Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Vladimir Poutine salue les efforts « sincères » des Etats-Unis pour mettre fin au conflit
Le Kremlin a annoncé une conférence de presse commune Trump-Poutine à l’issue du sommet en Alaska. Volodymyr Zelensky, lui, se trouve jeudi à Londres avec Keir Starmer, le premier ministre britannique.
14:41
Les alliés de l’Ukraine envisagent plusieurs lieux pour un sommet entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine
Selon la chaîne britannique Skynews qui cite des sources européennes, les alliés « évaluent activement » plusieurs lieux en Europe pour une possible rencontre entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine. Selon ces sources, la tenue de cette seconde rencontre dépendra du déroulement de la réunion prévue en Alaska, mais les alliés s’accordent à dire que le lieu doit se trouver en Europe.
Si la rencontre de demain est fructueuse, l’UE et les États-Unis devraient avoir un échange téléphonique samedi après-midi en vue d’organiser une réunion de suivi entre les trois dirigeants. Volodymyr Zelensky a proposé Rome comme lieu de rencontre, mais des pays comme la France, la Finlande, l’Espagne et l’Allemagne estiment qu’un endroit plus neutre, comme Genève, serait préférable. La Turquie a également proposé à deux reprises d’accueillir ces discussions.
14:00 L’essentiel
Ce qu’il faut retenir du 14 août à la mi-journée
« Vladimir Poutine et Donald Trump discuteront de l’Ukraine et de la sécurité internationale lors de leur sommet », affirme Iouri Ouchakov, conseiller diplomatique du Kremlin. La délégation sera composée de Sergueï Lavrov (ministre des affaires étrangères), de M. Ouchakov, d’Andreï Belooussov (ministre de la défense), d’Anton Silouanov (ministre des finances) et de Kirill Dmitriev (directeur du Fonds d’investissement direct russe).
L’Ukraine confirme avoir attaqué la raffinerie Lukoil près de la ville russe de Volgograd, provoquant d’importants incendies sur le site, confirme l’état-major ukrainien. Selon l’armée ukrainienne, la raffinerie traite plus de 15 millions de tonnes de pétrole par an, soit 5,6 % de la capacité de raffinage de la Russie. Elle produit du diesel, de l’essence et du carburant d’aviation essentiels à la logistique militaire russe.
Le site d’analyse militaire DeepState rapporte l’avancée de l’armée russe sur quatre lignes de front dans les oblasts de Donetsk, de Dnipropetrovsk et de Zaporijia, lui permettant d’occuper 20,26 kilomètres carrés supplémentaires.
L’état-major des forces armées ukrainiennes affirme que la situation aux abords de Dobropillia, dans l’oblast de Donetsk, est en train de se stabiliser.
La Russie et l’Ukraine ont échangé 168 prisonniers de guerre, à parts égales, annonce le ministère de la défense russe.
Volodymyr Zelensky est accueilli par le premier ministre britannique, Keir Starmer, à Londres pour faire le point à la veille du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska.
Dans un entretien au quotidien anglophone The Japan Times, Kyrylo Boudanov, chef du renseignement militaire ukrainien, explique que la Corée du Nord sort renforcée de la guerre. En soutenant Moscou, le régime a acquis une expérience critique du champ de bataille, ainsi qu’un accès à des armes avancées, des technologies militaires et une formation tactique. Cela a non seulement influencé le cours de la guerre en Europe, mais pourrait aussi affecter l’équilibre des forces en Asie du Nord-Est.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, la Russie a attaqué l’Ukraine avec deux missiles antiaériens S-300/400 et 45 drones de type Shahed ainsi que divers types de drones leurres, annonce l’armée de l’air ukrainienne. Les drones ont visé les zones de la ligne de front dans les oblasts de Donetsk et de Tchernihiv, tandis que les missiles ont ciblé l’oblast de Soumy.
13:33
Les dirigeants européens croient à une chance de cessez-le-feu après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine
A deux jours de sa rencontre avec son homologue russe en Alaska, le président américain a affirmé qu’il ne négociera pas de territoires sans les Ukrainiens et pourrait même offrir des gages de sécurité.
