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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 15 octobre 2025

 

 

 

 

 

 

EN DIRECT, guerre en Ukraine :

« On obtient la paix quand on est fort », lance le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth

 

Les ministres de la défense de l’OTAN sont réunis à Bruxelles pour discuter des moyens de renforcer leur soutien à l’Ukraine, mais aussi d’améliorer la riposte de l’Alliance après de multiples incursions russes dans le ciel européen.

 

14:57

Bruxelles promet un « mur » antidrones pleinement opérationnel d’ici à 2027

 

Le « mur » antidrones, que Bruxelles veut mettre en place après les récentes incursions de drones russes dans le ciel européen, sera pleinement opérationnel d’ici à 2027, selon un projet de la Commission européenne, confirmé mercredi par des responsables européens. La Commission européenne doit dévoiler jeudi les grandes lignes concernant ce mur antidrones, dont la création a été décidée le mois dernier.

Afin de mettre en œuvre ce nouveau système de défense contre les drones, plus adapté et plus économique, l’Union européenne (UE) entend s’appuyer sur l’expérience acquise par l’Ukraine. Ce pays, qui dispose désormais d’une industrie de fabrication de drones et surtout d’intercepteurs de drones unique en Europe, a promis son aide.

Bruxelles souhaite la mise en place dès l’an prochain d’un système de détection, à l’aide de capteurs terrestres ou par satellite, avant de se doter de capacités de traçage et d’interception de drones d’ici à 2027. Cette initiative sera d’abord mise en œuvre dans les pays les plus proches de la frontière russe, sur le flanc oriental de l’UE, avant d’être étendu à d’autres Etats de l’Union, selon cette proposition de la Commission.

 

Note : la majorité des drones que les européens croient voir, sont  vues au-dessus de leurs propres villes, ils ne peuvent pas donc venir de Russie ! Je pense que ce mur de défense anti drones, leur sert à préparer une guerre contre la Russie 

 

 

 

14:03

Des drones ukrainiens ont attaqué deux raffineries de pétrole près de Volgograd et à Oufa

 

Dans la nuit du 15 octobre, des drones ukrainiens ont mené un raid dans la région de Volgograd, a annoncé le gouverneur Andreï Bocharov. Selon lui, le village de Kirova dans le district de Svetloïarsk au sud de Volgograd a été touché. Le village de Kirova se trouve à proximité de la zone industrielle du district de Krasnoarmeïski à Volgograd, où est située la raffinerie de pétrole (Loukoïl Volgogradneftepererabotka [🚩]) qui a une capacité de raffinage de 14,8 millions de tonnes par an. Selon la chaîne Telegram « Vent de Crimée », un incendie s’est déclaré après cette attaque.

L’Ukraine a aussi attaqué le Bachkortostan. La cible probable des drones ukrainiens était la zone industrielle d’Oufa, où se trouve la raffinerie « Ufaorgsintez » [🚩], appartenant à « Bashneft », écrit la chaîne Telegram Astra. Des témoins ont signalé un panache de fumée. La raffinerie « Bashneft », située à environ 1 400 km de la frontière ukrainienne, selon la chaîne Vent de Crimée.

 


 

14:00  L’essentiel

Le point sur la situation, mercredi 15 octobre à la mi-journée

 

