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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 8 janvier 2020

 

 

 

 

Tensions Iran – USA EN DIRECT : « Aucun Américain tué dans les frappes iraniennes », affirme Donald Trump... De nouvelles sanctions pour l'Iran...

 

17h38 : « Les Etats-Unis sont prêts à s’ouvrir à la paix », conclut Donald Trump

17h34 : Trump annonce de nouvelles sanctions « immédiates » contre l’Iran

17h33 : Trump affirme que l’Iran « semble reculer » et s’en félicite

17h30 : « Nous n’allons jamais laisser l’Iran acquérir la bombe atomique », continue Trump

17h29 : « Aucun américain n’a été blessé ou tué par les frappes iraniennes », affirme Donald Trump

Aucune victime irakienne n'est à déplorer non plus, continue Trump, qui annonce quelques dégâts matériels mineurs.

DIRECT

 

 

 

Attaque iranienne contre des bases américaines en Irak : "On est dans une sorte de riposte graduée"

 

Le chercheur Thierry Coville, spécialiste de l'Iran, tire les premiers enseignements des frappes iraniennes en représailles à l'assassinat du général Qassem Soleimani.

 

Ces bombardements marquent-ils la fin d'un cycle de violences ou au contraire le début d'une nouvelle escalade ? Pour franceinfo, Thierry Coville, chercheur à l'Institut de relations internationales et stratégiques, spécialiste de l'Iran, tire les premières conclusions de ce nouvel épisode de tensions.

Franceinfo : Faut-il s'attendre à d'autres frappes iraniennes en représailles à la mort du général Soleimani ? 

Thierry Coville : Dans l'opinion publique iranienne, beaucoup de gens crient vengeance. Les autorités ont organisé énormément de cérémonies autour de l'enterrement du général Soleimani et la population a répondu massivement. Y compris parmi ceux très nombreux qui critiquent le régime. C'est le nationalisme iranien qui s'est exprimé et l'Iran joue sa crédibilité dans la région. Pour autant, je pense qu'il y a du côté des Iraniens une volonté de ne pas tomber dans l'escalade.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a dit sur Twitter : "On a donné notre réponse, c'est fini pour nous."

Et avant les frappes, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, avait déclaré : "On a treize scénarios. On a choisi le plus faible." [Voici sa déclaration exacte : "Les Américains doivent savoir que pour l'heure treize scénarios de vengeance ont été débattus au sein du conseil et même si le consensus se forme autour du scénario le plus faible, sa mise en œuvre pourra être un cauchemar historique pour tous les Américains."]

Selon la BBC Persian, il n'y a cependant pas eu de pertes américaines, car il y a eu un avertissement donné aux soldats américains avant les frappes pour qu'ils quittent leurs bases. Cet avertissement, s'il a bien eu lieu, est forcément venu d'Iran, parce que ce sont les Iraniens qui ont procédé aux frappes. Si les Iraniens ont envoyé cet avertissement, cela signifie qu'ils ne veulent pas la guerre. C'est un signal donné. On est dans une sorte de riposte graduée où ils veulent marquer le coup mais ils ne veulent pas complètement entrer dans une logique de guerre.

L'Iran ne peut de toute façon pas se permettre une guerre avec les Etats-Unis. On a pas mal de gens qui nous décrivent un régime suicidaire, irrationnel. Mais même les plus durs en Iran savent très bien qu'ils ne font pas le poids et qu'ils n'ont aucun intérêt à entrer dans un conflit ouvert avec les Etats-Unis.

 

Va-t-il y avoir une riposte américaine ? 

Les Américains ont quand même été surpris par ces frappes. Aucun des missiles n'a été intercepté. Mais si Donald Trump a publié ce message sur Twitter en disant "Tout va bien", c'est qu'il n'y a pas eu de pertes américaines. C'est un point-clé. Son tweet laisse aussi penser qu'il n'est pas dans une logique de vouloir répondre par d'autres bombardements, notamment en Iran, ce qui, à mon avis, serait le geste à ne pas faire.