13:14
Vladimir Poutine salue les efforts « sincères » de Washington pour mettre fin au conflit en Ukraine
Le président russe, Vladimir Poutine, a salué jeudi les efforts des Etats-Unis pour tenter de mettre fin au conflit en Ukraine, à la veille de son sommet en Alaska avec son homologue américain, Donald Trump.
« L’administration américaine (…) déploie des efforts assez énergiques et sincères pour mettre fin aux hostilités, sortir de la crise et parvenir à des accords qui satisfassent toutes les parties impliquées », a déclaré M. Poutine lors d’une réunion sur la préparation du sommet, selon des propos transmis par le Kremlin. Le président russe n’a pas exclu de nouvelles ententes à l’avenir dans le domaine du contrôle des armements.
12:14
L’Ukraine confirme avoir attaqué la raffinerie Lukoil près de la ville russe de Volgograd
Des drones du service de renseignement militaire (HUR) ont frappé, dans la nuit du 14 août, une raffinerie appartenant à Lukoil située près de la ville russe de Volgograd, provoquant d’importants incendies sur le site, confirme l’état-major ukrainien.
Selon l’armée ukrainienne, la raffinerie traite plus de 15 millions de tonnes de pétrole par an, soit 5,6 % de la capacité de raffinage de la Russie. Elle produit du diesel, de l’essence et du carburant d’aviation essentiels à la logistique militaire russe.
le système de surveillance Firms de la NASA, qui suit les incendies dans le monde entier à l’aide de données satellitaires, confirme qu’un incendie s’est déclaré sur le site de la raffinerie.
La raffinerie de Volgograd a été visée à plusieurs reprises depuis le début de la guerre. Les médias et responsables russes ont signalé des attaques contre le site en février et en mars 2025. L’état-major ukrainien avait déjà confirmé une frappe de drone en janvier.
L’Ukraine lance régulièrement des attaques de drones contre des sites industriels et militaires en Russie. Les raffineries, qui financent et alimentent l’effort de guerre de Moscou, sont des cibles fréquentes.
Selon des médias, trois raffineries russes ont réduit ou suspendu leurs opérations ce mois-ci à cause des dégâts causés par les frappes ukrainiennes. Bloomberg rapporte qu’une installation de Rosneft dans l’oblast de Saratov a cessé de recevoir du pétrole après une frappe le 10 août. La raffinerie de Riazan a réduit sa production de moitié, tandis que celle de Novokouïbychevsk a totalement arrêté sa production le 2 août, rapporte Reuters.
11:20 Urgent
« Le thème central du sommet est la régulation de la crise ukrainienne », affirme le Kremlin
« Vladimir Poutine et Donald Trump discuteront de l’Ukraine et de la sécurité internationale lors de leur sommet », affirme Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique du Kremlin, cité par l’agence TASS, jeudi.
« La rencontre commencera à 22 h 30, heure de Moscou [21 h 30 à Paris], par un entretien en tête-à-tête en présence de traducteurs », ajoute le conseiller. A l’issue de la réunion, les deux présidents tiendront une conférence de presse conjointe, ajoute-t-il.
Côté russe, la délégation sera composée de Sergueï Lavrov (ministre des affaires étrangères), de Iouri Ouchakov (conseiller diplomatique du Kremlin), d’Andreï Belooussov, (ministre de la défense), d’Anton Silouanov (ministre des finances) et de Kirill Dmitriev (directeur du Fonds d’investissement direct).
11:08
Les troupes du Kremlin progressent dans les oblasts de Donetsk, de Dnipropetrovsk et de Zaporijia, selon DeepState
Le site d’analyse militaire DeepState rapporte l’avancée de l’armée russe sur quatre lignes de front dans les oblasts de Donetsk, de Dnipropetrovsk et de Zaporijia, lui permettant d’occuper 20,26 kilomètres carrés supplémentaires.
