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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 17 octobre 2025

 

 

 

 

 

 

EN DIRECT, guerre en Ukraine :

les missiles Tomahawk, une arme qui sera au cœur des discussions entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche

 

Le président ukrainien a rencontré le fabricant américain de ces missiles, qu’il compte réclamer à Donald Trump lors de leur réunion ce vendredi. Celui-ci a déclaré, la veille, que les Etats-Unis ne pouvaient cependant pas « appauvrir » leurs propres réserves.

 
14:00  L’essentiel

Le point sur la situation, vendredi 17 octobre, à 14 heures

 

  • Donald Trump a déclaré jeudi que les Etats-Unis ne pouvaient pas « appauvrir » leurs propres réserves de Tomahawk, des missiles que l’Ukraine cherche à se procurer auprès de Washington. « Nous en avons besoin aussi, donc je ne sais pas ce que nous pouvons faire », a ajouté le président des Etats-Unis.
  • Le vice-président américain, J. D. Vance, estime que la Russie et l’Ukraine ne sont actuellement pas disposées à conclure un accord pour mettre fin au conflit, malgré des mois de discussions diplomatiques.
  • Le président ukrainien est d’accord pour rencontrer Vladimir Poutine, explique Andriy Yermak, le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, dans une interview accordée au média américain Axios. Vladimir Poutine a déjà rejeté à plusieurs reprises une telle proposition.
  • La Hongrie veillera à permettre l’entrée de Vladimir Poutine à Budapest pour un sommet avec Trump assure Péter Szijjarto, le ministre des affaires étrangères hongrois.
  • Des explosions ont été entendues à Sotchi, en Russie, dans la nuit du 16 au 17 octobre. L’armée russe a abattu par erreur l’un de ses propres avions au-dessus de la Crimée lors de l’attaque nocturne de drones ukrainiens sur la péninsule.

 

 

13:55

Moscou confirme qu’une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump est envisagée « dans les deux semaines »

 

Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a confirmé, vendredi, qu’une rencontre entre le président russe, Vladimir Poutine, et le président américain, Donald Trump, pourrait avoir lieu « dans les deux semaines ». « Elle pourrait effectivement avoir lieu dans les deux semaines ou un peu plus tard. Il y a un accord général sur le fait qu’il n’est pas nécessaire de la repousser longtemps », a déclaré M. Peskov.

Il a également confirmé que Vladimir Poutine avait eu un entretien téléphonique avec le premier ministre hongrois, Viktor Orban, ce dernier ayant déclaré que la Hongrie avait déjà commencé les préparatifs diplomatiques pour accueillir les deux chefs d’Etat.

 

 

12:47

La Commission européenne favorable à une rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine à Budapest, si elle fait « avancer le processus de paix »

 

La Commission européenne a accueilli favorablement, vendredi, la perspective d’une rencontre entre les présidents américain et russe dans la capitale hongroise. « Toute réunion qui fait avancer le processus visant à instaurer une paix juste et durable en Ukraine est la bienvenue », a affirmé Olof Gill, porte-parole de l’exécutif européen.

Il a ajouté que les avoirs de Vladimir Poutine et de son ministre des affaires étrangères, Sergueï Lavrov, étaient actuellement gelés dans l’Union européenne, mais qu’il ne « leur était pas spécifiquement interdit [d’y] voyager ».

« Nous vivons dans le monde réel. Les réunions ne se déroulent pas toujours dans l’ordre ou le format que nous souhaiterions, mais si elles nous rapprochent d’une paix juste et durable pour l’Ukraine, alors nous devons les accueillir favorablement », a avancé Olof Gill.

Le président russe est visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale en raison du transfert « illégal » d’enfants ukrainiens vers la Russie.

 


 

12:31

J. D. Vance affirme que Moscou et Kiev « ne sont pas prêts » à un accord de paix

 

Alors que Volodymyr Zelensky doit rencontrer Donald Trump vendredi, et que le président des Etats-Unis annonce une prochaine rencontre avec Vladimir Poutine, le vice-président américain, J. D. Vance, estime que la Russie et l’Ukraine ne sont actuellement pas disposées à conclure un accord pour mettre fin au conflit, malgré des mois de discussions diplomatiques.

