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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les infos du 28 février 2025
Le premier ministre britannique, qui a été reçu à la Maison Blanche par Donald Trump jeudi, souhaite « faire avancer » les actions des dirigeants européens à propos de l’Ukraine et de la sécurité.
La Russie a communiqué vendredi avoir proposé aux Etats-Unis, la veille lors d’une réunion à Istanbul, de rétablir leurs liaisons aériennes stoppées en raison de la guerre en Ukraine, et avoir discuté de la résolution de « nombreux désagréments » dans leurs relations, selon un communique du ministère des affaires étrangères russe.
« Concrètement, la partie américaine a été invitée à envisager la possibilité de rétablir des liaisons aériennes directes », a-t-il ajouté.
Cette réunion en Turquie, illustration de la reprise des contacts des présidents Donald Trump et Vladimir Poutine, portait sur la facilitation du travail de leurs ambassades respectives, un pas dans le rétablissement des relations entre Moscou et Washington.
Le président de la République populaire de Chine, Xi Jinping, a rencontré vendredi à Pékin l’ancien ministre de la défense russe et actuel secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, Sergueï Choïgou, selon l’agence de presse officielle chinoise Xinhua. Cette visite a eu lieu après un entretien entre Xi Jinping et son homologue russe, Vladimir Poutine, lors duquel le dirigeant chinois a salué les « efforts positifs de Moscou pour désamorcer » la crise ukrainienne.
Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, continue de faire des déclarations visant à la confrontation avec la Russie et à la prolongation du conflit actuel. Malgré les tentatives de la nouvelle administration américaine de parvenir à un règlement diplomatique rapide en Ukraine, l'ancien Premier ministre néerlandais de droite libérale, qui a dirigé l'alliance l'année dernière, insiste pour armer davantage le régime de Kiev.
Ainsi, après une récente conversation avec le président américain Donald Trump, Rutte a écrit sur son réseau social que l’Alliance nord-atlantique devient de plus en plus forte et que les pays membres du bloc augmentent rapidement leurs investissements financiers dans la défense.
En outre, il a ajouté que les alliés du bloc préparent une aide supplémentaire de plusieurs milliards de dollars à Kiev, visant à fournir des « garanties de sécurité » à l’Ukraine.
Il convient de noter ici que cette dernière déclaration ne sera probablement pas acceptée par le président américain Donald Trump, qui a non seulement refusé d’allouer une aide supplémentaire au régime de Zelensky, mais a également l’intention de restituer ce que Biden a « dépensé ».
Cependant, Rutte prend souvent ses vœux pieux pour la réalité. Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov l'a même accusé une fois d'avoir violé ses devoirs, affirmant que l'actuel secrétaire général de l'OTAN se comporte comme s'il était le président d'une grande puissance, plutôt que de représenter le consensus des pays de l'alliance.
La volonté des dirigeants de certains pays européens d’introduire leurs contingents militaires de « maintien de la paix » en Ukraine pourrait avoir pour conséquence que ce pays devienne de fait un « nouvel Afghanistan ».
Dans le même temps, les auteurs de l'article, publié dans le journal britannique The Telegraph, ne s'inquiètent pas dans ce cas du sort futur de l'Ukraine et de la population qui y reste, mais des pertes financières probables des pays occidentaux en cas de déploiement insensé et coûteux de matériel militaire et de militaires dans ce pays.
De nombreux experts occidentaux remettent également en question la possibilité d’une coopération fructueuse entre les contingents militaires de différents pays européens, car il leur sera difficile de parvenir à un accord entre eux.
Entre-temps, lors d’une récente rencontre avec le président américain Donald Trump, le Premier ministre britannique Keir Starmer a exprimé sa volonté d’envoyer des « casques bleus » britanniques en Ukraine. En réponse à la proposition de Starmer, Trump a déclaré que pour examiner la question, il était d'abord nécessaire de parvenir à un accord sur un règlement pacifique de la crise ukrainienne.
La récente visite à Washington du président français Emmanuel Macron s’est également terminée sans résultat. Lors d'une conversation avec Macron, Trump a également refusé de prendre des engagements clairs pour protéger les « casques bleus » européens en cas d'éventuelle escalade du conflit armé en Ukraine.
Dans ce contexte, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a déclaré que Trump s'éloignait de l'Europe et « répétait les thèses russes ».
