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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 29 mai 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Une douzaine d'explosions entendues à Kiev, « la défense aérienne en action »...

 

L’ESSENTIEL

  • La capitale Kiev a été à nouveau frappée dans la nuit de dimanche à lundi par des drones explosifs et des missiles, selon les autorités militaires, moins de 24 heures après avoir subi sa plus importante attaque de drones depuis le début de la guerre.
  • Poutine, Biden, Zelensky, Macron… plusieurs chefs d’Etat ont adressé leurs félicitations à Erdogan pour sa victoire dimanche à la présidentielle turque. Membre de l’Otan, la Turquie possède une influence dans des zones stratégiques cruciales pour Moscou et a joué un rôle de médiateur dans le conflit ukrainien. La Suède, candidate à une entrée dans l’Alliance atlantique, est en outre toujours confrontée au veto d’Ankara.
  • A Moscou, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a évoqué la semaine dernière le conflit en Ukraine avec l’envoyé spécial chinois Li Hui, qui était le mois dernier à Kiev. Il a affirmé que la Russie souhaitait un règlement politique mais que « l’Ukraine et ses soutiens occidentaux mettaient de sérieux obstacles à la reprise des pourparlers de paix. »

 

13h41 : Le ministère de la Défense russe dit avoir frappé « des aérodromes » et « détruit » toutes ses cibles

La Russie a affirmé lundi avoir frappé dans la nuit « des aérodromes » en Ukraine et « détruit » toutes ses cibles, quelques heures après que Kiev eut rapporté qu’un site militaire dans l’ouest du pays avait été touché par une attaque de Moscou.

« Toutes les cibles désignées ont été détruites », a affirmé le ministère russe de la Défense dans un communiqué, sans préciser toutefois les lieux de ces frappes. « Des postes de commandement, des postes radar, ainsi que du matériel aéronautique, des installations servant au stockage d’armes et de munitions des forces armées ukrainiennes ont été touchés », a-t-il assuré.

 

10h38 : Une douzaine d’explosions entendues à Kiev

Les sirènes aériennes ont été déclenchées, ce lundi matin, à Kiev, ont constaté des journalistes de l’AFP. Des informations confirmées par le message Telegram du maire de la capitale ukrainienne Vitali Klitschko : « Explosions en ville, dans des quartiers du centre ».

« La défense aérienne est en action », a de son côté indiqué l’administration militaire de Kiev.

DIRECT

 

 

 

 

 

Les forces armées russes capables de répondre à la formation de pilotes ukrainiens pour piloter des F-16 - Lavrov

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 mai 2023

NAIROBI (Spoutnik) - Les forces armées russes ont la capacité de répondre à l'intention des pays occidentaux de former des pilotes ukrainiens au pilotage d'avions de chasse F-16, a déclaré lundi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"Quant au Danemark et aux Pays-Bas et à leur intention d'être à l'avant-garde de ceux qui forment les pilotes ukrainiens sur les avions occidentaux, eh bien, il y a d'abord une volonté de plaire à l'hégémonie. Ces pays poursuivent activement la ligne de Washington en Europe. Quant à notre réaction, je ne doute pas que nos forces armées aient la capacité de réagir à cela », a déclaré Lavrov aux journalistes lors de sa visite au Kenya.

Une coalition internationale s'est formée ces dernières semaines pour fournir à l'Ukraine des F-16 , l'avion de chasse de son choix, et des entraînements. Plusieurs pays se sont portés volontaires pour accueillir la formation des pilotes ukrainiens, mais il n'a pas encore été décidé lequel d'entre eux et quand le ferait.

Les livraisons d'avions de combat sont prévues à long terme, pas pour les opérations immédiates de Kiev, a déclaré la Maison Blanche la semaine dernière.

La Russie appelle les livraisons possibles de F-16 une autre étape d'escalade et prévient que l'équipement deviendra une cible légitime pour les forces russes.

