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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 28 mai 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Zelensky salue « les héros » de la défense antiaérienne après l’attaque nocturne russe…

 

L’ESSENTIEL

  • Un homme est mort à Kiev après une attaque « massive » de drones russes, en raison d’une chute de débris de ces appareils sur la capitale, a annoncé dimanche son maire Vitali Klitschko. Il avait expliqué un peu plus tôt que la défense aérienne de Kiev avait abattu « plus de 20 drones » qui se dirigeaient vers la ville.
  • A Moscou, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a évoqué le conflit en Ukraine avec l’envoyé spécial chinois Li Hui, qui était le mois dernier à Kiev. Il a affirmé que la Russie souhaitait un règlement politique mais que « l’Ukraine et ses soutiens occidentaux mettaient de sérieux obstacles à la reprise des pourparlers de paix. »
  • Plusieurs centaines de fonctionnaires et employés locaux d’institutions allemandes vont devoir dans les prochains jours quitter la Russie ou perdre leur emploi, à la demande de Moscou qui réduit drastiquement la présence de Berlin dans le pays.

 

10h56 : Les Occidentaux « jouent avec le feu » en Ukraine, dénonce la diplomatie russe

Les Occidentaux « jouent avec le feu » après le feu vert récent des Etats-Unis pour des livraisons futures d’avions de combat F-16 à Kiev, a dénoncé dimanche le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, qui a déploré « une escalade inacceptable ».

« C’est jouer avec le feu. Cela ne fait aucun doute », a déclaré Sergueï Lavrov dans un entretien à la télévision russe dont un extrait a été publié sur les réseaux sociaux du journaliste l’ayant interrogé. « C’est une escalade inacceptable » menée par « Washington, Londres et leurs satellites au sein de l’UE » qui veulent « affaiblir la Russie », a-t-il appuyé.

Vers une guerre de religion, infos du 28 mai 2023

 

 

09h51 : L’attaque nocturne de drones la plus importante depuis le début de la guerre

L’Ukraine a affirmé ce dimanche avoir contré dans la nuit « l’attaque de drones la plus importante » sur Kiev « depuis le début de l’invasion » russe, les autorités militaires disant avoir détruit 52 des 54 drones explosifs lancés par Moscou dans le pays dont « plus de 40 » au-dessus de la capitale.

« Au total, un nombre record de drones explosifs lancés ont été enregistrés : 54 ! », a indiqué l’armée de l’air ukrainienne sur Telegram, affirmant en avoir « détruit 52 ». Les autorités ont enregistré à ce stade deux morts et trois blessés à Kiev.

 

HIER

10h19 : Des centaines de fonctionnaires allemands contraints de quitter la Russie

Plusieurs centaines de fonctionnaires de l’Etat allemand travaillant notamment dans les secteurs de l’éducation et de la culture vont devoir quitter dans les prochains jours la Russie, suite à une demande de Moscou, a indiqué samedi une source gouvernementale allemande à l’AFP.

Cette annonce fait suite à une décision des autorités russes imposant à l’Allemagne de réduire fortement d’ici début juin ses personnels diplomatiques et d’institutions publiques comme le centre culturel Goethe Institut ou l’école allemande de Moscou, a-t-elle ajouté.

DIRECT

 

 

 

Attaque planifiée de l’Ukraine contre le gazoduc Turkstream

 

Les États-Unis étaient-ils impliqués ?

par Stephen Bryen

Le 24 mai, un drone naval ukrainien, bourré d’explosifs, s’est dirigé vers le navire de renseignement russe Ivan Khurs. Ce navire était chargé de surveiller l’oléoduc Turkstream. Les Russes ont tiré sur le drone, qui a explosé de façon spectaculaire. Les Russes affirment que deux autres drones ont été détruits. Il n’y a pas de vidéo de ces drones et aucune information sur les dommages éventuels subis par le navire russe. Des sources pro-ukrainiennes affirment que l’Ivan Khurs a été endommagé et qu’il rentre au port.

L’hypothèse est que cette attaque visait à retirer la protection russe de l’oléoduc afin que l’Ukraine puisse faire exploser l’oléoduc Turkstream sans entrave. L’auteur estime qu’il n’y a pas d’autre raison de lancer une telle attaque.

