Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
La réunion entre Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska est prévue pour ce vendredi 15 août 2025 à 11h30 heure locale, soit 21h30 heure française (mais vu que je vis en Asie, je ne pourrais pas suivre le direct de ce soir, mais je ne m'attends pas à de gros accords, la Russie ne cèdera aucun territoire conquis et l'Ukraine refusera toute concession).
En direct, guerre en Ukraine :
Donald Trump est en route pour l’Alaska, avant le sommet avec Vladimir Poutine
Les présidents américain et russe doivent se rencontrer à Anchorage, à partir de 21 h 30, heure de Paris. Dans l’avion, Donald Trump a dit qu’il ne se rendait pas en Alaska pour négocier un accord au nom de l’Ukraine, mais que son objectif était d’encourager Vladimir Poutine à négocier.
16:21
Donald Trump accueillera Vladimir Poutine à sa sortie d’avion en Alaska, annonce le Kremlin
Le président américain, Donald Trump, accueillera son homologue russe, Vladimir Poutine, à sa sortie d’avion vendredi en Alaska, a annoncé le Kremlin.
« A 11 heures précises (21 heures à Paris), le président doit atterrir, et le président Trump l’accueillera » sur le tarmac, a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, aux agences officielles russes, avant le départ de Vladimir Poutine pour l’Alaska.
Vladimir Poutine lors d’une visite d’usine dans la ville de Magadan, à l’extrême est de la Russie, le 15 août 2025. ALEXEY NIKOLSKY/REUTERS
15:26 Urgent
Des renforts ukrainiens envoyés dans l’est de l’Ukraine pour stopper l’avancée russe
« Aujourd’hui, la décision a été prise de renforcer [le secteur de Pokrovske] et d’autres de la région de Donetsk », a écrit le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, sur Telegram.« L’armée russe continue de subir de lourdes pertes en tentant d’obtenir de meilleures positions politiques pour les dirigeants russes lors de la réunion en Alaska », a-t-il ajouté.
L’armée russe a accéléré ses avancées sur le front ces derniers mois et se trouve en passe de menacer plusieurs positions ukrainiennes d’importance, dont la ville de Pokrovsk, un nœud essentiel pour la logistique des forces ukrainiennes dans la région.
14:40
Donald Trump est en route pour Anchorage
Le président américain, Donald Trump, embarque à bord d’Air Force One à la base militaire d’Andrews, dans le Maryland, à destination d’Anchorage (Alaska), vendredi 15 août 2025. ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / AFP
Le président américain, Donald Trump, vient de s’envoler pour l’Alaska, où il doit rencontrer Vladimir Poutine pour un sommet historique qui pourrait sceller le sort de l’Ukraine en guerre. « GROS ENJEUX ! », a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.
Aux journalistes, Donald Trump a répondu « peut-être » lorsqu’on lui a demandé si les Etats-Unis mettraient des garanties de sécurité sur la table, tout en affirmant que de telles mesures n’incluraient pas l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. « Certaines choses ne se produiront pas », a-t-il déclaré.
Il a ajouté qu’il ne se rendait pas en Alaska pour négocier un accord au nom de l’Ukraine, mais que son objectif était d’encourager Vladimir Poutine à négocier. Le président américain a aussi confirmé sa volonté d’imposer des sanctions « économiquement sévères » si la Russie n’était pas disposée à discuter avec l’Ukraine de la fin de la guerre.
14:14
Emmanuel Macron a échangé avec Volodymyr Zelensky, vendredi
L’Elysée a communiqué aux journalistes qu’Emmanuel Macron « a eu de nouveaux échanges avec le président [ukrainien, Volodymyr] Zelensky, hier [jeudi] et aujourd’hui [vendredi] », ajoutant que les deux chefs d’Etat « ont convenu de se voir au moment où ce sera le plus utile et efficace » après la rencontre en Alaska entre Vladimir Poutine et Donald Trump, prévue ce vendredi soir à 21 h 30 (heure de Paris).
