Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Washington annonce son retrait du traité de désarmement nucléaire INF avec Moscou
Ce 1er février, le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a annoncé officiellement que les Etats-Unis se retiraient du traité de désarmement nucléaire INF.
Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a annoncé officiellement que les Etats-Unis se retiraient du traité de désarmement nucléaire INF. Il a toutefois précisé que son pays était disposé à discuter du désarmement avec la Russie.
«Demain les Etats-Unis vont suspendre leurs obligations dans le cadre du traité INF et lancer le processus de retrait», qui «sera achevé dans six mois à moins que la Russie respecte ses obligations en détruisant tous ses missiles, lanceurs et équipements qui violent le texte», a déclaré le président Donald Trump dans un communiqué.
Cette annonce n'a rien d'une surprise. Devant les ministres des Affaires étrangères des pays membres de l'OTAN, Mike Pompeo avait annoncé le 4 décembre que Washington cesserait sous 60 jours de respecter les obligations prévues par le traité sur les Forces nucléaires de portée intermédiaire (FNI), conclu en 1987, si Moscou ne s'y conformait pas, comme Washington l'en accusait. «Nous nous retirerons du traité dans soixante jours sauf si la Russie rentre en conformité [avec le traité]», avait menacé Mike Pompeo, reprochant à la Russie de violer ses obligations découlant de ce traité.
Inde : un Mirage 2000 s'écrase au décollage tuant les deux pilotes (VIDEOS)
Alors qu'il devait effectuer un vol d'essai après une mise à jour, un mirage 2000 de l'armée de l'air indienne s'est écrasé à Bangalore, tuant les deux pilotes. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident.
Un avion de chasse Mirage 2000 s'est écrasé juste au décollage lors d'un vol d'essai à Bangalore en Inde, le 1er février. Selon le ministère de la Défense, cité par le média NDTV, les deux pilotes ont réussi à s'éjecter mais ont été tué lors de l'accident.
L'incident s'est produit à 10h30, sur une piste de l'Hindustan Aeronautics Limited (HAL), l'entreprise d'Etat qui avait la charge de procéder à une mise à jour de l'appareil. «Une enquête sur la cause de l'accident est en cours», indique un communiqué du ministère de la Défense.
Le cheikh koweïtien Othman Al-Khamis : Les non-musulmans doivent se convertir, payer un impôt ou mourir – N’ayez pas honte de notre religion
Dans sa séance hebdomadaire de fatwas, mise en ligne sur sa chaîne YouTube, le cheikh koweïtien Othman Al-Khamis a décrété que les apostats doivent être mis à mort.
Dans une vidéo mise en ligne le 9 janvier 2019, le cheikh Al-Khamis a déclaré que l’apostasie revient à mépriser l’islam. Dans une vidéo du 14 octobre 2015, il a affirmé que seuls les infidèles peuvent être réduits en esclavage, ajoutant que ceux qui ne vénèrent pas Allah doivent se convertir à l’islam, s’acquitter de la taxe de la jizya, être réduits en esclavage ou être combattus et tués.
Il a exhorté les musulmans à ne pas avoir honte de leur religion et à ne pas plaindre les apostats, Al-Khamis a ajouté qu’il ne faut pas avoir pitié des infidèles, qui sont punis pour avoir refusé d’obéir à Allah. Extraits : [1]
Le 9 janvier 2019 :
Othman Al-Khamis : On ne tue pas un apostat pour en faire [de nouveau] un musulman. Les apostats commettent un crime, comme les auteurs d’adultère. Si le coupable d’adultère est marié, il est lapidé. S’il n’est pas marié, il est flagellé. Si les conditions pour trancher la main d’un voleur sont réunies, on tranche les mains des voleurs. On tue les meurtriers. Ce sont toutes des peines pour les actes commis par ces gens. Il en va de même pour l’apostasie. Un individu qui commet l’apostasie est mis à mort. Pourtant, on le laisse [en vie] s’il se repent. […]
Un tel individu est puni, car l’apostasie équivaut à mépriser l’islam. Il est donc puni comme s’il maudissait le prophète Mohammed ou Allah. C’est pourquoi un apostat est tué. Il ne s’agit pas d’essayer de lui imposer l’islam. L’islam n’a pas besoin et ne veut pas de mercenaires. Nous ne disons pas : « Deviens musulman ou nous te massacrerons. » […]
Le 14 octobre 2015
Othman Al-Khamis : Seuls les infidèles peuvent être réduits en esclavage. Les musulmans ne peuvent pas être réduits en esclavage. S’il y a des combats entre musulmans à cause de la fitna ou pour toute autre raison… Les musulmans ne doivent pas être réduits en esclavage. Seuls les infidèles peuvent être réduits en esclavage. […]
Angleterre : malgré une décision de justice l’école islamique continue les ségrégations sexistes envers les petites filles, les inspecteurs se sentent délaissés par les politiques
Une école musulmane n’autorise pas les filles à déjeuner avant que les garçons n’aient fini de manger, a déclaré un chef de l’Ofsted aux députés.
