Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Israël-Palestine : le jeune berger israélien de 14 ans disparu en Cisjordanie retrouvé "assassiné" selon l'armée
Les circonstances de la mort de Benjamin Achimeir, originaire d'une colonie illégale près de Ramallah, n'ont pas encore été éclaircies. Les opérations pour retrouver l'adolescent avaient conduit à des heurts meurtriers entre colons et villageois palestiniens vendredi.
Ce qu'il faut savoir
Le corps du jeune Israélien disparu a été retrouvé sans-vie, samedi 13 avril à la mi-journée. Selon l'armée israélienne, Benjamin Achimeir, 14 ans, n'est pas mort de façon accidentelle, mais a été "assassiné dans une attaque terroriste". Le jeune homme était parti avec son troupeau vendredi aux aurores depuis l'avant-poste de Malachei Hashalom, une colonie illégale située dans la région de Ramallah. Le retour des bêtes sans leur berger avait donné lieu à d'importantes opérations de recherches, qui ont débouché vendredi sur des affrontements violents. Un Palestinien a été tué et une dizaine d'autres personnes blessées. Suivez notre direct.
Le renseignement intérieur israélien saisi de l'affaire. Il revient désormais au Shin Bet, l'équivalent de la DGSI en Israël, d'enquêter sur les circonstances de la mort de l'adolescent et de définir si celle-ci s'inscrit dans le contexte de tensions violentes entre colons israéliens et habitants palestiniens de la Cisjordanie. De son côté, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a dénoncé "un crime odieux". "Nous nous occuperons des meurtriers et de ceux qui les aident, comme nous le faisons pour tous ceux qui nuisent aux citoyens de l'Etat d'Israël", a-t-il ajouté, cité par le Jerusalem Post.
Un nouveau point de passage pour l'aide à Gaza. Les camions chargés de matériel médical, de nourriture et de produits de première nécessité peuvent désormais emprunter, depuis vendredi, un corridor du nord de l'enclave palestinienne afin de livrer leur précieux chargement. Sur la journée de vendredi, 213 camions ont ainsi pu entrer dans Gaza, selon l'organisme israélien en charge des affaires civiles palestiniennes, tous points d'entrée confondus. Une centaine de colis ont par ailleurs été parachutés sur l'enclave. Malgré cette réouverture, plusieurs ONG alertent sur le fait que l'aide acheminée reste largement insuffisante face à la crise humanitaire qui s'accroît à Gaza.
Joe Biden prévoit des renforts sur fond de menace iranienne. A Washington, le président américain a déclaré vendredi qu'il s'attendait à ce que l'Iran passe "bientôt" à l'action, en réponse à une question sur les menaces contre Israël, accusé par la République islamique d'être à l'origine de la frappe contre son consulat à Damas le 1er avril. Les Etats-Unis enverront en conséquence des renforts dans la région.
Des tirs du Hezbollah sur des positions israéliennes. "Des dizaines de roquettes", c'est ce que le Hezbollah libanais, soutenu par l'Iran, dit avoir tiré vendredi sur le territoire israélien. Le mouvement islamiste a attaqué"des positions d'artillerie ennemies (...) avec des dizaines de roquettes de type Katioucha", a-t-il écrit dans un communiqué. L'armée israélienne a de son côté confirmé qu'une "quarantaine" de tirs ont été identifiés en provenance du territoire libanais et que "certains ont été interceptés". "Personne n'a été blessé", précise l'Etat hébreu, qui ajoute qu'au cours des dernières heures, l'armée israélienne "a frappé dans plusieurs endroits du sud du Liban afin d'écarter une menace".
La France met en garde ses ressortissants.Craignant un regain de tensions, le ministère des Affaires étrangères recommande aux Français "de s'abstenir impérativement de se rendre dans les jours qui viennenten Iran, au Liban, en Israël et dans les territoires palestiniens". Le Quai d'Orsay a également demandé le "retour des familles des agents diplomatiques de Téhéran"et "l'interdiction des missions de fonctionnaires français dans ces pays", où plusieurs Français sont toujours otages à l'instar de Cécile Kohler, détenue depuis plus de 700 jours.
L’Iran prévient qu’il attaquera les forces américaines au Moyen-Orient s’il contribue à défendre Israël – Rapports
WASHINGTON (Sputnik) - Téhéran a averti Washington qu'il attaquerait les forces américaines au Moyen-Orient si les États-Unis s'impliquaient dans une confrontation militaire entre l'Iran et Israël, a rapporté vendredi Axios, citant trois responsables américains proches du dossier.
La semaine dernière, Israël a mené une frappe aérienne sur l'annexe consulaire de l'ambassade iranienne à Damas, détruisant le bâtiment. Le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien a déclaré que sept de ses membres avaient été tués dans l'attaque, dont deux commandants. L’Iran devrait mener des frappes de représailles contre Israël dans les heures ou les jours à venir.
Le message iranien était que si les États-Unis s’impliquaient après l’attaque iranienne prévue contre Israël, les bases américaines dans la région seraient attaquées, selon le rapport.