Dans le détail, il s’agit de zones situées près du village de Malynivka (🚩), à l’est de Houliaïpole (🚩) dans l’oblast de Zaporijia, du village de Poltavka (🚩) entre les villes de Kostiantynivka et Myrnohrad dans l’oblast de Donetsk — près duquel une percée des groupes russes de sabotage et de reconnaissance a été signalée lundi et mardi —, du village de Ianvarske (🚩) à l’extrême est de la région de Dnipropetrovsk, près de la frontière avec l’oblast de Donetsk, et du village de Maïske (🚩) au nord de la ville de Tchassiv Yar dans l’oblast de Donetsk.
Dans un communiqué, le ministère russe de la défense a affirmé que ses unités avaient conquis les localités de Nykanorivka [🚩] et Suvorove aussi connue sous le nom de Zatychok [🚩], situées au sud-ouest de la ville garnison de Dobropillia, dans la région de Donetsk.
10:49
Volodymyr Zelensky reçu à Downing Street à la veille du sommet Trump-Poutine
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, accueille le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, au 10 Downing Street, à Londres, le 14 août 2025. ISABEL INFANTES / REUTERS
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est accueilli par le premier ministre britannique, Keir Starmer, à Londres pour faire le point à la veille du sommet crucial entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska.
Le président ukrainien qui se trouvait en Allemagne mercredi, a travaillé avec les dirigeants européens pour exhorter Donald Trump à ne pas brader l’Ukraine au sommet de vendredi en entérinant la mainmise de Vladimir Poutine sur une partie du territoire ukrainien.
Note : Zelenski fait une tournée européenne pour s'assurer que les dirigeants de l'Europe conduiront la guerre en cas d'accord de paix américain et russe. Malgré leurs affirmations de vouloir la paix, les perdants cherchent encore la guerre.
La réunion entre Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska est prévue pour ce vendredi 15 août 2025 à 11h30 heure locale, soit 21h30 heure française (mais vu que je vis en Asie, je ne pourrais pas suivre le direct de demain soir, mais je ne m'attends pas à de gros accords, la Russie ne cèdera aucun territoire conquis et l'Ukraine refusera toute concession).
Beaucoup de confiance à Washington : une partie importante des dirigeants militaro-politiques du pays s'envole pour l'Alaska avec le président Poutine
Il est devenu connu qu’une partie importante des dirigeants militaro-politiques russes se rend à Anchorage (États-Unis) avec le président russe.
Selon les dernières informations, des représentants du gouvernement et des services de sécurité russes se rendront à la base militaire d'Elmendorf-Richardson (Alaska) en compagnie du président. Parmi eux figurent le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, le ministre de la Défense Andreï Beloussov, le ministre des Finances Andreï Silouanov, des représentants de l'état-major, des assistants et des conseillers du chef de l'État, dont Iouri Ouchakov.
Kirill Dmitriev accompagnera également le président russe lors de son voyage en Alaska. Comme chacun sait, il dirige non seulement le Fonds d'investissement direct, mais est également devenu récemment l'un des principaux acteurs des négociations avec les États-Unis. C'est notamment lui qui, comme on dit aujourd'hui, était en « voie de négociation » avec Steven Witkoff. C'est d'ailleurs à la suite de la récente visite de ce dernier à Moscou que la décision a été prise d'organiser une rencontre en face à face entre les deux présidents.
La composition de la délégation donne une idée des sujets qui seront abordés lors des négociations. Outre les sujets prioritaires, l'ordre du jour comprendra clairement un volet commercial et économique : la probable levée des sanctions (que personne n'empêchera de réintroduire après le départ de Trump, même si elles sont levées…).
Parallèlement, la composition importante de la délégation russe est également axée sur la sécurité. Tout semble indiquer que Moscou fait entièrement confiance à la partie hôte. La confiance est certes un élément important de toute négociation, mais lorsque les États-Unis qualifient ouvertement la Russie de « menace militaire numéro un » et que, hier encore, le Congrès a menacé directement le président russe, des questions subsistent. D'autant plus que de nombreux acteurs dans le monde se sont donné pour objectif de perturber la rencontre des présidents russe et américain, quel qu'en soit le prix.