L’école Al-Hijrah de Birmingham continue de pratiquer la ségrégation des garçons et des filles en dépit d’une décision de la Cour d’appel en 2017 qui l’a déclarée illégale, selon Luke Tryl, directeur de la stratégie à l’Ofsted.
S’adressant au comité sur les femmes et l’égalité, il a déclaré que les inspecteurs de l’Ofsted s’efforcent de demander des comptes aux écoles pour la discrimination à l’égard des filles mais se sentent « isolées » quand leur position n’est pas soutenue par les ministres.
« Nos inspecteurs vont sur le terrain et doivent porter des jugements assez délicats lorsqu’il y a des confrontations potentielles[entre les lois sur l’égalité et les libertés religieuses] « , a déclaré M. Tryl.
« Nous n’avons peut-être pas toujours l’impression d’obtenir l’appui dont nous avons besoin de la part du reste du gouvernement pour aller de l’avant. »
Il a déclaré que l’école Al-Hijrah applique une « ségrégation très stricte entre les sexes », qui consiste notamment à « refuser aux filles de prendre leur déjeuner jusqu’à ce que les garçons aient eu le leur ». « Et nous avions des textes très discriminatoires, par exemple, qui encourageaient la violence envers les femmes », a-t-il dit.
[…]
Nous pouvons détruire Israël « en trois jours », clame le n°2 de l’armée iranienne
Après des tensions entre Israël et les forces syriennes en Syrie, le commandant adjoint des Gardiens de la révolution islamique affirme qu'Israël sera détruit de façon dévastatrice
Un puissant général iranien a fait savoir jeudi que son pays avait développé une « capacité stratégique » pour détruire Israël.
« Nous prévenons [les sionistes] que si une nouvelle guerre éclatait, elle se terminera par leur destruction, » a déclaré le général Hossein Salami, le commandant adjoint des Gardiens de la révolution, lors d’une conférence dans la ville iranienne de Mechhed, d’après l’agence de presse Tasnim liée au régime
Le vice-commandant des Gardiens de la révolution iraniens Hossein Salami (Crédit : capture d'écran YouTube)
Un puissant général iranien a fait savoir jeudi que son pays avait développé une « capacité stratégique » pour détruire Israël.
« Nous prévenons [les sionistes] que si une nouvelle guerre éclatait, elle se terminera par leur destruction, » a déclaré le général Hossein Salami, le commandant adjoint des Gardiens de la révolution, lors d’une conférence dans la ville iranienne de Mechhed, d’après l’agence de presse Tasnim liée au régime.
L’agence a ensuite paraphrasé Salami : « l’Iran a averti le régime sioniste de ne pas jouer avec le feu, car nous les détruirons avant que les Etats-Unis ne puissent les aider. »
Il a assuré qu’une nouvelle guerre « se terminera par la défaite d’Israël en trois jours, et d’une façon telle qu’il ne trouvera pas assez de tombes pour enterrer tous ses morts ».
Ces propos surviennent après une série de provocations réciproques entre dirigeants israéliens et iraniens ces dernières semaines, sur fond de tensions à la frontière israélo-syrienne entre Tsahal et les forces iraniennes.
L’Iran menace de « faire vivre un enfer à Israël »
Des responsables iraniens ont poursuivi leur discours anti-Israël mercredi, menaçant d’améliorer la précision de leurs missiles, et avertissant que les groupes terroristes du Hamas et du Hezbollah ont été préparés à faire vivre « un enfer » à l’Etat hébreu.
