Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Les USA enverront au Moyen-Orient six B-52 et 200 militaires, selon un journal américain
Le nombre de militaires américains déployés au Moyen-Orient pourra dépasser les 80.000. Les États-Unis envisagent ainsi d’y envoyer des effectifs supplémentaires ainsi que de l’équipement militaire, selon le Wall Street Journal qui cite des sources anonymes au sein du Pentagone.
Dans le contexte des tensions croissantes avec l’Iran, le Pentagone envisage de déployer au Moyen-Orient des militaires supplémentaires ainsi que six bombardiers stratégiques B-52, a informé le Wall Street Journal en se référant à des sources anonymes au sein du ministère américain de la Défense.
Selon le média, il s’agit de 200 soldats qui sont actuellement déployés dans la ville italienne de Vicenza. Certains d’entre eux assureront la sécurité de l’ambassade américaine à Beyrouth. L’arrivée des avions est quant à elle prévue pour les prochains jours.
Comme le précise la chaîne de télévision CNN, les bombardiers seront stationnés sur l’île de Diego Garcia, territoire britannique situé dans l'océan Indien. Celui-ci a été choisi pour sa situation géographique, qui est hors de portée des missiles iraniens. Après ce déploiement, le nombre de soldats américains au Moyen-Orient dépassera les 80.000, selon le WSJ.
Auparavant, la chaîne de télévision CNN, en citant un porte-parole du Pentagone, avait fait savoir que les États-Unis enverraient 3.000 militaires supplémentaires en raison des tensions avec l’Iran, après le raid au cours duquel a été tué le général Qassem Soleimani. Plus tôt, le chef du Pentagone Mike Esper avait annoncé la volonté des États-Unis d’envoyer dans la région 750 soldats après l’attaque contre l’ambassade américaine.
L’Iran travaille sur 13 scénarios pour venger la mort du général Soleimani tué par les USA
Un haut responsable iranien de la sécurité a affirmé que Téhéran considérait plus d’une dizaine de scénarios pour venger la mort du général Soleimani, tué par les forces américaines.
Téhéran a envisagé 13 «scénarios de vengeance» en représailles à la frappe américaine qui a tué un haut commandant iranien en Irak, a déclaré mardi 7 janvier le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale.
«Les Américains doivent savoir que pour l'heure treize scénarios de vengeance ont été débattus au sein du Conseil et même si le consensus se forme autour du scénario le plus faible, sa mise en œuvre pourra être un cauchemar historique pour tous les Américains», a déclaré Ali Shamkhani cité par l'agence Fars.
EN DIRECT - Bousculade mortelle aux obsèques de Soleimani : la TV d'Etat iranienne décompte 32 morts
BILAN
Les autorités précisent le bilan de la bousculade à Kerman. Au total, 32 personnes ont été tuées lors des funérailles du général Qassem Soleimani, auxquelles participe une foule monstre.
"Malheureusement [...] 32 de nos compatriotes ont perdu la vie à ce stade sur le chemin" du cercueil qui avance vers la dernière demeure du général au milieu d'une marée humaine, a déclaré sur la télévision d'Etat Pir Hossein Koulivand, chef du service national des urgences iraniens. Il a ajouté que 190 personnes avaient été blessées.
IRAN
L'inhumation du général Soleimani dans la ville de Kerman est suspendue, annonce la télévision d'Etat, suite à la bousculade.
Le centre de Kerman, ville natale de l'officier qui doit y être enterré dans l'après-midi, était envahi mardi par une marée humaine semblable à celles ayant déferlé dimanche et lundi à Téhéran et dans les autres villes où les cercueils du général et de ses compagnons d'armes tués avec lui ont transité pour un hommage populaire.
Selon les médias iraniens, une bousculade s'est déroulée aux funérailles de Qassem Soleimani. Le bilan serait lourd, plus de 30 morts auraient déjà été dénombrés.
"Malheureusement, un certain nombre de personnes [...] ont perdu la vie", a déclaré sur la télévision d'Etat, Pir Hossein Koulivand, chef du service national des urgences iraniens. Un premier bilan est avancé sur la télévision d'Etat : 35 morts et 48 blessés.