Spoutnik

 

 

 

Moscou lance un mandat d’arrêt contre le sénateur US qui se réjouissait de "la mort des Russes"

 

Pour ses propos sur l’extermination des Russes, le sénateur américain Lindsey Graham a été placé par le ministère russe de l’Intérieur sur la liste des personnes recherchées en vertu d’un article du Code pénal. La diplomatie russe dénonce toute tentative de justifier ses déclarations.

Le ministère russe de l’Intérieur a lancé un avis de recherche contre le sénateur américain Lindsey Graham pour qui "la mort des Russes" en Ukraine était le "meilleur investissement" des États-Unis.

"Motif: recherché en vertu d'un article du Code pénal", indique la fiche de l’instance.

Une déclaration haineuse

La vidéo de cette violente déclaration du sénateur américain lors de sa rencontre avec Volodymyr Zelensky a été largement relayée par les médias. Selon Reuters, la vidéo avec ces propos a été cependant éditée.

"Les premiers extraits de la conversation publiés par le bureau de Zelensky n'indiquaient pas clairement que les deux remarques avaient été faites à des moments différents de la discussion", indique le média.

De son côté, le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié ce 29 mai de "cynique" la tentative de justifier ses déclarations "cannibales", notant qu'elle était "vouée à l'échec".

"Toute cette histoire, avec les excuses lâches et les tentatives ridicules de défendre Lindsey Graham, porte un nouveau coup à la réputation déjà ternie de Reuters et de la BBC, qui ont dû œuvrer à la fois pour Washington et pour Kiev. Il ne s'agit pas de journalisme, mais d'agences de relations publiques travaillant sur ordre de 'l'Occident collectif'", a conclu le ministère.

 

 

Guerre en Ukraine: Après la réelection d'Erdogan, la Suède va discuter avec la Turquie jeudi de son adhésion à l'Otan

 

  • L'offensive en Ukraine a poussé la Finlande et Suède à vouloir rejoindre l'Otan.
    L'offensive en Ukraine a poussé la Finlande et Suède à vouloir rejoindre l'Otan. EPA - TOMS KALNINS

Les représentants d'Ankara et de Stockholm se rencontreront "bientôt" pour discuter de l'adhésion à l'Otan de la Suède, dont la candidature est bloquée par la Turquie, a déclaré lundi le ministère suédois des Affaires étrangères.

L'offensive russe en Ukraine a poussé la Finlande et Suède à réclamer une adhésion à l'Alliance Atlantique.

Si celle d'Helsinki a été validée en avril, celle de Stockholm reste bloquée par la Hongrie et la Turquie, cette dernière reprochant à la Suède d'abriter des membres de ce qu'elle considère comme des groupes terroristes.

La reconduction du président turc Tayyip Erdogan à la tête du pays, à l'issue du second tour de l'élection présidentielle de dimanche, ne devrait pas faciliter la levée des obstacles à ce processus.

Le ministre suédois des Affaires étrangères, Tobias Billstrom, a dans un premier temps déclaré lundi à la chaîne de télévision publique SVT qu'il rencontrerait son homologue turc, Mevlut Cavusoglu, lors d'une réunion des ministres des affaires étrangères de l'Alliance à Oslo jeudi.

"Mais nous avons été informés que le ministre turc des affaires étrangères ne viendrait pas, il n'y aura donc pas de réunion à Oslo", a précisé par la suite un porte-parole du ministre suédois, tout en ajoutant que la réunion aurait néanmoins lieu "bientôt".

Les discussions entre les deux pays sur l'Otan ont été interrompues en raison des élections en Turquie.

"Je me réjouis de pouvoir passer à la vitesse supérieure et d'accélérer les choses maintenant que nous connaissons le résultat", a déclaré Tobias Billstrom.