Ali Shamkhani, secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale, lors d’une conférence sur les techniques aérospatiales à Téhéran, a déclaré, selon des propos relayés par l’agence de presse Tasnim, que « c’est la déchéance pour les Sionistes qu’un ancien ministre israélien s’est avéré être un espion, quand des centaines de kilomètres de tunnels ont été creusés sous leurs pieds, et quand les forces de la résistance à Gaza et au Liban ont des missiles de précision et sont prêt à faire vivre un enfer en réaction à tout comportement idiot de la part d’Israël »
Il faisait référence à l’inculpation de l’ancien ministre Gonen Segev, espion pour le compte de Téhéran, et à une récente opération de l’armée de l’air israélienne qui a découvert et détruit six passages souterrains qui entraient en Israël depuis le Liban. Israël a déclaré que ces tunnels ont été creusés par le groupe terroriste du Hezbollah libanais, un allié de l’Iran
Shamkhani a également déclaré que Téhéran a la capacité d’étendre la portée de ses missiles, mais ne le fera pas en raison de sa « doctrine de défense ».
La vidéo d'un F-15 de l'Otan chassé par un Su-27 a mis le Net en émoi
«Qu’est-ce que les Américains font là-bas?»: des internautes occidentaux ont vivement réagi à une vidéo montrant un Su-27 russe chasser un avion de l’Otan qui avait tenté de s’approcher d’un avion gouvernemental russe.
La vidéo de l'interception d'un avion de l'Otan ayant tenté de s'approcher d'un avion gouvernemental russe, postée jeudi sur Twitter, a suscité de vives réactions chez certains internautes occidentaux.
Sur la vidéo, un Su-27 des Forces aérospatiales russes effectue une manœuvre forçant un F-15 de l'Otan à s'éloigner d'un avion gouvernemental russe qu'il suivait de très près.
Une trentaine de djihadistes sortiront de prison en 2019. La majorité de ces « revenants » ontune expérience « militaire » et présentent un « risque majeur » (MàJ)
Analyse de Gilles Kepel, spécialiste du monde arabe.
(…) « Aujourd’hui, on a déjà plusieurs centaines djihadistes en prison, et on ne sait pas très bien quoi en faire. Pendant toute une époque, ils ont été dispersés parmi les détenus de droit commun et se sont livrés à un prosélytisme très important. Puis l’administration les a regroupés dans des unités dédiées, qui sont devenues des sortes d’ENA du djihad », rappelle le spécialiste. « Aujourd’hui, cette idéologie reste très présente dans les prisons françaises. »
Quid des djihadistes qui vont sortir de prison ?« Un certain nombre d’entre eux ont été condamnés il y a plusieurs années à des peines relativement courtes et sont aujourd’hui en train de sortir. Il y a déjà, à partir de ce mois-ci, des gens qui sont libérés. Ceux qui ne sont pas de nationalité française sont expulsés, quand leur pays d’origine en veulent. Les autres retournent dans leurs quartiers, retrouver leurs réseaux. Même s’ils font l’objet d’une surveillance, celle-ci est, par définition faillible », alerte Gilles Kepel, qui observe l’« énorme inquiétude » de l’opinion publique « ainsi que les services concernés ».
FRANCE – Une vingtaine d’anciens djihadistes ayant séjourné en Syrie ou en Irak pourraient sortir de prison en 2019. Ces «revenants sortants», avec leur aura de combattant et leur expérience «militaire», présentent un «risque majeur».
«Un risque majeur.» C’est en ces termes que l’ancien procureur de la République de Paris François Molins décrivait en 2018 la libération à la fin de leurs peines d’individus condamnés pour terrorisme. Or, parmi ces «sortants», il y a beaucoup d’anciens «revenants» ayant séjourné dans la zone syro-irakienne et condamnés à leur retour.
Ces «revenants sortants», avec leur aura de djihadiste et leur expérience «militaire», inquiètent tout particulièrement les services antiterroristes. En 2018, sur une vingtaine de condamnés pour terrorisme libérables, on comptait déjà plusieurs revenants de la première heure (condamnés à des peines de moins de cinq ans avec du sursis).
En 2019, ils constitueront un peu plus de la moitié de la trentaine de libérables. Ces détenus, souvent partis sur zone dès les années 2012-2014 et généralement interpellés avant la vague d’attentats de 2015 et 2016, ont été condamnés à des peines relativement faibles.