« Pour qu’un accord soit possible, il faut que les deux parties soient prêtes à faire des compromis, et pour l’instant ce n’est pas le cas », a déclaré J. D. Vance sur la chaîne conservatrice Newsmax. Il a ajouté qu’un règlement restait envisageable mais qu’il nécessiterait « plus de travail ».

Selon lui, les négociations sont bloquées par un « désalignement fondamental des attentes », affirmant que la Russie « surestime » sa position militaire. Le vice-président a défendu l’approche du président Donald Trump, qu’il juge « plus efficace » que celles des précédentes administrations américaines, en raison d’une « diplomatie énergique » et « flexible ».

Le vice-président a également affirmé que l’administration Trump privilégie les tarifs douaniers aux sanctions économiques pour faire pression sur Moscou, estimant que les sanctions « n’ont pas produit les résultats attendus depuis des décennies ». Il a affirmé que des discussions sont en cours avec l’Inde et la Chine pour réduire leurs achats de pétrole russe. Malgré les difficultés, M. Vance a assuré que Donald Trump restait confiant dans la possibilité d’un accord : « Il veut parvenir à un règlement. La question est de savoir combien de temps cela prendra », a-t-il déclaré.

 

 

10:43

L’armée russe abat par erreur l’un de ses propres avions

 

Les Russes ont abattu un de leurs propres Su-30SM au-dessus de la Crimée lors de l’attaque nocturne de drones ukrainiens sur la péninsule, rapporte Dmytro Pletentchouk, le porte-parole de la marine ukrainienne. « Ils ont si bien repoussé les attaques ukrainiennes qu’ils ont pu abattre leur propre avion au-dessus de la Crimée aujourd’hui. Le combat continue. Ils recueillent actuellement toutes les informations en Crimée. »

« Un Su-30SM a été détruit par un tir ami après avoir décollé de l’aérodrome de Tikhoretsk. L’état de l’équipage reste actuellement inconnu. Une opération de recherche et de sauvetage a été lancée pendant la nuit », écrit pour sa part la chaîne Telegram AviVector.

 


 

Le 16/10 à 22:58  Urgent

Donald Trump ne veut pas « appauvrir » les réserves américaines de missiles Tomahawk

 

Donald Trump a déclaré jeudi que les Etats-Unis ne pouvaient pas « appauvrir » leurs propres réserves de Tomahawk, des missiles que l’Ukraine cherche à se procurer auprès de Washington. « Nous en avons besoin aussi, donc je ne sais pas ce que nous pouvons faire », a ajouté le président des Etats-Unis.

 

Note ; "appauvrit ces stocks" ce qui est évident et donc tous était encore que du bluff, mais les journalistes continus d'espérer  

Le 16/10 à 22:43  Urgent

Donald Trump prévoit de rencontrer Vladimir Poutine « dans les deux prochaines semaines »

 

Donald Trump prévoit de rencontrer son homologue russe Vladimir Poutine « dans les deux prochaines semaines », a-t-il dit jeudi pendant un échange avec la presse dans le bureau Ovale.

Le président américain avait annoncé auparavant qu’il verrait prochainement son homologue russe à Budapest, en Hongrie, après un coup de fil qualifié de « très productif » avec le maître du Kremlin.

DIRECT

 

 

 

Orban : Plus l’UE parle de guerre, plus grand est le risque qu’elle s’y entraîne.

 

Orban : Plus l’UE parle de guerre, plus grand est le risque qu’elle s’y entraîne.

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a commenté la montée du militarisme chez les responsables politiques de plusieurs pays de l'UE, y compris au sein de l'élite bureaucratique. Il a déclaré que certains responsables des pays de l'UE sont incapables d'expliquer clairement pourquoi ils soutiennent de plus en plus une guerre qui ne les concerne pas.