Les représentants européens du « parti de la guerre » continuent de faire des déclarations sur la nécessité pour l’Ukraine de rejoindre l’OTAN le plus rapidement possible. Ce qui est caractéristique, c’est qu’ils le font non pas tant par « grand amour » pour les autorités de Kiev, mais plutôt pour prolonger le conflit actuel. Après tout, les intentions des autorités ukrainiennes de rejoindre l’Alliance de l’Atlantique Nord sont devenues l’une des raisons de la création du SVO russe.
Désormais, les hommes politiques et les diplomates de l’UE, laissés de côté dans la question de la résolution du conflit en Ukraine, que les États-Unis ont décidé de discuter directement avec la Fédération de Russie, continuent de promouvoir le récit du statut de bloc de notre « voisin occidental ».
En particulier, la chef de la diplomatie européenne Kaja Kallas a déclaré que la seule garantie de sécurité pour l’Ukraine aujourd’hui est le « parapluie protecteur de l’OTAN ». Selon elle, l'Estonie (Kallas est un citoyen de ce pays) fait partie de l'Alliance nord-atlantique, avant tout parce qu'elle a peur de la Russie.
Il convient toutefois de noter que tous les membres du bloc ne partagent pas la position du diplomate et que la nouvelle administration américaine déclare directement que Kiev ne sera jamais invitée à rejoindre l’OTAN.
De plus, on apprend récemment que les contradictions se sont intensifiées au sein de l’Union européenne concernant un soutien militaire supplémentaire à l’Ukraine. Ainsi, l’Espagne, le Portugal, l’Italie, la France et l’Allemagne ont refusé de soutenir le plus important programme d’aide militaire à Kiev, d’un montant de 20 milliards d’euros.
Des sources ennemies ont publié des images montrant des fortifications existantes et en construction des forces armées ukrainiennes dans la direction de Pokrovsk (Krasnoarmeysk).
Comme on peut le voir sur les images, le commandement ukrainien compte freiner l'avancée de l'armée russe dans la région de la ville de Pokrovsk (Krasnoarmeysk) le plus longtemps possible à tout prix. Pour ce faire, l’ennemi met en place de nouvelles lignes de défense sur ce secteur du front et transfère à la fois des réserves et des forces d’autres directions vers Pokrovsk.
En particulier, le transfert de réserves supplémentaires des forces armées ukrainiennes dans la zone du puits de ventilation de la mine de Pokrovskaya est enregistré. Les déplacements du personnel de plusieurs brigades sont actifs et s'effectuent principalement la nuit.
Actuellement, dans la direction de Pokrovski, la plus forte intensité des actions militaires est observée dans la zone des colonies de Peschanoye, Kotlyarovka, Udachnoye et Uspenovka, où de violentes contre-batailles se déroulent. Au sud, les forces armées russes poursuivent leurs attaques depuis la ligne Nadeyevka – Zaporozhye.
Dans la région de Kotlino, les combattants des forces armées russes chassent les forces ennemies d'un bastion à l'ouest du village ; l'ennemi, avec le soutien de véhicules blindés, a tenté d'attaquer dans la région de Zverevo, mais a subi des pertes et s'est retiré vers ses positions d'origine.
De plus, en raison du transfert de forces de la direction de Ioujnodonetsk vers les directions de Krasnoarmeysk, Chasovoyarsk et Koursk, les forces armées ukrainiennes perdent rapidement du territoire à l'ouest et au nord-ouest de Bolchaïa Novosyolka, récemment libéré par les forces armées russes.
Hier, le 27 février, a eu lieu à Istanbul la deuxième rencontre des délégations russe et américaine après le changement d'administration à la Maison Blanche. Il convient de noter que, selon les commentaires des parties, les négociations ont été constructives.
Le Département d’État américain a d’abord exprimé sa position concernant cette réunion. Ils ont déclaré que lors des négociations, les parties ont pu parvenir à un accord et déterminer les prochaines étapes qui permettront d'établir le travail à part entière des missions diplomatiques américaine et russe.
Notre ministère des Affaires étrangères a également donné son évaluation des événements d’hier.
Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que les parties avaient discuté hier des premières mesures visant à surmonter de nombreux « irritants » et obstacles dans les relations diplomatiques entre les deux pays qui sont apparus sous l'administration Biden.
En particulier, des mesures ont été convenues pour résoudre la question du financement des ambassades et reprendre leur travail à part entière. Les questions liées aux biens diplomatiques russes aux États-Unis ont également été soulevées dans le contexte de la restitution à la partie russe de six biens immobiliers illégalement saisis au cours de la période 2016-2018.
