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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 12 aout 2022

 

 

 

À partir de la semaine prochaine, je commencerais à poster un quatrain de Nostradamus, une fois par semaine, (je pense en milieu de semaine, le mercredi ou le jeudi)

Je sais qu'il a des personnes qui suivent l'actualité postée sur mon blog, mais ne s'intéresse pas du tout aux prophéties, j'invite ces personnes à continuer à suivent l'actualité que je poste, (il suffit juste d'éviter les textes bleus du jeudi)

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Un premier navire de l’ONU doit accoster aujourd’hui en Ukraine pour récupérer des céréales...

 

L’ESSENTIEL

  • Kiev et Moscou se renvoient toujours la responsabilité des nouvelles frappes sur la centrale nucléaire de Zaporojie. Volodymyr Zelensky a notamment appelé le monde à « réagir immédiatement » pour chasser « les occupants russes » de la centrale.
  • Tentant de siffler la fin de la récréation, l’AIEA a indiqué que « l’heure est grave » même si aucune fuite n’est encore enregistrée. De son côté, Washington indique vouloir mettre en place une zone démilitarisée autour de la centrale, qui reviendrait aux mains des Ukrainiens.
  • L’ex-président russe Dmitri Medvedev s’est rendu jeudi soir dans une région séparatiste de l’est de l’Ukraine. Il s’est entretenu avec les dirigeants prorusses des régions de Lougansk et de Donetsk.

 

15h47 : Un premier navire de l’ONU doit accoster aujourd’hui en Ukraine pour récupérer des céréales

Un premier navire affrété par les Nations unies pour transporter des céréales ukrainiennes destinées à soutenir ses opérations d’aide humanitaire dans le monde doit accoster aujourd'hui en Ukraine, a indiqué le Programme alimentaire mondial (PAM).

Le MV Brave Commander, qui a quitté Istanbul mercredi, doit arriver à Youjne, à l’est d’Odessa, sur les bords de la mer Noire, pour y récupérer ensuite les céréales achetées par le PAM. « Il s’agit de la première livraison d’aide alimentaire humanitaire dans le cadre de l’Initiative céréalière de la mer Noire », a déclaré un porte-parole du PAM, Tomson Phiri, lors d’un point de presse régulier à Genève.

 

14h38 : Tout comprendre aux explosions survenues sur une base militaire en Crimée

A la suite des explosions dans un dépôt de munitions en Crimée, Kiev, Moscou et les experts livrent chacun leur version des faits. Lisez notre article pour tout comprendre à la situation :

 

10h10 : La centrale de Zaporojie pas endommagée

La structure de la centrale nucléaire de Zaporojie n'a pas été endommagée par les bombardements, et les réacteurs fonctionnent en mode normal, sans aucune perturbation.

 

9h48 : Le géant russe de l’aluminium Rusal affecté par les sanctions

Le géant russe de l’aluminium Rusal a indiqué vendredi être affecté par les sanctions internationales provoquant notamment une demande russe en berne, en annonçant un bénéfice net en fort recul au premier semestre. Le bénéfice net a reculé de 16,7 % au premier semestre sur un an, à 1,68 milliard de dollars, selon des chiffres diffusés vendredi dans un communiqué.

Fondé par l’oligarque Oleg Deripaska, le groupe souligne que « les tensions géopolitiques croissantes depuis février 2022 ont fait considérablement augmenter la volatilité sur les marchés de matières premières et de devises ».

 

7h26 : Zelensky appelle le monde à « réagir immédiatement »

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé jeudi la communauté internationale à « réagir immédiatement » pour faire partir les Russes de la centrale nucléaire de Zaporojie occupée et cible de bombardements.

