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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 13 avril 2018

 

 Actualité a suivre ...

 

Si des frappes françaises étaient décidées en Syrie, vous ne le saurez pas

 

Au lendemain de l’annonce par Emmanuel Macron d’éventuelles frappes françaises en Syrie, le délégué général de La République en Marche, Christophe Castaner, a annoncé qu’elles ne seraient pas rendues publiques si elles étaient planifiées.

«Si les frappes [contre la Syrie] sont décidées, je ne vous le dirai pas, le président de la République ne vous le dira pas», a déclaré Christophe Castaner, lors de son passage, le 13 avril, dans l’émission Bourdin Direct sur BFMTV.

Le délégué général de La République en Marche (LREM) a expliqué qu’une telle opération ne pouvait être annoncée publiquement à l'avance car cela risquerait, entre autres, de mettre en danger la vie des militaires français. «On informera l’Assemblée et le Sénat le moment venu, mais il est important que cela relève du secret car c’est aussi la protection des intérêts de la France qui est en jeu», a-t-il conclu.

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Note: entrer en guerre en Syrie mettra en danger la population de la France entière , en ont-ils conscience !

 

 

La Défense russe fournit les preuves de la mise en scène de l'attaque présumée à Douma

 

La vidéo de l'attaque chimique présumée à Douma a été filmée dans un hôpital local, a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense.

Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense, a fait savoir qu'on a retrouvé les participants au tournage de la vidéo de l'attaque chimique présumée dans la ville syrienne de Douma et qu'on les a interrogés.

D'après les dires du porte-parole de la Défense russe, les «victimes» de l'attaque présumée à Douma n'avaient pas de traces de l'attaque par produits chimiques toxiques. Ils ont confié au ministère russe de la Défense le déroulé du tournage de cette vidéo.

Détails à suivre sur sputniknews

Note : quel va être la réaction  des médias et des politiques français ?

 

La Défense russe dit avoir des preuves de l’implication UK dans la provocation à Douma

 

Le ministre russe de la Défense a des preuves que le Royaume-Uni a participé directement à la provocation dans la Ghouta orientale en Syrie, a déclaré son porte-parole, Igor Konachenkov.

Londres a pris part à l’organisation de la provocation utilisant une prétendue attaque chimique dans la ville syrienne de Douma, a déclaré ce vendredi le porte-parole du ministre russe de la Défense, Igor Konachenkov.

«Aujourd’hui le ministère russe de la Défense dispose d’autres preuves qui confirment que le Royaume-Uni a participé directement à l’organisation de cette provocation dans la Ghouta orientale», a indiqué M.Konachenkov.

Le porte-parole de la Défense russe a ajouté que Londres avait exercé des pressions sur les représentants des «Casques blancs» pour mener à bien une provocation en Syrie.

«Nous savons que du 3 au 6 avril les représentants des soi-disant "Casques blancs" ont fait face à une forte pression imposée notamment par Londres pour effectuer au plus vite une provocation préparée à l’avance», a souligné Igor Konachenkov.

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La Russie appelle l’Occident à ne pas faire «glisser le monde vers une ligne dangereuse»

 

La Russie exhorte les États-Unis et ses alliés à se raviser et à ne pas entraîner le monde vers le gouffre, a déclaré le représentant permanent de la Russie à l’Onu Vassili Nebenzia.

La Russie appelle Washington et ses alliés à redonner un cadre légal à la situation qui s'est nouée autour de la Syrie et à ne pas pousser le monde vers un point de non retour, a déclaré vendredi le représentant permanent de la Russie auprès de l’Onu, Vassili Nebenzia.

«Nous exhortons les dirigeants de ces pays à se raviser sans attendre, à revenir dans le champ du droit international et à ne pas pousser le monde vers une ligne dangereuse», a-t-il déclaré lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies consacrée à la Syrie.

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Syrie. La mise en garde de Vladimir Poutine à Emmanuel Macron

 

Le président russe a mis en garde, ce vendredi 13 avril, son homologue français contre tout « acte irréfléchi et dangereux » en Syrie, qui pourrait avoir des « conséquences imprévisibles », après des menaces de riposte militaire des Occidentaux à une attaque chimique présumée à Douma.