Le ministre a réaffirmé que le gouvernement espérait que la Suède devienne le 32e membre de l'Otan d'ici le sommet de l'Alliance qui se tiendra à Vilnius les 11 et 12 juillet.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine : "Recherche hommes de moins de 48 ans, promesse d'un corps fort et 4000 euros par mois", la Russie met le paquet pour former son nouveau bataillon Uranus

 

  • La fameuse campagne de recrutement pour le bataillon Uranus.
    La fameuse campagne de recrutement pour le bataillon Uranus. Capture d'écran - Twitter @ChrisO_wiki

Le Kremlin a décidé de mettre la main au porte-monnaie pour recruter de nouveaux soldats. 

Guerre en Ukraine, jour 458. 

Un jour de plus sur le front des horreurs et de l'ineptie de la guerre. Après les révélations du média russe 7X7 qui affirme que des jeunes hommes à peine enrôlés dans l'armée russe sont envoyés garder la frontière à Belgorod, voilà que la Russie recrute. Encore et toujours. Et le moins que l'on puisse dire (écrire), c'est qu'elle y met les moyens. 

Une fortune

Sur son compte Twitter, l'historien indépendant ChrisO_wiki dévoile la nouvelle campagne de recrutement élaborée par le Kremlin. Malmenée sur le front, l'armée russe envisage de créer un nouveau bataillon. Son nom : Uranus. L'internaute partage ainsi sur son compte l'affiche de la campagne diffusée sur le site internet de Rocosmos, l'agence spatiale russe.

Sont recherchés, des ingénieurs spécialisés dans l'espace et les fusées, exclusivement des hommes, âgés de 48 ans maximum. Côté salaire, rien à dire, le Kremlin a mis le paquet cette fois : 100 000 roubles de prime à la signature du contrat (1200 euros environ), et une bourse mensuelle qui avoisine les 4000 euros, une fortune en Russie. En 2020, le salaire des employés de Rocosmos ne dépassait pas les 800 euros par mois...

Avec en prime la promesse "d'un esprit, une volonté et un corps forts"

Pour ChrosO_wiki : "La campagne de recrutement est un signe de la lutte continue de la Russie pour trouver plus de main-d'œuvre pour la guerre en Ukraine". Mais si le salaire est alléchant, rien ne dit que de transformer des ingénieurs en soldats est une bonne idée...

Source

 

 

Le chaos ukrainien

 

par Xavier Moreau

Entretien avec Nicolas Mirkovic

«Si on ne comprend pas cette construction ukrainienne récente, cette fragilité entre Ukrainiens qui n’ont pas les mêmes visions sur ce que devrait être l’État ukrainien, sur ce qu’est un Ukrainien, on ne peut pas comprendre la situation actuelle.»

 

 

 

source : Stratpol

 

 

Comment l'Occident a détruit la Libye | Documentaire | Partie 1

 

 

 

 

Comment assassiner un chef d'État | Documentaire | Partie 2

 Note : comme d'habitude, un excellent travaille des journalistes de 7 jours sur Terre, mais je regrette qu'ils n'aient pas trop parlé du côté islamiste de Mouammar Kadhafi

 

 

Tensions en Asie : La Corée du Nord veut lancer un satellite, "elle en paiera le prix", menace la Corée du Sud

 

  • Pyongyang veut développer un programme destiné à améliorer la précision de ses missiles en cas de guerre.

    Pyongyang veut développer un programme destiné à améliorer la précision de ses missiles en cas de guerre. Image par WikiImages de Pixabay

     

Le Japon a placé ce lundi ses systèmes de défense anti-missiles balistiques en alerte et prévenu qu'il abattrait tout projectile menaçant son territoire après que la Corée du Nord l'a notifié d'un projet de lancement d'un satellite entre le 31 mai et le 11 juin.

Pyongyang, qui a multiplié cette année les essais de missiles, a indiqué avoir développé son premier satellite espion. Le numéro un nord-coréen Kim Jong-un a approuvé les préparatifs pour un lancement, a rapporté la presse officielle.

