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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 4 février 2019

 

 

 

Venezuela : Emmanuel Macron reconnaît Guaido comme président par intérim

 

VIDÉO - Dans la foulée du refus de Nicolas Maduro d'organiser une élection présidentielle anticipée, plusieurs États européens, dont la France, ont reconnu son opposant, Juan Guaido, qui aurait pour charge de mettre en œuvre un «processus électoral».

Le couperet, attendu, est tombé. Après que le chef de l'État vénézuélien, Nicolas Maduro, a rejeté dimanche soir l'ultimatum de sept pays européens pour l'organisation d'une nouvelle élection présidentielle, plusieurs d'entre eux ont décidé de reconnaître le président du parlement tenu par l'opposition, Juan Guaido, comme président par intérim du pays dès lundi. C'est le cas de la France, du Royaume-Uni, de l'Espagne, de l'Allemagne, de l'Autriche mais aussi du Danemark et de la Suède.

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LIRE AUSSI : Refusant de faire preuve de «lâcheté face aux pressions», Maduro rejette l'ultimatum européen

 

 

Venezuela : la Russie dénonce l'«ingérence» des Européens qui ont reconnu Guaido

 

Le Kremlin s'est insurgé contre une «ingérence» des Européens après la reconnaissance par plusieurs capitales de l'opposant Juan Guaido comme président par intérim du Venezuela, après l'expiration de leur ultimatum adressé à Nicolas Maduro.

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L'Italie aurait fait capoter une déclaration de l'UE visant à reconnaître la légitimité de Guaido

 

Selon une source au sein du Mouvement 5 Etoiles, dont le chef est vice-président du Conseil des ministres, l'Italie aurait empêché une déclaration commune de l'UE visant à reconnaître l'opposant Juan Guaido président «légitime» du Venezuela.

Rome a-t-il fait dérailler une déclaration de l’Union européenne (UE), censée reconnaître Juan Guaido comme dirigeant par intérim du Venezuela si le président Nicolas Maduro n'organisait pas des élections présidentielles anticipées ?

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LIRE AUSSI : Veto italien à la reconnaissance de Guaido par l’UE? Une source de Sputnik le confirme

 

L’Iran aurait mis des « ogives guidées » sur des missiles pouvant atteindre Israël

 

L’Iran a équipé ses missiles de longue-portée les plus sophistiqués – pouvant toucher Israël et des bases américaines dans le Golfe – de nouvelles ogives de précision guidées, ont indiqué les médias publics dimanche.

Selon un rapport non-sourcé de l’agence de presse Fars, les nouvelles ogives guidées de fabrication locale ont été fixées sur le Khoramshahr, un missile d’une portée de 2 000 kilomètres

"La nouvelle génération de missiles à ogives guidées a été nommée Khoramshahr 2 et ces missiles peuvent être contrôlés jusqu’à ce qu’ils atteignent leur cibles, et peuvent transporter des ogives pesant jusqu’à deux tonnes », a signalé le rapport.

Il indique également que les nouvelles ogives avaient été fixées sur les missiles Emad, Qadr et Qiam, de plus courte portée.

La première génération de Khoramshahr avait été dévoilée en 2017. L’Iran affirme que tous ses missiles sont conçus pour transporter des ogives classiques et n’ont une portée maximale que de 2 000 kilomètres, bien que les hauts-responsables militaires prétendent qu’ils disposent de la technologie nécessaire pour aller plus loin.

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Selon le n° 2 du Hezbollah, Israël n’est pas prêt pour un conflit avec le Liban

 

Un haut-dirigeant du Hezbollah a déclaré dimanche qu’Israël n’était pas prêt pour un conflit avec le Liban, niant les allégations du Premier ministre Benjamin Netanyahu selon lesquelles l’Iran utilisait son groupe mandataire pour contrôler le gouvernement libanais.

