Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
« Malgré les mots durs, nous restons des partenaires stratégiques », dit Volodymyr Zelensky au lendemain de l’altercation avec Donald Trump
Le président ukrainien a publié une longue série de messages sur le réseau social X, où il se dit « très reconnaissant » envers les Etats-Unis pour « tout le soutien ». « Nous devons être honnêtes et directs pour comprendre réellement nos buts communs », écrit-il, avant de rappeler qu’il est « crucial pour nous d’avoir le soutien du président Trump ».
14:01 L’essentiel
Ce qu’il faut savoir samedi 1ᵉʳ mars à 14 heures
Au lendemain de son altercation avec Donald Trump et J. D. Vance à la Maison Blanche, Volodymyr Zelensky a longuement remercié les dirigeants pro-ukrainiens qui lui ont fait part de leur soutien et souhaité que « personne n’oublie l’Ukraine ».
Volodymyr Zelensky a également publié une longue série de messages sur X, où il se dit « très reconnaissant » envers les Etats-Unis pour « tout le soutien », rappelle que l’aide américaine est « vitale », que « malgré les mots durs, [l’Ukraine et les Etats-Unis] rest[ent] des partenaires stratégiques » et qu’il reste prêt à signer l’accord sur les minerais, « premier pas vers des garanties de sécurité » indispensables face à la Russie.
De son côté, la Russie a affirmé que la visite de Volodymyr Zelensky à Washington a été un « échec complet » et a accusé le dirigeant ukrainien d’être « obsédé par la poursuite de la guerre ».
Le président ukrainien est arrivé à Londres, où il doit rencontre le premier ministre britannique, Keir Starmer, dans la journée.
En France, Marine Le Pen a affirmé que la dissuasion nucléaire de la France devait rester « française », après qu’Emmanuel Macron se fut dit prêt, hier, à « ouvrir la discussion » sur une dissuasion nucléaire européenne. La députée RN s’est également montrée soucieuse d’épargner Donald Trump.
En Ukraine, la Russie a affirmé avoir conquis deux nouveaux villages dans le Donbass, quelques heures après que l’Ukraine a annoncé avoir subi l’attaque de 154 drones au cours de la nuit.
13:32
Volodymr Zelensky se dit « très reconnaissant » envers les Etats-Unis pour « tout le soutien », au lendemain de son altercation avec Donald Trump
Quelques heures après son altercation avec Donald Trump et J. D. Vance à la Maison Blanche, le président ukrainien a publié une longue série de messages sur le réseau social X, où il se dit « très reconnaissant » envers les Etats-Unis pour « tout le soutien ». Il se dit également reconnaissant envers le « président Trump, le Congrès pour son soutien bipartisan et le peuple américain », pendant ces trois années d’invasion russe.
Lire la suite sur le site du Monde
12:35
La Russie affirme avoir conquis deux nouveaux villages dans le Donbass
La France ne doit pas « partager » sa dissuasion nucléaire qui doit rester « française », déclare Marine Le Pen
Marine Le Pen s’adresse aux médias lors de sa visite au 61ᵉ Salon international de l’agriculture, à Paris, le 1ᵉʳ mars 2025. BEHROUZ MEHRI/AFP
Interrogée sur les développements qui ont suivi l’affrontement verbal entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump, hier, Marine Le Pen a affirmé que la dissuasion nucléaire de la France devait rester « française ». « On ne doit pas la partager (…) encore moins la déléguer. »
Lire la suite
08:32
Volodymyr Zelensky remercie de nombreux dirigeants pro-ukrainiens de leur soutien après son échange tendu avec Donald Trump
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a remercié sur son compte X, les nombreux dirigeants qui sont venus témoigner de leur soutien après l’altercation filmée à la Maison Blanche avec le président américain Donald Trump et son vice-président J. D. Vance.
« Merci de votre soutien », a ainsi répondu le président ukrainien en réponse aux messages des dirigeants polonais, espagnol, moldave, lituanien, letton, tchèque, allemand, suédois, portugais, européens, français, luxembourgeois, néerlandais, irlandais, estonien, finlandais, croate, danois, roumain, autrichien, canadien, belge, slovène et néo-zélandais, comme l’a repéré le correspondant du Monde à Washington, Piotr Smolar.
