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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 3 juin 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'armée ukrainienne prête pour la contre-offensive, mais Zelensky craint de lourdes pertes…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Au moins quatre civils ont été tués et 27 blessés vendredi dans des bombardements sur la région russe de Belgorod, frontalière de l’Ukraine. Cette région est visée depuis plusieurs jours par des frappes d’une intensité sans précédent en territoire russe depuis le début du conflit.
  • Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a reconnu vendredi qu’une adhésion de son pays à l’Otan, que Kiev réclame avec insistance, serait « impossible » avant la fin de la guerre en cours avec la Russie.
  • Selon Anthony Blinken, le chef de la diplomatie américaine, l’invasion de l’Ukraine a été un « échec stratégique » de la Russie. Il s’exprimait depuis Helsinki, capitale de la Finlande, qui vient de rejoindre l’Otan après des décennies de neutralité.

 

12h56 : L’Ukraine prête pour une contre-offensive, mais risque de pertes lourdes, selon Zelensky

Les préparatifs pour une contre-offensive ukrainienne sont terminés, mais les pertes en vies humaines pourraient être lourdes à cause de la supériorité aérienne russe, a estimé le président ukrainien Volodydmyr Zelensky. Dans une interview publiée samedi par le Wall Street Journal, il a déclaré : « A mon avis, à partir d’aujourd’hui, nous sommes prêts (…) Nous croyons fermement que nous allons réussir », a-t-il ajouté, précisant qu’il ne savait pas « combien de temps cela prendra ».

Il a toutefois prévenu que l’offensive serait « dangereuse » sans une aide occidentale accrue pour contrer les attaques aériennes russes. « Tout le monde sait qu’une contre-offensive sans supériorité aérienne est très dangereuse », a ajouté le président ukrainien. Une seule arme, le système de missiles sol-air américain Patriot, peut protéger le ciel ukrainien, a-t-il ajouté, demandant que davantage d’armes de ce type soient livrées à son pays.

DIRECT

 

 

 

 

 

Nouvelles conditions de paix proposées par Moscou : L’Ukraine doit rester neutre et reconnaître le statu quo

 
 

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Galouzine, a déclaré dans un entretien accordé à l’agence de presse publique russe TASS que les conditions d’un éventuel processus de paix dans la guerre en Ukraine avaient été actualisées et que Moscou avait pris de nouvelles orientations.

Pour un «règlement du conflit», l’Ukraine doit cesser les combats et les pays occidentaux ne doivent plus livrer d’armes, explique clairement Galouzine. Pour parvenir à une paix «durable et juste», Kiev doit en outre revenir à son statut de neutralité et de non-alignement d’antan et reconnaître comme territoire russe les «nouvelles conditions territoriales», c’est-à-dire l’occupation des territoires ukrainiens conquis, qui ont également été officiellement rattachés à la Fédération de Russie en septembre 2022.

Le ministre a ajouté que la protection des droits des citoyens russophones et des minorités nationales était également un élément central pour parvenir à la paix. La langue russe doit être reconnue comme langue officielle. Les droits de l’homme fondamentaux doivent également être garantis en Ukraine, y compris le droit à la liberté de religion, a-t-il ajouté. Du point de vue russe, ce dernier point n’est plus d’actualité depuis 2014 dans les régions de l’est de l’Ukraine, majoritairement peuplées de Russes.

Il est frappant de constater que les principales exigences formulées à l’origine par Moscou – la démilitarisation et la «dénazification» de l’Ukraine – ne sont plus mentionnées dans les déclarations de Galouzine.

source : Zuerst via Euro-Synergies

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Pourquoi l'Ukraine ne pourra pas adhérer à l'Otan avant la fin de la guerre

 

  • Zelensky veut cependant obtenir une réponse "claire" de l'OTAN.
    Zelensky veut cependant obtenir une réponse "claire" de l'OTAN. EPA - SERGEY DOLZHENKO

Volodimir Zelensky a reconnu lui-même que c'était "impossible" dans l'immédiat.

