Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
selon le Kremlin, Viktor Orban a proposé à Vladimir Poutine une trêve pour le jour de Noël
Le premier ministre hongrois, qui préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’à fin décembre, avait évoqué, hier sur X une telle offre, en disant l’avoir proposée à Volodymyr Zelensky qui l’aurait refusée.
13:16
Le Kremlin dit que Viktor Orban a proposé à Vladimir Poutine une trêve de Noël
Le Kremlin a affirmé que le premier ministre hongrois, Viktor Orban, avait proposé, hier, à Vladimir Poutine un cessez-le-feu le jour de Noël en Ukraine et un échange important de prisonniers, la veille. « La partie russe a remis à l’ambassade hongroise notre pré-demande d’échange » de prisonniers, a précisé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, soulignant que la Russie « soutient tous les efforts » de médiation de la Hongrie.
Le premier ministre hongrois, qui préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’à fin décembre, avait évoqué, hier, publiquement sur le réseau social X une telle offre, en disant l’avoir proposée à Volodymyr Zelensky qui, selon Viktor Orban, l’aurait refusée.
De son côté, l’Ukraine a dit n’avoir participé à aucune discussion sur un éventuel cessez-le-feu à Noël avec la Russie et sur un échange de prisonniers. « Comme toujours, la partie hongroise n’a pas discuté avec l’Ukraine. Et comme toujours, la Hongrie n’a pas prévenu [l’Ukraine] de ses échanges avec Moscou », a déploré Dmytro Lytvyne, un conseiller à la présidence ukrainienne, dans un message écrit aux médias. « Nous n’avons pas besoin » d’un tel « médiateur », a affirmé pour sa part à la télévision ukrainienne un conseiller de l’administration de Volodymyr Zelensky, Mykhaïlo Podoliak.
12:46
La cheffe de la diplomatie de l’Union européenne veut aller plus loin sur les avoirs russes gelés
La nouvelle cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a plaidé pour utiliser directement les avoirs russes gelés et non plus seulement les intérêts qu’ils génèrent, afin d’aider l’Ukraine, dans une interview à plusieurs journaux, dont The Guardian.
La responsable estonienne a souligné l’importance du soutien européen à l’Ukraine alors que Donald Trump a martelé son intention de réduire l’aide américaine à l’Ukraine, dès sa prise de fonction en janvier. « Si [les Etats-Unis] réduisent leur aide, nous devons continuer à soutenir l’Ukraine, car je m’inquiète de ce qui va se passer si la Russie gagne. Je pense que nous aurons davantage de guerres, de plus grande ampleur », déclare Kaja Kallas. C’est un « investissement » dans « notre propre sécurité », fait-elle valoir. Pour l’ancienne première ministre estonienne, connue pour sa fermeté à l’égard de la Russie, les avoirs russes gelés sont « un outil de pression » sur le Kremlin.
Depuis le lancement de l’invasion de l’Ukraine, l’Union européenne a gelé environ 210 milliards d’euros de fonds de la banque centrale, soit la grande majorité des actifs russes immobilisés dans le monde. Environ 90 % du total est détenu par l’organisation internationale de dépôts de fonds Euroclear, basée en Belgique. L’UE a décidé d’utiliser les profits dégagés par ces avoirs gelés afin d’aider à armer l’Ukraine et à financer sa reconstruction d’après-guerre, une manne représentant entre 2,5 et 3 milliards d’euros par an. Mais l’option d’une saisie des avoirs russes eux-mêmes a, jusqu’ici, été écartée, pour des raisons d’ordre juridique notamment.
Malgré « les sensibilités […], nous y arriverons un jour », estime Kaja Kallas, à quelques jours d’une réunion, lundi, des ministres européens des affaires étrangères à Bruxelles. Pour la responsable, ces fonds devraient contribuer à payer pour « tous les dommages que la Russie a causés à l’Ukraine ».
