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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 11 aout 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Zaporojie, la plus grande centrale nucléaire d'Ukraine, à nouveau bombardée...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Les forces russes qui occupent la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie préparent son raccordement à la Crimée, presqu’île annexée par Moscou en 2014
  • Le Conseil de sécurité de l’Onu tiendra ce jeudi une réunion d’urgence pour débattre de la situation à cette centrale, la plus grande d’Europe, que Kiev et Moscou s’accusent mutuellement d’avoir bombardée
  • Les premières exportations de blé ukrainien depuis l’invasion russe devraient commencer la semaine prochaine, selon un haut responsable de l’Onu. En attendant, le premier navire transportant des céréales ukrainiennes (26.000 tonnes de maïs) a accosté mercredi au port de Mersin, en Turquie

 

 

Note: vue que se sont les forces russes qui occupent la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie, se ne sont donc  pas eux qui bombardent 

 

16h11 : Kiev accuse les Russes de cinq frappes près d'un dépôt de substances radioactives

Après de nouvelles frappes sur la centrale de Zaporojie, Russes et Ukrainiens s'accusent mutuellement.

 

16h02 : La Russie accuse l’Ukraine de bombarder la centrale de Zaporojie

De nouvelles frappes d’artillerie ont visé jeudi le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporojie, la plus grande d’Ukraine et d’Europe, a affirmé un responsable de l’occupation prorusse, accusant les forces de Kiev d’avoir tiré.

« Les militants (du président ukrainien Volodymyr) Zelensky ont à nouveau tiré sur la centrale nucléaire de Zaporojie », a déclaré sur Telegram Vladimir Rogov, membre de l’administration d’occupation installée par les Russes dans cette région du sud de l’Ukraine. Cette centrale a déjà été visée par deux bombardements la semaine dernière, suscitant l’inquiétude de la communauté internationale.

 

15h43 : Bonbardements à Zaporojie, près de la centrale

Le secrétaire général de l’ONU a mis en garde jeudi contre un risque de « catastrophe » à la centrale de Zaporojie, quelques heures avant une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur ce site nucléaire que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement d’avoir bombardé.

 

15h32 : L’émissaire ukrainien à la Ligue arabe après Sergueï Lavrov

L’envoyé spécial ukrainien pour le Moyen-Orient, Maksym Subkh, a accusé jeudi Moscou d’empêcher les livraisons de blé ukrainien au Moyen-Orient devant la Ligue arabe, qui avait récemment reçu en grande pompe le chef de la diplomatie russe Sergeï Lavrov.

Fin juillet,  ce dernier s’était voulu rassurant au siège de la Ligue au Caire au sujet de la sécurité alimentaire dans la région. Jeudi, Maksym Subkh a rétorqué que l’augmentation mondiale du prix des denrées alimentaires était « un résultat direct de l’agression russe ».

DIRECT

 

LIRE AUSSI: Kiev au centre des soupçons après une explosion sur une base russe en Crimée

 

 

Moscou dénonce le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporozhye par Kiev comme un "acte de terrorisme nucléaire"

 

Plus tôt cette semaine, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que les attaques de l'armée ukrainienne contre la centrale nucléaire de Zaporozhye ne menaçaient pas seulement la vie des Ukrainiens et des Russes, mais de tous les Européens.

Ivan Nechaev, directeur adjoint du Département de l'information et de la presse du ministère russe des Affaires étrangères, a mis en garde contre les conséquences catastrophiques du bombardement par Kiev de la centrale nucléaire de Zaporozhye (NPP).

« Au cours des derniers jours, les forces ukrainiennes ont bombardé à plusieurs reprises le territoire de la centrale nucléaire de Zaporozhye, ce qui est un acte de terrorisme nucléaire. De telles actions du régime de Kiev peuvent conduire à une catastrophe d'une ampleur bien supérieure aux conséquences de l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl [en avril 1986] », a déclaré Nechaev aux journalistes jeudi.

Il a rappelé que le Conseil de sécurité de l'ONU tiendrait une réunion plus tard jeudi pour traiter de la question du bombardement de Kiev sur la centrale nucléaire de Zaporozhye. Selon le diplomate russe, Moscou espère que la communauté mondiale et les structures internationales compétentes accorderont l'attention voulue à la situation "catastrophique" autour de l'installation.

"Nous sommes favorables à l'organisation d'une mission de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur la centrale nucléaire de Zaporozhye, qui a été interrompue en juin en raison d'une décision du Département de la sécurité du Secrétariat de l'ONU", a déclaré Nechaev.

Par ailleurs, Nechaev a déclaré qu'outre son aide à l'Ukraine, Washington fournit à Kiev des informations de renseignement en utilisant des données provenant de satellites militaires, civils et privés, ce qui, a-t-il ajouté, "conduit à la militarisation de l'espace extra-atmosphérique".

Cette déclaration intervient après que Volodymyr Rogov, membre du conseil principal de l'administration régionale, a déclaré plus tôt jeudi qu'un système local de défense aérienne avait repoussé les attaques de missiles et de drones des troupes ukrainiennes contre la centrale nucléaire de Zaporozhye et la ville d'Energodar, où le l'installation est située.

Cela fait suite à la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, qui a déclaré dans un communiqué au début de la semaine que "la partie russe appelle depuis longtemps la communauté internationale à condamner les frappes incessantes que le régime de Kiev inflige à la centrale nucléaire de Zaporozhye, y compris les attaques utilisant des moyens de plus en plus destructeurs systèmes d'armes.

