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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 16 avril 2024

 

 

Dernière mise à jour 16 H 49

 

 

 

DIRECT. L'Iran menace d'une "réponse sévère" et "douloureuse" en cas de représailles d'Israël

 

 

Israël promet de "riposter" à l'attaque de l'Iran par drones et missiles dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril malgré les appels de nombreux pays dont son allié américain à éviter une escalade. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pour sa part appelé la communauté internationale à "rester unie" face à "l'agression iranienne."

 

L'ESSENTIEL

  • Le président iranien a promis une "réponse sévère" et "douloureuse" en cas de représailles israéliennes, alors que Tsahal a annoncé une "riposte". Lire l'article
  • Hezbollah, Yémen... Israël pourrait viser des mouvements soutenus par le gouvernement iranien. Lire l'article
  • Le Premier ministre israélien a appelé la communauté internationale à "rester unie" face à Téhéran. Lire l'article
  • L'AEIA redoute de possibles attaques israéliennes contre les infrastructures nucléaires iraniennes. Lire l'article

 

Dans un courrier à 32 pays dont la France, un ministre israélien demande des sanctions contre l'Iran

Israël Katz, le ministre des affaires étrangères israélien, a adressé un courrier à 32 de ses homologues, dont Stéphane Séjourné.

Dans cette "offensive diplomatique", il demande à ce que des "sanctions soient imposées au projet de missiles iranien et que le Corps des gardiens de la révolution islamique soit déclaré organisation terroriste".

 

L'Iran promet une "réponse sévère" en cas de représailles israéliennes

Le président iranien Ebrahim Raïssi prévient que "la moindre action" d'Israël contre "les intérêts de l'Iran" provoquerait "une réponse sévère" de son pays, selon un communiqué publié ce matin par la présidence.

Plus d'informations ici.

LIRE AUSSI: Attaque de l'Iran contre Israël : Téhéran prévient d'une "réponse sévère, généralisée et douloureuse" à "la moindre action" contre ses intérêts

 

Les parlementaires américains voteront des projets d'aides séparés pour Israël et l'Ukraine

La Chambre des représentants des États-Unis votera cette semaine sur des projets séparés d'aide à l'Ukraine et Israël, après des mois de blocages sur des questions de politique interne.

Une enveloppe de 60 milliards de dollars pour Kiev, réclamée par le président démocrate, est bloquée au Congrès depuis des mois, tout comme une autre enveloppe pour Israël.

"Cette semaine, nous examinerons des propositions de loi séparées" dont celles permettant de "financer notre allié israélien" et de "soutenir l'Ukraine dans sa guerre contre l'agression russe", a déclaré le chef républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson.

 

Israël "poursuit" les bombardements à Gaza

L'armée israélienne, dont la réponse hypothétique à l'attaque iranienne se fait attendre, avait assuré poursuivre ses opérations à Gaza malgré un élargissement du conflit.

Comme le montre une vidéo partagée par Tsahal, les soldats "poursuivent leur activité au centre de la bande de Gaza".

Hier, "tout au long de la journée, des avions de combat (...) ont attaqué et détruit un lanceur de missiles aux côtés de dizaines d'infrastructures terroristes" attribuées au Hamas.

 

La "possibilité" de représailles d'Israël contre des installations nucléaires iraniennes inquiète

Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a été interrogé sur la possibilité d'une frappe de représailles israélienne contre des installations nucléaires iraniennes lors d'une conférence de presse en marge d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU consacrée à la centrale ukrainienne de Zaporijia.

"Nous sommes toujours préoccupés par cette possibilité", a répondu le chef de l'AIEA, qui a précisé que l'Iran avait fermé ses installations nucléaires dimanche lors de son attaque. Selon lui, les installations iraniennes devaient rouvrir lundi.

"J'ai décidé de ne pas laisser les inspecteurs revenir tant que la situation n'est pas complètement calme. Nous reprendrons demain" (mardi, NDLR), a-t-il expliqué.

En 1981, Israël avait bombardé le réacteur nucléaire d'Osirak, dans l'Irak de Saddam Hussein, malgré l'opposition de Washington. Israël a également admis, en 2018, avoir lancé un raid aérien ultrasecret onze ans plus tôt contre un réacteur nucléaire dans l'est de la Syrie.

Plus d'informations à retrouver ici.