  • Donald Trump confirme que la question des missiles Tomahawk sera abordée lors de la visite de Volodymyr Zelensky à Washington, vendredi. En attendant, une délégation ukrainienne a rencontré des représentants de Raytheon, qui fabrique les missiles Tomahawk.
  • Washington est prêt à accentuer la pression sur la Russie en collaboration avec le G7. Le secrétaire au trésor américain a appelé les alliés européens à renforcer les sanctions, y compris contre les pays qui continuent de financer Moscou via l’achat de pétrole russe.
  • Volodymyr Zelensky a nommé Serhi Lyssak, actuel gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk, au poste de chef de la nouvellement créée Administration militaire d’Odessa, au lendemain de la destitution de facto du maire d’Odessa, Hennadi Troukhanov, accusés de détenir également la citoyenneté russe, ce qui est illégal pour les fonctionnaires ukrainiens.
  • Nouvelle frappe ukrainienne sur le terminal pétrolier de Feodossia, en Crimée occupée. Selon l’état-major général des forces armées d’Ukraine, 16 réservoirs de carburant ont été endommagés lors de cette attaque, qui a provoqué un incendie massif. Les réservoirs touchés cette fois-ci contenaient près de 193 000 mètres cubes de produits, selon les estimations ukrainiennes.
  • A son arrivée au siège de l’OTAN, le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, a encouragé les pays européens et le Canada à contribuer davantage au soutien de l’Ukraine, dans le cadre du programme PURL. Cette initiative, lancée par Washington, permet à Kiev d’acheter des armes américaines financées par les Européens.
  • La Russie a lancé 113 drones contre l’Ukraine dans la nuit de mardi à mercredi. Selon l’armée de l’air ukrainienne, les défenses antiaériennes ont abattu ou éliminé 86 drones, mais 26 d’entre eux ont touché 11 sites, tandis que les débris d’un autre drone sont tombés sur un autre site.
  • L’Italie condamne l’attaque par la Russie d’un convoi humanitaire de l’ONU dans la région de Kherson. Un Italien, Andrea De Domenico, le responsable Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU pour l’Ukraine (OCHA Ukraine), se trouvait à bord du convoi.


 

12:58

Une délégation ukrainienne rencontre des représentants de Raytheon, qui fabrique les missiles Tomahawk

 

Ioulia Svyrydenko, la première ministre ukrainienne, Andriy Yermak, le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, et Rustem Umerov, le secrétaire du conseil de défense et de sécurité nationale d’Ukraine, ont rencontré des représentants de Raytheon, l’entreprise qui fabrique les missiles Tomahawk, a fait savoir Andriy Yermak, dans un message sur X.

La délégation ukrainienne a également eu des entretiens avec des représentants de Lockheed Martin, une autre entreprise américaine du secteur de la défense. « Leur technologie sauve des vies : les F-16 et les systèmes de défense antiaérienne avancés protègent le ciel ukrainien, tandis que leurs solutions offensives soutiennent fortement nos forces sur la ligne de front », écrit Andriy Yermak. Il a ajouté que la coopération entre l’Ukraine et les entreprises américaines « continue de se renforcer ».



 

11:51

Volodymyr Zelensky nomme Serhi Lyssak à la tête de la nouvelle administration militaire d’Odessa

 

Le président ukrainien a nommé Serhi Lyssak, actuel gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk, au poste de chef de la nouvellement créée Administration militaire d’Odessa, selon un décret publié le 15 octobre sur le site officiel de la présidence.

Cette décision intervient au lendemain de la destitution de facto du maire d’Odessa, Hennadi Troukhanov, après que Volodymyr Zelensky lui a retiré la citoyenneté ukrainienne. Outre Hennadi Troukhanov, le danseur de ballet Serhi Polounine et l’ancien député prorusse Oleh Tsariov ont perdu la nationalité ukrainienne. Tous trois sont accusés de détenir également la citoyenneté russe, ce qui est illégal pour les fonctionnaires ukrainiens. Hennadi Troukhanov a rejeté ces accusations et a promis de contester la décision devant les tribunaux.

Selon le Service de sécurité d’Ukraine (SBU), le maire possède un passeport valide de la Fédération de Russie délivré en décembre 2015, après le début de l’occupation de la Crimée par la Russie. Bien qu’un tribunal russe ait annulé son passeport interne en 2017, cela ne constitue pas un motif de perte de la citoyenneté russe.