Volodimir Zelensky a déclaré vendredi avoir conscience que l'Ukraine ne deviendrait pas membre de l'Otan tant que durerait la guerre contre la Russie. "Nous sommes des personnes convenables et nous comprenons que nous n'entraînerons aucun pays de l'Otan dans une guerre", a dit le président ukrainien aux journalistes à Kyiv, au côté de son homologue estonien Alar Karis.

"Et c'est pourquoi nous comprenons que nous ne deviendrons pas membre de l'Otan tant que la guerre continue. Non pas parce que nous ne le voulons pas, mais parce que c'est impossible", a-t-il ajouté.

Volodimir Zelensky a réclamé jeudi une réponse "claire" de l'Otan lors de son prochain sommet en juillet à Vilnius sur les perspectives d'adhésion de l'Ukraine. Les pays de l'alliance atlantique divergent cependant sur le calendrier de cette intégration.

Source

 

 

Note; "impossible" dans l'immédiat. Et "impossible" dans le futur, parce que la Russie ne l'acceptera jamais

 

 

 

Que fait l’Ukraine dans la ville de Chebekino et quelles sont les conséquences auxquelles nous pouvons nous attendre ?

 

Permettez-moi d’attirer l’attention des lecteurs sur l’attaque d’artillerie ukrainienne en cours sur la ville frontalière de Chebekino dans l’oblast de Belgorod de la Fédération de Russie. Il ne s’agit pas du pilonnage sporadique que la ville de Donetsk a subi au fil des ans depuis les positions fortifiées de l’armée ukrainienne mises en place depuis 2014.  Non, il s’agit d’un assaut mesuré en centaines d’obus d’artillerie au cours des dernières 24 heures, ainsi que de tentatives d’incursions armées de combattants ukrainiens à travers la frontière. Plusieurs centaines de résidences et d’immeubles à Chebekino ont été endommagés ou détruits au cours des derniers jours.

Les enfants ont été évacués vers d’autres parties de l’oblast et de l’oblast voisin de Voronezh, voire plus loin encore, où ils sont hébergés dans des camps d’été. Les adultes sont également évacués de toute la région frontalière dont fait partie la ville de Chebekino, qui compte 39 000 habitants. Ceux qui le peuvent partent dans leurs propres véhicules. Les autres sont transportés par des secouristes.

L’intensité de l’attaque contre Chebekino est rendue possible par sa proximité avec l’oblast ukrainien de Kharkov, qui est sous le contrôle de Kiev. Cette proximité est au cœur des préoccupations des décideurs russes, qui réfléchissent à la suite des événements. Il s’agit du territoire que Kiev a repris lors de sa célèbre offensive de septembre 2022.

Olga Skabeyeva, présentatrice de l’émission Sixty Minutes, a appelé cet après-midi en direct à la télévision les habitants de Kharkov à quitter leur maison sans se retourner, car les forces russes vont raser la ville et ses environs. Pendant ce temps, des experts de la même émission répètent l’appel lancé hier par Dmitri Medvedev visant à l’anéantissement du «gouvernement terroriste» de Kiev.

Qu’il n’y ait pas de confusion ici. L’attaque ukrainienne sur Chebekino, ville purement civile sans aucune valeur militaire, EST la «contre-offensive» ukrainienne tant attendue. C’est l’action d’une force militaire épuisée qui ne peut affronter les forces armées russes sur le champ de bataille. Les images diffusées par la télévision russe suggèrent que, jour après jour, leur avancée vers l’ouest à partir de Bakhmout/Artiomovsk, nouvellement conquise, se poursuit sans relâche. Toute la ligne du Donbass repousse les forces ukrainiennes, qui n’ont pas fait entrer en jeu leurs chars occidentaux tant vantés et d’autres matériels de pointe, car ils seraient détruits faute de couverture aérienne et de munitions que les Russes ont systématiquement éliminées par des frappes de missiles sur les caches d’armes au cours des dernières semaines.

Pendant ce temps, les experts russes s’intéressent de près à la chute du président Biden sur le podium, hier, lors d’une cérémonie de remise de prix. Ils trouvent tout à fait choquant que cette créature sénile appelée Joe tienne le destin du monde entre ses mains vacillantes.

source : Gilbert Doctorow

 

 

Tensions Chine - États-Unis : Déguisés en touristes, des "espions" chinois s'infiltrent dans une base militaire américaine

 

  • Le Fort Wainwright a été ciblé.
    Le Fort Wainwright a été ciblé. Capture d'écran

De prétendus touristes chinois ont tenté de pénétrer dans des bases militaires américaines.

