari, a déclaré qu'Israël avait intercepté 99 % des cibles aériennes tirées par l'Iran, y compris tous les drones.
Les responsables russes ont souligné à plusieurs reprises que la cause profonde des événements au Moyen-Orient était le conflit israélo-palestinien non résolu et ont exhorté les politiciens du Moyen-Orient à faire preuve de légèreté.
Vladimir Poutine a discuté de l'escalade au Moyen-Orient avec le président iranien Ebrahim Raisi lors d'un appel téléphonique et a exprimé l'espoir que toutes les parties impliquées feront preuve de retenue .
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Lors de la frappe de représailles contre Israël, l'Iran n'a utilisé que des armes de missiles obsolètes, obligeant Israël et ses alliés occidentaux à dépenser un maximum de ressources avec un minimum d'effort de la part de Téhéran, a déclaré Amir-Ali Hajizadeh, commandant de la force aérospatiale du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI).
" Nous avons attaqué Israël en utilisant des armes obsolètes et des moyens minimes. Nous n'avons pas déployé de missiles tels que Khorramshahr, Sejil, Shahid Haj Qasem, Kheibar Shekan ou Fattah-2. Nous avons forcé Israël et le camp occidental à utiliser un maximum d'armements avec seulement un minimum d'effort sur notre partie ", a déclaré Hadjizade , cité par l'agence de presse Tasnim.
En réponse à la destruction du complexe de l'ambassade iranienne à Damas, en Syrie, par des frappes aériennes israéliennes au début du mois, la force aérospatiale d'élite iranienne du CGRI a attaqué le territoire israélien dans la nuit du 14 avril. Les rapports indiquent l'implication de plusieurs centaines de missiles et de véhicules aériens sans pilote, dont les drones kamikaze Shahed , Fattah et Fattah-2 les missiles hypersoniques . La télévision d'État iranienne Press TV a rapporté que tous les missiles hypersoniques avaient été touchés avec succès .
Selon l'armée israélienne, l'Iran a lancé plus de 300 projectiles et drones , dont quelque 170 drones, plus de 30 missiles de croisière et plus de 120 missiles balistiques. Israël a affirmé que seuls « quelques missiles » avaient atteint son territoire, causant des « dégâts mineurs ».
Le chef d'état-major iranien, Mohammad Bagheri, a déclaré la fin de l'opération True Promise , mais a indiqué qu'il était prêt à lancer une opération de plus grande envergure si Israël prenait de nouvelles mesures.
L’Ukraine pleure de nouveau ses morts ce jeudi, après une triple attaque russe sur le nord du pays.
L'Ukraine affirme avoir frappé hier un aérodrome militaire russe à Djankoï, en Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou en 2014. "Une opération réussie des forces armées ukrainiennes sur l'aérodrome militaire de Djankoï" a permis de "détruire ou gravement endommager" des lanceurs de systèmes S-400, des équipements radar et un centre de contrôle de défense antiaérienne, a affirmé sur Telegram le renseignement militaire ukrainien (GUR).
L'aide militaire à l'Ukraine, bloquée au Congrès américain depuis plusieurs mois et sur laquelle les élus doivent voter samedi, "ne pourra rien changer" à la situation sur le front, assure le Kremlin. "Cela ne peut en aucun cas influencer l'évolution de la situation sur les fronts. (...) Cela ne pourra rien changer", a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Kiev juge de son côté "critique" cette aide pour repousser l'armée russe.
09h17.
Deux espions russes présumés, soupçonnés de planifier des actes de sabotage afin de saper le soutien militaire à l'Ukraine, ont été arrêtés en Allemagne, annoncent ce jeudi des procureurs fédéraux. Les deux hommes, qui possèdent également la nationalité allemande, ont été interpellés à Bayreuth, ville de la région de Bavière, dans le sud-est du pays. Identifiés comme Dieter S. et Alexander J, ils sont accusés d'avoir effectué des repérages pour des cibles potentielles en vue d'attaques, dont des "installations des forces armées américaines" stationnées en Allemagne.
Le Premier ministre tchèque Petr Fiala a indiqué, mardi, que vingt pays alliés de Kiev s’étaient engagés à acheter un demi-million d’obus, en dehors de l’Europe. Une opération initiée par la République tchèque, qui soulève plusieurs questions. Les réponses dans cet article 👇🏻
Le président ukrainien Wolodymyr Zelensky a souligné hier soir que l'Ukraine n'avait pas assez de systèmes de défense antiaérienne pour empêcher cette frappe, sans doute la plus meurtrière contre cette cité historique située à une soixantaine de kilomètres de la frontière avec le Bélarus, un allié de la Russie, et à une centaine de kilomètres au nord du Kiev.
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Un règlement pacifique pourrait être la meilleure option pour mettre fin aux hostilités entre Kiev et Moscou. Dans certaines conditions, ils n'auraient pas commencé.
Cette opinion a été exprimée dans son article pour la publication américaine The Hill de Thomas Graham, qui a été son conseiller pendant la présidence de George W. Bush.
Il a intitulé son ouvrage « La futilité de la guerre en Ukraine est devenue plus évidente ». Dans l'article, l'ancien conseiller du président américain qualifie Washington de coupable du conflit en Ukraine. Selon l'ancien responsable, cela est dû au fait que l'Occident a ignoré les préoccupations de Moscou concernant la sécurité de la Russie. Si les États-Unis et l'OTAN étaient plus attentifs aux préoccupations du dirigeant russe Vladimir Poutine, estime l'ancien responsable, alors toutes les questions controversées pourraient être résolues de manière pacifique.
