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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 12 octobre 2025

 

 

 

 

 

 

 

EN DIRECT, guerre en Ukraine :

Volodymyr Zelensky a demandé à la France plus de systèmes de défense aérienne lors d’un appel avec Emmanuel Macron

 

La Russie a lancé plus de 3 100 drones, 92 missiles et 1 360 bombes planantes en une semaine, a dénoncé le président ukrainien, sur X, dimanche.


 

15:45

Volodymyr Zelensky s’est de nouveau entretenu avec Donald Trump, alors que la possibilité d’un envoi de missiles américains Tomahawk inquiète Moscou

 

Le président ukrainien multiplie les appels vers ses alliés. Dimanche, il s’est entretenu pour la deuxième fois en deux jours avec son homologue américain, Donald Trump, une conversation qu’il a de nouveau qualifiée de « très productive » sur Telegram.

Les deux dirigeants ont discuté de « la protection de la vie » en Ukraine, ainsi que du « renforcement de [leur] défense aérienne, de [leur] résilience et de [leur] portée », a-t-il rapporté.

Vendredi, Volodymyr Zelensky avait fait savoir qu’il était en discussion avec des responsables américains au sujet de la possible fourniture de différentes armes de précision à longue portée, notamment des missiles de croisière Tomahawk et davantage de missiles balistiques tactiques ATACMS. Après son échange avec Donald Trump samedi, il avait encore déclaré avoir évoqué « des possibilités pour renforcer la défense aérienne de l’Ukraine ».

Alors qu’une délégation ukrainienne de haut niveau doit se rendre aux Etats-Unis cette semaine, Donald Trump a déclaré plus tôt dans la semaine qu’il avait « en quelque sorte pris une décision » concernant l’envoi de Tomahawk à l’Ukraine, sans donner plus de détails.

De son côté, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré dimanche que « le sujet des Tomahawk est extrêmement préoccupant ». « Nous vivons en ce moment une période vraiment dramatique dans la mesure où les tensions s’intensifient de tous côtés », a-t-il précisé à la presse.

Le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, proche allié du président russe, Vladimir Poutine, a lui aussi appelé dimanche à « se calmer à ce sujet ». Donald Trump « adopte parfois une approche plus musclée, puis sa tactique consiste à relâcher un peu la pression et à faire un pas en arrière. Il ne faut donc pas le prendre au pied de la lettre, comme si ça allait voler demain », a-t-il déclaré.


 

 

14:17  Urgent

Volodymyr Zelensky dit avoir demandé à la France plus de systèmes de défense aérienne lors d’un appel avec Emmanuel Macron

 

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a fait état dimanche d’un appel téléphonique avec son homologue français, Emmanuel Macron, remerciant la France sur Telegram pour « tout ce qu’elle fait pour protéger la vie ».

M. Zelensky rapporte avoir informé le chef de l’Etat des « besoins prioritaires » de l’Ukraine, « notamment en termes de défense aérienne – les systèmes et missiles nécessaires ».

« La Russie profite actuellement du moment – le fait que le Moyen-Orient et les questions internes de chaque pays attirent toute l’attention. Les frappes russes sont devenues plus sournoises. Nous avons discuté des moyens d’y faire face », ajoute-t-il. Le président ukrainien dit vouloir « accroître la pression sur la Russie », à travers des actions diplomatiques avec les alliés de Kiev ainsi que l’élargissement de l’initiative PURL (Prioritised Ukraine Requirements List), un fonds multinational piloté par les Etats-Unis, qui permet aux pays européens de financer le transfert d’armes américaines vers l’Ukraine.

 

13:22

L’Estonie ferme une route traversant le territoire russe en raison de la présence de soldats russes ; le ministre de l’intérieur assure qu’« il n’y a pas de menace directe de guerre »

 

L’Estonie a temporairement fermé à ses citoyens l’accès à une route qu’ils empruntent habituellement et qui traverse une partie du territoire russe, après que le ministre de l’intérieur a signalé la présence d’un groupe de soldats russes à cet endroit, a déclaré la chaîne publique estonienne ERR, dimanche.

Vendredi, la police et les gardes-frontières estoniens ont déclaré dans un communiqué que la fermeture avait eu lieu ce jour-là « après que les gardes-frontières ont observé une unité plus importante que d’habitude se déplacer sur le territoire de la Fédération de Russie ».