Cependant, un responsable américain a déclaré à Axios qu'il n'était pas clair si l'Iran menaçait d'attaquer les forces américaines dans la région si elles aidaient Israël à intercepter les missiles iraniens ou seulement si elles participaient à une contre-offensive israélienne.
La communauté du renseignement américain estime que l’Iran ne pourrait attaquer les forces américaines que si les États-Unis se joignaient à Israël dans une contre-offensive, indique le rapport citant un responsable américain.
Les États-Unis communiquent directement avec l'Iran via le canal de communication officiel suisse, mais l'Iran a relayé ses menaces par l'intermédiaire de plusieurs pays arabes, selon le rapport.
PS: L’administration Biden a demandé qu’Israël se renseigne d’abord auprès des États-Unis avant de prendre une décision sur d’éventuelles actions de représailles contre l’Iran à la suite de l’attaque prévue.
Jeu terminé? Les puissances du Golfe Persique refuseraient de donner aux États-Unis l’accès aux bases pour les frappes anti-iraniennes
Depuis la guerre du Golfe en 1991, les États-Unis dépendent de leurs alliés régionaux pour mener des opérations militaires à grande échelle au Moyen-Orient. Aujourd'hui, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'accentuent et que l'ordre mondial unipolaire dirigé par les États-Unis est mis à rude épreuve, les partenaires traditionnels de l'Amérique refusent apparemment de marcher au pas de Washington.
Les pays du Golfe persique auraient demandé aux États-Unis de ne lancer aucune attaque contre l’Iran depuis leur territoire ou leur espace aérien, dans un contexte de tensions régionales bouillonnantes.
Des sources, dont un haut responsable américain, ont déclaré à Middle East Eye que les monarchies du Golfe ont « fait des heures supplémentaires » sur le plan diplomatique « pour fermer les voies qui pourraient les lier à des représailles américaines contre Téhéran ou ses mandataires depuis des bases situées à l’intérieur de leurs royaumes ».
Parmi ces pays figurent l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Oman et le Koweït, dont les dirigeants auraient « soulevé des questions » sur les détails des accords de base américains et pris des mesures pour empêcher l'utilisation de leurs bases adjacentes à l'Iran contre la République islamique. .
La Turquie, membre de l'OTAN, aurait également interdit aux États-Unis d'utiliser son espace aérien pour mener des frappes contre l'Iran, mais Spoutnik n'a pas été en mesure de vérifier cette information de manière indépendante.
"C'est un désastre", a déclaré un haut responsable américain, faisant référence au casse-tête auquel l'administration Biden est confrontée alors qu'elle se prépare à une éventuelle frappe de représailles iranienne contre son principal allié régional, Israël, à la suite de l'attaque de Tel Aviv le 1er avril contre l'ambassade iranienne à Damas, en Syrie. .
Le rapport de Middle East Eye fait suite à un rapport d’Axios publié vendredi citant des responsables américains qui ont déclaré que l’Iran avait averti en privé les États-Unis qu’il ciblerait les forces américaines au Moyen-Orient si Washington s’impliquait dans une confrontation militaire entre l’Iran et Israël.
Les États-Unis comptent plus de 40 000 militaires répartis dans des bases réparties au Moyen-Orient, y compris la base aérienne d'Al Udeid au Qatar, qui accueille au moins 10 000 soldats et sert de quartier général avancé du Commandement central des États-Unis – le commandement de combat responsable de l'armée. opérations à travers le Moyen-Orient. Bahreïn, à proximité, accueille jusqu'à 7 000 soldats et la Cinquième Flotte américaine, qui opère dans le golfe Persique, les mers Rouge et Arabique et une partie de l'océan Indien. Les États-Unis disposent également d’une garnison de 15 000 soldats au Koweït, d’au moins 5 000 soldats aux Émirats arabes unis et d’environ 2 700 soldats et avions de combat sur la base aérienne Prince Sultan en Arabie saoudite. Oman accueille quelques centaines de soldats américains et permet à l'US Air Force d'effectuer des survols et des atterrissages, et aux navires de guerre d'effectuer 80 escales par an.
La politique étrangère de plus en plus indépendante des puissances du Golfe constitue potentiellement un revers majeur pour Washington, qui, pendant de nombreuses décennies après la Seconde Guerre mondiale (et surtout après la Guerre froide), a pu s'appuyer sur les monarchies du Golfe Persique pour ses opérations militaires dans les pays riches en pétrole. région.
Les pays de la région dirigés par l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont récemment pris une série de mesures pour se libérer de leur dépendance économique, politique et militaire à l'égard des États-Unis. Riyad a décidé de briser le monopole des pétrodollars dans le commerce pétrolier avec la Chine et a suspendu sa campagne militaire. contre la milice Houthi du Yémen, en rétablissant les relations diplomatiques avec l'Iran et, avec Abou Dhabi, en rejoignant le bloc BRICS Plus.
La crise israélo-palestinienne a éloigné les dirigeants des États du Golfe et leurs populations de l'idée d'établir des relations avec Israël, et a refroidi les liens avec les États-Unis grâce au soutien total de l'administration Biden à Tel-Aviv pendant la guerre de Gaza. .