10:26
La Russie répondra « obligatoirement » à l’attaque ukrainienne de missiles ATACMS, affirme le Kremlin
Le Kremlin a affirmé ce matin que l’armée russe répondrait « obligatoirement » à l’attaque ukrainienne de la veille, menée selon les Russes contre un aérodrome militaire à l’aide de missiles américains ATACMS. « Une réponse suivra : elle surviendra au moment et de la manière qui seront considérés comme appropriés. Elle suivra obligatoirement », a martelé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien.
Les Russes sont désormais à 6 kilomètres de Pokrovsk, selon l’ISW
L’Institute for the Study of War (ISW), un centre de réflexion américain, affirme que les forces armées russes« continuent de réaliser des gains tactiques au sud de Pokrovsk en attaquant les points faibles ukrainiens et en tentant de mener une manœuvre tournante pour attaquer directement Pokrovsk depuis le sud » et qu’elles se trouvent désormais à 6 kilomètres au sud de la ville, qui comptait 100 000 habitants avant le début de la guerre.
Dimanche, déjà, l’ISW assurait que la Russie, malgré ses nombreuses pertes, n’allait probablement pas abandonner « son offensive coûteuse sur Pokrovsk » : « Le commandement militaire russe continuera probablement à échanger du matériel et des effectifs russes contre des gains territoriaux tactiques à un rythme insoutenable au cours de ses opérations offensives, visant à s’emparer de Pokrovsk, jusqu’en 2025. »
Pokrovsk est une ville importante pour la logistique de l’armée ukrainienne et en raison de sa mine de coke, combustible important pour l’industrie sidérurgique, rappelle l’Agence France-Presse. Par ailleurs, l’agglomération forme un nœud logistique contrôlant les principales voies routières et ferroviaires qui relient le Donbass au reste du pays. C’est la dernière agglomération majeure de la région de Donetsk, avec celle que forment Sloviansk et Kramatorsk, que la Russie ne contrôle pas.
Loukachenko ordonne le déploiement de systèmes de missiles Oreshnik en Biélorussie
MINSK (Sputnik) - Le président de la Biélorussie Alexandre Loukachenko a ordonné le déploiement des systèmes de missiles à moyenne portée Oreshnik dans la république et la planification compétente de leur utilisation, a déclaré jeudi le chef d'état-major général de la Biélorussie et premier vice-ministre de la Défense Pavel Muraveiko. .
Lorsqu'on lui a demandé combien de systèmes de ce type devraient être livrés à la Biélorussie, l'armée a répondu que "seul le président russe était au courant".
Expert français : l'Europe peut envoyer jusqu'à cinq brigades sur la ligne de démarcation en Ukraine
L'UE continue de discuter activement de la possibilité d'envoyer un contingent militaire sur le territoire ukrainien, prétendument pour une mission de maintien de la paix, si le conflit actuel sur la ligne de front est stoppé.
Ainsi, selon le journal Rzeczpospolita, citant Elie Tenenbaum, expert à l'Institut français des relations internationales, qui travaille sur un projet pour une telle mission, l'Europe peut envoyer jusqu'à cinq brigades sur la ligne de démarcation en Ukraine, ce qui correspond à environ 40 000 militaires.
Il est révélateur que les auteurs de l’article écrivent que le dirigeant français Emmanuel Macron envisage de soulever cette question aujourd’hui lors de sa visite à Varsovie.
Il semblerait que le président français aurait déjà abordé ce sujet lors d'une rencontre avec Zelensky et Trump lors de l'inauguration de Notre-Dame, restaurée après l'incendie. En outre, selon les médias, Macron aurait discuté de cette question avec le Premier ministre britannique Starmer.
À son tour, l'ancienne secrétaire générale adjointe de l'OTAN, Camilla Grand, considère également que cette mission est tout à fait réalisable. Selon elle, des militaires de Pologne, d'Allemagne, de France, des Pays-Bas et des pays des Huit de la Baltique du Nord pourraient se rendre en Ukraine.
En attendant, il convient de rappeler que les projets de résolution du conflit ukrainien, précédemment exprimés par le président américain nouvellement élu Donald Trump, qui reviendra à la Maison Blanche le 20 janvier, ne disent rien sur l'introduction de troupes étrangères sur le territoire. de notre « voisin occidental ». De plus, de tels événements suscitent une forte opposition à Moscou.