Vladimir Poutine fronce les sourcils. « Il est essentiel d’éviter toute action irréfléchie et dangereuse qui serait une violation flagrante de la Charte des Nations unies et qui aurait des conséquences imprévisibles », a déclaré, ce vendredi, le Kremlin dans un communiqué à la suite d’un entretien téléphonique entre le président russe et son homologue français Emmanuel Macron. « Vladimir Poutine a mis l’accent sur la nécessité de mener une enquête poussée et objective jusqu’à la conclusion de laquelle il serait judicieux de s’abstenir de toute accusation à l’encontre de qui que ce soit », a poursuivi le pouvoir russe.

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Lire aussi: Sur fond de tensions en Syrie, Macron et Poutine s’entretiennent au téléphone

 

 

Syrie: pendant que la France déclare avoir les preuves de l’attaque chimique par Bachar el-Assad, les Etats-Unis déclarent encore les chercher

 

James Mattis, secrétaire américain à la Défense, reconnaissant jeudi matin devant le Congrès qu’il n’a pas de preuve que Bachar el Assad ait effectué une attaque chimique

Le calendrier a été modifié pour la décision de sanction de la Syrie pour une attaque présumée à l’aide d’armes chimiques. Le président Trump a tweeté jeudi qu’une attaque « pourrait être très bientôt ou pas si tôt du tout ».

Le secrétaire à la Défense, James Mattis, a quitté la Maison-Blanche jeudi en fin d’après-midi après avoir informé le président sur les options d’une frappe militaire contre la Syrie. Mais peu de temps après, la Maison Blanche a dit qu’aucune décision finale n’a été prise. Il s’agissait d’un changement marqué par rapport à lundi, alors qu’une décision semblait imminente.

Les services de renseignements américains estiment que 42 personnes sont mortes au cours de l’attaque du week-end, la plupart d’entre elles présentant des symptômes compatibles avec le chlore gazeux, les autres présentant des symptômes plus compatibles avec l’exposition à un agent neurotoxique.

Le président de la France a catégoriquement dit que « nous avons la preuve que la semaine dernière, les armes chimiques, au moins le chlore, ont été utilisées par le régime de Bachar el-Assad ». Un porte-parole du premier ministre britannique a déclaré que son cabinet a convenu qu’il était  » très probable  » que le régime était responsable.

Mais témoignant devant le Congrès jeudi matin, le secrétaire à la Défense James Mattis semblait plus prudent.

« Je crois qu’il y a eu une attaque chimique et nous cherchons des preuves réelles », a dit Mattis.

(…)

CBS News

 

Note: encore une preuve de la malhonnêteté de leurs accusations

Syrie: l'Occident hésite à frapper face aux menaces russes de "guerre"

 

Les Occidentaux continuent d'étudier leurs options militaires pour punir le régime syrien qu'ils accusent d'avoir perpétré l'attaque chimique présumée de Douma, soucieux d'éviter une escalade avec la Russie qui brandit la menace d'une "guerre" en cas de frappes.

Le Conseil de sécurité des nations unies devait de nouveau se réunir vendredi à la demande de Moscou. Le le président américain Donald Trump n'avait pas encore pris de "décision finale" jeudi quant au déclenchement de frappes pour punir Damas, selon sa porte-parole.

"La priorité est d'éviter le danger d'une guerre" entre les Etats-Unis et la Russie, a affirmé jeudi l'ambassadeur russe à l'ONU, Vassily Nebenzia. Moscou, allié du président syrien Bachar al-Assad, maintient des troupes en Syrie.

"Nous cherchons à arrêter le massacre d'innocents", a de son côté expliqué jeudi le ministre américain de la Défense Jim Mattis, en évoquant devant le Congrès la perspective de frappes imminentes de la part des Américains, des Français et peut-être des Britanniques.

Toutefois, "sur un plan stratégique, la question est de savoir comment nous évitons une escalade hors de contrôle, si vous voyez ce que je veux dire", a-t-il ajouté, laissant transparaître des réticences à frapper. 

Le président américain a poursuivi jeudi soir les discussions avec ses alliés, semblant temporiser après avoir annoncé à plusieurs reprises en début de semaine des frappes contre le régime de Damas.

Dans la soirée, un porte-parole de Downing Street a confirmé que M. Trump et Mme May s'étaient entretenus au téléphone.

"Ils se sont mis d'accord sur le fait qu'il était vital de ne pas laisser l'usage d'armes chimiques sans réponse, et sur la nécessité de prévenir un nouvel usage d'armes chimiques de la part du régime Assad", a-t-il annoncé.

Londres prudent

Mais Londres reste prudent sur sa participation à d'éventuelles représailles militaires, préférant s'en remettre à la "coordination d'une réponse internationale" sur une question qui divise profondément l'opinion et la classe politique du Royaume-Uni.

