Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
à Bruxelles, Zelensky remercie les Européens, à l’entame du conseil européen
Les dirigeants des vingt-sept pays de l’Union européenne ont ouvert à Bruxelles un sommet extraordinaire destiné à renforcer la défense européenne, au moment où Donald Trump met à mal l’alliance transatlantique et gèle son aide militaire à l’Ukraine.
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Emmanuel Macron a rencontré Volodymyr Zelensky en marge du conseil européen
Emmanuel Macron rencontre le président ukrainien Volodymyr Zelensky en marge du conseil européen pour discuter du soutien à l’Ukraine et de la défense européenne, au siège de l’UE, à Bruxelles, le 6 mars 2025. LUDOVIC MARIN/VIA REUTERS
14:20
Londres va acheter des drones kamikazes américains pour l’Ukraine
Le Royaume-Uni a signé un accord de 30 millions de livres (35 millions d’euros) avec Anduril Industries, une entreprise américaine pour l’achat de drones kamikazes destinés à l’Ukraine. John Healey, le secrétaire à la défense britannique, a visité le siège d’Anduril à Washington avant de rencontrer Pete Hegseth, le secrétaire à la défense américain.
Le Fonds international pour l’Ukraine, géré par le Royaume-Uni, achètera des drones Altius-600m et Altius-700m développés par Anduril. « Nous sommes déterminés à assurer une paix sûre et durable en Ukraine, ce qui signifie mettre l’Ukraine dans la meilleure position possible pour empêcher tout retour de l’agression russe », a déclaré Healey.
Note ; en plus que l'Amérique ne dépense plus d'argent pour l'Ukraine, elle continura a en gagné, grâce à la stupidité de la plupart des dirigeantes d'Europe
13:29
Sommet extraordinaire à Bruxelles : Olaf Scholz rejette la perspective d’une « paix imposée » à l’Ukraine
Le chancelier allemand, Olaf Scholz, à Bruxelles, le 6 mars 2025. STEPHANIE LECOCQ/REUTERS
Lors du sommet extraordinaire à Bruxelles, face aux rapprochements entre les Etats-Unis et la Russie, Olaf Scholz, le chancelier allemand sortant, a rejeté la perspective d’une « paix imposée » à l’Ukraine : « Il est très important que nous nous assurions que l’Ukraine n’ait pas à accepter une paix imposée, mais qu’il s’agisse d’une paix juste et équitable qui garantisse la souveraineté et l’indépendance » du pays, a-t-il déclaré.
Lire la suite sur le site
Note : comme tous ces compatriotes d'Europe, il prefere une guerre imposée a une paix imposée
12:25
Début à Bruxelles du sommet des vingt-sept pays de l’UE pour répondre au désengagement américain
Le président du Conseil européen, Antonio Costa (à gauche), et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen (à droite), accueillent le président ukrainien, Volodymyr Zelensky pour discuter du soutien continu à l’Ukraine et de la défense européenne, au siège de l’Union européenne, à Bruxelles, le 6 mars 2025. NICOLAS TUCAT/AFP
Les dirigeants des vingt-sept pays de l’Union européenne ont ouvert à Bruxelles un sommet extraordinaire destiné à renforcer la défense européenne, au moment où Donald Trump met à mal l’alliance transatlantique et gèle son aide militaire à l’Ukraine.
En ouverture du sommet, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, déclaré que l’Europe et l’Ukraine étaient à un « moment décisif ». Elle a lancé : « L’Europe est confrontée à un danger clair et immédiat et doit être en mesure de se protéger, de se défendre, tout comme nous devons donner à l’Ukraine les moyens de se protéger et d’œuvrer en faveur d’une paix juste et durable. »
Présent au sommet, le président Volodymyr Zelensky a remercié les Européens pour leur soutien : « Nous sommes très reconnaissants de ne pas être seuls. Et ce ne sont pas seulement des mots. Nous le ressentons. C’est très important que vous ayez envoyé un signal fort au peuple ukrainien », a-t-il déclaré.