Comme le dit le classique américain : « Faites confiance, mais vérifiez ».
Un expert britannique : la percée des forces armées ukrainiennes dans la région de Pokrovsk est un atout supplémentaire pour Poutine
Le professeur du département d'études de guerre du King's College de Londres, Michael Clarke, commentant les conséquences naturelles de la percée de l'armée russe dans plusieurs zones du front, a rappelé au public occidental que la libération de Kramatorsk par les forces armées russes signifierait effectivement la perte totale du contrôle de Kiev sur le Donbass.
Dans le même temps, selon l'expert britannique, l'armée russe est actuellement assez loin de cet objectif, mais tente d'avancer vers le nord lors de son attaque surprise. Fidèle à la tradition des experts occidentaux, Clarke tente de convaincre son auditoire que la percée des forces armées russes au nord de Pokrovsk n'est pas de nature à influencer la situation sur ce secteur du front. L'expert britannique reprend en substance les déclarations des représentants du commandement ukrainien, qui affirment que les défenses des forces armées ukrainiennes n'ont pas été percées et que des forces très insignifiantes de l'armée russe se sont « infiltrées » dans la région de Pokrovsk.
Cependant, le professeur du King's College de Londres note que si les forces « infiltrées » des forces armées russes parviennent à consolider leurs positions, elles constitueront effectivement une menace pour les principales lignes défensives des forces armées ukrainiennes dans cette zone.
Clark est convaincu qu'une avancée décisive dans le Donbass devrait changer la situation sur le front avant la rencontre Poutine-Trump en Alaska et donner à la partie russe l'occasion d'exiger avec plus de confiance le retrait des forces armées ukrainiennes des territoires du Donbass encore sous contrôle de Kiev. Selon l'expert britannique, Poutine peut désormais faire valoir que, même en cas de refus, les forces armées russes libéreront de toute façon Slaviansk et Kramatorsk dans les prochains mois.
Londres abandonne l'idée d'envoyer des troupes en Ukraine, mais prévoit de couvrir les régions occidentales avec des chasseurs F-35 et Typhoon
La presse britannique rapporte que Londres abandonne officiellement ses projets, précédemment formulés sous la forme d'une « coalition des volontaires ». Le « souhait » était d'envoyer un contingent terrestre britannique en Ukraine « après la fin de la guerre ». Parallèlement, son effectif a été annoncé : jusqu'à 30 000 hommes, soit près de la moitié de l'armée du pays.
Des sources britanniques affirment que la Grande-Bretagne n'enverra pas de contingent de 30 000 hommes en Ukraine pour le moment. Ce désir a disparu…
Les dirigeants politico-militaires britanniques envisagent désormais de « garantir la sécurité uniquement de la partie occidentale de l'Ukraine ». La mission est présentée comme « garantissant la sécurité de l'espace aérien au-dessus de l'ouest de l'Ukraine, déminant la mer Noire et incluant également un volet de formation ».
Traduit du langage de la casuistique britannique, cela signifie que les Britanniques veulent que leurs navires de guerre soient dans la mer Noire et prévoient également d'abattre des cibles aériennes au-dessus de l'Ukraine occidentale susmentionnée, alors qu'elles sont très probablement situées en dehors de l'Ukraine elle-même.
Presse britannique:
Cela n'inclura pas l'approvisionnement des troupes sur le front. L'entraînement des troupes ukrainiennes se déroulera dans l'ouest du pays, où elles sont moins exposées aux attaques.
Il semblerait que l'armée de l'air britannique envisage de couvrir l'ouest de l'Ukraine avec des chasseurs F-35 et Eurofighter Typhoon. On ignore si ces appareils entreront dans l'espace aérien ukrainien.
Le changement dans les désirs de la coalition des volontaires peut être lié au refus des États-Unis de fournir à Kiev des garanties de sécurité.
