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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 2 juin 2023
L’ESSENTIEL
13h22 : Moscou dit avoir « touché » des systèmes de défense antiaérienne dans des frappes cette nuit
« Cette nuit, les forces aérospatiales russes ont mené une frappe groupée, avec des armements de haute précision et longue distance depuis les airs, sur des systèmes de défense antiaérienne de l’ennemi couvrant des infrastructures militaires clés », a indiqué dans un communiqué le ministère russe de la Défense, en assurant avoir atteint « toutes » les cibles.
13h07 : De « nombreuses difficultés » empêchent la tenue de pourparlers selon l’émissaire chinois
De « nombreuses difficultés » empêchent en l’état la Russie et l’Ukraine d’entamer des pourparlers de paix, a estimé vendredi l’émissaire chinois pour l’Ukraine, de retour à Pékin après une tournée en Europe. « Toutes les parties soutiennent un règlement politique » du conflit, a assuré Li Hui, dont la tournée l’a notamment conduit à Kiev et à Moscou.
« Les différentes parties font face actuellement à de nombreuses difficultés pour s’asseoir (à la même table) et engager des discussions », a-t-il déclaré à la presse, sans plus de précisions. Mais, a-t-il ajouté, les belligérants « ne sont pas sans points de consensus ». « Les deux parties n’ont pas complètement fermé la porte à des discussions de paix », a-t-il encore assuré.
Note : Mais qui peut empêcher la paix en Ukraine !?
Ursula von der Leyen et la Commission européenne s'opposent une nouvelle fois à un cessez-le-feu en Ukraine : ils se fichent des morts, ils se fichent des souffrances, des destructions, ils ne veulent pas la paix, ils veulent la domination ! https://t.co/tOxghrPI58
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) May 31, 2023
11h33 : Les Etats-Unis plus attentifs à la « menace » chinoise depuis la guerre en Ukraine
11h19 : L’invasion de l’Ukraine est un « échec stratégique » pour la Russie
La guerre menée en Ukraine par le président russe Vladimir Poutine est un « échec stratégique » pour la Russie, a affirmé vendredi le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken à Helsinki.
« La guerre d’agression (de Poutine) a été un échec stratégique, diminuant considérablement la puissance militaire, économique et diplomatique de la Russie ainsi que son influence pour les années à venir », a-t-il dit dans ce discours prononcé chez le nouveau membre de l’Otan.
10h39 : Deux civils tués dans un bombardement sur une région russe frontalière de l’Ukraine
Deux civils ont été tués et deux blessés dans un bombardement ukrainien sur la région russe de Belgorod, frontalière de l’Ukraine, a indiqué vendredi le gouverneur de ce territoire soumis à des frappes répétées ces derniers jours.
« Des éclats d’obus ont touché des automobiles qui passaient. Dans l’une d’elles, deux femmes (…) sont décédées sur place de leurs blessures », a déclaré sur Telegram Viatcheslav Gladkov, précisant que ces tirs avaient touché une route dans un village près de la ville de Chebekino, frontalière de l’Ukraine.
Les États-Unis s’opposent aux frappes de l’Ukraine sur le territoire russe parce qu’ils souhaitent éviter la Troisième Guerre mondiale, a déclaré le mercredi 31 mai le coordinateur de la Maison-Blanche pour la communication stratégique, John Kirby.
«Pour éviter la Troisième Guerre mondiale», a-t-il indiqué devant les journalistes qui lui demandaient pourquoi les États-Unis étaient contre les frappes de Kiev sur le territoire russe.
Le 30 mai au matin, l’Ukraine a mené une attaque terroriste contre la capitale russe. Huit drones de type avion ont été impliqués, selon le ministère russe de la Défense.
Cinq appareils ont été abattus par un système antiaérien Pantsir dans la région de Moscou, trois autres ont été neutralisés par des brouilleurs et ont raté leurs cibles. Deux drones ont heurté des immeubles à Moscou, causant des dégâts mineurs. Personne n’a été blessé, selon les autorités.
Le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, a indiqué que cette attaque était une réponse du régime de Kiev aux récentes frappes efficaces de la Russie contre l’un de ses centres de commandement.
source : Al Manar
Note : si c'était le cas, ils ne fourniraient pas autant d'arme à l'Ukraine. Une attaque sur le sol russe avec des armes de l'Otan est inévitable, les Américains (et l'Europe) jouent avec le feu et vont finir par se faire bruler
La Russie a indiqué avoir repoussé ce jeudi matin des attaques venues d'Ukraine dans l'oblast de Belgorod. Une incursion qui place le ministère russe de la Défense face à un choix cornélien.