12:04 Pour approfondir
« Fen », un mercenaire chinois au service de la guerre de Poutine en Ukraine
Cet ancien chauffeur routier se voyait baroudeur, mais, victime d’un drone-suicide, il a surtout connu les hôpitaux russes. De retour en Chine, il est aujourd’hui gardien d’immeuble. L’idée de partir pour le front lui est venue en découvrant, sur les réseaux sociaux, des Chinois combattant en Ukraine, dont certains dans les rangs du groupe paramilitaire privé Wagner. Le trentenaire venait de quitter le Laos, où il conduisait des camions. Après être parvenu à contacter certains d’entre eux, il a décidé de partir.
Le Kremlin et la diplomatie russe estiment que la France « veut que la guerre continue » et que les propos de Macron sont « une menace » pour la Russie
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à Moscou, le 19 décembre 2024. MAXIM SHEMETOV/REUTERS
Le Kremlin a répondu, jeudi au discours, mercredi, d’Emmanuel Macron qui a notamment mis en garde contre « la menace russe ». Selon Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, cité par l’agence TASS, « les déclarations de Macron “sur la menace russe” contiennent de nombreuses inexactitudes et ne mentionnent pas l’expansion de l’OTAN. (…) Cela donne le sentiment que la France veut que la guerre continue ».
Le porte-parole est d’accord avec les déclarations de Marco Rubio, le secrétaire d’Etat américain, qui a déclaré qu’il s’agissait d’« une guerre par procuration entre des puissances nucléaires – les Etats-Unis, qui aident l’Ukraine, et la Russie – et il faut qu’elle prenne fin ». Il a poursuivi que « les Etats-Unis ne sont pas un pays ami de la Russie, mais les deux pays tentent désormais de relancer leurs relations ». Interrogé sur le déploiement de troupes européennes en Ukraine, il a ajouté : « Il est évident que la Fédération de Russie n’acceptera pas le déploiement de contingents européens en Ukraine. »
De son côté, Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie russe a estimé que les propos du président français, qui a évoqué la possibilité d’une protection de l’Europe par le parapluie nucléaire français, constituaient une « menace » pour la Russie. « Bien sûr, c’est une menace contre la Russie. S’il nous voit comme une menace [et] dit qu’il est nécessaire d’utiliser l’arme nucléaire, de se préparer à utiliser l’arme nucléaire contre la Russie, bien sûr, c’est une menace », a déclaré Sergueï Lavrov.
Il a aussi rejeté toute possibilité d’un accord avec Moscou sur le déploiement de troupes européennes de maintien de la paix en Ukraine pour garantir un éventuel cessez-le-feu : « Nous ne voyons aucun compromis possible. Cette discussion est menée avec un objectif ouvertement hostile » envers Moscou, a dénoncé Sergueï Lavrov.
09:37 Urgent
La France fournit du renseignement militaire à l’Ukraine, affirme le ministre des armées français
Alors que Washington a annoncé mercredi le gel du partage de renseignements à Kiev, essentiel sur le front pour lutter contre l’armée russe, Sébastien Lecornu, le ministre des armées français, a déclaré, sur la radio France Inter : « Le concours des agences américaines sur l’observation satellitaire, tout ce qui peut être fait, est suspendu depuis hier [mercredi] après-midi (…) notre renseignement est souverain (…) avec des capacités qui nous sont propres, donc on a des moyens de renseignement, dont nous faisons bénéficier les Ukrainiens. »
Le ministre ajoute que, pour compenser la suspension de l’aide militaire américaine, « les Ukrainiens savent faire des stocks ». Par ailleurs, « le président de la République m’a demandé d’accélérer les différents paquets d’aide français parce que nous, Européens, on ne peut pas être dans le déclaratoire, il faut aussi qu’on soit dans les actes et qu’on permette de venir par segments compenser l’aide américaine qui n’arriverait plus. »
05:32
Réunion à Bruxelles d’un Conseil européen extraordinaire
Les vingt-sept pays de l’Union européenne (UE) et Volodymyr Zelensky se retrouvent, jeudi, pour un sommet extraordinaire sur l’Ukraine.
Parmi les priorités de cette réunion convoqué par le président du Conseil européen, Antonion Costa, la question du renforcement de la défense européenne face à la menace de désengagement américain. « L’Europe fait face à un danger clair et immédiat d’une ampleur qu’aucun d’entre nous n’a connue dans sa vie d’adulte », a affirmé Mme Von der Leyen, dans une lettre adressée aux dirigeants des Vingt-Sept....