14:00 L’essentiel
Le point sur la situation vendredi 15 août en début d’après-midi
Vladimir Poutine et Donald Trump se retrouvent vendredi en Alaska pour leur premier sommet depuis le retour du milliardaire américain au pouvoir. Les attentes sont très fortes pour cette rencontre, qui doit surtout porter sur la guerre en Ukraine. La rencontre doit avoir lieu à 11 h 30 à Anchorage (21 h 30 à Paris).
A croire le président américain, ce sera tout ou rien. Donald Trump se fait fort de savoir en « cinq minutes » maximum si sa première rencontre en personne depuis 2019 avec le président russe sera un fiasco, ou si elle permettra d’esquisser une issue au plus sanglant conflit en Europe depuis la seconde guerre mondiale.
A son arrivée à Anchorage, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, semblait réservé quant à l’issue de la rencontre au sommet. « Nous ne faisons jamais de prédiction », a déclaré à une télévision russe M. Lavrov, qui portait un sweat-shirt arborant un tee-shirt blanc avec l’inscription СССР (URSS, en russe). « Nous avons des arguments et notre position est claire et nette, nous l’exposerons », a-t-il simplement ajouté.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, la Russie a lancé sur l’Ukraine deux missiles antiaériens et 97 drones de type Shahed ainsi que divers types de drones leurres, annonce l’armée de l’air ukrainienne. Les drones et les missiles ont visé les zones de la ligne de front dans les oblasts de Donetsk, de Kharkiv, de Soumy et de Tchernihiv.
Des drones ukrainiens ont touché dans la nuit de jeudi à vendredi une raffinerie de pétrole russe dans la région méridionale de Samara.« La raffinerie de pétrole de Syzran, dans l’oblast de Samara en Russie (…) a été touchée », a affirmé l’Etat-major ukrainien.
Ioulia Navalnaïa a appelé, vendredi, le président russe à libérer les opposants à la guerre en Ukraine emprisonnés en Russie. « Libérez les activistes et journalistes russes, les civils ukrainiens, tous ceux qui ont été emprisonnés pour des propos antiguerre et des posts sur les réseaux sociaux », a déclaré, dans un message vidéo publié sur sa chaîne Telegram, Mme Navalnaïa, dont le mari, Alexeï, opposant farouche au Kremlin, est mort soudainement dans une colonie pénitentiaire de l’Extrême-Nord russe en février 2024.
08:35
Au cours des dernières vingt-quatre heures, 149 affrontements ont été enregistrés entre Russes et Ukrainiens
Les troupes russes ont mené des frappes aériennes, en particulier dans les zones des villes Boïaro-Lejatchi (📍), dans l’oblast de Soumy ; Novodanylivka (📍) et Orihiv (📍), dans l’obast de Zaporijia ; Lvove (📍), dans l’oblast de Kherson.
Cinq affrontements ont eu lieu dans dans la direction de Slobojansk-Nord (📍) et de Koursk (📍). L’ennemi a lancé 12 frappes aériennes, largué 28 bombes guidées et effectué 288 tirs, dont sept à partir de systèmes de tir multiple. Par ailleurs, les combats se poursuivent notamment en direction de Koupiansk (📍), où cinq attaques russes ont été repoussées, de même en direction de Lyman (📍), où la Russie a mené 20 offensives.
06:14
Vladimir Poutine qualifie les troupes nord-coréennes d’« héroïques »
Le président russe, Vladimir Poutine, a acclamé les troupes nord-coréennes qui combattent sur le front en Ukraine dans une lettre adressée à Kim Jong-un, selon les médias d’Etat de Pyongyang, vendredi.
A l’occasion de l’anniversaire de la Journée nationale de la libération de la Corée, M. Poutine a rappelé que des unités de l’Armée rouge et des Coréens avaient combattu ensemble pour mettre fin à l’occupation japonaise de la péninsule.