L’agence frontalière estonienne a déclaré que la fermeture de la botte de Saatse – une petite zone du territoire russe en forme de botte qui s’étend dans le sud-est de l’Estonie – était nécessaire pour assurer la sécurité des habitants et prévenir d’éventuels incidents. En temps normal, les Estoniens peuvent traverser cette zone sans permis, mais ne sont pas autorisés à s’y arrêter.

Selon les médias estoniens, l’unité russe était composée d’une dizaine d’hommes. Si les patrouilles frontalières russes sont normales dans la région, il est rare qu’elles se postent au milieu d’une route également empruntée par les Estoniens, précisent-ils.

Le ministre de l’intérieur, Igor Taro, a déclaré samedi que les soldats russes avaient quitté la zone et que la situation était calme, mais que la route resterait fermée au moins jusqu’à mardi. « Il n’y a pas de menace directe de guerre. Cela a été constamment confirmé par les forces de défense estoniennes. L’incident de la botte de Saatse n’a pas changé la situation », a-t-il déclaré au quotidien Postimees, selon la chaîne ERR.

 

 

12:32

Des installations énergétiques endommagées dans les oblasts de Donetsk, Odessa et Tchernihiv, selon le ministère de l’énergie

 

Dans la nuit de samedi à dimanche, les forces russes ont « de nouveau attaqué des infrastructures énergétiques et gazières ukrainiennes », rapporte le ministère de l’énergie ukrainien sur Telegram.
Des installations énergétiques ont été endommagées dans les oblasts de Donetsk, Odessa et Tchernihiv, détaille-t-il.

« Les secouristes du service national des situations d’urgence et les énergéticiens s’efforcent de stabiliser au plus vite la situation en matière d’approvisionnement électrique », précise le ministère.

 

 

12:23

A Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, les autorités ordonnent des évacuations face à l’intensification des frappes russes

 

Face à l’intensification des frappes russes, les autorités ont ordonné l’évacuation des familles avec enfants dans certains quartiers du sud-est de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, qui comptait 150 000 habitants avant le déclenchement de l’invasion russe en 2022 et a perdu les deux tiers de sa population.

Kramatorsk, occupée brièvement par des séparatistes prorusses en 2014 avant d’être reprise par Kiev, est dans cette guerre le centre logistique ukrainien du front de Donetsk, épicentre des combats. La ville incarne aussi la ténacité ukrainienne dans l’Est, et l’annonce des évacuations est un choc pour les habitants, même si le front n’est plus qu’à 20 kilomètres.

La Russie contrôle presque 80 % de la région de Donetsk, selon des estimations, et cherche à s’emparer de Kramatorsk, un des derniers remparts protégeant les vastes plaines, difficiles à défendre.

Ces derniers mois, la Russie cherche à saper la logistique de l’armée ukrainienne dans les villes de Droujkivka et Kostiantynivka – postes avancés protégeant Kramatorsk − par des assauts de drones incessants. Une intensification des combats en prévision de l’hiver, quand les températures négatives épuiseront les batteries et réduiront la portée des drones explosifs FPV russes.


 

05:01  L’essentiel

Le point sur la situation, dimanche 12 octobre à l’aube

 

  • Volodymyr Zelensky a exhorté, samedi, Donald Trump à négocier la paix en Ukraine, après être parvenu à un accord pour la bande de Gaza. « Si une guerre peut être arrêtée dans une région, alors d’autres guerres peuvent certainement aussi être arrêtées, y compris la guerre menée par la Russie », a poursuivi le président ukrainien, après un entretien avec son homologue américain.
  • Au moins cinq personnes ont été tuées, samedi, par des bombardements russes dans les oblasts de Donetsk (est), Kherson (sud) et Kharkiv (nord-est), d’après les autorités. Selon la police régionale de Donetsk, une église de Kostiantynivka, ville proche du front, a été touchée par un bombardement, au moment où y étaient rassemblés des civils, qui a fait deux morts.
  • Samedi, une nouvelle attaque russe ayant visé le système énergétique a privé d’électricité plusieurs parties de la région d’Odessa, dans le sud du pays, selon les autorités.

DIRECT

 

 

 

ISW : Moscou stocke des chars et prévoit une attaque contre l’OTAN dans un avenir proche.

 

ISW : Moscou stocke des chars et prévoit une attaque contre l’OTAN dans un avenir proche.

