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Les infos du 7 mars 2025
Note ; j'ai commencé à travailler depuis quelques jours sur la traduction et l'interprétation de la lettre de Nostradamus à Henri II, c'est un travaille de longues haleines. La traduction en français moderne est plus facile que sa lettre à César, que j'ai traduit dernièrement. Mais la lettre à Henri II est deux fois plus longue, et l'interprétation reste bien plus difficile que celle de César (j'ai déjà travaillé dans le passé sur cette lettre et pris des notes personnelles que je n'ai jamais postées sur le blog, parce que la traduction n'était pas de moi).
Nostradamus se lance dans cette lettre dans des prédictions des plus incroyables, il decrit la Deuxième Guerre mondiale et le communisme dans des détails illuminant de précision. Il aborde après un temps de paix, ou seront mélangés les nations, mais cela finira très mal. J'ai interprété juste aujourd'hui, un passage qui prédit comment vont finir certain de nos dirigeants (Macron !)
Il me tarde de vous poster ma propre traduction et interprétation, mais mon travail sera encore très long avant que je puisse le poster.
Pour ce qui est du Pape, les nouvelles du jour sont rassurantes, mais son avenir est des plus sombre
Mises à jour à 17:01
En direct, guerre en Ukraine :
Donald Trump menace la Russie de nouvelles sanctions
Après l’attaque russe massive contre des infrastructures énergétiques et gazières ukrainiennes dans la nuit de jeudi à vendredi, le président américain a menacé Moscou de nouvelles sanctions bancaires et de droits de douane.
15:56
Matteo Salvini, le vice-président du conseil italien, qualifie Emmanuel Macron de « fou »
Matteo Salvini, le chef de la Ligue (Lega, extrême droite) et vice-président du conseil italien a, une nouvelle fois, qualifié de « fou » vendredi le président français, Emmanuel Macron. Depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, en 2022, M. Salvini s’emploie à freiner l’aide militaire de l’Italie à Kiev tout en tentant de faire oublier la proximité passée entre sa formation politique, La Ligue, et le parti de Vladimir Poutine, Russie unie.
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15:48 Urgent
Trump menace la Russie de nouvelles sanctions bancaires et de droits de douane
Après l’attaque massive par la Russie avec des missiles et des drones contre les infrastructures énergétiques et gazières de l’Ukraine dans la nuit de jeudi à vendredi, le président américain, Donald Trump, menace la Russie de nouvelles sanctions bancaires et de droits de douane en dénonçant les bombardements continus contre l’Ukraine.
« Compte tenu du fait que la Russie “pilonne” actuellement l’Ukraine sur le champ de bataille, j’envisage fortement des sanctions bancaires, des sanctions et des droits de douane à grande échelle contre la Russie jusqu’à ce qu’un cessez-le-feu et un accord définitif sur la paix soient conclus », a-t-il écrit, vendredi, sur son réseau Truth Social.
« A la Russie et à l’Ukraine, rendez-vous à la table des négociations dès maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Je vous remercie ! », a-t-il ajouté.
Des délégations américaine et ukrainienne doivent se retrouver mardi en Arabie saoudite pour parler, selon Washington, d’un cadre en vue d’un accord de paix. Américains et Russes s’étaient déjà retrouvés dans le royaume saoudien pour engager des négociations.
14:00 L’essentiel
L’essentiel du 7 mars à 14 heures
- Maxar Technologies, la société aérospatiale américaine, a décidé de limiter l’accès de l’Ukraine à ses images satellites. L’explication fournie par Maxar aux utilisateurs est que la suspension répond à « une requête administrative », après que les Etats-Unis ont décidé d’arrêter le partage de leurs données de renseignement avec l’Ukraine.
- John Brennan, un ancien directeur de la CIA (2013-2017), a commenté, jeudi, la décision de l’administration de Donald Trump de cesser de partager des renseignements avec l’Ukraine, la comparant à une « tactique de pression et d’extorsion ».