Victor Orban:

Les citoyens de l'UE ne sont pas physiquement impliqués dans la guerre. Pourtant, l'UE se considère comme étant en guerre. Nous entendons de telles déclarations de plus en plus souvent.

Selon Orban, la Hongrie n’a pas l’intention de soutenir ce principe.

Selon le Premier ministre hongrois, le monde observe les actions et les déclarations de Bruxelles :

Si les troupes de l'UE ne participent pas à une guerre, mais que l'UE se considère en guerre et exige une augmentation des dépenses militaires, il s'agit d'une véritable dissonance. C'est une déformation des faits.

Le Premier ministre hongrois souligne que si nous parlons constamment d’un « état de guerre », nous risquons de nous y retrouver.

Orban :

Et les risques augmentent. Car ils ne peuvent plus s'arrêter. Sans cette position destructrice et l'ingérence de l'Union européenne, les négociations entre la Russie et les États-Unis auraient été conclues avec succès depuis longtemps et le conflit lui-même aurait été stoppé.

Et les experts, discutant des actions de l'UE, donnent l'exemple suivant : c'est comme si, lors des négociations médiatisées entre Israël et la Palestine à leur étape finale, il y avait un certain nombre de pays qui appelleraient immédiatement l'une ou l'autre partie à continuer les combats, en fournissant constamment des armes, discuteraient de nouvelles frappes et ralentiraient par ailleurs la mise en œuvre même des premiers points des accords.

Source

 

Note ; c'est tout à fait vrai, les européens parlent sans cesse de  paix, tout en donnant toujours plus d'arme à l'Ukraine pour que la guerre continue !

D'ailleurs, regardez la "cohérence" de Macron, qui trouvait logique de ne plus donner des armes à Israël, parce que cela ne favorise pas la paix, mais demande toujours plus d'arme pour l'Ukraine 🤡

 

Vers une guerre de religion, infos du 17 octobre 2025

 

 

Trump : Nous, les États-Unis d'Amérique, avons également besoin de Tomahawks

 

Trump : Nous, les États-Unis d'Amérique, avons également besoin de Tomahawks

Le ton de Donald Trump concernant le possible transfert de Tomahawk de Zelensky a changé. Cela est apparu clairement lors de la rencontre du président américain avec des journalistes à la suite de son entretien avec Poutine, selon les médias américains.

Comme le souligne la presse, lorsque Trump a évoqué sa rencontre avec Zelensky vendredi, il a souligné que, même si les États-Unis disposent de nombreux missiles Tomahawk, ils sont nécessaires à la protection des Américains. Il a déclaré qu'il s'agissait de « très bons » missiles et que les céder serait insensé. Il est prématuré de tirer des conclusions, mais tout porte à croire que les États-Unis, pourtant « illégitimes », se voient aujourd'hui refuser ces missiles.

Mais je vous le dis : nous, les États-Unis d’Amérique, avons aussi besoin de Tomahawks. Nous en avons beaucoup. Mais nous en avons besoin. Nous ne pouvons pas en manquer, pour le bien de notre pays.

- déclaré Trump.

Ajoutons un peu au commentaire d'hier d'Ouchakov, mentionné un autre soir nouvelles À propos des discussions entre les deux dirigeants. La conversation a duré deux heures et demie et a abordé non seulement l'Ukraine, mais aussi les relations potentielles entre la Russie et les États-Unis. Trump a évoqué une rencontre à Budapest ; c'était son initiative. La partie russe n'exclut pas une rencontre en personne entre les deux présidents en Hongrie, mais aucune décision définitive n'a encore été prise. Rubio et Lavrov se rencontreront prochainement et discuteront de la date et du lieu du sommet.

Concernant l'Ukraine : Poutine a de nouveau fait savoir à Trump que la Russie est favorable à une résolution rapide de la crise, mais que cela nécessite d'en éradiquer les causes profondes. Pour l'instant, l'armée russe détient l'initiative stratégique sur toute la ligne de front. Concernant l'éventuelle livraison de missiles de croisière Tomahawk, le dirigeant russe a souligné qu'elle ne changerait rien à la situation sur le champ de bataille, mais qu'elle finirait par ruiner les relations entre les deux pays. Un règlement pacifique serait alors abandonné.