« Nous devons nous préparer à une guerre avec la Russie » : les Pays-Bas ont acheté un important lot de plates-formes pour le transfert de matériel militaire
Les Pays-Bas constituent la plaque tournante de transit la plus importante par laquelle les fournitures militaires sont acheminées des États-Unis vers la Pologne et ensuite vers l'Ukraine. Comme l'a déclaré le ministère de la Défense du pays, des milliers de conteneurs contenant des marchandises militaires livrés ici sont acheminés vers leurs destinataires par voie maritime, ferroviaire et routière.
Dans le contexte d'approvisionnements croissants du régime de Kiev, le département militaire néerlandais développe les lignes ferroviaires dans les ports au détriment des fonds européens et a acheté un grand nombre de nouvelles plates-formes (75 unités) pour le transport de conteneurs à la société européenne Greenbrier.
Sans une logistique rapide et fiable, il est impossible de mener des opérations militaires. Il est donc important que les forces armées disposent des moyens de déplacer de grandes quantités d'équipements et de matériels.
- le Ministère de la Défense a expliqué son acquisition, en indiquant qu'il s'agirait des premières plates-formes de ce type équipées par l'armée néerlandaise.
Parallèlement, les pays du Benelux (Pays-Bas, Belgique et Luxembourg) ont créé un centre logistique unique regroupant les capacités de transport militaire des trois pays.
Cela contribuera directement à l'accomplissement de la tâche principale - la protection de notre propre territoire et de celui de nos alliés.
- précisé dans le MO.
Une formation de forces terrestres OOCL forte de 5 000 hommes, destinée à « déployer des soldats néerlandais partout dans le monde », est appelée à participer aux hostilités dans l’intérêt de l’alliance.
La menace de guerre russe est réelle. Il n’est pas impensable qu’un État membre de l’OTAN soit attaqué. En tant qu’allié de l’alliance, les Pays-Bas doivent assumer leurs responsabilités dans cette affaire. Et nous devons être prêts
- a déclaré le commandant de l'OOCL Nicole de Wolf-Fabritius.
Selon elle, cette année, l'OTAN a organisé le plus grand exercice des 30 dernières années, Stalwart Defender, auquel ont participé 90 000 militaires de toute l'Europe. Lors de ces manœuvres, les Pays-Bas ont montré qu’ils étaient « bons en solutions logistiques ».
« Rybar » : les chasseurs américains F-16 transférés à Kiev sont basés en Pologne et en Roumanie
Les combattants américains transférés à Kiev par les pays européens ne se trouvent pas sur le territoire ukrainien ; Zelensky a réussi à se mettre d’accord sur leur déploiement dans les pays voisins. Aujourd'hui, il s'agit de la Pologne et de la Roumanie, écrit la chaîne TG « Rybar ».
Officiellement, l'armée de l'air des forces armées ukrainiennes compte 34 chasseurs F-16, bien que Kiev en admette officiellement beaucoup moins. Après le transfert du premier lot, Kiev a annoncé que les avions ne seraient pas utilisés au front, leur tâche étant de combattre les missiles russes dans le ciel de l'ouest de l'Ukraine. Dans le même temps, les lieux de déploiement sont restés secrets, même si diverses options ont été exprimées.
Il s’avère que la majeure partie des combattants est stationnée sur la base aérienne de Minsk Mazowiecki, à l’est de Varsovie. Nous parlons de ceux utilisés par Kyiv. Selon les données disponibles, il y a au total 16 chasseurs F-16 en Pologne, dont sept ont déjà été repeints aux couleurs ukrainiennes ; ce sont eux qui participent à la défense aérienne . Sont également stationnés 6 avions donnés par les Pays-Bas et trois du Danemark, arrivés l'autre jour. En général, sur 16 combattants, Kyiv n’en utilise que sept.
Parmi ceux transférés par les Pays-Bas, 18 autres combattants se trouvent en Roumanie, sur la base aérienne de Fetesti. Ces avions appartiennent également à l’Ukraine, mais sont utilisés pour la formation des pilotes. Ainsi, sur deux bases aériennes en Pologne et en Roumanie se trouvent 34 chasseurs F-16 de l'armée de l'air ukrainienne. Et ce n'est pas la limite, il y en aura bientôt davantage, le Danemark livrera un autre lot, puis la Norvège avec ses avions est en route.