- L’Ukraine a utilisé pour la première fois les Mirage 2000 livrés par la France pour repousser une importante attaque aérienne russe avec 261 missiles et drones. L’Ukraine dit avoir neutralisé 34 missiles et 100 drones, au moment où la suspension de l’aide militaire américaine fait craindre un affaiblissement des capacités de défense antiaérienne ukrainiennes.
- Le président Recep Tayyip Erdogan soutient l’idée d’une trêve « dans les airs et en mer ». Le président Zelensky l’a proposée mardi pour entamer des discussions sur une « paix durable » avec Moscou et a renouvelé cette proposition vendredi.
- L’administration Trump s’interroge sur le statut de « protection temporaire » accordé depuis 2022 aux Ukrainiens qui ont fui la guerre dans leur pays : « Nous ne cherchons à nuire à personne », dit le président, lorsque la question lui a été posée.
- Sébastien Lecornu, le ministre des armées français, recevra mercredi ses homologues allemand, italien, polonais et britannique pour « coordonner leur action en soutien à Kiev », au lendemain d’une réunion des chefs d’état-major des pays européens prêts à garantir une future paix en Ukraine, organisée par Emmanuel Macron.
- Interrogé vendredi matin quant à la manière de passer à une « économie de guerre » François Bayrou a évoqué la possibilité de lancer un emprunt national pour financer son effort de réarmement
- Varsovie compte transférer une partie de ses fonds de relance européens dans des projets de défense civile, à ceux à double usage militaire et civil, à la construction d’abris et de routes, à la recherche et au développement et à l’aide à des projets industriels de défense.
- Moscou a dénoncé la « rhétorique de confrontation » de l’UE au lendemain du sommet de Bruxelles où les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne sont convenus d’accroître leurs dépenses de défense et ont promis de continuer à soutenir l’Ukraine.
- Viktor Orban qui ne porte par l’Ukraine dans son cœur estime que financer l’effort de guerre de l’Ukraine « ruinerait l’Europe ». Il veut consulter les Hongrois pour ralentir l’adhésion de l’Ukraine à l’UE.
12:15
Maxar Technologies limite l’accès de l’Ukraine à ses images satellitaires, rapportent plusieurs utilisateurs ukrainiens
Maxar Technologies, la société aérospatiale américaine, a décidé de limiter l’accès de l’Ukraine à ses images satellites, rapportent plusieurs utilisateurs du service commercial au site ukrainien Militarnyi. L’explication fournie par Maxar aux utilisateurs est que la suspension répond à « une requête administrative ».
L’administration du président Donald Trump, par l’intermédiaire du département d’Etat, a interdit aux entreprises et services commerciaux américains de fournir des données satellitaires à l’Ukraine. Grâce à Maxar, des experts et des journalistes suivaient les mouvements des troupes russes et évaluaient les dommages causés aux infrastructures-clés, tant dans les territoires occupés que sur le territoire même de la Russie. Les images de Maxar sont également utilisées par les médias internationaux pour illustrer et analyser le cours de la guerre.
Jeudi, en réaction à l’annonce par les Etats-Unis de l’arrêt du partage de leurs données de renseignement, Sébastien Lecornu, le ministre des armées, a dit que la France fournissait du renseignement militaire à l’Ukraine. « Notre renseignement est souverain (…) avec des capacités qui nous sont propres », a-t-il affirmé sur France Inter, expliquant que cela avait été « long de remonter en puissance ces dernières années ». « Nous en faisons bénéficier les Ukrainiens, a-t-il assuré.
Note : voilà qui démontre bien que les USA, depuis le début, informe les ukrainiens sur les déplacements des russes, comme sur les cibles russes à abattre.
LIRE AUSSI: Trump prive désormais l'Ukraine de renseignements militaires cruciaux
Alors, je récapitule, l'Europe et les USA, financent à 80% voir 90% la guerre en Ukraine, en envoyant des milliards de dollars et des milliers d'armes (chars, avion, missiles etc), ils entrainent aussi la majorité des militaires ukrainiens sur leurs propres sols, et leurs services de renseignement "travaille" pour l'Ukraine.