S'exprimant lors d'un point de presse régulier, le porte-parole du gouvernement japonais, Hirokazu Matsuno, a déclaré que Tokyo "reconnaît qu'il y a une possibilité que le satellite traverse notre territoire national".

Première depuis 2016

C'est la première fois depuis 2016 que le Japon prend la décision de placer ses systèmes de défense en alerte en réponse à un lancement de la Corée du Nord.

Tokyo s'attend à ce que la Corée du Nord tire la fusée transportant son satellite au-dessus des îles du sud-ouest, comme elle l'a fait en 2016, a déclaré un porte-parole du ministère japonais de la Défense.

Le ministère japonais de la Défense a envoyé le mois dernier en mer de Chine orientale un bâtiment de guerre muni de missiles d'interception pouvant atteindre des cibles dans l'espace et a déployé sur les îles Okinawa des missiles terrestres PAC-3 destinés à atteindre des ogives situées plus près du sol.

Programme de surveillance technologique

Selon des analystes, le lancement de ce satellite s'inscrit dans la volonté de Pyongyang de développer un programme de surveillance technologique, qui comprend des drones, destiné à améliorer la précision de ses missiles en cas de guerre.

La presse officielle nord-coréenne a critiqué par le passé le projet de la Corée du Sud, des Etats-Unis et du Japon de partager des données en temps réel sur les tirs de missiles effectués par Pyongyang, dénonçant une "mesure sinistre" parmi d'autres. "Nous exhortons fermement la Corée du Nord à s'abstenir de tout lancement", ont déclaré sur Twitter les services du Premier ministre japonais Fumio Kishida.

Un tir de missile constituerait une grave violation de résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu, a dit le dirigeant japonais devant des journalistes.

Projet "illégal"

Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères, pour sa part, a exhorté Pyongyang à renoncer à son projet de lancement de satellite et a annoncé son intention de coopérer avec la communauté internationale pour répondre à ce qu'il considère comme des provocations de son voisin du Nord.

"Si la Corée du Nord va de l'avant (dans son projet), elle en paiera le prix et en souffrira", a déclaré un porte-parole du ministère sud-coréen des Affaires étrangères dans un communiqué dans lequel il exhorte son voisin à renoncer à ce projet, jugé "illégal".

Kim Gunn, le représentant spécial sud-coréen pour la paix et la sécurité dans la péninsule, a participé à un appel téléphonique tripartite avec ses homologues du Japon et des Etats-Unis, a ajouté le ministère.

Ils se sont mis d'accord pour collaborer étroitement afin de fournir une réponse unie de la communauté internationale au projet de lancement de Pyongyang, a-t-il indiqué.

Source

 

 

 

Le Japon promet des "mesures destructrices" après que la Corée du Nord a annoncé le lancement d'un satellite

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 mai 2023

Pyongyang a informé Tokyo de son intention de lancer un satellite en orbite, dans le cadre du programme spatial nord-coréen, désignant la fenêtre de lancement entre le 31 mai et le 11 juin, ont déclaré lundi les garde-côtes japonais.

Le ministère japonais de la Défense a annoncé que tout missile nord-coréen violant le territoire du pays serait détruit. La déclaration a été faite après que Pyongyang a informé les garde-côtes japonais d'un lancement prévu en orbite de son satellite dans les prochains jours.

"Nous prendrons des mesures destructrices contre les missiles balistiques et autres dont l'atterrissage sur notre territoire est confirmé", a déclaré le ministère japonais de la Défense.

Le ministère a ajouté qu'il se préparait à utiliser son Standard Missile-3 (SM-3) ou Patriot Missile PAC-3 à cette fin.

Pyongyang avait précisé que la fenêtre de lancement se situait entre le 31 mai et le 11 juin , selon le site Internet des garde-côtes japonais.