"La centrale a de nouveau essuyé des tirs les 5 et 6 août et une catastrophe majeure a été évitée uniquement grâce aux actions habiles et rapides des employés de la centrale nucléaire, ainsi qu'aux forces russes assurant une protection complète de l'installation", a ajouté Zakharova.

Elle a pris la parole après que les autorités d'Energodar ont rapporté que les forces ukrainiennes avaient lancé une attaque contre l'installation à l'aide d'un système de lance-roquettes multiples Uragan, avec des éclats d'obus tombant à seulement 400 mètres des réacteurs de l'usine.

La semaine dernière, des attaques distinctes ont provoqué un incendie dans l'installation, coupant deux lignes électriques nécessaires au fonctionnement des réacteurs et laissant plus de 10 000 habitants de la région sans électricité ni eau.

La centrale nucléaire de Zaporozhye, qui est la plus grande installation de production d'énergie nucléaire en Europe, contient six réacteurs à eau légère sous pression VVER-1000, qui produisent un total de 5 700 MWe de puissance.

Le 24 février, le président russe Vladimir Poutine a annoncé le début d'une opération spéciale pour démilitariser et dénazifier l'Ukraine suite à une demande des républiques du Donbass de les protéger des provocations de Kiev.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Le Pentagone admet avoir envoyé des missiles en Ukraine capables de frapper les systèmes défensifs russes

 

Selon un rapport des médias, il aurait pu s'agir d'un missile anti-rayonnement à grande vitesse AGM-88 (HARM). Si cela est vrai, ce serait l'un des missiles à plus longue portée que les États-Unis aient fournis à l'Ukraine jusqu'à présent, malgré les avertissements de Moscou sur les conséquences de l'armement de Kiev.

Les États-Unis ont fourni à l'Ukraine des missiles anti-radar - un armement spécial pour détruire les systèmes radar - a annoncé le sous-secrétaire à la Défense pour la politique, Colin Kahl. Kahl n'a pas révélé combien de missiles ont été envoyés en Ukraine ni quand cela s'est produit. Il n'a pas non plus mentionné leur modèle.

L'envoi de missiles anti-radar n'a pas été divulgué dans les cinq derniers colis d'armements envoyés à l'Ukraine par les États-Unis au 1er juillet, même si Kahl a déclaré qu'il y était inclus.

Le sous-secrétaire à la Défense a noté que l'objectif de l'envoi des armes anti-radar était de permettre aux avions de combat ukrainiens de voler sans craindre les défenses aériennes russes, qui couvrent, entre autres, le territoire russe.

Vers une guerre de religion, infos du 11 aout 2022

"A court terme, nous avons fait beaucoup de choses pour que l'armée de l'air existante de l'Ukraine reste dans les airs et soit plus capable", a-t-il déclaré.

Kahl a ajouté que Washington aiderait également l'armée de l'air ukrainienne par d'autres moyens, notamment en envoyant des pièces de rechange pour les Mig-29.

Les autorités ukrainiennes ne se sont jamais vantées de recevoir des missiles anti-radar, contrairement à d'autres armes occidentales . CNN a rapporté, citant un responsable de la défense anonyme, que les États-Unis avaient fourni à Kiev des missiles anti-radiations à grande vitesse AGM-88 (HARM). Il est capable de toucher des radars à 48 kilomètres de distance et les HARM seraient donc l'une des armes les plus à longue portée envoyées par les États-Unis en Ukraine.

Moscou a mis en garde à plusieurs reprises les États occidentaux contre l'envoi d'armes à l'Ukraine, insistant sur le fait que cela ne fait que motiver Kiev à lutter contre la Russie et non à rechercher une solution diplomatique à la table des négociations. Le Kremlin a également exprimé sa crainte que les armes occidentales fournies aux Ukrainiens ne se retrouvent sur le marché noir des armes mondiales. Selon l'enquête de Sputnik Arabia, certains modèles d'armes occidentales en provenance d'Ukraine ont déjà commencé à apparaître sur les marchés du dark web.

La Russie a également mis en garde les pays occidentaux contre la fourniture d'armes qui seraient utilisées pour frapper le territoire russe. Moscou a averti que si cela se produisait, les frappes de représailles viseraient des centres de décision, pas nécessairement situés à Kiev.

Source Spoutnik (traduction)

 
 

 

Guerre en Ukraine : Le Royaume-Uni et le Danemark vont fournir à Kiev des fonds supplémentaires et des armes, dont de nouveaux lance-roquettes Himars

 

 

La Grande-Bretagne et le Danemark ont annoncé apporter une aide supplémentaire à l'Ukraine sous forme de financement et d'armes, dans le cadre d'une conférence internationale des donateurs qui se tient à Copenhague ce jeudi.

  • Les systèmes de roquettes à lancements multiples Himars permettent à l'Ukraine de se défendre contre l'artillerie lourde russe.
    Les systèmes de roquettes à lancements multiples Himars permettent à l'Ukraine de se défendre contre l'artillerie lourde russe. Digital - Sgt. James Larimer

Dans un communiqué, la Grande-Bretagne a déclaré qu'elle fournirait à l'Ukraine davantage de systèmes de roquettes à lancements multiples Himars, capables de frapper des cibles situées à 80 km, pour permettre à l'Ukraine de se défendre contre l'artillerie lourde russe.

Ces armes ont permis aux forces ukrainiennes de rééquilibrer le rapport de force et sont clairement devenues la cible à abattre pour l'armée russe.