 

L'armée israélienne diffuse des images de dégâts dans une base aérienne

Dans un message diffusé sur X, Avichay Adraee, porte-parole de l'armée israélienne, a publié une vidéo qui montre les dégâts recensés sur une base aérienne près de Navatim après les attaques iraniennes.

Ce dernier indique des "dommages mineurs aux infrastructures", puisque "deux missiles ont touché une zone dégagée, un autre tir s'est produit près de la piste de l'aéroport et un quatrième tir s'est produit à côté d'un bâtiment en construction qui n'était pas utilisé."

 

Hezbollah, Yémen... Quelles sont les cibles potentielles pour Israël?

Après l'attaque de drones et de missiles menée par l'Iran contre Israël dans la nuit de ce samedi 13 au dimanche 14 avril, la réponse de Jérusalem se fait attendre.

Parmi ses cibles potentielles se trouve le Hezbollah libanais. Ce mouvement islamiste chiite basé à Beyrouth est soutenu financièrement et militairement par l'Iran, lui permettant d'étendre son influence.

Il est aussi considéré comme un mouvement terroriste par plusieurs pays dont les États-Unis.

Lire l'article en intégralité sur BFMTV.com

 

Le chef de l'armée israélienne promet "une riposte" après les attaques

Le chef d'état-major de l'armée israélienne, Herzi Halevi, a promis lundi une "riposte" à l'attaque sans précédent de l'Iran contre Israël, lors d'une allocution devant des soldats sur une base touchée par une frappe iranienne.

Israël va "riposter au lancement de ces si nombreux missiles, missiles de croisière et drones sur le territoire de l'Etat d'Israël", a déclaré le général Halevi en visitant la base de Nevatim dans le sud du pays

L'armée a diffusé une courte vidéo montrant un cratère peu profond le long d'un mur dû à l'impact d'un projectile iranien lors de sa chute sur la base militaire.(vidéo sur le site)

DIRECT

LIRE AUSSI : Attaque de l’Iran contre Israël : L’armée israélienne promet une « riposte » à l’attaque sans précédent de l’Iran

 

 

 

 

Attaque sur Israël : « L’Iran s’est volontairement limité au seuil de tolérance du Dôme de fer »

 

INTERVIEW. Selon le consultant géopolitique Aurélien Duchêne, Téhéran a pris soin de ne pas atteindre le point de rupture de la défense israélienne lors de l’attaque du 13 avril.

Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024 Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024

Lire l'article (pas copiable pour mon blog)

 

Note : c'est bien ce que je pansais, les iraniens n'ont pas vraiment chercher à "détruire" Israël, c'est pour l'instant du cinéma, mais ils ont maintenant suffisamment d'information pour submerger de dôme de fer dans une prochaine attaque. On remarquera qu'ils ont quand même réussi à toucher la base israélien d'où l'attaque contre leur ambassade de Syrie avait été lancée ! C'est donc qu'ils peuvent faire des dégâts s'ils le veulent vraiment. La suite de cette guerre risque d'être très risqué pour Israël, il ne devrait pas attaquer l'Iran, surtout  en pleine guerre contre Gaza.

 

 

ENTRETIEN. Après l’attaque de l’Iran : "Si Israël déployait son aviation, il y aurait un risque de guerre totale "

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024

Après l’attaque de l’Iran contre Israël dans la nuit du 13 au 14 avril, un risque d’embrasement dans la région est-il possible ? Pour Frédéric Encel, spécialiste du Proche-Orient, le risque existe bel et bien mais il est faible. Interview.

 

La Dépêche du Midi : Le risque d’embrasement dans la région est-il réel ?

Frédéric Encel : Le risque d’embrasement est toujours possible, mais il est faible. Il est faible au regard des enjeux. L’Iran est certes dirigé par des fanatiques, mais pas par des crétins, et ces gens connaissent parfaitement les rapports de force. D’ailleurs, ils en ont encore fait la démonstration en agissant de manière illégale, illégitime et immorale, certes, mais assez prudente finalement.