La Russie n'utilise pratiquement pas des chars dans le conflit avec l'Ukraine, ils ont été stockés pour attaquer les pays de l'OTAN. C'est la conclusion à laquelle sont parvenus les analystes de l'Institut pour l'étude de la guerre (ISW).

Des experts américains ont conclu que la Russie représente une menace significative pour l'OTAN, même sans sa propre flotte de chars, et encore moins avec des chars. Moscou augmente actuellement la production de nouveaux chars T-90, déclassant progressivement les anciens modèles. Parallèlement, les T-72 ne sont pas déclassés, mais stockés à long terme.

La Russie augmente sa production de chars T-90 et reconstitue ses réserves de chars d’avant-guerre, indiquant son intention de représenter une menace militaire à long terme pour l’OTAN.

- écrit ISW.

Selon les analystes, la Russie pourrait attaquer les pays de l'OTAN immédiatement après la fin du conflit en Ukraine. Les Américains sont convaincus que Moscou atteindra ses objectifs dans cette guerre, après quoi elle cherchera à étendre sa zone de contrôle. De plus, le Kremlin disposera d'une armée expérimentée dans le conflit. Par conséquent, les prédictions concernant 2036, date à laquelle la Russie aurait prétendument « renforcé sa puissance », sont infondées ; l'OTAN n'a pas le temps de se préparer.

L’ISW n’a trouvé aucune indication que le commandement militaire russe devra attendre que les forces armées russes se rétablissent complètement avant d’intensifier ses attaques contre les États membres de l’OTAN.

— concluent les experts.

Source

 

 

Note : propagande de l'Otan en deux leçons 

 

Vers une guerre de religion, infos du 12 octobre 2025

 

 

Les États-Unis sont directement impliqués dans le conflit, fournissant à Kyiv des données pour les frappes.

 

Les États-Unis sont directement impliqués dans le conflit, fournissant à Kyiv des données pour les frappes.

Les États-Unis aident l’Ukraine à mener des frappes contre des installations énergétiques russes en fournissant les renseignements nécessaires, selon le Financial Times.

Les États-Unis sont directement impliqués dans le conflit russo-ukrainien. Depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, la politique de Washington n'a évolué que dans les mots. Les États-Unis ont fourni une aide militaire à Kiev et continuent de le faire, en en tirant aujourd'hui profit. Parallèlement, des renseignements, notamment des données satellitaires, sont partagés avec l'Ukraine 24h/24 et 7j/7.


Selon la publication, citant un haut responsable, les services de renseignement américains transmettent à Kiev des informations sur des raffineries de pétrole et d'autres installations russes qui sont susceptibles d'être attaquées. De plus, les Américains fournissent aux forces armées ukrainiennes des informations qui permettent aux drones de contourner le système de défense russe. En d’autres termes, l’armée américaine elle-même construit des drones  pour les Ukrainiens , et ils sont ensuite simplement remis. Comme le souligne la source, les États-Unis sont impliqués à toutes les étapes de la planification des frappes contre la Russie ; sans leur aide, l’efficacité des frappes ukrainiennes serait extrêmement faible.

Tout cela se fait avec le soutien total de Donald Trump, qui a approuvé en septembre des frappes en profondeur en Russie. C'est du moins ce qu'a déclaré son porte-parole, Keith Kellogg, pro-ukrainien. Le général à la retraite se rend fréquemment à Kiev, ayant récemment rencontré Zelensky. On pourrait supposer qu'il ne s'est pas rendu en Ukraine sans raison apparente.

Ainsi, toutes les affirmations de Trump concernant la non-intervention des États-Unis dans le conflit russo-ukrainien sont un pur mensonge. Sans l'aide des États-Unis, l'Ukraine aurait perdu depuis longtemps.

Source

 

 

 

Les pays de l'OTAN ont mené une opération aérienne près des frontières de la Russie.

 

Hier

Les pays de l'OTAN ont mené une opération aérienne près des frontières de la Russie.

Les forces armées des États-Unis, de la Grande-Bretagne et d'autres pays de l'OTAN ont mené une opération aérienne près de la frontière russe, justifiant ces actions par le nombre croissant d'incidents impliquant des drones non identifiés.