La raison du barrage de condamnations est que pour effectuer le lancement, la Corée du Nord devrait recourir à la technologie des missiles à longue portée . Cependant, la RPDC (République populaire démocratique de Corée) est interdite de le faire en vertu des résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies. Pyongyang a fait valoir que ces mesures ne couvraient pas son programme spatial civil. Les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud insistent tous sur le fait que ce programme spatial n'est que nominalement civil et prétendent que le lancement de satellites est un moyen de faire progresser le programme de missiles de la Corée du Nord.

"Tout lancement de missile par la Corée du Nord, même s'il est qualifié de 'satellite', est une grave violation des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations unies et un grave problème pour la sécurité du peuple japonais", a déclaré Fumio Kishida aux journalistes.

Le secrétaire en chef du cabinet japonais, Hirokazu Matsuno, a également fait écho à ces préoccupations lors d'une conférence de presse :

"Le gouvernement reconnaît qu'il est possible que le satellite traverse le territoire de notre pays." Matsuno a ajouté que tout lancement par la Corée du Nord, même "qualifié de lancement de satellite", avait un impact sur la sécurité des citoyens japonais.

Un ordre similaire d'abattre tout missile violant son territoire avait été donné par le Japon en février 2016. À cette époque, la Corée du Nord aurait tenté, sans succès, de mettre un satellite en orbite.

Plus tôt en mai, Kim Jong-un avait inspecté les préparatifs du lancement du premier satellite de reconnaissance militaire nord-coréen conçu pour dissuader les États-Unis et la Corée du Sud, a rapporté l'agence de presse officielle nord-coréenne. Kim avait donné des instructions pour « s'assurer que le satellite de reconnaissance militaire n°1 achevé en avril sera lancé à la date prévue », a rapporté l'agence de presse officielle de la RPDC.

Lors d'une visite à l'Administration nationale du développement aérospatial de Corée du Nord, il a également appelé le personnel à " établir fermement la capacité de collecte de renseignements par satellite en déployant successivement plusieurs satellites de reconnaissance sur différentes orbites ".

À la mi-avril, lorsque l'agence de presse publique nord-coréenne a annoncé que le nouveau type de missile balistique intercontinental Hwansong-18 avait été testé sous la supervision du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, le ministère japonais de la Défense a annoncé qu'il avait ordonné l'autodéfense Force à être prêt à abattre tout objet qui pourrait menacer le territoire japonais. Le missile nord-coréen, lancé vers la mer du Japon, avait parcouru environ 1 000 kilomètres (621 milles) et atterri en dehors de la zone économique exclusive du Japon.

Toujours en avril, la Maison Blanche a annoncé la "Déclaration de Washington", un accord entre Séoul et Washington sur la "dissuasion nucléaire". La Corée du Sud et les États-Unis se sont depuis lancés dans leur plus grand exercice militaire jamais organisé , en cinq phases, du 25 mai au 15 juin, impliquant des forces aériennes, maritimes et terrestres. Les États-Unis ont insisté sur le fait que leurs exercices militaires ne visaient pas à provoquer la Corée du Nord, mais plutôt à démontrer leur engagement à protéger leur allié contre d'éventuelles attaques nord-coréennes.

Cependant, les jeux de guerre utilisant des avions de chasse F-35A, des hélicoptères AH-64-Apache, divers chars et plusieurs lance-roquettes ont été critiqués par la RPDC comme poussant la région au bord du conflit armé. Un article publié dans les médias nord-coréens appartenant à l'État a noté que la péninsule est "au bord de l'explosion" et que les exercices militaires conjoints sont devenus "de nature plus non déguisée et dangereuse".

La Corée du Nord a répondu à la posture militaire par des tests de missiles et des démonstrations que leurs armes peuvent atteindre non seulement Séoul mais aussi le Japon et d'autres régions.