Conception du drone naval ukrainien par H.I. Hutton (www.hisutton.com)
Cette opération comporte un certain nombre de faits troublants

Tout d’abord, les Ukrainiens se préparaient à attaquer le gazoduc Turkstream et avaient besoin de neutraliser le navire russe qui en assurait la garde. Turkstream transporte du gaz naturel pour une capacité annuelle de 31,5 milliards de mètres cubes et se compose de deux lignes offshore de 930 kilomètres et de deux lignes terrestres distinctes de 142 kilomètres et 70 kilomètres de long.

La Hongrie est l’un des clients du gaz russe provenant de ce gazoduc. La destruction de Turkstream aurait porté un coup considérable à la Hongrie et aurait pu entraîner un bouleversement gouvernemental dans ce pays. La Hongrie de Viktor Orbán est considérée par Washington comme pro-russe.

Si vous pensez que cela ressemble un peu au gazoduc Nord Stream, vous n’avez pas tort. La différence est qu’il s’agissait d’une attaque politique contre la Turquie et la Hongrie, et non de vendre du GNL américain à ces deux pays, comme ce fut le cas avec l’Allemagne.

L’Ivan Khurs est équipé de capteurs et de moyens de communication spécialisés. S’il détecte une menace pour le gazoduc, il déclenche des frappes aériennes russes contre tout intrus.

Les Ukrainiens ont mené cette opération dans le Bosphore, à environ 80 miles de la partie continentale de la Turquie. Il est raisonnable de dire que cette attaque ne visait pas seulement les Russes, mais qu’elle constituait la première partie d’une attaque contre un allié de l’OTAN, la Turquie et d’autres consommateurs de gaz, en particulier la Hongrie, également un allié de l’OTAN.

La grande distance qui sépare le navire de l’Ukraine proprement dite suggère que l’Ukraine aurait eu besoin de renseignements en temps réel pour localiser le navire russe et le prendre pour cible.

C’est là que le bât blesse. Il semblerait qu’un RQ-4 américain se trouvait à proximité de l’incident. Le RQ-4 aurait pu fournir des informations de ciblage en temps réel et aurait également pu relayer ces mêmes informations au drone naval ukrainien. Bien qu’il n’y ait aucune preuve tangible que le RQ-4 ait joué un rôle quelconque, comment l’Ukraine aurait-elle pu gérer cette opération autrement ? L’Ukraine ne dispose pas de capacités de surveillance à longue portée et dépend des moyens de renseignement américains. En outre, il est de notoriété publique que les États-Unis et/ou leurs alliés ont systématiquement fourni des informations de ciblage aux Ukrainiens. Normalement, 2 plus 2 font 4, à moins qu’il n’y ait une autre explication.

Les Russes n’hésitent pas à abattre des drones américains, mais ils ne l’ont fait au-dessus de la mer Noire que lorsque les drones américains menaçaient la sécurité de la Crimée ou d’autres zones critiques où se trouvent des forces russes. Si le RQ-4 a réellement joué un rôle dans la préparation de l’attaque du gazoduc, les Russes pourraient bien changer d’attitude et commencer à menacer la sécurité de la mer Noire et du Bosphore, voire au-delà.

Tout comme l’opération Nord Stream a pris un risque énorme, nous en avons maintenant un autre qui pourrait être encore plus grave. Contrairement aux Allemands qui ont été menacés et intimidés par les États-Unis et qui se sont tus sur l’identité des responsables de Nord Stream, les Turcs sont différents. Recep Tayyip Erdoğan, le président turc (qui doit maintenant faire face à un second tour de scrutin), peut jouer les durs.

Ce genre de provocations est dangereux et risqué.

source : Weapons and Strategy via Arrêt sur Info

 

 

Note ; la guerre est en train de prendre un tournant dangereux. On voit que ces derniers jours les Américains et leurs alliés ont fait de nombreuses annonces sur de nouvelles livraisons d'armes (chars, avions, missiles, etc). Ils sont sur les dents, parce que la grande offensive ukrainienne temps attendu a été un flop monumental. Malgré qu'ils inondent l'Ukraine d'arme, l'Ukraine perd du terrain. Les USA (qui se servent de l'Ukraine) commencent donc à s'attaquer aux ressources gazières de la Russie (les informations de cette semaine le démontre), pour s'en prendre directement aux revenues de la Russie, mais c'est joué un jeu d'escalade dangereuxe 

 

 

Guerre en Ukraine: Une attaque de drones visait l'un des plus grands oléoducs du monde selon la Russie

  • L'Ukraine contre-attaque avec ses drones et des missiles étrangers.