« Le monde entier doit réagir immédiatement pour chasser les occupants de la centrale de Zaporojie, » la plus grande d’Europe située dans le sud de l’Ukraine et occupée par les troupes russes depuis le 4 mars, a déclaré le président ukrainien dans son adresse vidéo quotidienne. « Seul le retrait total des Russes et la reprise du contrôle total de l’Ukraine sur la centrale garantirait la sécurité nucléaire pour toute l’Europe », a-t-il ajouté en dénonçant le « chantage nucléaire russe ».

 

7h22 : « L’heure est grave », dit le chef de l’AIEA à l’ONU

« L’heure est grave », a lancé jeudi le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) devant le Conseil de sécurité de l’ONU, réclamant l’accès à la centrale nucléaire de Zaporojie que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement d’avoir bombardée.

« L’heure est grave et l’AIEA doit être autorisée à mener sa mission à Zaporojie aussi vite que possible », a déclaré Rafael Grossi, intervenant en vidéo lors de cette réunion d’urgence du Conseil de sécurité. « Le temps presse », a-t-il insisté, alors que l’AIEA tente depuis des semaines d’envoyer une mission pour inspecter la centrale, mission que Kiev et Moscou s’accusent mutuellement de freiner.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : Cinq choses à savoir sur le mic-mac autour des explosions en Crimée

 

  • Des explosions ont fait, ce mardi, un mort et des blessés dans un dépôt de munitions sur le site d’un aérodrome militaire de la péninsule ukrainienne de Crimée.
  • Depuis, le ministre de la Défense ukrainien refuse de commenter une éventuelle implication de son armée, semblant tourner en dérision les événements. Quant à l’armée russe, elle continue d’affirmer qu’aucun tir ni bombardement ne sont à l’origine de ces déflagrations.
  • Attaque ou accident ? Personne n’a encore tranché, même si les experts penchent pour une attaque ukrainienne. Et si Moscou nie, c’est que le Kremlin doit être profondément préoccupé par la capacité de Kiev à atteindre ses équipements aériens. 20 Minutes fait le point.

Les explosions sur un aérodrome militaire dans la péninsule de Crimée, annexée en 2014 par la Russie, ont été présentées par Moscou comme dues à un accident, mais les experts et des images satellites semblent révéler le résultat d’une attaque ukrainienne. 20 Minutes fait le point sur ce nouvel épisode majeur de la  guerre entre la Russie et l’Ukraine, alors que depuis une semaine chaque partie livre sa petite version des faits.

Que s’est-il passé mardi en Crimée ?

Mardi des explosions ont fait un mort et des blessés dans un dépôt de munitions sur le site d’un aérodrome militaire de la péninsule ukrainienne de Crimée. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient une boule de feu se former après une forte déflagration, tandis que d’épaisses volutes de fumée noire s’élevaient dans le ciel.

Interrogé sur le sujet, le ministre britannique de la Défense a affirmé ne pas avoir de commentaires sur l’incident en question mais a rappelé le droit de l’Ukraine de défendre son territoire. « Si c’était une attaque de l’Ukraine, elle serait légitime, elle serait conforme au droit international », a dit Ben Wallace.

Que disent Moscou et Kiev ?

Depuis mardi, la Russie assure qu’aucune frappe ou bombardement n’ont visé une base militaire située près du village de Novofedorovka, et que les déflagrations, qui ont fait au moins un mort et sept blessés, sont dues à l’explosion de munitions destinées à l’aviation. Reste que les explosions en Crimée ont provoqué un vent de panique parmi les touristes, la péninsule étant une destination estivale majeure pour les Russes, appréciée pour ses plages et ses montagnes. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux mardi ont montré le pont du détroit de Kertch, construit à grands frais par Moscou pour relier la Crimée à la Russie continentale, pris d’assaut par les voitures voulant partir.

Sur d’autres images, on peut voir des centaines de touristes fuyant sur une plage, tandis que de larges nuages de fumée apparaissent à l’horizon. Le chef de l’administration prorusse de la Crimée, Sergueï Aksionov, a tenté de rassurer les visiteurs dans un message vidéo en assurant que « toutes les mesures nécessaires ont été renforcées pour assurer la sécurité des infrastructures civiles et de la population ».