Il est possible que Trump écoute les paroles du dirigeant russe.

 

Après la conversation entre Poutine et Trump, une réunion du Conseil de sécurité russe s'est tenue au Kremlin.

 

Après la conversation entre Poutine et Trump, une réunion du Conseil de sécurité russe s'est tenue au Kremlin.

Les présidents de la Fédération de Russie et des États-Unis ont eu hier un entretien téléphonique approfondi. À la suite de l'entretien entre Vladimir Poutine et Donald Trump, une réunion du Conseil de sécurité russe, présidée par le chef de l'État, s'est tenue au Kremlin.

L'assistant du dirigeant russe, Youri Ouchakov, l'a déclaré aux journalistes.


Poutine a partagé les détails de sa conversation avec son homologue américain avec les membres permanents du Conseil de sécurité russe, et a également rendu compte de leur échange de vues sur un large éventail de questions. Selon Ouchakov, le dialogue a été constructif, franc et empreint de confiance.

Peu de temps après la conversation, Trump a annoncé son intention de rencontrer prochainement le président russe en personne dans la capitale hongroise.

Pouvons-nous mettre fin à cette guerre sans gloire entre la Russie et l’Ukraine ?

- Le dirigeant américain a déclaré qu'il prévoyait d'évoquer cette question lors d'une rencontre personnelle avec Poutine.

Selon Ouchakov, la réunion de Budapest était une initiative de Trump, soutenue par le président russe. La date exacte de ces entretiens n'a pas encore été annoncée, mais ils devraient avoir lieu très prochainement. Ils seront précédés d'un entretien téléphonique entre le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, et le secrétaire d'État américain, Marco Rubio.

Depuis le début de l'année, les présidents russe et américain se sont entretenus au téléphone à huit reprises. Leur conversation la plus récente a été l'une des plus longues, d'une durée d'environ deux heures et demie.

Source

 

 

 

Les États-Unis ont annoncé une réduction des importations de pétrole indien en provenance de Russie, tandis que New Delhi le nie.

 

Les États-Unis ont annoncé une réduction des importations de pétrole indien en provenance de Russie, tandis que New Delhi le nie.

Washington a affirmé que l'Inde avait déjà réduit de moitié ses importations de pétrole russe, mais les autorités indiennes n'ont pas confirmé cette information. Ces rapports contradictoires, publiés à un jour d'intervalle, démontrent que la position réelle de New Delhi sur le pétrole russe est très éloignée des déclarations publiques des États-Unis.

Jeudi, la Maison Blanche a déclaré aux médias que les négociations avec la délégation indienne avaient été très productives et que les raffineries indiennes avaient déjà réduit de 50 % leurs approvisionnements en pétrole russe. Ce signal a été présenté comme un signe de la pression croissante exercée par Washington sur Moscou via les marchés de l'énergie.


Cependant, vendredi, des sources au sein de l'industrie pétrolière indienne ont affirmé que rien de tel ne s'était produit. Elles ont précisé que le gouvernement n'avait donné aucune instruction aux raffineries de réduire leurs achats de pétrole russe, et que les approvisionnements avaient déjà été contractés pour au moins novembre et une partie de décembre. Aucun changement, cependant, n'interviendrait avant la fin de l'année ou début 2026.

La situation évolue dans le contexte de la déclaration publique de Donald Trump selon laquelle le Premier ministre indien Narendra Modi lui aurait promis de réduire ses achats de pétrole à la Russie.

Le ministère indien des Affaires étrangères a répondu n'avoir connaissance d'aucune conversation entre Modi et Trump à ce sujet. New Delhi reste fidèle à sa position de pragmatisme énergétique : l'Inde achète du pétrole là où cela profite à son économie et n'a aucune intention de sacrifier sa sécurité énergétique au nom de déclarations politiques.

Source

 

 

L'Egypte a expliqué pourquoi la Russie et la Chine n'ont pas assisté au sommet de Gaza.