    L'Ukraine contre-attaque avec ses drones et des missiles étrangers. EPA - MAXIM SHIPENKOV

La Russie a fait état samedi d'attaques de drones contre deux installations d'oléoducs sur son territoire, dans la région de Tver au nord-ouest de Moscou ainsi qu'à Pskov dans l'ouest du pays, ont rapporté les médias ainsi qu'un gouverneur local.

Deux drones ont attaqué dans la région de Tver une station desservant l'oléoduc Droujba, l'un des plus grands au monde, a rapporté le quotidien Kommersant.
Le conseil local de Tver a indiqué de son côté qu'un drone s'était écrasé près du village d'Erokhino, à environ 500 km de la frontière avec l'Ukraine.

Plus tôt dans la journée, le gouverneur de la région russe de Pskov, Mikhaïl Vedernikov a déclaré sur l'application de messagerie Telegram qu'un bâtiment administratif attenant à un oléoduc dans la région a été la cible d'une attaque menée par deux drones, sans faire de victime.

L'incident s'est produit près du village de Litvinovo, à moins de 10 km de la frontière russe avec la Biélorussie.
Le ministère russe de la Défense a déclaré lors de son briefing quotidien sur la guerre avoir détruit 12 drones ukrainiens au cours des dernières 24 heures et intercepté deux missiles de croisière de longue portée Storm Shadow fournis à l'Ukraine par la Grande-Bretagne.

La Russie dit également avoir intercepté des missiles Himars et Harm de plus courte portée de fabrication américaine. Le ministère n'a pas précisé où ces interceptions ont eu lieu, mais a fait état de combats sur la ligne de front.
Reuters n'a pas été en mesure de vérifier les informations rapportées par les autorités russes sur le champ de bataille.
Le ministère ukrainien de la Défense n'a pas répondu à une demande de commentaire dans l'immédiat.

Les déclarations faisant état de frappes ukrainiennes de drones à l'intérieur de la Russie se sont multipliées ces dernières semaines, tandis que Kyiv n'a reconnu publiquement aucune attaque contre des cibles sur le territoire russe.
Les services de renseignement américains, a rapporté le New York Times, pensent que l'Ukraine serait à l'origine d'une attaque de drones contre le Kremlin au début du mois.

Source

 

 

 

"Les Russes meurent… Nous n'avons jamais aussi bien dépensé notre argent", dit un sénateur US

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 28 mai 2023

En déplacement en Ukraine, le sénateur américain Lindsey Graham a avancé que la mort des Russes était le meilleur investissement des autorités américaines dans le cadre de l’aide à Kiev.

Le sénateur américain Lindsey Graham s’est fendu d’une déclaration violente lors de sa rencontre avec Volodymyr Zelensky à Kiev.

Pendant leurs entretiens vendredi 26 mai, le Président ukrainien a remercié le Sénat des États-Unis pour le soutien accordé, notamment avec le dernier paquet d’aide d’un montant de 375 millions de dollars.

"Les Russes meurent… Nous n'avons jamais aussi bien dépensé notre argent", a signalé le sénateur américain.

Il ne s’agit pas de la première déclaration russophobe de Lindsey Graham.

Appel à abattre des avions russes

Peu après le début de l’opération militaire en Ukraine, il avait écrit sur Twitter que la personne qui "éliminera ce type [Vladimir Poutine] rendra un grand service au pays et au monde", se demandant si la Russie aura son propre Brutus ou Klaus Stauffenberg, ces personnages historiques qui ont respectivement organisé l'assassinat de Jules César et l’attentat contre Adolf Hitler.

En réagissant à l’incident du drone américain qui s’était abîmé en mer Noire, M.Graham a proposé à Washington d’abattre tout avion russe s’il s’approchait d’un "autre appareil américain volant au-dessus des eaux internationales".

