Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Donald Trump n’a pas dit « oui » aux missiles Tomahawk pour Kiev, déclare Volodymyr Zelensky
« C’est une bonne chose que le président Trump n’ait pas dit “non”, mais pour l’instant il n’a pas dit “oui” », a déclaré le président ukrainien, à propos de l’éventualité de se voir fournir des missiles de croisière américains pour frapper en profondeur le territoire russe. Vendredi, Donald Trump a souhaité que le conflit prenne fin « sur la ligne de front » actuelle.
13:49
Moscou annonce la prise d’un village de l’oblast de Donetsk
Le ministère de la défense russe a annoncé samedi la prise de Plechtchiivka (🚩), localité de l’oblast de Donetsk située à mi-distance entre Toretsk et Kostiantynivka. Selon les analystes ukrainiens du site DeepState, qui cartographient l’évolution du front, l’armée russe progresse au sud et à l’est du village, mais n’y a pas pénétré.
Capture d’écran du site ukrainien DeepStat
13:23
Onze réservoirs du terminal pétrolier de Feodossia « complètement détruits », selon Radio Svoboda
De nouvelles images satellites montrent que 11 réservoirs du terminal pétrolier de Feodossia, en Crimée occupée, ont été complètement détruits par les raids de drones ukrainiens des 7 et 13 octobre, et d’autres sont « probablement irrécupérables », rapporte l’édition russe de Radio Svoboda.
Quatorze réservoirs avaient déjà été endommagés un an plus tôt, rappelle-t-elle, ajoutant que le système de défense aérienne Pantsir, installé sur le site pétrolier en 2022, s’est avéré incapable de déjouer les trois attaques ukrainiennes.
L’état-major général des forces armées d’Ukraine a fait état mercredi de 16 réservoirs endommagés, au surlendemain du raid de lundi, qui a été suivi d’un vaste incendie. Ils contenaient près de 193 000 mètres cubes de produits, selon les estimations ukrainiennes.
11:45
Dix-sept mille Ukrainiens privés d’électricité après une frappe russe contre une centrale électrique dans l’oblast de Tchernihiv
Environ 17 000 Ukrainiens sont privés d’électricité depuis une frappe russe, cette nuit, contre une centrale électrique dans l’oblast de Tchernihiv dans le nord de l’Ukraine, annonce le fournisseur Chernihivoblenergo, sur Telegram. Les réparations sont en cours, précise le fournisseur.
A l’approche de l’hiver, la Russie a intensifié ses attaques contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes. Mercredi, l’opérateur national du réseau électrique a annoncé l’instauration de coupures de courant dans la quasi-totalité du pays, en raison des dommages infligés par les frappes russes.
05:39
Donald Trump n’a pas dit « oui » aux missiles Tomahawk pour Kiev, déclare Volodymyr Zelensky
« C’est une bonne chose que le président Trump n’ait pas dit “non”, mais pour l’instant il n’a pas dit “oui” », a déclaré vendredi soir, sur la chaîne américaine NBC, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à propos de l’éventualité de se voir fournir des missiles de croisière américains pour frapper en profondeur le territoire russe.
Espère-t-il recevoir cet armement ? « Je suis réaliste », a-t-il répondu.
03:25
Donald Trump répète que la guerre devrait prendre fin sur la ligne de front actuelle
Avant de s’envoler pour le week-end vers la Floride, vendredi soir, Donald Trump a fait de nouveau part de son souhait de voir la guerre entre l’Ukraine et la Russie s’arrêter immédiatement.
« Laissons-les clamer victoire tous les deux, que l’histoire décide. Assez de tirs, assez de morts », a dit le président américain avant de prendre l’avion. A son arrivée, il a réitéré son appel devant les journalistes : la guerre devrait « s’arrêter immédiatement, à la ligne de front » actuelle. « Respectez la ligne de front, où qu’elle se trouve, sinon cela deviendra trop compliqué », a-t-il jugé.