Que disent les experts ?

Des images satellites diffusées ce jeudi par Maxar Technologies semblent toutefois contredire cette version. Celles-ci montrent que l’aérodrome « a été touché par quelque chose » et qu’au moins neuf avions ont été détruits, a affirmé ce jeudi à l’AFP Oliver Alexander.

« Si c’était un accident, il aurait fallu quatre ou cinq personnes jetant leur cigarette au même endroit ou frappant les bombes avec un marteau, c’est très peu probable », a ajouté l’analyste danois. La cause exacte des explosions – une opération de sabotage ou une frappe de missile ukrainien – reste cependant inconnue, a encore précisé l’expert.

 

Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici.

Eliot Higgins, fondateur du groupe de journalisme d’investigation Bellingcat, souligne que les images montrent trois cratères et « un incendie massif à travers la base ». « On peut interpréter ces cratères comme le résultat de frappes précises avec une arme à longue portée », écrit-il sur Twitter. Et de poursuivre : « A ma connaissance, la Russie n’a jamais perdu autant d’équipements aériens en une seule journée et ils doivent être profondément préoccupés par la capacité de l’Ukraine à faire des frappes similaires ailleurs, en particulier sur le pont du détroit de Kertch », construit à grands frais par Moscou pour relier la Crimée à la Russie continentale.

Que dit l’Ukraine ?

Des responsables anonymes ukrainiens cités par le New York Times et le Washington Post ont reconnu que l’Ukraine était à l’origine des explosions. Officiellement, Kiev n’a pas revendiqué l’attaque, préférant ironiser. Le ministre de la Défense Oleksiï Reznikov a ainsi plaisanté en suggérant que les explosions pourraient être dues à des cigarettes mal éteintes : « Je pense que les militaires russes dans cet aérodrome ont oublié une règle très simple : ne fumez pas dans des endroits dangereux. C’est tout », a-t-il lâché mercredi.

Le conseiller de la présidence Mykhaïlo Podoliak a ironisé sur « l’épidémie d’accidents techniques sur les aérodromes militaires » russes. Il a affirmé que les explosions devraient être « considérées par les militaires russes comme un avertissement ». La veille, il avait assuré qu’elles n’étaient « que le début ». Le président Volodymyr Zelensky a de son côté simplement dit dans son discours du soir après les explosions : « la Crimée est ukrainienne » et Kiev « ne l’abandonnera jamais ».

Enfin, de son côté, le ministère ukrainien de la Défense a tout simplement rappelé sur Twitter « que la présence de forces d’occupation sur le territoire de la Crimée ukrainienne n’est pas compatible avec la haute saison touristique ».

Pourquoi la Crimée est-elle une cible stratégique ?

La Russie a annexé unilatéralement la Crimée en mars 2014 après une intervention de ses forces spéciales sur la péninsule ukrainienne, qui ont rapidement pris le contrôle des bâtiments administratifs et encerclé les bases ukrainiennes. Les nouvelles autorités prorusses installées par Moscou ont ensuite organisé un référendum de rattachement à la Russie dénoncé comme illégal par Kiev et les Occidentaux, provoquant une première vague de sanctions.

Depuis l’invasion de l’Ukraine le 24 février, la Crimée est en première ligne de l’offensive militaire que mène la Russie contre son voisin ukrainien. Elle sert de base arrière logistique aux forces russes. Des avions de Moscou y décollent quasi quotidiennement pour frapper des cibles dans des régions sous le contrôle de Kiev et plusieurs zones de cette presqu’île sont situées dans le rayon d’action des canons et des drones ukrainiens. L’offensive sur le sud de l’Ukraine qui a permis à Moscou de capturer de larges pans de territoire aux premières semaines de la guerre est partie de là. Si elle a rarement été visée, une précédente attaque au drone avait frappé le 31 juillet le QG de la flotte russe de la mer Noire à Sébastopol, selon Moscou.