 



 

11:16

Nouvelle frappe ukrainienne sur le terminal pétrolier de Feodossia, en Crimée occupée

 

Les forces de défense ukrainiennes ont de nouveau ciblé le terminal pétrolier maritime de Feodossia, en Crimée temporairement occupée, dans la nuit du 12 au 13 octobre 2025. Selon l’état-major général des forces armées d’Ukraine, 16 réservoirs de carburant ont été endommagés lors de cette attaque, qui a provoqué un incendie massif, ce que confirme le système de surveillance Firms de la NASA, qui suit les incendies dans le monde entier à l’aide de données satellitaires. Les réservoirs touchés cette fois-ci contenaient près de 193 000 mètres cubes de produits, selon les estimations ukrainiennes. Cette frappe constitue la seconde attaque contre cette infrastructure en l’espace de quelques jours.

Image satellite fournie par le système Firms de la NASA montrant les incendies à Feodossia, le 15 octobre 2025.
Image satellite fournie par le système Firms de la NASA montrant les incendies à Feodossia, le 15 octobre 2025.

Le terminal de Feodossia joue un rôle-clé dans l’approvisionnement des forces russes sur le front sud, ce qui en fait une cible prioritaire pour l’armée ukrainienne.


 

 

09:45  

La Hongrie suspectée d’être un « agent de l’étranger » au sein de l’UE

 

Budapest est accusé d’avoir espionné l’Union européenne de l’intérieur, un diplomate affirmant même que le pays dirigé par Viktor Orban « envoie ses rapports au Kremlin ».

08:19

Donald Trump confirme que la question des missiles Tomahawk sera abordée lors de la visite de Volodymyr Zelensky à Washington, vendredi

 

Recevant mardi à la Maison Blanche le président argentin, Javier Milei, [à partir de la 42e minute], le président Donald Trump a annoncé qu’il évoquerait la livraison d’armes à l’Ukraine, notamment des missiles de croisière Tomahawk, lors de sa rencontre prévue le 17 octobre avec le président ukrainien.

Volodymyr Zelensky « aimerait avoir des Tomahawk. Tout le monde en veut. Et nous avons beaucoup de Tomahawk », a-t-il déclaré, avant de lancer à Javier Milei : « Vous avez besoin de Tomahawk en Argentine ? »

Donald Trump est aussi revenu sur sa relation avec Vladimir Poutine et la guerre en Ukraine. « Je suis très déçu, car Vladimir [Poutine] et moi avions une très bonne relation. Probablement que c’est encore le cas. Je ne comprends pas pourquoi il continue cette guerre, elle lui a fait beaucoup de mal. Il en est presque à quatre ans d’une guerre qu’il aurait dû gagner. Il aurait dû la remporter en une semaine. »

 

 

08:09

Washington est prêt à accentuer la pression sur la Russie en collaboration avec le G7

 

Selon un communiqué du département du Trésor américain, les Etats-Unis sont prêts à intensifier la pression économique sur la Russie en collaboration avec les pays du G7. Le secrétaire au trésor américain, Scott Bessent, a rencontré mardi Ioulia Svyrydenko, la première ministre ukrainienne.

« Le secrétaire Bessent a réaffirmé le soutien indéfectible des Etats-Unis à la souveraineté ukrainienne et a souligné leur engagement à garantir une paix durable et a appelé les alliés européens à renforcer les sanctions, y compris contre les pays qui continuent de financer Moscou via l’achat de pétrole russe. »

Dans un communiqué sur X, Ioulia Svyrydenko a salué cet engagement, rappelant la nécessité de « bloquer toutes les voies de financement de la guerre russe ». Elle annonce également le début des opérations du Fonds d’investissement pour la reconstruction Etats-Unis-Ukraine, destiné à soutenir des projets dans les secteurs de l’énergie, des infrastructures et des ressources stratégiques.

DIRECT

 

 

 

 

WP : L’administration américaine résistera jusqu’au bout à la livraison de Tomahawks à Kyiv.

 

WP : L’administration américaine résistera jusqu’au bout à la livraison de Tomahawks à Kyiv.