Si riposte massive il devait y avoir de la part d’Israël, elle aurait déjà eu lieu selon vous…

Je pense que Benyamin Netanyahou et les "durs" de son gouvernement se sont fait tordre le bras par Joe Biden. Je ne sais pas si le Premier ministre israélien avait l’intention de répliquer rapidement et massivement par voie aérienne sur le sol iranien mais ce qui est sûr c’est qu’il a finalement décidé de ne pas le faire, du moins pour l’instant. Et vous savez, en principe dans les rapports militaires, une riposte massive se fait "à chaud". Je pense qu’une partie de la riposte israélienne à l’attaque de l’Iran de ce week-end prendra la forme d’un accroissement des coups de force non revendiqués sur des sites stratégiques iraniens.

 

Quelles sont selon vous les principales limites à ne pas franchir d’un côté comme de l’autre ?

Si Israël déployait la pièce maîtresse de son armée, c’est-à-dire son aviation, et détruisait des cités iraniennes, et provoquait des dégâts très importants, notamment humains, alors pour moi l’Iran ne pourrait pas ne pas riposter encore plus massivement que ce qu’elle a déjà fait. Il y aurait alors un risque de guerre totale.

L’enjeu fondamental d’une guerre de haute intensité entre Israël et l’Iran pourrait aussi être le blocage du détroit d’Ormuz par l’Iran qui pourrait conduire à une guerre dans le Golfe persique, y compris contre les États pro-occidentaux très fortement pourvoyeurs de pétrole. Il faut savoir en effet qu’un peu plus d’un quart du brut mondial passe par ce détroit. La Chine et l’Europe importent énormément de brut en provenance du Golfe. Donc là, les enjeux dépasseraient largement le conflit Israël-Iran. Cela signifierait aussi que les alliés des États-Unis et de la France dans la région, à commencer par les Émirats arabes unis, la Jordanie, l’Arabie saoudite, le Bahreïn, pourraient être frappés par l’Iran qui prétexterait leur alliance ou en tout cas leur proximité avec Israël. Donc tout ça serait extrêmement dangereux.

 

Quel rôle peut jouer la France dans ce conflit ?

La France dispose, derrière les États-Unis, du premier dispositif de levier diplomatique et militaire dans la région. Avec sa base stratégique aux Émirats, sa base aérienne en Jordanie, sa base à Djibouti, et sa flotte de combat qui est tout à fait redoutable en Méditerranée orientale et en Mer Rouge, je ne dis pas que la France jouera un rôle, mais elle est en tout cas, l’un des rares pays hors Moyen-Orient à pouvoir jouer un rôle politico militaire très important.

Source

 

Note ; pour ma part, je pense qu'une attaque israélienne sur le sol iranien, avec des morts, conduirais à une escalade dangereuse, surtout en pleine période de guerre contre Gaza. Parce que la plupart des pays musulmans accusent Israël de génocide et veulent se venger d'Israël.

Je pense que dans la plupart des pays musulmans, il aura de gigantesques manifestations pro iranienne, qui risqueront de déstabilisé certain pays musulman, comme l'Algérie, l'Égypte, l'Irak, etc, et même dans un pays comme l'Afrique du Sud (pourtant pays pas musulman). Erdogan lui ne se ferait pas trop prié pour rejoindre une coalition musulmane contre Israël, il a toujours été un intégriste islamique de première.

Je pense aussi que l'Iran auras des succès militaire, ce qui mettra encore plus en ébullition les pays musulmans pour entrer en guerre contre Israël.

 

 

 

L’Iran a-t-il la bombe nucléaire ? Est-il déjà trop tard ?

 

L’Iran serait plus proche que jamais de la bombe nucléaire. Le Washington Post révélait la semaine dernière comment Téhéran avait considérablement augmenté ses activités nucléaires

 

 

"L’Iran est à bout de patience", selon une experte iranienne

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024

Le lancement par l’Iran de drones et de missiles contre Israël "a mis fin à la guerre par procuration" entre les deux pays, "nous pouvons désormais observer la formation d’un nouvel ordre au Moyen-Orient", a déclaré l'experte iranienne Somayeh Mandegar.

"L’Iran a été contraint d’exercer son droit de légitime défense en réponse à l’agression de Tel Aviv" après l’attaque sur le consulat iranien à Damas début avril, considère l’experte iranienne des relations internationales Somayeh Mandegar interrogée par Sputnik.

"Si les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l'Onu voulaient réellement la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient, ils auraient condamné l'attaque contre le consulat iranien. Mais au lieu de cela, ils ont suggéré que l’Iran ne réponde pas aux actions d’Israël", ajoute-t-elle.