Le Royaume-Uni n’a pas l’intention de se joindre aux opérations de la marine américaine au large des côtes israéliennes – Rapports
MOSCOU (Sputnik) - Le Royaume-Uni n'a pas l'intention de se joindre à la marine américaine dans des opérations militaires au large des côtes israéliennes dans un contexte de représailles iraniennes potentielles, bien que Londres ait déployé deux navires de guerre dans la région, a rapporté le Telegraph, citant une source au sein du pays. marine.
Le HMS Diamond du Royaume-Uni, un destroyer de type 45, opère dans la mer Rouge au large des côtes du Yémen, tandis que le HMS Lancaster est déployé dans la mer d'Oman, a ajouté la source.
Les États-Unis sont prêts à aider Israël à intercepter toute frappe lancée contre le pays dans les prochains jours, a rapporté vendredi CNN, ajoutant que Washington s'attend à ce que l'Iran frappe plusieurs cibles en Israël.
En outre, un responsable américain de la défense a déclaré à Sputnik que l’armée américaine déplaçait des ressources supplémentaires au Moyen-Orient pour renforcer la dissuasion et la protection des forces en prévision d’une attaque de représailles iranienne contre Israël. Plus tôt dans la journée, le Wall Street Journal a rapporté que les États-Unis avaient redéployé au moins deux navires de guerre afin de renforcer la protection d'Israël.
Le président américain Joe Biden a averti l'Iran de ne pas attaquer Israël, mais a noté qu'il s'attendait à ce que les représailles de l'Iran surviennent « le plus tôt possible ». Biden a souligné que les États-Unis étaient déterminés à défendre Israël et que l’Iran ne réussirait pas.
Téhéran aurait averti Washington qu'il attaquerait les forces américaines au Moyen-Orient si les États-Unis s'impliquaient dans une confrontation militaire entre l'Iran et Israël.
Plus tôt dans la semaine, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a déclaré que son pays était prêt à se défendre contre l'attaque imminente de l'Iran au sol et dans les airs, en étroite coopération avec ses partenaires. Cette déclaration intervient alors que Téhéran menace de riposter contre Israël suite à la frappe aérienne du 1er avril contre le bâtiment annexe consulaire adjacent à l’ambassade iranienne à Damas. L'attaque a détruit le bâtiment et tué sept membres de l'élite des Gardiens de la révolution iraniens, dont deux généraux.
L'Iran a déclaré qu'il se réservait le droit de riposter contre Israël. Un porte-parole du département d'Etat américain a déclaré jeudi que le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken avait appelé ses homologues chinois, turc et saoudien pour leur demander d'exhorter Téhéran à "ne pas escalader".
Les tensions au plus haut entre l'Iran et Israël : Téhéran saisit un navire lié à Israël dans le détroit d'Ormuz, "l'Iran en subira les conséquences", réagit Tsahal
Les Gardiens de la révolution iraniens ont saisi samedi un cargo lié à Israël dans le détroit d'Ormuz, a rapporté l'agence de presse officielle iranienne IRNA, quelques jours après l'avertissement de Téhéran d'une possible fermeture de la zone au trafic maritime.
Selon cette agence, un hélicoptère des gardes a emmené dans les eaux iraniennes le MSC Aries, une embarcation battant pavillon portugais. Les agences de sécurité maritime avaient précédemment signalé qu'un navire avait été arraisonné et saisi par les "autorités régionales" dans le détroit d'Ormuz, entre les Émirats arabes unis et l'Iran.
Téhéran se livre à des actes de piraterie et devrait être sanctionné pour cela, a déclaré samedi le ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Katz. "Le régime de l'Ayatollah de Khamenei est un régime criminel qui soutient les crimes du Hamas et mène actuellement une opération de piraterie en violation du droit international", a-t-il déclaré. "J'appelle l'Union européenne et le monde libre à déclarer immédiatement le corps des Gardiens de la révolution iraniens comme organisation terroriste et à sanctionner l'Iran dès maintenant."
L'Aries est loué par la compagnie maritime internationale MSC à Gortal Shipping, une filiale de Zodiac Maritime, a indiqué Zodiac dans un communiqué, ajoutant que MSC était responsable de toutes les activités du navire. Zodiac appartient en partie à l'homme d'affaires israélien Eyal Ofer. Cet incident survient dans un contexte de tensions régionales croissantes depuis le début de la campagne israélienne à Gaza en octobre. Israël et son allié américain se sont opposés à plusieurs reprises à des groupes soutenus par l'Iran au Liban, en Syrie, en Irak et au Yémen.
Mise en garde de Biden
L'Iran a menacé de riposter aux frappes aériennes israéliennes présumées contre son consulat à Damas, la capitale syrienne, le 1er avril ; l'attaque a provoqué la mort de sept officiers des Gardiens de la révolution, dont deux hauts commandants. Le président américain Joe Biden a déclaré vendredi qu'il s'attendait à ce que l'Iran attaque Israël, et exhorté Téhéran à ne pas le faire. Le porte-parole militaire israélien, le contre-amiral Daniel Hagari, a déclaré que "l'Iran subira les conséquences s'il choisit d'aggraver encore la situation", en réponse aux informations sur la saisie du MSC Aries.