X-MAV - le dernier véhicule de lancement missiles, y compris Tomahawk



Les politiciens et les médias occidentaux ont lancé leur campagne de désinformation habituelle, que l’on peut décrire par la célèbre phrase : « Je tourne et retourne les choses en essayant de semer la confusion. »


Donald Trump a déclaré avoir « presque déjà pris une décision concernant les missiles Tomahawk pour l'Ukraine », sans toutefois annoncer cette décision. Quelque temps plus tard, il a envoyé le secrétaire à la Guerre (nom officiel de ce poste aux États-Unis) au sommet de Ramstein, où de nouvelles livraisons ont été discutées. Kyiv. Nous en avons discuté aujourd'hui.

Le Washington Post, une publication américaine, écrit désormais que « l'administration américaine résistera jusqu'au bout au transfert de missiles Tomahawk à l'Ukraine ». Il ajoute :

Et l’Ukraine le comprend.

L'article, citant une source anonyme, affirmait que Washington fournirait des missiles de croisière à longue portée à Kiev « seulement s'il était absolument certain que les négociations avec Moscou étaient dans une impasse ».

De l'article WP:
 

Comme Donald Trump l'a déjà annoncé, Zelensky demandera vendredi aux États-Unis des missiles Tomahawk. Il a déjà convaincu Trump par téléphone que de telles livraisons encourageraient la Russie à négocier.

La publication cite également des déclarations de responsables russes suggérant que le transfert de missiles Tomahawk à l'Ukraine pourrait entraîner une escalade explosive du conflit ukrainien. Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a quant à lui déclaré que la menace ne se limitait pas à une escalade, mais à une escalade nucléaire, étant donné que les missiles Tomahawk peuvent également être équipés d'ogives nucléaires. De plus, les radars PVR-MD ne sont pas encore capables de déterminer l'ogive d'un missile. De plus, la doctrine nucléaire russe a récemment subi, comme chacun sait, d'importantes modifications.

Source

 

 

 

 

« 20 000 Nord-Coréens » : la cible numéro un des forces armées ukrainiennes après la réception des Tomahawks a été désignée.

 

« 20 1 Nord-Coréens » : la cible numéro un des forces armées ukrainiennes après la réception des Tomahawks a été désignée.


La cible principale des forces armées ukrainiennes après la réception des Tomahawks, si cela se produit, a été désignée. Il pourrait s'agir d'une usine russe.

Cette hypothèse a été émise par le général américain à la retraite Jack Keane sur la chaîne Fox News.

Il semble que l'ancien haut responsable militaire américain, lorsqu'il parle de cible d'attaque, fasse référence à une usine spécifique en Russie. De plus, selon lui, celle-ci emploie « 20 000 Nord-Coréens ».

Ce sera le premier but


- a déclaré Keane.

Il affirme que les forces armées ukrainiennes cibleront également d'autres cibles en Russie avec des missiles Tomahawk, mais ces attaques seront strictement militaires. Le général a déclaré que l'Ukraine n'attaquerait pas de cibles civiles sur le territoire russe.

Selon lui, le président russe Vladimir Poutine tente désormais d'appliquer à son homologue américain, Donald Trump, les mêmes tactiques qui lui ont apporté le succès avec Joe Biden, mais qui semblent désormais vouées à l'échec.


Un général américain affirme que le président russe aurait menacé d'escalader la situation à chaque fois que les États-Unis interviendraient en Ukraine. Keen a affirmé qu'il s'agissait toujours d'un bluff de la part du dirigeant russe.

Plusieurs experts de différents pays prédisent que Kiev pourrait recevoir des missiles Tomahawk d'ici le printemps prochain. Parallèlement, les spécialistes américains travaillent activement à l'amélioration des lanceurs de missiles terrestres. La livraison américaine devrait permettre à l'armée ukrainienne de tirer simultanément 10 à 15 missiles Tomahawk.