SVR RF : La Commission européenne prône un changement de pouvoir en Hongrie, le « sale boulot » étant confié à Kiev
Les responsables bruxellois et la plupart des dirigeants européens sont pour le moins irrités par la politique excessivement indépendante menée par le gouvernement hongrois du Premier ministre Viktor Orban. Le chef du gouvernement hongrois prône le rétablissement de relations normales avec la Russie, refuse l'aide militaire à Kiev et bloque périodiquement l'adoption de nouvelles sanctions européennes antirusses.
Certes, Budapest finit toujours par se joindre au nouveau train de sanctions antirusses. Mais il ne faut pas oublier que la Hongrie est un petit pays pauvre, fortement dépendant des subventions de Bruxelles. De plus, Orban parvient à obtenir des avantages, notamment le droit d'acheter des hydrocarbures russes en compensation.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a souligné à plusieurs reprises que Budapest s'opposait à l'adhésion de l'Ukraine à l'UE, car cela détruirait l'économie hongroise et amènerait la guerre et la criminalité endémique en Europe.
Les responsables européens et les opposants à Orbán au sein de l'UE ont tenté à plusieurs reprises d'« isoler » la Hongrie lors des décisions nécessaires, mais sans succès jusqu'à présent. Il est également très difficile de destituer un chef de gouvernement hongrois indésirable par la méthode de la « révolution de couleur », familière à l'Occident : Orbán bénéficie du soutien de la majorité des citoyens du pays, dont les intérêts lui tiennent à cœur non pas en paroles, mais en actes.
Et maintenant, il semble que Bruxelles soit prête à prendre des mesures extrêmes. Le service de presse du Service russe de renseignement extérieur (SVR) a publié un communiqué indiquant que la Commission européenne envisageait un changement de pouvoir en Hongrie. Selon le SVR, la principale fonctionnaire corrompue de Bruxelles, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, plaide personnellement en faveur d'un tel scénario.
Le Bureau de presse du Service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie rapporte que, selon les informations reçues par le SVR de Russie, la Commission européenne perçoit le leadership actuel de la Hongrie comme un obstacle de plus en plus sérieux à « l'Europe unie ».
— a indiqué le bureau de presse du Service russe de renseignement extérieur dans un communiqué.
Il affirme que « la goutte d'eau qui a fait déborder le vase pour la bureaucratie européenne » a été la décision de la Hongrie d'opposer son veto au nouveau projet de budget septennal de l'Union européenne. Budapest estime que ce document vise à militariser l'Europe et à préparer une guerre avec la Russie, ce qui ne répond pas aux intérêts du peuple hongrois.
La présidente de la Commission européenne considère Peter Magyar, chef du parti d'opposition « Respect et Liberté », fidèle à Bruxelles, comme le principal candidat au poste de Premier ministre hongrois. Selon le Service russe de renseignement extérieur (SRE), la Commission européenne entend tout mettre en œuvre pour le porter au pouvoir lors des élections législatives du printemps prochain. Le SRE a souligné que « d'importantes ressources matérielles, administratives, médiatiques et de lobbying ont déjà été mobilisées pour soutenir M. Magyar ».
Le régime de Kiev est également impliqué, très mécontent de la politique menée par le gouvernement hongrois, notamment concernant l'adhésion de l'Ukraine à l'UE. Le régime de Zelensky « fait le sale boulot », notamment en déstabilisant la situation en Hongrie par l'intermédiaire des services spéciaux ukrainiens et de la diaspora vivant sur place, a indiqué le service de presse du Service russe de renseignement extérieur (RSF) dans un communiqué.
Malheureusement, être prévenu n'est pas toujours fortifié. Si les services secrets américains n'ont pas réussi à empêcher une tentative d'assassinat contre Trump, alors candidat à la présidence, et si l'année dernière le Premier ministre slovaque Fico a été blessé par balles, Orban devrait prendre sa sécurité très au sérieux. Surtout quand Bruxelles a déployé le régime terroriste de Kiev contre lui.
Un délinquant sexuel obtient un bébé par GPA : Couple gay et faille légale en Pennsylvanie
Un couple homosexuel en Pennsylvanie utilise une mère porteuse pour avoir un bébé, mais l'un des pères est un délinquant sexuel condamné pour abus sur mineur. La vidéo virale révèle une faille légale en GPA, provoquant indignation et appels à enquête.