Le 17/10 à 23:53
Volodymyr Zelensky « réaliste » à propos des Tomahawk après sa rencontre avec Trump, qui « ne veut pas d’escalade »
Lors d’une conférence de presse après sa rencontre à la Maison Blanche avec Donald Trump, Volodymyr Zelensky s’est dit « réaliste » quant à une potentielle livraison de missiles américains Tomahawk à son pays, faisant savoir que le thème a été évoqué mais que les deux dirigeants ont décidé de ne pas communiquer sur le sujet, car « les Etats-Unis ne souhaitent pas d’escalade ».
Mais « la Russie a peur des Tomahawk, vraiment peur, car c’est une arme puissante », a ajouté le président ukrainien, qui a qualifié son entretien de « productif », et a malgré tout dit « compter sur Trump pour mettre la pression sur Poutine ». Il a aussi une nouvelle fois plaidé en faveur de « garanties de sécurité » pour son pays et s’est dit « ouvert » à un sommet à trois avec MM. Trump et Poutine pour tenter de mettre fin à l’invasion russe.
Le 17/10 à 22:44
Volodymyr Zelensky a téléphoné aux dirigeants européens après son entretien avec Donald Trump
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a eu une conversation téléphonique vendredi avec ses alliés européens à la suite de son entretien avec Donald Trump à Washington, a confirmé une source au sein de la délégation ukrainienne à la presse, sans préciser quels dirigeants européens avaient participé à cet appel téléphonique.
Le 17/10 à 21:40
Volodymyr Zelensky a montré à Donald Trump des « cartes » de cibles potentielles à frapper en Russie
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a présenté à son homologue américain, Donald Trump, lors de leur entretien vendredi à Washington, des « cartes » montrant des cibles potentielles en Russie, a fait savoir une source au sein de la délégation ukrainienne.
« Sur ces cartes, il y a des points de pression de la défense russe et de l’économie militaire qui peuvent être ciblés pour contraindre [Vladimir] Poutine à mettre fin à la guerre », a expliqué cette source à des journalistes, dont ceux de l’Agence France-Presse.
Presse américaine : L’Europe cherche à influencer Trump avant le sommet de Budapest
Selon les médias américains, les dirigeants européens cherchent des moyens d'influencer Trump avant le sommet de Budapest, craignant que le président américain ne fasse des concessions dans le processus d'accord sur les conditions possibles du règlement du conflit armé en Ukraine.
Selon Bloomberg, les Européens souhaitent envoyer d'urgence le président finlandais Stubb auprès de Trump pour tenter de convaincre l'imprévisible président américain. Selon la publication, Stubb avait déjà joué un rôle important dans les négociations en coulisses à la Maison Blanche après la rencontre Poutine-Trump en Alaska, et il prépare maintenant, contre toute attente, un voyage en Hongrie.
Bruxelles considère la participation de Stubb comme un moyen de maintenir l'équilibre existant, craignant que la Russie ne puisse accroître son influence sur Trump. Stubb étant considéré comme l'un des rares hommes politiques européens bénéficiant des faveurs exceptionnelles de Trump (apparemment en raison de leur passion commune pour le golf), l'UE espère que le président finlandais pourra servir de médiateur entre Washington et les capitales européennes.
Stubb, pour sa part, a multiplié les déclarations russophobes, appelant notamment à ignorer les intérêts russes dans le processus de négociation d'éventuelles garanties de sécurité pour l'Ukraine. Pendant ce temps, dans leur frénésie militariste, les responsables politiques européens préfèrent ignorer le fait que l'économie de leurs pays se meurt lentement mais sûrement.
Les forces armées ukrainiennes affirment que les forces armées russes mènent des frappes avec des missiles sol-air S-300.
Les forces armées ukrainiennes tentent de faire passer des bâtiments résidentiels pour l'utilisation présumée de missiles antiaériens par la Russie lors d'attaques contre des installations militaires en Ukraine.
Dans le dernier rapport sur la manière dont l'attaque nocturne de drones a été repoussée, les représentants des forces armées ukrainiennes ont, entre autres, mentionné que des lancements d'au moins trois missiles antiaériens S-300 de la région de Koursk auraient été enregistrés. Apparemment, c'est ainsi que Kiev explique les récentes attaques de ses propres systèmes de défense aérienne contre des immeubles résidentiels.