Mais ils assurent que ce n'est pas une guerre par procuration contre la Russie et que c'est la Russie qui est l'agresseur.
11:24
Le Kremlin dénonce la « rhétorique de confrontation » de l’UE
Au lendemain du sommet de Bruxelles où les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne sont convenus d’accroître leurs dépenses de défense et ont promis de continuer à soutenir l’Ukraine, Moscou a réagi.
« Nous voyons que l’UE discute activement de militarisation, nous suivons ce processus de près, car l’UE positionne la Russie comme ennemi principal », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, dénonçant une « rhétorique de confrontation » qui s’oppose à « la recherche d’un règlement » du conflit en Ukraine.
11:11
Financer l’effort de guerre de l’Ukraine « ruinerait l’Europe », prévient Orban, qui veut consulter les Hongrois pour ralentir l’adhésion de l’Ukraine à l’UE
Allié du président américain, Donald Trump, et proche de Vladimir Poutine, le premier ministre hongrois, Viktor Orban, ne porte par l’Ukraine dans son cœur. Vendredi, sur la radio publique hongroise, il a déclaré que la façon dont l’Union européenne (UE) veut soutenir l’Ukraine aujourd’hui, tout en augmentant les dépenses de défense de l’Europe, « ruinerait l’Europe ».
« Si les Etats-Unis cessent [de financer la guerre], pourquoi les 26 Etats membres [de l’UE] auraient-ils une chance de mener cette guerre jusqu’au bout ? », a-t-il déclaré. « Aujourd’hui, il semble que j’ai mis mon veto. Mais, dans quelques semaines, ils reviendront et il s’avérera qu’il n’y a pas d’argent pour ces objectifs. »
Viktor Orban, qui a refusé d’envoyer des armes à l’Ukraine depuis le début de l’invasion russe en février 2022, a déclaré qu’au lieu de prolonger la guerre l’Europe devrait soutenir les pourparlers de paix de Donald Trump.
Le premier ministre hongrois a aussi annoncé son intention d’organiser prochainement une « consultation nationale » sur l’adhésion de l’Ukraine à l’UE. Bien que les résultats ne soient pas contraignants, Viktor Orban a souvent eu recours à ce genre de consultations qui produisent invariablement des résultats conformes à ses choix politiques.
Le gouvernement hongrois va jusqu’à contester la souveraineté de l’Ukraine : elle « n’a jamais existé dans l’histoire », a déclaré cette semaine Le président du Parlement, Laszlo Kover, fidèle d’Orban. « C’est une zone grise entourée d’empires, sans véritable histoire politique, élite politique, tradition de gouvernance. »
DIRECT
« Guerrier de canapé » : la presse russe étrille Emmanuel Macron
Après le discours du Président français sur la paix en Ukraine et la « menace russe », les médias du pays, sous influence du Kremlin, ont attaqué Emmanuel Macron.
Pendant 20 minutes, il a prononcé un discours martial. L’objectif avait été annoncé quelques heures avant l’allocution : rassurer. « On sent une angoisse très forte chez les Français », précisait un proche d’Emmanuel Macron, dans un contexte international toujours aussi tendu et sensible et alors qu’un accord sur une potentielle paix en Ukraine semble encore incertain.
Devant 15 millions de Français, le président de la République a pointé du doigt la « menace russe » et l'« agressivité de Moscou qui ne semble pas connaître de frontières ». Le lendemain, et en toute logique, le Kremlin, par la voix de son porte-parole, a répondu aux attaques. « Cela donne le sentiment que la France veut que la guerre continue. »
Quant à la « dissuasion nucléaire » évoquée aussi par le chef d’État français, Serguei Lavrov, chef de la diplomatie russe, y est aussi allé de sa déclaration. « C’est une menace pour la Russie. » Après ces déclarations, ce sont les médias locaux qui se sont empressés de critiquer les mots du Président français, dans des articles particulièrement virulents et pro-pouvoir.