Le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien a annoncé dans la nuit du 13 au 14 avril avoir frappé le territoire d'Israël en réponse au raid aérien israélien du 1er avril contre le consulat général iranien à Damas. L'attaque iranienne a impliqué, selon différentes sources, de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de drones et missiles, y compris des drones kamikazes Shahed.

Spoutnik

 

 

Frappes de l'Iran contre Israël : pourquoi l'intervention de plusieurs pays arabes peut rebattre les cartes dans le Proche-Orient

 

Plusieurs pays de la région, dont la Jordanie, ont aidé Israël à stopper des missiles et des drones lancés par l'Iran. De quoi contribuer à retisser des liens distendus depuis l'attaque du 7 octobre.

Alors que le cabinet de guerre israélien s’est réuni lundi 15 avril dans l'après-midi pour la deuxième fois depuis les attaques de l’Iran, les alliés d’Israël font pression pour la retenue. L’un des arguments qui pourrait inciter le gouvernement de Benyamin Nétanyahou à ne pas jouer la surenchère est la possibilité d’une alliance régionale, y compris avec les pays arabes. Les liens avaient été distendus après l’attaque du 7 octobre et la réponse militaire israélienne contre Gaza. Mais l’attaque de ce week-end pourrait rebattre les cartes.

Des renseignements partagés par plusieurs pays arabes

Cette ceinture défensive autour d’Israël lors de l'attaque du week-end dernier fait partie des points positifs pour l’État hébreux. Le dispositif antiaérien, qui a été voulu par les États-Unis, a détruit la plupart des missiles et des drones avant même leur arrivée dans l’espace aérien israélien. L’Amérique a entraîné la Grande-Bretagne, la France et des pays arabes. D’après la presse américaine, d’autres pays, parmi lesquels l’Arabie saoudite, auraient partagé des renseignements, des images radars et ouvert leur espace aérien.

Mais ces pays arabes, hormis la Jordanie, se font plus discrets. Après la guerre au Yémen qui a créé un front anti-Iran, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis s’étaient rapprochés du régime des Mollahs, qui menace aujourd’hui de s’en prendre aux soutiens d’Israël.

La Jordanie assume et mise sur sa sécurité

Seule la Jordanie a assumé cet alignement. Mais pour le régime jordanien, cette intervention est une prise de risque intérieure car plus de la moitié de la population est palestinienne. Les manifestations étaient déjà importantes avant cette attaque pour dénoncer l’opération militaire israélienne sur Gaza. Mais le royaume semble avoir misé sur le soutien américain pour assurer sa stabilité dans cet environnement très incertain.

Un début de coopération, mais pas de soutien aveugle

Il s’agit plutôt d’un début de coopération. Pour les États-Unis, c’est le point culminant d’une longue stratégie initiée sous Donald Trump avec les "accords d’Abraham", qui ont permis un rapprochement entre Israël et plusieurs pays du Golfe. Puis Tel-Aviv a été intégré au commandement central de l’armée américaine au Proche-Orient. Et il y a deux ans, une réunion secrète a eu lieu en Égypte avec Israël et les principaux pays de la région.

Mais si l’opération défensive a réussi, il est peu probable que ces pays ne suivent Israël dans une surenchère contre l’Iran. Cette coopération est donc au centre de l’équation pour le gouvernement Netanyahou.

Source

 

 

 

L'OTAN pourrait être entraînée dans le conflit à Taiwan, selon un rapport affilié

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024

BRUXELLES — L'OTAN pourrait être impliquée dans un éventuel conflit à Taiwan si les combats atteignent le territoire américain dans le Pacifique, selon un rapport du Collège de défense de l'OTAN publié lundi.

Le document de l'institution de recherche et d'enseignement basée à Rome, intitulé « L'OTAN et une éventualité à Taiwan », est un rapport académique plutôt que la position formelle du bloc. Mais l’analyse de la situation de Taiwan par rapport à l’OTAN est rare et pourrait servir de référence dans la planification stratégique de l’alliance.

Le rapport a été rédigé par James Lee, chercheur adjoint à l'Institut d'études européennes et américaines de l'Academia Sinica de Taiwan.