Le Danemark va quant à lui augmenter son aide financière à l'Ukraine de 110 millions d'euros, a déclaré la Première ministre Mette Frederiksen lors de la conférence.

"Il s'agit d'une guerre contre les valeurs sur lesquelles reposent l'Europe et le monde libre (...) Aujourd'hui, nous réaffirmons notre engagement à soutenir l'Ukraine", a-t-elle déclaré.

La conférence, qui est organisée par l'Ukraine, le Danemark et la Grande-Bretagne, a pour but de discuter du soutien à long terme à apporter à l'Ukraine après l'invasion russe en février dernier.

Le Danemark a annoncé mercredi qu'il allait dépêcher des instructeurs militaires en Grande-Bretagne pour aider à entraîner les soldats ukrainiens et former des officiers ukrainiens sur son sol.

Source

 

 

 

« Une autre étape vers l'échelle d'escalade » : le Danemark envoie 130 instructeurs pour former des soldats ukrainiens

 

Le programme, qui comprend l'entraînement aux armes, le combat urbain, les opérations tactiques sur le terrain et les premiers secours, a été qualifié par l'ambassade de Russie de "nouvelle escalade retardant la paix" et de "pari sur la victoire de Kiev".

Au total, 130 soldats danois formeront des Ukrainiens dans le cadre d'un projet dirigé par le Royaume-Uni, a confirmé le ministère danois de la Défense.

« Dans peu de temps, le Danemark enverra 130 instructeurs militaires dans un projet de formation britannique. Ici, entre autres, ils dispenseront une formation militaire de base aux soldats ukrainiens sans expérience militaire ou avec une expérience militaire limitée », a déclaré le ministre de la Défense, Morten Bødskov, cité par la radio danoise.

Le programme auquel les soldats danois contribueront comprend l'entraînement aux armes, le combat urbain, les opérations tactiques sur le terrain et les premiers secours.

Dans le même temps, l'armée danoise est en dialogue sur la formation des commandants de la Home Guard ukrainienne, a déclaré le ministère de la Défense du pays nordique, pour lequel un total de 100 millions de DKK (13,9 millions de dollars) ont déjà été affectés.

L'analyste de la défense de la radio danoise Mads Korsager a déclaré que la formation conjointe signale que le conflit entre dans une nouvelle phase.

« Auparavant, il s'agissait d'armer l'Ukraine pour que le pays puisse se défendre. Il s'agit maintenant de pérenniser la défense ukrainienne et donc de faire longtemps la guerre. Pour pouvoir faire cela, de nombreux soldats sont nécessaires », a déclaré Mads Korsager. « Aujourd'hui, le Danemark se tient aux côtés du Royaume-Uni, l'un des adversaires les plus tenaces de la Russie aux côtés des États-Unis, dans une mission qui consiste à entraîner des Ukrainiens à tuer des soldats russes. C'est un autre petit pas sur l'échelle d'escalade.

L'ambassadeur de Russie au Danemark, Vladimir Barbin, a qualifié cette décision de "retarder la paix".

"Au lieu d'appeler l'Ukraine à mettre fin au conflit par des négociations, le Danemark parie sur la victoire militaire de Kiev", a-t-il déclaré.

L'ambassade de Russie a qualifié la décision danoise de "dangereuse illusion qui ne fera qu'entraîner une nouvelle escalade du conflit et de nouvelles pertes inévitables pour l'Ukraine", ajoutant que "Kiev, qui demande inlassablement une assistance militaire aux pays de l'OTAN, a intérêt à les attirer directement dans le conflit. Au Danemark, ils préfèrent fermer les yeux sur de tels risques », a déclaré l'ambassade de Russie.

L'annonce danoise est intervenue symboliquement avant une grande conférence internationale des donateurs à Copenhague. Organisé par les ministres de la défense du Danemark, de l'Ukraine et du Royaume-Uni, il vise à accroître le soutien à l'Ukraine.

Le Danemark a précédemment soutenu des activités de formation en Ukraine dans le cadre de l'opération Orbital dirigée par le Royaume-Uni, où des soldats ukrainiens ont été formés aux compétences de base. De plus, le Danemark a également participé auparavant à l'opération Unifier du Canada pour former des soldats ukrainiens. Depuis le début de la campagne de la Russie pour démilitariser et dénazifier l'Ukraine et protéger les habitants des républiques du Donbass, elle a également fourni à Kiev des armes, dont des missiles navals Harpoon .

Plus tôt, les homologues nordiques du Danemark ont ​​annoncé leur participation au projet dirigé par le Royaume-Uni. La Suède a décidé de fournir jusqu'à 120 instructeurs pour former des civils ukrainiens aux compétences militaires de base, tandis que la Finlande a annoncé qu'elle fournirait 20 instructeurs supplémentaires.

Source Spoutnik (traduction)

 
 

 

 

Un stock de 45 000 tonnes de munitions de l’OTAN détruit par l’armée russe

Les forces armées russes détruisent un arsenal contenant 45 000 tonnes de munitions de l’OTAN en Ukraine.

Les troupes russes ont détruit un arsenal contenant 45 000 tonnes de munitions fournies à l’armée ukrainienne par les pays de l’OTAN dans la région de Mykolayiv, a déclaré le ministère russe de la Défense.

 

« Un arsenal près de Voznesensk, où étaient stockées 45 000 tonnes de munitions récemment fournies par les pays de l’OTAN à l’armée ukrainienne, a été détruit », précise le communiqué.