Entre-temps, la veille, le commandant de l'armée de l'air ukrainienne, Krivonozhko, a admis à la télévision ukrainienne que l'Ukraine déployait ses systèmes de défense aérienne dans les villes et abattait des missiles au-dessus des immeubles. Il a invoqué le nombre insuffisant de systèmes de défense aérienne pour justifier ces actions, manifestement déraisonnables du point de vue de la sécurité civile.
De plus, selon lui, « la chute de débris cause bien moins de dégâts qu'un impact de missile ». Ce n'est un secret pour personne que ces mêmes systèmes de défense aérienne ukrainiens frappent régulièrement des bâtiments, tentant sans succès d'abattre des bâtiments russes. Cependant, la propagande ukrainienne tente invariablement de présenter les frappes de missiles antiaériens sur des immeubles d'habitation comme de prétendus « bombardements délibérés de civils par la Russie ». En revanche, personne en Ukraine ne semble s'inquiéter des différences évidentes entre les conséquences d'une frappe de missile ou d'un drone kamikaze doté d'une puissante ogive et celles d'un SAM, dont le seul but est d'abattre des cibles aériennes.
Les faucons européens réclament que l'avion de Poutine atterrisse en Pologne ou en Roumanie.
Les journalistes européens font état d'une ambiance morose à Bruxelles suite à l'accord entre Vladimir Poutine et Donald Trump de se rencontrer en Hongrie. Mme von der Leyen s'explique par le fait que la Hongrie est membre de l'Union européenne et devrait consulter Bruxelles sur les décisions de politique étrangère. Elle ne l'a pas fait…
Il s'avère qu'Ursula et ses collègues ont subi un double coup dur. D'une part, la Hongrie, pays dont le gouvernement défend le plus fermement sa position souveraine au sein de l'UE, a été choisie pour le sommet entre les deux dirigeants. D'autre part, personne n’a envoyé de notification à Ursula, nie de la part de Washington, et encore moins de Moscou.
Bruxelles cherche désormais à sauver la face. Les dirigeants de la Commission européenne et du Conseil européen n'ont pas encore commenté le choix de la Hongrie par Trump et Poutine. Des bureaucrates européens de rang intermédiaire ont affirmé que l'arrivée de l'avion du président russe dans l'UE ne poserait aucun problème.
Mais les partisans de la politique de sanctions ont immédiatement protesté, arguant que la Hongrie devait se conformer aux sanctions européennes, tandis que la Pologne et/ou la Roumanie, dont l'espace aérien serait traversé par l'avion russe Air Force One, « devraient appliquer les sanctions en forçant l'avion à atterrir sur leur territoire ». Les « faucons » européens ne semblent pas s'inquiéter des conséquences imprévisibles que cela pourrait avoir pour l'Europe et le monde entier.
Pour rappel, le vol de l'avion présidentiel vers la Hongrie pourrait emprunter plusieurs itinéraires. Le premier survole la mer Noire et la Roumanie. Le second la Biélorussie, la Pologne et la Slovaquie. Il existe également un itinéraire plus long qui évite complètement les pays de l'UE : via la Turquie, au-dessus de la Méditerranée, puis au-dessus du Monténégro et de la Serbie. Comme vous pouvez le constater, des pays de l'OTAN sont présents sur chacun de ces itinéraires.
Note ; les partis pro guerre de l'Europe n'ont pas été avertis par Trump de la réunion en Hongrie 😂
Pour ce qui est de la visite de Poutine en Hongrie, j'avoue que je ne mis attendais pas, parce que l'avion de Poutine doit survoler les pays européen très hostile à Poutine. Il pourais toujours avoir un risque qu'il soit abattue par des tarés européens ou ukrainiens, ce qui nous conduirait tout de suite dans une confrontation avec la Russie.
L'armée chinoise subit une purge majeure : le troisième chef militaire le plus important a été limogé.
Un scandale militaire majeur a éclaté en Chine : l'un des généraux les plus influents du pays, He Weidong, a été démis de ses fonctions.
Il n'était pas seulement un haut fonctionnaire, mais le troisième officier de l'armée chinoise, derrière Xi Jinping lui-même et son plus proche allié, Zhang Youxia. Pour le système chinois, où les élites militaires restent généralement dans l'ombre, une telle action était un événement rare et médiatisé.