Lee examine si une attaque armée de la Chine déclencherait l'article 5 du Traité de l'Atlantique Nord, en vertu duquel une attaque contre un membre de l'OTAN est considérée comme une attaque contre tous. "Si les hostilités se limitent au voisinage immédiat de Taiwan ou de la première chaîne d'îles, alors un déclenchement de l'article 5 est peu probable", indique le journal, faisant référence aux îles reliant l'Okinawa au Japon à Taiwan et aux Philippines.

Mais le journal examine également ce qui pourrait arriver si un conflit dégénère au point d’une frappe chinoise contre des installations militaires américaines à Hawaï.

Il a été avancé qu'Hawaï et le territoire américain de Guam ne relèvent pas des obligations de défense collective de l'OTAN, dans la mesure où l'article 6 du traité limite leur portée au territoire des pays membres « en Europe ou en Amérique du Nord… ou sur les îles sous la juridiction ». de l'une des parties dans la zone de l'Atlantique Nord, au nord du tropique du Cancer.

Le document suggère que l'article 5 pourrait être invoqué, selon la manière dont Hawaï est défini – mais que même dans ce cas, « le champ d'action des Alliés serait relativement limité ».

Lee examine également la manière dont les pays européens pourraient coopérer avec les États-Unis dans différents scénarios d’urgence. Washington pourrait demander aux alliés de l’OTAN d’imposer des sanctions à la Chine, ou aux membres de l’alliance opérant dans la région indo-pacifique – comme le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et le Canada – de soutenir les opérations américaines.

Notant le risque d'une « fenêtre de vulnérabilité en Europe » si les États-Unis concentrent leurs ressources dans l'Indo-Pacifique, le journal affirme que Washington et l'OTAN devraient envisager de travailler ensemble sur des plans d'urgence.

Source

 

 

 

Sceaux (92) : un ordinateur contenant “des données sensibles” sur les JO de Paris volé au domicile d’une employée de Thalès

La sécurité des Jeux olympiques de nouveau remise en cause ? Selon les informations d’Europe 1, un vol par effraction a eu lieu vers deux heures du matin, dans la nuit du dimanche 14 au lundi 15 avril 2024, dans un pavillon de la ville de Sceaux, dans les Hauts-de-Seine.

Trois ordinateurs portables ont été dérobés. La victime, une employée de l’entreprise Thalès*, réveillée par le son d’une vitre cassée, a alerté les forces de l’ordre. Celle-ci a déclaré que l’un de ses ordinateurs contenait des informations sensibles, sur la surveillance territoriale, dans le cadre de l’organisation des Jeux olympiques. Les auteurs du vol, en fuite, sont activement recherchés. (…)

Europe 1

[NdeFDS : Thales est un groupe d’électronique français spécialisé dans l’aérospatial, la défense, la sécurité et le transport terrestre.]

 

Note : encore ! il se prepare quelque chose

Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024 Vers une guerre de religion, infos du 16 avril 2024

 

« Lutter contre l’islamophobie, l’extrême droite et faire entendre la voix du peuple palestinien » : l’Union des démocrates musulmans "français" (UDMF) s’apprête à déposer une liste “Free Palestine Party” pour les européennes

 

Un parti politique français compte se présenter aux élections européennes avec pour objectif principal la défense de la Palestine. (…)

Mizane

Il s’agit « de faire entendre la voix du peuple palestinien » et de « lutter contre la contamination des idées d’extrême droite visant les citoyens de confession musulmane », a expliqué à l’AFP le président et fondateur de l’UDMF, Nagib Azergui, qui compte déposer sa liste « début mai ».

Cette coalition réunira « des partis indépendants partageant la même éthique musulmane » en France, mais aussi en Espagne (Partido Andalusi), Allemagne (BIG Partei), Belgique (porté par Fouad Ahidar), aux Pays-Bas (Nida) et en Suède (Partiet Nyans). (…)

Au delà du résultat des Européennes, le responsable assure que « notre vraie ambition est 2026 » avec les municipales, auxquelles l’UDMF compte se présenter dans trois villes. (…)

L’Alsace

(…) En France, la liste, qui défend un positionnement antisioniste et anti-impérialiste, sera menée par Nagib Azergui, le président de l’UDMF.

En deuxième position figurera Mounia Bouguerra, chargée des relations internationales au sein de l’UDMF et qui se définit comme une « militante antiraciste ».

