A Bruxelles, les Belges ne sont plus qu’une petite minorité.
Politiquement correcte, on l’appelle “diversité”, mais moins correctement, on l’appelle “colonisation”. A Bruxelles-Ville, où les chiffres du coronavirus montent en flèche, près de 80% de la population a une origine étrangère.
C’est la première fois que Statbel, l’agence belge des statistiques, cartographie ainsi l’origine de la population belge. Le recensement a été fait non seulement en comptant les nationalités actuelles, mais aussi celles des parents. Si la première nationalité – avec laquelle vous ou au moins un de vos parents avez été inscrit au registre national – n’était pas belge, vous n’étiez pas considéré comme “Belge belge”.
Il y a dix ans, 74,9 % des habitants de toute la Belgique étaient encore des “Belges belges”. Aujourd’hui, c’est 67,9 %. (…)
Traduction de l’article Pmagazine.be
Au 1er janvier 2020, la population du royaume se composait à 67,9% de Belges d’origine belge, à 19,7% de Belges d’origine étrangère (c’est-à-dire les Belges ayant un ou deux parents de nationalité étrangère ou les Belges dont la première nationalité enregistrée est étrangère) et donc à 12,4% de non-Belges. Cela représente respectivement 7.806.078, 2.259.912 et 1.426.651 habitants.
La diversité d’origine au sein de la population vivant en Belgique est en augmentation car il y a 10 ans, en 2010, la part de Belges d’origine belge était de 74,3%, celle des Belges d’origine étrangère de 15,5% et celle des non-Belges de 10,2%.
(…) La part de Belges d’origine belge augmente par ailleurs avec l’âge. En Belgique, elle atteint 54,3% chez les 0-17 ans, 66,3% chez les 18-64 ans et 87,3% chez les plus de 65 ans.
Note ; après on vous affirme que "le grand remplacement est une théorie complotiste d'extrême droite, raciste et xénophobe" ! ! ! (voir Wikipédia)
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