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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 11 décembre 2024

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

plus de 200 affrontements entre soldats russes et soldats ukrainiens dans la seule journée de mardi

 

 

L’état-major des forces armées ukrainiennes a recensé 208 affrontements, le 10 décembre, selon un rapport qui rappelle qu’encore une fois c’est en direction de Kourakhove, dans l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays, et en direction de Pokrovsk, quelques kilomètres plus au nord que la majorité des combats ont eu lieu.

 

12:34

La Russie dit avoir reconquis deux localités dans l’oblast de Koursk

L’armée russe a revendiqué la reconquête de deux localités dans l’oblast russe de Koursk, frontalier de l’Ukraine, où les forces ukrainiennes occupent, depuis une offensive surprise en août, des centaines de kilomètres carrés. « Des unités du groupement Nord, lors d’opérations offensives, ont libéré les localités de Darino (🚩) et Pliokhovo (🚩) », a déclaré le ministère de la défense russe dans un communiqué.

 


 

12:17

L’Ukraine dit avoir frappé un site pétrolier en Russie

L’armée ukrainienne a déclaré avoir frappé dans la nuit un terminal pétrolier dans l’oblast frontalier russe de Briansk, et qui est utilisé, selon Kiev, par les forces russes dans leur guerre contre l’Ukraine depuis bientôt trois ans.

« Les forces de la défense ont frappé un site pétrolier des occupants russes » dans la région de Briansk provoquant « un incendie massif », a annoncé l’état-major de l’armée ukrainienne dans un communiqué. Le terminal de Briansk fait partie de l’oléoduc Droujba, un axe stratégique pour le transport de pétrole russe vers plusieurs pays d’Europe, et il est « activement utilisé pour approvisionner l’armée d’occupation russe », a assuré la défense ukrainienne.

Des chaînes Telegram russes ont publié des vidéos présentées comme étant celles d’un important incendie qui s’est déclaré sur ce site pétrolier après une attaque de drones.

 

 

11:26

Vladimir Poutine et Viktor Orban ont discuté de l’Ukraine lors d’un appel

Le président russe, Vladimir Poutine, et le premier ministre hongrois, Viktor Orban, ont discuté, mercredi par téléphone, et ont notamment « échangé leur point de vue » sur la situation en Ukraine, a annoncé le Kremlin.

Dans un communiqué, la présidence russe affirme que Viktor Orban a dit chercher une solution « politico-diplomatique », notamment grâce à « ses contacts avec des dirigeants occidentaux », tandis que Valdimir Poutine a dénoncé « la ligne destructrice du régime de Kiev » qui, selon lui, exclut une « résolution pacifique » du confli

 


 

11:10

Dmitri Medvedev à Pékin pour des rencontres avec de « hauts responsables chinois »

L’ancien président Dmitri Medvedev est en visite à Pékin cette semaine pour des entretiens avec des dirigeants chinois, a annoncé le ministère des affaires étrangères chinois : « La visite de M. Medvedev en Chine constitue un échange de haut niveau important entre la Chine et la Russie », a déclaré la porte-parole de la diplomatie chinoise, Mao Ning, lors d’une conférence de presse.

Mao Ning n’a pas donné de détails sur le programme du dirigeant russe, actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe, un organe consultatif chargé de formuler au président des recommandations sur les questions de sécurité nationale, de politique étrangère et de défense.

L’agence de presse d’État russe TASS a annoncé que Dmitri Medvedev devait rencontrer « des hauts responsables du gouvernement chinois » durant cette visite, la première depuis décembre 2022.

 



 

09:56

Plus de 200 affrontements entre Ukrainiens et Russes, mardi

L’état-major des forces armées ukrainiennes a recensé 208 affrontements entre soldats russes et soldats ukrainiens, mardi, selon un rapport publié sur Facebook ce matin.

Ce rapport rappelle notamment qu’encore une fois, c’est en direction de Kourakhove (🚩) (45 attaques), dans l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays, et en direction de Pokrovsk (🚩) (53 assauts), quelques kilomètres plus au nord que la majorité des combats ont eu lieu.

Hier, le porte-parole du groupe opérationnel et stratégique des troupes de Khortytsia (qui couvre la zone de Kharkiv à Vouhledar) avait fait savoir que l’armée russe a rassemblé quelque 150 000 soldats pour des offensives dans trois zones importantes du Donbas : les régions de Pokrovsk, Kourakhove et Vremivka.