Jeudi, le président français Emmanuel Macron est lui aussi resté évasif sur le calendrier d'une éventuelle intervention militaire, tout en assurant avoir "la preuve" de l'implication du régime de Bachar al-Assad dans l'attaque chimique présumée qui a fait 40 morts selon des ONG locales le 7 avril à Douma, aux portes de Damas.

La chancelière allemande Angela Merkel a elle jugé "évident" que le régime syrien disposait encore d'un arsenal chimique, tout en soulignant que Berlin ne participerait pas à des actions militaires contre Damas.

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Notes: est-ce qu'ils ont bien conscience des mots qu'ils emploient ! il est donc pour eux vital, de se lancer dans une Troisième guerre mondiale, pour ne pas perdre la face !
Ils n'ont par contre par peur de perdre la face en vendant des armes aux Saoudiens, pour qu'ils fassent la guerre au Yémen ! (alors que la vente d'armes est interdite)

France vente d'arme: 20/03/2017

"François Hollande a autorisé la vente à Riyad de 455 millions d'euros d'armes, dont une grande partie pourrait être destinée à la guerre au Yémen."

(..)

 D'un côté, le ministère des Affaires étrangères et Matignon y étaient réticents, arguant que ces matériels étaient destinés à la guerre au Yémen. De l'autre, le ministère de la Défense estimait que l'allié saoudien devait être soutenu sans restriction. Il a finalement obtenu gain de cause.

(..)

Amnesty International, dénoncent les livraisons d'armes dans cette région du monde et  accusent les États-Unis et le Royaume-Uni, et dans une moindre mesure la France, de fournir des armes à la coalition.  Mais ces grands exportateurs d'armes agissent sous le couvert de la résolution 2216 du Conseil de sécurité de l'ONU , qui prévoit un embargo sur les armes destinées aux houtis, mais pas sur celles de la coalition.

(..)

Rappelons qu'en France les exportations d'armements sont interdites. Pour qu'elles se produisent, une dérogation est nécessaire. Elle est accordée, ou pas, par le Premier ministre Bernard Cazeneuve...

Lire la suite sur Le Point

 

 

Royaume-Uni: 10.07.2017

"La justice britannique estime légales les ventes d’armes de Londres à l’Arabie saoudite"

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"La réglementation tant britannique qu’européenne interdit la délivrance de licences d’exportation d’armes s’il existe un « risque avéré » que ces équipements puissent être utilisés en contravention avec la législation humanitaire internationale. La CAAT estime que les ventes britanniques de bombes et d’avions de chasse à l’Arabie saoudite contreviennent à cette interdiction.

(..)

Amnesty International a, de son côté, qualifié cette décision de « coup mortel porté aux civils yéménites », tandis que Save The Children a déclaré que les preuves contre les marchands d’armes étaient « accablantes ».

*Le Royaume-Uni vend des avions de combat Typhoon et Tornado ainsi que des bombes à guidage de précision à l’Arabie saoudite,* qui ont rapporté plus de trois milliards de livres (3,39 milliards d’euros) depuis deux ans.

L’an dernier à Westminster, la commission parlementaire sur le contrôle des exportations d’armes a recommandé la suspension des ventes à l’Arabie saoudite en attendant les conclusions d’une enquête internationale indépendante. Mais la commission des affaires étrangères, elle, a fait dépendre la poursuite de ces exportations   à la décision judiciaire dans le dossier soulevé par le CAAT (Campagne contre le commerce des armes).

En savoir plus sur Le Monde

 

Je ne suis pas spécialement pro-Yémen, ou pro-Assad, mais il faudrait que les politiciens européens arrêtent un jour toute leurs hypocrisies. Ils vendent la mort, et veulent après donné des leçons d’humanisme aux autres

 

 

 

Nouvelle journée de violences à la frontière entre Israël et Gaza

Note:  comme tous les vendredis!

 

 

Moscou détient des «preuves irréfutables» de la mise en scène de l'attaque chimique de la Ghouta

 

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a accusé les services spéciaux d'un Etat «en première ligne dans la campagne russophobe» d'être impliqués dans la mise en scène de l'attaque chimique présumée dans la Ghouta.

«Nous avons des preuves irréfutables qu'il s'agissait d'une autre mise en scène, et que les services spéciaux d'un Etat qui est en première ligne de la campagne russophobe ont participé à la mise en scène», a déclaré Sergueï Lavrov lors d'une conférence de presse avec son homologue hollandais Stef Blok, le 13 avril.