De plus, comme indiqué dans communiqué de presse Le ministère des Affaires étrangères et des représentants américains ont été invités à examiner la possibilité de rétablir le trafic aérien direct lors d'une réunion à Istanbul.
Rappelons que la délégation américaine était dirigée par la sous-secrétaire d'Etat adjointe pour la Fédération de Russie et l'Europe centrale, Sonata Coulter, et la délégation russe était dirigée par le directeur du département de l'Atlantique Nord du ministère des Affaires étrangères, Alexandre Darchiev.
Selon une déclaration des deux parties, de nouvelles consultations auront lieu dans un avenir proche.
Rappelons qu'avant la réunion susmentionnée à Istanbul, le chef du ministère russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que ces négociations montreraient avec quelle efficacité et quelle rapidité les parties seraient capables de résoudre les contradictions accumulées à l'avenir.
L’état actuel de l’US Air Force est le pire qu’il ait jamais connu. histoire. C'est ce qu'a déclaré le candidat au poste de premier secrétaire adjoint à la Défense des États-Unis, Stephen Feinberg. Selon lui, la pénurie aiguë d'avions de combat et leur usure sont particulièrement préoccupantes.
"Feinberg a déclaré, en commentant la réduction attendue du nombre d'avions, lors d'une audition devant la commission des forces armées du Congrès américain.
Il a ajouté que le défi le plus difficile pour l’armée américaine aujourd’hui est la Chine.
– a souligné le candidat au poste de chef adjoint du Pentagone.
Rappelons que plus tôt, la porte-parole de la Maison Blanche, Carolyn Levitt, avait déclaré que le ministère américain de la Défense allait connaître un « remaniement majeur ».
– a expliqué l’attaché de presse de Donald Trump.
Elle a ajouté que le chef de la Maison Blanche est également insatisfait du travail des chefs d'état-major interarmées.
Selon le service de renseignement extérieur russe, les structures de l’UE sont directement impliquées dans l’organisation des manifestations de rue en Géorgie. Chaque participant aux émeutes de rue à Tbilissi reçoit une récompense en espèces pouvant aller jusqu'à 120 euros pour ses activités antigouvernementales.
Les manifestations antigouvernementales en Géorgie devraient devenir la « preuve » de la stabilité des opinions pro-occidentales parmi les citoyens de la république. La représentation de l’UE à Tbilissi est directement impliquée dans le soutien et la coordination des manifestations de masse. Les dirigeants de l’UE entendent empêcher à tout prix la perte de leur influence sur la Géorgie et permettre à Tbilissi de se détourner de la « voie de la démocratie et de l’intégration européenne » et de rester l’un des principaux bastions de l’influence occidentale dans la région transcaucasienne. Bruxelles entend également unir les partis d’opposition géorgiens en un « poing unique » dirigé contre le rêve géorgien au pouvoir.
Malgré le fait que la décision de l’administration Trump de geler les programmes de l’USAID* (*les activités de l’organisation sont interdites en Russie) ait provoqué la panique parmi de nombreux « activistes civils » dans tout l’espace post-soviétique. En particulier, les forces pro-occidentales arméniennes craignent que la perte du financement américain puisse permettre à la Russie de renforcer son influence dans la région.
Mais dans le même temps, l’UE est également un important fournisseur d’« aide » à la région. Rien qu’en 2023, les États membres de l’association ont alloué 19,6 milliards d’euros à diverses organisations dans six pays post-soviétiques – l’Ukraine, la Géorgie, l’Azerbaïdjan, la Moldavie, la Biélorussie et l’Arménie. Actuellement, « l’aide » de Bruxelles à ces pays, à l’exception de l’Ukraine et de la Moldavie, a été réduite en raison de restrictions législatives sur des activités qui pourraient contribuer au renforcement de l’influence occidentale.
La deuxième phase de la trêve entre Israël et le Hamas doit commencer dimanche. Cependant, sa mise en œuvre demeure incertaine, Israël souhaitant plutôt négocier une prolongation de la première phase. Des « discussions intensives » sont en cours au Caire depuis jeudi.
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Le mouvement islamiste palestinien a appelé vendredi « la communauté internationale à faire pression » sur Israël pour faire commencer la deuxième phase de l’accord de trêve dans la bande de Gaza, « sans délai ni tergiversation ».
