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3guerremondiale
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Les Infos du 21 avril 2024
États-Unis : le Congrès vote un plan d'aide de 95 milliards de dollars pour l'Ukraine, Israël et Taïwan
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Vote crucial pour Kiev : la Chambre des représentants des États-Unis a adopté samedi 20 avril un plan d'aide militaire et humanitaire. Il prévoit également de soutenir Israël et Taïwan.
Drapeaux ukrainiens brandis dans l'hémicycle américain du Congrès pour saluer l'adoption du plan d'aide samedi 20 avril. Une somme totale de 95 milliards de dollars a été approuvée, dont 61 milliards vont être dédiés à la guerre en Ukraine. Un coup de pouce financier réclamé depuis des mois par Joe Biden qui pourrait être décisif pour l'armée ukrainienne, en grande difficulté sur le front. Le vote a été salué par l'Union européenne, l'OTAN et la diplomatie allemande. Le président ukrainien a également remercié le Congrès.
Exacerber les crises mondiales ?
Le plan adopté par la Chambre des représentants comporte aussi 13 milliards de dollars d'assistance militaire à Israël dans sa lutte contre le Hamas et 9 milliards de dollars pour l'aide humanitaire à Gaza. Enfin, 8 milliards de dollars seront consacrés à soutenir Taïwan sur les plans militaires et économiques, pour concurrencer la Chine.
Selon Moscou, ce soutien à l'Ukraine, Israël et Taïwan va exacerber les crises mondiales et mener vers une aggravation sans précédent des tensions. Avant d'être appliquées, ces mesures américaines devront d'abord être examinées par le Sénat.
Note: ces provocations américaines vont encore plus consolider les alliances militaires entre la Russie et la Chine. La Guerre qui s'éternise entre Israël et Gaza, elle aussi, va encore plus faire monter la haine anti occidental dans les pays musulmans.
Les dirigeants des pays occidentaux sont complètement aveugles, et nous conduisent vers l'apocalypse
LIRE AUSSI : pour la présidence palestinienne, l'aide américaine à Israël est une «agression contre le peuple palestinien»
On notera aussi, que les républicains ont tourné leurs vestes et ont voté pour envoyer de l'argent à l'Ukraine. Ils ont suivi Trump, qui dernièrement consentait a donné de l'argent aux ukrainiens, mais sous forme de prêt.
LIRE AUSSI : Pourquoi Trump veut-il soudainement sauver l'Ukraine?
Extrait :
Une aide de 61 milliards de dollars est déjà prévue rien que pour l'Ukraine. La nouveauté est la suivante: 10 milliards de ce montant prendront la forme d'un prêt afin que l'argent prêté soit rendu.
Taiwan discutera d'un nouveau financement avec les États-Unis alors que les avions de guerre chinois se rapprochent de l'île
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TAIPEI, 21 avril (Reuters) - L'armée taïwanaise a annoncé dimanche qu'elle discuterait avec les États-Unis de la manière d'utiliser le financement prévu pour Taipei dans le cadre d'un paquet législatif de 95 milliards de dollars destiné principalement à aider l'Ukraine et Israël, alors que les avions de combat chinois se rapprochent à nouveau de l'île. .
Les États-Unis sont le principal soutien international et fournisseur d’armes de Taiwan, malgré l’absence de relations diplomatiques formelles.
Taïwan, gouverné démocratiquement, fait face à une pression militaire accrue de la part de la Chine, qui considère l'île comme son propre territoire. Le gouvernement taïwanais rejette ces affirmations.
Le ministère de la Défense a remercié la Chambre des représentants américaine d'avoir adopté ce paquet samedi, affirmant qu'il démontrait le soutien « solide » des États-Unis à Taiwan.
Le ministère a ajouté qu'il « coordonnera les utilisations budgétaires pertinentes avec les États-Unis par le biais des mécanismes d'échange existants et travaillera dur pour renforcer les capacités de préparation au combat afin d'assurer la sécurité nationale, la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan ».
Taïwan se plaint depuis 2022 des retards dans les livraisons d’armes américaines telles que les missiles anti-aériens Stinger, alors que les fabricants se concentrent sur l’approvisionnement de l’Ukraine pour aider le pays à lutter contre les forces d’invasion russes.