Source : RIA Novosti (Traduction E&R)

 

 

Etats-Unis : entendu sur ses pratiques fiscales, Donald Trump garde le silence après six heures d'audition chez la procureure de New York

 

Dans un communiqué dans la matinée, l'ex-président des Etats-Unis s'était dit une nouvelle fois victime d'une "chasse aux sorcières" et avait affirmé avoir "refusé de répondre aux questions".

Donald Trump, le 10 août 2022 à New York (Etats-Unis). (STRINGER / AFP)

C'est sans surprise qu'il a décidé de rester muet. Donald Trump est reparti, mercredi 10 août, sans dire un mot après six heures d'audition chez la procureure générale de l'Etat de New York. Elle l'interrogeait dans le cadre d'une enquête au civil, sur des soupçons de fraudes financières au sein de son groupe familial.

> > Perquisition chez Donald Trump : on vous résume les procédures judiciaires qui visent l'ancien président américain

Le convoi de SUV noirs transportant l'ancien président des Etats-Unis a quitté le sud de Manhattan vers 15 heures (heure locale) sous les yeux de journalistes, de partisans et de badauds armés de leurs téléphones portables que Donald Trump a salués derrière les vitres fumées de son véhicule. Arrivé vers 9 heures au bureau de la procureure générale Letitia James, le milliardaire a gardé le silence en invoquant le fameux 5e amendement de la Constitution américaine, qui autorise à ne pas témoigner contre soi-même.

Dans un communiqué dans la matinée, l'ex-président des Etats-Unis s'était dit une nouvelle fois victime d'une "chasse aux sorcières" et avait affirmé avoir "refusé de répondre aux questions, en vertu des droits et prérogatives accordés à tout citoyen par la Constitution des Etats-Unis".

Source

 

Note: La procureur de New York ! ! New York   c'est une ville de démocrate !  Petite recherche sur Wikipédia :

"Letitia James, née le à Brooklyn, est une avocate, militante et femme politique américaine.Première femme afro-américaine désignée candidate à une telle fonction par un grand parti (en l'occurrence, le Parti démocrate) dans l'État de New York,..." Wikipadia

Je savais ce que j'allais trouver sur Wiki, avant mm à voir le résultat ! Je déteste la gauche, c'est une maladie mentale, ils usent de tous les moyens pour détruisirent ceux qui ne sont pas dans leur camp, ils font comme l'islam ils piétinent ce qui ne peuvent pas "conquérir"

 

 

 

Après la perquisition du FBI dans la résidence de Donald Trump, les républicains crient au complot

 

Le 10 aout 2022

A la suite de l’opération policière menée dans sa résidence de Mar-a-Lago, l’ex-président est encouragé par ses partisans à annoncer sa candidature pour 2024.

Un partisan de l’ancien président Donald Trump passe devant son domaine de Mar-a-Lago, le 8 août 2022, à Palm Beach, en Floride.

Pour une fois, Donald Trump n’a pas exagéré. « Rien de tel n’est jamais arrivé à un président américain », s’est-il plaint dans un communiqué, lundi 8 août, quelques heures après le « raid d’un nombre important » d’agents du FBI dans sa « belle demeure de Mar-a-Lago à Palm Beach », en Floride. De l’avis des historiens, la perquisition de la police fédérale dans la résidence, fût-elle de vacances, d’un président ou ancien président n’a, en effet, pas connu de précédent. L’interprétation qu’en fait l’ex-président est claire : la « gauche radicale cherche à [l]’empêcher de [s]e présenter en 2024 ».

En matière de protection des Archives nationales, la chronique a bien retenu quelques poursuites pour des infractions à la loi, visant l’ex-conseiller du président Bill Clinton Sandy Berger, ou l’ancien général de l’armée américaine David Petraeus, qui sera condamné pour avoir divulgué des documents classés à sa compagne.

Mais rien d’aussi lourd de conséquences que la perquisition de lundi, à un moment où le Parti républicain est sur la défensive sur le terrain politique, et plus que jamais obnubilé par M. Trump : sa possible candidature pour 2024,...

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Migrants clandestins : un arrêt de la Cour de justice de l’UE va faciliter le travail des ONG de « sauvetage en mer »

Rendu le 1 er  août, un arrêt de la CJUE enjoint les Etats membres à ne pas bloquer dans leurs ports les bateaux d’ONG de sauvetage en mer. Une décision saluée par le quotidien italien de centre gauche « La Repubblica », qui y voit aussi un revers pour le parti populiste anti-migrants de Matteo Salvini

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Juin 2019. Les autorités italiennes empêchent le bateau de l’ONG allemande Sea-Watch d’accoster sur l’île de Lampedusa, avec à son bord 53 migrants. A la tête du ministère italien de l’Intérieur à l’époque, Matteo Salvini , dirigeant de la Ligue du Nord, parti d’extrême droite anti-migrants. Le bras de fer entre celui-ci et la capitaine du navire, Carola Rackete , ponctuera la séquence médiatique d’alors.

Au fil des années, l’histoire s’est répétée, avec en toile de fond une question juridique non tranchée : les autorités nationales d’un pays de l’UE ont-elles le droit de contrôler, voire de bloquer un navire dont l’activité principale est le sauvetage en mer ?