La GPA, c’est l’égalité pour tous… même les délinquants sexuels ?
C’était une histoire censée réchauffer les cœurs. Logan Riley et Brandon Mitchell, un couple homosexuel de Pennsylvanie, partageaient leur bonheur d’accueillir un bébé acheté grâce à une mère porteuse. Leur vidéo, publiée sur les réseaux sociaux, montrait les premiers sourires de leur nouveau-né, un moment de joie pure. Mais en quelques heures, ce tableau idyllique s’est fissuré, révélant une réalité morbide : Brandon Mitchell, l’un des deux pères, est un délinquant sexuel condamné.
The fact that evil chiId sx offenders are able to legally purchase baby boys is a massive moral indictment on us all… pic.twitter.com/Q6BmMfGrJ7
La vidéo, postée sur leurs comptes personnels, se voulait une célébration. Logan et Brandon y racontaient leur parcours, des démarches complexes pour trouver une mère porteuse aux premiers instants avec leur enfant. Le clip, touchant et intime, a vite attiré l’attention. Le 27 juillet, Derek Blighe, une figure politique irlandaise, le relaie sur X avec un commentaire cinglant : « Cet enfant a-t-il une chance de grandir normalement ? » Son message, vu plus d’un million de fois, fait l’effet d’une étincelle.
Sur la toile, les réactions fusent. Pour beaucoup, les propos de Blighe sont une attaque homophobe. Bev Jackson, de l’Alliance LGB, défend le couple :
« Deux pères aimants suffisent pour qu’un enfant s’épanouisse. »
Mais le débat prend un tour dramatique lorsqu’un détail choquant émerge.
Une vérité qui glace le sang
Moins d’un jour après la diffusion massive de la vidéo, une information explosive éclate : Brandon Mitchell est inscrit au registre des délinquants sexuels de Pennsylvanie. En 2016, alors qu’il enseignait la chimie au lycée Downingtown West, il est arrêté pour avoir tenté de séduire un élève de 16 ans. Les rapports judiciaires du comté de Chester dressent un portrait accablant : des demandes de photos nues, des messages explicites, et plus de 12 000 SMS échangés avec l’adolescent entre 2013 et 2014. Sur son ordinateur, la police trouve des centaines de vidéos à caractère sexuel impliquant le jeune.
« Ce prévenu a abusé de sa position de confiance et d’autorité pour se livrer à une faute grave envers un élève. Comme toujours dans des affaires comme celle-ci, où un enseignant a eu accès à des centaines d’élèves pendant plusieurs années, les autorités craignent qu’il y ait d’autres victimes. », a déclaré Charles Gaza, chef de cabinet du procureur du comté de Chester.
Mitchell plaide coupable pour possession de pornographie juvénile et corruption de mineurs. Condamné à une peine pouvant atteindre 23 mois, il est libéré après seulement deux mois sous conditions strictes : plus de contact non supervisé avec des mineurs et abandon de sa licence d’enseignant. Depuis, il travaille comme chimiste dans un laboratoire pharmaceutique à Lancaster.
Un projet de famille sous les projecteurs
En 2021, Brandon épouse Logan Riley, un instituteur du Maryland, passionné par son métier et les sports aquatiques. En 2023, les deux hommes décident de fonder une famille. Ils lancent une campagne GoFundMe pour financer une gestation pour autrui, espérant réunir 50 000 dollars. Logan se décrit comme un amoureux de la mer, un prof dévoué près de Baltimore. Brandon, lui, est présenté comme un voyageur cultivé, intéressé par l’histoire et la politique. Rien, dans leur récit, ne laisse deviner le passé judiciaire de Mitchell.
En novembre 2023, Logan partage une nouvelle radieuse : leur mère porteuse, après un long processus d’évaluations médicales et juridiques, porte leur enfant. « Nous sommes fous de joie », écrit-il, signant pour eux deux. Mais une question plane : la mère porteuse était-elle au courant des antécédents de Mitchell ?