"Nous vivons toujours avec la possibilité d'intrusion dans nos installations, et nous travaillons donc très dur pour nous assurer, en collaboration avec les autorités nationales et locales et d'autres, que ces bases et installations sont protégées contre les menaces", réagit Kathleen Hicks, la n°2 du Pentagone après des tentatives d'intrusions auxquelles a été confrontée récemment l'armée américaine.

Selon le Daily Mail, des supposés "espions" chinois déguisés en touristes ont tenté d'infiltrer plusieurs bases militaires américaines en Alaska, parvenant même à franchir le point de contrôle.

Un drone à l'arrière

D'après les faits rapportés par le média en ligne, un véhicule transportant des touristes chinois a réussi à passer en trombe le contrôle de sécurité de Fort Wainwright avant d'être arrêté. Ces derniers ont d'abord prétendu être de véritables touristes, avant qu'un drone soit découvert à l'arrière du véhicule.

Les circonstances précises de cet incident demeurent inconnues puisque la majorité des incidents de ce type sont classifiés.

 "Nous prenons très au sérieux la sûreté et la sécurité de nos employés dans nos installations", a toutefois déclaré Kathleen Hicks, lors d'une visite en Alaska.

Intérêt chinois

L'Alaska est l'une des terres les plus importantes du globe sur le plan géostratégique. Cet État américain, à l'extrême nord-ouest du Canada, fait l'objet d'un intérêt particulier de la part de la Russie et la Chine.

Les États-Unis, conscients d'intentions d'infiltration, avaient prévenu en septembre dernier par la voix de leur sous-secrétaire adjointe à la Défense pour l'Arctique, Iris Ferguson, que les dirigeants chinois "essayaient de s'insérer" dans la région.

Source

 

 

 

 

"Guerre déclarée par l’Otan, menée par Washington": le Président érythréen sur l’Ukraine

 

L'Érythrée s'oppose à "l'hégémonie" des États-Unis et de l’Otan et à la "guerre menée par Washington" contre la Russie depuis une trentaine d’années, a indiqué auprès de Sputnik Afrique le Président érythréen. Selon lui, cette politique s’inspire de la guerre froide et sous-entend "contrôler tout" et "diviser le monde en zones d'influence".

Suite à sa visite à Moscou, où il s’est entretenu avec Vladimir Poutine, le Président érythréen a couvert un large éventail de questions dans une interview exclusive accordée à Sputnik Afrique. D’après Isaias Afwerki, un ordre mondial basé sur l'endiguement américain des États capables de concurrencer avec eux n'est bénéfique pour personne.

Vers une guerre de religion, infos du 3 juin 2023

"Nous avions clarifié notre position. Pas hier ou avant-hier, mais nous avons dit que ce n’était pas le genre d'ordre mondial dont les peuples de tous les continents ont besoin. Personne n'a besoin de ce genre de politiques, d'hégémonie, de contrôle et de ne pas permettre aux gens de grandir et de travailler dur pour essayer de changer leur qualité de vie", a fait remarquer le Président Afwerki, ajoutant que l'Érythrée avait été victime de cette approche occidentale.

En effet, ce pays a été l'un des États à voter contre une résolution des Nations unies le 2 mars 2022, condamnant l'opération spéciale de Moscou en Ukraine. Un an plus tard, l'Érythrée a en outre voté contre une résolution de l'Onu exigeant que la Russie cesse immédiatement les hostilités.

Les échos de la guerre froide

Le chef de l’État érythréen a d’ailleurs jugé que la politique américaine d'endiguement visait Moscou depuis 30 ans. Ce, depuis la fin de la guerre froide, quand l'idée est venue de "contrôler tout et chaque personne, influencer le monde, diviser le monde en zones d'influence".

"Ce n'est pas une guerre entre la Russie et l'Ukraine. C'est une guerre déclarée par l'Otan, menée par Washington. Et la Russie a le droit de se défendre. Pas toute seule. Ce n'est pas une Russie isolée. C'est un problème mondial", a-t-il mis en valeur.