" Je ne pense pas qu’Israël soit prêt à s’engager dans un conflit avec le Liban maintenant parce que la situation est compliquée et qu’Israël n’est pas intéressé par la guerre », a déclaré Cheikh Naim Qassem, s’adressant à une chaîne de télévision libanaise. « Mais s’il veut lancer une guerre, nous sommes prêts."

Qassem réagissait aux allégations faites dimanche dernier par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a déclaré que l’Iran contrôlait le nouveau gouvernement libanais via son groupe mandataire du Hezbollah.

Jeudi, les factions politiques au Liban ont mis fin à une impasse de neuf mois et se sont mises d’accord sur un nouveau gouvernement, consolidant la position du groupe terroriste chiite.

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Bruxelles voit le retrait des USA du Traité FNI comme une menace pour l’Europe

 

Le retrait éventuel des États-Unis du Traité FNI n’est pas la meilleure option dans le domaine du contrôle des armements et l’UE devrait jouer un rôle plus actif pour instaurer un dialogue direct avec la Russie en la matière, selon le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders.

Le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders a mis en garde contre une nouvelle course à l'armement nucléaire si les États-Unis se retirent du Traité sur les missiles nucléaires à portée intermédiaire (FNI) appliqué avec la Russie.

«Une nouvelle prolifération nucléaire constituerait une menace pour toute l'Europe, pas seulement pour l'Union européenne», a déclaré ce vendredi M.Reynders dans le cadre d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne à Bucarest.

Selon lui, un cadre multilatéral est nécessaire pour lutter efficacement contre la prolifération nucléaire.

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Hannibal Kadhafi: «J'ai été arrêté car j'étais le fils de Mouammar Kadhafi»

 

Pour la première fois depuis le début de sa détention, Hannibal Kadhafi a révélé dans un entretien exclusif avec RIA Novosti, comment et à cause de quoi il avait été kidnappé. Le fils de l’ancien homme d'État libyen s’est également confié sur sa santé, les conditions de sa détention, ainsi que sur le rôle de la Russie dans son affaire.

Le scandale de la profanation du drapeau libyen à Beyrouth et du refus de la Libye de participer au sommet de la Ligue arabe au Liban a provoqué une crise dans les relations entre les deux pays. L'influent parti chiite Amal ne veut voir aucun représentant officiel libyen à Beyrouth sans avoir reçu des informations sur l'enlèvement de l'imam Musa al-Sadr et de ses deux compagnons disparus il y a plusieurs décennies à Tripoli, et dont est accusé l'un des fils de l'ancien dirigeant libyen Hannibal Kadhafi.

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Le Pape en voyage aux Emirats arabes unis pour tendre la main à l’islam

 

François est arrivé dimanche soir à Abu Dhabi pour une visite de trois jours au cours de laquelle il compte confirmer sa politique de main tendue avec l’islam. Un déplacement dans un contexte tendu, alors que ce pays est impliqué dans le conflit au Yémen.

Mettre ses pas dans ceux de Saint François. Il y a huit siècles exactement, en 1219, le poverello d’Assise rencontrait le Sultan Malik Al-Kamil sur le delta du Nil. La cinquième croisade battait son plein mais la rencontre fut pacifique. […]

Ces deux jours à Abu Dhabi ne vont toutefois pas de soi en raison du contexte du conflit des Emirats arabes unis et de l’Arabie Saoudite avec le Yémen. À commencer par la diplomatie vaticane qui aurait plutôt appuyé sur le frein si elle avait été associée à l’organisation de ce voyage non prévu dans le calendrier et décidé par le pape seul. Emile Nakhleh, ancien directeur du programme d’analyse de la stratégie politique de l’islam de la CIA, cité par l’hebdomadaire progressiste catholique américain, National Catholic Reporter – pourtant proche du pontificat – résume le problème: «Ce n’est pas une bonne optique pour le pape de visiter les Emirats Arabes Unis qui sont toujours impliqués dans les atrocités commises au Yémen. Je ne sais pas comment sa sainteté peut même justifier cela». […] Il n’est même pas certain que François aborde ce sujet fâcheux sur place. […]