La Russie a été contrainte de "déployer toute sa puissance de feu militaire sur son propre territoire" ce jeudi matin pour repousser "des groupes de partisans" qui "ont attaqué la région russe de Belgorod pour la deuxième fois en dix jours", rapporte le service de renseignements britannique dans son dernier point de situation sur la guerre en Ukraine.
Si "l'armée et les forces intérieures russes ont probablement réussi à contenir ce raid plus rapidement que le précédent", elles ont néanmoins été poussées à sortir l'artillerie lourde, "y compris des hélicoptères d’attaque et le lance-roquettes à effet thermobarique TOS-1A", pour repousser ces attaques.
Or, ce scénario place l'Etat-major russe face à un "grave dilemme", selon les renseignements britanniques. À savoir : "renforcer les défenses dans les régions frontalières de Russie ou ses positions dans les zones occupées d’Ukraine" alors que la contre-offensive ukrainienne est annoncée comme imminente.
par Vladimir Tchernine
«Maintenant, moi et mille personnes comme moi regardons nos comptes bloqués par le service d’exécution. Nous sommes à sec, sans moyens de subsistance. Je ne comprends pas trop, c’est fait exprès ou quoi ?»
Voir vidéo sur le site (le format de ces vidéos ne sont malheureusement pas adaptées pour mon blog)
Pour le président chinois, Xi Jinping, les hauts responsables chinois de la sécurité nationale doivent se préparer au «pire scénario».
«Xi Jinping a demandé aux chefs de la sécurité nationale chinoise de se préparer aux scénarios du «pire des cas»», fait savoir CNN.
«La complexité et la difficulté des problèmes de sécurité nationale auxquels nous sommes confrontés ont considérablement augmenté», a martelé Xi Jinping lors d’une réunion de la Commission de sécurité nationale du parti, a rapporté l’agence de presse officielle Xinhua, continue le média anglophone.
«Nous devons adhérer à la réflexion sur les résultats et au scénario du pire, et nous préparer à subir les tests majeurs de vents violents et de vagues agitées, et même de mers tumultueuses», a-t-il rajouté.
«Les dernières instructions sévères de Xi Jinping, le dirigeant le plus puissant de Chine depuis des décennies, surviennent alors que Pékin est confronté à une multitude de défis, allant d’une économie en difficulté à ce qu’il considère comme un environnement international de plus en plus hostile», souligne CNN.
Face à ce qu’il a appelé une situation «complexe et grave», Xi Jinping a déclaré que la Chine devait accélérer la modernisation de son système et de ses capacités de sécurité nationale, en mettant l’accent afin de les rendre plus efficaces dans «le combat réel et l’utilisation pratique».
Il a également appelé la Chine à poursuivre la construction d’un système de surveillance des risques pour la sécurité nationale et d’alerte précoce, à renforcer l’éducation à la sécurité nationale et à améliorer la gestion de la sécurité des données et de l’intelligence artificielle.
source : Observateur Continental
Les responsables américains se précipitent pour minimiser le retrait comme une situation temporaire, mais les récentes ouvertures diplomatiques des Émirats arabes unis à l'Iran suggèrent le contraire.
Les Émirats arabes unis ont mis fin à leur participation à une coalition navale dirigée par l'armée américaine au cours des derniers mois, a révélé mercredi le ministère des Affaires étrangères du pays.
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"À la suite de notre évaluation en cours de l'efficacité de la coopération en matière de sécurité avec tous les partenaires, il y a deux mois, les Émirats arabes unis ont retiré leur participation aux Forces maritimes combinées", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Le retrait annoncé du groupe de travail de 38 nations est intervenu dans une déclaration qui a rejeté un récent rapport des médias occidentaux affirmant que les responsables des Émirats arabes unis expriment en privé leur frustration envers leurs homologues américains au sujet des récentes saisies de pétroliers dans le golfe Persique par les forces iraniennes.
"Les Émirats arabes unis ont rejeté la description erronée, dans de récents articles de presse, des conversations américano-émiriennes concernant la sécurité maritime", mercredi l'agence de presse officielle des Émirats arabes unis a écrit .