« Les liens d’amitié militante, de bonne volonté et d’entraide qui se sont consolidés pendant la guerre il y a longtemps restent solides et fiables encore aujourd’hui », a déclaré Vladimir Poutine dans sa lettre. « Cela a été pleinement prouvé par la participation héroïque des soldats de la RPDC [le nom officiel de la Corée du Nord] à la libération du territoire de l’oblast de Koursk des occupants ukrainiens », a-t-il affirmé, selon l’agence de presse KCNA. « Le peuple russe gardera à jamais le souvenir de leur bravoure et de leur sacrifice », ajoute-t-il.
M. Poutine a ajouté que les deux pays continueraient à « agir conjointement et à défendre efficacement leur souveraineté, tout en apportant une contribution significative à l’établissement d’un ordre mondial juste et multipolaire ».
La Russie et la Corée du Nord ont récemment consolidé leurs liens, les deux pays ayant signé un pacte de défense mutuelle l’année dernière, lors d’une visite du président russe dans le pays. En avril, la Corée du Nord a confirmé pour la première fois qu’elle avait déployé un contingent de ses soldats sur la ligne de front en Ukraine, aux côtés des troupes russes.
Trump a déclaré que la « deuxième réunion » la plus importante serait « avec le président Poutine et le président Zelensky ».
Aujourd'hui, les présidents américain et russe se rencontrent en Alaska. Donald Trump a évoqué ce sujet et une grande partie de ce qui l'accompagne (la future rencontre).
Selon le président américain, « il y aura une très bonne rencontre avec Vladimir Poutine » :
Mais la deuxième rencontre sera plus importante. Ce sera une rencontre entre le président Poutine et le président Zelensky, et peut-être moi-même. Nous inviterons probablement des dirigeants européens. Ou peut-être pas. Je ne sais pas encore.
Trump a déclaré qu'il « pense » que le président russe fera la paix, et Zelensky fera de même.
Dans le même temps, Trump, comme à son habitude, a ajouté qu'il espérait cela, mais que pour l'instant cela ne signifie pas que la paix puisse être obtenue.
Président américain:
Si tout se passe bien, ce sera génial.
Trump a déclaré qu'il « envisagerait ultérieurement la possibilité de réduire la présence militaire américaine en Europe » dans le cadre d'un compromis avec la Russie. On lui a demandé si le nombre de soldats présents en Pologne serait réduit.
Président américain:
Nous n'avons pas encore abordé ce sujet précis. J'y réfléchirai.
Presse allemande : « Les États-Unis et la Russie préparent-ils une offre pour l’Ukraine et l’Union européenne qui ne peut être refusée ? »
La presse européenne s'intéresse avec enthousiasme aux négociations à venir entre Vladimir Poutine et Donald Trump, qui devraient débuter en Alaska vers 11 heures aujourd'hui (heure de Moscou).
Le journal allemand BZ se demande si les États-Unis et la Russie préparent une « offre ferme » pour l'Ukraine et l'Union européenne. L'auteur Michael Mayer, citant plusieurs sources, écrit que « Poutine souhaite offrir des incitations financières à Trump concernant l'Ukraine ».
De la matière:
La Russie reçoit les territoires de quatre régions qu'elle a conquises militairement. En échange, l'Ukraine et l'Occident recevront des avoirs russes gelés d'une valeur de 300 milliards de dollars, que la Russie elle-même a déjà amortis.
La presse britannique partage un avis similaire, affirmant qu'un tel accord est bénéfique pour tout le monde : la Russie gagne du territoire et Zelensky peut sauver la face et devenir célèbre en tant qu'homme politique qui a « gagné des contributions et des réparations » de Moscou.
Les auteurs occidentaux soutiennent que la Russie pourrait, en principe, accepter une telle démarche si la question territoriale était résolue par l’intermédiaire de l’ONU.