Le chef de la diplomatie russe a ainsi adressé un message fort aux occidentaux, qui envisagent depuis plusieurs jours de «riposter» à l'attaque chimique présumée dans la Ghouta, qu'ils attribuent au gouvernement syrien. Des menaces et ultimatums qui créent une atmosphère «très alarmante» autour de la Syrie, selon Sergueï Lavrov, qui a réitéré que les canaux de communication avec les Etats-Unis étaient actifs.

«Dieu nous garde d'une nouvelle aventure à la libyenne», a en outre lancé le diplomate en référence aux conséquences désastreuses de l'intervention occidentale dans la Libye de Mouammar Kadhafi. Le ministre des Affaires étrangères russe a d'ailleurs noté que la plus petite erreur de calcul en Syrie pourrait mener à une nouvelle vague de migrants, comme se fut le cas après la guerre en Libye.

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Avec un Macron «inexpérimenté»: un général met en garde contre la guerre avec Moscou

 
Harald Kujat (archives photo)

Le monde est au seuil d’une «guerre chaude» entre deux puissances nucléaires qui peut avoir «un impact négatif important» pour la sécurité des Européens, mais aucun dirigeant actuel, ni le Président Macron ni la chancelière Merkel, n’est en mesure de l’éviter, a déclaré jeudi le général à la retraite Harald Kujat, ancien chef d’état-major de la Bundeswehr dans une interview. 

«Nous avons un Président français inexpérimenté impliqué dans l’escalade, une Première ministre britannique sous forte pression intérieure et un Président américain erratique qui menace la superpuissance stratégique nucléaire qu’est la Russie, mais aussi annonce une attaque», a indiqué Harald Kujat.

Emmanuel Macron
Selon le général, l’état actuel des relations internationales n’a rien à avoir avec la période de la Guerre froide. Il rappelle plutôt la situation avant la Première guerre mondiale «où les forces ont aussi glissé dans la guerre comme des somnambules».

«Même aujourd'hui, nos hommes politiques sont clairement incapables d’évaluer correctement les conséquences sécuritaires et stratégiques d’un conflit potentiel et les répercussions qu'il aura pour notre sécurité», a noté M.Kujat.

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Note: la France est gouvernée par un ado capricieux et arrogant, qui a été mis au pouvoir par les médias, cela ne peut nous mener qu'a un désastre

 

 

 

Les USA dépêchent leurs avions de reconnaissance près des bases russes en Syrie

 

Sur fond de tensions autour de la Syrie, la Marine américaine a décidé d'envoyer sept avions de reconnaissance près des bases russes situées dans ce pays.

Sept avions militaires américains ont mené des missions de reconnaissance dans la Méditerranée est, près des côtes syriennes, où sont situées la base aérienne russe de Hmeimim et la base navale de Tartous, atteste Mil Radar.

Il s'agit de six avions de la Marine US P-8A Poseidon qui ont décollé depuis la base aérienne de Sigonella en Sicile et d'un avion de reconnaissance radioélectronique EP-3E Aries II, envoyé depuis une base située en Crète.

Auparavant, la chaîne télévisée CNBC, en se référant à une source bien informée, avait annoncé que les États-Unis avaient choisi pour cibles huit sites en Syrie, dont deux aérodromes militaires, un centre de recherches et une entreprise fabriquant prétendument des armes chimiques.

Le groupe naval de l'US Navy conduit par le porte-avions USS Harry S.Truman a quitté jeudi la base de Norfolk, en Virginie, avant de mettre le cap sur la Méditerranée. Selon la Marine, le groupe, qui comprend en outre un croiseur lance-missiles et quatre destroyers, mènera une mission de patrouille au Proche-Orient.

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Le Pentagone met en garde contre un «conflit entre la Russie, l’Iran et l’Occident»

 

À huis clos, le secrétaire d'État américain à la Défense, James Mattis, a mis en garde contre une frappe sur la Syrie et a appelé à recueillir «plus de preuves confirmant le rôle de Bachar el-Assad dans l’attaque chimique présumée», relate The New York Times.

Le secrétaire d'État américain à la Défense, James Mattis, a demandé jeudi de «retarder» la frappe envisagée par Washington et ses alliés en Syrie, rapporte The New York Times en citant une source officielle à la Maison-Blanche. Expliquant sa demande, le responsable militaire américain a mis en garde contre l'escalade vers un «plus large conflit entre la Russie, l'Iran et l'Occident» que pourrait déclencher le bombardement.