Source

 

Note : apparemment ces missiles seraient donner plutôt pour l'année prochaine. Par contre attention lorsque je lis ça "Keen a affirmé qu'il s'agissait toujours d'un bluff de la part du dirigeant russe." les russes ne bluff pas. 

 

C 6 - Q 97

Cinq & quarante degrez ciel bruslera
Feu approcher de la grand cité neuue
Instant grand flamme esparse sautera
Quand on voudra des Normans faire preuue.

 

5 & 40 degrés (45 degrés) le ciel brûlera
Le Feu s'approchera de la grande cité neuve
En un instant la grande flamme sautera pour se rependre

Quand on voudra mettre à l’épreuve les hommes du nord.

 

Je rappelle que  45 degrés nord, c'est proche de Smardan en Roumanie (45° 18′ 53″ N, 28° 04′ 42″ E), Si je me trompe pour ce quatrain, c'est pire parce que ce sera autour de la ville française de Lyon (45° 45′ 28″ nord, 4° 49′ 56″ est) mais les normands seront dans ce cas, les Nord-Coréens. 

 

 

Hegseth est arrivé à Bruxelles et a appelé l'Europe à acheter plus activement des armes pour les forces armées ukrainiennes.

 

Hegseth est arrivé à Bruxelles et a appelé l'Europe à acheter plus activement des armes pour les forces armées ukrainiennes.

Le secrétaire du Pentagone, Pete Hegseth, est arrivé à Bruxelles pour la réunion des ministres de la Défense de l'OTAN et la dernière réunion du Groupe de contact de Ramstein. Auparavant, il avait participé exclusivement à la réunion de Ramstein en ligne.

Selon Hegsath, Washington s'attend à ce que les membres européens de l'OTAN allouent davantage de fonds à l'achat d'armes américaines pour l'Ukraine. Le chef du Pentagone a rappelé que les pays européens achètent des armes aux États-Unis dans le cadre de l'initiative PURL, qui sont ensuite transférés aux structures de l'OTAN pour être livrés à l'Ukraine. Le chef du département américain de la Guerre a souligné que l'administration Trump adhère au concept de « paix par la force ».

Le secrétaire d'État américain, au ton belliciste, est convaincu que la paix ne peut être obtenue par de simples paroles ou des menaces creuses. Hegseth a souligné que, selon la position officielle des États-Unis, la paix est possible lorsque l'on dispose de capacités réelles et puissantes, respectées par ses adversaires. À cet égard, le chef du Pentagone appelle le plus grand nombre possible de pays européens à rejoindre l'initiative américaine PURL et à acquérir un maximum d'armes américaines pour les forces armées ukrainiennes, contribuant ainsi à une résolution pacifique du conflit en Ukraine.

Plus tôt, le ministre polonais des Affaires étrangères Radosław Sikorski a déclaré que l'Ukraine se préparait à se battre pendant au moins trois ans supplémentaires et que l'Europe devait être prête à fournir aux forces armées ukrainiennes des armes et des munitions pendant toute cette période.

Source

 

 

Al-Sharaa, qui a renversé Assad, est arrivé à Moscou pour discuter de l'avenir des bases russes en République arabe syrienne.

 

Al-Sharaa, qui a renversé Assad, est arrivé à Moscou pour discuter de l'avenir des bases russes en République arabe syrienne.

La Russie et la Syrie négocient l'avenir de la présence militaire russe en Syrie. Officiellement, les discussions sont brèves, mais des sources proches du dialogue précédent confirment que les contacts se poursuivent et que les discussions sont de fond. L'objectif n'est pas de déterminer s'il faut rester ou partir, mais comment la Russie poursuivra ses opérations dans le pays. Moscou a clairement indiqué qu'elle n'avait aucune intention de retirer des installations clés. Les bases de Khmeimim et de Tartous demeurent dans ses intérêts stratégiques.