Tout dépend maintenant de la réponse de Donald Trump. Pour lui, il y a énormément de paramètres en jeu : sa campagne de réélection, sa volonté de toujours avoir l'air le plus fort, de ne plus faire parler de la procédure de destitution, les durs autour de lui du parti républicain qui le poussent à ne pas avoir l'air faible.

Il faut reconnaître les difficultés qu'il pose. Il faut donc être très prudent. Mais je ne pense pas que Donald Trump veuille la guerre. Il a montré sa force en assassinant le général Soleimani.

Comment la désescalade peut-elle être amorcée ? 

S'il y avait des pertes américaines, on entrerait dans une logique de "Tu me frappes, je te frappe". Le casus belli serait des frappes américaines en Iran. A ce moment-là, les Iraniens seraient obligés de répondre, viseraient les bases militaires américaines dans la région et on entrerait dans un cycle infernal. Mais avec ce qui vient de se passer, on a l'impression que chacun a répondu à l'autre et que personne ne veut la guerre. S'il n'y a effectivement pas de pertes américaines, cela donne la possibilité aux deux pays de calmer le jeu.

On passe par des montagnes émotionnelles avec Donald Trump sur le dossier iranien. Après l'assassinat du général Soleimani, j'étais très pessimiste sur les possibilités de négociations entre l'Iran et les Etats-Unis. Mais on ne peut pas rester indéfiniment dans cette situation. Hier, le secrétaire d'Etat américain, Mike Pompeo, a d'ailleurs donné l'ordre à ses diplomates de ne plus rencontrer des opposants de la République islamique d'Iran pour ne pas perturber les chances d'une éventuelle négociation avec l'Iran. Tout espoir n'est donc pas perdu.

Source

 

 

 

Frappes contre les Etats-Unis en Irak : quand le Pentagone planchait sur "la puissance militaire de l'Iran"

 

Il n'aura fallu guère plus d'une demi-heure à l'Iran pour que 22 missiles s'abattent sur les bases d'Aïn al-Assad et Erbil. Une démonstration de force orchestrée par l'armée iranienne en représailles de l'assassinat, il y a moins d'une semaine, du général Qassem Soleimani. Mais aussi une initiative destinée à faire l'étalage de l'arsenal balistique iranien, le plus important du Moyen-Orient.

De l'aveu même du Pentagone, le dispositif de Téhéran dépasse celui d'Israël, son ennemi juré. C'est en tout cas ce que le Pentagone avait assuré fin novembre 2019. Dans un rapport intitulé "La puissance militaire de l'Iran", la Defense Intelligence Agency (DIA) avait dévoilé les contours d'un "vaste programme de développement de missiles". Téhéran "a le plus grand nombre de missiles du Moyen-Orient avec un large éventail de missiles de très courte portée, de missiles de courte portée et de missiles de portée intermédiaire qui peuvent frapper des cibles dans l'ensemble de la région, jusqu'à 2000 km de distance", avait fait savoir le Pentagone.

Source

 

 

 

 

Face à Trump, la « vengeance » mesurée de l’Iran

 

 

Des représailles et un avertissement à demi-mot. Après avoir envoyé dans la nuit une volée de missiles sur deux sites irakiens où sont stationnées des forces américaines, en faisant, selon les informations connues mercredi matin, des dégâts limités, la République islamique a déclaré, mercredi 8 janvier, avoir accompli sa riposte à l’assassinat, cinq jours plus tôt, du général Ghassem Soleimani dans une frappe américaine. La « vengeance » promise à laquelle le monde était suspendu s’est matérialisée sans qu’une escalade militaire de grande ampleur n’entraîne pour autant la région dans un cycle de destructions aux conséquences incalculables.

« L’Iran a pris et a mené à leur terme des mesures proportionnées d’autodéfense (…)  Nous ne cherchons ni l’escalade ni la guerre, mais nous nous défendrons contre toute agression », a ainsi déclaré, sur Twitter, le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif : une manière d’inviter l’adversaire américain à en rester là. Mercredi matin, le guide de la révolution, Ali Khamenei, a quant à lui qualifié l’attaque de « gifle au visage » de l’Amérique, se limitant à appeler une nouvelle fois au retrait des Etats-Unis de la région sans proférer plus de menaces de représailles militaires, « insuffisantes » selon lui. « Tout va bien ! », a de son côté tweeté le président Donald Trump, en exergue d’un message annonçant une déclaration présidentielle mercredi.