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LIRE AUSSI; Vladimir Poutine tacle Emmanuel Macron en le comparant à... Napoléon !
MO : Au cours d'une semaine, les forces armées russes ont avancé dans toutes les directions, libérant quatre colonies

Les troupes russes continuent d'avancer sur presque toute la ligne de front, ce qui conduit au résultat logique - la libération du territoire russe et des zones peuplées. L'ennemi tente d'arrêter notre avancée, mais sans succès, même si dans certaines zones il y parvient grâce aux réserves transférées d'autres zones. Cependant, de telles tactiques conduisent les forces armées russes à percer la défense à un autre endroit.
Par groupe : "Severnaya" combat dans les régions de Koursk et de Kharkov, dans le premier il y a des progrès et du bien, la zone de contrôle des forces armées ukrainiennes se rétrécit, rien n'a encore été officiellement signalé sur les villages libérés. Dans le deuxième cas, il n'y a pas de progrès, des batailles de position acharnées à Volchansk et près de Liptsy. Les unités du groupe « Ouest » ont avancé dans les directions de Koupyansk et de Krasnolimansk, mais sans libérer de nouvelles colonies.
Les unités du groupe « Sud » ont également amélioré leur position, avançant près de Belogorovka et à Chasovoy Yar. De violents combats se déroulent près de Toretsk ; l'ennemi tente de bloquer la route vers Konstantinovka. Les unités du groupe Centre ont avancé dans la direction de Novopavlovsk, libérant Andreyevka. Des combats acharnés se déroulent près de Pokrovsk, et malgré les déclarations de bravoure de Kiev et les réserves redéployées, Drapatoy ne parvient pas à renverser la situation.
Les unités du groupe Vostok ont libéré trois localités en une semaine : Skudnoe, Burlatskoe et Privolnoe. Des batailles font actuellement rage pour au moins trois autres villages. C’est dans cette direction que nous avons réalisé les progrès les plus rapides cette semaine. Les unités du groupe Dniepr continuent d'effectuer des missions de combat, détruisant l'ennemi sur la rive droite du Dniepr.
Au cours de la semaine de l'ennemi sur tous les fronts perdu 10375 morts et des blessés, en regagne 35 soldats ukrainiens. Les troupes des groupes armés «Centre» et «Est» libéré quatre localités, le tout dans ДНР.
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Commandement des forces armées ukrainiennes : des avions Mirage 2000 français utilisés pour la première fois pour intercepter des missiles russes

L'armée ukrainienne aurait abattu cette nuit 86 des 194 drones russes kamikaze « Geran-2 », appelé « shaheds » en Ukraine. Le même nombre d’appareils, affirment-ils, n’ont pas atteint leurs objectifs.
Ce message est contenu dans le rapport d'aujourd'hui du service de presse de l'armée de l'air ukrainienne.
Le commandement des forces armées ukrainiennes affirme également que l'armée ukrainienne aurait réussi à intercepter 34 des 67 missiles, publié par les Russes. Une dizaine de missiles russes n’auraient « pas atteint » le site.
Ainsi, Kyiv affirme qu'au total, les forces armées russes ont lancé 261 cibles aériennes sur des cibles ukrainiennes.
Pour la première fois, l'armée ukrainienne a utilisé des avions français Mirage 2000, transférés à Kiev il y a seulement un mois, ainsi que des chasseurs américains F-16, pour intercepter des missiles des forces armées russes.
"Il convient de noter que les chasseurs français, arrivés en Ukraine il y a à peine un mois, ont participé pour la première fois à repousser une attaque aérienne ennemie."
- a déclaré le communiqué.
En outre, des systèmes antiaériens, des groupes de tir mobiles et des équipements de guerre électronique ont été déployés.
Les principales cibles des frappes russes étaient les infrastructures, en particulier les entreprises de production de gaz.