Jeu dangereux

Moscou a déclaré que les pays de l’Otan jouaient avec le feu en fournissant des armes à Kiev. Le Kremlin a également indiqué que ces livraisons massives ne contribuaient pas au succès de potentielles négociations russo-ukrainiennes et auraient un effet négatif.

Le ministre russe des Affaires étrangères a accusé les États-Unis et l’Otan de participer directement au conflit non seulement par les livraisons d’armes, mais aussi par l’entraînement des militaires ukrainiens sur le territoire du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de l’Italie et de certains autres pays.

Spoutnik

 

 

 

Ukraine : Les États-Unis préparent l’Europe à un conflit de longue durée

 

L’article qui suit est un ballon-sonde que la revue Politico a pour mission de propager parmi les capitales occidentales afin de vérifier la réaction des vassaux européens engagés, malgré eux, dans le chaos ukrainien. Considérons que la guerre américaine en Ukraine s’inscrit dans l’offensive mondiale de la puissance étatsunienne pour stopper son déclin économique, commerciale, financier, et par conséquent politique, diplomatique, idéologique et militaire. Pourtant, l’hégémon américain a déjà perdu la guerre économique, commerciale et financière qu’il livre au nouvel Empire chinois émergent – son véritable adversaire dans cette galère génocidaire.

La puissance américaine déclinante est déterminée à affronter militairement son adversaire chinois afin de détruire ses capacités de production et ses capacités d’accumulation de capitaux – finalité ultime du système économique capitaliste déclinant. Afin de préparer cet affrontement militaire entre géants nucléaires, le Pentagone s’est résolu à mener une guerre par proxy ukrainien interposé contre le proxy russe représentant de l’Empire chinois émergent.

Cette guerre d’investigation (test et validation d’armes nouvelles et de tactiques innovantes), menée en Europe, vise à prendre la mesure des capacités militaires de l’OTAN et de la Russie, le Chevalier Noir de l’hégémon chinois. Cette guerre régionale d’investigation vise également à séparer drastiquement et définitivement les pays de l’OTAN de leur fournisseur d’énergie. Comme le disait Donald Trump «On ne fait pas la guerre à celui qui nous vend le carburant». Enfin, cette guerre d’investigation vise à renforcer l’unité stratégique et la cohésion tactique des vassaux de l’Alliance Atlantique en prévision de la Grande Guerre atomique…

Ces objectifs étant maintenant atteints, croit le Pentagone, la seconde phase des préparatifs de guerre doivent commencer. Depuis quelques semaines, le gouvernement américain redouble ses attaques contre la Chine et il laisse le soin aux sous fifres – porte-paroles européens

(Allemagne, Pologne, Italie, etc.) et à la Commission européenne de Bruxelles (dont la vindicative commissaire von der Leyen.  L’UE est surinvestie dans le projet de guerre ukrainien) de vilipender la Russie et de cajoler le laquais Zelensky que l’on voudrait convaincre de rester en poste à Kiev pour encore quelque temps, le temps de transférer le fardeau de cette guerre génocidaire sur les épaules des gouvernements européens piégés dans le réduit ukrainien.

L’article de Dave Decamp (ci-dessous) présente les trois hypothèses présomptueuses sur lesquelles s’appui le Pentagone pour proposer un « gel à la coréenne » de l’interminable conflit ukrainien.

Premièrement, le ballon d’essai du Pentagone présuppose que la Russie est empêtrée dans ce conflit et qu’elle cherche une issue à tout prix. Cette hypothèse est fausse. La puissance russe n’a pas croulé sous les sanctions économiques, commerciales et financières qui l’ont forcée à se trouver de nouveaux clients et de nouveaux partenaires et à rompre ses relations commerciales et monétaires (dollars) avec les pays de l’OTAN ses ex-clients, la véritable raison de ces sanctions qui frappent durement les pays européens avides de matières premières et d’énergie.