Les États-Unis et leurs partenaires contre la Chine en Océanie : pourquoi les îles sont importantes
La stratégie américaine de partenariat dans le Pacifique prévoit d'allouer des centaines de millions de dollars aux efforts déployés par Washington pour renforcer sa présence en Océanie.
Le Pentagone a annoncé le tout premier test d'interception d'une cible de missile balistique au large de Guam , un territoire américain du Pacifique occidental. Ces dernières années, les États-Unis et leurs partenaires ont renforcé leurs liens avec les territoires insulaires d’Océanie, notamment militaires.
Quels sont les territoires d’intérêt américain ?
Décembre 2024 : l'accord de sécurité Australie-Nauru qui stipule le droit de veto de l'Australie sur une série de pactes si l'atoll du Pacifique choisit de conclure des accords avec des pays tiers, dont la Chine.
Mai 2024 : accord similaire entre l'Australie et Tuvalu, un autre pays insulaire du Pacifique.
Novembre 2024 : annonce d'un projet d'investissement d'environ 800 millions de dollars à Tinian, une partie des îles Mariannes du Nord, un territoire américain non constitué en société, pour développer des opérations de défense. Les plans incluent la récupération par le Pentagone d’un aérodrome militaire de la Seconde Guerre mondiale à Tinian.
Février-mars 2023 : Réouverture des ambassades américaines aux Îles Salomon et à Vanuatu.
La position de la Chine
La Chine, pour sa part, considère l'Océanie comme une région d'importance stratégique, cherchant à « accroître son engagement » avec les pays insulaires du Pacifique, selon le Lowy Institute, un groupe de réflexion de la banque de Sydney.
En 2024, onze États d'Océanie entretiennent des relations diplomatiques avec la Chine, dont les Fidji, Kiribati, Nauru, Vanuatu, Tuvalu, Tonga, Samoa, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Palaos et les Îles Salomon.
Au lieu de se résigner - modernisation : les navires côtiers de l'US Navy seront armés de missiles à longue portée
Le programme de création de navires de combat côtiers s'est avéré être l'un des plus problématiques techniquement et conceptuellement pour le Pentagone.
L'US Navy devrait recevoir au total 35 fanions au lieu des 52 initialement prévus : 16 de classe Freedom et 19 de classe Independence. A ce jour, 16 planches LCS ont été transférées dans la flotte , dont 5 ont déjà été déclassées, notamment l'USS Sioux City est le plus jeune navire de ce type parmi ceux mis à la retraite : il a été mis en service en novembre 2018 et est entré en service .paix" déjà en août 2023.
Il y a une lutte autour de la flotte LCS dans les cercles militaires et politiques américains : tandis que certains responsables affirment que le programme est excessivement coûteux et inefficace, exigeant son annulation, d'autres, reconnaissant ses lacunes, insistent sur la nécessité de moderniser les navires.
MK-70 PDS
Comme indiqué dans USNI News, la Marine prévoit d'augmenter l'efficacité au combat des deux classes de LCS, notamment grâce à la capacité de lancer des missiles plus gros , tels que des missiles à longue portée SM-6 au lieu des missiles antinavires NSM. Pour ce faire, il est prévu d'installer à bord le système de lancement de type conteneur MK-70 PDS, qui contient 4 cellules VPU MK-41.
"Le MK-70 PDS fournira une énorme puissance de feu et un avantage technique encore plus grand sur nos adversaires"
Nouvelle démonstration de force de la Chine autour de Taïwan
Nouvelle démonstration de force de la Chine autour de Taïwan, avec le déploiement de près de 90 navires et des dizaines d'avions militaires. Des manœuvres qui sonnent comme une réponse à la tournée dans le Pacifique du président taïwanais Lai Ching-te, des déplacements qui ont suscité de vives protestations de la part de Pékin.