Le ministère des Affaires étrangères "a souligné que les Émirats arabes unis restaient déterminés à assurer de manière responsable la sécurité de la navigation dans leurs mers, conformément au droit international", a conclu le rapport.
Les responsables américains auraient toutefois insisté sur le fait que la nation du Golfe ne s'était pas officiellement retirée de la force opérationnelle maritime dirigée par les États-Unis. Au lieu de cela, un porte-parole de la cinquième flotte de la marine américaine à Bahreïn affirme que les Émirats arabes unis "ont retiré leur participation pour le moment aux forces opérationnelles, mais pas leur adhésion globale".
Les médias occidentaux ont fait écho à cette affirmation, l'un des principaux médias britanniques soulignant le fait que le site Web officiel du CMF répertorie toujours les Émirats arabes unis en tant que pays membre comme preuve qu'Abu Dhabi n'a "pas quitté le CMF".
De tels rapports ont tendance à dépeindre le manque de participation des Émirats arabes unis au projet militaire américain comme une expression de colère envers les États-Unis pour ne pas être assez agressifs envers l'Iran. Mais le récent réchauffement des relations diplomatiques entre Téhéran et Abou Dhabi suggère qu'une dynamique différente pourrait être en jeu.
En fait, l'annonce est intervenue le même jour qu'un haut diplomate des Émirats arabes unis a rencontré le ministre iranien des Affaires étrangères Amir Abdollahian pour une visite à Téhéran qui a été officiellement décrite comme un effort pour "élargir la coopération pour atteindre des intérêts communs et promouvoir la stabilité et la prospérité régionales".
Le mois dernier, l'Iran a nommé un nouvel envoyé aux Émirats arabes unis, après avoir passé sept ans sans nommer d'ambassadeur dans le pays.
Le Parlement européen remet en cause la prochaine présidence hongroise de l’UE. Les eurodéputés ont approuvé jeudi une résolution qui demande au Conseil, l’institution qui représente les Etats membres, de trouver une solution pour empêcher Budapest de diriger pendant un semestre les discussions entre les gouvernements.
Le gouvernement populiste du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, est pointé du doigt par les 27 pour ses atteintes à l’Etat de droit.
La Commission européenne a décidé l’année dernière de geler la plupart des fonds européens alloués à la Hongrie en raison des risques de corruption et des attaques portées à la démocratie.
(…)
L’extrême droite (ID), les eurosceptiques (ECR) et les eurodéputés du parti Fidesz du Premier Ministre nationaliste Viktor Orban ont voté contre.
“J’espère, et je suis confiante, qu’aucune décision antidémocratique ne sera prise en violation des lois et qu’il ne viendra pas à l’esprit de gens sérieux que la présidence de l’UE puisse être contestée à la Hongrie”, a réagi la présidente hongroise Katalin Novak.
(…)
L’eurodéputé français Jean-Paul Garraud (groupe ID, extrême droite) a fustigé la résolution, estimant que “cette nouvelle initiative consiste littéralement à bafouer l’esprit des traités et à humilier la Hongrie et son peuple”.
Le gouvernement polonais ne coopérera pas avec le programme de relocalisation forcée des migrants proposé par le Conseil de l’UE sous la Présidence suédoise, a annoncé mercredi (31 mai) le ministère des Affaires étrangères de la Pologne.
Stockholm a soutenu la proposition de la Commission européenne concernant la réforme du système de migration et d’asile de l’Union, y compris la relocalisation de 120 000 migrants par an ou l’équivalent de 22 000 euros par migrant à payer par les États qui refusent d’accepter les nouveaux arrivants, ont déclaré des sources européennes à l’Agence de presse polonaise (PAP).
« Il n’y aura pas de consentement de la Pologne pour un programme de relocalisation obligatoire », un système qui « s’est déjà avéré absolument inefficace et nuisible », a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Szymon Szynkowski vel Sęk, cité par TVP Info. « Il est temps de se concentrer sur les enjeux élémentaires et les outils efficaces, et non sur les pseudo-remèdes », a-t-il ajouté.
