Publié le 13 Octobre 2025 par 3guerremondiale

Publié dans : #Les infos les plus cruciales

Vers une guerre de religion, infos du 13 octobre 2025

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Les infos du 13 octobre 2025

EN DIRECT, guerre en Ukraine :

Kaja Kallas dénonce « l’escalade » provoquée par la Russie à propos des drones dans le ciel européen

Après une série de violations de l’espace aérien européen imputées à des appareils russes, la cheffe de la diplomatie de l’Union européenne, en visite lundi à Kiev, a estimé que la Russie « jouait avec la guerre ».

13:59

Une délégation ukrainienne se rend aux Etats-Unis pour évoquer le soutien militaire à Kiev

Une délégation ukrainienne conduite par la première ministre, Ioulia Svyrydenko, est partie lundi pour les Etats-Unis, où doivent se tenir des discussions portant notamment sur la livraison de systèmes supplémentaires de défense antiaérienne, face à la guerre menée par la Russie.

« La semaine va être chargée, il y a beaucoup de travail devant nous », a indiqué le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak. Il s’agit aussi d’évoquer avec des responsables américains la résistance des infrastructures énergétiques de l’Ukraine, durement frappées par Moscou ces derniers jours, à l’approche de l’hiver, a précisé M. Yermak.

12:21

Menace américaine de livraison de missiles Tomahawk à l’Ukraine : pas de conversation entre Vladimir Poutine et Donald Trump prévue pour l’instant, selon le Kremlin

Le Kremlin a affirmé lundi qu’aucune conversation entre Vladimir Poutine et Donald Trump n’était prévue pour l’instant concernant la possible fourniture à l’Ukraine de missiles Tomahawk, une option brandie par le président américain. M. Trump a assuré dimanche qu’il pourrait menacer M. Poutine de livrer à Kiev ces missiles de croisière si la Russie n’acceptait pas de mettre fin à la guerre en Ukraine, déclenchée en 2022.

« Aucun accord précis n’a encore été conclu concernant un tel entretien téléphonique. Dès qu’il y en aura un, la conversation aura lieu », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, au cours d’un briefing auquel a participé l’Agence France-Presse. Il a souligné que la fourniture de telles armes à l’Ukraine renforcerait l’implication de Washington dans le conflit, car « la manipulation de missiles aussi complexes rendra[it] nécessaire d’une manière ou d’une autre la participation de spécialistes américains ».

L’ex-président russe Dmitri Medvedev a, quant à lui, estimé sur Telegram que la livraison de Tomahawk à Kiev « pourrait mal finir pour tout le monde et, avant tout, pour Trump lui-même ». « Il ne reste plus qu’à espérer qu’il s’agisse d’une nouvelle menace en l’air », a ajouté celui qui est actuellement le numéro deux du Conseil de sécurité russe. M. Medvedev multiplie les déclarations provocatrices depuis 2022, mais son influence sur la politique russe est limitée.

Vladimir Poutine avait auparavant mis en garde contre la fourniture de Tomahawk à Kiev, affirmant que cela constituerait « une nouvelle escalade » et affecterait les relations entre Washington et Moscou.

11:42

Les services secrets allemands alertent d’un danger de conflit militaire avec Moscou, qui pourrait intervenir avant 2029

Les services secrets allemands ont mis en garde, lundi, contre la Russie, prête, selon eux, « à entrer en conflit militaire direct avec l’OTAN ». « A Moscou, on estime avoir des chances réalistes d’étendre sa zone d’influence vers l’ouest et de rendre l’Europe, économiquement bien plus puissante, dépendante de la Russie. Pour atteindre cet objectif, la Russie n’hésitera pas, si nécessaire, à entrer en conflit militaire direct avec l’OTAN », a déclaré Martin Jäger, président du service de renseignement fédéral (BND), auditionné par la commission de contrôle parlementaire, au Bundestag, à Berlin.

« Nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers en pensant qu’une éventuelle attaque russe n’aura pas lieu avant 2029 au plus tôt. Nous sommes déjà dans le feu de l’action aujourd’hui », a ajouté M. Jäger, qui a pris la tête du BND le 15 septembre dernier.

Cet avertissement intervient après la multiplication d’incidents ces dernières semaines en Europe, telles l’incursion de drones russes en Pologne et la violation de l’espace aérien estonien par trois chasseurs russes. L’Allemagne a, quant à elle, été victime de survols de drones, de sabotages, et de campagnes de désinformation et d’influence, avec l’ombre de Moscou planant sur ces événements.