Une décision de justice qui priorise le sauvetage

« Les bateaux d’organisations humanitaires qui font du secours en mer ne peuvent pas être contrôlés par l’Etat où elles débarquent. A moins qu’il n’y ait un risque évident de danger pour la sécurité, la santé ou l’environnement », statue la juridiction, ajoutant que si contrôle il y a, celui-ci doit être dûment justifié par les autorités compétentes et non arbitraire.

[…]

 

Les Echos

 

 

 

« Il ne faut pas se mentir, ça va être dur » : le gouvernement se prépare à un hiver très compliqué pour les Français

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 11 aout 2022

Après la canicule et les incendies cet été, la France grelottera-t-elle dans quelques mois, minée par les pénuries d’énergie ? C’est ce que paraissent craindre certains membres du gouvernement, alors que se profile une rentrée extrêmement compliquée pour les Français. À tel point que les cadres de la majorité ne s’évertuent pas tant à l’empêcher qu’à y préparer les Français, relate Le Parisien. « On ne peut pas être comme des voyageurs qui boiraient du champagne dans un avion, en ignorant qu’il va s’écraser sur la montagne », analyse même, crépusculaire, un cadre de la majorité.

Il faut admettre que l’addition est déjà salée : « Le contexte géopolitique, la guerre, le sujet climatique, l’énergie, c’est très anxiogène », liste le ministre de l’Agriculture Marc Fesnau. Or, l’arrivée de l’hiver va nettement compliquer les choses, au point que de potentielles coupures d’électricité paraissent désormais possibles : « Il ne faut pas se mentir, ça va être dur. L’hiver va être compliqué. Tous les efforts sont faits pour limiter les contraintes, mais il va y avoir des contraintes », admet le député Renaissance Marc Ferracci.

 

Montrer l’exemple… le plus souvent possible !

Reste donc à préparer la population à un hiver compliqué : autour d’Élisabeth Borne, les ministres s’attellent à « faire entrer ces sujets dans l’atmosphère ». Certains envisagent même d’adopter la même communication que pendant le Covid, avec l’organisation régulière de conférences de presse pour habituer les Français à une nécessaire planification écologique – et à la réduction de la consommation d’énergie qu’elle implique.

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Note : ils parlent d'éclogie, alors que tous se qui se passe en France est le resultat de leur politique !

 

 

 

Sa production d’électricité s’effondre, la France perd sa place de premier exportateur net en Europe

Un effondrement de la production française plus qu’une augmentation de celle de la Suède. C’est ce qui explique que l’Hexagone ait perdu sa première place d’exportateur net d’électricité entre janvier et juin 2022, selon un rapport de l’analyste de données énergétiques EnAppSys paru ce mercredi 10 août. La France est passée d’exportateur net à importateur net. De 21,5 TWh d’exportations nettes l’année dernière, la France est désormais déficitaire, de 2,5 TWh.

La France «est passée d’exportateur net, plus tôt dans l’année, à un importateur net, qui résulte d’une chute dramatique de sa position nette globale», écrit la structure britannique. Elle explique ce virage à 180° par des «problèmes structurels avec son parc nucléaire». Plus grave, les difficultés que connaît le pays pourraient durer. La situation «ne montre aucun signe d’amélioration prochaine», a ainsi déclaré Jean-Paul Harreman, directeur de EnAppSys BV.

En plus de la canicule, qui oblige à arrêter certaines centrales, comme celle de Tricastin (Drôme), en raison des températures élevées des fleuves, le parc français fait face à des problèmes de corrosions affectant certains réacteurs et a conduit à stopper 12 d’entre eux (sur 56).

Les pays du nord de l’Europe dominent largement ce classement. Derrière la Suède, qui a exporté 16 térawattheures (TWh) entre janvier et juin, principalement vers la Finlande et le Danemark, on trouve l’Allemagne. La première puissance économique du continent a envoyé 15,4 TWh d’électricité à ses voisins. Le double du semestre 2021 précédent, afin de répondre notamment à la demande Française. Les centrales nucléaires françaises ne fonctionnent plus qu’à la moitié de leur capacité totale, expliquait Reuters ce mercredi. La sécheresse et les hausses de température ont également obligé l’énergéticien à baisser sa production. EDF avait prévenu, début août, que la production de plusieurs centrales pourrait être affectée en raison de l’échauffement des cours d’eau, utilisés pour refroidir les réacteurs. De 21,5 TWh d’exportations nettes l’année dernière, la France est désormais déficitaire, de 2,5 TWh.

Le Figaro ; Capital

 

 

 

 

Mozambique : une vidéo de jihadistes affiliés à l’État islamique adressée aux gouverneurs et aux chrétiens, « la guerre continuera jusqu’à l’application de la charia, on ne déposera pas les armes »

 

 

 

 

Aéroport de Roissy : la police abat un SDF né en Martinique, armé d’un couteau, qui s’était précipité sur les agents (Màj : Vidéo)

 

11/08/2022

D’après nos informations, le SDF, né à Fort-de-France (Martinique), était âgé de 32 ans. Il se baladait, depuis longtemps déjà, régulièrement dans ce secteur. Mais ces derniers temps, il présentait des signes d’agressivité.

Le Parisien


10/08/2022


La scène s’est déroulée ce mercredi matin, en zone publique du terminal 2F, à l’aéroport de Roissy.

Un homme au comportement agressif et armé a été maîtrisé par la police aux frontières, à l’aéroport de Roissy. La scène s’est déroulée ce mercredi matin, en zone publique du terminal 2F, a appris BFMTV d’une source proche de l’enquête.