Aux alentours de 1 h 30, heure irakienne, les gardiens de la révolution iraniens, qui contrôlent l’arsenal de missiles de la République islamique, avaient annoncé dans un communiqué aux accents martiaux avoir lancé « des dizaines » de projectiles vers des bases américaines, baptisant leur opération du nom du « martyr » Ghassem Soleimani.

Pas de distinction

Pour faire bonne mesure, l’aile idéologique des forces armées iraniennes avait averti qu’elle ne ferait pas de distinction entre Israël et le « régime criminel des Etats-Unis » si des contre-mesures étaient engagées par Washington. Les Etats de la région abritant des installations militaires des Etats-Unis subiraient alors, selon le communiqué, un sort comparable. « Le temps est venu de tenir la vraie promesse », avaient inscrit les gardiens de la révolution en prélude de leur déclaration.

A Washington, le département de la défense n’a pour sa part pas tardé à confirmer, dans un premier communiqué, une double attaque de missiles ayant visé la base aérienne d’Aïn Al-Assad, dans l’ouest de l’Irak, où les forces américaines ont repris leurs quartiers en 2014, dans le cadre de la lutte contre l’organisation Etat islamique ainsi que près d’Erbil, la capitale du Kurdistan irakien. Sans qu’un bilan des dégâts humains et matériels n’ait été dévoilé à ce stade, la tension a rapidement baissé lorsqu’il est apparu évident que le président des Etats-Unis n’allait pas s’adresser formellement à la nation comme il l’aurait fait dans le contexte d’une crise majeure. Donald Trump, qui avait multiplié au cours des derniers jours, et depuis l’assassinat de Ghassem Soleimani, les imprécations les plus outrancières à l’égard de Téhéran, restait muet. 

Au cours des jours précédents, les autorités iraniennes avaient elles aussi multiplié les menaces lors des journées de deuil décrétées en hommage au général Soleimani. Alors que le corps de l’homme qui fut l’architecte de l’emprise iranienne dans toute la région était porté de ville en ville, soulevant des foules de millions de personnes criant vengeance et se ralliant pour un temps au moins autour du drapeau de la République islamique, les responsables militaires du régime avaient promis l’enfer aux forces américaines présentes au Moyen-Orient. Le ton n’avait, à cet égard, pas changé mercredi matin. Contre toute évidence, la télévision publique iranienne faisait ainsi état de 80 morts parmi les militaires américains dans les attaques de la nuit précédente.

Première attaque directe

Les éléments qui ont commencé à filtrer côté américain et irakien pointeraient toutefois vers des dégâts matériels de faible ampleur. D’après des responsables américains cités par l’agence Associated Press mercredi, les gardiens de la révolution auraient tiré en tout 15 missiles dont dix ont atteint la base d’Aïn Al-Assad, une des installations à Erbil, et quatre se sont montrés défectueux. Le commandement militaire irakien a pour sa part fait état de vingt-deux missiles tirés, dont cinq dans la province d’Erbil, et assuré qu’aucune victime n’était à déplorer parmi les forces irakiennes. Le ministre britannique des affaires étrangères, Dominic Raab, a toutefois fait part de l’inquiétude de Londres concernant des rapports faisant état de blessés à la suite des frappes.

Malgré sa portée militaire limitée, l’opération menée par les gardiens de la révolution iraniens est porteuse d’une charge symbolique forte. C’est en effet la première fois que la République s’attaque directement par des moyens conventionnels et en son nom propre à des installations militaires américaines. Toute la doctrine de pression sécuritaire menée par Téhéran face à ses adversaires dans la région, qu’il s’agisse des Etats-Unis, d’Israël ou des monarchies du Golfe opposées à Téhéran, consiste traditionnellement à faire porter la responsabilité des actions hostiles à des groupes non étatiques alliés à la République islamique.