Source

 

 

 

 

Tensions à Taïwan : Taipei a des munitions et Nancy Pelosi met en garde Pékin

Vers une guerre de religion, infos du 12 aout 2022

 

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Le fait du jour

L’armée taïwanaise a procédé jeudi à un nouvel exercice à munitions réelles, après que Pékin, qui poursuit ses menaces, a mis fin à ses plus importantes manœuvres militaires jamais organisées autour de l’île. Les forces taïwanaises ont effectué des tirs d’obusiers et de fusées éclairantes dans le cadre de cet exercice de défense, a expliqué Lou Woei-jye, porte-parole du 8e corps d’armée.

Ces manœuvres dans le comté de Pingtung (sud), démarrées à 2h30 du matin et ont duré une heure. Une retransmission en direct a montré des pièces d’artillerie alignées sur la côte et des soldats, répartis en unités, tirant vers le large. Selon l’armée, des centaines d’hommes ont participé à ces deux sessions.

Les autorités ont minimisé la portée de ces exercices, assurant qu’ils étaient déjà programmés et n’étaient pas une réponse à ceux de la Chine. Les nouveaux exercices menés jeudi par Taïwan ont « deux objectifs », « s’assurer du bon état de l’artillerie et de sa bonne maintenance » et « confirmer les résultats » de précédents exercices militaires organisés en 2021, a expliqué Lou Woei-jye.

La phrase du jour

La menace militaire chinoise n’a pas diminué. »

Tels sont les mots écrits sur Facebook par Tsai Ing-wen. Lors d’une visite à un poste de commandement des forces aériennes, la présidente de Taïwan a remercié les soldats et a ajouté : « Nous n’aggraverons pas le conflit et ne causerons pas de querelles, nous défendrons fermement notre souveraineté et notre sécurité nationale, et en première ligne la démocratie et la liberté. »

Le chiffre du jour

21. C’est le nombre d’avions chinois détectés ce jeudi par Taïwan. Six navires ont également évolué dans le détroit de Taïwan. Taipei n’a pas précisé s’ils menaient des opérations. Parmi les avions chinois, 11 ont franchi la ligne de démarcation non officielle entre la Chine et Taïwan, non reconnue par Pékin.

La tendance du jour

Pékin a annoncé la fin de ses manœuvres dans le détroit de Taïwan, déclarant que ses forces avaient « mené à bien diverses tâches » tout en promettant de continuer à patrouiller dans ses eaux. Dans la même déclaration, la Chine assurait qu’elle « continuera à mener des entraînements militaires et à se préparer à la guerre ». De son côté, le bureau des affaires taïwanaises du Parti communiste chinois a réagi aux exercices taïwanais en minimisant les « actions rebelles de Taipei » qui « ne peuvent pas arrêter la tendance historique de la réunification » avec la Chine continentale.

Plus loin, à Washington, Nancy Pelosi s’est dite « très fière » de sa visite à Taïwan, assurant que Pékin l’avait utilisée comme « prétexte » au lancement de ses exercices militaires. Et de lancer à la presse : « Nous ne laisserons pas Pékin isoler Taïwan. »

Source

LIRE AUSSI : Tensions en Asie : Dix avions de guerre chinois ont franchi la ligne médiane du détroit de Taïwan

 

 

 

 

Ambassadeur de Chine : les États-Unis devraient "se réveiller" et abandonner leurs tentatives de préserver leur hégémonie
 

 

Les relations américano-chinoises sont tombées dans une spirale descendante ces dernières années, notamment parce que les États-Unis envoient de plus en plus de navires dans la mer de Chine méridionale contestée et vendent de plus en plus d'armes à Taïwan, que Pékin considère comme une province séparatiste.