01:54
Les républicains applaudissent après l’altercation entre Trump et Zelensky
Les élus républicains américains se sont, eux, réjouis des échanges extrêmement tendus entre Donald Trump et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche.
« Ce à quoi nous avons assisté dans le bureau Ovale aujourd’hui, c’est un président américain qui place l’Amérique d’abord », a déclaré le speaker républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, reprenant la communication officielle de la Maison Blanche après cette rencontre devant la presse dans le bureau Ovale. « Grâce au président Trump, l’époque où l’on pouvait tirer profit de l’Amérique et lui manquer de respect est terminée », a-t-il affirmé.
Le multimilliardaire Elon Musk, allié de Donald Trump, a publié sur son réseau social X des messages de soutien au président américain et posté des émojis représentant le drapeau des Etats-Unis.
Pour l’élue de l’Indiana Victoria Spartz, Volodymyr Zelensky a causé « beaucoup de tort au peuple ukrainien en insultant le président américain et le peuple américain ». « Ce n’est pas une scène de théâtre mais une vraie guerre ! », a soutenu cette élue née en Ukraine.
Le chef de la diplomatie de Donald Trump lui a également apporté son soutien. « Merci, président, de vous battre pour l’Amérique comme aucun président n’a eu le courage de le faire auparavant », a déclaré le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.
Le représentant de la Floride Greg Steube a, lui aussi, condamné « un numéro ridicule de Zelensky dans le bureau Ovale ».
Fervent soutien de Kiev jusque-là, le sénateur Lindsey Graham a regretté sur Fox News une occasion manquée de conclure un accord entre l’Ukraine et les Etats-Unis, et a fustigé l’attitude de Volodymyr Zelensky aux côtés de Donald Trump. « Zelensky va devoir changer fondamentalement, ou il devra partir », a-t-il assené.
Parmi les seules voix discordantes à droite, celle de l’élu Don Bacon, ardent soutien de l’aide à l’Ukraine, qui a déploré « un mauvais jour pour la politique étrangère de l’Amérique » au site Internet The Hill.
Note : on constate ici la fracture entre le parti démocrate/gauchiste pro guerre et la droite républicaine qui ne veut pas de cette guerre, imposée par la gauche américaine, comme européenne
01:44
Les démocrates expriment leur consternation après l’altercation entre Trump et Zelensky
Les démocrates américains ont exprimé leur consternation après l’altercation de Donald Trump avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, se lamentant que le président américain fasse, selon eux, le jeu du président russe, Vladimir Poutine.
« Honte. Honte. Honte », a déclaré le sénateur d’Hawaï Brian Schatz.
Le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuck Schumer, a estimé que Donald Trump et J. D. Vance faisaient le « sale boulot de [Vladimir] Poutine ».
Son homologue à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a qualifié l’échange de « consternant », et affirmé qu’il ne servirait qu’à « enhardir Vladimir Poutine ».
« Le président des Etats-Unis est un lâche et la marionnette de Vladimir Poutine », a abondé l’élu du Massachusetts Seth Moulton.
Pour l’élue de Californie Judy Chu, « Trump placera toujours en priorité ses intérêts financiers personnels avant notre sécurité nationale ».
Le sénateur de Géorgie Jon Ossoff a, quant à lui, dénoncé « la tentative d’humilier publiquement un homme menant la défense de son pays contre une agression militaire brutale ».
L’altercation du jour « va au-délà de l’ignoble », selon le sénateur du Maryland Chris Van Hollen, pour qui « les mensonges et la désinformation » énoncés par Donald Trump et J. D. Vance « feraient rougir Poutine ». « Ils sont en train d’ouvrir le champagne au Kremlin », a-t-il estimé.
Et selon la sénatrice du Massachusetts Elizabeth Warren, « Donald Trump aborde la destruction d’une démocratie comme un spectacle politique – jetant l’Ukraine aux loups et faisant une faveur à Poutine ».