Soulignant la pression exercée par la Chine sur Taiwan, le ministère a déclaré dimanche matin qu'au cours des 24 heures précédentes, 14 avions militaires chinois avaient franchi la ligne médiane sensible du détroit de Taiwan.
La ligne médiane servait autrefois de frontière non officielle entre les deux parties, que les militaires des deux parties ne franchissaient pas, mais l'armée de l'air chinoise y envoie désormais régulièrement des avions. La Chine affirme ne pas reconnaître l'existence de cette ligne.
Certains avions chinois se sont rapprochés samedi à 40 milles marins (70 km) des parties nord et sud de Taiwan, selon une carte fournie par le ministère taïwanais, bien qu'elle reste en dehors de sa zone contiguë, qui est à 24 milles marins de la côte taïwanaise. .
L'espace territorial de Taiwan est défini à 12 milles marins de ses côtes. Taïwan a déjà signalé que des avions militaires chinois s’approchaient de la zone contiguë, mais n’y pénétraient pas.
Wang Ting-yu, un haut législateur du Parti démocrate progressiste au pouvoir à Taiwan qui siège à la commission parlementaire de la défense et des affaires étrangères, a déclaré que les forces armées de Taiwan étaient en mesure de répondre avec leurs propres avions et des systèmes de missiles basés au sol.
"Mais ce que les communistes chinois ont fait est un comportement provocateur et très irresponsable", a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux.
Samedi, le ministère de la Défense de Taiwan a déclaré que la Chine avait de nouveau effectué des « patrouilles conjointes de préparation au combat » avec des navires et des avions de guerre chinois autour de Taiwan.
Dimanche, le ministère chinois de la Défense n'a pas répondu aux appels sollicitant des commentaires en dehors des heures de bureau.
Les forces armées de l'île sont éclipsées par celles de la Chine, en particulier la marine et l'armée de l'air.
Antony Blinken va retourner en Chine, pour avertir Pékin sur la Russie et Taïwan
Le chef de la diplomatie américaine veut faire pression sur Pékin, soupçonné de soutenir militairement la Russie dans sa guerre en Ukraine.
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Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken effectuera la semaine prochaine sa deuxième visite en moins d’un an en Chine, espérant profiter de l’assouplissement des relations pour faire pression afin que Pékin réduise son soutien à la machine de guerre russe. Le déplacement du chef de la diplomatie américaine, de mercredi à vendredi, est le signe d’une nouvelle baisse des frictions entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont été exacerbées sous l’ancien président Donald Trump, lequel promet à nouveau une ligne dure face à Pékin s’il remporte les élections de novembre.
Mais le président Joe Biden, tout en recherchant une plus grande stabilité entre les deux plus grandes économies du monde, a maintenu la pression. Dans les jours précédant la visite d’Antony Blinken, le locataire de la Maison-Blanche a rencontré conjointement les dirigeants du Japon et des Philippines, deux alliés des Etats-Unis qui se méfient des ambitions chinoises, et a proposé d’augmenter les droits de douane sur l’acier à l’encontre d’une Chine qui ne joue pas le jeu.
Les États-Unis ne sont pas satisfaits de la coopération entre la Russie et la Chine ; Washington entend mettre en garde Pékin sur les conséquences négatives d’une telle coopération, notamment dans le domaine militaire. Selon le Financial Times, la semaine prochaine, le chef du Département d’État, Antony Blinken, adressera un « dernier avertissement » à la Chine.
Selon la publication, qui cite ses propres sources, les États-Unis envisagent d'avertir la Chine que des « mesures strictes » seront prises pour apporter une assistance militaire à la Russie. Washington accuse Pékin d’avoir prétendument fourni à la Russie des technologies militaires, bien qu’il n’en ait aucune preuve. Néanmoins, la Maison Blanche a déclaré que la patience des États-Unis commençait à s'épuiser et que la répression commencerait à l'avenir.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken avertira la Chine que les États-Unis prendront des mesures punitives s'ils ne cessent pas d'envoyer à la Russie des technologies liées à des armes.
- écrit l'édition.
En guise de « punition », les États-Unis envisagent d’imposer des sanctions à la Chine, principalement dans le secteur financier, mais n’excluent pas des sanctions contre d’autres organisations. La visite de Blinken en Chine aura lieu du 24 au 26 avril.