Cette première hypothèse postule également que la Russie a épuisé tous ses recours militaires et qu’elle a virtuellement perdu la guerre d’Ukraine, ce qui est totalement faux. La bataille de Bakhmout qui s’achève montre à l’évidence que la Russie maîtrise cette guerre d’attrition (destruction systématique de l’armée adverse) que l’Ukraine et l’OTAN sont en train de perdre malgré le recrutement de mercenaires en Orient et en Afrique, et malgré le dumping d’armes désuètes des arsenaux occidentaux. La Russie dispose encore de deux millions de réservistes alors que l’Ukraine est à court de réservistes et que son économie est détruite ce que confirme le politicologue Dmitry Orlov.1

La seconde hypothèse sur laquelle se fonde le Pentagone stipule que les pays européens de l’OTAN sont prêts, consentants et capables d’assumer une guerre prolongée aux portes de l’Europe contre un ennemi déterminé, premier fournisseur mondial de matières premières et d’énergie, disposant de plus de 5000 ogives nucléaires et soutenues par la première puissance industrielle mondiale – la Chine. Cette hypothèse est totalement irréaliste et farfelue. On ne doit pas oublier que la Russie joue son avenir en tant que nation dans cette guerre par procuration alors que l’Europe ne peut espérer davantage que l’enlisement, la faillite et la destruction dans cette aventure au service de l’hégémon Américain déchu.[1]

La troisième hypothèse sur laquelle repose la stratégie d’enlisement du Pentagone implique qu’au cours des années à venir la situation économique et sociale mondiale sera stable et sous contrôle du Grand capital mondialisé et de ses larbins politiciens stipendiés. Rien n’est moins certain en ce monde de crises systémiques catastrophiques. La crise économique mondialisée ne fait que commencer et la réaction des prolétaires s’annonce radicale comme le laisse présager la bataille des retraites en France et les grèves en Grande-Bretagne. Partout, le prolétariat résiste farouchement à la dégradation de ses conditions de vie et de travail, particulièrement en Europe et les masses laborieuses – salariées – ne sont pas du tout disposées à se sacrifier comme chair à canon dans cette guerre par procuration. Déjà en Ukraine et en Russie des milliers de conscrits ont déserté cette guerre génocidaire.

Décidément les stratèges de l’administration Biden devraient renoncer à transformer la guerre génocidaire «en Ukraine en un conflit gelé pendant des années, voire des décennies, à l’instar de la situation dans la péninsule coréenne». Le prolétariat européen n’aura pas la patience du prolétariat coréen.

source : Les 7 du Québec

 

 

Les membres du G7 veulent que le reste du monde rejoigne leur croisade contre la Russie et la Chine. Ils n’y parviendront pas

 

En Occident, l’élection turque de ce week-end a été présentée comme un affrontement entre le bien et le mal. La situation est bien plus complexe.

À la veille du dernier tour de l’élection présidentielle turque, le suspense est retombé.

Après que le candidat arrivé en troisième position il y a quinze jours, Sinan Ogan, a annoncé son soutien au président sortant, les chances du président Recep Tayyip Erdogan d’obtenir les 1,5% supplémentaires nécessaires à sa victoire se sont accrues.

Cependant, la réalité est que le débat n’aurait jamais attiré autant d’attention sans les efforts des commentateurs – en particulier en Europe occidentale et aux États-Unis – pour le présenter comme un choix presque civilisationnel.

Dans cette version, l’adversaire d’Erdogan – Kemal Kilicdaroglu, âgé et bien élevé – a été positionné comme le symbole du développement démocratique à l’occidentale. Quant au président actuel, il incarne le retour au passé.

Ce récit est illustratif et typique. Plus le monde qui nous entoure est complexe et plus il rejette souvent les modèles antérieurs, plus le désir de le faire entrer dans un format simple et compréhensible est grand. Idéalement, ce format serait celui des contrastes. Dans le cas présent, un démocrate moderne, qui s’efforce de faire le bien, est censé s’opposer à un autoritaire vicieux et rétrograde. Le désir de simplification est non seulement humainement compréhensible, mais il a aussi son utilité. Les décideurs ont besoin d’une sorte d’image facile à digérer. Dans un sens, il est préférable pour eux de l’avoir que de ne pas l’avoir, même si elle est erronée.

On se souvient du best-seller international du journaliste américain Thomas Friedman à la fin des années 1990, «The World is Flat» (Le monde est plat). À l’époque, il faisait référence au rassemblement de tout et de tous dans le contexte de la mondialisation. Mais aujourd’hui, la métaphore doit être modifiée. Aujourd’hui, le message doit être plus simple, voir plus clair, faute de quoi il n’est pas possible de saisir l’effrayante multiplicité des dimensions.