L'ambassadeur de Chine en Russie, Zhang Hanhui, a déclaré à Spoutnik que les États-Unis devraient "se réveiller" et cesser de tenter de maintenir leur hégémonie mondiale, qui diminue de plus en plus chaque jour.

 

Vers une guerre de religion, infos du 12 aout 2022

"Les États-Unis sont malades dans la tête avec la mentalité de la guerre froide. Mais il est temps pour eux de se réveiller et d'arrêter leurs vaines tentatives de maintenir l'hégémonie américaine", a déclaré Zhang Hanhui.

L'ambassadeur a noté que les États-Unis n'hésitaient à utiliser aucune méthode, même la question de Taiwan, afin de « contenir » la Chine. Il a condamné les récentes actions de Washington comme violant le principe d'une seule Chine et créant des tensions dans le détroit de Taiwan .

Zhang Hanhui a ajouté que la visite à Taiwan de la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, avait porté un coup dur aux relations américano-chinoises. Il a souligné que les liens ne peuvent exister que sur la base du respect mutuel, de la coexistence pacifique, de la coopération et de l'absence de confrontation entre les pays .

 

"La question de Taïwan est la question la plus importante et la plus sensible des relations sino-américaines. Pelosi est la troisième femme politique la plus importante aux États-Unis. Elle s'est envolée pour Taïwan dans un avion du gouvernement américain, elle a ouvertement représenté les États-Unis et a admis que c'était un visite officielle […] La Chine exhorte [les] États-Unis à cesser de s'ingérer dans [la] question de Taiwan et les affaires intérieures de la Chine », a déclaré Zhang Hanhui à Sputnik.

Taïwan n'est pas le seul problème intérieur chinois dans lequel les États-Unis ont tenté de se mêler récemment - Washington a également menacé Pékin de mesures punitives s'il violait les sanctions américaines contre la Russie ou aidait Moscou à les surmonter. La Chine a sévèrement rejeté les tentatives américaines d'influencer ses relations bilatérales avec la Russie.

L'ambassadeur Zhang Hanhui a assuré à Sputnik que les deux États poursuivaient leurs opérations économiques et cherchaient même à étendre l'utilisation des paiements en monnaies nationales, ce qui leur permettrait d'être moins dépendants des caprices, des sanctions et de la pression économique de Washington. Le diplomate a admis que les sanctions américaines compliquaient les relations financières avec la Russie, mais a ajouté que des travaux étaient en cours pour les surmonter.

"Les autorités compétentes des deux pays doivent optimiser la coordination et l'interaction afin de résoudre toutes les difficultés liées aux règlements dans le commerce bilatéral. La Chine continuera d'augmenter les règlements en monnaie nationale dans le commerce avec la Russie. La Chine est prête à tirer pleinement parti de l'infrastructure financière et les institutions financières concernées pour assurer le développement stable du commerce bilatéral », a déclaré M. Zhang.

Le diplomate a noté que l'utilisation du yuan chinois dans les paiements commerciaux bilatéraux avec la Russie avait bondi au cours des sept dernières années, passant de 3,1 % de tous les paiements commerciaux bilatéraux en 2014 à 17,9 % en 2021, marquant une transition progressive vers les règlements en monnaies nationales.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

Le ministre américain de la Justice dit avoir "personnellement approuvé" la perquisition chez Donald Trump

 

Merrick Garland a demandé à lever la confidentialité du mandat ayant permis cette opération, au vu de "l'intérêt public important" pour cette affaire.

Le ministre américain de la Justice a affirmé, jeudi 11 août, avoir "personnellement approuvé" la perquisition du FBI chez l'ancien président Donald Trump à Mar-a-Lago (Floride). Merrick Garland n'a rien dévoilé des raisons et des résultats de cette opération. Mais, fait inhabituel, il a demandé que la confidentialité du mandat ayant permis cette perquisition soit levée, au vu de "l'intérêt public important" pour cette affaire.