Les forces de l’ordre ont demandé à plusieurs reprises à l’individu, un homme sans domicile fixe, armé d’un couteau de le poser, en vain. Selon une source proche de l’enquête, l’homme s’est dirigé vers les agents qui ont alors tiré. En vie, l’individu a été touché à l’abdomen.

BFMTV

 

 

Saint- (Ben) Denis (93) : une cinquantaine d’Égyptiens et d’Algériens armés impliqués dans une violente rixe

 

Une scène de guérilla urbaine. Plusieurs dizaines de personnes se sont battues lors d’une violente rixe.

Une cinquantaine d’individus est impliquée dans l’affrontement. Certaines sources évoquent une bataille de bandes, «apparemment entre Égyptiens et Algériens», sans que cela n’ait été officiellement confirmé.

Le Parisien

 

 

 

 

Rodéos : la méthode du « tampon » utilisée par la police britannique est-elle envisageable en France ? (Màj : 92,7 % d’avis favorables dans un sondage du Figaro de 154.000 votants)

 

11/08/2022

Le Figaro


09/08/2002

 

 

Estimant « la situation intenable », un collectif de 31 sénateurs du groupe “Socialiste, écologiste et républicain” demande la légalisation du cannabis

Un collectif de 31 sénateurs du groupe “Socialiste, écologiste et républicain”, emmené par Gilbert-Luc Devinaz, s’engage, dans une tribune au « Monde », à lancer un processus de concertation afin de déposer une proposition de loi pour légaliser le cannabis. « La légalisation du cannabis donnera les moyens d’agir plus efficacement pour protéger davantage nos concitoyens » affirment-ils.

Près de 18 millions de nos concitoyens ont déjà consommé du cannabis à titre récréatif, selon un récent rapport de l’Assemblée nationale. Alors que c’est interdit, 1,5 million en consomme régulièrement. Que nous le voulions ou non, il s’agit d’un sujet de société dont les pouvoirs publics doivent se saisir. Il est de la responsabilité du législateur d’apporter des réponses aux préoccupations légitimes qui existent, face à une situation qui nous échappe.

Dans ce contexte, nous devons sortir du procès en laxisme fait régulièrement aux tenants d’une évolution du cadre légal. Nous, sénateurs socialistes, regardons la réalité en face : la situation est intenable. Les Français sont prêts à débattre de la consommation du cannabis dit récréatif.

Nous tenons à apporter notre pierre à l’édifice, sans parti pris et dans la perspective d’une législation efficace. En effet, nous observons que la répression engagée dans le cadre de la prohibition est inefficace, inefficiente et injuste. Elle ne permet pas de protéger nos jeunes des dégâts sur leur santé d’une consommation incontrôlée. Elle maintient certains quartiers dans une dépendance très forte aux trafics qui se traduit par une insécurité et une violence insupportables pour les habitants. Elle mobilise des moyens conséquents pour un résultat en définitive quasi nul.

Face à cela, deux réponses existent. La première, la dépénalisation, est caractérisée par un maintien de l’interdiction avec une suppression des peines encourues. Ce serait un renoncement des pouvoirs publics qui s’amputeraient eux-mêmes des moyens d’agir. Il s’agirait d’acheter la paix sociale avec un certain cynisme. Nous refusons cette option démagogue et populiste.

Nous prônons l’autre voie : la légalisation. Sans minimiser l’impact sanitaire de la consommation du cannabis, nous considérons, à l’instar des politiques publiques existantes pour le tabac et l’alcool ou encore les jeux d’argent, que la légalisation donnera les moyens d’agir plus efficacement pour protéger davantage nos concitoyens et notamment notre jeunesse.

Le Monde

 

 

 

 

 

Limoges (87) : un Algérien en situation irrégulière déjà connu pour un vol et qui fait l’objet d’une OQTF depuis le 4 juin 2022, récidiviste, il est relâché en attendant d’être jugé « à une date indéterminée »

Une boutique de produits de beauté du centre commercial Saint-Martial à Limoges a été victime d’un vol. Arrêté, l’auteur des faits est connu de la police et de la justice.

Un Algérien en situation irrégulière, qui fait l’objet d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) depuis le 4 juin, jamais exécutée, a été arrêté récemment au centre Saint-Martial de Limoges. C’est le service de sécurité du centre qui est intervenu dans un premier temps et a permis de confondre l’auteur des faits ; il avait dérobé pour 530 € de produits de beauté et de parfums dans l’une des boutiques du centre situé avenue Garibaldi.

Connu pour des faits similaires, cet homme va faire l’objet d’une ordonnance pénale à une date indéterminée, dans les semaines qui viennent. Ce dispositif permet au procureur de la République de faire juger certaines contraventions et certains délits par un juge unique et sans audience. En attendant, il est libre.

Le Populaire du Centre

 

Femmes violées en Afrique du Sud : les migrants illégaux pointés du doigt (MàJ : la tension ne retombe pas, armés de machettes, des habitants en colère mettent le feu à une maison censée appartenir à un clandestin)

 

11/08/2022

Armés de machettes, de clubs de golf et parfois même de marteaux, cette foule d’habitants en colère met le feu à cette maison située dans un township près de Johannesburg et censée appartenir à un mineur clandestin.

 

 

La tension ne retombe pas, plus d’une semaine après le viol collectif de huit femmes dans une ville minière près de la capitale économique. Et les coupables, selon la population, seraient des étrangers qui travaillent dans des mines clandestines. Des dizaines d’hommes accusés d’être impliqués dans cette affaire ont déjà été présentés à la justice.