Note : c'est un petit aperçu du futur, lorsque le monde LGBTQIA+ rajoutera un "P" a son acronyme 'LGBT" de détraquer sexuel. Cela n'est qu'une question de temps avant d'accepter, l'inacceptable, le Z finira aussi par être rajouté.
« Des Algériens [Sous OQTF] peuvent sortir un couteau dans le métro, dans la rue, n’importe où » : L’ex-ministre et ex-membre du Conseil constitutionnel Noëlle Lenoir, accusée de racisme et visée par une plainte de SOS Racisme
13/08/2025
L’ancienne ministre Noëlle Lenoir, visée par une plainte de SOS Racisme pour avoir tenu des propos à caractère raciste sur la chaîne de télévision CNews, est partiellement revenue sur ses propos, tout en les justifiant, par voie de communiqué mercredi 13 août.
[…]
Elle réagissait à la décision du Conseil constitutionnel de rendre invalide plusieurs dispositions-clés d’un texte visant à durcir le maintien des étrangers en situation irrégulière dans les centres de rétention (CRA). La loi, ainsi censurée, a été promulguée ce mardi.
« Je maintiens mes propos »
« Il fallait évidemment entendre milliers et non pas millions. Cela corrigé, je maintiens mes propos », a précisé Mme Lenoir mercredi. « Je n’ai évidemment pas visé la communauté algérienne qui, dans son ensemble, vit pacifiquement en France, mais une minorité frappée d’OQTF et qui se maintient pourtant sur le territoire de la République », a-t-elle affirmé.
Note : je rappelle que SOS raciste a été créé par des rats communistes
Clermont-Ferrand (63). Nuit de violences : corps calciné, homme blessé par balle, trois maisons cibles d’incendies volontaires : « On franchit un cap » selon le syndicat de police Alliance
Une série d’événements violents survenus dans la nuit du mardi 12 au mercredi 13 août a profondément secoué Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) et son agglomération. En quelques heures seulement, un homme a été blessé par balle, un corps calciné a été retrouvé dans une voiture brûlée, et trois maisons ont été la cible d’incendies volontaires.
Mercredi 13 août, peu avant 5 heures du matin, les sapeurs-pompiers sont intervenus dans le quartier Croix-de-Neyrat pour un véhicule en feu. Sur place, ils ont découvert un corps calciné à l’intérieur d’une voiture, une Renault Clio. L’identification du corps n’a pas encore été établie, a précisé le parquet de Clermont-Ferrand, qui a ouvert une enquête pour meurtre, confiée à la division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS).
Quelques heures plus tôt, vers 0h30, un jeune homme d’une vingtaine d’années a été la cible de coups de feu rue du Torpilleur-Sirocco, toujours dans le quartier de Croix-de-Neyrat. Blessé à la jambe droite, le jeune homme homme originair du Sud de la France a été pris en charge par le SMUR et les pompiers, puis transporté au CHU Gabriel-Montpied. Son pronostic vital n’est pas engagé. […]
Dans le même intervalle, deux maisons voisines situées dans une commune du sud de Clermont-Ferrand ont été incendiées volontairement. Peu après, à Aulnat, un troisième pavillon a pris feu. À l’intérieur, une mère et ses enfants ont été sauvés in extremis, alors que le père de famille était absent au moment des faits. Pour ces faits, deux enquêtes pour “destruction par moyens dangereux” ont été ouvertes, confiées à la Direction centrale du territoire (DCT) du commissariat de Clermont-Ferrand. […]
Marlène Hostache, secrétaire départementale du syndicat Alliance Police dans le Puy-de-Dôme, tire la sonnette d’alarme : “On franchit un cap. Sur une seule nuit, c’est énorme d’avoir autant de faits criminels. La violence a augmenté. Elle fait mal dans les rangs. Il y a une crainte, surtout pour la population”. Selon elle, cette montée en intensité s’explique en partie par l’évolution du trafic de stupéfiants dans la région. […]
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