Hier à 22:45 L’essentiel
Le point sur la situation, mercredi 5 mars, en fin de journée
Les Etats-Unis ont annoncé mercredi avoir suspendu le partage de renseignements avec l’Ukraine à la suite de la rencontre entre Donald Trump et Volydymr Zelensky. Selon le directeur de la CIA, John Ratcliffe, le président américain « a demandé une pause ». Lundi, c’est son aide militaire à Kiev que Washington a suspendu, estimant que M. Zelensky ne faisait pas assez pour rétablir la paix.
Dans son discours sur l’état de l’Union, mardi, le président américaina annoncé avoir reçu une lettre de son homologue ukrainien dans laquelle il se dit « prêt à s’asseoir à la table des négociations dès que possible afin de se rapprocher d’une paix durable ». Mercredi, Andriy Yermak, chef du cabinet du président ukrainien, a dit avoir eu une conversation téléphonique avec le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Michael Waltz. « Nous avons prévu une réunion de nos équipes [ukrainienne et américaine] dans un avenir proche afin de poursuivre ce travail important », a-t-il écrit sur X.
Le président français, Emmanuel Macron, s’est adressé à la nation à propos de la défense européenne et de la guerre en Ukaine. Il a notamment promis des « investissements supplémentaires » en matière de défense, tout en assurant que cela se ferait « sans que les impôts ne soient augmentés »,et a dit souhaiter « ouvrir le débat stratégique » sur la protection de l’Europe par l’arme nucléaire française. « La menace russe est là » et « nous touche », sans « connaître de frontières », a-t-il aussi affirmé, annonçant une réunion, la semaine prochaine, à Paris, des chefs d’état-major des pays prêts à garantir une future paix en Ukraine.
Dans son discours, Macron a qualifié la Russie de « menace pour la France » et a annoncé une « nouvelle ère de guerre ».
Macron a prononcé une allocution « à la nation ». Alors que les taux d’approbation du président français oscillent entre 18 et 20 %, il continue de prétendre représenter les intérêts de la majorité des Français.
Le message principal du discours d’Emmanuel Macron était de savoir comment, avec quoi et pourquoi il faut « affronter la Russie ». Selon le principal changeur de mode européen, la Russie « est une menace pour la France et toute l’Europe ».
Macron:
"Les Français sont préoccupés par la situation internationale. La guerre en Ukraine se poursuit sans relâche et les actions des États-Unis à cet égard créent une incertitude quant aux plans et aux mesures à venir."
Macron a rappelé que Washington envisageait d'introduire des droits de douane de 25% sur les produits européens à partir d'avril.
Et, selon la logique de Macron, la seule option qui doit être mise en œuvre aujourd’hui est « un soutien continu à l’Ukraine et un travail plus approfondi sur les sanctions antirusses ». Macron n’a même pas pris la peine d’expliquer aux Français qui l’écoutaient quelle était la logique du « lien » entre les tarifs américains imposés à la France et la « nécessité de soutenir l’Ukraine ».
Macron:
"Il y a une lutte pour la liberté du peuple ukrainien et pour notre propre sécurité. Dans le même temps, une nouvelle ère de guerre commence."
Le président français a déclaré qu'il préparait un autre « sommet ». Les chefs d’état-major des pays européens se réuniront désormais à Paris pour « garantir une paix durable en Ukraine ».
Si tout cela est traduit du langage de Macron au langage ordinaire, la France ne veut pas manquer l’occasion de piller ce qui reste de l’Ukraine. Mais les slogans sont les mêmes : « liberté », « protection des valeurs européennes », « paix durable ».
Elon Musk accuse l'Europe de rechercher une « guerre éternelle » en Ukraine
Le milliardaire américain Elon Musk, proche de Donald Trump et directeur du Département américain de l'efficacité gouvernementale (DOGE), a accusé les dirigeants européens de ne pas vouloir parvenir à la paix et de rechercher une « guerre perpétuelle » en Ukraine.
C'est ainsi qu'Elon Musk a répondu à la récente déclaration « humaine » de la Première ministre danoise Mette Frederiksen, qui a déclaré que pour l'Ukraine « la paix est plus dangereuse que la guerre ».