Relativement ouvert, ce pays de tradition musulmane malikite et non wahhabite, plus rigoriste, dispose d’un ministère de la «Tolérance». Il admet l’existence de 76 églises – dont 9 catholiques – mais avec interdiction de signes extérieurs et de prosélytisme chrétien. 90 % de ses habitants sont des étrangers essentiellement philippins et indiens. Ce sont eux qui formeront, mardi, le gros des 130.000 fidèles attendus pour la messe publique du pape. Ces travailleurs immigrés, mal payés, ne disposent d’aucun droit du sol aux Émirats arabes unis. Ils y demeurent des étrangers.

Le Figaro

Rotterdam (Pays-Bas) : Trop de noms de rues d’ “hommes blancs”

 

Plus de femmes et de minorités : c’est le credo que s’est donné la ville de Rotterdam pour les noms de ses rues, jugés trop tournées vers les hommes blancs par certains partis politiques. La polémique n’a pas tardé.

[…]

“Davantage de femmes et de couleurs sur les petits panneaux bleus. Rotterdam choisira désormais plus de noms de rues exprimant la diversité”, écrit le quotidien national Algemeen Dagblad, dont le siège se trouve à Rotterdam. “La rue Jan-Trucmuche, l’allée Hendrik-le-Énième : des panneaux de rues aux noms d’hommes, surtout blancs, Rotterdam n’en manque pas”, ironise le journal. Soutenue par les partis Groenlinks (gauche verte), SP (gauche radicale), PvdA (sociaux-démocrates) et Nida (parti musulman), Nadia Arsieni, élue du parti centriste D66, a proposé de ne donner désormais aux nouvelles rues que des noms de personnalités féminines et issues de minorités.

[…]

Courrier International 

Suède : Ivar, 83 ans, a été atrocement torturé chez lui par des agresseurs qui voulaient son argent, il est grièvement brûlé et ses oreilles ont été arrachées

 

Suède – Un homme âgé et en fauteuil roulant a été atrocement torturé chez lui, juste au nord de Ronneby. Selon des proches de la victime, les agresseurs ont, pendant plusieurs heures, battu, torturé et brûlé le vieil homme tout en exigeant d’obtenir son argent.

En plus de cela, les oreilles de la victimes ont été arrachées.

Vendredi matin, à 11 heures, un homme de 83 ans a été retrouvé torturé et brûlé chez lui à Kallinge, tout près de Ronneby, dans le comté de Blekinge.

La famille a alerté la police et les services d’urgence sont arrivés dans une maison en désordre et ont trouvé un homme qui avait été brutalement torturé.

« C’est un crime d’une violence extrêmement grave », déclare Fredrik Bratt, porte-parole de la presse au centre de gestion régional.

L’homme « qui peine à se tenir sur ses jambes » et qui est assis dans un fauteuil roulant a été battu, brûlé et frappé alors que les agresseurs ont exigé qu’il leur donne de l’argent, même s’il n’en avait pas.

La police a arrêté trois individus soupçonnés d’avoir commis le crime et recherche un quatrième suspect. Aucune information n’a été diffusée sur l’identité des agresseurs présumés.

(…) Samnytt.se

 

 

 

Hongrie : connu pour ses positions anti-immigration, Orbán fait le choix d’une politique nataliste ambitieuse pour remédier au déclin démographique

 

(…) Hongrie – Dans leur toute nouvelle maison, Zsannett Koscis, 28 ans, et son mari, Tomas, 31 ans, embrassent leur fils, Vencel, tout en louant les mesures du gouvernement. En tant que bénéficiaires du programme CSOK d’Orban, ils ont reçu une subvention non remboursable et non imposable pour construire leur maison, ainsi que de généreuses déductions fiscales et prestations sociales qui ont permis à Zsannett d’abandonner son travail d’administratrice de bureau pour rester à la maison et élever son fils.