Malgré cela, la population continue d’exprimer son ras-le-bol face à une police jugée trop molle.

Après l’agression sexuelle, des milliers de manifestants sud-africains ont pourchassé des mineurs clandestins et incendié des maisons.

À Johannesburg, des gangs armés se battent pour le contrôle des mines abandonnés afin d’exploiter ce qu’il reste d’or. Des migrants venus principalement du Lesotho, du Zimbabwe et du Mozambique. Leur présence suscite la peur et un ressentiment croissant parmi une partie des Sud-Africains.

Africa News

 


05/08/2022

En Afrique du Sud, un viol collectif, commis la semaine dernière contre huit femmes lors du tournage d’un clip près d’une mine abandonnée en banlieue de Johannesbourg, attise les colères. La question des migrants illégaux est de nouveau au coeur des débats, alors que des mouvements xénophobes secouent régulièrement le pays

Une petite foule s’est rassemblée devant la cour où comparaissent une soixante de personnes arrêtées suite à ce drame. La police accuse les « zama zama », le surnom donner aux mineurs illégaux souvent originaires de pays voisins, d’être auteurs du crime. Les forces de l’ordre ont, depuis, arrêté plus d’une centaine de personnes appartenant à ces communautés, pour différents motifs, sans qu’aucune ne soit pour l’instant directement liée à ce viol. Le choc et la colère ont rapidement déplacé le débat sur les violences faites aux femmes à la question des migrants illégaux.

Chaque parti se fait face, de l’ANC à la DA en passant par de plus petites formations. Pour Mantshadi Teleko, des Combattants pour la liberté économique (EFF), il s’agit de soutenir le droit des femmes : « Les femmes ne sont pas en sécurité ici. On a même peur d’aller le soir au supermarché en bas de chez nous ! Et je pense que les hommes dans ce pays doivent apprendre comment se comporter. »

Mais des pancartes n’hésitent pas à faire le lien avec la nationalité étrangère des personnes arrêtées. « Il y a un problème de migrants illégaux, assène Pule Mabe, porte-parole de l’ANC. Nous avons établi que notre gouvernement doit renforcer les lois et les contrôles, pour qu’on puisse résoudre le problème des sans-papiers qui commettent des crimes horribles. »

(…) RFI


30/07/2022

 

Un gang d’hommes armés s’est introduit jeudi sur le tournage d’un clip vidéo dans la périphérie de Krugersdorp, à l’ouest de Johannesburg, et a violé huit jeunes femmes qui faisaient partie du casting près d’une petite ville sud-africaine, a annoncé ce vendredi la police. Le ministre sud-africain de la Police, Bheki Cele, a déclaré que trois suspects sur une vingtaine ont jusqu’à présent été arrêtés, ajoutant que le gang avait attaqué l’équipe du casting pendant qu’elle était en train de décharger des équipements et de préparer un décor.

Toujours selon le ministre, les femmes présentes lors du casting étaient âgées entre 18 et 35 ans. Il a également souligné qu’une de ces femmes avait été violée par dix hommes et une autre par huit. Des hommes ont également été déshabillés et dépouillés de leurs effets personnels. « Il semble qu’ils (les suspects) soient des ressortissants étrangers, en gros ce sont des zama zamas (mineurs illégaux) », a déclaré M. Cele devant des journalistes en marge de la conférence politique de l’ANC, le parti au pouvoir, à Johannesburg.

[…]

 

Le Parisien

En raison de viols et de vols de masse présumés, la police sud-africaine a abattu deux suspects et arrêté 65 autres. L’opération de police à grande échelle à Krugersdorp près de Johannesburg a suivi le vol d’une équipe de tournage. Les hommes ont attaqué l’équipage alors qu’ils installaient leur équipement, a déclaré le ministre de la Police Bheki Cele. Les agresseurs ont ordonné à tout le monde de s’allonger sur le sol, puis ont violé huit femmes.

[…]

 

« On dirait qu’ils sont des étrangers », a déclaré Cele, ajoutant qu’ils sont « essentiellement des zama zamas » – le terme fait référence aux travailleurs qui creusent illégalement dans les mines d’Afrique du Sud. En moyenne, un viol est signalé à la police toutes les douze minutes en Afrique du Sud. On peut supposer qu’un grand nombre de cas non signalés sont signalés.

[…]

 

20 Minutes

 

 

R-U : fermeture de la clinique publique Tavistock spécialisée dans le genre pour transgenres mineurs, elle ignorait leur fragilités psychologiques avant de leur causer des dommages irréparables (Màj : La clinique poursuivie par 1.000 familles)

Le service de développement de l’identité de genre (GIDS) du NHS (Le National Health Service est le système de la santé publique du Royaume-Uni) est une clinique de santé gérée au niveau national, spécialisée dans le travail avec les enfants ayant des problèmes d’identité de genre, y compris la dysphorie de genre. Bien qu’il soit basé sur le site du Tavistock and Portman NHS Foundation Trust, il est commandé par le NHS England et reçoit des patients de tout le Royaume-Uni. Il s’agit de la seule clinique d’identité de genre pour les personnes de moins de 18 ans au Royaume-Uni et elle fait l’objet de nombreuses controverses (Wikipedia)

11/08/2022

La clinique spécialisée dans l’étude du genre Tavistock fait l’objet d’une action en justice massive de la part de jeunes qui affirment avoir été poussés à prendre des inhibiteurs de la puberté susceptibles de modifier leur vie.