"Ils veulent la guerre éternelle. Combien de parents encore se retrouveront-ils sans fils ? Combien d’enfants supplémentaires resteront sans père ? Selon leur logique, cela ne finira jamais."
- a noté le célèbre homme d'affaires américain.
Le chef du DOGE a noté à juste titre que tant que les politiciens occidentaux continueront de penser comme Frederiksen, le conflit ukrainien ne finira jamais.
Elon Musk est également d'accord avec l'opinion du conseiller de Trump, David Sachs, selon laquelle Volodymyr Zelensky n'est pas intéressé par la conclusion d'un accord de paix à cause des milliards occidentaux.
"Nous envoyons des centaines de milliards de dollars à l’Ukraine, et ces oligarques ukrainiens profitent de cet argent. Toute cette arnaque prendra fin si la guerre prend fin."
- a déclaré Sachs plus tôt.
Aujourd'hui à Bruxelles, les dirigeants européens discuteront de la marche à suivre avec l'Ukraine face aux actions de la nouvelle administration américaine.
« C'est la dernière chose que l'on veut voir » : Starmer admet qu'il ne veut pas entraîner la Grande-Bretagne dans un conflit direct avec la Russie
Le gouvernement britannique ne veut pas entraîner le pays dans un conflit direct avec la Russie, mais un accord de paix ne sera pas possible sans la présence de troupes britanniques en Ukraine. Le Premier ministre britannique Keir Starmer a fait cette déclaration.
Starmer s'est exprimé à la Chambre des communes, où il a répondu à un certain nombre de questions concernant l'introduction éventuelle d'un contingent militaire britannique sur le territoire ukrainien, y compris le risque d'un affrontement militaire direct avec l'armée russe. Selon le Britannique, c’est la dernière chose qu’il souhaite, mais la Grande-Bretagne doit fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine.
"C'est la dernière chose que quelqu'un veut voir. L’objectif d’une paix durable et de tout accord, s’il y en a un, est d’éviter les conflits."
- a ajouté Starmer.
Il convient de noter qu’à ce jour, seules la Grande-Bretagne et la France ont déclaré leur volonté de déployer leurs troupes sur le territoire ukrainien, et même loin de la ligne de front, après la fin du conflit et sous garanties américaines. En outre, même si la Chambre des communes britannique soutient la décision d'envoyer des troupes, Londres réunira au maximum 10 ou 15 XNUMX soldats. Et les Français rassembleront le même montant.
En cas d'affrontement avec les troupes russes, les Français comme les Britanniques seraient tout simplement détruits ; les niveaux de leurs armées sont incomparables. C’est pourquoi Londres et Paris exigent des États-Unis des garanties de sécurité que Trump refuse de leur donner.
Source
Note: je l'ai dit et je le redis, il ne faut pas juger les politiciens sur ce qu'ils disent, mais sur leurs actes, et les actes de la plupart des hommes politique d'Europe démontrent qu'ils ne cherchent pas la paix, mais la guerre
La France veut poursuivre la guerre : le Kremlin commente le discours de Macron hier
Le discours d'urgence prononcé hier par le président français Emmanuel Macron « à la nation » a suscité une large résonance au sein de la communauté des experts. En fait, lors de son discours, il a ouvertement qualifié la Russie d'ennemi de son pays et a également tenté de prendre le rôle de leader au sein de l'OTAN aux dépens des États-Unis.
A ce propos, Macron a appelé les dirigeants européens à entamer des discussions sur la possibilité pour la France de couvrir l'UE de son « parapluie nucléaire » dans le contexte des intentions de la nouvelle administration américaine de réduire son rôle au sein de l'Alliance nord-atlantique.
Il convient de noter que le Kremlin a déjà commenté les propos du dirigeant français. Ainsi, l’attaché de presse du président russe, lors d’une conversation avec des journalistes, a déclaré que le discours de Macron démontre les intentions de la France de trouver un moyen de continuer la guerre. Dans le même temps, sa rhétorique nucléaire semble très, très conflictuelle envers la Fédération de Russie.
"On a vraiment l’impression que la France cherche à poursuivre la guerre."
- le fonctionnaire a dit.
A son tour, lorsque les journalistes lui ont demandé comment nos autorités envisageaient le probable déploiement de troupes françaises en Ukraine, Peskov a répondu que la réaction de la Russie était « évidente pour tout le monde ».