REACTION
Quand François Hollande tacle Donald Trump. "La décision qu'a prise Donald Trump est plus que malencontreuse, elle est grave et à un moment il faut le dire, on ne peut pas être dans la solidarité à l'égard de ce qui vient de se produire, qui est une escalade extrêmement dangereuse", a critiqué l'ancien président au micro de France Culture.
"Le rôle de la France, c'est aussi à un moment de dire les responsabilités. Celle de l'Iran, elle est là, elle est lourde, mais aussi de dire aux États-Unis qu'on ne commet pas des actes de cette nature sans en mesurer les conséquences", a-t-il ajouté.
ALLEMAGNE
L'armée allemande a annoncé mardi le retrait d'une partie de ses soldats actuellement stationnés en Irak pour des missions de formation et leur transfert en Jordanie et au Koweït en raison des tensions dans la région.
Le contingent allemand basé à Bagdad et à Taji au nord de la capitale irakienne, fort d'une trentaine de personnes, va être "provisoirement réduit" et les soldats concernés seront transférés dans le Koweït voisin et en Jordanie, a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère de la Défense.
FRONTIÈRE
Dans le contexte de tensions entre les Etats-Unis et l'Iran, des dizaines de ressortissants iraniens ou possédant la double nationalité iranienne et américaine affirment avoir été stoppés à la frontière entre le Canada et les Etats-Unis, et longuement questionnés par des policiers, notamment sur leurs opinions politiques. Beaucoup d'entre eux se seraient vus refuser l'entrée sur le territoire américain, la police des frontières n'étant pas en mesure de les placer en rétention pour les interroger.
Des responsables de la police des frontières et des douanes ont toutefois réfuté ces informations, assurant que les longs délais enregistrés aux points d'entrée étaient dus à une circulation accrue en lien avec les fêtes de fin d'année et à un manque d'effectifs.
VENEZUELA
Le gouvernement de Nicolas Maduro a appelé lundi les Vénézueliens à "condamner" la mort du général iranien Soleimani, et les a invités à signer un livre de condoléances à l'ambassade d'Iran, à Caracas. Avec la Russie, la Chine et Cuba, l'Iran est l'un des principaux alliés de Nicolas Maduro.
ONU
Lundi, l'Irak a demandé dans une lettre de trois pages adressée l'ONU que le Conseil de sécurité condamne le raid, mené sur son territoire vendredi dernier par les Etats-Unis, qui a tué le général iranien Qassem Soleimani et son lieutenant irakien Abou Mehdi al-Mouhandis, afin que "la loi de la jungle" ne domine pas les relations internationales.
Pour Bagdad, cette opération représente "une agression contre le peuple et le gouvernement de l'Irak, une violation flagrante des conditions liées à la présence des forces américaines en Irak, et une escalade dangereuse qui pourrait conduire à une guerre dévastatrice en Irak, dans la région et le monde".
Mort de Soleimani : L’Iran classe comme « terroristes » toutes les forces américaines
C’est une mesure avant tout symbolique. Le Parlement iranien a adopté ce mardi en urgence une loi classant toutes les forces armées américaines comme « terroristes » après l’assassinat en Irak du général Qassem Soleimani par une frappe américaine.
Les députés ont amendé une loi récente qui déclarait « terroristes » les forces américaines déployées de la Corne de l’Afrique à l’Asie centrale en passant par le Moyen-Orient. Le nouveau texte étend cette dénomination au Pentagone, à l’ensemble des forces américaines, aux responsables de l’assassinat de Soleimani, et à toute personne physique ou morale impliquée dans sa mort.
VIDEO. Tensions Iran-USA: Les Etats-Unis démentent avoir décidé de quitter l'Irak malgré une lettre affirmant le contraire
Selon Washington, la lettre qui évoquait un retrait des soldats stationnés dans le pays était un brouillon
Gros micmac sur l’Irak. Les Etats-Unis ont démenti ce lundi avoir décidé de quitter le territoire irakien, malgré la publication d’une lettre du commandement militaire américain prévenant Bagdad d’un redéploiement des forces américaines en vue d’un futur retrait. Le cafouillage intervient alors que le Parlement irakien avait voté, dimanche, pour expulser les forces américaines après la frappe sur son territoire qui a éliminé le général iranien Soleimani.