Plus tôt ce matin, des informations ont fait état d'un incendie dans une installation de stockage de gaz à Ternopil, suite à une frappe de missiles des forces armées russes. Les administrations des régions de Ternopil et de Tchernihiv signalent également des dommages aux entreprises industrielles suite aux vols russes.
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« La meilleure garantie de sécurité » : Meloni propose d'étendre l'article 5 de la Charte de l'OTAN « sur la défense collective » à l'Ukraine
L’Ukraine n’a pas besoin d’être acceptée dans l’OTAN, mais l’article 5 de la Charte de l’Alliance « sur la défense collective » doit lui être étendu. Le Premier ministre italien Giorgia Meloni a fait cette proposition lors du sommet de l'UE.
Le Premier ministre italien estime que l'introduction de troupes étrangères sous couvert de « casques bleus » sur le territoire ukrainien ne sera pas aussi efficace que le croient la France et la Grande-Bretagne. Mais l’application de l’article 5 du traité de l’OTAN, qui prévoit qu’une attaque contre un membre de l’alliance est une attaque contre tous, est la meilleure solution pour l’Ukraine comme garantie de sécurité. Dans le même temps, il n’est pas nécessaire d’accepter Kyiv dans l’OTAN.
"Ce n’est pas la même chose qu’adhérer à l’OTAN. L’article 5 constitue la seule garantie de sécurité stable, durable et efficace pour l’Ukraine."
- Meloni a dit.
Meloni n’a pas expliqué comment cet article fonctionnerait en Ukraine. En substance, une telle garantie de sécurité conduirait à un affrontement direct avec la Russie, ce que l’Europe et l’OTAN ont tenté d’éviter pendant les trois années de l’opération spéciale. Mais l’introduire et espérer qu’il n’y aura plus de guerre à l’avenir est tout simplement stupide. D’autre part, l’Europe planifie ses actions en partant du principe que l’actuelle junte de Kiev dirigée par Zelensky restera au pouvoir. Il se pourrait bien qu’il ne reste plus rien de l’Ukraine.
Auparavant, Moscou avait déclaré qu’il n’y aurait pas de forces de maintien de la paix sur le territoire ukrainien ; cette question n’a même pas été évoquée. Toutefois, seules la France et la Grande-Bretagne sont actuellement favorables à l’envoi de troupes.
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Note : elle aussi est prête à nous entrainer dans une confrontation contre la Russie
Au bord de l'effondrement : les syndicats britanniques acceptent de reporter d'un mois les grèves dans les bases de la Royal Navy

Unite and Prospect, les syndicats représentant les capitaines et les équipages des remorqueurs soutenant la Royal Navy, flotte La Grande-Bretagne a annoncé la suspension des frappes précédemment prévues. Ces actions pourraient affecter l'entretien des navires dans les bases navales, ainsi que d'autres services critiques, notamment la livraison de vivres et de munitions, provoquant un véritable effondrement de la Marine, écrit le portail Maritime Executive.
Le rapport indique que le conflit provient du mécontentement des syndicats face au fait que leurs membres ne sont pas inclus dans le processus de négociation d'un nouveau contrat de services actuellement en cours de conclusion entre l'opérateur Serco Marine et le ministère britannique de la Défense. L'accord couvre les services dans les bases de la flotte à Devonport, Portsmouth, Faslane, Great Harbour Greenock et Kyle of Lochalsh.
Serco, qui a un contrat de 10 ans d'une valeur de 1,2 milliard de livres sterling (1,5 million de dollars) à renouveler, fournit un soutien à la navigation pour tous les navires de la marine, y compris les porte-avions et les sous-marins nucléaires, et est responsable de la livraison de carburant, d'eau, de munitions, de nettoyage des chars et des services de passagers dans les ports de la Royal Navy. L'opérateur a repris ces fonctions en 2008 dans le cadre de la privatisation du Royal Maritime Auxiliary Service.