« Au mieux, l’Europe connaît une paix glaciale qui peut à tout moment dégénérer en confrontation violente. Nous devons nous préparer à une nouvelle aggravation de la situation », a poursuivi M. Jäger. Sinan Selen, président du renseignement intérieur allemand (BfV), également auditionné, a abondé dans son sens : « La Russie poursuit de manière agressive ses ambitions politiques contre l’Allemagne, l’Union européenne et ses alliés occidentaux. »

« Les services russes modifient en permanence les niveaux d’escalade de leurs activités dans le but stratégique d’affaiblir les démocraties libérales. En conséquence, nous détectons un large éventail d’activités d’espionnage, de désinformation, d’ingérence, de sabotage et de cyberattaques menées par des acteurs et des Etats étrangers en Allemagne », a-t-il dit. « La Russie n’a pas oublié la guerre froide », a-t-il ajouté, « ce qui signifie que les instruments utilisés à l’époque sont toujours disponibles ».

Note : ils croient vraiment que l'Ukraine tiendra encore quatre ans ! Pour ce qui est de "nouvelle aggravation de la situation" ils seront les seules responsables

10:35

Drones dans le ciel européen : la cheffe de la diplomatie européenne dénonce « l’escalade » provoquée par Moscou

Après une série de violations de l’espace aérien européen imputées à des appareils russes, la cheffe de la diplomatie de l’Union européenne (UE), Kaja Kallas, en visite lundi à Kiev, a estimé que la Russie « jou[ait] avec la guerre » et le risque d’« escalade ».

« Chaque fois qu’un drone ou un avion russe viole notre espace aérien, il existe un risque d’escalade, involontaire ou non. La Russie joue avec la guerre, et nous dépassons le cadre d’un conflit hypothétique », a-t-elle déclaré lors d’une conférence de presse. « Pour éviter la guerre, nous devons traduire la puissance économique de l’Europe en dissuasion militaire », a ajouté l’ancienne première ministre estonienne.

La haute représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Kaja Kallas, au ministère des affaires étrangères ukrainiennes, à Kiev, le 13 octobre 2025. JULIA DEMAREE NIKHINSON/AP

Accueillie lundi matin par le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, Kaja Kallas est venue à Kiev évoquer le soutien financier et militaire de l’UE, ainsi que la sécurité du système énergétique ukrainien, mis à mal ces dernières semaines par une intensification des frappes russes nocturnes.

« L’ennemi cherche à affecter l’état d’esprit et l’humeur de la population en attaquant les infrastructures énergétiques. Nous en sommes parfaitement conscients », a déclaré M. Sybiha, aux côtés de M^me Kallas. Il a appelé à une protection renforcée de ces infrastructures avec l’aide des alliés de l’Ukraine, alors que Kiev réclame à cor et à cri d’obtenir des systèmes supplémentaires de défense antiaérienne.

02:07

Donald Trump agite la menace de fournir des missiles Tomahawk à l’Ukraine

Le président américain a déclaré dimanche qu’il pourrait menacer son homologue russe, Vladimir Poutine, de fournir des missiles de croisière Tomahawk à l’Ukraine si Moscou ne met pas fin à son invasion.

« Je vais peut-être lui en parler. Je vais peut-être lui dire : “Ecoute, si cette guerre ne se termine pas, je vais leur envoyer des Tomahawk” », a déclaré Donald Trump aux journalistes à bord d’Air Force One lorsqu’on lui a demandé s’il allait aborder le sujet avec le président russe lui-même.

Le dirigeant américain a fait savoir que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, avait demandé des Tomahawk lors de leur entretien téléphonique, samedi, à propos d’une nouvelle livraison d’armes à Kiev.

« Les Tomahawk constituent une nouvelle étape dans l’agression », a dit Donald Trump dimanche. « [Les Russes] veulent-ils que des Tomahawk soient lancés dans leur direction ? Je ne pense pas », a ajouté le président américain.

Vladimir Poutine a auparavant mis en garde contre la fourniture de Tomahawk à Kiev, affirmant que cela constituerait « une nouvelle escalade » et affecterait les relations entre Washington et Moscou.