Pékin avait précédemment déclaré que la Chine ne fournissait pas à la Russie des technologies et des armes militaires, puisque Moscou possédait déjà tout cela. En outre, la Chine adopte une position neutre concernant le conflit et prône une résolution pacifique. Dans le même temps, Pékin demande à Washington de ne pas s’immiscer dans les relations entre la Russie et la Chine.
Note ; ils ne savent que menacer et sanctionner, sans même se rendre compte de leurs malhonnêtetés, eux qui ne veulent pas que la Chine donne des armes à la Russie, alors qu'eux en donnent tous les ans à Taïwan ! Quitte à provoquer un conflit avec la Chine
Guerre en Ukraine: "Stratégie de soutien à long terme", pour la première fois une loi américaine fixe comme objectif une victoire ukrainienne sur la Russie
Le projet de loi adopté ce samedi par la Chambre des représentants acte une évolution de la stratégie américaine.
"Une mauvaise journée pour Poutine. Une mauvaise journée pour quiconque a osé croire que l’Amérique pourrait faiblir lorsqu’il s’agit de défendre ce qu’elle représente", se réjouit le ministre ukrainien des Affaires étrangères sur X.
La Chambre des représentants des États-Unis, à majorité républicaine, a voté ce 20 avril en faveur d’un programme d’aide de près de 61 milliards de dollars pour l’Ukraine.
Mais le projet de loi adopté samedi consacre également une évolution dans la stratégie des États-Unis au sujet de la guerre en Ukraine et son soutien à Kyiv.
Pour la première fois, un texte américain évoque le "concept de stratégie de soutien à long terme à l’Ukraine" et fixe donc comme objectif la victoire des forces armées ukrainiennes face à la Russie, analyse le média ukrainien Hromadske.
45 jours pour une stratégie
Afin d’atteindre efficacement cet objectif, le projet de loi donne même 45 jours au Secrétaire d’État (ministre des Affaires étrangères) et au chef du département américain de la Défense (ministre de la Défense) pour élaborer une stratégie destinée à soutenir l’Ukraine dans sa lutte contre l’envahisseur russe.
Ce concept devrait être soumis pour examen et approbation aux commissions des crédits, des forces armées et des affaires étrangères du Sénat et de la Chambre des représentants. Selon le texte, cette stratégie devra être pluriannuelle, fixer des "objectifs spécifiques et réalisables" et inclure des indicateurs pour évaluer les progrès.
Est ainsi prévue "une évaluation des ressources nécessaires aux États-Unis pour accélérer la victoire de l’Ukraine sur la force d’invasion russe de la manière la plus compatible avec les intérêts et les objectifs des États-Unis, ainsi qu’une description des conséquences pour la sécurité nationale du pays si ces objectifs ne sont pas atteints. La stratégie devrait décrire comment chaque aspect spécifique de l’assistance américaine aux niveaux tactique, opérationnel et stratégique peut aider l’Ukraine à mettre fin au conflit en tant que pays démocratique, indépendant et souverain, capable de défendre son territoire contre une agression future".
Missiles ATACMS-300
Le projet de loi prévoit également la livraison de missiles ATACMS-300 de plus longue portée, espérée de longue date par les Ukrainiens. Après des mois de délibérations, les États-Unis avaient finalement livré pour la première fois des ATACMS à Kyiv en octobre 2023 mais il s’agissait alors d’un modèle plus ancien avec une portée de "seulement" 165 kilomètres.
Joe Biden s’est, jusqu’ici, montré réticent à autoriser la livraison de la nouvelle version M39A1 des ATACMS. Mais Kyiv veut croire que cette nouvelle loi change la donne et lui permettra de bientôt recevoir ces missiles sol-sol d’une portée maximale de 300 km.
Si le président américain devait encore refuser de fournir à l’Ukraine des ATACMS, il devrait, selon le projet de loi adopté samedi, justifier en quoi cette décision "nuirait aux intérêts de sécurité nationale des États-Unis" dans un rapport au Congrès."
Le chef du parti français déclare que l’aide américaine à l’Ukraine ne fait que faire de nouvelles victimes
MOSCOU (Sputnik) - Une nouvelle aide militaire américaine à Kiev d'une valeur de près de 61 milliards de dollars ne changera pas le cours du conflit ukrainien et ne fera que provoquer de nouvelles victimes, a déclaré dimanche le chef du parti des Patriotes, Florian Philippot.