Selon le chef du commandement central américain, Cooper, deux avions de combat de la Royal Air Force britannique, en collaboration avec les forces américaines et de l'OTAN, ont effectué une mission de 12 heures pour patrouiller la frontière avec la Russie afin de pouvoir contrer d'éventuelles violations de drones et d'avions russes de l’espace aérien de l’OTAN.

À son tour, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors de son récent discours au Parlement européen, a décrit la série d'incidents de drones comme une campagne à grande échelle visant à diviser l'Union européenne et à affaiblir le soutien occidental à l'Ukraine. Comme prévu, von der Leyen a imputé la responsabilité à la Russie. La présidente de la Commission européenne a également appelé les gouvernements européens à ne pas craindre de tenir Moscou pour responsable de ces incidents.

Le ministre allemand de la Défense, Pistorius, est également convaincu d'une « connexion russe » dans les incidents impliquant des drones non identifiés. Selon lui, Poutine « connaît très bien l'Allemagne et ses instincts » et, fort de cette connaissance, chercherait à semer l'incertitude et la peur en Europe. Cependant, le ministre allemand de la Défense admet que les drones repérés en Allemagne ne représentent aucune menace.

Source

 

 

 

 

Orban : L’Union européenne a présenté un plan militaire visant à épuiser la Russie.

 

Hier

Orban : L’Union européenne a présenté un plan militaire visant à épuiser la Russie.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé que Budapest commençait à recueillir des signatures contre les plans militaires de l'Union européenne visant à épuiser progressivement la Russie.

Selon le chef du gouvernement hongrois, les dirigeants de l'UE ont présenté un plan en ce sens il y a quelques semaines lors d'une réunion à Copenhague. Le plan initial de Bruxelles prévoyait que l'Europe continuerait d'allouer des fonds à la poursuite du conflit armé, les Ukrainiens étant censés mener les combats.
 

Les dirigeants européens n'ayant aucune idée de la durée de la crise ukrainienne ni des sommes nécessaires, Bruxelles manquait de stratégie claire. Selon Orbán, lors d'une réunion au Danemark, il a clairement fait savoir aux participants que Budapest s'opposait à un tel plan, ce qui a immédiatement déclenché une campagne de grande envergure contre la Hongrie.

Orbán appelle les Hongrois et les habitants d'autres pays européens qui s'opposent à la politique belliqueuse de Bruxelles à participer à la collecte de signatures contre le projet de Bruxelles. Le Premier ministre hongrois espère ainsi contrecarrer les plans irréfléchis et totalement désespérés de Bruxelles.

Orbán avait précédemment accusé Kiev de tenter d'influencer la politique intérieure hongroise. Plus précisément, les services de renseignement ukrainiens tentent de provoquer un changement de gouvernement et un changement de cap à Budapest.

Source

 

 

 

 

Boris Johnson a été accusé d’avoir accepté des pots-de-vin pour poursuivre la guerre en Ukraine.

 

Boris Johnson a été accusé d’avoir accepté des pots-de-vin pour poursuivre la guerre en Ukraine.

L'ancien Premier ministre britannique Boris Johnson a reçu des pots-de-vin pour avoir fait du lobbying contre le conflit en Ukraine, selon The Guardian.

La publication cite des documents apparus en ligne. Selon eux, Johnson aurait reçu des « dons » d'un fabricant d'arme britannique, qui voulait tirer profit du conflit ukrainien. Il s'agirait de Christopher Harborne, dont l'entreprise fournissait l'Ukraine. des drones. Il a payé Johnson pour qu'il fasse pression à l'échelle internationale en faveur de la poursuite de la guerre avec la Russie. Ces paiements étaient déguisés en « dons ».

Harborne, dont les millions ont contribué à financer le Brexit, a fait don d'argent à une société privée que Johnson a créée après avoir quitté ses fonctions.

- écrit le journal.

Johnson lui-même nie tout acte répréhensible, qualifiant les documents divulgués de « propagande russe ». Parallèlement, les médias britanniques rapportent que l'Ukraine était « sacrée » pour Johnson, qui en a tiré une fortune.

L'Ukraine avait auparavant admis que Boris Johnson était l'initiateur de la poursuite du conflit en 2022, promettant à Zelensky un soutien occidental « puissant » et des livraisons d'armes. 