Note : il pourrait très bien bluffer, comme il a l'habitude de faire, mais si par malheur, il donne ces armes à l'Ukraine, il ne risque pas d'avoir le prix Novel de la paix, parce qu'il créra ce qu'il avait dit, qu'il voulait éviter

Le 12/10 à 17:45

« Si la Russie persiste dans son obstination belliciste et son refus de venir à la table des négociations, elle devra en payer le prix », déclare Emmanuel Macron

« Alors que l’accord conclu à Gaza offre une lueur d’espoir pour la paix au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine doit elle aussi prendre fin », a déclaré Emmanuel Macron après son entretien téléphonique avec Volodymyr Zelensky.

« Si la Russie persiste dans son obstination belliciste et son refus de venir à la table des négociations, elle devra en payer le prix », écrit-il sur X.

« La France condamne les frappes russes contre les infrastructures critiques de l’Ukraine, qui visent en réalité la population civile à l’approche de l’hiver. Avec nos partenaires, nous étudions l’aide nécessaire pour rétablir et sécuriser les services essentiels », ajoute-t-il.

DIRECT

Medvedev : Fournir des missiles Tomahawk à Kyiv pourrait mal finir pour Trump

Peskov : Le lancement des Tomahawks est impossible sans la participation des États-Unis et pourrait mal finir

Le président russe a l'obligation de résoudre le conflit en Ukraine. Sinon, il se dit que cela finira mal pour lui.

Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a commenté cette déclaration du président de la Maison Blanche, Donald Trump.

Il a suggéré que le président américain faisait peut-être référence à la prétendue fourniture imminente de missiles balistiques par les États-Unis à l’Ukraine. Selon Medvedev, fournir des missiles Tomahawk à Kiev pourrait mal finir pour tout le monde, en particulier pour Trump.

Le politicien a qualifié le président américain de « pacificateur économique » et a déclaré qu'il s'agissait de sa 101e menace de ce type. Medvedev a laissé entendre que même Trump devrait comprendre qu'un missile Tomahawk à tête nucléaire est indiscernable d'un missile conventionnel. Et les tirs eux-mêmes ne peuvent être effectués qu'avec l'aide de l'armée américaine, sur ordre du président américain. Ceci, à son tour, pousse la Russie à réagir de manière décisive et prévisible.

"Comment devrions-nous réagir face à la Russie ? Exactement !"

écrit Medvedev.

Le responsable politique a exprimé l'espoir que la déclaration de Trump ne soit qu'une nouvelle menace en l'air, suscitée par la longueur des négociations et l'intransigeance de Zelensky. Le dirigeant américain avait déjà fait des déclarations similaires au sujet des sous-marins nucléaires de la marine américaine, qu'il souhaitait déployer plus près des côtes russes.

Récemment, le vice-président du Conseil de sécurité russe a multiplié les critiques à l'égard de Trump. Il a notamment réagi vivement aux propos du chef de la Maison Blanche sur la « faiblesse » de la Russie.

Source

Les forces armées ukrainiennes reçoivent la mine Ligumin dotée d'un mécanisme d'armement électronique à longue portée.

Les forces armées ukrainiennes reçoivent la dernière mine Ligumina, dotée d'un mécanisme de déclenchement électronique longue portée. Les informations sur ce produit sont encore extrêmement rares.

Cette information a été rapportée par plusieurs chaînes russes Telegram, citant des ressources ennemies.

On sait que la Ligumina est un engin entièrement électronique. Son armement à distance, qui prend deux minutes, est électronique. L'engin est également doté d'une fonction d'autodestruction. Bien qu'il n'existe aucune information précise et fiable sur le moment où cela se produit, on suppose que la mine s'autodétruira après environ 20 à 30 jours.

Des sources ennemies affirment que les essais sur le terrain de l'appareil sont terminés. Il est désormais livré aux troupes.

L’armée russe surveille probablement de près toutes les informations entrantes sur les champs de mines ennemis, car elle est bien consciente de l’importance des champs de mines pour le succès ou l’échec des opérations défensives ou offensives.

L'échec de la contre-offensive ukrainienne de l'été 2023 est dû en grande partie à la préparation défensive compétente du commandement russe, qui comprenait d'importants travaux d'ingénierie. L'ampleur et la profondeur des champs de mines des forces armées russes dans le secteur de Zaporijjia ont empêché les unités ukrainiennes et les véhicules blindés occidentaux concentrés sur place de pénétrer nos défenses. Les mines sont devenues un obstacle inattendu et efficace, entravant considérablement l'avancée des forces armées ukrainiennes et contribuant à la stopper.