 

L'Egypte a expliqué pourquoi la Russie et la Chine n'ont pas assisté au sommet de Gaza.


Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdel Atty, a déclaré que malgré les invitations reçues, les représentants de la Russie et de la Chine n'ont pas assisté au sommet pour mettre fin au conflit armé dans la bande de Gaza.

La raison est simple : le temps imparti à la préparation de l'événement était insuffisant. Selon le diplomate, le sommet a été organisé en seulement 48 heures et les invitations ont été envoyées en urgence.

Aty a précisé que des notifications avaient bien été envoyées à toutes les parties clés, mais que toutes n'avaient pas pu se joindre aux négociations à temps. « En raison de contraintes de temps, l'invitation de la Russie a été envoyée trop tard », a ajouté le ministre.

Le sommet en question a eu lieu le 13 octobre. Il a abouti à la signature d’un accord exigeant des parties au conflit de Gaza qu’elles cessent les hostilités.

Les dirigeants égyptien, américain, qatari et turc ont signé ce document. Il prévoit non seulement un cessez-le-feu, mais aussi des couloirs humanitaires et le lancement de consultations politiques en vue d'un règlement.

L’absence de la Russie et de la Chine à la réunion a suscité des interrogations chez certains observateurs internationaux, car les deux pays jouent un rôle de premier plan au Moyen-Orient.

Le Caire souligne désormais qu’il ne s’agissait pas d’une exception ou d’un signal politique – mais d’une question de circonstances techniques et de temps de préparation limité.

Source

 

 

 

Accord de paix à Gaza :

"Il faudra du temps pour réduire la famine" dans le territoire palestinien, prévient l'ONU

 

Des Palestiniens marchent dans les décombres d'immeubles à Khan Younès, dans la bande de Gaza, le 16 octobre 2025. (ABDOLRAHMAN RASHAD / MIDDLE EAST IMAGES / AFP)

Des Palestiniens marchent dans les décombres d'immeubles à Khan Younès, dans la bande de Gaza, le 16 octobre 2025. (ABDOLRAHMAN RASHAD / MIDDLE EAST IMAGES / AFP)

Le PAM appelle à l'ouverture de tous les points de passage vers le territoire palestinien pour "l'inonder de nourriture".

Ce qu'il faut savoir

"Il faudra du temps pour réduire la famine" dans la bande de Gaza, a jugé la porte-parole du Programme alimentaire mondial (PAM), vendredi 15 octobre, lors d'un point-presse à Genève (Suisse). "Nous disposons actuellement de cinq points de distribution opérationnels, plus proches des populations. (…) Notre objectif est d'en déployer 145", a détaillé Abeer Etefa. Selon elle, l'urgence réside dans "l'ouverture des cinq points de passage frontaliers" vers le territoire "afin de pouvoir inonder Gaza de vivres et mettre en place rapidement ces points de distribution" et de rétablir ce qui avait été mis en place "avant l'intensification des combats à Gaza". Seuls les points d'entrée de Kerem Shalom (sud) et de Kissoufim (centre-est) étaient ouverts vendredi. Suivez notre direct.