C’est ce procédé qui avait notamment été choisi, après le 14 septembre 2019, lorsqu’une attaque coordonnée de drones et de missiles avait frappé, au terme d’une opération singulièrement sophistiquée, des installations stratégiques saoudiennes. Ce sont les rebelles houthistes du Yémen, soutenus par Téhéran, qui en avaient très rapidement revendiqué la paternité alors qu’une attaque menée depuis le territoire irakien ou iranien paraissait plus vraisemblable.

Le Monde

 

 

 

Tensions Iran – USA EN DIRECT : Paris condamne les « attaques » iraniennes sur deux bases de l’armée américaine…

 

L'ESSENTIEL

  • L'Iran a tiré une douzaine de roquettes sur deux bases militaires en Irak abritant des forces américaines.
  • L'attaque aurait fait des dégâts mais on ne sait pas encore si elle a fait des victimes.
  • Une réunion de crise s'est tenue à la Maison Blanche mais Donald Trump ne s'adressera pas à la nation dans l'immédiat.

 

 

15h28 : On attend toujours la prise de parole de Donald Trump

Selon plusieurs médias, dont CNN, elle devrait avoir lieu à 17 heures (heure de Paris), soit 11 heures à Washington. 

 

Note : si Trump répond par une attaque de l'Iran,  c'est la guerre assurer

 

(..)

14h23 : L’Iran a prouvé qu’il « ne bat pas en retraite » devant l’Amérique, réagit le président iranien Hassan Rohani

« Il a été clairement prouvé que nous ne battons pas en retraite devant l’Amérique », a déclaré mercredi le président iranien Hassan Rohani après des frappes nocturnes de missiles iraniens contre une base irakienne utilisée par Washington en Irak.

Si l’Amérique « veut commettre un autre crime, elle doit savoir qu’elle recevra une réponse plus ferme » encore, a dit Hassan Rohani en conseil des ministres, « mais s’ils sont sages, ils ne feront rien de plus à ce stade ».

 

14h01 : Le président irakien « dénonce » les frappes de l’Iran, refuse que l’Irak se « transforme en champ de bataille »

Le président irakien Barham Saleh a « dénoncé » les tirs de missiles iraniens sur des bases abritant des Américains, disant refuser « que l’Irak ne soit transformé en champ de bataille pour des parties en conflit ». Vendredi, c’est à Bagdad que les Etats-Unis avaient assassiné le général iranien Qassem Soleimani et c’est sur le sol irakien que l’Iran a répondu en frappant deux bases irakiennes accueillant des troupes de la coalition internationale emmenée par Washington. M. Saleh a dit « refuser de nouveau les violations répétées de la souveraineté irakienne ».

 

13 h 55 : Un peu plus sur la réaction de l’Otan aux tirs de cette nuit

Le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a condamné mercredi les tirs de missiles iraniens contre des bases en Irak utilisées par les Américains et a réitéré son appel à la retenue. « L’Otan exhorte l’Iran à s’abstenir de toute nouvelle violence », a affirmé Jens Stoltenberg sur son compte Twitter.

Un responsable de l’Alliance a par ailleurs assuré qu’aucune victime n’était à déplorer parmi les effectifs de la mission de l’Otan s’occupant de former les forces irakiennes.

 

13h35 : Le chef du Parlement irakien « condamne une violation iranienne de la souveraineté irakienne »

 

Note ; une autre information contradictoire dit que Téhéran a prévenu Bagdad de ses frappes

 

 

 

11h38 : Paris condamne les « attaques » iraniennes

Dans un communiqué, Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, appelle à la « désescalade » : « La France condamne les attaques conduites cette nuit par l’Iran en Irak contre des emprises de la Coalition contre Daesh. (…) La priorité va plus que jamais à la désescalade. Le cycle de violences doit s’interrompre. La France reste pour sa part déterminée à travailler à l’apaisement des tensions », poursuit le communiqué.

 

11h25 : Bagdad annonce que l’Iran l’avait informé d’une attaque imminente contre les Américains sur son sol

« Mercredi après minuit, nous avons reçu un message verbal officiel de la République islamique d’Iran indiquant que la riposte à l’assassinat du martyr Qassem Soleimani commençait ou allait commencer sous peu et que les frappes se limiteraient aux zones où l’armée américaine est présente en Irak sans plus de détails sur les localisations », indique le bureau du Premier ministre démissionnaire Adel Abdel Mahdi.