Le chef du Pentagone Mark Esper a clarifié la situation lors d’une conférence de presse. « Aucune décision n’a été prise de quitter l’Irak. Point », a déclaré à la presse le ministre américain de la Défense. « Cette lettre ne correspond pas à notre état d’esprit aujourd’hui », a-t-il ajouté.
Le plus haut gradé de l'armée américaine, le général Mark Milley, a concédé que le courrier qui a fuité était bien authentique. Il a toutefois assuré qu'il s'agissait d'un brouillon non signé. Mais selon le Washington Post, la lettre a pourtant été remise aux dirigeants irakiens.
Iran-Etats-Unis : à Bruxelles, OTAN et Union européenne prônent à leur tour la « retenue »
Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, le 6 janvier, à Bruxelles. KENZO TRIBOUILLARD / AFP
La « retenue » et la « désescalade » : tant au siège de l’OTAN qu’à celui du Service européen pour l’action extérieure de l’Union européenne, les mantras étaient les mêmes, lundi 6 janvier, après la montée des tensions entre les Etats-Unis et l’Iran à la suite de l’opération qui a tué, le 3 janvier, le général iranien Ghassem Soleimani, à Bagdad. Comme la plupart des dirigeants occidentaux le faisaient depuis quelques jours, le secrétaire général de l’Alliance atlantique, Jens Stoltenberg, a appelé l’Iran, qui menace de se livrer à des représailles, à éviter « plus de violence et de provocations ». Le dirigeant norvégien avait décidé de réunir en urgence les 29 ambassadeurs auprès de son organisation, en présence de représentants de la diplomatie américaine.
"Ne menacez jamais la nation iranienne", répond Rohani à Trump
Le président iranien Hassan Rohani à Téhéran, le 11 février 2016 - Atta Kenare - AFP
Le président iranien a répondu aux déclarations martiales du chef d'État américain, qui a annoncé que si l'Iran frappait une base américaine, les États-Unis répliqueraient.
"Ceux qui font référence au nombre 52 devraient également se souvenir du nombre 290. #IR655", écrit M. Rohani dans une référence à la tragédie de l'Airbus du vol Iran Air 655, abattu en juillet 1988 par un navire américain au-dessus du Golfe et ayant coûté la vie à 290 personnes.
Par la voix de son chef Hassan Nasrallah, le Hezbollah a assuré que l’armée américaine allait «payer le prix» pour avoir tué le général iranien Qassem Soleimani. Il a toutefois souligné que la population civile américaine, elle, ne serait pas visée.
Le Hezbollah a promis le 5 janvier de venger le général iranien Qassem Soleimani, tué deux jours plus tôt aux côtés d'autres gradés dans une frappe américaine sur l'aéroport de Bagdad. «C'est l'armée américaine qui les a tués, et c'est elle qui va en payer le prix», a prévenu dans une allocution télévisée le chef de l’organisation chiite, Hassan Nasrallah, depuis Beyrouth. «Le juste châtiment [visera] la présence militaire américaine dans la région : les bases militaires américaines, les navires militaires, chaque officier et soldat dans la région», a-t-il martelé.
Tensions en Iran : l'or propulsé à son plus haut niveau en 7 ans
Le cours du métal précieux a frôlé les 1. 600 dollars. Le prix de l'once pourrait continuer de grimper sur fond de croissance américaine morose et d'affaiblissement du dollar.
Une ruée vers l'or. Après avoir enregistré une de ses meilleures années en 10 ans , le métal précieux commence l'année en fanfare avec un gain de plus de 3 % depuis l'annonce de la mort du général iranien Soleimani . L'once a même testé la barre des 1.600 dollars, son plus haut niveau depuis avril 2013. Le métal jaune fait office d'actif refuge pour les investisseurs.
Ce bond s'explique également par une liquidité plus faible que d'ordinaire en ce retour de congés, explique Georgette Boele, stratégiste chez ABN Amro. « Quand les investisseurs sont revenus de vacances, l'or avait pris 100 dollars, a-t-elle expliqué à Bloomberg , certains en ont acheté sous le coup de la panique ».