L’opposition effarée par les nouvelles révélations dans l'affaireBenalla
Le dossier Benalla vient de s’épaissir suite à des révélations de Mediapart qui portent sur une série d'enregistrements dans lesquels Alexandre Benalla assure avoir le soutien du Président de la République. Ces nouveaux détails ont provoqué un tollé auprès de plusieurs personnalités de la classe politique française.
Hommes ou femmes, ils sont de plus en plus nombreux à mettre fin à leurs jours en France. Même si des structures ont été mises en place pour leur venir en aide, le malaise est profond.
(…) La France rurale est une peau de chagrin, dans tous les sens du terme. Un rétrécissement vertigineux et de plus en plus rapide : 2,8 % de la population active en 2016, soit 754 000 personnes, dans un pays de 67 millions d’habitants. « Le monde paysan, il n’existe plus. Et quand on commence à être nostalgique de quelque chose qu’on n’a pas connu… », a dit l’auteur-compositeur Jean-Louis Murat, sur France Inter, le 18 octobre 2018.
Un monde en voie de disparition, comme l’avait prévu Henri Mendras en écrivant La Fin des paysans, en 1967, et pourtant vital, sans cesse soumis à des injonctions contradictoires. Ancestral par son rythme, mais lancé à pleine vitesse dans le capitalisme financier, la tyrannie des cours mondiaux, les investissements démesurés. Sommé de produire toujours plus et toujours plus vite, puis accusé d’empoisonner la population.
(…) Dans un ouvrage collectif publié en 2017, trois chercheurs expliquent comment on est passé « de la ferme à la firme » et tentent de cerner le modèle d’une agriculture postproductiviste.
Un monde bouleversé par des crises sanitaires majeures – vache folle, peste porcine, grippe aviaire, herbicides toxiques… De la vigilance accrue et légitime qui s’en est suivie, les agriculteurs ont surtout retenu un lot de tracasseries administratives supplémentaires et d’incessants contrôles. Ou la concurrence déloyale de pays qui ne sont pas soumis aux mêmes normes qu’eux.
« On est des pollueurs, on nous reproche les vaches qui pètent, le trou dans la couche d’ozone, faut plus manger de viande, faut pas tuer les animaux… Quand les contrôleurs se déplacent c’est minimum 3 000 euros », égrène Jean-Michel Auneau, un exploitant agricole de la région nantaise, dont le collègue s’est suicidé voilà sept ans et demi. Depuis, pas un jour ne passe sans qu’il ne pense à lui.
(…) Là encore, tensions et contradictions s’entremêlent : l’impression de ne plus être indépendant, autonome, alors que la liberté est une valeur cardinale du métier; l’impossibilité de transmettre une exploitation, alors que des dizaines de générations l’ont fait auparavant; la sensation d’avoir sans cesse « le nez dans le guidon », de ne rien maîtriser, dans un univers où les règles changent tout le temps. Sans doute faut-il y ajouter une forme de honte ou de rage de ne pouvoir vivre de son labeur quand on travaille d’arrache-pied, plus de dix heures par jour.
"Gilets jaunes" : le Conseil d'Etat valide l'utilisation de lanceurs de balles de défense lors des manifestations
Les lanceurs de balles de défense (LBD) seront encore utilisés lors des manifestations des "gilets jaunes". C'est ce qu'annonce, vendredi 1er février, le juge des référés du Conseil d'Etat. Il avait été saisi par des organisations syndicales et des membres du mouvement des "gilets jaunes", alors que cette arme de défense, responsable de blessures, est vivement critiquée.
"L'organisation des opérations de maintien de l'ordre mises en place lors des récentes manifestations ne [révèle] pas une intention des autorités de ne pas respecter les conditions d'usage, strictes, mises à l'utilisation de ces armes", note le Conseil d'Etat dans un communiqué.
Une utilisation "strictement encadrée"
Le Conseil d'Etat tient à rappeler, dans son texte, que "les conditions d'utilisation de ces armes sont strictement encadrées par le Code de la sécurité intérieure, afin de garantir que leur emploi est, d'une part, nécessaire au maintien de l'ordre public compte tenu de circonstances, et d'autre part, proportionné au trouble à faire cesser".
Gilets Jaunes : l’Assemblée nationale vote un nouveau délit de dissimulation du visage
L’Assemblée nationale a voté dans la nuit de mercredi à jeudi la création d’un délit de dissimulation du visage dans les manifestations, dans le cadre de la proposition de loi LR « anticasseurs » dont les députés n’ont pas achevé l’examen.
