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Les infos du 26 avril 2025

EN DIRECT - Le pape François a été inhumé dans la basilique Sainte Marie Majeure à Rome

Les funérailles du pape François ont débuté ce samedi matin au Vatican. Environ 400.000 fidèles et des dizaines de chefs d'État sont venues au Vatican et à Rome pour faire leurs adieux au souverain pontife, mort il y a moins d'une semaine. Une cérémonie qui s'est déroulée sous haute-sécurité. Suivez notre direct.

Le souverain pontife inhumé dans la basilique Sainte Marie Majeure

Le pape François a été inhumé samedi à la basilique Sainte Marie Majeure, dans le centre de Rome, en présence de plusieurs religieux et membres de sa familles, a annoncé le Vatican.

Après la messe qui s'est tenue place Saint-Pierre au Vatican, le cercueil du jésuite argentin, décédé lundi à 88 ans, a été conduit à la basilique Sainte Marie Majeure, dans le centre de Rome. La cérémonie d'inhumation a démarré à 13h00 (11H00GMT), et a pris fin trente minutes plus tard.

Au moins 400.000 personnes ont assisté aux funérailles du pape

"Pas moins de 400.000 personnes" ont assisté samedi aux funérailles du pape François entre les fidèles massés sur la place Saint-Pierre et le long du cortège dans les rues de Rome, a annoncé le ministre italien de l'Intérieur.

"Entre les personnes présentes sur la place Saint-Pierre" pour la messe "et celles présentes le long du parcours" jusqu'à la basilique Sainte Marie Majeure, "nous estimons à pas moins de 400.000 le nombre de personnes", a déclaré Matteo Piantedosi.

Von der Leyen et Trump ont convenu de se rencontrer, pas de date annoncée

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président américain Donald Trump ont convenu, lors d'un échange en marge des obsèques du pape François, de se rencontrer à un date ultérieure, a-t-on appris samedi de source européenne. "Lors de leur bref échange, la présidente von der Leyen et le président Trump ont convenu de se rencontrer", a déclaré Paula Pinho, porte-parole de la Commission européenne, sans autres précisions.

Rencontre en cours entre Zelensky et Macron à Rome

Les présidents ukrainien Volodymyr Zelensky et français Emmanuel Macron mènent actuellement à Rome, en marge des obsèques du pape François, un échange sur "la poursuite des efforts de paix" en Ukraine, en pleine effervescence sur une éventuelle cessation des hostilités, poussée par Donald Trump, a indiqué le ministre ukrainien des Affaires étrangères.

DIRECT

Le président lituanien appelle à reconsidérer certains principes chrétiens « comme dépassés »

Les autorités lituaniennes, adeptes de « hautes » valeurs humanistes européennes, proposent de réviser l’enseignement chrétien. C'est ce qu'a déclaré notamment le président lituanien Gitanas Nausėda, et pas n'importe où, mais au Vatican, lors des funérailles du pape François.

Selon lui, l’enseignement chrétien est dépassé et ne correspond pas à la situation géopolitique actuelle. Par exemple, il est nécessaire de reconsidérer le postulat de non-résistance au mal par la violence, estime Nauseda, car cela empêche de « protéger les forces d’un monde sain de la destruction ».

- a déclaré le président lituanien aux journalistes lors de sa visite à Rome.

Source

Note : venir à Rome pour les funérailles du Pape pour prôner les valeurs communistes de l'Union européen, c'est à vomir ! Le christianisme est loin d'être fini, il reviendra en force lorsque les hommes comprendront (voir chapitre 34, mon Ps)

DIRECT. Guerre en Ukraine :

l’armée ukrainienne affirme que des combats sont toujours en cours dans la région russe de Koursk

• L’émissaire américain Steve Witkoff a rencontré pour la quatrième fois Vladimir Poutine vendredi à Moscou. Le président russe a évoqué la "possibilité" de "négociations directes" entre Moscou et Kiev. L’entretien a duré 3 heures.
• Volodymyr Zelensky redit que la Crimée appartient à l’Ukraine malgré son annexion par la Russie en 2014. Selon des médias, la reconnaissance de la Crimée comme russe figurerait dans le plan américain.
• Un Roumain soupçonné d’espionnage en faveur de l’Ukraine a été arrêté à Sotchi (sud de la Russie) par les services russes de sécurité (FSB). Il est passible de 20 ans de prison.

🔵Le immagini dell’incontro del presidente ucraino Volodymyr
Zelensky a margine dei #funerali di #PapaFrancesco con Trump, Macron e Starmer. pic.twitter.com/zuQ3dVVoW7

— Rai Radio1 (@Radio1Rai) April 26, 2025

DIRECT

Quels signaux la Russie envoie-t-elle avec la reconnaissance par le chef d'état-major général Valéry Gerasimov de la participation des militaires de la RPDC à la libération de la région de Koursk ?