Selon le Président Afwerki, l’époque de la guerre froide a joué son

"Cette obsession [occidentale] de contenir la Russie était là depuis 30 ans. Si vous contenez une nation pour qu'elle ne grandisse pas, ne rivalise pas, ne puisse pas apporter sa contribution, alors vous déclarez la guerre".

Et de souligner que la crise actuelle a dépassé la dimension régionale pour devenir une préoccupation aux proportions mondiales.

"Ce n'est pas une Russie isolée. C'est un problème mondial. Et nous avons besoin d’un ordre, d’un ordre global ou d’un ordre mondial qui permettra à chacun de partager, de coopérer. La complémentarité devra être là. Vous ne pouvez pas contenir une nation. Vous ne pouvez pas forcer ou même utiliser la force, toutes sortes de coercition pour soumettre des nations. Ceci est inacceptable."

Spoutnik

 

 

 

 

 

L’Iran cache son nucléaire sous la montagne, à l’abri des regards et des bombes

 

Des photos satellites prouvent que Téhéran enterre ses installations près de Natanz. Pour échapper aux bombes les plus performantes.

 

Le centre de recherche nucléaire iranien de Natanz, près d’Ispahan, photographié en 2005.
Le centre de recherche nucléaire iranien de Natanz, près d’Ispahan, photographié en 2005. | ARCHIVES RAHEB HOMAVANDI, REUTERS
 

Les photos prises par les nano-satellites de l’entreprise privée américaine Planet Labs sont édifiantes. Près de la ville de Natanz, on voit une large route partir d’un des principaux centres de recherche nucléaire iraniens pour rejoindre le pied des monts Zagros. Les multiples et fréquents passages des satellites au-dessus de la zone ont révélé une importante circulation de véhicules et l’accumulation de gravats à l’extérieur qui accréditent le percement de tunnels.

 
Une des images satellite prises par Planet Labs. On y voit la route qui rejoint le pied de la montagne depuis le centre de recherches nucléaires de Natanz (à droite). | PLANET LABS PBC/AP/SIPA
 
Une des images satellite prises par Planet Labs. On y voit la route qui rejoint le pied de la montagne (en bas) depuis le centre de recherches nucléaires de Natanz (en haut). | PLANET LABS PBC/AP/SIPA
 

Pour y faire quoi ? L’hypothèse la plus probable est la volonté de mettre une partie des installations à l’abri des regards et surtout de possibles frappes aériennes.

Depuis que, à la grande déception des Européens, l’administration Trump s’est retirée en 2018 de l’accord sur le contrôle des activités nucléaires iraniennes conclu en 2015, l’Iran est en roue libre. En riposte aux nouvelles sanctions de Washington, le régime des mollahs, qui jure ne mener qu’un programme civil, s’est peu à peu affranchi de ses engagements.

Assez pour faire des bombes

L’enrichissement de l’uranium qui devait se limiter à 3,7 %, assez pour faire fonctionner des centrales électriques, dépasse désormais 60 %. Des inspecteurs de l’AIEA ont même détecté des échantillons enrichis à plus de 87 %, tout près du seuil militaire pour fabriquer une bombe atomique. Et les stocks d’uranium enrichis dépassent aujourd’hui de vingt fois les 200 kg autorisés par l’accord de 2015.

Un casus belli pour les États-Unis et leur allié régional Israël, qui ont juré qu’ils ne laisseraient jamais l’lran obtenir l’arme atomique. Autant dire que les photos satellites de Planet Labs, révélées le 22 mai par l’agence Associated Press, ont fait à Tel-Aviv l’effet d’une… bombe. Car l’épaisseur de roche des monts Zagros à cet endroit, soit 80 à 100 m au-dessus des tunnels, rendrait inopérantes les plus sophistiquées des bombes américaines. Ce sont des munitions hautement destructrices et à fort pouvoir pénétrant, capables de percer jusqu’à 50 m sous la surface, et justement développer pour.

Israël, qui a mené ces dernières années de nombreuses opérations clandestines de sabotage ou d’assassinats de scientifiques iraniens, a déjà réagi. Bombe ou pas,  il n’y a aucun endroit qui ne peut être atteint  , assure son conseiller national à la sécurité Tzachi Hanegbi.