Mardi, le chef naval des Gardiens de la révolution, Alireza Tangsiri, a menacé de fermer le détroit d'Ormuz si nécessaire. Il a déclaré que l'Iran considérait comme une menace la présence d'Israël aux Émirats arabes unis, qui a établi des relations diplomatiques avec l'Etat hébreu en 2020 dans le cadre des "Accords d'Abraham" négociés par les États-Unis.
Le groupe Houthi du Yémen, soutenu par l'Iran, perturbe le commerce mondial par ses attaques contre des navires en mer Rouge depuis des mois, affirmant qu'il cible des navires liés à Israël en représailles au conflit à Gaza. Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont mené des frappes contre des cibles houthies en réponse aux attaques contre les navires.
Des frappes de l’Iran contre Israël ? Pourquoi la crainte d’une riposte de Téhéran est prise au sérieux
Le 12 avril 2024
Après la destruction du consulat iranien à Damas par Israël au début du mois, les craintes d’une réponse armée iranienne se sont considérablement amplifiées.
Des troupes de l’armée israélienne dans une zone située le long de la frontière avec la bande de Gaza, dans le sud d’Israël, le 10 avril 2024.
INTERNATIONAL - Alors que les forces israéliennes ont mené de nouveaux raids meurtriers dans la bande de Gaza ce vendredi 12 avril, c’est l’ombre d’un acteur tiers qui plane au-dessus du conflit au Proche-Orient. Et pour cause : jour après jour, les craintes d’une riposte menée par l’Iran à une frappe attribuée à Israël contre le consulat iranien à Damas, en Syrie, s’amplifient.
Les risques d’un débordement du conflit ont en effet redoublé depuis cette offensive attribuée à l’armée israélienne qui a détruit le 1er avril le consulat iranien à Damas, faisant 16 morts, selon une ONG, parmi lesquels sept membres des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran.
« Le régime maléfique a fait une erreur (...) il doit être puni et il sera puni », a répété mercredi 10 avril le guide suprême d’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei. Le même jour, Joe Biden a annoncé que l’Iran « menace de lancer une attaque importante contre Israël ». Preuve de la réalité de la menace.
• Quelle date pour cette attaque ?
Selon une source du Wall Street Journal ayant connaissance des derniers développements dans ce dossier, l’offensive pourrait se dérouler dès ce vendredi 12 ou samedi 13 avril.
Le journal américain nuance toutefois en indiquant qu’une autre source, informée cette fois directement par les dirigeants iraniens, déclare que les plans sont en cours de discussion au sommet de la République islamique, mais qu’aucune décision définitive n’a été prise concernant cette attaque.
Cette seconde source a également indiqué que l’attaque, si elle venait à avoir lieu, ciblerait l’intérieur des frontières d’Israël, par opposition aux intérêts israéliens pouvant être situés ailleurs dans le monde.
• Une offensive « contrôlée » et sans « escalade »
Des sources iraniennes ont déclaré à l’agence de presse Reuters que cette possible attaque serait d’une ampleur « contrôlée » et qu’elle serait orchestrée de manière à éviter une escalade majeure dans la région, comme le rapporte Sky News. À l’inverse de l’attaque du 7 octobre perpétrée par le Hamas qui avait visé essentiellement des civils, on peut imaginer des frappes tactiques contre des objectifs militaires symboliques.
• Comment se prépare Israël
Israël et les États-Unis se tiennent « côte à côte » pour faire face à l’Iran, a déclaré ce vendredi le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant. « Nos ennemis pensent qu’ils peuvent séparer Israël et les États-Unis, mais c’est le contraire qui est vrai : ils nous rapprochent et renforcent nos liens », a assuré le ministre dans un communiqué après un entretien avec le général américain Michael Erik Kurilla, en déplacement en Israël.
« Israël ne tolérera pas une attaque iranienne sur son territoire », avait affirmé Yoav Gallant la veille. « Si l’Iran mène une attaque depuis son territoire, Israël répondra et attaquera l’Iran », avait prévenu avant lui le chef de la diplomatie israélienne, Israël Katz. D’où les précautions et le temps pris par les Iraniens pour organiser la réponse à la frappe contre leur consulat de Damas.
• Quel positionnement pour les États-Unis ?
Les menaces d’attaque iranienne contre Israël sont « crédibles » et « réelles », a dit ce vendredi un porte-parole de la Maison Blanche, qui n’a pas voulu donner plus de détails sur le moment ou les cibles. Joe Biden « a été informé à de multiples reprises par son équipe de sécurité nationale » et les États-Unis entendent « faire tout ce qui est possible pour assurer qu’Israël puisse se défendre », a aussi déclaré John Kirby, porte-parole de la Maison Blanche.
Un général américain chargé du Moyen-Orient, Michael Erik Kurilla, se trouve par ailleurs actuellement en Israël, et les États-Unis ont restreint les mouvements de leur personnel diplomatique dans le pays.
• Que disent les experts géopolitiques ?
Le fait qu’aucun des acteurs impliqués n’ait intérêt à provoquer l’escalade ne protège pas d’une crise à grande échelle, explique à l’AFP David Khalfa, analyste pour la Fondation Jean Jaurès à Paris. « Les erreurs de calcul sont tout à fait possibles. La dissuasion comporte un aspect éminemment psychologique », relève-t-il : « les belligérants sont à la merci d’une erreur et d’un dérapage qui peut occasionner ensuite des conséquences en cascade ».