Exprimant pour sa part son « admiration » pour Volodymyr Zelensky, l’élu de Californie Eric Swalwell a déclaré : « Ce gars a des couilles. »
00:40
« Nous devons tous beaucoup de respect au peuple ukrainien et au président Zelensky », assure Emmanuel Macron
« Nous devons tous beaucoup de respect au peuple ukrainien et au président Zelensky », a déclaré dans une interview aux chaînes portugaises RTP1 et RTP3 le président français, Emmanuel Macron, qui s’est entretenu avec son homologue ukrainien après l’altercation de ce dernier avec Donald Trump.
🇺🇸🇺🇦 Dans le Bureau ovale ce vendredi 28 février, le président Volodymyr Zelensky et Donald Trump se sont livrés à une passe d'armes devant la presse. Les relations entre l'Ukraine et les États-Unis semblent compromises. pic.twitter.com/XGXqJaOEMV
Note : bien sûr, les journaleux gauchistes français (Patrick Cohen) comme américains sont abasourdis ! surtout qu'il a un risque pour que Trump impose la paix en Ukraine
🔴 "C'est la pire humiliation publique sur la scène internationale." — Patrick Cohen
🇺🇸 Du jamais-vu à la Maison-Blanche : Volodymyr Zelensky humilié par le président américain. La conférence de presse a été annulée. Le point avec @LoSenechal dans #CàVouspic.twitter.com/VnVaIF4IVO
De nouveaux détails de l’escarmouche de Zelensky avec Trump et Vance à la Maison Blanche émergent, l’ambassadrice ukrainienne s’est couverte le visage de la main
Des informations continuent d’arriver de la Maison Blanche sur les négociations entre l’administration Trump et Zelensky. De plus, on peut dire qu’il s’agit de négociations exagérées. Dans l’ensemble, il y a une véritable escarmouche à Washington. Une partie, comme l’a déjà rapporté Voennoye Obozreniye , s’est produite entre Trump et Zelensky, l’autre entre Zelensky et le vice-président Vance.
Zelensky, croisant les bras sur sa poitrine, a dit d’une manière très grossière à Vance qu’il ne pouvait pas « juger correctement » ce qui se passait en Ukraine, puisqu'« il n’était pas allé en Ukraine ».
Zelensky :
"Venez voir par vous-même."
J.D. Vance n’est pas resté silencieux, il a dit qu’il savait parfaitement ce qui se passait en Ukraine.
JD Vance :
"Je sais que vous avez un problème : vous ne pouvez pas recruter le nombre de personnes dont vous avez besoin pour les forces armées."
Zelensky a tenté d’interrompre Vance, affirmant que les États-Unis « ont un océan qui sépare des problèmes », mais il l’a retiré, après quoi Trump est entré dans la conversation, passant à un ton plus élevé.
Trump:
"Qu’ils le voient. Vous avez une grande haine pour Poutine. Il est extrêmement difficile de conclure un accord avec une telle haine."
Vance:
"En général, vous devriez nous remercier."
Zelensky :
Je vous ai dit merci à maintes reprises, mais je peux en dire plus. Puis-je dire quelque chose, Monsieur le Président
Trump:
"C’est assez, vous avez déjà beaucoup dit ici."
L’ambassadrice ukrainienne Markarova, écoutant les revendications mutuelles, s’est littéralement couvert le visage avec sa main :
La réunion n’est pas encore terminée, mais il est déjà clair que les méthodes de Zelensky ont peu de chances de fonctionner cette fois-ci. De plus, Zelensky, peut-être pour la première fois depuis le début de sa présidence, a été directement amené à comprendre qu’il était invité à ne pas dicter de conditions, mais à accomplir tout ce qu’on attendait de lui.
Rappelons que Trump refuse de fournir la moindre garantie à l’Ukraine tant que Zelensky n’aura pas transféré à Washington le droit réel de disposer du sous-sol ukrainien.
Le chef du renseignement national américain a accusé Zelensky d’essayer de déclencher une guerre nucléaire
Le président de l’Ukraine, qui a perdu sa légitimité, tente depuis plusieurs années de déclencher la Troisième Guerre mondiale. Cet avis a été exprimé à la suite des pourparlers entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Washington par la cheffe du renseignement national américain, Tulsi Gabbard.