«Lors d'une réunion à huis clos tenue à la Maison-Blanche, ont indiqué des officiels, M.Mattis a réclamé plus de preuves concernant le rôle du Président Bachar el-Assad dans l'attaque chimique présumée du week-end dernier», relate le média avant d'ajouter que les preuves en question «assureront au monde qu'une action militaire était nécessaire».

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Syrie : la "priorité est d'éviter" un conflit, selon l'ambassadeur russe à l'ONU

 

Donald Trump avait averti mercredi 11 avril la Russie que des missiles seraient lancés sur la Syrie après l'attaque chimique présumée imputée au régime syrien.

"La priorité est d'éviter le danger d'une guerre", a affirmé jeudi 12 avril l'ambassadeur russe à l'ONU, Vassily Nebenzia, à l'issue d'une réunion à huis clos des quinze membres du Conseil de sécurité consacrée à la Syrie. 
La tension diplomatique est à son comble entre les États-Unis et la Russie. Elle était notamment montée d'un cran lorsque le président américain, Donald Trump, avait annoncé mercredi 11 avril que des missiles seraient lancés sur la Syrie après l'attaque chimique présumée imputée au régime syrien, allié de la Russie. Interrogé pour savoir si ce pourrait être une guerre entre les États-Unis et la Russie, le diplomate russe a répondu : "Nous ne pouvons exclure aucune possibilité"


La proposition suédoise d'une résolution pour une mission de désarmement chimique en Syrie n'a pas été abordée au cours de la réunion. Selon des sources diplomatiques, cette proposition est notamment rejetée par les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et les Pays-Bas car elle n'impose pas la création d'un mécanisme d'enquête sur les attaques chimiques présumées samedi à Douma.

La Russie demande une réunion publique du Conseil de sécurité sur la Syrie

Le sujet de la réunion, c'était "la politique agressive de certains membres du Conseil", a déclaré Vassily Nebenzia. "Les menaces sont une violation de la Charte des Nations-Unies", a-t-il ajouté, estimant qu'une intervention militaire occidentale serait "très dangereuse car nos militaires sont là-bas". Le diplomate russe a également indiqué que la Russie avait demandé une réunion publique du Conseil de sécurité sur la Syrie vendredi 13 avril avec le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.  

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Syrie : le gouvernement britannique juge « nécessaire de prendre des mesures »

 

Pour empêcher l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, le gouvernement britannique a dit s'en remettre à la « coordination d'une réponse internationale ».

Le gouvernement britannique a jugé « nécessaire de prendre des mesures » contre l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, mais s'en est remis à la « coordination d'une réponse internationale » lors d'une réunion d'urgence ce jeudi 12 avril. « Le gouvernement est convenu qu'il était nécessaire de prendre des mesures pour empêcher l'utilisation d'armes chimiques par le régime d'Assad », a déclaré un porte-parole dans un communiqué. L'exécutif a souligné que la Première ministre Theresa May devait « continuer à travailler avec les alliés, les États-Unis et la France, pour coordonner une réponse internationale ».

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Navires de guerre russes disparus de Tartous: il n’y a qu’une seule explication

 

Des députés à la Douma (chambre basse du parlement russe) ont expliqué jeudi la disparition mystérieuse des navires militaires russes qui se trouvaient jusqu’à très récemment dans la base navale russe en Syrie.

Les bâtiments de guerre russes déployés à Tartous, en Syrie, ont pris le large pour des raisons de sécurité, a déclaré jeudi Vladimir Chamanov, chef du comité pour la défense de la Douma (chambre basse du parlement russe).

«C’est normal. Quand il y a une menace d’attaque, les navires amarrés aux quais de manière compacte se rendent dans la zone des manœuvres rapprochées pour éviter la destruction de plusieurs navires avec une seule munition», a indiqué le parlementaire.

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Que ferait la Russie si les USA frappaient la Syrie? Les médias US ont leur idée

 

Des journalistes du magazine américain The Drive se sont exercés à l’art de la conjecture en livrant aux lecteurs leurs présomptions au sujet d’éventuelles représailles de la Russie en cas d’une frappe US contre la Syrie.

Des suppositions au sujet d'une éventuelle réaction de Moscou au cas où les États-Unis lanceraient une frappe contre la Syrie ont été formulées par des reporters américains.