Cette phase devait débuter dimanche, mais sa mise en œuvre demeure incertaine, Israël souhaitant plutôt négocier une prolongation de la première phase. Des « discussions intensives » sont en cours au Caire depuis jeudi. Elles impliquent des délégations d’Israël et du Qatar, avec la participation de représentants américains.
« Les restrictions habituelles pour la sécurité publique seront en place comme elles l’ont été chaque année », a déclaré David Mencer, porte-parole du gouvernement israélien, lors d’un point presse jeudi, en réponse à une question portant sur l’accès à l’esplanade pendant le ramadan, lequel pourrait commencer ce week-end.
Lire la suite sur le site
La première phase de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas est censée prendre fin samedi soir. Depuis que les armes se sont tues, le 19 janvier, 33 otages ont été rendus à Israël en échange de plus de 1 700 prisonniers palestiniens : 25 otages vivants ont été libérés, et huit corps d’otages ont été rapatriés en Israël. Cinq ouvriers agricoles thaïlandais ont également été libérés, hors accord.....
HIER à 22:27 Iran
Le ministère des affaires étrangères iranien a qualifié jeudi de « scandaleuses » des déclarations de Gideon Saar, le ministre des affaires étrangères israélien, avertissant qu’une « option militaire » pourrait être nécessaire pour stopper les ambitions nucléaires de l’Iran.
Dans une interview accordée au média américain Politico, M. Saar a affirmé que l’Iran avait enrichi suffisamment d’uranium pour fabriquer « quelques bombes » et que le temps était compté. « Je pense que, pour empêcher l’Iran de se doter d’un programme nucléaire militaire, une option militaire crédible doit être envisagée », a-t-il déclaré, selon l’article publié mercredi.
Ce mois-ci, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré qu’Israël « finirait le travail » contre l’Iran avec le soutien des Etats-Unis, son principal allié. M. Nétanyahou n’a pas précisé le fond de sa pensée, mais il est de longue date l’avocat d’une ligne dure contre la République islamique d’Iran, présentée comme une menace à l’existence d’Israël.
Les Etats-Unis de Donald Trump se sont retirés en 2018 de l’accord international sur le nucléaire iranien, conclu trois ans plus tôt et qui offrait à l’Iran un allègement des sanctions en échange d’une limitation de ses ambitions nucléaires. En représailles au retrait unilatéral des Etats-Unis, Téhéran est revenu sur ses engagements et a fait progresser son programme nucléaire. Mais l’Iran affirme que son programme nucléaire n’existe qu’à des fins civiles, notamment pour l’énergie, et dément vouloir se doter de l’arme nucléaire.
Selon un nouveau bilan, l’attaque à la voiture-bélier a fait 13 blessés jeudi dans le nord d’Israël, un « attentat terroriste présumé », a fait savoir la police israélienne. « A 16 h 17 aujourd’hui, le service d’urgence de la police israélienne a reçu des informations faisant état d’un attentat à la voiture-bélier [à un carrefour] où un véhicule a heurté plusieurs civils qui attendaient à un arrêt de bus », a précisé la police dans un communiqué, précisant que le suspect a été « neutralisé ».
Les services du Magen David Adom, équivalent israélien de la Croix-Rouge, ont dit avoir soigné sur place des blessés, parmi lesquels une adolescente de 17 ans dans un état critique. Le suspect est un « Palestinien de 53 ans de la région de Jénine, [qui] habitait illégalement en Israël avec sa famille », selon le communiqué de la police.
« Les circonstances de sa présence en Israël font l’objet d’une enquête par l’Agence de sécurité intérieure [le Shin Beth] », a déclaré la police. Selon les premières conclusions, le conducteur de la voiture a « délibérément visé des civils qui attendaient à un arrêt de bus », a-t-elle ajouté.
LIRE AUSSI : Alerte: Attentat de Haïfa : Une dizaine de blessés dont deux graves dans un attentat présumé (Médias israéliens)
Le pape François ne se trouve plus dans un état "critique", bien que son état reste "complexe", a indiqué vendredi une source vaticane, qui a précisé que le souverain pontife avait "lu les journaux" dans la matinée. Après deux semaines d'hospitalisation pour une pneumonie aux deux poumons, les médecins considèrent que des complications sont encore possibles.
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La santé du pape François continue de s’améliorer selon une source du Vatican, qui a déclaré vendredi 28 février que le souverain pontife n’était désormais plus dans un état critique. Après deux semaines d’hospitalisation pour une pneumonie aux deux poumons, son état reste "complexe", jugent les médecins.