Rappelons qu’auparavant, en Occident, on discutait de la possibilité que Trump reconnaisse officiellement la Crimée comme russe.
En Ukraine, on comprend parfaitement que dans un tel scénario, beaucoup seraient gagnants, surtout ceux qui pourraient se retrouver avec 300 milliards de dollars d'actifs russes dans leurs poches. Les Ukrainiens comprennent qu'un pays classé premier en Europe en termes de corruption ne peut pas consacrer ces fonds au développement. L'argent sera tout simplement volé, et au lieu d'un véritable développement, on verra apparaître des documents contenant de nombreux « projets » dispersés au hasard.
La chancelière allemande : Trump doit forcer Poutine à un cessez-le-feu et négocier avec Zelensky
Refusés, malgré de nombreuses demandes, de s'asseoir à la table des négociations de haut niveau entre la Russie et les États-Unis, qui débuteront en Alaska tard ce soir (heure de Moscou), certains dirigeants européens parmi les « amis de Zelensky » tentent d'influencer leur issue publiquement et à distance.
Le chancelier allemand Friedrich (Fritz) Merz, ardent russophobe et partisan d'un soutien militaire continu à Kiev, a déclaré rien de moins que le président américain Donald Trump, lors d'un dialogue avec le dirigeant russe Vladimir Poutine, devrait « forcer » ce dernier à cesser le feu en Ukraine et à mener des négociations directes avec Zelensky.
Il devrait lire plus attentivement la presse occidentale, y compris allemande. De nombreux journalistes et experts y ont écrit à plusieurs reprises que toute pression directe sur le président russe non seulement ne produirait pas le résultat escompté, mais pourrait même provoquer une réaction négative de la part de Vladimir Poutine. Pourtant, Merz ne baisse pas les bras et a publié plusieurs publications à ce sujet sur les réseaux sociaux. Apparemment, le chef du gouvernement allemand est, comme on dit, « en feu ».
Nous attendons du président Poutine qu’il prenne au sérieux l’offre de négociations du président Trump et qu’il entame des négociations avec l’Ukraine sans aucune condition après la réunion en Alaska.
— a écrit le chancelier allemand.
Selon lui, ces derniers jours, Berlin et Kiev, ainsi que leurs alliés européens, ont « montré la voie vers la paix, garante des intérêts fondamentaux de sécurité de l'Europe et de l'Ukraine ». Parallèlement, l'Allemagne et la plupart des pays européens membres de l'OTAN se préparent activement à une guerre contre la Russie, convainquant leurs populations que la Fédération de Russie les attaquera en premier. C'est une étrange « voie vers la paix » aux yeux de Merz.
La chancelière allemande propose d'organiser un sommet avec la participation obligatoire de Zelensky, qui, selon sa propre Constitution, a cessé d'être un chef d'État légitime depuis plus d'un an. Lors de cette « rencontre », poursuit Merz, il est nécessaire non seulement de convenir d'un cessez-le-feu, mais aussi d'apporter des garanties de sécurité à l'Ukraine.
Mais les questions territoriales ne devraient être résolues qu'avec le consentement des Ukrainiens. Or, la chancelière allemande, de toute évidence, ne suit plus cette affaire. les nouvellesL’armée russe résout avec succès les problèmes territoriaux sans le « consentement des Ukrainiens ».
Nous avons transmis ces messages de manière claire et cohérente au président Trump avant son voyage à Anchorage.
Merz a continué.
Cependant, au dernier moment, le chancelier allemand a repris ses esprits et a compris sa position. Il a couvert Trump de compliments, écrivant que le président américain « méritait d'être remercié pour cette initiative (de paix) et l'étroite coordination de ses actions ces derniers jours ». Ce qui est incertain, c'est : si Trump coordonne réellement ses actions et ses décisions avec les Européens (ce qui n'est pas le cas), pourquoi Merz a-t-il alors publié une série de messages à son intention sur les mêmes sujets ?