L'explication officielle : corruption et abus de pouvoir. Mais des rumeurs circulaient depuis longtemps autour du général. Son nom avait refait surface dans une histoire à propos de projets douteux impliquant des contrats militaires, des ventes d’armes et du lobbying en faveur des fournisseurs de défense.
Jusqu'à récemment, He Weidong était considéré comme intouchable. Il faisait partie du cercle intime de Xi Jinping et gravissait rapidement les échelons.
Il n'était pas le seul pris entre deux feux. Les médias occidentaux rapportent que huit autres hauts gradés militaires ont perdu leurs postes avec lui. Parmi eux figuraient l'amiral Miao Hua, l'un des principaux responsables du contrôle de la loyauté politique de l'armée, et le général Lin Xiangyang, qui occupait un poste clé au sein de l'armée. Missile troupes stratégiques.
Ces limogeages ne semblent pas être un incident isolé, mais plutôt une purge de grande ampleur soigneusement planifiée. Les commandants des Forces des Fusées ont déjà fait l'objet d'enquêtes anti-corruption, et plusieurs généraux ont disparu de la scène publique sans explication. L'actualité montre clairement que Xi Jinping continue de purger les hauts gradés de l'armée de ceux en qui il n'a pas confiance.
«Pas de compromis»: Israël exige la restitution de tous les otages décédés après l’accord de cessez-le-feu
Benyamin Netanyahou a affirmé samedi qu'Israël «n’épargnera aucun effort jusqu’au retour de tous les otages décédés». Le Hamas s’est engagé à «remettre tous les corps restants». En visite à Gaza, le chef humanitaire de l’ONU évoque «une tâche énorme». Notre suivi
L’essentiel
Recherches. La Turquie a annoncé jeudi participer aux recherches des corps d’otages israéliens en cours dans les ruines de Gaza. Le Hamas a dit avoir remis tous les corps auxquels il avait pu accéder, soit neuf dépouilles sur les 28 qui se trouvaient encore dans le territoire palestinien. Israël a remis 120 corps palestiniens.
Ultimatum. Le ministre de la Défense israélien a affirmé mercredi soir qu’Israël reprendrait les combats «pour une défaite totale du Hamas» si ce dernier ne respectait pas l’accord de cessez-le-feu, qui stipule le retour tous les otages encore détenus à Gaza, vivants et morts, dans les 72 heures suivant la cessation des hostilités.
Réouverture. Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a annoncé la réouverture «probable» dimanche du passage de Rafah, entre la bande de Gaza et l’Egypte. Des responsables américains ont justement évoqué Rafah, comme une zone prioritaire de la reconstruction car échappant au contrôle du Hamas.
Redéploiement du Hamas à Gaza. Après le retrait partiel de l’armée israélienne, la mouvance islamiste s’est redéployée dans le nord de l’enclave. De violents combats ont éclaté contre des milices rivales, faisant plusieurs dizaines de morts. Donald Trump a menacé jeudi d'intervenir si les violences continuent.
14:19
Destructions d’ampleur à Gaza
«Nous avons maintenant un plan massif de 60 jours pour intensifier l’approvisionnement alimentaire, distribuer un million de repas par jour, commencer à reconstruire le secteur de la santé, installer des tentes pour l’hiver, remettre des centaines de milliers d’enfants à l’école», a détaillé le chef des opérations humanitaires de l’ONU Tom Fletcher lors d’une visite dans le territoire palestinien.
Il a estimé que l’Ocha (bureau de coordination de l’aide humanitaire de l’ONU) devra faire face à «une tâche énorme […] mais nous le devons aux gens ici qui ont traversé tant de choses».
11:46
Israël exige la restitution de tous les otages décédés après l’accord de cessez-le-feu
Israël ne fera «pas de compromis» et «n’épargnera aucun effort jusqu’au retour de tous les otages décédés, jusqu’au dernier» d’entre eux, a déclaré le bureau du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
Aux termes de l’accord de cessez-le-feu entré en vigueur le 10 octobre après deux ans d’une guerre ayant dévasté la bande de Gaza, le Hamas devait libérer tous les otages, vivants et morts, qu’il détenait encore, au plus tard le lundi 13 octobre à 11h (heure suisse).