La tendance devrait se poursuivre, estiment les analystes d'ING : « plus les tensions et les incertitudes s'éternisent, plus il est probable de voir un mouvement en faveur des valeurs refuge ». D'autant plus que les experts de Goldman Sachs recommandent d'acheter de l'or plutôt que du pétrole pour se couvrir contre les tensions géopolitiques.
En 2011, Donald Trump accusait Barack Obama de vouloir faire la guerre à l'Iran pour être réélu
Note : je pense que le peuple américain en a marre de toutes ces guerres au Moyens Orient . Et je ne pense pas que Trump soit réélu s'il déclenche une nouvelle guerre (certain américain ont votaient Trump pour éviter une guerre contre la Russie, qu'aurais probablement déclenché Hillary Clinton, vu sa russophobie maladive)
Que dit le droit sur la destruction des sites culturels en temps de guerre?
Les menaces de Donald Trump de frapper des sites culturels iraniens vont à l’encontre du droit international, et notamment des engagements américains auprès de l’Unesco.
Lapsus révélateur ? Netanyahou décrit Israël comme une «puissance nucléaire»
Au cours de la conférence hebdomadaire de son cabinet, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou s'est fendu d'un lapsus sur les armes atomiques que posséderait l'Etat hébreu. Un secret nucléaire toutefois largement connu.
Le 5 janvier, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a décrit son pays comme une puissance nucléaire, avant de se corriger d’un hochement de tête timide et d’un sourire embarrassé. Israël, largement soupçonné d’avoir un arsenal atomique, n’a toutefois jamais confirmé ou infirmé officiellement sa possession d’armes nucléaires, maintenant ainsi une certaine ambiguïté sur la question depuis plusieurs décennies.
Un lapsus atomique
Dans le cadre de la réunion hebdomadaire de son cabinet, Benjamin Netanyahou a commis un faux pas au moment de lire plusieurs remarques préparées au sujet d'un accord avec la Grèce et Chypre sur un gazoduc sous-marin.
«L'importance de ce projet est que nous transformons Israël en puissance nucléaire», a-t-il lancé, dans des propos rapportés par Reuters, avant de se corriger rapidement en rectifiant : «puissance énergétique».
Un moment de latence s’est ensuite fait sentir. En effet, le Premier ministre israélien s’est interrompu un bref instant, reconnaissant ensuite son erreur avec un sourire, avant de reprendre la lecture de ses commentaires. Un secret de polichinelle
Dans un rapport publié le 17 juin, l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) estime qu’Israël détiendrait approximativement entre 80 et 90 ogives nucléaires en 2019. A contrario des grandes puissances nucléaires comme la Russie ou les Etats-Unis, l’Etat hébreu maintiendrait son stock à un niveau similaire ou légèrement supérieur en comparaison à l’année précédente (80 ogives selon SIPRI).
Note : si l’État hébreu possède vraiment l'arme nucléaire, je vois pas pourquoi autant de secret autour de sa possession ! À moins qu’Israël bluffe et n'a jamais possédé l'arme nucléaire, mais en gardent l'illusion de cette menace, Israël écarte les risques de nouveaux conflits avec les pays musulmans
Lapsus révélateur ? Netanyahou décrit Israël comme une «puissance nucléaire»
[#10h12h] @valerie_expert "Quand on met le mot #islam dans un dessin, derrière ce sont des km de messages de mort !" @marika_charlie, ancienne DRH de #CharlieHebdo, et co-auteure du livre "Qui veut tuer la #laicité ?" @Eyrolles#SudRadio
Charlie Hebdo pour son numéro anniversaire de l'attentat tacle les "nouveaux censeurs"
Charlie Hebdo
La couverture de l'hebdomadaire Charlie Hebdo à l'occasion du cinquième anniversaire de l'attentat survenu le 7 janvier 2015
Dans son numéro spécial, cinq ans après l'attentat qui a frappé la rédaction, Charlie Hebdo fustige les "nouveaux gourous de la pensée formatée”.
COMMÉMORATIONS - Charlie Hebdo, dans un numéro anniversaire à paraître ce mardi 7 janvier, cinq ans après l’attentat ayant décimé sa rédaction, s’en prend aux “nouveaux gourous de la pensée formatée” et donne la parole à des proches des victimes.