Les avocats s’attendent à ce qu’un millier de familles se joignent à un procès pour négligence médicale, alléguant que des enfants vulnérables ont été mal diagnostiqués et placés dans un parcours médical préjudiciable.

Ils accusent le service de développement de l’identité de genre [GIDS] du Tavistock and Portman NHS Trust de multiples manquements à son devoir de diligence.

Il est notamment allégué qu’il a prescrit de manière inconsidérée des bloqueurs de puberté aux effets secondaires néfastes et qu’il a adopté une “approche affirmative et sans discussion” à l’égard des enfants s’identifiant comme transgenres.

Le mois dernier, NHS England a annoncé la fermeture de la clinique Tavistock pour des raisons de sécurité, à la suite d’un examen externe accablant. Les soins seront confiés aux hôpitaux régionaux pour enfants.

[…]

 

The Times


29/07/2022

Un centre controversé qui aidait les jeunes à devenir transgenres sera fermé par le NHS après avoir été jugé “dangereux pour les enfants”.

Cette décision, annoncée jeudi par le Service national de santé britannique (NHS England), a été saluée par certains anciens utilisateurs du service, qui estimaient avoir reçu des conseils et des traitements inadaptés. Elle entraînera la fermeture du centre Tavistock de Londres. Au lieu de cela, les jeunes qui pensent être trans seront désormais transférés dans des centres régionaux qui adopteront une approche plus “holistique” du traitement Il s’agira notamment d’examiner les autres problèmes de santé mentale ou médicale dont ils peuvent souffrir.

Keira Bell, qui s’est vu prescrire des bloqueurs de puberté au centre alors qu’elle n’avait que 16 ans, mais qui a ensuite interrompu le processus de transition, a salué cette décision Aujourd’hui âgée de 25 ans, elle a déclaré : “Je suis aux anges. Cela signifie que beaucoup d’enfants seront sauvés de la voie que j’ai empruntée “Il aurait fallu le faire bien plus tôt” Elle a ajouté : “Je pensais que c’était la voie que je devais suivre (transition), mais en réalité j’avais juste besoin d’un soutien… d’un soutien en matière de santé mentale et d’une thérapie.”

Elle a déclaré que les médecins du Tavistock se sont déplacés pour prescrire des bloqueurs de puberté pour les jeunes en difficulté beaucoup trop rapidement et auraient plutôt dû donner un soutien de santé mentale d’abord. “Nous parlons ici d’enfants, de médicaliser des enfants sur la base du fait que vous savez qu’ils se sentent d’une certaine manière”, a-t-elle déclaré. Elle a ajouté que les enfants dans cette situation auraient dû se voir proposer un soutien en matière de santé mentale, plutôt que des bloqueurs de puberté, afin de les ramener à la “réalité” “Ils foutent en l’air la vie des enfants”, a-t-elle ajouté. “Les gens du Tavistock devraient avoir honte”.

La décision de fermer le centre fait suite à l’examen provisoire de Cass, qui a averti que les médecins du Tavistock se sont sentis “sous pression pour adopter une approche affirmative incontestable” de l’identité de genre plutôt que de passer par un processus normal d’évaluation clinique avec les jeunes. Le Dr Hilary Cass, pédiatre consultant qui dirige l’audit indépendant, a constaté au début de l’année que la clinique, en tant que seul fournisseur de services d’identité de genre pour les jeunes en Angleterre, n’était “pas une option sûre ou viable à long terme”.

[…]

 

L’audit de Cass a été commandée par le NHS England en 2020, suite à des inquiétudes quant à l’existence de “preuves rares et non concluantes pour soutenir la prise de décision clinique”, qui ont conduit à l’administration de bloqueurs de puberté à des enfants âgés de 10 ans seulement. Des inquiétudes avaient été exprimées quant à la forte augmentation des demandes d’admission au service de développement de l’identité de genre (GIDS) géré par le Tavistock and Portman NHS Foundation Trust – plus de 5 000 en 2021/2022 contre 250 dix ans plus tôt – ainsi que de longues listes d’attente.

[…]

 

Un porte-parole de NHS England a noté qu’il y avait “un nombre significatif d’enfants présentant également des troubles de la personnalité, d’autres besoins en matière de santé mentale et des comportements à risque, ce qui nécessite une attention particulière et doit être mieux compris”. C’est craignant que les médecins soient trop prompts à affirmer la nouvelle identité d’un enfant, sans examiner d’autres problèmes de santé mentale ou médicale, que le Dr Cass a recommandé de s’éloigner du modèle du prestataire unique.

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Le groupe de pression Women’s Rights Network a salué la fermeture du service de développement de l’identité de genre au Tavistock & Portman NHS Foundation Trust. Heather Binning, porte-parole du WRN, a déclaré : “Aucun enfant ne naît dans le mauvais corps et aucun enfant ne devrait être placé dans un parcours médical qui va nuire à sa santé, sa fertilité et sa fonction sexuelle.

“C’est un scandale que cette clinique ait été autorisée à poursuivre ses activités aussi longtemps, malgré de nombreux signaux d’alarme. “Les lanceurs d’alerte, l’augmentation de 5 000 % du nombre de filles et de jeunes femmes référées pour dysphorie de genre, et le témoignage de transsexuels comme Keira Bell, sont autant de preuves évidentes que quelque chose ne tournait pas rond “Nous craignons que les conclusions complètes de la Cass Review ne soient épouvantables.

[…]

 

Express.co.uk

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