« La frappe aérienne israélienne » signifiait à Téhéran « qu’il sera tenu pour responsable des actions du Hamas et d’autres alliés non-étatiques comme le Hezbollah libanais et les Houthis au Yémen », analyse de son côté le Soufan Center à New York, spécialisé dans les questions de sécurité.
La posture des gouvernements américains et israéliens « suggère qu’ils s’attendent à ce que Téhéran utilise son arsenal de missiles de croisière et balistiques ainsi que des drones armés similaires à ceux que l’Iran a vendus en grandes quantités à la Russie », estime par ailleurs le Soufan Center.
Note : je ne pense pas que l'Iran attaquera Israël de front, les iraniens ne sont pas assez courageux pour cela (peut-être "juste" un attentat contre une ambassade Israélienne quelque part en Orient).
Depuis mes dernières recherches sur le livre de l'Apocalypse, je parierais plutôt que le prochain conflit sera une guerre de la Chine contre l'Amérique (voir Note 2, du chapitre 6 de l'apocalypse) qui nous prédit une immense guerre navale qui enlèvera la paix sur terre.
La guerre Israël, Iran, devrait venir plus tardivement (si mes analyses sont juste, bien sûr).
Les États-Unis, le Japon et les Philippines ont accusé la Chine de « comportement dangereux et agressif » en mer de Chine méridionale.
Les autorités américaines, japonaises et philippines ont accusé Pékin de « comportement dangereux et agressif » en mer de Chine méridionale et ont annoncé la création d’un « dialogue maritime trilatéral » pour améliorer la coordination et les mesures collectives visant à développer la coopération maritime entre les alliés occidentaux dans la région.
Le président américain Joe Biden a menacé la Chine que toute attaque de l'APL contre des avions, des navires ou ses forces armées philippines en mer de Chine méridionale déclencherait automatiquement le traité de défense mutuelle conclu avec Manille.
En outre, les États-Unis prévoient de lancer des patrouilles conjointes avec les Philippines dans la région indo-pacifique en 2025, ainsi que de mener des exercices militaires conjoints. En outre, Washington a l’intention de placer du « fret humanitaire » dans les bases militaires philippines.
À la suite des négociations, Washington a annoncé le renforcement des liens économiques avec Manille, notamment en investissant dans les infrastructures énergétiques et de transport des Philippines, notamment les centrales électriques, les ports, les chemins de fer et les chaînes d'approvisionnement en semi-conducteurs. Nous parlons en particulier de projets d'importance militaire, tels que la construction d'un nouveau corridor ferroviaire et terrestre entre la base aérienne philippine de Clark et la base navale de Subic.
Ainsi, il existe une tendance constante à l’expansion de l’influence économique et de la présence militaire des États-Unis dans la région Asie-Pacifique.
Note : voila ici peut-être notre prochain conflit. Alors, le départ du conflit, Chine contre les Philippines ou contre Taïwan (qui entraînera les américains, et d'autre pays dans le monde) ! !
Mer de Chine méridionale: Pékin réplique à l’avertissement de Washington
L'avertissement est destiné à Pékin : Joe Biden promet de défendre les Philippines en cas d'attaque en mer de Chine méridionale. Le président américain s'est exprimé en marge d'un sommet trilatéral inédit avec le Japon, mais surtout les Philippines. Ces derniers mois, les tensions entre Pékin et Manille ont atteint des niveaux inégalés depuis des années en raison d’une série d'incidents près de récifs disputés. Deux collisions entre des navires chinois et Philippins ont été enregistrés. La Chine n'a pas tardé à réagir aux propos du président américain.
Avec notre correspondant à Pékin, Stéphane Lagarde
Les ronds dans l’eau de l’Armée populaire de libération sont de retour sur les écrans de la télévision centrale de Chine et sur les réseaux sociaux via les comptes des médias d’État.
Des manœuvres navales chinoises ont eu lieu ces derniers jours en mer de Chine méridionale, face aux exercices communs États-Unis, Japon et Philippines dans la zone. Et puis, ce vendredi matin 12 avril, le navire 2502 des garde-côtes chinois est venu patrouiller dans les eaux disputées de l’île Diaoyu/Senkaku en mer de Chine orientale. Manœuvre qualifiée de « légitime » pour « défendre les droits et intérêts de la Chine », selon les autorités citées par l’agence Xinhua.
Pour l’ambassade de Chine à Tokyo, le renforcement de l’alliance entre les États-Unis et l’archipel constitue une « menace pour la paix et la stabilité régionale ».
Un renforcement de l’alliance qui donnerait des ailes à Manille
Ce message est repris en chœur par l’armée des internautes nationalistes qui se sont réveillés avec le communiqué tripartite États-Unis, Japon, Philippines de cette nuit. Là, les termes sont encore plus virulents et beaucoup moins diplomatiques : « J’ai l’impression que Biden promène ses chiens », lit-on sur le réseau Weibo -allusion au Premier ministre japonais Fumio Kishida et au président philippin Ferdinand Marcos réunis à Washington. Ou encore : « Nous devons tester la fidélité des alliés des États-Unis en attaquant les Philippines et le Japon les premiers »
Ce renforcement de l’alliance entre les États-Unis, le Japon et les Philippines risque de donner des ailes à Manille, laissent entendre les médias d’État chinois.