Selon plusieurs médias américains, l'opération du FBI visait à retrouver des documents d'archives que Donald Trump aurait emportés avec lui en quittant la Maison Blanche. Les présidents américains ont pourtant obligation de l'ensemble de leurs e-mails, lettres et autres documents de travail aux Archives nationales, chargées de les conserver. Certains des documents stockés en Floride seraient classifiés et, selon des sources anonymes citées par le Washington Post (lien en anglais), auraient trait à des armes nucléaires.

Donald Trump, qui a suggéré que le FBI aurait pu avoir "placé" des preuves contre lui lors de cette opération, a déclaré qu'il ne "s'opposerait pas à la publication" du mandat. Au contraire, le milliardaire compte aller "plus loin en encourageant la publication immédiate" de ces documents, selon un communiqué publié dans la nuit de jeudi à vendredi. Après l'annonce de la perquisition, le camp républicain a vivement critiqué le FBI et accusé le ministère de la Justice de participer à une "chasse aux sorcières" contre l'ancien président.

Source

LIRE AUSSI: États-Unis: un partisan de Trump tué après avoir tenté de pénétrer dans les bureaux du FBI dans l'Ohio

 

Note: Merrick Garland recherche ...   démocrate et petit bouledogue de J Biden  ! !

 

Vers une guerre de religion, infos du 12 aout 2022

 

 

Covid-19 : la sœur de Kim Jong-un accuse la Corée du Sud d’avoir provoqué la pandémie

 

La Corée du Nord accuse sa voisine du Sud d'avoir propagé le Covid sur son territoire. [JORGE SILVA / POOL / AFP]

L'influente sœur du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a accusé la Corée du Sud d'avoir provoqué l'épidémie de Covid dans son pays et a menacé de «représailles», ont rapporté les médias publics jeudi, au jour où Pyongyang a déclaré sa «victoire» sur la maladie.

Kim Yo Jong a accusé la Corée du Sud d’être à l’origine de la pandémie de Covid-19 dans son pays. La sœur de Kim Jong-un menace Séoul de représailles.

Kim Yo Jong s'en est prise aux envois de prospectus de propagande par ballons depuis la Corée du Sud, évoquant un «crime contre l'humanité», a rapporté l'agence de presse officielle KCNA.

Pyongyang avait déjà accusé des «choses étrangères» proches de la frontière avec le Sud d'avoir provoqué l'épidémie de Covid dans ce pays isolé, des allégations rejetées par Séoul.

Malgré une interdiction imposée en 2021, des militants sud-coréens continuent d'envoyer des ballons contenant des prospectus et des billets en dollars, soulevant les protestations de Pyongyang.

 

Kim Yo Jong a avancé que de nombreux pays et l'OMS ont reconnu «le danger de propager une maladie infectieuse en entrant en contact avec des objets contaminés», selon l'article. «Il est très inquiétant que la Corée du Sud envoie des tracts, de l'argent, des brochures et des objets sales dans notre région», a-t-elle ajouté.

Des menaces de représailles contre la Corée du Sud

Kim Yo Jong a averti que Pyongyang réfléchissait à «de fortes représailles», ajoutant que, si les ballons continuaient, «nous répondrons en éradiquant, pas seulement le virus, mais aussi les autorités sud-coréennes».

 

Séoul a assuré en juin qu'il n'y avait «aucun cas officiellement vérifié d'infection au Covid par courrier ou à travers du matériel». Ces menaces interviennent après que Kim Jong-un a déclaré une «victoire éclatante» dans la bataille contre le Covid-19, après deux semaines sans nouveau cas officiellement annoncé.

Les hôpitaux du pays sont notoirement sous-équipés, avec peu d'unités de soins intensifs et aucun traitement ou vaccin contre le coronavirus n'est disponible, selon les experts. Kim Jong-un semble avoir aussi contracté le Covid, selon sa soeur.