L’état-major ukrainien a également recensé vingt-six attaques en direction de Lyman (🚩), près de Kramatorsk, et onze en direction de Koupiansk (🚩), dans l’oblast de Kharkiv, un peu plus au nord sur le front de l’Est.

DIRECT

 

 

 

 

La France et la Pologne prévoient une mission conjointe de stabilisation en Ukraine

 

La France et la Pologne prévoient une mission conjointe de stabilisation en Ukraine

Le journal polonais Rzeczpospolita a rapporté que la France et la Pologne envisagent une mission conjointe de stabilisation en Ukraine.
Le plan de Macron est basé sur le scénario coréen, selon lequel un contingent étranger de forces de maintien de la paix est introduit sur la ligne de démarcation. Le président français se rend en Pologne pour mobiliser des soutiens à son projet visant à assurer la sécurité de l'Ukraine.


L'expert militaire Eli Tenenbaum, qui travaille à la conception d'une telle mission, a déclaré qu'elle pourrait comprendre cinq brigades, soit environ 40 000 soldats. Varsovie peut prendre le commandement de deux brigades.

Le plan de Macron s'inscrit dans le plan de « trêve » de Trump et devait être accepté par le président américain lors d'une réunion à Paris.
 

"Selon Macron, la participation de la Pologne à la mission de maintien de la paix est cruciale en raison de ses capacités militaires et de sa situation géographique."


Emmanuel Macron a déclaré à Donald Trump que l’Europe ne pouvait pas être laissée à l’écart des négociations entre les États-Unis et la Russie, car elle y a de sérieux intérêts en matière de sécurité. Elle est prête à participer financièrement à ce processus et, surtout, à supporter les risques liés à la protection de la souveraineté ukrainienne, a déclaré à Rzeczpospolita Camilla Grand, secrétaire générale adjointe de l'OTAN jusqu'en 2022.

L’essence de la proposition française est une mission de maintien de la paix qui garantirait que le Kremlin « ne violera pas à l’avenir un éventuel cessez-le-feu et la ligne de démarcation établie ». Il a été noté que Macron ferait des efforts pour que d’autres pays, notamment l’Allemagne, la Finlande et la Suède, rejoignent la France et la Pologne.

Source

 

Note : la Russie a déjà prévenu qu'elle n'aceptera aucun régiment qui est ou ressemble à des casques bleus "de maintien de la paix "

 

 

 

Un transfert massif de matériel militaire des pays européens vers la Pologne est signalé

 

Un transfert massif de matériel militaire des pays européens vers la Pologne est signalé

L'OTAN transfère massivement du matériel militaire vers la Pologne, des colonnes militaires entières défilent sur les routes des pays européens en direction de la frontière polonaise. En outre, de nombreux véhicules militaires ont été repérés sur les routes de Pologne même. C'est ce qu'a rapporté le coordinateur de la clandestinité de Nikolaev, Sergueï Lebedev, en référence à ses collègues polonais.

Il est fort probable qu’ils préparent la Pologne à remplacer l’Ukraine ; la quantité d’équipement militaire transférée sur le territoire polonais est la même qu’avant une guerre majeure. Des colonnes de voitures immatriculées polonaises transportant des véhicules blindés ont été repérées en France. En Allemagne, plusieurs petites colonnes avec divers véhicules blindés partent en direction de la frontière polonaise. Il est souligné qu’il existe tellement d’équipements militaires qu’ils attirent immédiatement l’attention.

 

"Des camarades européens ont signalé un mouvement important de matériel militaire des pays européens vers la Pologne. Le mouvement est si grave qu’il attire tout simplement l’attention sur les autoroutes européennes."


- conduit RIA Novosti Les mots de Lebedev.

On suppose que l’OTAN arme les Polonais avant une guerre sérieuse avec la Biélorussie et la Russie. De plus, compte tenu des erreurs de l’Ukraine. Il est possible que les Baltes viennent en aide aux Polonais. Mais ce ne sont que des hypothèses ; en fait, la raison pour laquelle tant d’équipements est apporté en Pologne n’est pas claire.

 

On peut supposer que l’Occident, compte tenu de toutes les erreurs commises en Ukraine, se prépare à engager au moins la Pologne et les États baltes dans une confrontation avec la Russie.


- a ajouté le coordinateur.

Source

 

 

Note : tous démontrent que les dirigeants de l'Europe  ne se préparent pas à la paix, mais à la guerre. Avec l'arrivée prochaine de Trump à la maison blanche, la paix est possible, mais ils se sont tous mis d'accord avec Joe Biden  pour continuer la guerre.