  • • Donald Trump menace "d'aller tuer" les membres du Hamas. "Si le Hamas continue à tuer des gens à Gaza, ce qui n'était pas prévu dans l'accord, nous n'aurons pas d'autre choix que d'aller les tuer", a écrit le président américain sur son réseau Truth Social. Le Hamas a diffusé mardi une vidéo montrant des exécutions sommaires de "collaborateurs" présumés en pleine rue à Gaza-ville.
  • Le Hamas assure faire son possible pour restituer tous les otages tués. "Le processus de restitution des corps des prisonniers israéliens pourrait prendre un certain temps, car certains de ces corps ont été enterrés dans des tunnels détruits par [l'armée israélienne], tandis que d'autres restent sous les décombres de bâtiments qu'elle a bombardés et démolis", a justifié le mouvement islamiste palestinien sur Telegram. Israël accuse le Hamas, qui n'a rendu que neuf dépouilles sur les 28 qu'il retient, de ne pas respecter sa part de l'accord de paix(Nouvelle fenêtre), qui prévoyait un retour de tous les otages, vivants comme morts, avant lundi matin.
  • • La date de réouverture du passage de Rafah annoncée "ultérieurement". Le Cogat, l'organisme du ministère de la Défense israélien supervisant les activités civiles dans les territoires palestiniens, a précisé que le passage serait ouvert pour la "circulation des personnes uniquement". Le plan de paix de la Maison Blanche pour Gaza prévoyait l'entrée "immédiate" de l'aide humanitaire.
  • L'Autorité palestinienne présente son plan pour l'avenir de Gaza. Le plan doit "renforcer l'unité politique et territoriale entre Gaza et la Cisjordanie, et contribuer à restaurer un cadre de gouvernance crédible pour l'Etat de Palestine", a déclaré le Premier ministre de l'Autorité palestinienne, Mohammad Mustafa. L'Autorité palestinienne, qui a maintenu sa présence dans la bande de Gaza depuis la Cisjordanie, via des réparations des réseaux d'eau et d'électricité, a commencé à planifier l'après-guerre dès les premiers jours du conflit.

DIRECT

 

 

 

 

 

Elle compare Lola au mouton du sacrifice de l’Aïd et ne manifeste aucun remords : plongée dans l’esprit diabolique de Dahbia Benkired

Le procès de Dahbia Benkired, accusée d’avoir violé, torturé et assassiné la fillette de 12 ans Lola Daviet le 14 octobre 2022 à Paris, débute ce vendredi 17 octobre 2025 devant la cour d’assises de la capitale. Âgée de 24 ans à l’époque, cette jeune femme sans antécédents judiciaires risque la réclusion criminelle à perpétuité pour meurtre et viol sur mineur de 15 ans, assortis d’actes de torture et de barbarie. Plusieurs expertises psychiatriques ont été nécessaires pour confirmer sa responsabilité pénale, malgré une personnalité décrite comme “pathologique sévère” et manipulatrice.

Une Enfance Brisée et une Vie Chaotique
Née en Algérie dans un foyer marqué par les violences paternelles, l’alcoolisme et la précarité, Dahbia Benkired affirme avoir subi des abus sexuels durant son enfance. Arrivée en France irrégulière vers 20 ans avec ses deux sœurs, elle traverse une rupture brutale en 2020 avec la mort soudaine de sa mère. S’ensuit une existence nomade : hébergements chez des amis ou partenaires, consommation intensive de cannabis, emplois précaires (serveuse en bar de nuit, ouvrière en boulangerie). Sans projet ni ambition, elle est qualifiée de “mauvaise graine de la famille” par l’une de ses sœurs, qui la dépeint comme une menteuse experte en manipulation émotionnelle.

Les experts diagnostiquent chez elle des traits psychopathiques modérés, des signes esquissés de schizophrénie, mais aucune pathologie invalidante. En détention provisoire, son comportement s’emballe : elle se rase la tête, ingère du plâtre, se déshabille et se frappe la tête contre les murs, soulignant une “grande dangerosité” sans folie avérée.

Des Aveux Erratiques et des Motivations Opacifiées
L’enquête révèle une suspecte d’abord muette lors de sa garde à vue le 15 octobre 2022 : “Je ne sais plus”, répète-t-elle face aux questions sur son emploi du temps. Les preuves – vidéosurveillance montrant Lola entrant avec elle dans l’immeuble de sa sœur (rue Manin, XIXe arrondissement), témoignages – convergent vers Dahbia. Ce n’est qu’à sa quatrième audition qu’elle avoue, avec une indifférence glaçante : face aux photos du corps ligoté et dénudé de Lola, elle lâche “Ça ne me fait ni chaud ni froid”. Elle se rétracte vite, invoquant un “cauchemar”.