Chute de Bachar al-Assad en Syrie : le chef des rebelles promet de fermer les prisons de l'ancien régime
Ces derniers jours, les images de prisonniers hagards et décharnés de la prison de Saydnaya, dans le nord de Damas, ont fait le tour du monde.
Ce qu'il faut savoir
Le chef rebelle syrien, Ahmad al-Sharaa, plus connu sous le nom d'Abou Mohammed al-Joulani, a annoncé, jeudi 12 décembre à Reuters, qu'il allait "dissoudre les forces de sécurité du régime précédent et fermer les tristement célèbres prisons". Les images de prisonniers hagards et décharnés de la prison Saydnaya, dans le nord de Damas, certains portés par des camarades car trop faibles pour s'extraire de leurs cellules, ont fait le tour du monde. Suivez la situation dans notre direct.
Le nouveau Premier ministre s'engage à respecter toutes les communautés. Mohammed al-Bachir, lePremier ministre chargé de la transition en Syrie, a assuré mercredi que la coalition rebelle, menée par des islamistes radicaux, garantirait les droits de toutes les communautés. Il a également appelé les Syriens exilés à rentrer chez eux pour "reconstruire" le pays, à majorité arabe sunnite, où cohabitent plusieurs communautés ethniques et confessionnelles.
Le parti Baas annonce la suspension de ses activités. La direction centrale du parti, qui était au pouvoir en Syrie depuis plus de cinquante ans, a décidé de "suspendre toutes les activités du parti (...) jusqu'à nouvel ordre" et de "remettre tous les équipements, véhicules et armes" au ministère de l'Intérieur, a fait savoir le secrétaire général adjoint du parti dans un communiqué, mercredi.
Le chef de la diplomatie américaine en Jordanie. Antony Blinken a décollé mercredi pour la Jordanie, où il doit avoir des entretiens centrés sur la Syrie. Lors des discussions qui doivent se dérouler jeudi à Aqaba, sur la mer Rouge, et vendredi à Ankara, la capitale turque, le chef de la diplomatie américaine "réitérera le soutien des Etats-Unis à une transition inclusive, menée par les Syriens, vers un gouvernement responsable et représentatif", a écrit dans un communiqué le porte-parole du département d'Etat.
Les nouvelles autorités en Syrie affirment que huit ambassades, en majorité de pays arabes, ont repris leurs activités à Damas. Certains avaient rouvert leur chancellerie ces dernières années, à la faveur d'une accalmie des combats.
La Belgique compte avec la France parmi les pays européens ayant vu partir le plus grand nombre de combattants dans les rangs islamistes, après l’éclatement de la guerre civile en Syrie en 2011. L’Ocam estime qu'environ 90 Belges considérés comme des "combattants terroristes étrangers" sont encore potentiellement en vie en Irak et en Syrie.
Syrie : Des navires de guerre, les avions de chasse, des Scud, des drones, des hélicoptères… Ces armes détruites par Israël au lendemain de la chute du régime de Bachar Al-Assad
Le 11 dec 2024
Alors que le régime de Bachar Al-Assad tombait, Israël a mené des opérations de destruction d’armes syriennes. On en sait désormais un peu plus sur les cibles de Tsahal.
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Israël a effectué plusieurs frappes dans la nuit de dimanche à lundi contre des positions militaires et des dépôts d’armes dans plusieurs régions de Syrie, après la fuite de Bachar al-Assad.
Le chef de la diplomatie israélienne avait confirmé, lundi, que son pays avait mené ces frappes pour détruire des "armes chimiques" en Syrie, afin d’éviter que celles-ci ne tombent aux mains des rebelles islamistes radicaux ayant renversé Bachar al-Assad dimanche.
"Ceux qui contrôlent […] Damas" aujourd’hui sont animés par "une idéologie extrême de l’islam radical" et "c’est pourquoi nous avons attaqué des systèmes d’armes stratégiques [en Syrie] comme par exemple des restes d’armes chimiques ou des missiles et roquettes à longue portée, afin qu’elles ne tombent pas aux mains d’extrémistes", a déclaré Gideon Saar lors d’une conférence de presse à Jérusalem.