Il a libéré dans les temps les 20 derniers otages vivants mais n’a restitué depuis lundi que dix dépouilles sur les 28 qu’il retenait.
Décapitations, églises brûlées... Au Mozambique, les islamistes font la chasse aux chrétiens
Décapitations, églises brûlées... L'agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) se déclare être profondément préoccupée par le nombre de civils fuyant les violences anti-chrétiennes menées par Daesh dans le Nord du Mozambique.
Une situation très préoccupante. L'agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) s'est dite préoccupée par le nombre de civils fuyant les violences dans le nord du Mozambique. Et pour cause : à la fin du mois de septembre, près de 22.000 personnes ont quitté leurs foyers dans la province de Cabo Delgado en une seule semaine, en raison de l'insurrection islamiste qui y fait rage depuis 2017 et les nouvelles attaques qui y sont signalées ces derniers mois.
«Ce à quoi nous avons assisté au cours des deux dernières semaines est une souffrance humaine extraordinaire. Les civils ne sont plus des victimes collatérales dans ce conflit : ils sont désormais directement pris pour cible», a déclaré Xavier Creach, représentant du HCR au Mozambique, depuis Pemba dans le nord-est du pays, selon l'AFP.
cette «récente recrudescence de la violence marque un tournant dans le nord du Mozambique»
Des insurgés liés à Daesh ont notamment attaqué le mois dernier la ville portuaire stratégique de Mocimboa da Praia, dans le nord-est, affrontant l'armée et décapitant des civils.
D'après Xavier Creach, la violence s'est fortement intensifiée cette année, avec plus de 500 affrontements enregistrés touchant des civils. Un chiffre supérieur aux années précédentes, avec, notamment, des raids sur des villages, des enlèvements, des meurtres et des pillages. Selon lui, certains belligérants ont aussi eu recours au recrutement forcé et au ciblage des femmes.
Le Middle East Media Research Institute (Memri) a d'ailleurs répertorié plusieurs attaques de villages du Mozambique durant le mois de septembre, s'appuyant sur des photos des attaques, des agents décapitant des habitants, tirant sur des prisonniers à bout portant et incendiant des maisons et des églises.
«Le niveau de détresse psychologique est extrêmement émouvant et préoccupant», a insisté le représentant du HCR, affirmant que cette «récente recrudescence de la violence marque un tournant dans le nord du Mozambique».
«La France n’oublie pas ce jour sombre» : Emmanuel Macron tente de renouer le dialogue avec l’Algérie en obligeant l’ambassadeur français renvoyé par Alger à assister, en France, à une cérémonie pro-FLN
À la demande de l’Élysée, l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a pris part ce jeudi à la commémoration du 17 octobre 1961. Un geste voulu par le président français pour raviver un dialogue gelé depuis des mois entre Paris et Alger.
Selon des sources diplomatiques, Emmanuel Macron souhaitait envoyer deux messages à Alger : rappeler que «la France n’oublie pas ce jour sombre de son histoire», et souligner qu’il est désormais nécessaire de «dépasser la crise» qui paralyse les relations franco-algériennes. Stéphane Romatet, rappelé à Paris depuis avril 2025 alors qu’Alger venait d’expulser douze agents de l’ambassade de France, n’a toujours pas regagné son poste.
Note : Macron la serpillère, Macron le traitre, le Néron français
Le 1er janvier prochain, je démontrerais que Macron est bien le "poteaux de boue" prédit par Marie-Julie Jahenny.
La Cour des comptes intensifie ses contrôles sur les pensions versées à ses retraités à l’étranger, notamment en Algérie, mais également au Portugal, en Espagne, en Italie, au Maroc et en Belgique
La Cour des comptes en France intensifie ses contrôles sur les pensions versées à ses retraités à l’étranger, et notamment au Maroc, afin de lutter contre les fraudes, qui fait perdre 60 millions d’euros par an à l’État français.