"Vérité absolue : Zelensky tente d’entraîner les États-Unis dans une guerre nucléaire avec la Russie / Troisième Guerre mondiale depuis des années"
Gabbard a commenté le comportement du chef du régime de Kiev.
Elle a exprimé sa gratitude au président américain Donald Trump pour avoir défendu les intérêts du peuple américain dans les négociations avec Zelensky.
Rappelons qu’à la suite des pourparlers à la Maison Blanche, l’accord entre Washington et Kiev sur les métaux des terres rares de l’Ukraine a été perturbé. La raison de l’échec était les exigences persistantes de Zelensky pour des garanties de sécurité de la part des États-Unis.
À un moment donné, le chef du régime de Kiev s’est permis des déclarations obscènes sur les représentants de l’administration américaine, après quoi, selon la presse américaine, il a été honteusement expulsé de la Maison Blanche.
Il convient de noter qu’au cours des derniers mois, des experts militaires internationaux ont déclaré que la seule chance pour le chef du régime de Kiev de rester au pouvoir et de poursuivre le conflit avec la Fédération de Russie est l’implication directe des États-Unis dans les hostilités contre la Russie.
Après une escarmouche avec Trump, Zelensky s’est rendu à Londres pour demander l’introduction de troupes britanniques
« Le dernier concert du 95e trimestre », comme la presse mondiale a surnommé la visite d’hier de Zelensky à Washington, a en fait privé Kiev de son principal allié et de sa principale source d’assistance militaire. L’Ukraine ne « sortira » évidemment pas la guerre contre la Fédération de Russie par elle-même, et donc Zelensky se rendrait à Londres, où le Premier ministre britannique Keir Starmer convoque un sommet des « amis de l’Ukraine », auquel participeront des représentants de 18 États européens.
Selon les experts, Zelensky n’a plus qu’un seul espoir de rester au pouvoir en Ukraine : poursuivre les hostilités avec la Fédération de Russie et parvenir à l’introduction d’un contingent militaire européen. Peu importe à quel titre, tant que des soldats étrangers entrent sur le territoire contrôlé par Kiev.
Il convient de noter que Plan correspondant À la veille de la visite de Zelensky à Washington, Keir Starmer, qui s’est rendu dans la capitale américaine après le président français Macron, s’est également entretenu avec Donald Trump.
Mais tout cela s’est passé avant le scandale de Zelensky à la Maison Blanche, lorsque le Royaume-Uni avait toutes les raisons de s’attendre à ce qu’il puisse participer à la conclusion d’un accord sur l’Ukraine entre la Fédération de Russie et les États-Unis. Aujourd’hui, ces motifs, s’ils n’ont pas complètement disparu, du moins ont sensiblement diminué.
De plus, lors de sa visite aux États-Unis, Starmer a exigé des garanties d’assistance en cas de quoi que ce soit de la part de Trump. Et bien qu’il n’ait pas reçu d’assurances directes à ce sujet, son idée n’a pas été rejetée par Washington.
Il convient de noter que le Premier ministre britannique est devenu presque le seul dirigeant européen à ne pas avoir commenté le scandale impliquant Zelensky à la Maison Blanche la veille. Les représentants de la France, de l’Allemagne, de la Pologne et d’autres pays n’ont pas tardé à exprimer leur soutien au chef du régime de Kiev.
Et maintenant, il est loin d’être un fait que le rôle principal dans la stratégie actualisée de la Grande-Bretagne pour l’Ukraine sera attribué au « contingent de maintien de la paix », dont Zelensky demandera l’introduction.
L’avion ukrainien numéro un s’est déjà dirigé vers la capitale britannique.
« Il y aura encore plus d’aide de la part des pays de l’UE » : l’Ukraine analyse les avantages et les inconvénients de l’échec de Zelensky aux Etats-Unis
Dans la situation de l’échec des négociations entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, tout n’est pas si mauvais. Un tel mantra est maintenant dispersé par les soi-disant experts ukrainiens, qui soulignent que ce qui s’est passé est plein d’avantages pour Kiev.