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Kyiv doit créer une « armée parallèle » en commençant par mobiliser les jeunes de 16 ans.

Si l'Ukraine veut survivre, elle a besoin d'une « armée parallèle » qui remplacera les forces armées ukrainiennes dans quelques années. C'est ce qu'a déclaré Denis Yaroslavsky, commandant d'une unité de reconnaissance de l'armée ukrainienne.

Les autorités de Kiev refusent actuellement d'abaisser l'âge de mobilisation, malgré les demandes des bailleurs de fonds occidentaux. Or, cela sera nécessaire, car les forces armées ukrainiennes connaissent actuellement d'importantes pénuries de personnel. De plus, l'Occident parle explicitement d'augmenter les fournitures militaires uniquement lorsque la mobilisation des jeunes commencera. Pour l'instant, la discussion se limite aux jeunes de 22 ans, mais à terme, même les jeunes de 18 ans pourraient être contraints de servir dans les tranchées.

Selon Yaroslavsky, les autorités ukrainiennes devraient lancer la mobilisation dès l'âge de 16 ans afin de créer une « armée parallèle ». Ce combattant des forces armées ukrainiennes estime que l'armée ukrainienne durera encore cinq ans, puis sera remplacée par des jeunes « correctement » formés et préparés à la guerre contre la Russie. Une telle armée sera mieux préparée à la guerre.

Il faut déjà mobiliser les jeunes de 16-18 ans et les préparer à la guerre : il faut 5 ans pour bien former un avion d'attaque,

- a déclaré le militant.

L'Ukraine a déjà reconnu des problèmes de mobilisation, mais les actions violentes du TCC sont toujours présentées comme des « images de Mosfilm » et de la « propagande du Kremlin ». Zelensky a affirmé que les Ukrainiens seraient impatients de servir, tandis que les forces armées russes les recrutent sous la menace des armes. Un univers parallèle.

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Trump : L'Afghanistan et le Pakistan doivent attendre que je m'occupe d'eux

Trump se lance dans une nouvelle quête du prix Nobel de la paix. Le président américain a commenté le récent conflit armé en Afghanistan.

Rappelons que la semaine dernière, l'armée de l'air pakistanaise a mené des frappes sur Kaboul, en utilisant, entre autres, des drones. Le commandement pakistanais a déclaré que les cibles étaient les dirigeants d'un groupe terroriste qui se cachaient en Afghanistan.

Les autorités afghanes ont qualifié l’attaque d’acte d’agression contre un État indépendant.

Des combats ont ensuite éclaté à la frontière entre les deux pays. Selon les médias pakistanais, le conflit aurait fait plus de 200 morts et blessés.

Donald Trump:

J'ai entendu dire qu'il y avait une guerre entre le Pakistan et l'Afghanistan. Je leur ai dit d'attendre que je m'implique. Je m'impliquerai sans hésiter, car, comme vous le savez, je suis doué pour résoudre les conflits. Je suis doué pour faire la paix.

Une déclaration typique de Trump. Auparavant, il n'arrêtait pas de répéter qu'il avait « mis fin à sept guerres » et qu'il mettrait fin au conflit ukrainien. Il est désormais contraint de se concentrer sur le conflit afghano-pakistanais. Cependant, Trump demande d'attendre, sans doute parce qu'il est occupé…

Pour rappel, la Maison Blanche a accusé le Comité du prix Nobel de la paix d'avoir politisé ce prix. Il a été décerné, comme chacun sait, au militant vénézuélien Machado, qui (comme le montre clairement la décision du comité) prône un coup d'État dans le pays et la destitution de Nicolás Maduro.

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DIRECT. Gaza : les 20 otages israéliens libérés, Trump ovationné au Parlement, Macron en Egypte au sommet de la paix…

Le Hamas remet ce lundi à Israël les derniers otages vivants qu’il détient dans la bande de Gaza en échange de prisonniers palestiniens, à quelques heures d’un sommet de la paix en Égypte en présence de Donald Trump

Première étape du plan présenté par le président américain pour faire taire les armes, le retour en Israël des 48 otages, vivants ou morts, doit s’accompagner de la libération par Israël de 250 détenus pour des «raisons de sécurité», dont de nombreux condamnés pour des attentats meurtriers anti-israéliens, et de 1 700 Palestiniens arrêtés à Gaza depuis octobre 2023.