On trouve aussi Jamal Rouchdi, ancien candidat aux élections législatives de 2022 à Strasbourg (Bas-Rhin), pour le parti Égalité républicaine et sociale (ERS) ainsi que Nordine Gasmi, conseiller municipal à Vaulx-en-Velin (Rhône), qui avait tenté sa chance aux dernières législatives et contre lequel trois ans d’inéligibilité ont été requis fin mars par le tribunal judiciaire de Lyon pour « provocation à la haine ». (…)

La Tribune


“L’objectif est également de lutter contre la montée des partis islamophobes en Europe qui font du musulman leur cible électorale.” :

 

Cathédrale de Metz (57) : cinq jeunes d’origine turque interpellés après que l’un d’eux ait hurlé “Allah Akbar” en plein concert de musique classique. Le chanoine relativise et ne veut pas porter plainte au vu du “contexte actuel”

Aux alentours de 17h45, cinq jeune gens ont fait irruption dans l’édifice religieux, où l’un d’eux a crié “Allah Akbar” une fois, avant de prendre la fuite.

Quinze minutes plus tard, les cinq mis en cause, dont quatre mineurs, ont été interpellés et placés en garde à vue pour apologie du terrorisme, indique une source policière. Sur leur profil, il s’agit de cinq jeunes d’origine turque, mineurs pour la plupart et inconnus des services de police. « Les jeunes interpellés pleuraient dans la voiture, à priori conscients de leur bêtise », précise une source policière.

Les policiers ont constaté sur le téléphone de celui qui a crié “Allah hakbar” la présence d’une application appelant à la prière (islamique).

Le chanoine de la cathédrale de Metz, qui n’était pas présent au moment des faits, n’a pas porté plainte. Contacté par Valeurs, ce dernier confirme l’absence de plainte et relativise: « Ce sont des jeunes désœuvrés, ce qu’ils ont fait n’est vraiment pas grave, ni problématique. C’était plus par jeu. Il n’y a eu ni violence, ni dégradation, sans quoi évidemment nous aurions porté plainte ».

Le chanoine précise aussi ne pas vouloir trop « insister » sur cette histoire, pour « éviter de mettre de l’huile sur le feu, compte tenu du contexte actuel ».

Pas de réponse du parquet de Metz, contacté par Valeurs, pour le moment.

Amaury Bucco – Valeurs actuelles

 

80 000 euros de rémunération, 1,5 millions versés par Soros : qui se cache derrière l’association “Destin commun” qui cherche à imposer des migrants en zone rurale (MàJ)

14/04/24

 

Une étude du think tank Destin commun dissèque les ressorts de la « méthode Callac », du nom de ce village breton instrumentalisé par les sphères identitaires.

Cette « méthode Callac », du nom de ce village traditionnellement de gauche devenu malgré lui l’emblème d’une guerre civilisationnelle, est autopsiée dans l’étude « De Callac à Crépol : les campagnes au cœur des batailles identitaires », menée par Raphaël Llorca, essayiste et expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, et Laurence de Nervaux, directrice du think tank Destin commun. Une méthode qui repose sur la stratégie de la métonymie, une figure de style qui consiste à montrer une partie pour

(…)

« Les “ingénieurs du chaos” cherchent à faire entrer les campagnes dans la bataille identitaire », lit-on à la fin du rapport. Après Callac, Saint-Brevin, et aujourd’hui Bélâbre, quel sera le prochain village pris comme symbole d’une guerre identitaire ? « L’extrême droite place l’ancrage dans la ruralité au cœur de sa stratégie, avec les municipales de 2026 en ligne de mire, souligne Laurence de Nervaux. Les choses ne vont pas s’arrêter là » « Quand on arrive à susciter le sentiment de l’importation de violence généralisée dans cette France paisible, loin du chaos du monde, on finit par se dire qu’on n’est plus à l’abri nulle part, souligne Raphaël Llorca. D’un coup, le narratif des identitaires prend chair. » Et c’est l’une des principales conclusions de cette étude : « En politique comme en psychanalyse, c’est la réalité (subjective) qui domine le réel (objectif). » L’affrontement identitaire passe aussi par la bataille des imaginaires.

 

Note : l’association “Destin commun” ! ça sent le communiste en plein nez. Et personnes ne se rend compte que l'Europe est gangrénée par une nouvelle forme de communisme 

Pour rappel

 

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