« Quasiment au même moment, les Américains nous appelaient alors que les missiles s’abattaient sur les sections américaines des bases d’Aïn al-Assad et d’Erbil », peut-on lire dans le communiqué.

 

11h15 : La télévision d’Etat iranienne fait état de 80 Américains tués dans les frappes

Il faut rester prudent sur ce chiffre, basé sur une « source informée » au sein des Gardiens de la Révolution, qui n’a été confirmé par aucune autre source. Des drones, des hélicoptères et d’autre matériel militaire auraient aussi été endommagés dans le raid.

 

Note ; S'il aurait vraiment eu 80 morts l’Amérique aurait déjà riposté

 

10h56 : Des paramilitaires irakiens menacent les Etats-Unis

Un des chefs du Hachd al-Chaabi, une coalition de paramilitaires pro-Iran intégrés à l’Etat irakien, a envoyé des menaces aux Etats-Unis ce mercredi, promettant une « riposte » qui « ne sera pas moins importante que la réponse iranienne ».

 

10h16 : Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou prévient l’Iran d’une riposte « retentissante » en cas d’attaque contre Israël

Dans leur communiqué publié après les envois de missiles sur les bases américaines, les Gardiens de la révolution iraniens ont menacé Israël, en tant que pays allié des Etats-Unis.

 

10h07 : Air France suspend tout survol de l’Irak et de l’Iran, l’Allemagne et les Etats-Unis prennent aussi des mesures

La compagnie aérienne a annoncé ce mercredi suspendre jusqu’à nouvel ordre « tout survol des espaces aériens iranien et irakien », quelques heures après des frappes iraniennes contre deux bases abritant des soldats américains en Irak.

« Les plans de vols sont ajustés en temps réel en fonction des décisions des autorités françaises et régionales, partout dans le monde, afin d’assurer le plus haut niveau de sécurité des vols », assure la compagnie.

En Allemagne, Lufthansa a fait la même annonce. Aux Etats-Unis, l’agence fédérale de l’aviation américaine (FAA) a interdit dès mardi soir aux avions civils américains le survol de l’Irak, de l’Iran et du Golfe, dans la foulée des attaques.

 

9h15 : Les frappes sont « une gifle à la face » des Américains, affirme l’ayatollah Khamenei

Le guide suprême de la République islamique d’Iran a affirmé ce mercredi que les tirs nocturnes de missiles iraniens sur des bases abritant des soldats américains en Irak sont « une gifle en pleine face » des Etats-Unis.

« La nuit dernière, une gifle a été donnée en pleine face » aux Américains, a dit l’ayatollah Ali Khamenei dans un discours télévisé. Le N°1 iranien avait appelé à venger la mort du puissant général iranien Qassem Soleimani, assassiné le 3 janvier, avec l’homme de l’Iran à Bagdad et huit autres personnes, par une frappe de drone américain dans la capitale irakienne.

 

8h31 : Ce genre de frappes va-t-il devenir fréquent ?

C'est ce que pense un chercheur d'une université américaine spécialiste de l'Iran : « Bien que l'Iran ait limité sa réponse à des frappes très calibrées sur des bases en Irak, ce n'est sûrement pas la fin de l'histoire. A partir de maintenant et selon la réponse américaine, les frappes indirectes vont peut-être devenir fréquentes», estime Ali Vaez. 

 

7 h 28 : 22 missiles tirés ont été tirés sur les bases américaines visées en Irak

D'après l’armée irakienne, aucun soldat irakien n'a été touché.

 

DIRECT - 20 MINUTES.FR

 

 

 

Tirs iraniens sur des bases américaines en Irak : réactions et condamnations internationales

 

 

 

 

Frappes iraniennes en Irak : "Téhéran a mis à exécution sa menace de riposte"

 

 

 

Escalade entre l'Iran et les États-Unis : les démocrates hostiles à la stratégie de Donald Trump

 

Tout va bien". Ce sont les premiers mots choisis par Donald Trump cette nuit. Réaction aux frappes iraniennes. Une rapide prise de distance, alors que dans le camps démocrate, l’ambiance apparaît bien plus tendue.. Alors que la tradition politique américaine impose habituellement l'union sacrée dans un contexte de guerre, le camp de Nancy Pelosi, ne cache pas son hostilité à l'actuelle administration. Et les sénateurs réunis en session exceptionnelle pour la rentrée parlementaire, ont carrément décidé d'écourter leur séance. Reportage signé mathieu mabin.