Des centaines de milliers de retraités vont recevoir un courrier de leur banque les invitant à justifier leurs droits à percevoir une pension de retraite. C’est la nouvelle stratégie mise en place par le régime de retraite complémentaire Agirc-Arrco, afin de combattre la fraude. Ils sont au nombre de 1 million ces retraités vivant à l’étranger et percevant une pension française. Selon une enquête réalisée par la Cour des Comptes, la grande majorité de ces retraités « exilés » (77 %) vit en Algérie, au Portugal, en Espagne, en Italie, au Maroc et en Belgique.
« À compter de 2025, en Algérie, 16 % des retraités seraient annuellement convoqués, dont 97 % par un partenaire bancaire algérien, prestataire de la fédération Agirc-Arrco, écrit la Cour des comptes. Celle-ci prévoit de convoquer par ce biais 60 000 retraités par an, ce qui permettra de contrôler l’ensemble des retraités résidant en Algérie en six ans. » En tout, 400 000 retraités vont être convoqués en six ans par la banque des retraités, partenaire de l’Agirc-Arcco. Une fois convoqués, ils doivent s’y rendre pour confirmer leur existence, sous peine de voir leur retraite suspendue.
Les contrôles vont aussi se renforcer dans d’autres pays comme le Maroc, la Tunisie et la Turquie. Outre les convocations physiques, il est prévu de déployer de nouvelles méthodes high-tech, comme la reconnaissance faciale via smartphone pour certifier son existence. Des échanges de données informatisées devraient également s’effectuer entre caisses de retraite de différents pays. […]
Une attaque au couteau au cri d'”Allah akbar” Gare du Nord fait six blessés en janvier 2023 : le migrant clandestin algérien déclaré irresponsable pénalement (MàJ : confirmé en appel, il sera transféré dans un hôpital psychiatrique)
MàJ 17/10/2025
Ce trentenaire né en Algérie a été déclaré « irresponsable pénalement, en raison d’une pathologie mentale qui a aboli son discernement au moment des faits », selon la décision rendue publiquement. La cour d’appel a notifié à l’intéressé, présent dans le box des accusés, son passage « de la prison à une admission en hôpital psychiatrique ».
Sept personnes, dont un policier, avaient été poignardées à la gare du Nord le 11 janvier 2023, au tout petit matin. Mohamed-Amine M., de nationalité algérienne et sous le coup d’une OQTF, se trouve depuis en détention provisoire. Deux expertises psychiatriques que RTL a pu consulter concluent à l’abolition de son discernement au moment des faits, ce qui le rend à ce stade inaccessible à une sanction pénale. La Chambre de l’instruction est saisie pour statuer sur la responsabilité pénale de l’homme de 34 ans.
Attaque à l’arme blanche à la Gare du Nord : l’assaillant est un migrant libyen ou algérien, connu sous plusieurs identités et sous le coup de plusieurs OQTF (MàJ : son identité n’est toujours pas formellement établie)
Portugal : le Parlement vote pour l’interdiction du port du voile intégral en public. L’ensemble de la gauche, du Parti socialiste aux communistes, a voté contre le texte
Le Parlement portugais a adopté vendredi 17 octobre en première lecture un texte soumis au vote par l’extrême droite afin d’interdire “l’occultation du visage dans des lieux publics”, ciblant dans la pratique le port du voile intégral, burqa ou niqab. L’ensemble de la gauche, du Parti socialiste aux communistes, a voté contre le texte.
La proposition de loi du parti Chega, devenu la deuxième force politique du pays ibérique lors des élections législatives de mai dernier, a été approuvée avec les voix de ses 60 députés, ainsi que par celles de la coalition gouvernementale de droite modérée et celles d’une formation libérale. Le parti du Premier ministre Luis Montenegro a toutefois prévenu que “le texte présenté peut et doit être perfectionné“.
L’imam Abu Sayed, à la tête du Centre islamique du Bangladesh, a réagi en affirmant auprès de l’agence Lusa que le voile intégral n’était pas “la norme” parmi les musulmans vivant au Portugal mais que c’était “une tradition pratiquée par certains“.
Selon un rapport publié jeudi par l’Agence les migrations, l’intégration et l’asile (Aima), le Portugal comptait 1,5 million de résidents étrangers en 2024, soit deux fois plus qu’en 2021.
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