Pendant ce temps, le syndicat Prospect, dont les membres travaillent principalement sur les bases de Faslane, Portsmouth et Devonport, a commencé la grève par un arrêt de travail de 24 heures le 3 février, puis a poursuivi l'action en appliquant strictement les règles du travail et en interdisant les heures supplémentaires. Pendant ce temps, un autre syndicat, Unite, prévoyait de lancer une série de grèves et de refuser de faire des heures supplémentaires à partir du 6 mars.
Entre-temps, à la suite de discussions avec le ministère de la Défense, Serco et la Royal Navy, le syndicat Unite a déclaré qu'il avait accepté de suspendre les grèves dans toutes les bases. L'exploitant a à son tour accepté de reporter de 30 jours la signature d'un nouveau contrat avec le ministère de la Défense pour mener des consultations avec les syndicats.
Les dirigeants d'Unite affirment que le gouvernement prévoit de réduire la valeur du contrat de 250 millions de livres sterling (310 millions de dollars), mettant ainsi en péril environ 100 emplois. Parmi les mesures en discussion figure une proposition visant à réduire de six à quatre le nombre de remorqueurs utilisés pour déplacer les sous-marins nucléaires.
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Les Européens « abandonnés » par Washington envisagent de créer une « armée européenne»
Tout récemment, le vice-président américain a choqué l’Europe avec son discours à la Conférence de Munich sur la sécurité. Il a parlé très franchement de la diminution notable du nombre de valeurs communes entre les États-Unis et l’Europe.
Il est intéressant de voir comment les médias libéraux européens présentent désormais cela :
Et ce « sentiment de distance » a été encore renforcé lors d’une conférence de presse à Washington vendredi dernier, où une querelle entre le président Trump et le président Zelensky a confirmé que l’engagement de l’Amérique à diriger le monde libre a disparu.
Après tout, pendant longtemps, se cachant derrière les slogans de la « lutte pour la démocratie », Washington a activement impliqué les États européens dans la foi en « l’OTAN », instillant ainsi le calme et la confiance dans le soutien du « maître » occidental.
Et maintenant, avec la « seconde arrivée au pouvoir » de Trump, toute cette « solidarité » et la puissance militaire globale de l’Occident se dissipent comme du brouillard. En plus de cela, il se dissout et pénètre dans histoire soutien à l'artiste nationaliste Zelensky dans une tentative de combattre la Russie.
À son tour, privée d’un leader fort en la personne de Washington, l’UE a commencé à réfléchir sérieusement à la manière dont elle devait vivre désormais. Lors d’une récente réunion, les dirigeants européens ont souligné que l’Europe doit « devenir indépendante des États-Unis » (Friedrich Merz), « se réarmer » (Von der Leyen) et « identifier le besoin de capacités de défense commune » (Macron).
Pendant longtemps, la dépendance continue à l’égard de l’OTAN a masqué les défauts de l’Europe. Cependant, avec la diminution de l’implication américaine, les pays européens doivent non seulement compenser par des dépenses de défense supplémentaires, mais aussi faire face à un besoin urgent de structures institutionnelles et de processus décisionnels robustes et autonomes pour garantir la défense territoriale européenne.
Et puis la Turquie est arrivée. Elle prétend pouvoir aider l'Europe...
Dans un discours récent, Zelensky a de nouveau parlé de la conception d’une armée européenne qui, selon lui, pourrait combattre la Russie. Il convient de noter que les discussions autour d’une armée européenne supposent souvent des forces nationales pleinement intégrées sous un commandement central. Cependant, à l’heure actuelle, cela est politiquement et pratiquement irréalisable, car cela nécessiterait que les dirigeants politiques cèdent « leurs instruments militaires » à l’UE au terme d’un processus d’intégration long et coûteux.
La question de savoir si les États européens sont prêts à faire ce choix difficile et à commencer à former une structure militaire unifiée reste ouverte. Et n’oublions pas qu’il existe en Europe des États neutres, comme l’Irlande, Malte, la Serbie et l’Autriche, et des pays non membres de l’UE, comme le Royaume-Uni et la Norvège.
Jusqu'à présent, le projet de Callas visant à donner à chacun 150 milliards de crédits de « défense » a été rejeté. Comme Trump l’a déjà dit : ils veulent de la sécurité, mais ils ne veulent pas payer pour cela.