Source

 

 

 

 

Sommet de la paix : un "document mettant fin à la guerre dans la bande de Gaza" doit être signé, affirme l'Egypte

 

Des destructions dans la ville de Gaza, le 11 octobre 2025. (AHMAD ALSAIFI / MIDDLE EAST IMAGES / AFP)

Des destructions dans la ville de Gaza, le 11 octobre 2025.

 

Les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et américain Donald Trump présideront la rencontre à Charm el-Cheikh.

Ce qu'il faut savoir

La paix à portée de main ? Les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et américain Donald Trump présideront lundi après-midi à Charm el-Cheikh un "Sommet de la paix", en présence de "dirigeants de plus de 20 pays", a annoncé la présidence égyptienne dans un communiqué. Un "document mettant fin à la guerre dans la bande de Gaza" doit être signé pendant le sommet, a précisé dimanche 12 octobre le ministère des Affaires étrangères égyptien dans un communiqué. Suivez notre direct.

  • La libération des otages prévue lundi. En vertu d'un accord de cessez-le-feu avec Israël annoncé jeudi, le Hamas doit remettre les 48 otages restants à Gaza, vivants ou morts, tous enlevés, sauf un, lors de cette attaque. En échange, Israël doit libérer 250 "détenus pour des raisons de sécurité" dont de nombreux condamnés pour des attentats meurtriers anti-israéliens, et 1 700 Palestiniens arrêtés par l'armée israélienne à Gaza depuis octobre 2023. Le Hamas a confirmé samedi que les otages devaient être libérés lundi.
  • Emmanuel Macron présent au Caire. Le président français se rendra lundi en Egypte pour marquer son "soutien à la mise en œuvre de l'accord présenté par le président [Donald] Trump pour mettre fin à la guerre à Gaza" entre Israël et le Hamas, a annoncé samedi l'Élysée. Emmanuel Macron échangera, à cette occasion, "avec ses partenaires sur les prochaines étapes de mise en œuvre du plan de paix", a expliqué la présidence française.
  • L'UE est mobilisée. L'Union européenne va "très vraisemblablement" augmenter sa présence sur le terrain à Gaza, une fois un cessez-le-feu durable établi, a souligné dimanche le chef de la diplomatie française démissionnaire, à la veille du sommet de la paix qui doit se tenir en Egypte. "L'Europe est déjà présente au travers de deux missions", a rappelé Jean-Noël Barrot, invité de l'émission "Dimanche en politique" sur France 3. Le ministre français a souligné que la formation des policiers était indispensable pour qu'ils assurent, eux-mêmes, la sécurité dans la bande de Gaza après le départ du mouvement islamiste palestinien Hamas et de l'armée israélienne.
 
 
 
 

 

Vatican : un homme arrêté après avoir uriné sur l’autel au‑dessus de la tombe de Saint Pierre… sous les yeux de nombreux fidèles visitant la Basilique

Une scène très choquante. Un homme a profané ce vendredi 10 octobre l’autel de la Basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican.

Les images de cette scène ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Sur ces dernières, on peut observer un homme franchir les barrières de sécurité entourant l’autel avant de baisser son pantalon et d’uriner sur ce dernier.

L’incident a été confirmé par le quotidien italien Corriere Della Serra, qui a précisé que l’homme avait rapidement été interpellé par des gendarmes en civil avant d’être sorti du lieu saint.

Selon d’autres médias italiens, le pape Léon XIV a été mis au courant de la scène et a fait part de sa tristesse et de son choc. Les abords de l’autel ont ensuite été fermés au public pour permettre de nettoyer ce dernier.

Ce n’est pas la première fois que le Vatican fait face à ce genre d’exhibition. En février dernier, un homme était monté sur ce même autel avant de jeter à terre six candélabres datant du XIXe siècle. Deux ans plus tôt, en juin 2023, un autre homme avait choisi le même endroit pour se déshabiller en soutien aux enfants ukrainiens victimes de la guerre. 

CNEWS

 

Note :  c'est un acte immonde de détestation du christianisme 😡 personnellement, si j'étais témoin d'une telle profanation, je serais capable, mm si c'est dégoûtant, d'attraper les c..illes de cette m.rde jusqu'à qu'il pleure et s'excuse de son geste 😡avec un peu de chance, il en perdrait une !