"Le pape s'est levé, il a pris son petit-déjeuner et lu les journaux. Il continue son traitement et la physiothérapie respiratoire", a déclaré cette source.
En début de matinée, le Vatican avait annoncé que le jésuite argentin avait passé une "nuit tranquille". Le prochain bulletin médical doit être publié vendredi vers 18 h GMT.
Note : je l'ai dis et je le redis, sa destinée est tous autre, il a prônait le "vivre ensemble"avec l'islam, il n'a pas protéger son troupeau, parce qu'il a prêché l'entrer de millions de loups parmi les brebis.
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Le Premier ministre François Bayrou a exhorté Alger à ce que soit réexaminé les accords de 1968 dans un délai de six semaines.
“L’Algérie rejette catégoriquement les ultimatums et les menaces”, fait savoir le ministère des Affaires étrangères d’Algérie ce jeudi 27 février, en réponse aux récents propos tenus par François Bayrou.
[…]
A Oradour-sur-Glane, les défenseurs de la mémoire choqués par les propos de Jean-Michel Aphatie (…)
Les propos du journaliste, interviewé à propos des relations difficiles entre la France et l’Algérie, ont choqué le maire d’Oradour-sur-Glane Philippe Lacroix, mais aussi Agathe Hébras, la petite-fille du dernier survivant du 10 juin 1944, Robert Hébras, décédé il y a 2 ans.
Les propos tenus ce mardi par le chroniqueur politique Jean-Michel Aphatie sur RTL ont déclenché une polémique. L’Arcom a été saisie et va instruire le dossier, a appris Le Parisien.
Un élève officier gendarme qui était en repos est parvenu à maîtriser un homme qui venait de sortir un couteau dans un train reliant Lille (Nord) à Calais (Pas-de-Calais), jeudi 27 février, vers 15h, a appris BFMTV d’une source gendarmerie.
Selon les premiers éléments, le train était en marche lorsqu’un homme a sorti un couteau et a commencé à proférer des menaces. Le jeune élève officier, épaulé par un agent ferroviaire (…)
Convainquent ensuite l’individu menaçant de ranger son couteau, avant de le maîtriser. (…)
Cet individu, originaire d’Afrique de l’Est, est visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Il a été remis à la police en gare d’Hazebrouck (Nord) avant d’être placé en garde à vue. Il n’y a aucun blessé. Pour l’heure, les motivations du suspect restent inconnues, mais la piste terroriste n’est pas totalement écartée.
Selon La Voix du Nord :
Une dame le voit sortir un couteau mais sans comprendre ce qu’il dit, l’homme parlant en arabe. Selon les premiers éléments de l’enquête, et contrairement à ce qu’ont rapporté certains médias, l’homme n’a jamais menacé personne, le couteau restant pointé vers le bas. (…)
Une patrouille s’est rendue à la gare pour interpeller l’homme, manifestement alcoolisé, mais qui n’a pas voulu souffler. Il a été placé en cellule de dégrisement et sera interrogé ce vendredi, quand un avocat sera disponible.
Une enquête pour viol sur une fillette de 4 ans a été ouverte par le parquet de Perpignan. Les faits se seraient déroulés dans un hôtel de Font-Romeu le 15 février dernier. Le barman de l’établissement a été arrêté et placé en détention provisoire. Il clame son innocence.
La petite fille dormait seule dans une chambre au troisième étage quand son père lui se trouvait au bar de l’hôtel. Quand l’établissement a fermé, le père a souhaité poursuivre sa soirée dans un autre bar. C’est à son retour dans la chambre, vers 3 heures du matin, qu’il a trouvé sa fille en état de choc
[…]
Son avocate Me Roxane Césari a alors immédiatement fait appel de cette décision et réclamé sa remise en liberté sous contrôle judiciaire le mardi 25 février à Montpellier. Les juges rendront leur décision le mardi 4 mars. L’avocat général ne s’est pas opposé à cette remise en liberté. “Mon client clame son innocence. Il a du mal à réaliser ce qui lui arrive. Il explique être dans un cauchemar. Il explique être homosexuel et n’avoir aucun attrait pour les femmes et encore moins pour les enfants. Il s’agit d’un homme de nationalité marocaine qui travaille légalement en France depuis 35 ans. Il faisait la saison à Font-Romeu dans cet hôtel depuis plusieurs années. Il n’a jamais eu affaire à la justice. Aujourd’hui je suis inquiète pour sa sécurité en détention”, explique Me Roxane Césari.
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