Ainsi, ils sont certains que Moscou ne veut pas de conflit militaire avec les États-Unis à cause de Damas. Ils estiment également peu probable que les militaires russes se mettent à couler les navires américains avec des centaines de personnes à bord. Car le conflit se déplacera alors en mer et Moscou ne veut pas, selon eux, de tels développements.

Pour ces journalistes de The Drive, la Russie ripostera sans doute à une frappe US par une attaque contre les positions des forces hostiles au Président syrien Bachar al-Assad, soutenues par Washington.

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Note; malheureusement si les Américains refusent de laissé tombé leurs ambitions sur la Syrie, la guerre sera inévitable (je dis cela depuis bien 7 ans)

Il faut bien comprendre qu'en Syrie,  il a d’énormes enjeux économique

*La guerre en Syrie : une guerre pour l’énergie ?* 18/09/2013
Même si les très importantes ressources gazières syriennes n’ont plus la même importance aujourd’hui qu’il y a douze ans, lorsque la guerre a été planifiée, *elles restent un enjeu invisible du conflit.* La Commission économique de la Coalition nationale a consacré ses principaux travaux à la répartition du gaz entre les alliés le « jour d’après »   *la chute programmée de l’État syrien. Cependant, celle-ci ne venant pas, les grandes puissances doivent revoir leur copie.*
(..)
En 2009, un projet appelé *Friendship Pipeline a été lancé par l’Iran, l’Irak et la Syrie, trois pays à gouvernance musulmane chiite* ou laïque. Le tube amènerait du gaz iranien à la Méditerranée, en vue d’alimenter l’Europe, mais en évitant le territoire turc. Ce projet, destiné à permettre à l’Iran d’écouler son stock en Europe, (voir lien Wikipédia)
(..)
En 2009 aussi, un autre projet a été lancé, un projet de pays sunnites et qui aurait reçu l’aval du Pentagone. Du gaz qatari serait livré en Europe, par un gazoduc qui partirait du Qatar, traverserait l’Arabie Saoudite puis la Syrie et enfin la Turquie. Au passage ce projet ressusciterait Nabucco,(voir lien Wikipédia) soutenu par les Turcs et les États-uniens, mais abandonné pour l’instant faute de fournisseurs de gaz fiables. *Bien entendu, ce projet du Qatar est irréalisable si l’administration de Bachar el-Assad n’est pas anéantie * et remplacée par un gouvernement docile. On comprend mieux ce qui peut pousser un certain nombre de pays à s’engager activement dans le soutien à l’opposition syrienne ...

Mème dans ses deux projets gaziers ont reconnais un conflit Sunnite, Chiite, mais aussi un conflit Iran - Israël
L'Arabie Saoudite pousse les occidentaux à faire la guerre, aux Iraniens et bien sur à
Bachar El Assad qui soutien largement l'Iran
L'Iran voulant détruire Israël,  Israël pousse aussi les occidentaux à faire la même chose

 

Dans cette vidéo de mars 2016, Alain juillet (ex DGSE) nous explique les vrais raisons de la guerre en Syrie

 

Sénat : Fin du mensonge d'Etat sur l'origine de la guerre en Syrie (mars 2016)

Note : par contre pour le journal Le Monde la guerre en Syrie n'a rien a voir avec les trois projets gaziers (voir lien) Pourtant il faut bien tenir en compte que l'Europe qui ne veut plus dépendre de la Russie pour son alimentation en gaz, est bien obligé à faire un choix entre un futur gaz sunnite ou chiite (vu les liens économiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar, on comprend que cela fait longtemps qu’ils ont déjà fait leur choix, et la Syrie rebelle reste un obstacle)

 

Un prétendu créateur du Novitchok: «il fallait être idiot pour utiliser cet agen

 

Le chimiste qui s’attribue la création de l’agent Novitchok, classifié par les Britanniques comme A-234, a révélé l’inconvénient de ce dernier. Selon lui, ce gaz est sensible à l’influence de l’eau ce qui le rend inutilisable dans les conditions météorologiques enregistrées à Salisbury le 4 mars, jour de l’empoisonnement des Skripal.

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lire aussi:Le Royaume-Uni présente ses excuses pour l’inspection de l'avion russe à Londres

 

 

Le Premier ministre israélien met en garde l’Iran à la veille de Yom HaShoah

 
12 avril 2018, 14:14

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, dans un discours sévère mercredi prononcé lors d’une cérémonie nationale à la veille de la Journée du souvenir de l’Holocauste, a averti l’Iran de ne pas tester la détermination d’Israël, affirmant que l’État juif réagirait à l’“agression” de Téhéran avec « fermeté ».