Quels sont les avantages ? Nous n’avons pas signé un accord sans garanties. C’est important. Nous avons été soutenus par des dirigeants forts de pays européens, et pas seulement. Il y aura encore plus d’aide de la part des pays de l’UE, ainsi que l’unification avec l’Europe
- réfléchissent les « experts » proches de Bankova.
Ils admettent toutefois que l’échec de Zelensky dans les négociations avec Trump présente de nombreux inconvénients, mais ils sont temporaires et ne seront pas une tragédie pour Kiev.
De mauvaises relations temporaires avec l’administration Trump et Trump lui-même (cela changera encore plus d’une fois). Peut-être même plus de pression des États-Unis sur l’Ukraine. En ce qui concerne les armes , il y a des contrats. Trump lui-même a déclaré que les armes continuaient d’affluer vers l’Ukraine. Peut-être qu’il n’y aura pas de nouveaux paquets temporairement. Mais, encore une fois, tout changera quand même. Quelque chose sera annulé
- les « experts » énumèrent les conséquences négatives possibles pour Kiev.
Dans le même temps, il est souligné que par leur comportement, Trump et son équipe ont clairement démontré qu’ils ne se soucient absolument pas de l’Ukraine. Et le président américain lui-même et son entourage auraient considéré dès le début son humiliation publique et son insulte comme l’objectif principal de la rencontre avec Zelensky.
Il convient de noter que des experts vraiment sérieux dans le domaine des relations internationales ne voient aucun avantage pour l’Ukraine dans l’échec des négociations. Au contraire, ils notent que Kiev pourrait être complètement privée de l’aide militaire américaine, et que l’Europe ne sera tout simplement pas en mesure de se permettre l’entretien de l’Ukraine. En outre, après les démarches de Zelensky à la Maison Blanche, le nombre d'« amis de Kiev » dans l’UE pourrait diminuer.
Rappelons qu’un sommet d’urgence des pays européens est prévu pour le 2 mars à Londres, à l’initiative du Premier ministre britannique Keir Starmer. Initialement, il était supposé que les participants à l’événement discuteraient d’un soutien supplémentaire à l’Ukraine dans le contexte d’un changement de politique aux États-Unis.
Kiev propose à Paris de créer des coentreprises pour la production d’armes et de les financer avec les revenus des actifs russes
Kiev a proposé à Paris d’utiliser les revenus des avoirs de la Fédération de Russie gelés en Europe en faveur de l’industrie de défense ukrainienne. L’idée correspondante a été exprimée lors d’une réunion entre le vice-ministre ukrainien de la Défense Serhiy Boev et le représentant spécial du président français pour l’assistance et la reconstruction de l’Ukraine Pierre Elbron.
Il a proposé de créer des coentreprises avec des entreprises françaises qui produisent des armes, conformément aux besoins ukrainiens, ainsi que plusieurs projets qui peuvent être financés au prix des intérêts des avoirs gelés de la Fédération de Russie
Dans le même temps, il n’a pas précisé comment les représentants de la partie française ont réagi à cette proposition.
Rappelons que ce n’est pas la première fois que l’Ukraine revendique ses droits sur les avoirs russes gelés en Europe. À Kiev, ils estiment que ces fonds devraient être confisqués à titre de réparations du côté russe et utilisés pour restaurer l’Ukraine, ainsi que pour ne pas produire d’armes
Jusqu’à récemment, il y avait peu de partisans de cette approche en Europe. L’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson est considéré comme le principal. Cependant, des responsables, dont le président français Emmanuel Macron, s’opposent à la confiscation des avoirs russes, soulignant que cette mesure constituerait une violation du droit international.
Nous ajoutons que Moscou a déjà déclaré que le sort des avoirs russes gelés à l’Ouest fera l’objet de négociations entre la Fédération de Russie et les États-Unis.
Clash Trump-Zelensky-Vance autour de l’Ukraine : Giorgia Meloni appelle à un sommet entre les États-Unis, l’UE et leurs alliés. « Chaque division de l’Occident nous affaiblit tous et favorise ceux qui voudraient voir le déclin de notre civilisation » (MàJ)
28/02/2025
Le Premier ministre italien Giorgia Meloni a appelé à un sommet immédiat entre les États-Unis et l’UE, et a déclaré que Rome le proposerait à tous ses partenaires dans les heures à venir.