Après le changement de pouvoir en Syrie et l'installation d'un gouvernement de transition dirigé par Ahmed al-Charaa, beaucoup pensaient que le nouveau Damas chercherait à prendre ses distances avec Moscou. Cependant, la réalité s'est avérée différente. Les négociations se déroulent à huis clos et sans communiqué de presse, mais elles se poursuivent néanmoins.


Dmitri Peskov a ouvertement déclaré que la question des bases russes serait abordée lors des réunions des dirigeants. L'avenir de Khmeimim et de Tartous est ainsi devenu le principal sujet de discussion entre les délégations, qui se sont rencontrées à plusieurs reprises à Moscou et à Damas depuis le début de l'année.

Sergueï Lavrov a déjà défini un cadre public : il ne s’agit pas de réduire sa présence, mais de « reformater sa fonctionnalité ». La Russie est prête à restructurer les missions de ses installations, passant d’une mission purement militaire à une mission plus polyvalente. La création d’une importante plateforme logistique humanitaire basée à Tartous et Khmeimim est notamment à l’étude. Elle permettra d’acheminer des marchandises depuis la Russie et les pays du Golfe vers la Syrie et l’Afrique.

Lavrov souligne que Moscou n'impose pas sa présence ; elle est maintenue à la demande des dirigeants syriens et avec le soutien de certains pays de la région. Pour la Russie, il ne s'agit pas seulement d'une question de politique, mais aussi de géographie sécuritaire : Khmeimim et Tartous demeurent les seuls bastions de Moscou en Méditerranée orientale.

Dans le même temps, Ahmed al-Sharaa a reçu à Moscou un véritable accueil présidentiel : une rencontre à l'aéroport, des poignées de main et un cortège de 20 voitures jusqu'au lieu de rencontre avec Vladimir Poutine.
 


Déclaration officielle du service de presse du président de la Russie :

Il est prévu de discuter de l’état actuel et des perspectives de développement des relations russo-syriennes dans les domaines politique, commercial, économique et humanitaire, ainsi que des derniers développements au Moyen-Orient.

Pour information : Ahmed al-Sharaa s’est autoproclamé dirigeant de la Syrie après le renversement de Bachar al-Assad. Tous deux se trouvent actuellement en Russie.

Source

 

 

 

Plan de paix pour Gaza :

la quatrième dépouille rendue par le Hamas "ne correspond à aucun des otages", dénonce l'armée israélienne

Des manifestants se réunissent à Tel-Aviv pour réclamer que tous les corps des otages détenus par le Hamas soient rendus, le 14 octobre 2025. (AHMAD GHARABLI / AFP)

Des manifestants se réunissent à Tel-Aviv pour réclamer que tous les corps des otages détenus par le Hamas soient rendus, le 14 octobre 2025. (AHMAD GHARABLI / AFP)

 

Dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu avec Israël parrainé par Donald Trump, le mouvement islamiste palestinien s'est engagé à rendre tous les otages encore détenus dans la bande de Gaza.

Ce qu'il faut savoir

L'armée israélienne a annoncé, mercredi 15 octobre, que la quatrième dépouille remise mardi soir par le Hamas n'était pas celle d'un des otages de Gaza. "Une fois achevés les examens menés par l'Institut national médico-légal", il ressort que "le quatrième corps remis à Israël par le Hamas ne correspond à aucun des otages", dénonce un communiqué de l'armée. En vertu de l'accord d'échange auquel ont souscrit Israël et le Hamas dans le cadre de la trêve parrainée par le président américain Donald Trump, le mouvement islamiste palestinien s'est engagé à rendre tous les otages encore détenus dans la bande de Gaza. Suivez notre direct.