 

 

Crash d'un vol civil à Téhéran : les autorités ukrainiennes confirment qu'il n'y a aucun survivant

 

Un avion de ligne ukrainien transportant 176 personnes, principalement des Iraniens et des Canadiens, s'est écrasé mercredi en Iran peu après son décollage de Téhéran, tuant tous ceux qui se trouvaient à bord, ont annoncé les autorités iraniennes et ukrainiennes. Le point avec notre correspondant en Ukraine, Stéphane Siohan.

 

 

Riposte de l’Iran EN DIRECT : Deux bases de l’armée américaine touchées par des roquettes en Irak, Trump ne fera pas d'allocution

 

 

L'ESSENTIEL

  • L'Iran a tiré une douzaine de roquettes sur deux bases militaires en Irak abritant des forces américaines.
  • L'attaque aurait fait des dégâts mais pas de victimes côté américain.
  • Une réunion de crise s'est tenue à la Maison Blanche mais Donald Trump ne s'adressera pas à la nation dans l'immédiat.

 

3h55 : « Tout va bien », assure Trump, qui s’exprimera mercredi matin

« Tout va bien ! Missiles tirés depuis l’Iran sur deux bases militaires en Irak. L’évaluation sur les dégâts et les victimes a lieu en ce moment. Jusque-là tout va bien. Nous avons l’armée la plus puissante du monde. Je ferai une déclaration demain (mercredi) matin », vient de tweeter Donald Trump d'un ton plutôt calme.

 

3h45 : L’Iran « ne cherche pas l’escalade ou la guerre »

L’Iran calme le jeu. Le chef de la diplomatie iranienne parle de « réponse proportionnée » et assure que l’Iran « ne cherche pas l’escalade ou la guerre ».

3h25 : Un sénateur proche de Trump dénonce « un acte de guerre » de l’Iran

Lindsey Graham, un sénateur proche de Trump, a dénoncé sur Fox News « un acte de guerre », ajoutant : « le président a toute l’autorité dont il a besoin pour répondre avec l’article II ». Il s’agit de l’article II de la constitution. Il ne permet pas à un président de déclarer la guerre à un ennemi mais lui permet d’ordonner une opération militaire « en réponse à une attaque contre les Etats-Unis, ses territoires ou ses forces armées ».

2h50: La réunion de crise à la Maison Blanche est terminée

Le vice-président Mike Pence, le secrétaire d'Etat Mike Pompeo et le chef du Pentagone Mark Esper viennent de quitter la Maison Blanche. Donald Trump ne fera pas d'allocution ce soir, l'Iran semble également calmer le jeu en promettant de s'arrêter là si les Etats-Unis ne ripostent pas.

 

DIRECT - 20 MINUTES.FR

 

 

 

 

EN DIRECT LCI- Tensions USA/Iran : les Iraniens ripostent en tirant des roquettes sur une base aérienne américaine

 

 

TRAFIC AÉRIEN

L'agence fédérale de l'aviation américaine (FAA) a interdit aux avions civils américains le survol de l'Irak, de l'Iran et du Golfe, quelques heures après l'attaque de bases en Irak abritant des soldats américains.

"L'agence fédérale de l'aviation a émis des messages aux navigants aériens (NOTAMS) détaillant des restrictions de vol qui interdisent les opérateurs d'avions civils américains d'opérer dans l'espace aérien au-dessus de l'Irak, l'Iran, et les eaux du golfe Persique et le golfe d'Oman", a annoncé la FAA dans un communiqué.