Cette approche est caractéristique des relations internationales contemporaines et, de là, elle se répercute sur la politique intérieure de chaque pays. Cela dit, à l’intérieur même des États, tout est mieux compris, et les facteurs du monde réel restent donc importants. À l’échelle mondiale, cependant, la situation est plus ambiguë.

Le récent sommet du G7 à Hiroshima a illustré avec force les efforts déployés pour corriger, voire cimenter, ce schéma très bidimensionnel au niveau mondial. C’est peut-être la première fois que la Russie et la Chine se sont vu accorder un statut essentiellement égal – en tant qu’adversaires et menaces majeures pour le monde que représente le bloc dirigé par les États-Unis. Les organisateurs ont pris très au sérieux l’élargissement de leur cercle de sympathisants, de nombreux États majeurs du monde non occidental ayant reçu des invitations : L’Inde, le Brésil, le Vietnam et l’Indonésie. Des dirigeants de grandes organisations internationales se sont joints à eux.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky était le principal invité, ce qui mérite d’être souligné. La question de son pays devient, selon l’expression consacrée, un «point de ralliement» pour une communauté qui se considère «du bon côté de l’histoire.»

En effet, voici un détail curieux : la presse japonaise a écrit qu’après le sommet, leur Premier ministre Fumio Kishida envisageait de convoquer des élections anticipées parce que le succès de l’événement, en particulier l’arrivée du dirigeant ukrainien, avait fait grimper la cote de son parti. En d’autres termes, Zelensky a réussi à devenir un facteur dans la politique intérieure d’un pays très éloigné de l’Ukraine.

La nécessité d’un motif fort, personnel et unificateur est évidente. En l’absence de tels éléments, ces communautés ont tendance à se désintégrer, car le monde n’est pas vraiment bidimensionnel. Il n’est pas seulement diversifié, il est aussi fragmenté par des intérêts, des perceptions et des agendas, et il a besoin d’un maximum de flexibilité pour répondre à des défis de plus en plus variés. Il est très difficile de maintenir la cohésion sans recourir à l’artillerie lourde, au sens figuré et, malheureusement, au sens propre.

Que devraient faire ceux qui sont visés par cette consolidation ? Probablement le contraire, c’est-à-dire qu’ils devraient chercher à maximiser la diversité de leurs connexions et de leurs options de développement, et insister sur le droit de ne pas faire de choix définitifs et irrévocables d’adhésion à l’un ou l’autre bloc.

La dichotomie bien/mal est compréhensible et moralement attrayante, mais dans la plupart des cas, elle n’est pas pertinente pour le véritable processus international. Les tentatives du G7 d’attirer l’Inde, le Brésil et d’autres pays dans son orbite sur cette base ne seront pas efficaces.

source : Russia in Global Affairs via Arrêt sur Info

 

 

Lavrov : L’Occident menace de «punir» les pays d’Afrique et d’Amérique latine pour qu’ils rejoignent les sanctions antirusses

 

Les dirigeants russes condamnent les menaces proférées par les occidentaux aux pays africains ou latino-américains pour les contraindre à rejoindre les sanctions antirusses.

Le ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov a déclaré que des dirigeants africains et latino-américains sont menacés par l’Occident de sanctions s’ils ne rejoignent pas les sanctions antirusses.

«Certains de mes amis en Afrique et en Amérique latine se plaignent d’en avoir ras le bol des exigences occidentales de se joindre aux sanctions. Je leur ai demandé ce qui leur a été proposé en échange d’un point de vue économique et financier. Ils avouent en baissant les yeux qu’en échange, on leur promet de ne pas les punir», indique le chef de la diplomatie russe, rapporte l’agence russe Sputnik.

Selon lui, «les tentatives de l’Occident de contraindre les pays à se joindre aux sanctions antirusses se heurtent à la volonté de la majorité écrasante des pays en développement de mener leur politique sur la base de leurs intérêts nationaux.»

Récemment, les pays africains font l’objet de pressions occidentales pour les dissuader de participer au prochain sommet Russie-Afrique, a fait savoir Nikolaï Patrouchev, secrétaire du Conseil de sécurité de Russie.