Le dirigeant «a souffert de fortes fièvres pendant les jours de cette guerre de quarantaine, mais il ne pouvait pas s'allonger un seul instant car il pensait aux personnes dont il était responsable», a déclaré sa sœur.

Source

 

 

 

 

Royaume-Uni: un village de 600 âmes devait accueillir 1500 migrants ; les premières arrivées annulées à cause de la mobilisation des habitants (MàJ: retrait définitif du plan)

11/08/2022

Les plans visant à transformer une ancienne base de la RAF en un centre pour demandeurs d’asile ont été abandonnés, a déclaré le ministre de la Défense, Ben Wallace.

En avril, le ministère de l’Intérieur avait annoncé son intention de transformer le site de Linton-on-Ouse, dans le Yorkshire du Nord, en un centre d’accueil pour demandeurs d’asile pouvant accueillir jusqu’à 1 500 hommes.

Mais les villageois et le conseil de district de Hambleton se sont opposés à cette décision et ont déclaré qu’ils allaient entamer une action en justice.

M. Wallace a déclaré qu’il avait retiré l’offre du site au ministère de l’Intérieur.

[…]

BBC


03/06/2022

Les demandeurs d’asile n’arriveront pas au centre d’accueil controversé de Linton-on-Ouse aujourd’hui 31 mai, selon Yorkshire Live.

Une soixantaine de demandeurs d’asile devaient être transférés dans le centre situé sur le site d’une ancienne base de la RAF dans le village aujourd’hui. Mais il est entendu que le Home Office a déclaré hier soir au Hambleton District Council qu’il n’avait pas encore pris de décision finale concernant le centre.

Le groupe d’action de Linton-on-Ouse (LoOAG) affirme que ce retard est une petite “victoire” pour les résidents du village, mais un porte-parole du groupe a prévenu : “Le combat n’est pas terminé”. Le ministère de l’Intérieur a réaffirmé aujourd’hui sa conviction que le site “est nécessaire de toute urgence”, le gouvernement cherchant à “mettre fin à l’utilisation des hôtels par les demandeurs d’asile”.

Le centre controversé de Linton-on-Ouse aura la capacité d’accueillir temporairement 1 500 hommes. D’après le ministère de l’intérieur, le centre comprendra des installations sur place et des liaisons de transport vers les villes voisines, comme York, seront disponibles pour les personnes séjournant sur l’ancienne base militaire. Les demandeurs d’asile séjournant au centre seront déplacés après six mois.

S’adressant à Yorkshire Live aujourd’hui, Mark Goddard, président du conseil paroissial de Linton-on-Ouse, a déclaré : “Aucun demandeur d’asile n’est arrivé aujourd’hui et, pour autant que nous le sachions, il n’y en aura pas. Le ministère de l’Intérieur a envoyé une lettre au Conseil de Hambleton confirmant qu’il n’a pas pris de décision finale concernant l’installation.

“Cela nous donne l’espoir qu’ils l’examinent et qu’ils réalisent que l’impact sur le village va être horrible. Cela donne cette petite lueur d’espoir.”

[…]

Ce retard fait suite à une réunion houleuse entre les résidents et le ministère de l’Intérieur à la salle des fêtes de Linton-on-Ouse le 19 mai, qui avait laissé certains habitants en larmes.

Yorkshire Live

 

Note: après les journalistes nous affirment que le Grand Remplacement est un concept raciste et inexistant

 

 

 

Paris 12e : une jeune femme de 25 ans violée dans une impasse par un homme de type africain

Une jeune femme de 25 ans a été violée, jeudi 11 août, à Paris (12e arrondissement), a appris Le Figaro d’une source proche du dossier. Les faits ont eu lieu peu après 3h du matin à proximité du métro Reuilly-Diderot. Une enquête de la police judiciaire est en cours.

La victime a expliqué aux policiers avoir été entraînée de force dans une impasse par un homme de type africain alors qu’elle se trouvait tout près de la station de métro «Reuilly-Diderot». Une fois à l’écart, son agresseur lui a imposé une pénétration vaginale avant de prendre la fuite.