Spoutnik

 

 

 

Après l’UE, c’est désormais le gouvernement qui menace de bannir Twitter

Invité sur Franceinfo, Jean-Noël Barrot, ministre délégué au numérique, a rappelé qu’Elon Musk devait se conformer aux nouvelles normes européennes.

[…]

“Je souhaite que Twitter puisse se conformer d’ici le 25 août aux règles européennes nouvelles que nous avons adoptées, sinon il ne sera pas le bienvenu en Europe”, a encore tranché, ce lundi sur Franceinfo Jean-Noël Barrot, ministre délégué de la Transition numérique.

[…]

“Twitter, s’il ne se conforme pas à nos règles, sera banni en cas de récidive” a-t-il encore insisté.

[…]

Fin octobre, le commissaire européen Thierry Breton avait déjà mis en garde l’entrepreneur qui opérait des coupes massives, notamment dans ses équipes de modération. “L’oiseau volera selon nos règles” avait-il prévenu.

BFM TV

 

 

 

 

Eric Zemmour : “Nous avons été vaincus, nous avons été conquis, mais nous n’avons jamais été remplacés

 

 

 

Élections locales et régionales en Espagne : recul des socialistes et percée de la droite, succès pour le parti Vox qui double ses voix et triple ses conseillers

A six mois des élections législatives, le parti socialiste du Premier ministre Pedro Sánchez a subi une très lourde défaite lors des élections municipales et régionales de dimanche en Espagne, qui augure mal de son maintien au pouvoir à la fin de l’année.

Le chef du Parti populaire (PP), principal parti de l’opposition de droite, Alberto Núñez Feijóo, a immédiatement annoncé «un nouveau cycle politique».

Le PP a fait dimanche «un pas de géant» sur la route devant conduire Feijóo au poste de Premier ministre à la fin de l’année, a renchéri le président du gouvernement d’Andalousie, Juan Manuel Moreno Bonilla, un dirigeant du parti.

Mais outre le PP, l’autre grand vainqueur est le parti d’extrême-droite Vox, déjà troisième force politique au Parlement, qui, avec plus de 1,5 million de voix aux municipales (7,19%), a doublé son score en quatre ans et effectué une poussée spectaculaire dans de nombreux parlements régionaux.

Les sondages annonçaient tous une victoire de la droite à ce double scrutin municipal et réginal, mais personne ne s’attendait à ce que le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) de Sánchez subisse de telles pertes.

«Tsunami»

Le chef du gouvernement sortant de la Cantabrie (nord de l’Espagne), Miguel Ángel Revilla, chef d’un petit parti régionaliste allié aux socialistes, a parlé d’une «marée de droite», à la fois du PP et de Vox, alors que le chef du gouvernement socialiste de l’Aragón, Javier Lambán, est allé jusqu’à évoquer un «tsunami» qui a emporté «la muraille» érigée par les socialistes. Tous deux ont été battus.

Surtout, selon la Télévision publique TVE et le quotidien El País, le PP a conquis au moins six des dix régions jusqu’alors dirigées (directement ou au sein d’une coalition) par le PSOE: la Communauté valencienne (est), quatrième du pays par la population, l’Aragon (centre), l’Extrémadure (ouest), les Baléares (est), la Cantabrie et la Rioja (nord).

Mais le revers de la médaille est que dans la plupart de ces régions, il aura besoin du soutien de Vox pour gouverner, et ce parti d’extrême-droite s’annonce d’ores et déjà comme un partenaire difficile et encombrant pour le PP, alors que celui-ci essaie de projeter une image modérée.

Les deux partis gouvernent déjà depuis l’an dernier dans une région.

Le parti socialiste a également perdu au profit du PP la mairie de Séville, la plus grande ville d’Andalousie (sud) et son principal bastion municipal, ainsi que celle de Valence. Et il n’est pas assuré de remporter celle de Barcelone, son candidat n’étant arrivé qu’en deuxième position derrière un indépendantiste.

(…) Le 360

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