« Nous empêchons toute activité iranienne en Syrie. Ce ne sont pas que des mots », a affirmé Netanyahu.

« Notre politique peut se résumer en trois mots : ‘La fermeté envers toute agression’. La fermeté sur la défense, la fermeté sur la dissuasion, la fermeté contre quiconque menace de nous détruire », a-t-il ajouté.

Son avertissement est arrivé peu après que Téhéran a menacé de se venger d’une attaque aérienne mortelle lundi en Syrie qui a été attribuée à Israël

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Depuis le camp d’Auschwitz, Israël demande à Varsovie de tout dire sur la Shoah

 

Le président israélien Reuven Rivlin a évoqué jeudi un « profond désaccord » avec la Pologne à propos de l’histoire de l’Holocauste et demandé qu’elle assume son « étude complète », dans une allusion aux responsabilités de certains Polonais.

Il a tenu ces propos à Auschwitz, dans le sud de la Pologne, devant son homologue Andrzej Duda avec qui il devait participer à la Marche des Vivants, un événement éducatif organisé depuis 30 ans sur le site de l’ancien camp de la mort d’Auschwitz-Birkenau par Israël. Cet évènement a lieu lors de la journée de la Shoah, dédiée aux six millions de Juifs tués par les nazis allemands.

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Les États-Unis de retour dans l'accord de libre-échange transpacifique ?

 

Il s'était retiré du traité initial à son arrivée à la Maison-Blanche l'an passé, Donald Trump a indiqué jeudi qu'il envisageait finalement de rejoindre le nouvel accord de libre-échange transpacifique (TPP) à condition d'obtenir de meilleures conditions. « (Nous) allons rejoindre le TPP si l'accord est substantiellement meilleur par rapport à ce qui a été offert au président (Barack) Obama », a tweeté Donald Trump. « Nous avons déjà des accords BILATÉRAUX avec six des onze nations du TPP et travaillons pour parvenir à un accord avec la plus grande de ces nations, le Japon, qui nous a fait très mal sur le plan commercial pendant des années ! » a-t-il poursuivi.

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Syrie : Paris et Berlin s’inquiètent de nouvelles migrations en cas d’escalade du conflit

 

Emmanuel Macron et Angela Merkel se sont entretenus ce jeudi au sujet de la situation en Syrie. Les ministres français et allemand de l’Intérieur, Gérard Collomb et Horst Seehofer, ont dit jeudi à Paris leur inquiétude d’une intensification des migrations vers l’Europe en cas d’aggravation du conflit en Syrie.

 

Si aujourd’hui 92 députés d’extrême droite siègent au Bundestag c’est parce que ces problématiques ont créé une certaine difficulté dans l’opinion publique allemande », a-t-il assuré.

« Nous voudrions tous les deux que les conflits soient résolus d’une manière diplomatique et par le dialogue », a affirmé Horst Seehofer, interrogé sur la Syrie. Selon lui, «une continuation de cette spirale (de la violence) amplifierait le problème de la migration». […]

Le Soir

 

Allemagne : des enfants en uniforme dans une mosquée turque

 

Défilé d’enfants en uniforme dans la mosquée de Herford [Rhénanie-du-Nord-Westphalie]
[…]
L’évènement s’est produit dans une mosquée de l’Union turque islamique Ditib. Tim Ostermann, président de la CDU dans le district de Herford et ancien député au Bundestag, a reçu une vidéo sur ce défilé. Il y a quelques jours, il a demandé à la direction de la mosquée Ditib de prendre position. Mais il n’a, à la date d’aujourd’hui, reçu aucune réponse.

[…] On peut y voir des enfants parader et lancer des ordres militaires, vêtus d’uniformes et armes factices à la main.

La communauté islamique Ditib de Herford a déclaré jeudi (12.04.2018) qu’elle regrettait cet incident et « qu’elle ferait en sorte qu’une chose pareille ne se renouvelle pas ». […]

La représentation faite par les enfants se rapporte, aux dires de la communauté, à une victoire militaire [Bataille des Dardanelles] en relation avec Atatürk, fondateur de l’État turc.