Source

Note : cela faits des années que les Américains aurais dû bombarder ce site, mais ils ont préféré mettre le démordre en Syrie, en Libye et en Ukraine. Et leurs erreurs auras des conséquences catastrophiques pour le monde occidental

 

 

Erdogan a prêté serment en tant que nouveau président de la Turquie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 juin 2023

Le 3 juin, Recep Tayyip Erdogan a été officiellement investi président de la République de Turquie.

Erdogan a prêté serment en tant que chef de l'Etat au parlement turc, moins d'une semaine après sa victoire historique lors du second tour de l'élection présidentielle.

La cérémonie de prestation de serment devrait être suivie d'un dîner qu'Erdogan organisera pour les chefs d'État étrangers présents, au Cankaya Mansion, la résidence officielle du vice-président turc.

Plus tard dans la journée, le président turc devrait également annoncer son nouveau cabinet.

Le mois dernier, Erdogan l'a emporté de justesse au second tour de l'élection présidentielle turque, obtenant 52,14 % des voix tandis que son rival, le candidat de l'opposition Kemal Kilicdaroglu, a obtenu 47,86 voix.

Spoutnik

 

 

 

L’Azerbaïdjan accuse Macron de déformer ce qui a été discuté lors des pourparlers de paix avec l’Arménie

 

L’Azerbaïdjan accuse le président français Emmanuel Macron de déformer ce qui a été discuté lors des pourparlers de paix à enjeux élevés avec l’Arménie. La prise de bec intervient au milieu des avertissements du risque de reprise du conflit dans le Caucase du Sud. 

Le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev et le Premier ministre arménien Nikol Pashinyan se sont rencontrés jeudi soir en marge du sommet de la Communauté politique européenne en Moldavie pour la dernière d’une série de négociations sur un éventuel traité de paix. Macron, ainsi que le président du Conseil européen Charles Michel et le chancelier allemand Olaf Scholz, ont rejoint le Sit-down en tant que médiateurs.

À l’issue de ce sommet, l’Élysée a déclaré que «les dirigeants européens ont appelé l’Arménie et l’Azerbaïdjan à respecter tous leurs engagements», exhortant les deux nations voisines à libérer les prisonniers de guerre et à éviter «la rhétorique hostile».

En outre, a ajouté le service de presse de Macron, les trois dirigeants occidentaux «ont souligné l’importance de définir des droits et des garanties pour les Arméniens du Haut-Karabakh», la région séparatiste sur laquelle l’Arménie et l’Azerbaïdjan ont mené une guerre brutale en 2020. Cependant, vendredi, le porte-parole du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères, Aykhan Hajizada, a indiqué que «la déclaration faite unilatéralement par le président français au sujet de la réunion ne reflète pas et déforme la position des parties. Malheureusement, ce n’est pas le premier cas d’un tel comportement de la part de la France, et cela n’apporte pas une contribution positive au processus de paix».

source : Algérie 54

 

 

 

 

Fournas (RN) : «SOS Méditerranée a un rôle de passeur», « J’ai saisi le tribunal administratif de Bordeaux pour faire annuler la scandaleuse subvention de 50 000€ de la Gironde»

Il l’avait dit, il le fait. Le député Grégoire de Fournas (RN), ouvertement opposé à «l’action militante de SOS Méditerranée qui interfère dans les champs de compétences de l’État», a déposé un recours au tribunal administratif de Bordeaux, samedi dernier. Il attaque la décision de la Gironde de subventionner l’association à hauteur de 50.000 euros. […]

Définissant l’action de SOS Méditerranée comme l’œuvre apolitique «de citoyennes et de citoyens résolu.e.s à agir face à la catastrophe humanitaire des naufrages», l’institution présidée par Jean-Luc Gleyze arguait «que le sauvetage en mer de toute vie humaine est un devoir alors que les conflits, la misère et la crise climatique poussent de nombreuses personnes à s’engager sur les routes de l’exil à la recherche d’une vie meilleure».