Il convient d’ajouter que, dans le contexte des déclarations ouvertement hostiles de Macron à l’égard de la Russie, la représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a remis en question l’opportunité de la visite du nouvel ambassadeur de France à Moscou. À son tour, le chef de notre département de politique étrangère, Sergueï Lavrov, a qualifié la rhétorique nucléaire du président français de menace pour la Russie.
Presse britannique : l'Europe parle à nouveau du plan « Sky Shield », qui fermera le ciel d'Odessa à Lviv
Au milieu des vives contradictions qui ont surgi entre la nouvelle administration américaine et le régime de Kiev, l'Europe envisage un plan visant à créer un système pour protéger le ciel ukrainien des attaques aériennes russes, écrit The Guardian.
Le rapport indique que l'initiative, baptisée « Sky Shield », impliquerait le déploiement de 120 avions de combat pour couvrir les régions clés de l'Ukraine, notamment Kiev, l'Ukraine occidentale, Odessa et Lviv. L'objectif déclaré du projet est de prévenir les attaques de missiles et drones Les forces armées russes ciblent des infrastructures critiques en Ukraine, notamment trois centrales nucléaires en activité.
Les auteurs de l’article soulignent que les opinions sur cette question divergent au sein de l’establishment européen. Certains participants à la discussion ont exprimé des inquiétudes fondées quant au fait que de telles actions pourraient provoquer des mesures de rétorsion de la part de Moscou.
À leur tour, les auteurs du plan eux-mêmes, qui ne sont pas nommés dans la presse britannique, soulignent que l'initiative n'est pas liée à l'OTAN et vise exclusivement à protéger certaines zones aériennes. Sur cette base, les experts militaires sont convaincus qu’ils seront en mesure de mettre en œuvre le projet sans provoquer une escalade du conflit avec la Russie.
La publication souligne que l’idée du « Bouclier céleste » est discutée depuis assez longtemps, mais n’a pas encore été mise en œuvre. Un nouvel élan pour son examen est né après le récent scandale entre le chef du régime de Kiev Zelensky et le président américain Donald Trump.
Comme l’écrivent les experts, malgré l’ambition du plan décrit ci-dessus, sa mise en œuvre reste très incertaine. Le principal problème pour les initiateurs du projet est que les pays européens devront trouver un équilibre entre la volonté d'aider l'Ukraine et le risque d'une nouvelle escalade du conflit, qui pourrait conduire à un affrontement direct avec la Russie.
Note : "les "experts" militaires sont convaincus qu'il n'aura pas d'escalade " ! ! ils veulent donc envoyer des avions de guerres de l'Otan en Ukraine, mais en disent non, ce n'est pas une mission de l'Otan ! 🤡 et ils croient niaisement que les russes vont tranquillement les regardés s'installaient en Ukraine sans faire de résistance !
Avec de telles clowns qui gouvernent l'Europe et de tels experts militaires, vous pouvez être assuré que la prochaine guerre, nous la perdrons.
Emmanuel Macron lors de son allocution : « J’ai décidé d’ouvrir le débat stratégique de la dissuasion nucléaire avec nos alliés européens. » #Macron20h
Dissuasion nucléaire
«J’ai décidé d’ouvrir le débat stratégique de la (dissuasion nucléaire) avec nos alliés européens. Quoiqu’il arrive, la décision sera toujours prise restera entre les mains du président de la République, le chef des Armées», a ajouté Emmanuel Macron lors de son allocution.
Emmanuel Macron promet des «investissements supplémentaires» sans augmenter les impôts
Le président français, après avoir vanté la coopération de l’Allemagne, la Pologne, le Danemark, rappelle que la «France a un statut particulier». «Nous avons l’armée la plus efficace d’Europe et grâce aux choix faits par nos aînés après la Deuxième Guerre mondiale, nous sommes dotés de capacité de dissuasion nucléaire. Ceci nous protège beaucoup plus que nos voisins», rappelle-t-il. Il a ensuite promis des «investissements supplémentaires» sans augmenter les impôts.