70 à 80 % des capacités militaires de la Syrie détruites
Ce mardi 10 décembre, Tsahal a continué de détruire les anciens sites de l’Armée syrienne d’occupation à travers la Syrie. Israël indiquait ainsi avoir détruit "environ 70 à 80 % des capacités militaires du régime d’Assad" et "la plupart des stocks d’armes stratégiques de l’Armée syrienne".
La marine israélienne de Tsahal a diffusé le bilan de ces frappes notamment dans les ports d’al Bayda et de Lattaquié.
Ainsi, 15 navires de guerre syriens étaient amarrés dans les ports au moment des frappes. Tsahal a indiqué avoir aussi détruit des dizaines de missiles anti-navires d’une portée de 80 à 190 kilomètres. "Chaque missile transportait une charge explosive importante, constituant une menace pour les navires civils et militaires dans la zone", précise le bilan.
Missiles, drones, avions de chasse, hélicoptères…
L’armée de l’air, elle, a procédé à 350 frappes durant ces derniers jours avec "un large éventail de cibles, notamment des batteries antiaériennes, des aérodromes de l’armée de l’air syrienne et des dizaines de sites de production d’armes à Damas, Homs, Tartous, Lattaquié et Palmyre".
L’Observatoire syrien des droits de l’homme indiquait que ces frappes auraient détruit la totalité des MiG-29 syriens auraient été détruits, des systèmes de défense aérienne et des centres de recherche, en particulier ceux liés au programme d’armes chimiques de l’ancien régime, lequel n’a jamais été démantelé malgré les assurances données par Damas.
Israël indique ainsi avoir neutralisé "des missiles Scud, des missiles de croisière, des missiles sol-mer, sol-air et sol-sol, des drones, des avions de chasse, des hélicoptères d’attaque, des radars, des chars, des hangars, etc".
Par ailleurs, lors d’opérations terrestres, Israël précise avoir mené 130 frappes visant notamment "des dépôts d’armes, des structures militaires, des lanceurs et des positions de tir".
Ces attaques israéliennes surviennent alors que les rebelles syriens ont pris la capitale Damas puis le contrôle du pays, poussant Bachar al-Assad à fuir la Syrie que sa famille dirigeait depuis 1971. Al-Assad serait en Russie.
Syrie: quel avenir pour les bases militaires russes et américaines présentes sur le territoire?
Plusieurs centaines de soldats américains sont déployés en Syrie, tout comme les soldats russes qui bénéficient de deux bases militaires sur le territoire syrien. Après la chute de Bachar el-Assad et l'arrivée des nouvelles autorités syriennes, la question se pose de quel sort sera réservé à ces éléments.
Des centaines de soldats américains sont déployés en Syrie, mais aussi en Irak voisin. cela dans le cadre d'une coalition internationale anti-jihadiste créée pour combattre le groupe terroriste État islamique lorsque ce dernier contrôlait des pans entiers de territoires syrien et irakien. La présence américaine la plus notable en territoire syrien se situe à Al-Tanf dans l'est de la Syrie.
Al-Tanf est une base perdue dans l'immensité du désert syrien. Mais sa position est stratégique : elle est située à quelques encablures de la frontière irakienne et à quelques kilomètres de la frontière jordanienne. C'est un avant-poste idéalement positionné le long de la route reliant Bagdad à Damas, principal axe Est-Ouest de toute la région.
Une base qui facilite les attaques aériennes israéliennes
Depuis 2016, la garnison américaine d’Al-Tanf sert à la fois de socle pour lancer des opérations contre le groupe État Islamique, et de camp de formation pour les factions de l’opposition syrienne combattant le groupe jihadiste.
La base facilite également les attaques aériennes israéliennes contre des cibles situées à l'extrême nord de la Syrie. Ces attaques, en raison d'une trop longue distance, n’auraient pu être menées depuis le Liban ou le plateau du Golan. Depuis 2018 et la perte d'un appareil, les forces israéliennes évitent complètement de pénétrer dans l’espace aérien syrien par la côte occidentale. Al-Tanf a toujours était un caillou dans la chaussure de Damas, une emprise inestimable pour toute opération spéciale.