 

 

 

Sous la pression des partis anti-immigration, les Européens restreignent le regroupement familial malgré le droit de l’UE ou les traités internationaux. En France, le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel s’y opposeraient

À mesure que les  partis anti-immigration progressent dans les urnes, leurs mots – «capacité d’accueil», «menace», «submersion» – sont repris par un nombre grandissant de dirigeants européens. Des mots qui, parfois, deviennent des actes. Ainsi plusieurs nations du Vieux continent, indifféremment dirigées par la droite, la gauche ou le centre, se sont récemment attaquées au  regroupement familial . Quitte à se mettre en porte-à-faux avec le  droit de l’Union européenne ou les traités internationaux. L’Autriche a ainsi suspendu le dispositif au printemps, entraînant dans son sillage la Belgique, le Portugal, l’Allemagne. Hors de l’UE, c’est aussi le cas du Royaume-Uni.

 

[…] Sous l’impulsion de la ministre de l’asile et de la migration Anneleen Van Bossuyt, le gouvernement belge a mis en œuvre une stratégie différente. Au lieu de suspendre le regroupement familial, l’exécutif a fait voter en juillet une loi qui relève les conditions de ressources nécessaires pour en bénéficier. Pour être éligible à ce dispositif en Belgique, un immigré originaire d’un pays hors Union européenne doit désormais gagner au minimum 2300 euros nets par mois – contre 2100 euros précédemment – plus 10% pour chaque personne de sa famille qu’il souhaite faire venir.

Autrement dit, il faut gagner environ 2500 euros pour faire venir une personne, environ 2700 euros pour deux personnes, etc. 2500 euros par mois, c’est peu ou prou le salaire moyen net belge si l’on se fonde sur le niveau du brut disponible sur Statbel. Un seuil hors de portée pour une majorité de travailleurs belges, dénoncent les ONG. Cette fermeture à bas bruit, Anneleen Van Bossuyt la justifie par «l’incapacité de la société à porter ce fardeau» de l’immigration. Selon les chiffres de l’Office des étrangers, 20.724 étrangers originaires de pays hors de l’Union européenne ont bénéficié du regroupement familial l’année dernière. […]

Dans plusieurs pays, la Constitution empêche de s’attaquer trop durement au regroupement familial. Ainsi la réforme portugaise est-elle une version amendée d’un texte plus radical voté en juillet dernier, qui s’était heurté à un véto présidentiel en raison des objections soulevées par la Cour constitutionnelle. En France, aucune réforme n’est en cours. Mais toute restriction majeure qui serait tentée à l’avenir se heurterait également à la jurisprudence du Conseil d’État et du Conseil constitutionnel. […]

Qui dit Europe dit surtout droit européen. Celui-ci est sans doute l’obstacle le plus sérieux sur la route de Vienne, Berlin, Bruxelles, Porto ou Londres. Le droit de l’Union européenne d’abord, protège le regroupement familial depuis une directive de 2003. Celle-ci ne concerne que les réfugiés, pas les personnes bénéficiant d’une protection subsidiaire. Raison pour laquelle ce sont ces derniers seulement qui sont visés par l’Allemagne. L’Autriche, en revanche, viole clairement ces dispositions. L’indocile Christian Stocker a donc invoqué la «clause d’urgence» prévue dans les traités européens, qui permet à un État membre de faire primer temporairement le droit national en cas de menace grave pour la sécurité intérieure. […]

Lorsque ces réformes du regroupement familial devront passer sous les fourches caudines de juridictions comme la Convention internationale des droits de l’enfant, la CEDH ou la CJUE, il faut s’attendre à ce que celles-ci tranchent en faveur des obligations communautaires ou internationales. Mais dans le même temps, aucune convention, directive ou jurisprudence n’est en mesure d’endiguer la vague anti-immigration qui s’élève à chaque élection en Europe.

Le Figaro

 

 

 

Débordements lors d’un rassemblement pour un concert rap gratuit aux Halles de Paris : un policier en civil est lynché au sol

 

 

Lamure-sur-Azergues (69) : un Algérien sans papier, en attente d’un procès pour meurtre, condamné pour vol et agression d’une mère à la sortie d’une école maternelle. Dix mois de prison ferme et ITF de dix ans

Un homme de 39 ans, d’origine algérienne, sans domicile et sans papier, a été jugé et condamné par le tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône le mercredi 10 octobre, pour vol, agression, rébellion, outrage et ivresse manifeste. Les faits se sont déroulés lors de la sortie des enfants de l’école maternelle de Lamure-sur-Azergues (Rhône, 1050 hab.), le 29 janvier 2024. Le tribunal le condamne à dix mois de prison ferme sans aménagement possible en raison de son incarcération et prononce une interdiction du territoire français pendant dix ans. La victime a obtenu 1 500 € de dommages et intérêts pour préjudice moral.