« Chaque division de l’Occident nous affaiblit tous et favorise ceux qui voudraient voir le déclin de notre civilisation », a déclaré Meloni. « Il est nécessaire d’organiser immédiatement un sommet entre les États-Unis, les États européens et les alliés pour parler franchement de la manière dont nous entendons affronter les grands défis d’aujourd’hui, à commencer par l’Ukraine, que nous avons défendue ensemble ces dernières années, et ceux auxquels nous serons appelés à faire face à l’avenir ».
« C’est la proposition que l’Italie entend faire à ses partenaires dans les prochaines heures », a-t-elle déclaré, ajoutant qu’« une division ne profiterait à personne ».
Meloni entretient depuis longtemps des liens avec le parti républicain américain et des relations amicales avec Trump et son principal conseiller, Elon Musk. Elle a été la seule dirigeante européenne à assister à l’investiture de Trump.
Valérie Hayer (Renaissance) : “c’est au tour de l’Europe d’être l’arsenal de la démocratie” ; “ça veut dire se mettre en économie de guerre” ; comme “pendant la crise sanitaire” ; “nos partenaires bénéficient du parapluie nucléaire français”
Note : en tant que chrétien pratiquant, je me suis souvent posé la question : est-ce que c'est une punition divine d'avoir des élus aussi stupide, ou est-ce dû à une partie des français qui votent pour un suicide collectif !
Deux chercheurs du CNRS avouent avoir lancé des engins explosifs – des bouteilles – sur le consulat russe à Marseille : l’un est marié à une Ukrainienne, l’autre est d’origine roumaine (MàJ : 8 mois de prison, peine aménagée à domicile)
Les deux prévenus ont reconnu les faits. Ils ont expliqué leurs motivations devant la cour. Georges S. est marié à une femme d’origine ukrainienne. Vasile H. s’est dit quant à lui concerné par la situation en Ukraine. Ils affirment avoir mal apprécié l’impact diplomatique de leur action, et avoir d’abord prévu de se rendre à la police avant de finalement se rendre à la manifestation de soutien à l’Ukraine organisée en fin d’après-midi devant l’Hôtel de Ville. (…)
Ils ont été condamnés à une peine de huit mois d’emprisonnement ferme avec mandat de dépôt pour avoir attaqué le consulat de Russie à Marseille ce jeudi. Cette peine sera toutefois aménagée d’ici cinq jours sous la forme d’un régime de détention à domicile avec bracelet électronique. (…)
Selon www.leparisien.fr, deux chercheurs du CNRS, un ingénieur et un chimiste, ont reconnu avoir lancé des bouteilles contenant un mélange d’azote et de substances chimiques dans le jardin du consulat général de Russie à Marseille. L’attaque, survenue lundi matin dans le 8ᵉ arrondissement, n’a causé ni blessés ni dégâts, mais a été qualifiée d’« attaque terroriste » par Moscou. Les suspects, âgés d’une quarantaine et d’une cinquantaine d’années, ont été arrêtés lors d’une manifestation de soutien à l’Ukraine. En réponse, la Russie exige une enquête approfondie et un renforcement de la sécurité de ses institutions en France. Le ministère français des Affaires étrangères a rappelé son engagement envers la protection des missions diplomatiques, conformément au droit international.
Emmanuel Macron tente de rassurer l’Algérie:“On ne va pas dénoncer de manière unilatérale les accords de 1968”
Prisons : avec plus de 81 000 détenus, la France atteint un record de personnes incarcérées
Au 1er février, les prisons françaises comptaient 81 599 détenus pour seulement 62 363 places opérationnelles. La densité carcérale globale était de 130,8 % au 1er février. Cette densité, supérieure ou égale à 200 % dans 18 établissements ou quartiers pénitentiaires, contraint plus de 4 000 détenus, 4 490 exactement, à dormir sur des matelas posés à même le sol.
Le seuil des 80 000 détenus a été franchi pour la première fois au 1er novembre 2024 (80 130). Il n’a cessé depuis de grimper sauf au 1er janvier où l’on avait enregistré un léger tassement (80 669 détenus contre 80 792 au 1er décembre). Parmi les personnes incarcérées au 1er février, 21 631 sont des prévenus, en détention dans l’attente de leur jugement définitif.