Note: Cela fait bien trente ans que des racailles se dissimulent le visage pour volés et cassés, mais le gouvernement n'ont jamais rien fait contre cela!
“Il faut tirer“ sur les émeutiers, ”aligner deux-trois bastos” : propos polémiques au sein du PC Sécurité de la police nationale à Toulouse
Elle a été publiée jeudi 31 janvier par… un syndicat de police, ultra-minoritaire, Vigi (ex-CGT Police).
Ce syndicat explique que « les mots des policiers ont dépassé leurs pensées ». Qu’ils étaient « émus, surpris, et estomaqués » par ce qu’ils voyaient. Vigi rejette la responsabilité des propos des policiers toulousains sur le gouvernement.
Gilbert Collard : «La loi anti-casseurs est une loi fasciste qui permet au préfet (nommé par le gouvernement), plutôt qu’à un juge, d’interdire de manifester»
Gilbert Collard annonce que son parti, le Rassemblement National, a voté contre la loi anti-casseurs : «C’est une loi fasciste qui permet au préfet (nommé par le gouvernement), plutôt qu’à un juge, d’interdire de manifestation tout ceux qui constituent “une menace d’une particulière gravité pour l’ordre publique” sachant qu’on n’a jamais eu de définition de “l’ordre publique”.»
– LCI, 31 janvier 2019, 10h43
Gilbert Collard : «Castaner ne démissionnera pas car ils se sont créé une rhétorique mortifère selon laquelle ils peuvent arracher des mains ou crever des yeux au nom de l’ordre»
« Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ou un député ! » regrette Macron, qui prétend que les Gilets Jaunes ont été infiltrés par « 50.000 militants ultras »
En plein grand débat, le président de la République mise sur l’ordre et le «débat permanent» pour sortir de la crise des «gilets jaunes». Ce jeudi midi, il s’est confié à une poignée de journalistes dont Paris Match.
«Si être gilet jaune, ça veut dire qu’on est pour que le travail paie plus et que le Parlement fonctionne mieux alors je suis gilet jaune», sourit-il avouant ne pas croire aux sondages relayant que 50% soutiendraient cette colère. Mais très vite, l’analyse sociologique de cette agrégation des colères laisse la place à une dénonciation plus politique. Car selon le président, les gilets jaunes ont été infiltrés par «40 à 50 000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions».
Face aux violences orchestrées par les extrêmes, il met en garde contre la «fachospère» et la «gauchosphère» qui ont surinvesti les réseaux sociaux. Car le mouvement a, dit-il, «muté» par les réseaux.
(…) Grand consommateur de chaînes infos, il ironise : «Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ou un député!» S’il en veut donc aux chaines infos, il juge paradoxalement que la réponse aux «commentaires permanents, c’est peut-être le débat permanent».
Le pape François se rend en terre d’Islam tout en plaidant pour une « étude critique du Coran »
Premier pape à fouler dimanche le sol de la péninsule arabique, l’argentin veut poursuivre le dialogue religieux, tout en plaidant pour une « étude critique du Coran ».
L’Argentin Jorge Bergoglio s’apprête à faire ce dimanche un nouveau pas d’ouverture en direction de l’islam, en se rendant sur le sol de la péninsule arabique (qui regroupe plusieurs pays, dont l’Arabie Saoudite, le Koweït, le Qatar…)
Dans l’histoire du dialogue compliqué entre papes et monde musulman, le pape François se distingue par son langage fraternel et prudent. « Le pape François est différent de son prédécesseur Benoît XVI, car il privilégie la rencontre interpersonnelle aux subtilités théologiques », pointe le père Valentino Cottini à Rome. […]
LA DIFFICILE CRITIQUE DU CORAN
Le pape François évite de son côté les analyses théologiques touchant au contenu du Coran. Ses appels incessants en faveur de l’accueil des réfugiés, dont une grande partie sont musulmans, lui ont fait gagner des points auprès de cette communauté.
Dans des entretiens avec le sociologue français Dominique Wolton, le pape François juge que « le dialogue avance bien », même s’il aimerait que les musulmans progressent sur l’interprétation du Coran.
« Je pense que cela leur ferait du bien de faire une étude critique du Coran, comme nous l’avons fait avec nos Écritures. La méthode historique et critique d’interprétation les fera évoluer », a-t-il confié.
[…]
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