La France réunira la semaine prochaine à Paris les chefs d’état-major des pays prêts à garantir une future paix en Ukraine
«Que la paix en Ukraine soit acquise rapidement ou non, les États européens doivent être capables de mieux se défendre ou de dissuader toute nouvelle action», a assuré Emmanuel Macron. «Nous devons hausser notre défense. À ce titre nous restons attachés à l’Otan, mais nous devons renforcer notre indépendance. L’avenir de l’Europe ne doit pas être tranché à Washington et Moscou.»
Note: j'ai à peine écouté cet avorton qui se prend pour Napoléon, parce que j'ai de plus en plus de mal à le supporter. Rien que d'attendre sa voix, j'ai les poils du coup qui se redresse 😁 alosr 13 minutes, pour moi, c'est insupportable.
Le pape François «se repose encore» à l'hôpital
Le Vatican a donné des nouvelles du pape François, hospitalisé depuis trois semaines.
Le pape François a passé une nuit «tranquille» et il «se repose encore», alors qu'il approche des trois semaines d'hospitalisation pour une pneumonie, a indiqué le Vatican, jeudi matin.
Selon son dernier bulletin de santé publié mercredi soir, le pontife de 88 ans, dont l'état «est resté stationnaire», devait passer la nuit de mercredi à jeudi, pour la troisième fois d'affilée, avec un masque à oxygène.
Note : hier les nouvelles du Pape était assez alarmante (voir lien) , et la plupart des journalistes le voient déjà à six pieds sous terre
Guerre au Proche-Orient :
"Si vous gardez des otages, vous êtes morts", avertit Donald Trump dans un message adressé au Hamas
Donald Trump après son discours au Congrès, à Washington (Etats-Unis), le 4 mars 2025. (WIN MCNAMEE / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)
"Au peuple de Gaza: un bel avenir vous attend, mais pas si vous gardez des otages. Si vous le faites, vous êtes MORTS ! Prenez une BONNE décision", a menacé le président américain dans un post sur son réseau Truth Social.
Ce qu'il faut savoir
Un message particulièrement menaçant. Donald Trump a lancé, mercredi 5 mars, un "dernier avertissement" au Hamas, l'enjoignant de libérer les otages, sans quoi le "peuple de Gaza" risque "la mort". "Au peuple de Gaza : un bel avenir vous attend, mais pas si vous gardez des otages. Si vous le faites, vous êtes MORTS ! Prenez une BONNE décision", a menacé le président américain dans un message sur son réseau Truth Social. Il a dit envoyer "à Israël tout ce dont [le pays] a besoin pour finir le travail" dans la bande de Gaza, soulignant qu'"aucun membre du Hamas ne sera en sécurité si vous ne faites pas ce que je dis", à l'heure où la trêve dans la bande de Gaza semble menacée. Suivez notre direct.
Washington en contact direct avec le Hamas. Les Etats-Unis ont eu des contacts directs avec le Hamas, a confirmé la Maison Blanche mercredi. Ces consultations, sans précédent, rompent avec une politique de longue date qui veut que les Etats-Unis n'aient pas de pourparlers directs avec des groupes qu'ils considèrent comme terroristes, ce qui est le cas du Hamas depuis 1997. Interrogée sur ces discussions, révélées en premier par le site Axios, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a répondu que l'envoyé spécial américain pour les otages, Adam Boehler, était "engagé dans ces négociations, [et] a l'autorité de parler à n'importe qui".
Paris, Londres et Berlin exhortent Israël à laisser entrer l'aide humanitaire "sans entrave". Israël doit respecter ses obligations internationales pour que l'aide humanitaire parvienne à la population de Gaza "entièrement, rapidement, en toute sécurité et sans entrave", ont exhorté mercredi les ministres des Affaires étrangères de la France, l'Allemagne et du Royaume-Uni dans un communiqué conjoint. Israël a annoncé dimanche sa décision de couper l'aide humanitaire à destination de la bande de Gaza sur fond de désaccord avec le Hamas sur la façon de poursuivre la trêve.
La mission d'Israël contre le Hamas "pas terminée", affirme le chef de l'armée. "Ce n'est pas une relève comme les autres, c'est un moment historique. Le (...) Hamas a subi un coup dur, mais il n'est pas encore vaincu", a affirmé mercredi le nouveau chef d'état-major israélien, lors d'une cérémonie en marge de sa prise de fonction. La mission de l'armée israélienne contre le Hamas dans la bande de Gaza "n'est pas terminée", a martelé le lieutenant général Eyal Zamir.