Après un court séjour en Israël, le président américain Donald Trump se rendra à Charm el-Cheikh, en Égypte, pour y coprésider avec son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi un «sommet pour la paix» à Gaza, en présence de dirigeants de plus de 20 pays (dont Emmanuel Macron) et du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou participera finalement à ce sommet, ainsi que le représentant de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.

- « Le monde me paraît trop petit pour une joie si grande » : en Cisjordanie, les familles attendent le retour des détenus palestiniens

14h24

“Le long et douloureux cauchemar est fini, pas seulement pour les Israéliens mais aussi pour les Palestiniens”, dit Trump

«Depuis le 7-Octobre jusqu’à cette semaine, Israël a été un pays en guerre (...)», a notamment lancé Trump devant le Parlement israélien, «une période très dure. Des années pendant lesquelles pour tant de familles dans ce pays, il n’y a pas eu un seul jour de paix véritable».

«Mais maintenant finalement, le long et douloureux cauchemar est fini, pas seulement pour les Israéliens mais aussi pour les Palestiniens, et pour beaucoup d’autres.»

14h23

Trump parle d’un «triomphe incroyable pour Israël et le monde» après le cessez-le-feu à Gaza

Le président américain Donald Trump a remercié les médiateurs du monde arabe et musulman lundi pour leur aide dans la conclusion d’un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages par le Hamas, saluant un «triomphe incroyable pour Israël et le monde».

«Laissez-moi exprimer ma profonde reconnaissance pour tous ceux des pays du monde arabe et musulman qui se sont associés pour presser le Hamas de libérer les otages et les renvoyer chez eux», a déclaré le président Trump au Parlement israélien. «Nous avons reçu beaucoup d’aide, de l’aide de beaucoup de gens auxquels vous ne penseriez pas et je tiens à les remercier chaleureusement pour ça. C’est un triomphe incroyable pour Israël et le monde d’avoir toutes ces nations travaillant ensemble comme partenaires de la paix».

13h14

Seuls quatre corps d’otages seront restitués par le Hamas ce lundi

Le Forum des familles des otages se dit « choqué et consterné » alors que seuls quatre corps d’otages (sur 28) doivent être restitués lundi.

«Cela représente une violation flagrante de l’accord par le Hamas. Nous attendons du gouvernement israélien et des médiateurs qu’ils prennent immédiatement des mesures pour rectifier cette grave injustice»

12h35

VIDEO. Ovation pour Donald Trump en Israël devant le Parlement

Les députés israéliens ont accueilli chaleureusement lundi après-midi le président américain Donald Trump à la Knesset, lui réservant une longue ovation debout.

Avant que Donald Trump ne s’adresse au Parlement, les députés ont également réservé une ovation debout au secrétaire d’Etat américain Marco Rubio ainsi qu’à son collègue de la Défense, Pete Hegseth, présents dans la salle, à l’appel de leurs noms par le président de la Knesset, Amir Ohana.

12h29

Otages libérés : quel est le protocole pour les Israéliens de retour de Gaza ?

La libération des 20 otages détenues par le Hamas a eu lieu. Entre prise en charge médicale et psychologique, le protocole suivi dès les premières heures de la libération est bien rodé. Explications

Ce lundi 13 octobre, les 20 otages israéliens détenus dans la bande de Gaza ont été libérés par le Hamas, selon l’accord de paix entre Israël et le Hamas. Dénutrition, blessures physiques et psychologiques… Les traumatismes sont nombreux et le système de santé israélien a mis au point des protocoles avancés pour accompagner au mieux les otages libérés. Notre article détaillé ici.

11:38

Libération de prisonniers palestiniens : des bus ayant quitté la prison israélienne d’Ofer en Cisjordanie occupée arrivent à Ramallah

Plusieurs bus ont quitté lundi la prison d’Ofer en Cisjordanie occupée, une des deux prisons d’où devaient être libérés des Palestiniens détenus par Israël dans le cadre du cessez-le-feu négocié avec le Hamas.

L’administration pénitentiaire israélienne avait indiqué samedi avoir regroupé dans deux prisons, dont celle d’Ofer, les détenus Palestiniens devant être relâchés en échange de la libération des vingt otages par le Hamas à Gaza.

11h07

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou se rend finalement au sommet pour la paix

Le président égyptien El-Sissi, qui organise le sommet pour la paix avec le président américain Donald Trump, a renouvelé l’invitation au Premier ministre Benjamin Netanyahou qui a finalement accepté de participer à ce rendez-vous décisif, aux côtés d’une vingtaine de chefs d’Etats, dont Emmanuel Macron, et le secrétaire des Nations Unies Antonio Guterres.