Deux bases stratégiques pour projeter les forces russes vers l'Afrique
Ce mercredi 11 décembre, le Kremlin a dit, vouloir une situation « stabilisée le plus vite possible » en Syrie. Moscou dit être « en contact » avec les nouvelles autorités syriennes à propos du sort des deux bases militaires russes situées sur le territoire syrien : la base navale de Tartous et l'aérodrome militaire de Hmeimim. Deux emprises stratégiques pour projeter des forces russes vers l'Afrique.
La base navale de Tartous et la base aérienne voisine de Hmeimim constituent pour les forces russes un hub logistique de première importance : le port de Tartous permet de recevoir et de stocker le matériel militaire qui est ensuite ventilé par voie aérienne, notamment vers le Sahel. Les emprises syriennes sont la clé de voute de la projection russe vers les mers chaudes et, au-delà, l'Afrique.
« La base qui hébergeait l'escadron méditerranéen, qui était une flotte détachée de la flotte de la mer Noire russe, et assurait sa reconnaissance en avant, c'était comme une sorte d'avant-poste pour la dissuasion russe de façon générale. Et notamment pour menacer le flanc sud de l'Otan, explique Vincent Tourret chercheur à l'université de Montréal. Et ce second point, c'est effectivement la projection vers l'extérieur, pour du matériel lourd. En fait, c'est un hub extrêmement pratique vers l'Afrique et vers les tentatives russes d'y créer des États satellites ou clients, notamment avec des groupes paramilitaires ou privés de type Wagner ou maintenant Africa Corps. »
Si le port de Tartous et la base aérienne voisine de Lattaquié étaient perdues, le revers serait immense pour la Russie, contrainte alors de trouver une alternative auprès de partenaires comme la Libye ou l'Algérie. Mais rien n'est encore joué et Moscou fait feu de tout bois pour sauver ses très stratégiques bases syriennes.
La France appelle Israël à « se retirer » de la zone tampon en Syrie
Cette zone avait été mise en place après la guerre de 1973 entre les deux pays ; une Force des Nations unies chargée d'observer le désengagement (FNUOD) y est depuis déployée
Des soldats israéliens sur des chars le long de la ligne Alpha qui sépare le plateau du Golan de la Syrie, dans la ville de Majdal Shams, le 9 décembre 2024. (Crédit : Matias Delacroix/AP)
La France « appelle Israël à se retirer de la zone » tampon instaurée entre le pays et la Syrie, ainsi que « au respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la Syrie », a rapporté mercredi le ministère des Affaires étrangères.
« Tout déploiement militaire dans la zone de séparation entre Israël et la Syrie constitue une violation de l’accord sur le désengagement de 1974, qui doit être respecté par ses signataires, Israël et la Syrie », insiste le Quai d’Orsay.
Cette zone avait été mise en place après la guerre de 1973 entre les deux pays. Une Force des Nations unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD) y est depuis déployée.
Dans son communiqué, la diplomatie française rappelle que « la sécurité [de la FNUOD] doit être préservée ».
Depuis la chute du dictateur syrien Bashar el-Assad, Israël a mené des centaines de frappes en Syrie contre des sites militaires « pour empêcher qu’ils ne tombent aux mains d’éléments terroristes », selon l’armée israélienne.
Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a ordonné mardi à Tsahal d’établir « une zone exempte d’armes et de menaces terroristes dans le sud de la Syrie sans présence israélienne permanente », peu après l’incursion d’unités israéliennes dans cette zone tampon.
Selon un officiel de l’ONU à New York, qui a demandé à rester anonyme, les troupes israéliennes occupent sept positions dans la zone tampon.
La Commission Européenne estime que les États peuvent limiter le droit d’asile des migrants en cas d'”instrumentalisation” de ceux-ci par la Russie
La Commission européenne a estimé, mercredi 11 décembre, que les États européens pouvaient limiter le droit d’asile des migrants «instrumentalisés» par la Russie, apportant un «soutien clair» à la Pologne, face aux «attaques hybrides».