Très choquée, la victime n’a pas été en mesure d’indiquer le lieu exact du crime aux forces de l’ordre. La jeune femme a été transportée à l’hôpital Saint-Antoine (Paris 12e). L’enquête a été confiée au 2e district de police judiciaire (2e DPJ).

Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) publiée en 2016, 12% des viols commis à Paris ont lieu dans la rue (contre 57% dans des lieux d’habitation) et 73% ont lieu la nuit. Il y a quelques jours, une Américaine de 27 ans a été violée dans des toilettes publiques dans le 4e arrondissement de la capitale.

Le Figaro

 

 

« Il m’a enlevé les quelques années de vie qu’il me restait » : pour son sac, Mohamed, déjà condamné 14 fois par la justice, brise les os de Marie-Pierre, une Marseillaise de 83 ans

 

 

Refus d’obtempérer à Paris : un véhicule de police percute celui du fuyard, de la poudre blanche retrouvée (MàJ : 2 ans de prison, dont un avec sursis, le prévenu ressort libre du tribunal)

MàJ : 2 ans de prison dont un avec sursis, le prévenu ressort libre du tribunal

Trois jours après une incroyable course-poursuite dans le centre de Paris, un jeune homme de 21 ans a été condamné jeudi soir par le tribunal correctionnel de Paris, à une peine de deux ans de prison dont un an ferme, sans mandat de dépôt. Les juges ont également prononcé des obligation de soins, de travail et de passer le permis de conduire.

Actu17

Lundi 8 août, un automobiliste a refusé un contrôle de police en plein Paris et initié une course-poursuite de tous les dangers, sous l’emprise de stupéfiants et sans permis. Le tout filmé dans une vidéo ayant fait le tour des réseaux sociaux. Cet habitant d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) est passé ce jeudi 11 août en comparution immédiate.

Le Parisien

10/08/2022

Un homme au volant d’une Peugeot 308 a refusé d’obtempérer aux policiers ce lundi soir dans le centre de Paris. Un deuxième équipage de police est parvenu à intercepter le chauffard à hauteur du 102 rue Saint-Honoré (Ier). Le conducteur et son passager ont tous les deux été interpellés et placés en garde à vue. De la drogue aurait été découverte dans le véhicule. L’intervention des forces de l’ordre a été filmée

 

Des sachets de poudre blanche

Lors de la fouille du véhicule, les policiers ont découvert trois sachets qui contenaient de la poudre blanche. Il s’agirait de produits stupéfiants. “Le chauffard était sous l’effet de la drogue et n’avait pas de permis de conduire”, indique notre source. L’un des deux hommes sera jugé dans le cadre d’une comparution immédiate ce jeudi après-midi, au tribunal de Paris souligne le parquet de Paris.

Les trois policiers de la CSC ont été légèrement blessés lors du choc avec le véhicule du fuyard. En outre, les deux véhicules ont dû être remorqués[…]

Actu17

 

 

 

 

Qui sont les "Beatles" de Daesh, spécialisés dans la capture, la torture et l'exécution d'otages occidentaux ?

 

Un Britannique accusé de faire partie d'une cellule de ravisseurs et d'assassins du groupe État islamique a été arrêté au Royaume-Uni ce mercredi 10 août. La cellule est aussi connue sous le nom de "Beatles".

Un surnom du fait à leur fort accent britannique. Aine Leslie Davis, 38 ans, et membre présumé des "Beatles" de l'État islamique, cellule spécialisée dans la capture, la torture et l'exécution d'otages occidentaux, a dû comparaître jeudi 11 août devant la justice britannique, après son arrestation à son retour de Turquie, indique RTL. Il a été inculpé, précise 20 Minutes.

Les "Beatles" auraient acquis une solide réputation de cruauté, synonyme de prestige dans les rangs de l'EI.

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