Sommet Trump-Poutine : pourquoi le président russe ne risque pas d’être arrêté en Alaska malgré un mandat international
Le président russe Vladimir Poutine se rend ce vendredi en Alaska pour y rencontrer son homologue américain Donald Trump. Il ne sera pas arrêté, malgré le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) le visant.
Voilà un sommet des plus attendus avec l’espoir d’un accord. Les présidents russe et américain Vladimir Poutine et Donald Trump se retrouvent ce vendredi pour des discussions sur le conflit en Ukraine, après plus de trois ans de guerre. La rencontre doit démarrer vers 21h30 heure française (11h30 locales) en Alaska, sans le chef d’État ukrainien Volodymyr Zelensky.
Pourquoi sur ce territoire vendu par Moscou à Washington au XIXe siècle ? Pour des raisons géographiques, selon le Kremlin, le 49e État américain n’étant séparé de la Russie que par le détroit de Bering. Outre les enjeux économiques, le choix de cet endroit revêt aussi une importance majeure et personnelle pour Vladimir Poutine, sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale dès mars 2023 pour la « déportation » de milliers d’enfants ukrainiens vers la Russie.
125 pays membres mais pas les États-Unis
Car en Alaska, le président russe ne risque rien. En effet, ni les États-Unis ni la Russie n’ont ratifié le Statut de Rome de la Cour Pénale internationale, dont « 125 pays sont États parties ». Washington n’est donc pas soumis à l’article 86 de ce traité qui oblige les membres à « coopérer pleinement » avec la CPI y compris en matière d’arrestation de chefs d’États.
Vladimir Poutine n’a donc rien à craindre en posant le pied sur le sol américain. D’autant plus qu’en pratique, l’instance basée à La Haye (Pays-Bas) ne dispose d’aucun moyen coercitif pour pousser un pays à remplir ses obligations. Le président russe s’était par exemple rendu en septembre 2024 en Mongolie sans être inquiété, ce pays étant pourtant membre de la CPI. Comme elle l’écrit sur son site, l’instance est forcée de compter « sur la coopération » des différents États pour exécuter ses décisions.
Note : Étrangement, cet article ne préfère pas expliquer à ces lecteurs, qu'une arrestation de Poutine, déclencherait une troisième guerre mondiale.
L'Iran dit travailler avec Moscou et Pékin pour empêcher des sanctions européennes
Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a affirmé jeudi que son pays travaillait avec la Chine et la Russie pour empêcher d'éventuelles sanctions européennes en lien avec son programme nucléaire.
L'Allemagne, le Royaume Uni et la France ont dit être prêts à déclencher le mécanisme de rétablissement de sanctions contre l'Iran, dit « snapback », si aucune solution négociée n'est trouvée sur le programme nucléaire iranien d'ici fin août, dans une lettre adressée mardi au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
« Si cela se produit, ce sera négatif (...) Nous allons essayer de l'empêcher (...) Nous travaillons avec la Chine et la Russie pour empêcher la mise en oeuvre du snapback », a indiqué M. Araghchi lors d'un entretien accordé à la télévision d'Etat. « Si cela ne fonctionne pas et qu'ils l'appliquent, nous avons des outils pour réagir », a-t-il ajouté sans plus de précisions.
Le trio européen, connu sous le nom E3, fait partie des puissances mondiales, avec la Chine, la Russie et les Etats-Unis, qui avaient négocié l'accord nucléaire historique de 2015 avec Téhéran, prévoyant un encadrement des activités nucléaires iraniennes en échange d'une levée des sanctions internationales.
Le texte est devenu caduc lorsque Washington a décidé de se retirer unilatéralement du traité en 2018 sous la première présidence de Donald Trump, et Téhéran s'est alors affranchi de certains engagements pris.