« Ce qui pourrait rouvrir la boîte de Pandore d'un nouveau cycle d'occupation des îles par certains pays en mer de Chine méridionale et aurait un impact négatif sur la paix et la stabilité régionales », a
ffirme Lei Xiaolu, professeur de droit à l'Institut chinois des études sur les frontières et les océans de l’Université de Wuhan, cité par le Huanqiu Shibao.
« La Chine s'oppose fermement à tout comportement qui provoque et planifie des conflits et porte atteinte à la sécurité et aux intérêts stratégiques d'autres pays », a aussi affirmé ce vendredi, lors d'un point presse régulier, Mao Ning, une porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
la situation sur le front Est s’est "considérablement détériorée au cours des derniers jours", affirme Kiev
La situation sur le front Est s’est "considérablement détériorée au cours des derniers jours", a affirmé Oleksandre Syrsky, le commandant en chef ukrainien, ce matin. Il dit constater une "intensification" de l’offensive de l’armée russe, qui pousse notamment en direction de Tchassiv Iar.
Les États-Unis ont interdit hier l’importation de l’aluminium, du cuivre et du nickel d’origine russe, dans le cadre de sanctions supplémentaires prises avec le Royaume-Uni, afin de réduire les revenus de Moscou.
La Russie a convoqué hier l’ambassadeur français à Moscou après les propos jugés "inacceptables" de Stéphane Séjourné, qui avait estimé lundi que Paris n’a plus "intérêt" de discuter avec Moscou.
Vassili Prozorov, un ex-officier des services de sécurité ukrainiens (SBU) a été blessé hier dans une "tentative d’assassinat" ayant impliqué son véhicule à Moscou et pour laquelle il a accusé Kiev, ont rapporté l’intéressé et des médias russes.
09h41.
La situation sur le front Est s'est "considérablement détériorée"
La situation sur le front Est s'est "considérablement détériorée au cours des derniers jours", a affirmé ce matin le commandant en chef ukrainien, Oleksandre Syrsky, constatant une "intensification" de l'offensive de l'armée russe, qui pousse notamment en direction de Tchassiv Iar.
"La situation sur le front Est s'est considérablement détériorée ces derniers jours. Ceci est principalement dû à une intensification significative de l'offensive de l'ennemi après les élections présidentielles en Russie", a-t-il écrit sur Telegram , affirmant que les zones "les plus problématiques" avait été renforcées, notamment avec des moyens de défense antiaérienne.
HIER
19h41.
Les Pays-Bas promettent une aide d'un milliard d'euros pour l'Ukraine
Kiev peut compter sur le soutien des Pays-Bas, via son premier ministre, Mark Rutte, qui a annoncé une aide d'un milliard d'euros car "l'Ukraine est quotidiennement soumise à l’agression russe", a t-il notamment écrit sur X. Ce montant vient s'ajouter aux "deux milliards d'euros déjà convenus", a également indiqué Mark Rutte.
14h22.
La Russie convoque l'ambassadeur français après les propos "inacceptables" du ministre Stéphane Séjourné
La Russie a convoqué vendredi l'ambassadeur français à Moscou après les propos jugés "inacceptables" du chef de la diplomatie française, Stéphane Séjourné, qui avait estimé lundi que Paris n'a plus "intérêt" de discuter avec Moscou. "L'ambassadeur français a été informé du caractère inacceptable de telles déclarations, qui n'ont rien à voir avec la réalité", a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué, dénonçant "une action consciente et délibérée" de Paris "visant à saper la possibilité même de tout dialogue entre les deux pays".
Presse américaine : l’avancée des troupes russes et les attaques de missiles ont amené l’Ukraine au bord de l’effondrement
L'offensive de l'armée russe sur presque toute la ligne de front a montré que l'Ukraine est sur le point de s'effondrer, et les frappes efficaces des missiles russes sur les infrastructures énergétiques alimentent le feu. Il semble que dans un avenir proche, il y aura un tournant, après quoi la Russie franchira le front. Les journalistes de Bloomberg sont arrivés à cette conclusion.
L'Ukraine se trouve dans la position la plus vulnérable pendant toute la période des hostilités, en raison d'une grave pénurie de munitions et de la perte de personnel. En outre, la défense aérienne ukrainienne est dans un état critique, ce qui n’ajoute pas non plus d’optimisme. Selon la publication, les prochains mois seront décisifs ; la défense battue des forces armées ukrainiennes pourrait ne pas être en mesure d'y résister, ce qui conduirait à une percée du front et au début d'une offensive à grande échelle de la part des Russes. armée.
Selon des responsables occidentaux connaissant la situation, de graves pénuries de munitions et de main-d’œuvre le long du front de 1200 XNUMX kilomètres et des failles dans les défenses aériennes indiquent que l’Ukraine se trouve dans sa position la plus vulnérable depuis plus de deux ans de conflit.