« Nous avons réclamé le montant le plus élevé, ce qui signifie que nous nous sommes engagés à faire trois enfants » dit Tomas. « Nous voulions une grande famille, mais c’est ce soutien financier qui l’a rendu possible, et nous avons 10 ans pour remplir cet engagement. »

Dans le cadre de ce programme, les familles qui s’engagent à avoir trois enfants reçoivent une subvention gouvernementale pour l’achat ou la construction d’une maison. Des prestations sociales généreuses permettent à l’un des parents de quitter le marché du travail et de rester à la maison avec les enfants, tandis que des déductions fiscales soigneusement ciblées signifient qu’une famille avec trois enfants ne paie plus du tout d’impôt sur le revenu.

Enfin, l’expansion des crèches gratuites dans tout le pays permet aux femmes de réintégrer le marché du travail sans que leurs revenus ne soient affectés par les frais de garde d’enfants, contrairement à une grande partie de l’Europe occidentale.

(…) Au cours des dernières années, Orban s’est imposé sur la scène internationale comme une voix de premier plan contre l’immigration, refusant d’accepter des migrants et des réfugiés du tiers monde, en particulier des nations islamiques, à un moment où les États libéraux d’Europe occidentale s’efforcent de trouver une solution à cette crise.

Il n’est donc pas surprenant que les politiques familiales en Hongrie visent également à résister à la menace du déclin démographique et de l’immigration. Les questionnaires de la Consultation nationale sur les politiques familiales s’inscrivent directement dans ces termes : « Voulez-vous que des migrants d’autres cultures viennent dans votre pays ? Ou plutôt, aimeriez-vous avoir de meilleures politiques familiales pour faire naître plus d’enfants hongrois ? »

Novak, le secrétaire d’État hongrois à la Famille, n’a rien à se reprocher sur ce point. « Il s’agit de notre avenir. C’est un choix : nous demeurons des Hongrois en Hongrie ou nous cessons d’exister », ajoutant « de nombreux États occidentaux, disons dans l’Union européenne, choisissent l’immigration – même s’ils ne le disent pas clairement – comme solution au problème du chômage ou du système des retraites… En Hongrie, nous pensons que l’immigration ne devrait pas être une solution aux défis démographiques. »

(traduction FDS)

(…) Vice News

 

Mayotte : nouvelle route migratoire pour rejoindre l’Europe ?

 

De plus en plus de migrants originaires de l’Afrique des Grands Lacs et de l’Afrique de l’Ouest passent par Mayotte pour rejoindre la France métropolitaine. Une stratégie visant à éviter la traversée de la Libye et les risques de noyade en Méditerranée.

Le nombre de migrants en provenance de l’Afrique des Grands Lacs (RDC, Burundi, Rwanda) a doublé à Mayotte depuis trois ans. Sur 839 demandes d’asile déposées en 2018, 511 concernaient des personnes originaires des Grands Lacs d’après la préfecture. « Même si la part des migrants originaires d’Afrique continentale représente moins de 2% du total à Mayotte, la hausse est continue depuis 2015 », indique la préfecture.

Situé à quelques kilomètres des côtes tanzaniennes, ce département français de l’archipel des Comores est perçu comme une porte d’entrée vers l’Europe pour ceux qui cherchent à éviter de passer par la Libye et de traverser la Méditerranée. « Les pourtours de l’Union européenne, par la Libye et la Turquie se ferment. Conséquence : une troisième voie d’accès se crée par Mayotte à travers des réseaux constitués », constate Romain Reille de l’association Solidarité Mayotte.

« Lorsqu’ils arrivent ici, certains [migrants issus de la région des Grands Lacs] ne savent même pas qu’ils sont à Mayotte. Ils pensent être arrivés en France métropolitaine. Les passeurs leur avaient promis la France, ils ne s’attendaient pas à ça », raconte la Cimade, qui a recueilli d’autres témoignages sur place.