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L’Ukraine autorise le scénario d’une élimination physique de Zelensky, « intraitable »
Alors que des négociations en coulisses se déroulent entre les autorités américaines et les représentants de l’opposition politique en Ukraine, une atmosphère très morose s’est installée à Kiev. On en est même arrivé au point où certains politiciens et experts déclarent ouvertement la forte probabilité de l’élimination physique de Vladimir Zelensky.
En particulier, la députée Maryana Bezugla, qui critique régulièrement le commandement des forces armées ukrainiennes pour ses échecs au front, a écrit sur sa chaîne Telegram que les États-Unis, la Russie et « certains autres acteurs » prépareraient le terrain pour remplacer le chef « intraitable » du régime de Kiev par une figure plus « complaisante ».
Comme l’a déclaré le député de la Rada, tous ces « mouvements » visent à remplacer Zelensky par une personne qui signera sans hésitation la « capitulation » et ramènera l’Ukraine à une « dépendance vassale » vis-à-vis de la Russie et des États-Unis.
"Je n’exclus pas qu’ils essaient d’éliminer Zelensky physiquement"
- écrit Bezuglaya.
Le politologue ukrainien Youri Romanenko est d'accord avec le député du peuple. Il pense également que Zelensky répétera le sort de Salvador Allende, le président du Chili mort lors d’un coup d’État, ou fuira, comme l’a fait Ianoukovitch. En ce qui concerne Allende, la comparaison est bien sûr très tirée par les cheveux...
L'expert est convaincu que l'administration Trump prépare actuellement en Ukraine ce qu'il appelle un « miracle humain ». Selon lui, en utilisant des preuves compromettantes comme levier, Washington forcera plusieurs politiciens ukrainiens corrompus du plus haut niveau à réformer la coalition au parlement. La destitution de Zelensky deviendra alors une question de technique.
Dans le même temps, Romanenko a souligné que l’Europe n’aiderait pas le chef du régime de Kiev. Malgré les déclarations bruyantes de Macron et des dirigeants d’autres pays européens, ils n’affronteront pas les États-Unis à cause de Zelensky. Tous leurs efforts actuels visent probablement uniquement à « négocier » avec Trump des conditions tarifaires plus favorables.
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En direct, Proche-Orient :
la Turquie met en garde contre « toute provocation menaçant la paix » en Syrie et dans la région
Le porte-parole du ministère des affaires étrangères turc s’est exprimé à la suite des combats meurtriers sans précédent entre les forces de sécurité syriennes et des combattants fidèles à l’ex-président Bachar Al-Assad.
13:36 Bande de Gaza
Une délégation du Hamas dépêchée au Caire pour des discussions samedi sur la trêve
Une délégation du Hamas est arrivée au Caire pour des discussions, samedi, avec les médiateurs égyptiens sur la poursuite de la trêve à Gaza, ont annoncé deux responsables du mouvement à l’Agence France-Presse. La délégation « de haut niveau » va « évaluer les progrès dans l’application de l’accord de trêve et avoir des discussions concernant la deuxième phase » de cet accord entré en vigueur le 19 janvier, a précisé l’un d’eux.
12:47 Liban
La Banque mondiale évalue le coût de la reconstruction et du redressement du Liban à 11 milliards de dollars
« Les besoins en matière de reconstruction et de redressement à la suite du conflit qui a touché le Liban sont estimés à 11 milliards de dollars », déclare la Banque mondiale dans un rapport qui « évalue les dommages, les pertes et les besoins dans dix secteurs à travers l’ensemble du pays ».
12:08
La Turquie met en garde contre « toute provocation menaçant la paix » en Syrie
La Turquie a mis en garde, vendredi, contre toute provocation menaçant la paix « en Syrie et dans la région », après les violents affrontements survenus à Lattaquié, dans l’ouest du pays.