Et c’est justement sur ce point-là que la vision de l’élu nationaliste diverge avec celle du Département. […] «Au-delà de son rôle de sauvetage, l’association a un rôle de passeur car elle leur fait traverser la Méditerranée pour débarquer en force vers un port européen et non, vers le port le plus proche», déclare ainsi au Figaro l’ancien conseiller départemental.

Le Figaro

 

 

Harcèlement de rue : « c’est toujours par des personnes de type maghrébine que je me fais suivre, siffler ou insulter »

 

 

Alors que 42% des retraités vivant à l’étranger sont au Maghreb, le gouvernement français a étudié 1.000 dossiers de « quasi-centenaires » en Algérie : 300 ont été déclarés « non conformes », affirme le ministre Gabriel Attal

Le gouvernement entend mieux contrôler les retraités résidents à l’étranger. Revenus, âge, localisation… Le Parisien a dressé le portrait de ces bénéficiaires de l’assurance retraite française.

Ils seraient un million désormais placé dans le viseur de Bercy. Dans une interview exclusive au Parisien Aujourd’hui en France, Gabriel Attal, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a dévoilé son plan pour le contrôle des retraités de plus de 85 ans installés à l’étranger, notamment pour s’assurer qu’ils sont toujours vivants.

Cette annonce fait suite à une expérimentation menée depuis septembre en Algérie, au cours de laquelle 300 dossiers de retraités « quasi-centenaires » sur 1 000 dossiers étudiés ont été déclarés non conformes, a affirmé le ministre qui a rappelé que plus d’un million de pensions étaient versées à l’étranger, dont la moitié hors d’Europe et 300 000 en Algérie.

[…]

 

Le Parisien

 

 

Oye-Plage (62) : 3 gendarmes blessés par des violences, 38 migrants en garde à vue ; seuls 4 migrants déférés devant la justice (MàJ : ils sont bien les auteurs des faits mais la “scène est complexe” ; tous relaxés)

02/06/23

Traduits au tribunal de Saint-Omer en comparution immédiate mercredi, ils se rejettent la responsabilité des violences, contestent les faits. Il s’avère dés lors difficile de déterminer avec précision les responsabilités de chacun.  La procureure décrit « une scène complexe de violences, de chaos où l’on n’a pas assez d’éléments pour entrer en voie de condamnation » malgré des blessures causées aux gendarmes.

La défense des prévenus va dans le même sens, et pose aussi la question sur les autres gardés a vue. Où sont-ils ? La scène est violente, entre 30 et 50 migrants prennent le bateau, ça va vite… Ils demandent la relaxe. Ce qu’a suivi le tribunal, qui se montre néanmoins solidaire des forces de l’ordre.

La Voix du Nord

26/05/23

Quatre hommes afghans, albanais et kurdes âgés d’une vingtaine d’années seront jugés mercredi en comparution immédiate, après des violences commises jeudi sur des gendarmes à Oye-Plage. Ils sont suspectés d’avoir attaqué à coups de cailloux et de bâtons les militaires qui tentaient d’empêcher une traversée de la Manche pour l’Angleterre.

(…) Sur les 38 migrants interpellés dans la foulée, quatre sont déférés ce vendredi devant un juge des libertés au Parquet de Saint-Omer, avant leur jugement mercredi en comparution immédiate. Ils encourent des peines allant jusqu’à 10 ans de prison, car les violences ont été commises avec trois circonstances aggravantes, en réunion, avec armes et sur des militaires. Deux autres personnes sont suspectées d’être impliquées, mais à un degré moindre. Elles seront jugées en avril 2024.

Selon le Procureur de Saint-Omer, les interventions des forces de l’ordre pour tenter d’empêcher les traversées sont de plus en plus tendues alors que ces migrants sont prêts à tout pour rejoindre l’Angleterre, après un déjà long et difficile périple jusqu’en France.

France Bleu


25/05/23

Trente-huit migrants ont été placés en garde à vue jeudi pour «violences en réunion» après que trois gendarmes ont été blessés alors qu’ils voulaient empêcher une embarcation de prendre la mer à Oye-Plage.