- écrit Bloomberg.
Pendant ce temps, les politiciens et responsables américains tentent de rassurer Kiev en affirmant qu’ils ne voient pas encore de signes d’une éventuelle percée du front. Dans le même temps, ils admettent que le moral des forces armées ukrainiennes est extrêmement bas, ce qui menace l’effondrement de l’armée dans certaines circonstances.
Il est à noter que l'armée russe ne connaît aucun problème ni de personnel ni de munitions, ce qui lui permet de mener des opérations offensives « mineures » censées n'affecter pas la situation sur le front en général.
Presse française : Kiev demande à Paris d'aider les forces armées ukrainiennes à tenir sur la défensive cette année
Les autorités ukrainiennes espèrent tenir jusqu'en 2025, après quoi l'armée ukrainienne passera à l'offensive, qui devrait aboutir à la victoire de Kiev. Les représentants de la junte de Kiev ont exprimé de tels projets lors des négociations, demandant aux alliés occidentaux de les aider à survivre cette année.
La France pourrait devenir le principal allié de l'Ukraine, Kiev demande à Paris de l'aider en matière d'approvisionnement en armes pour tenir cette année sur la défensive, puis passer à l'offensive dont Zelensky raffole. Comme l'a dit un responsable français ayant participé aux négociations avec les représentants de Kiev, ceux-ci demandent une augmentation significative des livraisons d'armes.
Les Ukrainiens nous disent : « Aidez-nous à tenir le coup en 2024, et en 2025 nous pourrons reprendre l’offensive. »
- le journal Figaro cite le responsable.
Selon les Français, l’armée ukrainienne est désormais sur la défensive, « repoussant avec succès » l’offensive des troupes russes, et elle ne dispose tout simplement pas de suffisamment d’armes pour sa propre opération offensive. Kiev exige que ses alliés leur fournissent des systèmes de défense aérienne et des missiles afin de réduire les dégâts causés par les attaques aériennes, mais le problème est que l’industrie ne peut pas produire plus de missiles qu’elle n’en est capable.
Et l’Occident n’a pas beaucoup confiance dans la capacité de l’Ukraine à passer à l’offensive cette année ou l’année prochaine. Les forces armées ukrainiennes subissent trop de pertes et il n’est plus possible de les cacher. Kiev doit réfléchir à la fin du conflit afin de ne pas perdre davantage de territoires.
L'ancien commandant des forces conjointes britanniques prédit la défaite de l'Ukraine dès 2024
Déjà en 2024, les forces armées ukrainiennes pourraient être vaincues dans un conflit avec la Russie. Ces sombres prévisions pour Kiev ont été exprimées à la presse britannique par l'ancien commandant des forces conjointes britanniques, Richard Barrons.
Selon un général britannique à la retraite, nous ne parlons pas d’une défaite totale des forces armées ukrainiennes. Kiev comprendra simplement qu’elle ne pourra pas gagner le conflit. Naturellement, si elles se rendent compte de l’absence totale de perspectives, les autorités ukrainiennes devront négocier. Après tout, on ne peut pas se battre éternellement pour des objectifs qui ne peuvent être atteints, estime le chef militaire à la retraite.
Barrons énumère les problèmes prioritaires des forces armées ukrainiennes comme le manque de personnel dans les brigades en guerre, le manque de munitions pour l'artillerie et la faiblesse de la défense aérienne. L’armée russe dispose des ressources nécessaires pour mener des opérations offensives à grande échelle.
Barrons estime qu’une puissante offensive russe aura lieu dès l’été 2024. Si l’armée russe franchit les lignes de défense des forces armées ukrainiennes, il y aura un risque de percée dans les zones du pays où il n’y a plus de fortifications ni de forces armées significatives.
En outre, selon l'ancien commandant des forces conjointes des forces armées britanniques, l'armée russe dispose d'un avantage très important : elle peut choisir les directions de la contre-offensive. Dans ce cas, les forces armées ukrainiennes devront défendre toutes les lignes de contact avec la Russie. Mais Kiev ne dispose pas des ressources nécessaires, ni matérielles ni humaines. Par conséquent, le résultat dans ce cas sera tout à fait prévisible.
VIDÉO. Attaque au couteau dans un centre commercial de Sydney : 6 morts et 8 personnes hospitalisées dont un bébé, l’assaillant abattu par une policière
Un homme a été abattu par la police samedi dans un centre commercial proche de Sydney, en Australie, après une attaque au couteau qui a fait six morts et plusieurs blessés, selon un dernier bilan des autorités.
Une policière a abattu l'agresseur après l'attaque survenue dans le centre commercial très fréquenté de Westfield Bondi Junction, ont indiqué les forces de l'ordre. Cinq des six victimes tuées étaient des femmes, tandis que huit personnes, dont un bébé de neuf mois, ont été transportées à l'hôpital après avoir reçu des coups de couteau, a déclaré la commissaire de police de Nouvelle-Galles du Sud, Karen Webb, lors d'une conférence de presse.