Depuis des mois, les Occidentaux tentent de renégocier un traité encadrant strictement le programme nucléaire alors qu'ils suspectent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire, ce que ce pays dément.
L'avancement du programme nucléaire iranien fait l'objet de nombreuses spéculations depuis la guerre de douze jours entre Israël et l'Iran en juin et les frappes américaines sur les installations nucléaires iraniennes.
Coup de tonnerre : Ursula renverse un gouvernement !
Note ; j'avais posté quelques articles qui disaient que l'Union européenne voulait mettre un de leurs pantins à la tête de la Hongrie, comme ils l'ont déjà fait dans d'autre pays, comme la Roumanie. La dictature européenne qui s'ingère dans tous les pays d'Europe pour la façonner à son image, de gauchiste, pro migrants, pro guerre, impérialisme et antirusse. Vivement la fin de cette Europe, pour que l'Europe chrétienne renaisse des cendres de Maastricht.
« En partant, nous avons reçu des jets de bouteilles en verre » : un député britannique menacé par une machette lors d’une visite d’un camp de migrants près de Calais
Une agression qui survient dans un contexte tendu. Chris Philp, député britannique et secrétaire d’État à l’Intérieur du cabinet fantôme, a déclaré avoir été pris à partie par plusieurs individus lors d’une visite d’un camp de migrants près de Calais et de Dunkerque, ce mardi 12 août.
Une scène qu’il a raconté au micro de GB News : «Alors que je discutais avec des migrants, l’un d’eux a sorti une machette incurvée et s’est mis à la brandir, après quoi nous sommes partis assez rapidement. En partant, nous avons reçu des jets de bouteilles en verre».
Le député conservateur avait décidé de réaliser ce déplacement après avoir vu un reportage de la chaîne GB News montrant la situation complexe d’un camp de migrants situé au nord de la France, diffusé fin juillet dernier. Un documentaire dans lequel le journaliste Patrick Christys y avait également été pris à partie.
Chantilly (60) : un gardien séquestré, ligoté, roué de coups et menacé par un couteau par deux Algériens. Il a été sauvé par un SOS lancé sur les réseaux sociaux. Prison ferme (deux ans et un an et demi) et ITF de 10 ans
Kelim B. et Islem B., d’origine algérienne,entrent dans le box des prévenus. Tous deux vêtus d’un tee-shirt blanc, ils écoutent leur interprète qui traduit les questions des juges du tribunal de Senlis (Oise), ce jeudi 14 août.
« Je suis rentré pour dormir », assure l’un des prévenus, récemment arrivé en France. Dans la nuit du 15 au 16 juin, les deux hommes escaladent le portail d’un bâtiment désaffecté de Chantilly (Oise). La porte n’étant pas fermée à clé, ils y pénètrent. Les prévenus trouvent alors une maison vide. Pourtant, quelqu’un y habite bien en tant que gardien.
À l’aide d’un ruban adhésif, ils attachent ses pieds et ses poignets. Puis, avec une « écharpe PSG », ils lui bandent les yeux et le bâillonnent. Dans l’incapacité de bouger, la victime est transportée jusque sur son lit où elle est rouée de coups « sur tout le corps ». Ses ravisseurs lui plaquent un cutter sous la gorge et le menacent. Ils s’amusent même à allumer un briquet et le balader le long de sa peau, « sans le brûler ». […] Car ce qui les intéresse à ce moment est son téléphone et sa carte bancaire. […]
Kelim B. est condamné à deux ans de prison ferme et Islem B. à 1 an et demi. La juge a également prononcé leur interdiction d’être sur le territoire français pendant dix ans. Une peine qui complète leur interdiction d’entrer en contact avec la victime et de se rendre à Chantilly pendant trois ans.
Note : et comme d'habitude, ces deux algériens ne se seront pas expulsés, (un ITF qui ne sera pas respecté) La France de Macron aime garder sa racaille importée et n'a aucune solution pour apporter la paix et la sécurité aux français.