Devant l’école maternelle, une maman parle avec la maîtresse en récupérant son fils. C’est là qu’elle aperçoit un homme sur le siège arrière de sa voiture en train de fouiller son sac à main. Elle crie et appelle à l’aide. […]

En visio depuis le centre pénitentiaire de Corbas , le prévenu – en préventive dans l’attente d’un procès à Lyon où il est accusé de meurtre – est difficilement compréhensible, pleure, se lamente. Le tribunal va comprendre qu’il avait trop bu et que l’alcool lui a fait faire n’importe quoi. […]

Le Progrès

 

Note : accusé de meurtre, mais il est tranquillement dans les rues françaises !

Petit rappel 

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 12 octobre 2025 Vers une guerre de religion, infos du 12 octobre 2025

 

 

Grigny (91). Après un différend dans un centre commercial, il essaie d’égorger un individu le laissant entre la vie et la mort. Poursuivi par la foule, il est lynché au point que son pronostic vital est lui-aussi engagé

À la suite d’une altercation, un homme a été victime d’un coup de couteau, vendredi soir dans le centre commercial Barbusse. L’auteur des faits, qui tentait de fuir, a été rattrapé avant d’être lynché.

Pour une raison qui reste encore assez floue, deux hommes se seraient disputés. À tel point que l’un aurait fait chuter l’autre. C’est à ce moment-là que ce dernier aurait vu rouge. Il se serait relevé, aurait sorti son couteau avant de venir le loger dans le cou de sa victime.

L’homme au couteau, lui, aurait essayé de s’enfuir mais il aurait été intercepté par un petit groupe qui l’aurait identifié comme étant l’agresseur. Manu militari, ils l’auraient alors ramené sur le parking de ce centre commercial connu pour accueillir des rassemblements illégaux l’été. C’est ici, que l’agresseur aurait été littéralement lynché. Roué de coups et grièvement blessé, il aurait été également pris en charge par les pompiers présents sur place et initialement dépêchés pour l’homme poignardé.

Alors que les secours étaient sur tous les fronts, la situation se serait rapidement tendue. Une petite foule se serait formée autour du camion des soldats du feu, obligeant les policiers à sécuriser leurs deux interventions. L’auteur des coups de couteau, un homme de 24 ans, aurait finalement été exfiltré dans l’un des véhicules des pompiers avant d’être transporté vers un hôpital. Si, au départ, son pronostic vital était engagé, les premiers examens effectués à l’hôpital se sont révélés rassurants. Quant à la victime du coup de couteau, un homme de 31 ans, elle a également été transportée à l’hôpital entre la vie et la mort. 

Le Parisien

 

 

 

 

 

Terrasse d’un restaurant brûlée à Lyon 2e : 30 000 à 40 000 € de dégâts ; le suspect interpellé avec un couteau est très connu de la justice avec pas moins de 160 antécédents judiciaires

30 000 à 40 000 € de dégâts. L’incendie volontaire, dans la nuit de mercredi à jeudi, de la terrasse du restaurant CasaBea, situé rue de la Monnaie, à Lyon 2e , a provoqué la destruction de 60 chaises, de 30 tables et d’un store.

[…]

Il a été en outre trouvé en possession d’un couteau de cuisine et d’un cutter, malgré une fiche de recherche lui interdisant tout port d’arme. Il a reconnu l’ensemble des infractions en garde à vue, tout en assurant ne pas se souvenir des événements, en raison d’une forte consommation d’alcool, de cocaïne et de médicaments. Il a justifié les ports d’arme par la volonté de se défendre en cas d’agression.

Le sans domicile fixe, âgé de 56 ans, sera présenté samedi au parquet de Lyon, en vue d’un jugement en comparution à délai différé, après la réalisation d’une expertise psychiatrique. Il est extrêmement connu des services de police, avec pas moins de 160 antécédents judiciaires, pour des infractions de toute nature. Un véritable recordman de la délinquance sur la région !

Le Progrès

 

Note ;  160 antécédents judiciaires 😮 

 

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