Dans une prise de position faite par écrit, Tim Kähler, maire de Herford, s’est dit épouvanté par la vidéo. […] C’est « bouleversant et c’est bien loin de favoriser l’intégration ». […]

(Traduction Fdesouche)

WDR

 

Les Kurdes menacent de relâcher les djihadistes "français" de Daech : « L’Europe ne nous a pas aidés à Afrine, pourquoi on continuerait à s’occuper de vos prisonniers de Daech ? »

 

Les Kurdes détiennent une centaine de djihadistes français, capturés lors de l’offensive contre Daech. Ils ne veulent plus les gérer et menacent de les relâcher.

Dans le nord de la Syrie, alors que les grandes batailles contre l’État islamique sont terminées, des centaines de djihadistes étrangers sont toujours aux mains des forces kurdes dont la gouvernance n’a pas d’existence légale. Ils sont gardés dans des camps ou dans des prisons. Les djihadistes français sont environ une centaine dans cette partie de la Syrie. La France ne souhaite pas les rapatrier, mais les responsables kurdes ne veulent plus gérer ces prisonniers étrangers.

« Ils nous coûtent cher ». Les autorités kurdes disent avoir jugé environ 700 djihadistes, tous syriens. Ici, le système judiciaire n’est reconnu par personne, mais ce sont pourtant ses règles qui s’appliquent. Aucun étranger n’est encore passé devant ces tribunaux. « Nous attendons des consignes de leur gouvernement », indique Abdulbasset Ausso, l’un des dirigeants de cet appareil judiciaire. Au micro d’Europe 1, l’homme explique qu’il commence à s’impatienter. « Ça ne peut pas durer éternellement, nous n’avons pas assez de place. Et ils nous coûtent cher ! Leur nourriture, leurs soins… Il faut bien s’en occuper », dénonce-t-il. « Et si on les juge, certains de ces étrangers seront condamnés à un an de prison. Après cette année de prison, je les relâche où ? Ce sont vos citoyens, ils ont des passeports français. Il faut assumer », lâche-t-il, arguant que « la Russie, elle, a repris presque tous ses prisonniers, y compris ceux qui ont combattus ».

L’Europe ne nous a pas aidés à Afrine, pourquoi on continuerait à s’occuper de vos prisonniers de Daech ?  (…)

 

 

Strasbourg: l’assemblée générale étudiante vote l’exclusion de l’UNI des assemblées générales

 

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Parmi les propositions soumises au vote, il a été proposé, et voté, l’exclusion des membres du syndicat étudiant UNI (Union nationale inter-universitaire) des AG. Avant la réunion, les « étudiants en lutte » et les agents de sécurité les avaient déjà empêchés d’accéder à l’amphithéâtre. Les soutiens au blocage ont justifié cette mesure par la « perturbation des débats » lors des rassemblements précédents.

Les « étudiants en lutte » ont aussi reproché au syndicat étudiant de droite « des positions politiques homophobes, misogynes, et un rapprochement avec le Bastion Social lors de la levée des barricades dans la soirée de mardi ». Les membres de l’UNI, eux, nient tout rapport avec le groupuscule d’extrême-droite et se définissent « de centre-droit ».

Les étudiants ont aussi voté en faveur d’un combat conjoint avec les lycéens, ainsi que le retrait de la loi sur l’asile et l’immigration.(…)

Rue89 Strasbourg

 

Dubaï : une princesse tente de s’évader du pays avec l’aide d’un ex-agent de la DGSE pour fuir sa condition d’emprisonnée, la tentative échoue

 

S’estimant privée de liberté, la princesse émiratie Latifa Al Maktoum a tenté de fuir en yacht de Dubaï. Une évasion ratée organisée par un ex-espion français, Hervé Jaubert, qui témoigne pour Le Figaro.

C’est l’histoire extravagante d’une rencontre entre l’une des filles de l’émir de Dubaï, la princesse sheikha Latifa, un ex-agent secret de la DGSE reconverti en entrepreneur, Hervé Jaubert, et une professeure de fitness finlandaise, Tiina Jauhiaien.

L’affaire commence par une vidéo sur YouTube de 40 minutes postée le 9 mars dans laquelle la jeune femme âgée de 33 ans explique qu’elle est l’une des (nombreuses) filles de Mohammed Ben Rachid Al Maktoum, gouverneur de Dubaï, vice-président, Premier ministre et ministre de la Défense des Émirats Arabes Unis (EAU). Copie de Passeport et carte d’identité à l’appui, elle affirme que son père la détient contre son gré dans sa ville natale et déplore le fait d’être privée de liberté. Elle accuse également l’homme fort de Dubaï de divers crimes. (…)

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