« Nique ta mère, sale arabe » : Elhadji, un migrant clandestin sénégalais qui venait d’être libéré du CRA du Mesnil-Amelot (77), insulte une agente de la SNCF ; un casier chargé de six mentions en trois ans sur le sol français
Un jour de janvier, vers 10 h 30, un homme est repéré alors qu’il s’apprête à traverser les voies dans la gare RER. Immédiatement, il est bloqué et contrôlé. Mais l’agente de la SUGE ne reçoit pas l’accueil attendu. Elhadji, un Sénégalais de 35 ans libéré quelque temps plus tôt du Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne), la menace et l’insulte avec des phrases comme « Nique ta mère, sale arabe… ». Au moment d’être interpellé, il tente de prendre la fuite mais elle le rattrape et le confie ensuite à une patrouille du commissariat. Un peu plus tard, elle dépose plainte.
Au regard de sa situation irrégulière sur le territoire français, Elhadji est placé en garde à vue alors qu’il est en état manifeste d’ébriété. Durant sa retenue, il commet un nouveau délit en refusant de se soumettre aux opérations de relevés signalétiques.
[…]
L’avocate de la défense a insisté sur l’absence de soutien familial ou amical de son client. Elle a sollicité la clémence des juges en préconisant une relaxe totale ou en lui infligeant une amende. Elhadji n’a bénéficié que de la relaxe partielle pour le fait d’outrage mais a écopé de trois mois de prison ferme avec maintien en détention.
Gand (Bel) : Erik, travailleur aux aides sociales, poignardé à mort lors d’une visite à domicile chez un migrant syrien.
C’est un drame qui a secoué la Flandre ces derniers jours. Erik, assistant social au CPAS de 56 ans, a été retrouvé mort dans un appartement du quartier du « Niew Gent ». L’homme s’y était rendu quelques heures plus tôt pour une visite à domicile dans le cadre de son travail.
Le résident de l’appartement, un Syrien de 38 ans vivant en Belgique depuis dix ans, est soupçonné de l’avoir poignardé à plusieurs reprises avant de prendre la fuite.
L’homme a finalement été appréhendé aux alentours d’1 heure du matin dans le quartier de Bruges Poort. « Il était là, vraiment tranquille », témoigne une riveraine, témoin de la scène. « Il a pointé son doigt vers son front et a crié : Shoot me ! You are gonna be a hero ! ».
Laurent Vallet, le patron de l’INA, arrêté avec 600€ de cocaïne achetée à un mineur (Maj : Il sera remplacé par Agnès Chauveau, virée de Sciences Po pour plagiat)
12/08/2025
Laurent Vallet a été interpellé à Paris le 29 juillet après s’être fait livrer de la cocaïne à son domicile. La ministre de la culture, Rachida Dati, a annoncé mardi sa suspension, en attente d’informations supplémentaires.
Le président de l’Institut national de l’audiovisuel (INA), Laurent Vallet, a été interpellé à Paris, le 29 juillet, après s’être fait livrer de la cocaïne à son domicile, a rapporté au Monde le parquet de Paris, mardi 12 août, confirmant une information de Valeurs actuelles. A la mi-journée, la ministre de la culture a annoncé sur X avoir demandé sa suspension. « J’ai décidé pour la sérénité de l’institution de le suspendre immédiatement de ses fonctions en attendant de plus amples informations », a-t-elle écrit, affirmant avoir appris par voie de presse la mise en cause de M. Vallet dans une affaire d’achat de stupéfiant.
Comme il s’agissait d’une première interpellation, il a été « orienté vers une injonction thérapeutique », a précisé le parquet. La politique pénale du parquet de Paris prévoit en effet une « procédure alternative » n’entraînant pas de poursuites judiciaires pour une première infraction de consommation de drogues, en dessous d’une certaine quantité. […]
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