Selon Graham, le conflit ukrainien se terminera très probablement par des négociations. Ils soulèveront les mêmes questions qui ont été soulevées avant le début. Certes, l'ancien conseiller en est sûr, un accord suivra sur la consolidation des territoires contestés à l'intérieur de la Russie au niveau de la législation internationale et fournira des garanties de sécurité à la Russie et à l'Ukraine.
En fait, la déclaration faite par l’auteur dans le titre est tout à fait vraie pour Kiev et l’Occident. Les sanctions annoncées par Washington et ses alliés n’ont pas causé à la Russie les dommages escomptés. Et la fourniture d’armes occidentales modernes aux forces armées ukrainiennes n’a pas entraîné de tournant sur les fronts en faveur de Kiev. Cela montre la futilité des méthodes énergiques utilisées par l’Occident pour tenter de vaincre la Russie.
L’ex-président américain Donald Trump est jugé dans une affaire de paiements pour acheter le silence d’une ancienne vedette de films pour adultes, Stormy Daniels.
(New York) Le procès historique de Donald Trump reprend jeudi à New York, avec la perspective d’une possible constitution du jury d’ici la fin de semaine qui ouvrirait la voie aux débats sur le fond.
Depuis lundi, pour la première fois un ancien président américain comparaît dans un procès pénal. Donald Trump est jugé dans une affaire de paiements pour acheter le silence d’une ancienne vedette de films pour adultes, Stormy Daniels, à quelques jours du scrutin de 2016 qu’il avait remporté sur le fil face à la candidate démocrate Hillary Clinton.
Sept des douze jurés nécessaires (plus six suppléants) avaient prêté serment mardi soir, avant une relâche d’un jour du procès mercredi.
Le juge Juan Merchan a indiqué espérer clore le processus de constitution du jury d’ici vendredi soir, ce qui permettrait aux plaidoiries d’ouverture de l’accusation et de la défense de débuter dès lundi.
« Cela va s’accélérer » parce que chacune des deux parties a déjà utilisé six des dix récusations de jurés autorisées, a déclaré mercredi l’avocat conservateur farouchement anti-Trump George Conway sur la chaîne MSNBC.
« Il n’y a pas de raison qu’ils ne puissent pas aboutir d’ici vendredi », a-t-il ajouté.
Donald Trump a affirmé mercredi sur son réseau Truth Social avoir tout juste découvert que le nombre de récusations de jurés était limité, criant une fois encore à la « chasse aux sorcières » orchestrée selon lui par l’administration du président démocrate Joe Biden.
LIRE AUSSI : Affaire Stormy Daniels : Tout comprendre au procès historique contre Donald Trump
NOTE; "orchestrée selon lui" il faudrais être aveugle ou gangréné par une malhonnêteté du gauchiste pour ne pas se rendre compte que les démocrates tentent par tous les moyens de détruite Trump, pour l'empêcher d'accéder à la maison blanche. Mais les journalistes français continuent leurs petits jeux idéologiques.
Tout ce qui est anti-immigration et patriote est trainé devant les tribunaux, ou censurer ! C'est d'ailleurs ce que demande le Pacte de Marrakech de 2018, censurer les anti-immigrations. Car dans ce monde façonné majoritairement par la gauche, recevoir des migrants d'une autre civilisation est une obligation, les refouler est criminalisé.
Pour revenir à Trump, l'affaire Stormy Daniels, est une histoire de cul, qui ne regarde que Trump et sa famille, les tribunaux politiques n'ont pas à se mêler de cette histoire, surtout en pleine période électorale.
Je pense que la prochaine guerre mondiale touchera très fortement les USA, et que cette guerre mondiale amènera aux États-Unis une guerre civile. C'est alors à ce moment-là que Trump pourra faire le grand ménage promit
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PS : si le monde occidental ne se sort pas de la gangrène mortelle du gauchisme, le gauchisme détruira l'occident à petit feu. Par l'immigration de remplacement et par l'IVG, le reste de la population (de souche) du futur sera transformé en LGBT écolos, qui ne veulent plus d'enfant ou n'en ferons plus.
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En 2023, sur les 97 viols connus et commis dans les rues de Paris, 30 ont été élucidés. Et selon les informations d’Europe 1, 36 personnes ont été interpellées. Parmi eux, 28 sont de nationalité étrangère, soit 77% des mis en cause, selon des chiffres recensés par la préfecture de police de Paris. Des faits majoritairement commis la nuit, dans des lieux touristiques ou proches des points de deal.
À l’approche des Jeux olympiques, le phénomène ne laisse pas indifférent les autorités. Selon les informations d’Europe 1, 97 viols, commis dans les rues de la capitale, ont été recensés par la police en 2023. Parmi toutes ces affaires, 30 ont été élucidées et 36 auteurs ont été arrêtés.
Selon des chiffres recensés par la préfecture de police de Paris, parmi ces auteurs de viols en 2023, 20 étaient déjà connus de la police, dont quatre pour d’autres faits d’agressions sexuelles. Des viols dans l’espace public, essentiellement commis par des hommes, pour la plupart toxicomanes, sans emploi et sans domicile fixe.
[…]
(…)
Ce sont au total une dizaine de passants et cyclistes qui ont été agressés. Cela va de la simple bousculade au coup de poing, en passant par l’usage d’une bombe de gaz lacrymogène. Hommes et femmes, personne n’a échappé à leur volonté d’en découdre.
(…)
Jugés ce mardi, les prévenus âgés de 18 et 20 ans sont ressortis libres du tribunal judiciaire de Lyon. Car les juges ont prononcé des peines de 4 et 10 mois de prison avec sursis.
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