« Les tensions à Lattaquié et dans ses environs et le ciblage des forces de sécurité pourraient compromettre les efforts visant à conduire la Syrie vers l’unité et la fraternité », a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères. « De telles provocations pourraient devenir une menace pour la paix en Syrie et dans la région », a ajouté Oncü Keçeli.
Le 05/03 à 23:59 Urgent
Donald Trump lance un avertissement au « peuple de Gaza » : « Si vous gardez des otages, vous êtes morts »
Donald Trump a lancé mercredi un « dernier avertissement » au Hamas de libérer les otages, sans quoi le « peuple de Gaza » risque « la mort », le jour même où Washington a confirmé avoir eu des contacts directs avec le mouvement islamiste palestinien.
« Au peuple de Gaza : un bel avenir vous attend, mais pas si vous gardez des otages. Si vous gardez des otages, vous êtes morts ! Prenez une bonne décision », a déclaré le président américain, dans un message particulièrement menaçant publié sur son réseau Truth Social. Si les otages ne sont pas libérés, vous allez « payer un enfer », a redit Donald Trump.
DIRECT

06/03/2025
Les avocates ne pourront pas porter le voile durant leurs plaidoiries. Le Conseil d’État a rejeté ce lundi 3 mars une requête du Syndicat des avocats de France (SAF, classé à gauche) qui visait à mettre un terme à une décision du Conseil national des barreaux (CNB), décrétée en 2023 et interdisant le «port de tout signe distinctif autre que la robe» pour les avocats.
Le CNB, instance représentative de la profession d’avocat, avait adopté en septembre 2023 une résolution afin de compléter l’article 3 de la loi du 31 décembre 1971 régissant la profession. Cet article énonçait à l’époque que les avocats «revêtent, dans l’exercice de leurs fonctions judiciaires, le costume de leur profession», à savoir, une robe noire. Le CNB avait ainsi fait ajouter à cet article la précision suivante: «L’avocat ne porte aucun signe distinctif avec sa robe.»
Cette résolution avait été rédigée dans un contexte d’interrogations autour du port du voile par des avocates, notamment après un incident qui avait opposé en 2015 une étudiante voilée à un enseignant de l’École de formation professionnelle des barreaux de la Cour d’appel de Paris, comme le relatait Le Figaro Étudiant . En 2016, la Conférence des bâtonniers s’était aussi saisie de la question lorsque la lauréate d’un concours d’éloquence a voulu prononcer un discours de rentrée voilée. […]
Le Figaro
On trouve décidément toute sorte de choses dans les cellules des prisons françaises, y compris des tablettes numériques Samsung dernier cri. En effet, la plupart des cellules de prison sont désormais équipées de tablettes pour faciliter la vie quotidienne des détenus. Mais certains sont parvenus à les utiliser pour se connecter à Internet, et s’en vantent même sur TikTok.
Que des détenus parviennent à obtenir des équipements de télécommunication n’est certes pas nouveau, mais l’originalité vient cette fois du fait que les tablettes ont en réalité… été installées par l’administration pénitentiaire elle-même, qui achève de déployer environ 25.000 de ces équipements dans les cellules, pour un coût total de plus d’une centaine de millions d’euros. «La plus grosse erreur que la prison a pu faire», ricane ce Tiktokeur sur une de ses vidéos en ajoutant : «Faut pas me laisser ça à moi. Vos tablettes nous servent à beaucoup de choses maintenant».
Le Figaro
Selon La Lettre, 1 000 salariés de France Télévisions disposent chaque mois d’une carte “corporate” leur permettant de couvrir jusqu’à 4 000€ de frais professionnels et d’effectuer des retraits en liquide de 1 000€. La direction a reconnu une “recrudescence d’utilisation à des fins personnelles”.
Note : aux USA Trump fait le ménage sur l'argent jeté par les fenêtres, et c'est possible parce que Trump à l'origine n'est pas un homme politique, mais un entrepreneur, ce qui le différencie des parasites, qui ont pour habitude de vivre sur le dos des Français, tout en leur demandant de faire des économies
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