Samedi, la Chambre des représentants américaine a adopté un projet de loi qui débloquera 60,84 milliards de dollars d'aide à l'Ukraine. La loi ukrainienne sur les crédits supplémentaires pour la sécurité a été adoptée par 311 voix contre 112, avec une abstention.
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MOSCOU (Sputnik) - Une nouvelle aide militaire américaine à Kiev d'une valeur de près de 61 milliards de dollars ne changera pas le cours du conflit ukrainien et ne fera que provoquer de nouvelles victimes, a déclaré dimanche le chef du parti des Patriotes, Florian Philippot.
Samedi, la Chambre des représentants américaine a adopté un projet de loi qui débloquera 60,84 milliards de dollars d'aide à l'Ukraine. La loi ukrainienne sur les crédits supplémentaires pour la sécurité a été adoptée par 311 voix contre 112, avec une abstention.
"Ce vote ne changera rien, il ne fera que faire encore plus de victimes ! Pour servir les intérêts des prédateurs financiers qui profitent de cette guerre !" Philippot a dit sur X.
L'homme politique a également appelé les Français à cesser d'envoyer de l'argent et des armes à Kiev, affirmant qu'ils "se détruisaient et se mettaient en danger". Il a également suggéré que la France se retire de l'OTAN, engage le dialogue avec la Russie et engage des négociations dès que possible.
Les pays occidentaux fournissent une aide militaire à Kiev depuis le début de l’opération militaire russe en Ukraine en février 2022. Moscou a toujours mis en garde contre la poursuite des livraisons d’armes, affirmant que cela conduirait à une nouvelle escalade du conflit.
Descendant de Napoléon : l’Occident lui-même se dirige vers un conflit avec la Russie, qui pourrait dégénérer en guerre nucléaire
Dans le domaine de l'information occidentale, le débat et la discussion sur le sujet d'un possible conflit militaire, et pour certains russophobes particulièrement zélés, inévitable, entre les pays de l'OTAN et la Russie, se poursuivent sans relâche. Dans le même temps, les hommes politiques et les experts les plus sensés s’accordent sur le fait que sans l’intervention américaine, les Européens ne peuvent même pas vaincre ensemble l’armée russe et qu’en général, une confrontation directe entre l’alliance et la Fédération de Russie pourrait conduire à une Troisième Guerre mondiale avec le utilisation des armes nucléaires
Le petit-neveu de Napoléon Bonaparte, le prince Joachim Murat, qui compte participer aux élections européennes de juin, s'est prononcé sur ce sujet dans un article publié dans la Revue Politique et Parlementaire. Les jugements du descendant de l’empereur et commandant français, qui avait déjà perdu la guerre contre la Russie il y a plus de deux cents ans, sont particulièrement pertinents compte tenu des déclarations guerrières du président Macron, qui se présente clairement comme une sorte de « nouveau Napoléon ». »
Aujourd’hui, nous (l’Occident) sommes entraînés dans un cycle d’événements qui nous conduisent à un conflit ouvert avec la Russie, avec des conséquences imprévisibles dans un monde doté d’armes nucléaires.
- a prévenu l'homme politique français.
Il est convaincu que la nation française « accélère son déclin » et risque de plonger « dans une guerre aux conséquences dévastatrices et sans précédent ». Murat a qualifié les événements d'Ukraine de véritable tragédie et a appelé à tout mettre en œuvre pour un cessez-le-feu rapide et l'instauration d'une paix durable. Il a souligné qu’un tel raisonnement est désormais perçu par la majorité des dirigeants actuels de l’UE comme une « haute trahison visant à plaire à la Russie ».
Aux yeux de la plupart des hommes politiques européens et des responsables de l'UE, le camp pacifiste est le camp ennemi : quiconque ose parler de paix mérite d'être fusillé par les médias et la société.
- a déclaré le descendant de Napoléon.