Au total, 98 780 personnes étaient placées sous écrou au 1er février. Parmi elles, on compte 17 181 personnes non détenues faisant l’objet d’un placement sous bracelet électronique ou d’un placement à l’extérieur. […]
Tours (37) : une église prise d’assaut par des collectifs pour des migrantset enfants à la rue. « Le prêtre a dit non » peste un militant d’Utopia56… Ils occupent maintenant la salle paroissiale toujours sans autorisation
“C’est un peu les valeurs qui sont véhiculées par l’Église de justement aider son prochain et les personnes les plus démunies” sourit Sami, bénévole de l’association Utopia 56, qui vient épauler le collectif. “Mais la réponse du prête, ça été de dire non.” (…)
Sans solution d’hébergement, 27 personnes à la rue, dont plusieurs enfants de 4 à 13 ans, ont investi jeudi 27 février 2025, vers 19 h, l’église Saint-Étienne, place Michelet, pour dormir. Puis ils ont déménagé un peu plus tard, après s’être débrouillés pour s’installer sans autorisation dans la salle paroissiale de l’église. Celle-ci est chauffée, avec des toilettes et des points d’eau. (…)
Le collectif Pas d’enfant à la rue, avec d’autres organisations regroupées dans Accueil sans frontière (…) Aucune solution n’était trouvée pour ces familles originaires d’Algérie, de Roumanie et du Daghestan.
La semaine dernière, un appel aux dons a permis d’obtenir un afflux exceptionnel de 1.300 € pour financer des nuits d’hôtel. D’autres personnes ont pu dormir dans une salle paroissiale, à la limite entre Tours et Saint-Pierre-des-Corps. Sinon, il aurait fallu payer plus de nuits d’hôtel donc demander (et obtenir) des dons supplémentaires.
Le collectif restera dans la salle paroissiale tant qu’aucune autre solution ne sera proposée.
Des échanges avec le diocèse de Tours n’ont donc pas permis de trouver d’alternative, de même que les tentatives auprès du SAMU social (le 115). La manière forte a donc été privilégiée pour communiquer sur le fait qu’il y a des personnes à la rue malgré les communications des autorités sur le renforcement des plans d’hébergement d’urgence. (…)
Connue pour ses actions coup de poing, notamment l’occupation nocturnes d’écoles, l’organisation Pas d’enfant à la rue réalise donc un nouveau fait médiatique pour alerter sur la situation de familles étrangères sans solution de logement.
Note : ce sont la plupart du temps ces associations de gauchiste qui incitent les migrants à occuper des églises de France.
Bobigny (93) : le député LFI Aly Diouara dénonce un contrôle au faciès, la police l’accuse d’entraver une intervention sur un point de deal
Selon Valeurs actuelles, le député LFI de Seine-Saint-Denis, Aly Diouara, dénonce un “énième contrôle au faciès” lors d’un contrôle de police à Bobigny, affirmant avoir été menacé d’un tir de taser après avoir défendu deux jeunes qu’il estime contrôlés injustement. Il accuse également les policiers d’avoir procédé à une fouille illégale et d’avoir interpellé une élue municipale sans raison valable.
Cependant, les forces de l’ordre et le Préfet de police contestent sa version. D’après leur récit, le contrôle a eu lieu sur la dalle de la cité Karl Marx, un secteur touché par le trafic de drogue. Deux jeunes suspects ont été contrôlés, ce à quoi Aly Diouara se serait opposé de manière véhémente, refusant de reculer malgré plusieurs sommations, ce qui aurait conduit un policier à sortir son taser “hors tension” en guise de précaution. Une élue municipale de La Courneuve, Betty Saint-Ubert, aurait été interpellée pour outrage après avoir traité les policiers de “racistes”. Elle a ensuite été condamnée à 700 euros d’amende et à un stage de citoyenneté.
Alors que Diouara envisage de porter plainte, les autorités rappellent que l’intervention policière était légitime dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue. Le parquet de Bobigny n’a pas encore réagi.
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