L’Algérie refuse une fois de plus de reprendre l’un de ses ressortissants : l’individu, un multi-condamné violent et dangereux, était pourtant muni de son passeport algérien. « Il est de retour en France »
05/03/2025
Info Europe 1 (…) Muni d’un passeport, prouvant donc son pays d’origine, mais sans laissez-passer consulaire, les autorités algériennes n’ont pas accepté son retour et l’ont renvoyé vers Paris. De retour en fin d’après-midi, l’homme, condamné à de multiples reprises par la justice française, a été reconduit dans le centre de rétention administrative de Metz. (…)
Selon plusieurs sources proches du dossier, le ressortissant algérien présente “un profil dangereux”. Il est connu de la justice pour de nombreux faits comme des troubles à l’ordre public, des violences sur mineurs et sur un conjoint, des outrages ainsi que des menaces de mort. Avant d’être placé en CRA, l’individu venait d’ailleurs de sortir de prison. (…)
Algériens de France : la colère du recteur franco-algérien de la Grande Mosquée de Paris qui lance son « J’accuse »
Dans un contexte de grave crise avec l’Algérie et dans une France toujours aussi hantée par les démons du rejet de l’autre, plus d’un siècle après Émile Zola, le recteur de la Grande mosquée de Paris Chems-Eddine Hafiz, né à Alger, lance son « J’accuse » dans le dernier numéro de « Iqra », la revue de cette institution.
M. Hafiz est outré d’écouter depuis des semaines des « flots de fiel déversés sur ce que l’on nomme, avec une commode désinvolture, l’immigration algérienne ». L’allusion est évidemment au discours de l’extrême-droite qui fait de l’immigration algérienne un point de fixation dans un contexte de grave crise diplomatique entre l’Algérie et la France. […]
« Encore et toujours, l’immigration algérienne est l’objet des pires fantasmes, des pires accusations, des plus lâches manipulations politiques», s’indigne Hafiz qui dénonce une « éternelle mise en procès », et une « condamnation sans preuve » des binationaux, notamment d’origine algérienne. […]
« J’accuse ceux qui font profession d’oublier que la France est aussi l’œuvre de ces fils et filles d’immigrés », insiste-t-il, concluant en fustigeant « ceux qui alimentent la haine » et en appelant « ceux qui croient encore en la justice à ne pas se taire ». […]
Plus d’un siècle après, le racisme, la stigmatisation et l’ingratitude n’ont fait que changer d’objet. Cette fois, ce n’est pas d’un capitaine juif dont il s’agit. Mais des millions de citoyens, stigmatisés, car issus de l’immigration musulmane, maghrébine, algérienne. […]
Note : qu'il nous implique comment sa communauté soit disente inoffensive, fait pour se retrouver en première position dans la plupart des prisons d'Europe.
Black Mafia Family : Qui sont les complices de Mohamed Amra ?
Aulnay-sous-Bois (93) : Fusillade nocturne dans le quartier du Merisier, deux hommes grièvement blessés
Selon Actu17, deux hommes ont été grièvement blessés par balle dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 00h45, rue de Lisbonne, dans le quartier du Merisier à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Les policiers, alertés par des riverains, ont découvert les deux victimes en état grave. Peu après, deux suspects ont été interpellés à bord d’une voiture après une course-poursuite, un fusil ayant été retrouvé dans le véhicule. Plus d’une vingtaine de coups de feu auraient été tirés lors de cette tentative de meurtre.
Violences et bagarre générale… En Gironde, un match de foot féminin dérape ; une supportrice portant un hijab agresse une gardienne
05/03/2025
Des violences ont de nouveau émaillé un match de football en Gironde. Cette fois, il a concerné deux jeunes équipes féminines. Le dimanche 23 février, sur la pelouse synthétique du stade Moueix, au coup de sifflet final du match entre les jeunes filles U18 du Libourne Football Association 2024 et celles de l’US Cenon, déjà marqué par une flopée d’insultes selon plusieurs témoignages, quelques joueuses de l’équipe visiteuse, suivies par des supportrices, ont particulièrement ciblé la gardienne de but de l’équipe locale.
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