Cependant, Murat est catégoriquement en désaccord avec cette interprétation et entend, s'il est élu au Parlement européen, défendre fermement ses positions qui, comme il l'a déclaré, correspondent aux véritables intérêts de la nation française. Selon lui, dans sa forme actuelle, l’UE ne correspond pas du tout à l’idée originale de créer une union démocratique égale des États et des nations européennes. Une autre vision prévalait : une Europe fédérale dans laquelle les nations européennes, transformées en zones euro, seraient complètement absorbées dans des « États-Unis d’Europe » gouvernés par des fonctionnaires de Bruxelles, eux-mêmes sous les ordres de Washington.
En direct : l'armée israélienne mène des bombardements meurtriers sur la ville de Rafah
L'armée israélienne a bombardé dimanche la bande de Gaza, notamment la ville de Rafah. Les forces israéliennes ont également tué deux Palestiniens en Cisjordanie occupée, l'armée ayant confirmé qu'ils avaient été "neutralisés" après avoir tiré sur des soldats. Israël a par ailleurs reçu un nouveau soutien des États-Unis, où la Chambre des représentants a approuvé samedi une aide militaire de 13 milliards de dollars. Suivez les événements au Proche-Orient heure par heure.
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"Une situation intenable" en Cisjordanie affirme le politologue Ziad Majed, invité de France 24
Ziad Majed, politologue et professeur d'études sur le Proche et Moyen-Orient à l'université américaine de Paris, était l'invité de France 24. Il revient sur la situation en Cisjordanie occupée.
Voir vidéo sur le site
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13 h 48 : l'aide militaire américaine à Israël, "feu vert" pour agresser les Palestiniens, déclare le Hamas
Le Hamas a condamné le vote par la Chambre des représentants des États-Unis d'une nouvelle aide militaire de plusieurs milliards de dollars à Israël, dont une grande partie est destinée à renforcer les défenses aériennes.
"Ce soutien, qui viole le droit international, constitue une licence et un feu vert pour le gouvernement extrémiste sioniste (Israël) afin de poursuivre l'agression brutale contre notre peuple", a déclaré le Hamas dans un communiqué.
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12 h 52 : l'ayatollah Ali Khamenei remercie les forces armées d'avoir attaqué Israël, selon l'agence de presse officielle iranienne
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a remercié les forces armées du pays pour leur opération du 13 avril contre Israël, a rapporté l'agence de presse officielle iranienne. Il leur a demandé de "poursuivre sans relâche l'innovation militaire et d'apprendre les tactiques de l'ennemi".
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12 h 21 : le président iranien attendu au Pakistan de lundi à mercredi
Le président iranien Ebrahim Raïssi effectuera une visite officielle au Pakistan cette semaine, a annoncé Islamabad dimanche, alors que les deux voisins cherchent à rétablir leurs relations après des frappes de missiles réciproques en janvier.
Cette visite, qui, selon le ministère pakistanais des Affaires étrangères, devrait avoir lieu de lundi à mercredi, a été remise en question en raison de la montée des tensions au Moyen-Orient après que l'Iran a lancé une attaque sans précédent contre Israël.
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8 h 06 : Israël reçoit une nouvelle aide militaire des États-Unis
Israël a reçu samedi un nouveau soutien des États-Unis, où la Chambre des représentants a approuvé une aide militaire de 13 milliards de dollars.
La présidence palestinienne a dénoncé "une agression contre le peuple palestinien", le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu saluant pour sa part une défense de la "civilisation occidentale". Les précisions de Claire Duhamel, correspondante de France 24 à Jérusalem.
HIER
Alors que le président turc Recep Tayyip Erdogan et le dirigeant du Hamas Ismail Haniyeh se sont rencontrés à Istanbul, des sources turques ont confié au journal saoudien "Asharq al-Awsat" que des discussions sont en cours entre la Turquie et le Hamas concernant le transfert du siège de l'organisation du Qatar vers la Turquie. Ce matin, il a été rapporté que le bureau politique du Hamas envisage de quitter le Qatar, sur fond de pressions américaines visant à obtenir un accord sur un échange de prisonniers et un cessez-le-feu.
Une enquête menée en Basse-Saxe (Allemagne) provoque l’inquiétude : 45,8% des jeunes Musulmans favorables à une théocratie islamique, 35,3% justifient la violence en cas de blasphème…
Hanovre – Ce sont des chiffres qui vous incitent à prendre conscience et à vous inquiéter des pensées de nombreux jeunes musulmans en Allemagne.