«Ceux avec qui nous avons parlé, nous ont dit : ‘Lorsque nous voulons venir vous voir, des représentants des États-Unis et d’autres pays occidentaux nous expliquent : ‘Vous n’avez pas besoin de faire ça, vous n’avez pas besoin d’aller à cette réunion ou au sommet Russie-Afrique’», a-t-il déclaré.

Décrivant comment ces pressions occidentales sont exercées sur les pays africains, l’ambassadeur itinérant russe Oleg Ozerov a révélé que «les délégations qui viennent quasi quotidiennement de Washington et d’autres pays anglo-saxons, du Canada, du Royaume-Uni, mais aussi de l’UE, assiègent littéralement les dirigeants africains, les organes de pouvoir africains, et les Parlements.»

Évoquant ces pressions, l’ambassadeur de la Guinée équatoriale en Russie Luciano Nkogo Ndong Ayekaba, expose les moyens économiques déployés par les occidentaux.

«Lorsqu’ils ont appris que nous soutenions la Russie, l’entreprise américaine Exxon Mobil a officiellement annoncé qu’elle abandonnait notre marché. D’autres sociétés partent également. Elles disent : ‘C’est la Russie qui va vous nourrir’. Cela nous est égal. Nous sommes pour la Russie. Mais elle aussi doit penser à nous», a-t-il indiqué à Sputnik.

«Une Cour pénale africaine»

La résistance de certains pays africains aux diktats occidentaux est telle que l’ex-président sud-africain Thabo Mbeki propose de court-circuiter la Cour pénale internationale (CPI) qui a émis un mandat d’arrêt contre le président russe.

Selon lui, l’Afrique doit se doter au plus vite de sa propre Cour pénale, pour éviter des imbroglios comme celui touchant Vladimir Poutine. La décision de créer une Cour pénale africaine a été prise au sommet de l’Union africaine en 2014, mais n’a pas encore été mise en œuvre.

«Les documents établissant une Cour pénale africaine doivent être ratifiés dès que possible par les pays du continent afin de pouvoir prendre leurs propres décisions sur l’émission de mandats, et non suivre la CPI», a ainsi affirmé l’ex-dirigeant à l’occasion de la journée de l’Afrique, selon la SABC. Sachant que son pays qui adhère à la CPI est dans l’obligation de respecter ses demandes.

Le 17 mars, la CPI avait émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova, commissaire russe aux droits de l’enfant, sur des accusations d’expulsion illégale d’enfants ukrainiens. La Russie, qui n’appartient pas à la CPI, avait répliqué en plaçant plusieurs juges de l’organisation sur la liste des personnes recherchées.

Source : Al Manar

 

Note : Il a plus de diplomatie chez les occidentaux, ils passent leur temps à menacer leurs voisins, leurs politiques est suicidaire, parce qu'il aura forcément un retour du bâton

Lorsque j'ai lu pour la première fois les prophéties de Nostradamus, qui annonçaient la chute de l'Europe face à l'Islam, je me suis longtemps demandé, comment cela pourrais être possible, vu la supériorité militaire de l'Europe

 

C 1 - Q 18

Par la discorde et négligence gauloise,
Sur passage à Mahomet ouvert,
De sang trempé la terre et la mer Senoise,
Le port Phocen, de voiles et de nefs couverts



Par la discorde et négligence française
Le passage à Mahomet sera ouvert.
De sang trempé la terre et la mer de
Seyne-sur-Mer
Le port de Marseille (cité phocéenne), de bateaux et de voiles sera couvert

 

C 1- Q 73

France à cinq pars par neglect assaillie,
Tunys, Agel esmeuz par Persiens ;
Léon, Séville, Barcellonne faillie,
N’aura la classe par les Venitiens



France sur cinq flancs assailies, (a cause de) sa négligence
Tunisiens, Algériens soulevées par les Iraniens
(Les villes de) Léon, Seville et Barcellone en Espagne failliront (succomberont)
Ne pourront être secourus par la classe navale Italiene

 

 