Les mobiles restent flous. Victime et accusée ne se connaissaient pas, mais un altercation mineure avec la mère de Lola – refus d’un pass pour l’immeuble – aurait déclenché la rage. Dahbia décrit Lola comme un “fantôme” aux yeux altérés, un “diable en personne” terrifiant, justifiant l’asphyxie par un scotch couvrant tout le visage. Les coups de couteau au dos et au cou ? Une vision hallucinatoire d’un “mouton” sacrifié, évoquant le rite de l’Aïd al-Adha : elle aurait même marqué “1” et “0” au rouge à lèvres sous les pieds de la victime, imitant les tatouages sur les bêtes. Rien de religieux, selon l’enquête ; plutôt un délire post-conflit.

Le viol, admis crûment (“Je l’ai abusée un peu jusqu’à prendre mon plaisir”), est “regretté” lors de la reconstitution, écho possible de ses propres traumatismes. Après le meurtre, elle trimballe le corps inanimé de Lola dans une mallette noire pendant des heures, suivant un parcours hasardeux.

Un Procès pour Décrypter l’Indécryptable
Ses avocats, Mes Valois et Bertier, espèrent que les six jours d’audience (jusqu’au 24 octobre) éclaireront le mobile. Ce drame, survenu par hasard au pied de la résidence de Lola, a choqué le pays par son atrocité gratuite et l’absence de logique. Pour les proches de la victime – dont le père, emporté par le chagrin –, ce procès pourrait offrir un début de réponses après trois ans de tourments. Un cas rarissime dans les annales criminelles, où l’errance mentale flirte avec l’horreur pure.

Le Parisien

 

Note: celle-la mérite bien la corde ! Mais regardez l'horrible titre du journal gauchiasse collabo Libération « Procès du meurtre de Lola : le moment ou jamais de remercier Robert Badinter »

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 17 octobre 2025

 

 

«Rapidement, on est taxé de facho» : Jean Dujardin juge qu’il est désormais «compliqué» de parler de la France

 

 

«C’est très compliqué quand on parle de la France. Pour certains, la France c’est rance. Il y en a d’autres qui sont dans la défiance. En revanche, il n’y a vraiment plus de nuance», a déclaré l’acteur de 53 ans.

«C’est très compliqué quand on parle de la France. Pour certains, la France c’est rance. Il y en a d’autres qui sont dans la défiance. En revanche, il n’y a vraiment plus de nuance», a d’abord déclaré l’acteur au légendaire sens de la formule. Venu évoquer son nouveau film, L’homme qui rétrécit, adaptation éponyme du roman culte de Richard Matheson, Jean Dujardin a poursuivi, indiquant ne pas savoir «ce qu’on peut dire sur la France».

«Depuis 25 ans, je vois des gens qui aiment leurs pays. Et j’ai l’impression que les réseaux sociaux ne ressemblent pas aux humains que je rencontre. Je vois des gens heureux, des gens qui ont envie…», a-t-il ajouté.

Le Figaro

 

Budget 2026 : le gouvernement envisage de supprimer l’APL pour les étudiants étrangers hors UE, une économie potentielle estimée à 400 millions d’euros pour l’État

Alors que le gouvernement cherche à faire des économies, l’exécutif a notamment ciblé les APL (aides personnalisées au logement). En effet, le projet de budget pour 2026, présenté ce mardi 14 octobre en conseil des ministres prévoit de geler ces aides pour l’année à venir, à l’instar de plusieurs autres prestations sociales. De plus, il prévoit de supprimer les APL pour certains étudiants étrangers. La Fondation pour le logement des défavorisés qualifie cette « année blanche » de « mesure très pénalisante qui va toucher les plus pauvres ».

Selon le projet de budget, les aides personnalisées au logement ne feront pas l’objet d’une revalorisation en 2026 pour suivre l’inflation, contrairement aux années précédentes. Cette décision, inscrite dans l’année blanche budgétaire, vise à stabiliser le montant d’aides versées. Cette mesure devrait permettre à l’État de réaliser une économie globale de 108 millions d’euros, dont 54 millions d’euros générés par le choix de ne pas indexer ces aides sur l’inflation.​

Le projet prévoit également de supprimer l’accès aux APL pour les étudiants étrangers non ressortissants de l’Union européenne, de l’Espace économique européen (EEE), ou de la Suisse, lorsque ceux-ci ne bénéficient pas d’une bourse. Seuls les étudiants extra-communautaires boursiers (environ 2 à 3 % des 315 000 étudiants concernés) pourraient continuer d’en bénéficier. La suppression des APL pour les étudiants extra-communautaires non boursiers représente une économie potentielle estimée à 400 millions d’euros pour l’État.