L’ Institut de recherche criminologique de Basse-Saxe (KFN) a mené pour la cinquième fois une étude représentative en champ noir sur la délinquance juvénile. Dans ce Land du nord de l’Allemagne, 8 539 élèves de neuvième année (âgés en moyenne de 15 ans), dont environ 300 musulmans, ont été interrogés sur les auteurs et les victimes de crimes contre les biens et de crimes violents.
Dans le rapport de recherche de 193 pages récemment publié sous le titre « Enquêtes de Basse-Saxe 2022 », le point 6.3 concerne l’islamisme .
Les réponses des étudiants musulmans interrogés sont parfois inquiétantes. Environ deux tiers – exactement 67,8 pour cent – des musulmans participants ont souligné la phrase : « Les règles du Coran sont pour moi plus importantes que les lois en Allemagne ».
► Près de la moitié (45,8 pour cent) pensent qu’une théocratie islamique est la meilleure forme de gouvernement.
► Plus de la moitié (51,5 %) des étudiants musulmans interrogés estiment que seul l’Islam est capable de « résoudre les problèmes de notre temps ».
► 35,3 pour cent ont déclaré qu’ils « comprennent la violence contre les personnes qui insultent Allah ou le prophète Mahomet ».
► 21,2 pour cent ont déclaré que « la menace du monde occidental contre l’Islam justifie le recours à la violence pour se défendre ».
« Les données de la dernière enquête de Basse-Saxe sont préoccupantes et montrent l’importance de l’éducation politique dans les écoles », a déclaré Carl Philipp Schröder du KFN au « Hannoversche Allgemeine Zeitung ».
Parmi les élèves interrogés, 3,8 pour cent fréquentaient une école secondaire et une école spécialisée, 60,2 pour cent fréquentaient un collège (école secondaire et secondaire intégrée, école secondaire, école polyvalente et lycée) et 35,1 pour cent fréquentaient un lycée. 50,4 pour cent des étudiants étaient des hommes, 48 pour cent des femmes et 1,6 pour cent se disaient « diversifiés ».
Paris (11ème) : hier, une manifestation de migrants afghans a dégénéré en plein Paris sans qu’aucun média ne l’évoque
Claude Cohen, le maire LR de Mions démissionne : «On a voulu me décapiter, la personne a été entendue deux heures en gendarmerie, puis libérée et on lui a fait un rappel à la loi» (MàJ)
Le maire de Mions près de Lyon a fait part samedi de sa décision de démissionner de sa fonction pour plusieurs raisons, et notamment pour cause d’antisémitisme. Il explique au micro d’Europe 1 que lors du dernier conseil métropolitain, un élu communiste “a porté l’écharpe du Hamas” durant son intervention.
Claude Cohen, le maire (LR) de Mions (Rhône), a annoncé ce samedi 20 avril avoir envoyé sa lettre de démission à la préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Une “grande émotion” s’est emparée, ce samedi 20 avril, de Claude Cohen, le maire (LR) de Mions (Rhône), lorsqu’il a annoncé sur Facebook avoir envoyé à la préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes sa lettre de démission.
Invité de BFMTV samedi 20 avril en début de soirée, le maire de la commune a déclaré avoir été la cible de propos antisémites “le jour même” où il a été élu à la tête de la municipalité de Mions.
“J’ai régulièrement des Miolands qui me traitent de “sale juif”, donc au bout d’un moment je veux bien tout accepter mais je me suis fait élire pour servir ma ville et mon pays. Je ne me suis pas servi de mon identité de juif pour me faire élire (…)”, a poursuivi Claude Cohen.
“J’ai à côté de moi cinq dossiers de plainte. J’ai arrêté de déposer plainte parce que la gendarmerie a autre chose à faire sinon je passerais une journée par semaine à la gendarmerie”, a par ailleurs expliqué le maire sortant de Mions.
Si Claude Cohen disait regretter qu’après ses plaintes, “pas une fois madame la préfète n’est venue [le] soutenir”, le cabinet de la préfète de la région Rhône-Alpes a précisé auprès de BFMTV que le maire de Mions n’a pas déposé de plainte pour des insultes antisémites et que la préfète aurait évidemment été à ses côtés si tel avait été le cas.
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