Des migrants de Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Cameroun

De fait, Mayotte constitue une porte d’entrée vers la France métropolitaine puisque l’île est un territoire français. Les migrants d’Afrique continentale viennent y déposer leur demande d’asile. Une grande partie d’entre eux, les deux tiers environ, obtiennent une protection, selon la préfecture. « À plus de 95%, dès qu’ils ont obtenu l’asile, les réfugiés quittent Mayotte pour rejoindre la France continentale », constate encore Solidarité Mayotte.

Aux migrants originaires de l’Afrique des Grands lacs, se sont joints récemment des Ivoiriens, des Burkinabés et des Camerounais. Ils traversent le continent africain dans la diagonale pour rejoindre Mayotte et éviter la route libyenne.(…)

La multiplication des arrivées génère des tensions intercommunautaires sur l’île, où 40% de la population est étrangère, principalement comorienne. Les Comoriens, mais aussi les Africains du continent en font les frais. Les incidents se multiplient entre population locale et migrants. Dernier en date, en mars 2018, des collectifs d’habitants ont organisé des rondes anti-migrants et des « décasages », sortes de raids au cours desquels ils chassent les migrants de leurs logements.

infomigrants.net

La Suisse n’attire pas les demandeurs d’asile

 

Les demandes d’asile en Suisse ont continué à diminuer en 2018. Au total, 15.255 demandes ont été déposées, soit 15% de moins que l’année précédente. Il s’agit du niveau le plus bas en onze ans

Les requérants qui ne remplissent pas les conditions nécessaires pour obtenir l’asile choisissent de moins en moins souvent la Suisse comme destination, affirme vendredi le directeur du Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) Mario Gattiker […]. Selon lui, ce choix s’explique, car la Suisse statue très rapidement sur les demandes d’asile et que les requérants déboutés doivent quitter le territoire dans la foulée.

En outre, beaucoup moins de migrants arrivent de la Méditerranée via l’Italie. Ils passent davantage par le Maroc et l’Espagne. Or ces demandeurs d’asile ne voyagent pas par la Suisse, selon le responsable.

Les principaux pays de provenance des requérants en Suisse restent l’Erythrée, la Syrie et l’Afghanistan. Le nombre de requêtes de ressortissants érythréens en particulier est en forte baisse, détaille Mario Gattiker. Parmi le 2825 demandes d’asile érythréennes, seules 492 sont issues de personnes ayant fui vers la Suisse. Les autres cas sont liés à des naissances et à des regroupements familiaux…

20 Minutes

 

 

L’attente des migrants iraniens à Calais

 

Depuis la révolution islamique de 1979, on estime que 150 000 à 200 000 Iraniens quittent chaque année leur pays, pour des raisons politiques, économiques ou encore religieuses. Une diaspora qui s’amplifie depuis août 2018, lorsque la Serbie a autorisé l’entrée des Iraniens sur son sol sans visa. Pour les candidats à l’exil clandestin, cette mesure a ouvert, de fait, une voie d’accès plus facile vers l’Union européenne.

 

Liste dite des « gilets jaunes  » vue par Onfray : « Le baiser de Judas de Mme Levavasseur »

 

 

 

Radars hors-service : en publiant les chiffres, Castaner a dévoilé l’échec des 80km/h et la vocation de pompe à fric des radars

 

[…]
En présentant ses vœux à la gendarmerie, le jeudi 10 janvier, l’inénarrable Christophe Castaner s’est décidé à révéler le nombre de radars routiers dégradés en France :

Près de 60 % [d’entre eux] ont été neutralisés, attaqués, détruits par celles et ceux qui se revendiquent [du mouvement] des Gilets jaunes.

Depuis lors, ceci a fluctué, mais retenons un chiffre moyen d’à peu près -50 % pour le mois de décembre 2018, car la fête n’a pas duré longtemps : lorsque les dégradations sont légères, comme de simples coups de peinture, les radars peuvent être remis en service immédiatement. Par exemple, même si les 11 radars installés en Haute-Corse avaient été rendus « inopérants parce que vandalisés ou parce que leur vitre a été barbouillée par de la peinture » au mois de décembre, ils étaient presque tous à nouveau fonctionnels début janvier.