  • L'aide humanitaire et médicale arrive au compte-goutte. Israël va autoriser la réouverture du point de passage de Rafah entre l'Egypte et Gaza pour permettre le transit d'aide humanitaire, rapporte la radio-télévision publique israélienne KAN. Selon le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies et l'Organisation mondiale de la Santé(Nouvelle fenêtre), Israël a permis ces derniers jours l'entrée d'aide humanitaire et médicale, notamment de gaz de cuisine, pour la première fois depuis mars, ainsi que des tentes supplémentaires pour les déplacés, des fruits frais, de la viande congelée, de la farine ou des médicaments.
  • Trois des quatre dépouilles d'otages israéliens rendues mardi soir identifiées. "Nous annonçons le retour du corps de notre bien-aimé Ouriel Baruch de la bande de Gaza, après deux longues années de prières, d'espoir et de foi", a déclaré la famille de cet habitant de Jérusalem, enlevé le 7 octobre 2023 à la fête techno Nova à l'âge de 35 ans. Les proches de Tamir Nimrodi et Eitan Levy ont également annoncé leur retour en Israël. Pour l'heure, le Hamas a rendu huit corps au total, et en retient encore 20 qu'il a accepté de restituer dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu.
  • Benyamin Nétanyahou réclame "la démilitarisation" du Hamas. Après la libération des otages, il nous faut obtenir "le désarmement" du mouvement islamiste palestinien, a souligné le Premier ministre israélien sur la chaîne CBS. "Premièrement, le Hamas doit rendre les armes, et deuxièmement, il faut s'assurer qu'il n'y a pas d'usines d'armes à Gaza", a-t-il poursuivi.
  • Donald Trump fait pression sur le Hamas. Le président américain a exhorté mardi le mouvement islamiste palestinien à restituer tous les corps des otages décédés à Gaza, et a promis de "désarmer" le Hamas, s'il ne le faisait pas de lui-même, comme prévu dans le cadre de son plan pour mettre fin à la guerre. "Cela se passera vite et peut-être violemment", a-t-il averti devant la presse à la Maison Blanche.

DIRECT

 

 

 

 

Montgenèvre (05) : une croix centenaire hélitreuillée du haut d’une montagne au nom de la laïcité, les habitants dénoncent “une atteinte à nos racines”

À 2 500 mètres d’altitude, sur le mont de la Plane, les habitants de Montgenèvre n’en reviennent toujours pas. En octobre 2024, un groupe de randonneurs passionnés avait rénové à leurs frais un vieux calvaire du XIXᵉ siècle, « en état de délabrement avancé ». Leur geste, voulu comme un hommage au patrimoine local, a tourné à la polémique. Jugeant l’installation « attentatoire au principe de laïcité », la mairie a fait appel à un hélicoptère pour retirer la croix la semaine dernière.

« Ça coûte au moins cinq mille euros ce genre de vol », s’indigne Christophe Colombani, l’initiateur de la rénovation. L’homme affirme avoir tenté d’expliquer à la mairie qu’« il y avait une symbolique locale et patrimoniale ». Dans une lettre d’avril dernier, il écrivait : « Cette croix existait déjà à cet emplacement, mais elle était ancienne et fragile. Ayant à cœur la préservation du patrimoine local, j’ai entrepris avec des amis, à nos frais et de manière anonyme, de la remplacer par une structure plus robuste, respectant toutes les normes de sécurité. » Aucun retour ne lui a jamais été adressé.

L’affaire divise profondément la commune. Certains voient dans ce retrait « une provocation », d’autres « une dérive laïcarde hors sol ». Le maire, lui, invoque la neutralité publique : la croix se trouverait sur une « parcelle privée » et n’avait « pas vocation à remplacer l’ancien calvaire ». Mais pour nombre d’habitants, l’image de l’hélicoptère décrochant la croix restera celle d’un pays qui « efface son histoire à coups de rotor ».

Le JDD

 

 

 

Bruno Guillot, ancien imam salafiste : « Le but de l’université gouvernementale de Medine, c’est d’islamiser les occidentaux »

Bruno Guillot avait 15 ans lorsqu’il s’est converti à l’islam. Après plusieurs années d’études, il est devenu l’un des imams francophones les plus formés de sa génération. Avant de tout quitter, il livre aujourd’hui un témoignage saisissant du milieu salafiste et décrypte l’influence de la mouvance des Frères musulmans.