Ces trois gendarmes circulaient en buggy quand ils ont été caillassés jeudi matin par des migrants, ce qui a entraîné la perte de contrôle de leur véhicule. «Le pare-brise d’un des buggy a éclaté suite au jet d’une pierre» et il a «fait une embardée dans des sables mous, entraînant son retournement», a précisé le parquet. L’agression «s’est poursuivie sur les trois gendarmes coincés dans le buggy avant une intervention rapide de leurs collègues pour les dégager».

Le Figaro

 

 

« Les migrants seront bientôt les puissants » : un journal allemand provoque un tollé en publiant un article sur l’immigration affirmant que les Allemands de souche seront bientôt une minorité

Die Zeit a supprimé le lien vers l’article sur les réseaux sociaux après qu’un certain nombre d’utilisateurs ont exprimé leur indignation face à la rhétorique, bien que beaucoup d’autres ont félicité la publication.

Le journal allemand Die Zeit a provoqué une tempête sur les réseaux sociaux après avoir publié un article dans lequel il affirme que l’Allemagne sera bientôt “un pays dans lequel les migrants ne seront plus une minorité”.

Die Zeit a publié mardi sur ses pages l’article soulignant l’irréparable changement démographique de l’Allemagne, avec la légende suivante :

L’intégration, c’était hier : L’Allemagne est le deuxième pays d’immigration au monde, et les Allemands d’origine sont vraisemblablement appelés à devenir une minorité parmi tant d’autres dans un avenir proche. Et maintenant ?

La photo d’accompagnement montrait un groupe de quatre jeunes immigrés à bord d’une décapotable, souriant à l’appareil photo, avec le titre suivant : “Ils seront les puissants”.

L’article raconte l’époque où il existait une “patrie familière” avant l’arrivée des “autres”, expliquant que l’Allemagne ne comptait autrefois que 500 000 ressortissants étrangers résidant en République fédérale et que le pays “appartenait aux Allemands”.

On connaissait ses voisins. On comprenait ce qu’ils disaient, ce qu’ils croyaient. La paix régnait. L’économie se développait.

Bien que l’article dépeigne une époque plus paisible avant l’immigration de masse, l’article lui-même n’est pas anti-immigration. Il tente ensuite de persuader le lecteur que l’Allemagne a presque toujours été un pays d’immigration, en citant les Prussiens qui importaient des travailleurs étrangers – bien que la quasi-totalité de ces travailleurs fussent européens et chrétiens.

L’article affirme également que l’Allemagne est “plus sûre que jamais”. Bien que les statistiques montrent que la criminalité a globalement baissé au cours de la dernière décennie, les meurtres et les viols collectifs sont en augmentation, et une part disproportionnée d’entre eux sont commis par la population étrangère de l’Allemagne. En fait, les viols collectifs ont atteint un niveau record en 2022, la moitié des suspects étant des étrangers.

Cependant, la publication de l’article sur les médias sociaux a provoqué des remous dans le paysage politique allemand, les militants des deux camps du débat sur l’immigration ayant commenté l’article.

“Pardon ?”, a écrit l’eurodéputé vert Erik Marquardt sur Twitter en réponse à l’article de Die Zeit.

Le tweet original de Die Zeit a ensuite été supprimé des réseaux sociaux et remplacé par une nouvelle photo, représentant deux femmes blanches, avec la légende suivante : “Ces dernières années, l’Allemagne est devenue le deuxième pays d’immigration au monde sans vraiment vouloir l’admettre”.

“Cette accroche est presque encore pire que l’ancienne”, a commenté Marius Mestermann, journaliste à Der Spiegel, un sentiment partagé par un certain nombre d’autres libéraux autoproclamés.

D’autres, en revanche, ont félicité la publication d’avoir attiré l’attention sur les changements démographiques dans le pays, un fait incontestable matérialisé par des niveaux records d’immigration de masse sous des années de gouvernance libérale.

L’article de Die Zeit en question:

Ils seront les puissants

Version complète :

https://archive.is/4LThX#selection-1235.0-1245.165

Rmx.news

 

 

 

 

 

États-Unis : le Texas interdit les médicaments et les actes chirurgicaux pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans

Le Texas devient le plus grand État américain à interdire les médicaments et actes chirurgicaux pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans. Les démocrates ont dénoncé des atteintes aux droits fondamentaux.

Le Parisien

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