Le représentant de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas sera également présent.

Ce sommet pour la paix prend donc une tournure très différente avec l’implication de tous les acteurs de la région et les pays occidentaux qui œuvrent pour la paix depuis des années.

DIRECT

Jean-Luc Mélenfion refuse de se prononcer sur la disqualification et la démilitarisation du Hamas : “le droit international (lui) reconnait le droit à la résistance armée”

Paris (19e) : un jeune homme poignardé à mort dans le parking de sa résidence en tentant d’évacuer un squatteur (MàJ : Le suspect est originaire de la Guinée-Bissau et aurait des « troubles psychiatriques »)

13/10/2025

Selon une source policière, Mendy, accompagné d’une poignée de résidents serait allé au contact d’une personne étrangère au bâtiment, assise sur une chaise dans le parking, pour lui demander de quitter les lieux. L’homme en question aurait alors vu rouge et aurait frappé au visage l’un d’entre eux avant de sortir un couteau et de poignarder la victime au niveau du ventre.

Dès samedi, un homme de 28 ans, originaire de Guinée-Bissau, a été interpellé par le 2e district de Police judiciaire en charge de l’enquête, indique le parquet de Paris. Il a été placé en garde à vue pour meurtre. Selon une source proche du dossier, il s’agirait d’un homme souffrant de « troubles psychiatriques », sorti récemment d’un établissement spécialisé. C’est sa mère qui aurait prévenu les policiers et permis son interpellation. Reste à savoir si l’homme pourra être poursuivi pour meurtre en raison de son état de santé mental.

[…]

Le Parisien

12/10/2025

Un drame glaçant s’est déroulé vendredi soir rue Mathis, dans le XIXe arrondissement de Paris. Un jeune homme d’une vingtaine d’années a été poignardé dans le parking souterrain de son immeuble après une violente altercation. Malgré son transfert d’urgence à l’hôpital de la Salpêtrière, il est mort de ses blessures.

Selon les premiers éléments rapportés par Le Parisien, tout serait parti d’une dispute entre plusieurs habitants et un homme « étranger à l’immeuble ». Les résidents lui auraient demandé de quitter les lieux, ce à quoi il aurait répondu par un coup de poing avant de « sortir un couteau et de poignarder le jeune homme au niveau de l’abdomen ». Une source proche de l’enquête évoque un « squatteur ».

Aucune interpellation n’avait encore eu lieu ce dimanche matin. Le 3e district de la police judiciaire est chargé de l’enquête. Dans ce quartier populaire du nord-est parisien, les habitants confient vivre « dans la peur » depuis plusieurs semaines face à la présence d’individus extérieurs occupant les halls ou les parkings. « On n’en peut plus de ces intrusions, on n’est plus en sécurité chez nous », souffle un voisin. Beaucoup redoutent désormais de descendre seuls dans les sous-sols.

Le Parisien

Marseille : une vingtaine d’individus de la communauté du voyage débarque à l’hôpital de la Timone et menace de mort des soignants… Le personnel sous le choc

C’est une agression qui restera gravée dans la mémoire des soignants du service de réanimation pédiatrique de la Timone. Jeudi, dans la soirée, ces derniers ont été violemment pris à partie par un père de famille accompagné d’une vingtaine de proches venus en découdre. L’esclandre était tel que de nombreux policiers sont intervenus dans l’hôpital pour rétablir le calme. (…)

Les circonstances de cette agression demeurent floues à ce stade des investigations. Un père de famille, dont le petit garçon était hospitalisé dans l’unité, était visiblement mécontent de la prise en charge de son enfant. L’homme a fait irruption dans le service accompagné d’une vingtaine de proches. Le groupe, issu de la communauté des gens du voyage, a immédiatement fait pression sur l’équipe médicale de garde. (…)

Selon nos informations, le principal suspect cherchait à s’en prendre au chef de service, un professeur de médecine de l’AP-HM (Assistance Publique – Hôpitaux de Marseille). Absent au moment des faits, ce dernier a déposé plainte ce vendredi matin au nom de son service pour des faits de «menaces de mort». Au moins deux soignants, choqués par les faits, ont cessé momentanément leur travail et une enquête a été ouverte. (…)

Le Figaro

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Vers une guerre de religion, infos du 13 octobre 2025

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