DES RADARS HORS SERVICE QUI MESURENT ENCORE…

Les radars émettent une micro-onde, parfois dans la bande X (8 à 12 gigahertz), souvent dans la bande Ku (12 à 18 gigahertz) en Europe, ou dans les bandes K (18 à 27 gigahertz) and Ka (27 à 40 gigahertz) aux États-Unis. Ils mesurent l’effet Doppler – le changement de longueur d’onde – et en déduisent la vitesse du véhicule présent dans le faisceau.

Ces ondes passent à travers la peinture, le plastique, et le carton. Un radar avec un objectif photographique obstrué – par de la peinture, un carton ou une bâche – conserve sa capacité à mesurer la vitesse des véhicules qui le dépassent. Bien sûr, la photo ne peut pas être exploitée et les procès-verbaux ne sont pas dressés.

Et c’est là que les choses deviennent intéressantes…

Selon Nice Matin, un boom de 268 % des infractions sur les routes a été capté par des radars pourtant mis hors d’état de verbaliser. Sur le réseau secondaire bidirectionnel, qui est la partie principalement concernée par la nouvelle limite de 80 km/h, ce chiffre est de +248 % selon le ministère, « avec une courbe des dégradations qui a augmenté presqu’à la verticale ».

UNE BOURDE DE COMMUNICATION

Apparemment, Christophe Castaner a rendu ces chiffres publics pour prouver que, sans les radars, les affreux Français ne respectent plus les limitations de vitesse et « se mettent en danger ».

Involontairement, le cancre de l’Hôtel de Beauvau nous révèle donc la donnée-clef qui prouve que l’attribution des limites de vitesse comme cause de la baisse du nombre des décès sur les routes est un mensonge statistique !
[…]

Nous avons donc -50 % de radars, +268 % d’infractions, -3,4 % de victimes, -27,1 % de blessés et un nombre inchangé de tués !

En roulant notablement plus vite, en ignorant les radars, les Français ne se sont donc pas « mis en danger ». Conclure le contraire est clairement une ânerie statistique.

Ce résultat n’est pas étonnant quand on connaît les travaux des spécialistes américains qui rejoignent en tout point ceux de Bertrand Lemennicier en France1. La vitesse ne tue pas. Statistiquement, c’est la variance des vitesses qui est meurtrière : en français, il est bien plus important que les automobilistes observent à peu près les mêmes vitesses, les uns, les autres, plutôt que de rouler lentement. Schématiquement, l’idée est que si, sur un tronçon donné, la moitié des automobilistes roule à 90 km/h et l’autre moitié à 110 km/h, il y aura plus d’accidents que si tout le monde roule à 110 km/h…
[…]

Comme le rappelle Bertrand Lemennicier, ces « campagnes de sensibilisation [sur les limites de vitesse], qui partent sans doute d’un bon sentiment, sont [donc bien] des opérations de manipulation de l’opinion publique. »

POMPE À FRIC

Alors Alexandre Rochatte peut bien nous expliquer le contraire, mais puisqu’ils ne servent définitivement pas à sauver des vies, les radars sont bien des pompes à fric. Et de fait, dans les semaines qui suivirent l’application des 80 km/h, en juillet dernier, ses services avaient bien constaté un doublement du nombre de déclenchements des radars automatiques.

Les radars servent surtout à lever des amendes pour les finances exsangues d’un État aux abois. Dans le budget de celui-ci pour 2019, l’augmentation prévue des recettes est de 12 % à 1,23 milliard d’euros (en comptant les majorations). Ceci représente une hausse de 50 % par rapport aux chiffres de l’année 2016. Quelle industrie privée française peut s’enorgueillir d’une pareille progression de son chiffre d’affaires ?