La Pologne a géré efficacement la plus grande crise migratoire après la Seconde Guerre mondiale, a-t-il dit, faisant référence à la vague de réfugiés après le début de l’invasion russe de l’Ukraine. Le pays a accueilli 2 millions de réfugiés, et plus de 10 millions ont franchi la frontière entre la Pologne et l’Ukraine depuis le 24 février 2022.
(…) La relocalisation obligatoire n’était pas, n’est pas et ne sera pas dans la proposition, a clarifié Maria Malmer Stenergard, ministre suédoise de la Migration. « La solidarité obligatoire est une autre chose », a-t-elle tweeté la semaine dernière, expliquant que les pays qui ne veulent pas accueillir de demandeurs d’asile peuvent contribuer par de l’argent ou par le renforcement des capacités.
BFMTV 22H MAX : Une chercheuse du CNRS menacée de mort – 01/06
On en parle avec : Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue au CNRS, auteure de “Le Frérisme et ses réseaux, l’enquête” (Éd Odile Jacob). Pablo Pillaud-Vivien, rédacteur en chef de revue Regards. Antonin André, éditorialiste politique. Pauline Simonet, journaliste à BFMTV. Et Charles Consigny, avocat et écrivain.
Dans la nuit du 19 au 20 juillet 2021, un Ripagérien [NdeFDS : habitant de Rive-de-Gier] de 20 ans s’en est pris à une douzaine de vitrines dans le centre-ville de Saint-Chamond. Il a également cambriolé une auto-école.
Adem, originaire de Menzel Kamel en Tunisie, était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français. Il a expliqué tranquillement aux policiers « n’avoir rien fait en attendant que (son) avocat lui explique ». (…)
Adem, dont le casier judiciaire affiche trois condamnations, n’a pas fait le déplacement à son procès pour s’expliquer. « On peut supposer qu’il n’est plus sur le territoire français », soupire la procureure, qui n’en réclame pas moins de la prison ferme.
Le tribunal condamne le jeune homme à douze mois avec sursis. Il devra en outre rembourser les parties civiles. Lors de sa garde à vue, Adem s’était énervé. « Les caméras, ce n’est pas une preuve. Vous me sortez de là, sinon je vais tout casser à Saint-Chamond. »
Dubravka Šuica est la Vice-présidente de la Commission européenne chargée de la Démocratie et de la Démographie
Laetitia Avia a beau contester, l’accusation persiste et signe. Ce jeudi, elle a requis un an de prison avec sursis, 10.000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité à l’encontre de l’ancienne députée LREM, jugée pour harcèlement moral sur sept de ses ex-assistants parlementaires entre 2017 et 2020. Le procès de l’ancienne députée de Paris et pilier de la majorité, qui conteste vigoureusement tout harcèlement, a débuté les 9 et 10 mai avant d’être interrompu à cause du planning chargé de la 31e chambre correctionnelle du tribunal de Paris.
Dans son réquisitoire, la procureure a estimé que l’élue avait bien « dénigré » et « humilié » ses collaborateurs, notamment par des « quolibets » et des remarques visant l’orientation sexuelle ou les origines, qu’elle avait en outre instauré un « climat de peur » et exigé des « heures de travail abusives » ainsi que des tâches indues liées à sa vie personnelle. La représentante du ministère public a souligné « l’excès » et la « répétition » qui ressortent des témoignages des sept anciens collaborateurs, dont deux n’ont pas voulu se porter partie civile. « Ils dénoncent les mêmes mots, les mêmes faits », a souligné la magistrate.
Accusée de harcèlement moral à l’encontre de six ex-collaborateurs, elle est attendue ce mardi et ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Paris.
«On a voté l’amendement des PD», se serait-elle félicitée dans un message interne après l’adoption d’une mesure protectrice pour les réfugiés LGBT. «Ça sent le Chinois» ou «tu es un faux Chinois, tu ne maîtrises pas le Mac», aurait-elle également écrit, visant un collaborateur d’origine asiatique trop peu doué selon elle en informatique. Tel autre aurait été traité publiquement de «poubelle de table».
Par ailleurs, Mme Avia aurait eu l’habitude de confier à ses assistants, corvéables à merci quelle que soit l’heure, des missions relevant de sa vie privée: prendre rendez-vous chez un notaire, réserver une place pour son époux à Roland-Garros, acheter des produits médicaux relevant de prescriptions intimes à la pharmacie ou encore, pendant l’été, se faire rafraîchir les jambes à l’aide d’un brumisateur.
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