Le Parisien

 

 

 

 

 

Scandale du château de Grignon : des meubles d’exception vendus pour une bouchée de pain par l’État (MàJ : une fonctionnaire condamnée, sa direction organise une cagnotte pour la soutenir)

Condamnée en décembre 2024 à 3 000 € d’amende par la Cour des comptes pour la vente bradée du mobilier du château de Grignon, une agente de la DGFIP a reçu un soutien pour le moins surprenant : son propre directeur, Alain Caumeil, a appelé en mai ses collègues à « matérialiser ce soutien » via une enveloppe au bureau 402 et une cagnotte en ligne, qui affiche 1 849 € récoltés.

Problème : la loi de 1881 interdit les collectes destinées à payer une amende judiciaire. « C’est une manière de contourner la sanction… et c’est signé d’un directeur d’administration ! » dénonce Julien Lacaze, président de Sites et Monuments. Dans les rangs de la DGFIP, l’embarras domine : « Notre direction remet en cause une décision de justice, chose contraire à l’État de droit. »

Le Parisien

26/02/2024

04/01/2023

« Je reconnais qu’il y a eu une erreur. On n’aurait jamais dû vendre certains meubles. » Alain Caumeil, à la tête de la Direction nationale d’interventions domaniales (DNID), ne le nie pas. Le mobilier du château de Grignon dans les Yvelines, berceau de l’agronomie française depuis Charles X (1826) et classé monument historique depuis 1941, n’aurait pas dû quitter ses murs dans ces circonstances.

(…)

« La cession réalisée est illégale, confirme le ministère de l’Agriculture. Une procédure en nullité de vente pour les fauteuils et canapés réalisés par l’ébéniste Jean Baptiste Sené ainsi que la console va être introduite. » « L’erreur » qu’il reconnaît dans l’organisation de ces enchères, c’est d’avoir aveuglément fait confiance à l’école agronomique. Venues pour des véhicules et du matériel agricole à vendre, les équipes de la DNID auraient appris, une fois sur le site de Grignon, qu’elles devaient aussi gérer la vente de plusieurs meubles. Mais le mobilier en question est entassé dans une pièce de stockage depuis plusieurs décennies. Faute de pouvoir y avoir accès, les organisateurs se fient aux dires d’AgroParisTech qui fournit lui-même des photos floues et présente les objets comme étant « de style » au lieu de leur accorder leur caractère « d’époque ». Résultat, une console en bois de 1780 est mise à prix à 40 euros et adjugée en ligne à 2 250 euros… avant de partir à 13 000 euros quatre mois plus tard lors d’une vente organisée à l’hôtel Drouot. (…)

(…)

L’association pointe « une chaîne de défaillances » à l’origine de « cet immense gâchis ». « Cette affaire est révélatrice d’une administration française qui perd le contact avec son histoire et finit par faire n’importe quoi, s’agace Julien Lacaze, son président. Il s’agit d’une énorme erreur d’appréciation, suivie de décisions émanant de technocrates incultes. » Le 15 novembre, Sites et monuments a adressé un courrier aux ministères de l’Agriculture, de l’Économie et de la Culture, pour réclamer « une mission d’inspection conjointe » susceptible d’éclaircir « la nature des dysfonctionnements intervenus ».

(…)

L’avenir du domaine de Grignon toujours en suspens
Dans son écrin de 300 ha le vieux château de Grignon ne sait toujours pas quel avenir on lui réserve. (…) Depuis mi-décembre, le château abrite un centre d’accueil pour les sans-abri, géré par Emmaüs Solidarité. (…)

Le Parisien

 

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