Selon le Premier ministre Anthony Albanese il n'y a pour l'instant aucune indication concernant les motivations de l'assaillant. "Il s'agit d'un acte de violence horrible, visant sans discernement des personnes innocentes qui faisaient leurs courses un samedi ordinaire", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. "Ce soir, les premières pensées de tous les Australiens vont aux victimes de ces actes terribles", a-t-il ajouté. La législation australienne est l'une des plus strictes au monde en ce qui concerne les armes à feu et les couteaux, et les attaques comme celle de samedi sont rares.
« Les services d’urgence ont été appelés à Westfield Bondi Junction suite à des informations faisant état de plusieurs personnes poignardées », a annoncé la police de Sydney. Un homme a été abattu, il s’agit probablement de l’assaillant.
La police n’a pas précisé le motif de l’agression dans l’immédiat.
Attaque à Bordeaux : l’assaillant est bien un migrant afghan ayant obtenu le statut de réfugié en septembre 2021 ; deux corans et un tapis de prière retrouvés chez lui, son portable va être exploité (MàJ)
12/04/2024
L’assaillant au couteau de Bordeaux, qui a tué une personne et grièvement blessé une autre mercredi soir, a été formellement identifié, a appris Le Figaro auprès du parquet de Bordeaux ce vendredi 12 avril. Il s’agit de Ahmad Saboor Hamraz, né en novembre 1998 à Ghazni, en Afghanistan.
(…) l’individu avait obtenu le statut de réfugié auprès de l’OFPRA le 14 septembre 2021, après une première demande d’asile effectuée en Grèce le 27 février 2019, a confirmé le parquet, comme l’annonçait jeudi Le Figaro . Il n’était pas sous l’influence de cannabis ou de l’alcool lors des faits. Des analyses toxicologiques complémentaires sont en cours.
Son logement a été perquisitionné récemment. Les autorités y ont retrouvé «une médaille de boxe, deux corans, un tapis de prière et un téléphone», qui va être exploité, explique la procureur de la République Frédérique Porterie. (…)
Allemagne : trois mineurs âgés de 15 et 16 ans projetant une attaque au nom de l’État islamique contre des policiers et des églises placés en détention
12/04/2024
Trois mineurs soupçonnés de préparer en Allemagne un attentat terroriste pour un motif islamiste ont été arrêtés et placés en détention provisoire lors du week-end de Pâques, annonce ce vendredi la justice allemande. Les mandats d’arrêt concernent trois jeunes, deux filles de 15 et 16 ans et un garçon de 15 ans originaires de Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
«En raison de l’âge des suspects et de l’enquête en cours», le parquet n’a pas donné de détails supplémentaires sur ce qu’ils préparaient. Le quotidien allemand Bild affirme que les adolescents comptaient attaquer avec des couteaux et des cocktails molotov au nom de l’État islamique (EI) des policiers et des églises. «Ils ont réfléchi à se procurer des armes à feu», ajoute le journal. […]
Besançon (25) : Plainte déposée pour atteinte arbitraire à une liberté individuelle suite au placement en garde à vue de la jeune militante de Némésis Yona qui avait réclamé l’expulsion des violeurs étrangers (MàJ)
12/04/2024
12/04/24
Transgenrisme : l’Allemagne vote en faveur de la loi sur le changement de sexe à l’état civil dès 14 ans, sur simple déclaration et sans avis médical, elle entrera en vigueur le 1er novembre 2024
12/04/2024
Vendredi, le Bundestag a voté la loi sur l’autodétermination présentée par le gouvernement fédéral. À l’avenir, les gens devraient pouvoir changer de sexe et de prénom en faisant une déclaration à l’état civil. L’obligation antérieure de présenter un certificat médical à cet effet ne devrait plus s’appliquer. Pour les mineurs de moins de 14 ans, seul le représentant légal devra pouvoir faire la déclaration.La loi entrera en vigueur le 1er novembre 2024.
Elle vise principalement à faciliter la procédure administrative pour changer de mention de sexe et de nom. Cette loi remplacerait le Transsexuellengesetz, la loi sur les transsexuels, qui considère de facto la transidentité comme un trouble psychique.
Jusqu’à présent, les personnes voulant changer de sexe devaient fournir un certificat médical et passer devant un tribunal afin d’expliquer leur décision. Cela sera rendu caduque à partir de la mise en vigueur de la loi d’autodétermination.
Simple déclaration à l’état civil
Désormais, il suffira de faire une déclaration à l’état civil pour modifier la mention de sexe ou son nom. La nouvelle loi inclut également les personnes non-binaires, ainsi que, partiellement, les personnes mineures à partir de 14 as. Selon, la ministre de la famille Lisa Paus, 14 ans serait l’âge approprié pour choisir son sexe et son prénom car c’est l’âge à partir duquel on pourrait choisir sa religion : «C’est donc simplement conforme à la logique de la législation allemande».
Le délégué ministériel chargé des droits LGBTQIA+ Sven Lehmann, du parti des Verts, assure que cette loi constituera un soulagement massif pour les personnes concernées. Selon lui, cette loi va «faciliter et améliorer considérablement la vie des personnes transgenres, intersexuées et non-binaires», relate-t-il au Redaktionsnetzwerk Deutschland. Selon lui, «la loi sur les transsexuels porte atteinte à la dignité humaine».
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