“Hier, on disait merde à Dieu, à l’armée, à l’Église, à l’État. Aujourd’hui, il faut apprendre à dire merde aux associations tyranniques, aux minorités nombrilistes, aux blogueurs et blogueuses qui nous tapent sur les doigts comme des petits maîtres d’école”, écrit Riss, le directeur de la rédaction, dans son éditorial.
“Aujourd’hui, le politiquement correct nous impose des orthographes genrées, nous déconseille d’employer des mots supposés dérangeants (...)”, ajoute-t-il, fustigeant les “nouveaux censeurs” qui “se croient les rois du monde derrière le clavier de leur smartphone”.
“Les flammes de l’enfer d’autrefois ont laissé la place aux tweets délateurs de maintenant”, assène-t-il.
Le dessin de la Une est signé Coco: un smartphone géant affichant les logos de grands réseaux sociaux écrase la langue et les bras d’un dessinateur, avec ce titre “Nouvelles censures... Nouvelles dictatures”.
"En France, la propagande de l'islam politique continue à travers l'activisme des Frères musulmans.
Ils sont dangereux même si ils ne se promènent pas en djellaba avec des couteaux.
Dans certaines banlieues, ils sont présents sur des listes électorales." - Barbara Lefebvre
Une femme intégralement voilée avec un couteau interpellée gare d'Austerlitz, selon Le Point
Le 5 janvier au soir, une femme vêtue d'un niqab a été interpellée gare d'Austerlitz à Paris, rapporte Le Point. Selon le magazine, elle portait un couteau d'une lame mesurant 15 centimètre et un coran dans une sacoche ouverte.
Une femme de 37 ans, gantée et vêtue d’un niqab, a été interpellée le 5 janvier gare d’Austerlitz, à Paris, annonce Le Point. Elle portait une lame de 15 centimètres et un coran dans sa sacoche ouverte.
Les autorités ont été alertées par un homme qui a été intrigué par son comportement. Selon ce témoin, elle était dans la gare, mais elle n'avait pas l'intention de prendre le train, ni d'attendre qui que ce soit.
Au moment de son interpellation, elle n'a pas justifié la présence de l'arme. Elle a affirmé aux policiers habiter en Seine-Saint-Denis. À partir de son identité déclarée, la police a pu constater que cette femme figurait au Fichier des personnes recherchées (FPR) et qu'elle était déclarée comme «personne disparue».
Aux forces de l'ordre, la femme a indiqué ne pas vouloir faire de «mal ni à elle-même ni à autrui», précise le magazine.
«Elle a obtempéré sans incident aux demandes des forces de l'ordre de retirer son voile intégral. Elle a été fouillée pour s'assurer qu'elle ne disposait pas de ceinture explosive et ses affaires ont été vérifiées avec l'aide d'un chien de détection», ajoute Le Point. Elle a été placée en garde à vue.
Antibes : « Par Allah, vous êtes tous des fils de p… ! », Moumen condamné pour avoir agressé au couteau les agents du marché de Noël
Un Niçois de 21 ans a été condamné pour avoir été l’auteur de violences le jour de l’an.
Il était environ 9h30 du matin sur l’esplanade du marché de Noël à Antibes, fermé en ce premier jour de l’an, et clôturé par des barrières, lorsqu’un agent de sécurité a remarqué deux hommes passablement éméchés.
(…) Puis très énervé, alors qu’on passait la muselière aux chiens prêts à intervenir, il dégainait un couteau et menaçait les deux femmes.
(…) Moumen avec des gestes circulaires blessait Antonio à la cuisse qui parvenait à se saisir de son couteau avec au passage une estafilade à la main. L’altercation se mue en course-poursuite avec la police.
Le tout, au fond d’une impasse avec pistolet Taser en main pour appréhender les deux hommes. Antonio ne sera pas inquiété alors que Moumen – conduit à l’hôpital – aura copieusement insulté les policiers et les personnels hospitaliers en tenant « des propos détestables » comme le dira le procureur de la République à l’audience de vendredi du tribunal correctionnel de Grasse où le prévenu était déféré en comparution immédiate: « Par Allah vous êtes tous des fils de p… et toi l’infirmière, suceu… de flics! ».
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