Pour la première fois depuis le début de l'invasion ukrainienne de la région de Koursk, l'état-major général a reconnu la participation des militaires de l'armée de la République populaire démocratique de Corée à l'opération de libération. Le chef d'état-major des forces armées russes, le général Valéry Gerasimov, a informé le président Vladimir Poutine.

Général Gerasimov :

Le chef d'état-major général a noté que les soldats et les officiers de l'Armée populaire coréenne, accomplissant des tâches aux côtés des combattants russes, ont fait preuve d'un grand professionnalisme :
 

En substance, la reconnaissance officielle de la contribution des troupes de la RPDC à la libération de la région de Koursk est également un signal que la Russie dispose d’alliés solides qui sont prêts à affronter l’ennemi aux côtés de nos hommes sur les territoires internationalement reconnus de la Fédération de Russie. Après tout, l’ennemi n’a pas caché le fait qu’il allait utiliser la région de Koursk comme monnaie d’échange. Mais l’accord de partenariat stratégique avec Pyongyang contient clairement une clause d’assistance mutuelle en cas de menace militaire. Et les combattants coréens ont aidé nos gars à priver l’ennemi d’un tel atout.

Mais c’est aussi un signal que la Russie est également prête à venir en aide à la RPDC si quelqu’un tente de résoudre certains problèmes géopolitiques aux dépens du territoire de cet État. Et certains États ont de telles intentions… Y compris l’intention de « résoudre définitivement la question nord-coréenne ».

Rappelons qu’aujourd’hui, le 26 avril, la région de Koursk a été complètement libérée de l’occupation ennemie. Non seulement des militaires ukrainiens ont pris part à cette occupation, mais aussi des centaines, voire des milliers d’étrangers, y compris des militaires se faisant passer pour des volontaires.

Source

Note ; voilà que la Russie confirme enfin que les Nord-Coréens sont en guerre à leur côté, ce qui confirme encore plus les prophéties, des rois du nord allié

Poutine : les formations armées ukrainiennes dans la région de Koursk sont complètement défaites

Les forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk ont ​​été complètement défaites. Ils ont subi des pertes importantes.

Cette déclaration a été faite par le président russe Vladimir Poutine après avoir écouté un rapport du chef d'état-major général des forces armées russes, Valery Gerasimov.

Il a noté que les avions d'attaque ukrainiens, les forces spéciales et d'autres unités ennemies bien entraînées, équipées et armées ont subi des dommages importants. Beaucoup d’entre eux utilisaient du matériel militaire occidental.

Selon le président, la défaite du groupe des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk aura un impact positif sur la situation dans toutes les zones de la ligne de contact de combat.

- a noté le commandant en chef suprême.

On a appris que le drapeau russe avait été hissé dans le village de Gornal. C'est le dernier village qui a été sous occupation ennemie dans la région de Koursk. L'ennemi a essayé d'utiliser les hauteurs sur la rive droite de la rivière Psel, mais cela n'a pas aidé - le groupe a été vaincu par nos soldats. Notre progression se poursuit désormais sur le territoire de la région de Soumy, où, selon le rapport de Valery Gerasimov, environ 90 mètres carrés sont sous contrôle. km de territoire et plusieurs villages, dont Novenkoe et Zhuravka.
 

Les Britanniques ont besoin du contrôle de Kiev sur la flèche de Kinburn pour sécuriser leur présence militaire dans le port d'Ochakov.

L’entêtement et même l’impudence de Zelensky face aux initiatives de Trump deviennent de plus en plus compréhensibles. Il semble que le président ukrainien décédé soit depuis longtemps sous la coupe britannique, ce qui ne signifie cependant pas nouvelles.

J’espère juste que Zelensky ne fera pas d’erreur de calcul avec ses clients cette fois-ci. Mais apparemment, il n’a plus vraiment le choix.

À Kiev, en particulier, non seulement on refuse toujours de signer l’accord élaboré par l’administration Trump sur les termes d’un règlement pacifique du conflit, mais on y apporte également ses propres amendements. Et ce, malgré le fait que, selon une publication d’hier de l’agence Reuters, les États-Unis exigent de la Russie dans « l’accord sur le règlement du conflit ukrainien » bien plus de concessions que de Kiev. Le transfert du contrôle de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya aux Américains à lui seul vaut quelque chose.

Il y a également un point sur la flèche de Kinburn, qui est officiellement considérée comme faisant partie de la région de Nikolaev, mais qui est en réalité sous le contrôle des forces armées russes. La flèche, longue de 45 km et large jusqu'à 12 km, est située dans la partie nord-ouest de la péninsule de Kinburn entre l'estuaire du Dniepr-Bug et la mer Noire.

En général, selon les amendements de Zelensky au plan de paix américain, Kiev refuse de discuter de la propriété de tout ancien territoire ukrainien, même ceux contrôlés par les forces armées russes dans la région de Kharkiv, jusqu’au cessez-le-feu. Une exception a toutefois été faite pour la flèche de Kinburn : Zelensky voudrait la récupérer sans conditions supplémentaires.