Mais depuis le début du conflit en Ukraine, tous devient clair. Ce sont les occidentaux eux-mêmes qui organisent leur propre destruction. Premièrement, en se dépouillant militairement, leurs nombreuses "donations"  d'arme à l'Ukraine ont conduit à vider nos stokes d'armements. La deuxième phase de cette guerre deviendra nucléaire, ce qui conduira à la destruction de nombreuses cibles militaires (stratégique et nucléaire) en Europe (les Russes ne s'attaqueront pas aux grandes villes).  L'Europe affaiblie, les musulmans, en profiteront et nous attaquerons, comme il est d'écrit plus haut dans les quatrains que j'ai postés

 

 

L'Arabie saoudite négocie son adhésion à la banque des BRICS

 

Vers une guerre de religion, infos du 28 mai 2023

Riyad, qui souhaite rejoindre les BRICS, a commencé à entreprendre des démarches concrètes. L'Arabie saoudite est en pourparlers pour rejoindre la Nouvelle Banque de développement, mieux connue sous le nom de "banque des BRICS", selon le Financial Times (FT).

La Nouvelle Banque de développement (NBD), prêteur basé à Shanghai, est en pourparlers avec l'Arabie saoudite sur l'admission du pays en tant que neuvième membre, rapporte le FT, citant une déclaration de la Banque.

"Au Moyen-Orient, nous attachons une grande importance au Royaume d'Arabie saoudite et sommes actuellement engagés dans un dialogue qualifié avec lui", ont déclaré les représentants de la Banque au journal.

Les pourparlers avec l'Arabie saoudite interviennent alors que la NBD se prépare à se lancer dans une évaluation formelle de ses options de financement.

Avantages d’une éventuelle adhésion

L'entrée de l'Arabie saoudite dans l'organisation renforcera les liens entre les membres de la Banque, qui a été créée par "les plus grandes économies émergentes du monde comme alternative aux institutions de Bretton Woods dirigées par l'Occident", note l'article.

L'adhésion renforcerait les liens de Riyad avec les BRICS à un moment où l'Arabie saoudite, le plus grand exportateur mondial de pétrole brut, poursuit également des relations plus étroites avec la Chine. Le Président chinois Xi Jinping a salué une "nouvelle ère" dans les relations entre les pays lors de sa visite dans le Royaume à la fin de 2022. Pékin a négocié en mars dernier un accord entre l'Arabie saoudite et l'Iran pour reprendre les relations diplomatiques.

La Banque en question

La NBD a été créée en 2015 par les BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud – pour prêter à des projets de développement dans les économies émergentes. Il a prêté 33 milliards de dollars à plus de 96 projets dans les cinq pays membres fondateurs et a élargi son adhésion pour inclure les Émirats arabes unis, l'Égypte et le Bangladesh.

Spoutnik

 

Pour le Président du Niger, l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS) est constitué majoritairement par des jeunes de la communauté peul, et estime le renforcement des terroristes islamistes au Mali par le départ de l’armée française (Barkhane)

 

 


 

 

Belgique : une campagne de prévention contre l’excision « en prévision des départs en vacances »

Le Groupe pour l’abolition des mutilations sexuelles féminines (GAMS) a lancé une campagne nationale de prévention contre l’excision mardi, en prévision des départs en vacances.

Selon l’Unicef, au moins 200 millions de filles et de femmes, vivant actuellement dans 30 pays d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie, ont subi une forme de mutilation génitale. “Mais les risques existent également en Europe”, souligne la présidente du GAMS, Fabienne Richard. Au 31 décembre 2020, on estimait ainsi que 23.000 femmes vivant en Belgique étaient excisées. Les provinces les plus touchées étaient Bruxelles (10.037), Anvers (6.749) et Liège (4.381). Pourtant, l’excision est interdite par la loi belge ainsi que par plusieurs conventions internationales. (…)

La Libre

À l’occasion de sa campagne nationale de prévention de l’excision avant les départs en vacances – qui sera lancée le 23 mai à Bruxelles – le GAMS Belgique accueille Halimata Fofana, autrice engagée qui vient de sortir son deuxième roman « À l’ombre de la cité Rimbaud ». Elle y aborde la question de l’excision, du mariage forcé, mais aussi comment l’école, les livres et la musique lui ont permis de suivre sa voie.

GAMS Belgique

 

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