En cas «d’instrumentalisation» des migrants, les États membres peuvent exceptionnellement limiter l’exercice des «droits fondamentaux» sur le droit d’asile, a annoncé la commissaire européenne Henna Virkkunen. La Pologne accuse la Russie et le Bélarus d’utiliser les afflux de migrants à sa frontière pour déstabiliser la région et avait demandé à Bruxelles de pouvoir suspendre partiellement le droit d’asile.
LFI organise un colloque et une expo à l’Assemblée Nationale pour favoriser le vivre-ensemble entre les humains et les rats et pour dénoncer les pratiques violentes contre les pigeons.
Note ; encore un bon exemple du pourquoi je détresse les gauchistes. Leurs folies n'a pas de limite, en plus de nous imposer l'islam, au nom de leur idéologie égalitaire, maintenant, ils veulent, nous impose les rats et les pigeons ! c-a-d la peste bubonique et la cryptococcose.
Nanterre : un commando muni d’un fusil d’assaut M16 passe à l’action à la cité Pablo-Picasso, trois blessés dont deux graves (MàJ)
10/12/24
Salon actu.fr, dans la nuit du 9 au 10 décembre 2024, une fusillade suivie d’agressions à l’arme blanche a éclaté dans la cité Pablo-Picasso à Nanterre. Trois jeunes ont été blessés, dont deux grièvement. L’un a été touché par balles, un autre poignardé, et le troisième frappé à coups de crosse. Les assaillants ont pris la fuite en voiture. Peu après, cinq suspects ont été interpellés, dont trois en Seine-Saint-Denis. Une enquête pour tentative de meurtre a été ouverte par le parquet de Nanterre.
Villeurbanne (69) : un nouveau blessé par balle dans le quartier du Tonkin, près d’un point de deal (MàJ : nouvelle fusillade, ce soir, 48h plus tard, un blessé)
11/12/2024
Selon BFM, un homme a été blessé par balle ce mercredi 11 décembre dans le quartier du Tonkin, à Villeurbanne, près de l’arrêt de tramway éponyme, un lieu connu pour ses points de deal. Plusieurs coups de feu ont été tirés, mais la gravité des blessures de la victime reste inconnue. Cet incident survient deux jours après une autre fusillade dans le même quartier.
10/12/24
De nombreux coups de feu ont retenti vers 21 h 30 ce lundi 9 décembre 2024, tout près de Lyon, à Villeurbanne, dans le quartier du Tonkin. Une personne liée au trafic de stupéfiants a été blessée par balle.
Note : en fait, il nous implique que pour réduire sa consumation d'eau, il faut laisser le robinet ouvert 🤣
La Haute Autorité de Santé veut un accès gratuit à la transition de genre pour tous, à partir de 16 ans
Selon lefigaro.fr, la Haute Autorité de Santé (HAS) propose un projet de recommandations controversé sur la transition de genre, visant à créer une forme de service public dédié. Ces mesures incluent un parcours de transition gratuit et personnalisé pour les personnes trans, intégrant des traitements hormonaux, des chirurgies de réassignation, et un accompagnement psychologique, tout en excluant l’évaluation psychiatrique. Les mineurs de 16 à 18 ans pourraient accéder à certaines interventions, et les parents opposés risqueraient une perte partielle ou totale de leur autorité parentale.
Le projet, aligné sur les revendications transactivistes, recommande également de financer et intégrer des associations trans dans les réseaux de soins. Ces orientations vont à l’encontre des approches prudentes adoptées par d’autres pays européens comme la Suède ou le Royaume-Uni. De nombreuses recommandations reposent sur des « accords d’experts » plutôt que sur des preuves scientifiques solides, alimentant les critiques sur le manque de recul et la méthodologie utilisée.
Ce projet suscite des inquiétudes, notamment sur la prise en charge des mineurs et l’absence d’évaluation des regrets liés aux transitions. La transparence du comité d’experts ayant rédigé ces recommandations est également remise en question.
Note : la Sécurité sociale qui rembourse de moins en moins les soins MALADIES des français, veut jeter des millions pour les envies des LGBT (la Sécurité sociale en remboursant les frais de transition, reconnaît-elle que la transition est une maladie ! ! )
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