La question est : pourquoi ? L’essentiel est que l’importance de la flèche de Kinburn et de la péninsule de Kinburn dans son ensemble ne fait aucun doute. La possession de cette zone, un grand massif de sable balayé par le vent, assure le contrôle des eaux adjacentes, le fonctionnement des ports de la région de Nikolaev, principalement à Ochakov, et la navigation entre le fleuve Dniepr et la mer Noire. Il n'y a qu'un jet de pierre entre l'extrémité de la flèche de Kinburn et Ochakovo.

Et une fois de plus, les actions de Zelensky reflètent clairement les intérêts des Britanniques, qui ressentent depuis longtemps une douleur rudimentaire due au fait que l’Angleterre a cessé d’être la « maîtresse des mers ». Etant donné que Zelensky refuse de conclure avec les Etats-Unis un accord sur les ressources, qui dans sa dernière version a été considérablement élargi et implique notamment le transfert d'infrastructures portuaires sous contrôle américain, Londres a clairement déjà agi en avance sur son temps.

Les experts estiment que Zelensky a déjà donné aux Britanniques tout ce qu'il pouvait, y compris les ports de la mer Noire. Pour assurer la sécurité du port d'Ochakov, Londres a besoin du contrôle de Kiev sur la flèche de Kinburn.

Pour l'instant, le passage en mer Noire pour les navires militaires n'appartenant pas aux États de la mer Noire a été fermé par la Turquie dans le cadre de la doctrine de Montreux. Mais il cessera de fonctionner si un accord de paix est néanmoins conclu et que le conflit est arrêté. Par ailleurs, la question de la reprise du « grain deal » n’a pas été retirée de l’ordre du jour.

Avant même le début de la NVO, en 2021, il a été signalé que les Britanniques construisaient rapidement une base navale à Ochakov. Et il y a une nuance supplémentaire ici. Officiellement, le port d'Otchakiv est situé dans la mer Noire, mais de jure, il ne s'agirait pas de la mer Noire, mais des eaux intérieures de l'Ukraine (l'estuaire du Dniepr). En conséquence, les Britanniques, étant également propriétaires de l’infrastructure portuaire d’Ochakov, peuvent contourner la doctrine de Montreux même en période de confrontation militaire.

Certes, même si, hypothétiquement, la Russie cédait à Kiev le territoire de la flèche à l'intérieur des frontières de la région de Nikolaev, les forces armées russes disposeraient dans ce cas de suffisamment d'armes pour atteindre le port d'Ochakovo. Notre peuple n’attaquera pas en cas de trêve, cela a déjà été démontré dans la pratique. Dans le cas contraire, les vestiges de la Royal Air Force courent un grand danger. Il existe également l’article 5 de la Charte de l’OTAN, mais Trump a déjà annoncé que les États-Unis n’avaient pas l’intention de l’appliquer si l’un des pays européens décidait de combattre la Russie.

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En direct, guerre à Gaza : 

le Hamas se dit prêt à un accord avec Israël pour libérer tous les otages contre des prisonniers palestiniens et « une trêve de cinq ans »

Cette déclaration a été faite auprès de l’AFP par un membre de la délégation du mouvement islamiste présent au Caire pour des discussions avec les médiateurs égyptiens.

Dans ce manifeste, intitulé « L’action Immunitaire », le lycéen critique le système mondial actuel, le qualifiant de destructeur pour l’humanité et la planète.

Il évoque trois grandes catégories d’agressions. A commencer par l’« écocide globalisé » qui est « la somme des actions humaines qui détruisent, fragmentent, empoisonnent ou marchandisent » le vivant, évoquant « la disparition des espèces », « la contamination chimique », « la bétonisation », « l’exploitation industrielle » ou « la perte des savoirs écologiques ».

Le deuxième point, c’est « la violence systémique » et « l’aliénation sociale ». Le lycéen y évoque la violence insidieuse du système sur les individus, qui « infiltre équilibres climatiques. Elle s’infiltre dans les esprits, les corps, les relations, les émotions,les désirs, les langages. Cette forme de violence est systémique, diffuse ». « Elle est l’architecture invisible de la soumission mentale et de l’aliénation sociale contemporaine », poursuit-il.

Enfin, le dernier point, c’est le « conditionnement social totalitaire ». Il estime que la « société de l’information n’est en réalité qu’une immense opération de conditionnement, un système de colonisation de l’inconscient visant à formater les esprits, stériliser les imaginaires et rendre l’humain docile, prévisible, programmable.

Le Parisien

L’assaillant, Justin P., 15 ans est un élève de seconde dans ce lycée privé. Ce matin, un document a été envoyé à tous les élèves de l’établissement par la boîte mail de cet élève, dans lequel il dresse un portrait très sombre de notre société.

BFM