 

IRAK

Les Gardiens de la Révolution iraniens ont riposté mercredi dans la nuit en envoyant des roquettes sur la base irakienne d'Aïn al-Assad, dans l'ouest désertique du pays, où sont postés des Américains. La chaîne d'information iranienne PressTV indique qu'ils "confirment avoir frappé (cette) base en Irak avec des dizaines de missiles". Outre-Atlantique, le Pentagone a annoncé que les Iraniens ont tiré "plus d'une douzaine de missiles".

EN DIRECT -

 

Note :  d’après la vidéo de LCI il n'y auras pas de victime américaine , mais vu que Trump compte quand mème  riposter c'est loin d’être terminé

 

 

 

Pour l'instant pas encore de chaine française en direct, donc il faudra se contente d'un direct apparemment brésilien 

 

 

L’Iran tire des missiles sur des bases militaires américaines en Irak

 

Ces attaques revendiquées par Téhéran interviennent dans un climat de fortes tensions avec les Etats-Unis, après l’assassinat par Washington vendredi du général Soleimani, l’un des hommes forts du régime iranien.

Photo tirée d’une vidéo fournie par l’Iran, montrant des missiles tirées sur une base américaine en Irak, le mercredi 8 janvier. Photo tirée d’une vidéo fournie par l’Iran, montrant des missiles tirées sur une base américaine en Irak, le mercredi 8 janvier. HO / AFP

 

Cinq jours après l’élimination du général Ghassem Soleimani, l’Iran a lancé, dans la nuit de mardi à mercredi 8 janvier, la riposte contre les Etats-Unis en tirant des missiles contre deux bases abritant des soldats américains en Irak. Ces raids, revendiqués par Téhéran, marquent un tournant faisant redouter une déflagration généralisée sur le sol irakien, une escalade régionale, voire une guerre ouverte entre Washington et Téhéran.

« Vers 17 h 30 [23 h 30 à Paris] le 7 janvier, l’Iran a tiré plus d’une douzaine de missiles balistiques contre les forces militaires américaines et de la coalition en Irak », a indiqué Jonathan Hoffman, porte-parole du ministère américain de la défense dans un communiqué. « Il est clair que ces missiles ont été tirés depuis l’Iran et visaient au moins deux bases irakiennes hébergeant des militaires américains et membres de la coalition à Al-Assad et Erbil », a-t-il précisé.

« Réponses encore plus dévastatrices »

Le Pentagone procède à une « évaluation préliminaire des dégâts ». « Tandis que nous évaluons la situation et notre réponse, nous prendrons toutes les mesures nécessaires afin de protéger le personnel américain, ses partenaires et alliés dans la région », a ajouté le porte-parole. Aucune information sur la nature des dégâts ou d’éventuelles victimes n’a été communiquée.

Ces frappes, survenues en trois vagues, ont été menées avec « des dizaines de missiles », ont annoncé les gardiens de la révolution iraniens, l’armée idéologique de la République islamique cités par la télévision d’Etat iranienne. Téhéran a promis des « réponses encore plus dévastatrices » en cas de nouvelle attaque et menacé de frapper « Israël » et des « alliés des Etats-Unis ».

« Nous conseillons au peuple américain de rappeler les troupes américaines [déployées dans la] région afin d’éviter de nouvelles pertes et de ne pas permettre que la vie de ses soldats soit davantage menacée par la haine toujours croissante du régime » américain, ajoute l’armée idéologique iranienne dans un communiqué.

Le président américain Donald Trump, qui a multiplié ces derniers jours les mises en garde à la République islamique, suit la situation « de près avec son équipe de sécurité nationale », a indiqué la Maison Blanche.

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La base Aïn-al-Assad, située dans l’ouest de l’Irak et abritant des militaires américains, a été attaquée aux roquettes dans la nuit de mardi. Se référant à une source de sécurité, l’AFP précise qu’il s’agit d’au moins neuf projectiles, tandis que l'agence Tasnim évoque environ 35 roquettes. 

Par la suite, Reuters, citant un représentant américain, a informé que des attaques à la roquette avaient été menées contre plusieurs installations, dont la base aérienne en question. Aucune information sur d’éventuels dégâts ou victimes n’est disponible dans l’immédiat, a-t-il été précisé.

La télévision ABC évoque de son côté qu'il s'agit de missiles balistiques lancés depuis le sol iranien.

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