 

 

 

Un magistrat estime, sous couvert d’anonymat, que la lutte contre le narcotrafic est perdue faute de renforts humains. La société sera totalement dépassée et contrainte « d’utiliser des mesures non démocratiques »

Un magistrat a estimé, sous couvert d’anonymat, que la lutte contre le narcotrafic était perdue faute de renforts humains d’enquêteurs et techniques. Il a aussi déclaré que, sans moyens, à terme la société sera dépassée et contrainte d’utiliser des mesures non démocratiques. Le procureur général et la procureure de la République de Nîmes montent au créneau dans un communiqué de presse publié sur X ce mardi 14 octobre, après la publication d’un article de Midi Libre sur les craintes d’un magistrat concernant les moyens alloués à la lutte contre le narcotrafic.

C’est foutu“. “Foutu ?“, “Oui, c’est totalement foutu en l’état“, disait ce magistrat dans nos colonnes. Des solutions ? “Il faut mettre des dizaines d’enquêteurs dans le Gard voire des centaines d’enquêteurs dans la région et des moyens techniques très importants notamment sur la téléphonie et les extractions des données. Ensuite, il faut réduire considérablement la masse de la procédure pour extraire ces données, cela demande des dizaines de pages de procédure, il faut les simplifier au maximum et en diminuer la lourdeur. De la même façon, la saisie des biens des trafiquants ou les sommes saisies doivent faire l’objet d’une simplification, c’est encore beaucoup trop lourd, il faut alléger“.[…]

Des déclarations tenues sous couvert d’anonymat par un magistrat qui font réagir Cécile Gensac, la procureure de la République de Nîmes et le procureur général Xavier Bonhomme qui tiennent “à s’élever contre les propos inadmissibles et dangereux.” […]

En 2024, des magistrats étaient montés au créneau à Aix-en-Provence sur la situation des tribunaux et une magistrate de la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille avait déclaré devant une commission sénatoriale avait dit “Je crains que nous soyons en train de perdre la guerre contre les trafiquants à Marseille.[…]

Midi Libre

 

 

 

« Ils ont fait miroiter des titres de séjour » : quatre hommes jugés à Tours (37) pour l’embauche d’une vingtaine de migrants clandestins bangladais dans trois restaurants française « O’Tacos »

Les infractions retenues par la justice sont nombreuses. Et parmi elles, il y a la notion de travail dissimulé. Voilà ce qui est reproché à trois des quatre prévenus qui vont comparaître devant le tribunal correctionnel de Tours, à partir du mercredi 15 octobre. Ils sont soupçonnés d’avoir fait travailler une vingtaine de Bangladais sans papiers dans les trois restaurants O’Tacos de Tours et de les avoir hébergés dans des conditions indignes, entre 2017 et 2019.

Le système est bien rodé. Les deux gérants de la chaîne de fast-food s’appuient sur un recruteur. Un Bangladais, qui a ses entrées dans la communauté, multiplie les allers-retours en région parisienne pour enrôler des compatriotes en situation irrégulière. Il promet des fiches de paie, un logement et, à la fin, des papiers, grâce à la circulaire Valls alors en vigueur. Plus d’une vingtaine de migrants acceptent de poser leurs valises en Touraine, sans se douter de ce qui les attend.

Car une fois sur place, ils apprennent que le contrat de travail est payant. Il faut débourser 1.500 euros pour l’obtenir. C’est plus que le salaire – le Smic – qui leur sera versé chaque mois. Le “Graal” en poche, il faut s’adapter, bon gré mal gré. Les heures supplémentaires sont la règle en cuisine, 13 heures en moyenne chaque semaine, et ne sont pas rémunérées. Enfin, il n’y a pas de jours de repos.

[…]

 

Ici

 

 

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