Si les radars devaient vraiment servir à la sécurité, ils seraient installés dans les zones les plus accidentogènes, mais ce n’est bien sûr pas le cas : ils sont placés « sur des sites jugés plus rentables, sur des emplacements plus à même de remplir les caisses de l’État ! »

En pratique, les contrôles se font dans des lignes droites aux vitesses très limitées, c’est-à-dire là où le racket rapporte le plus. Par exemple, en septembre dernier, les policiers de Montpellier s’étaient installés route de Ganges en début d’après-midi, de 14 h à 16 h. Cette longue ligne droite est limitée à 50 km/h. En seulement deux heures, ils ont flashé 300 véhicules ! La vitesse de ces fous du volant ? Entre 56 et 70 km/h.
[…]

Contrepoints

 

Macron propose que l’État rémunère certains journalistes dans les rédactions : vers une nationalisation partielle de la presse ?

 

On le lit, on le relit, et n’en revient toujours pas. Le récit d’Emmanuel Berretta, qui, avec quelques autres journalistes, a rencontré la semaine dernière le président de la République dans son bureau, est stupéfiant. (…)

« Le bien public, c’est l’information. Et peut-être que c’est ce que l’État doit financer. Le bien public, ce n’est pas le caméraman de France 3. Le bien public, c’est l’information sur BFM, sur LCI, sur TF1, et partout. Il faut s’assurer qu’elle est neutre, financer des structures qui assurent la neutralité. Que pour cette part-là, la vérification de l’information, il y ait une forme de subvention publique assumée, avec des garants qui soient des journalistes. Cette rémunération doit être dénuée de tout intérêt. Mais quelque part, cela doit aussi venir de la profession. »

Vous ne rêvez pas. Le président de la République propose que l’État rémunère certains journalistes dans les rédactions. Il envisage sans ciller ce qui ressemble à une nationalisation partielle de la presse.  (…)

 

Grand débat national: A Evry-Courcouronnes, Emmanuel Macron va échanger avec les maires de banlieue

 

Le grand débat national s’installe en banlieue. Après Grand-Bourgtheroulde, Souillac et Valence, Emmanuel Macron se déplace ce lundi à Evry-Courcouronnes dans l’Essonne, où il doit ouvrir le dialogue avec des élus d’Ile-de-France.

C’est la première fois que le président se déplace en banlieue pour le grand débat national. A Evry-Courcouronnes, commune de 70.000 habitants située à une trentaine de kilomètres au sud de Paris, il échangera dès 17 heures avec environ 300 élus et représentants d’associations franciliens.

A la rencontre des jeunes

L’Elysée souhaite que « les quartiers se saisissent aussi du grand débat, pour en être des acteurs à part entière », selon France 3 Ile-de-France. Emmanuel Macron sera accompagné de Sébastien Lecornu, ministre chargé des Collectivités territoriales, et de Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du logement. Jeudi il ira en Saône-et-Loire à la rencontre des jeunes, grands absents du débat jusque-là.

Source

Comment Emmanuel Macron prépare un référendum en secret

 

Pour s’extraire de la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron se convertit à l’hypothèse d’un référendum. Selon les confidences de sources haut placées recueillies par le JDD, il envisage même de plus en plus sérieusement d’organiser cette consultation le même jour que les élections européennes, le dimanche 26 mai

Preuve tangible que ce scénario prend corps : le bureau des élections au ministère de l’Intérieur, chargé de l’organisation des scrutins, a pris langue en fin de semaine avec des imprimeurs et papetiers afin d’être prêt pour le jour J, si le chef de l’État confirme ce calendrier.

[…] En organisant un référendum le 26 mai, l’exécutif tenterait de rebondir aussitôt après les conclusions du grand débat, qui doivent survenir les week-ends des 9 et 16 mars via des assemblées générales citoyennes constituées de citoyens tirés au sort.

Le JDD

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K
L'article sur les Pays-bas sonne étrangement au regard de celui sur la Hongrie...!<br /> II.76.1 (3°2) 'Sera la connaissance en ayant la volonté de voir cette menace qui sera vêtue en été ; tu tiens les haines en terre d’Europe ; la portée des troupes et le pouvoir de tout casser dans cette connaissance seront les heures des races...'.
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