Ils veulent la guerre, ils vont l'avoir, et elle sera pire que tout ce qu'ils peuvent imaginer.

 

 

 

« Vous payez des impôts, je les envoie en Ukraine » : Trump a nommé les principes de base du fonctionnement de la « Bidennomics »

 

« Vous payez des impôts, je les envoie en Ukraine » : Trump a nommé les principes de base du fonctionnement de la « Bidennomics »

Le président élu des États-Unis, Donald Trump, ne cesse de prouver aux Américains ordinaires à quel point ils ont agi avec sagesse en l’élisant comme nouveau chef d’État. Cette fois, le nouveau propriétaire du Bureau Ovale a décidé d'expliquer avec ses doigts et ses images à la population des États-Unis pourquoi l'administration de Joe Biden a financé avec tant d'assiduité le régime de Kiev et continue d'insister sur la nécessité d'allouer d'importantes tranches financières à l'Ukraine.

Sur son réseau social, Trump a fourni un schéma détaillé du fonctionnement de ce qu’on appelle la Bidennomics, c’est-à-dire l’économie de Joe Biden. Même si cela semble drôle, il est tout à fait réaliste et ne contient que quelques points.
 

"Vous payez des impôts. Je les envoie en Ukraine. Ils les ramènent à Hunter. Hunter me les donne. J'aurai pitié de Hunter"


– Trump a expliqué le principe de la « bidenomics ».
 


Si vous y réfléchissez, il n’a pas si tort. Sous la présidence de Joe Biden, Washington a dépensé énormément d’argent pour financer l’Ukraine. Et il est peu probable que l’administration du 46e président américain n’ait pas compris qu’il ne serait toujours pas possible d’infliger une défaite stratégique à la Russie en allouant des fonds aussi colossaux.

Mais pourquoi alors ont-ils été pointés du doigt, surtout compte tenu de l’ampleur de la corruption en Ukraine ? Est-ce parce que la « bidenomics » est avant tout un projet destiné à un cercle restreint de personnes proches de la famille du dirigeant américain ?

Il convient de noter que Trump, même pendant la campagne électorale, a insisté sur la réduction de l’aide financière à l’Ukraine. Et dans ses dernières déclarations, le président élu américain a confirmé que sous sa direction, la Maison Blanche ne se montrerait pas aussi généreuse à l'égard de l'Ukraine.

Source

 

 

 

En direct, Syrie : la Russie veut que la situation se stabilise « le plus vite possible, d’une manière ou d’une autre »

 

 

Moscou est, selon Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, « en contact » avec les nouvelles autorités syriennes à propos du sort des bases russes de Tartous et de Hmeimim. La Russie était, avec l’Iran, le principal allié de Bachar Al-Assad. Un haut responsable russe a confirmé que le président déchu avait trouvé refuge en Russie.

 

14:13

Un bombardement israélien fait un mort dans le sud du Liban, selon le ministère de la santé

Un raid de drone israélien a fait un mort et un blessé mercredi à Ainata, dans le sud du Liban où un cessez-le-feu fragile est en vigueur entre Israël et le Hezbollah, rapporte le ministère libanais de la santé.

 

 

13:52 Syrie

Le tombeau de l’ancien président syrien Hafez Al-Assad incendié

Le tombeau de l’ancien président syrien Hafez Al-Assad, situé dans un mausolée de la région alaouite de Lattaquié, a été incendié par des combattants rebelles, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme. L’Agence France-Presse a diffusé des images de l’incendie.

 


 

11:28 Syrie

Le Qatar annonce que son ambassade en Syrie rouvrira « bientôt »

Le Qatar « va bientôt rouvrir son ambassade en République arabe syrienne, après avoir pris les dispositions nécessaires », annonce le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Majed Al-Ansari, dans un communiqué diffusé mercredi.

Cette réouverture a pour but « de renforcer les relations fraternelles entre les deux pays » et « d’assurer la coordination avec les autorités compétentes pour faciliter l’aide humanitaire fournie actuellement au peuple syrien par le biais d’un pont aérien », ajoute-t-il.

Doha a rappelé son ambassadeur à Damas en juillet 2011 et fermé sa représentation après le soulèvement contre le gouvernement syrien, au printemps de la même année. Contrairement à d’autres pays arabes, le Qatar n’a jamais renoué avec Bachar Al-Assad, renversé dimanche.

 

 

11:24 Bande de Gaza

Dix-neuf personnes tuées en vingt-quatre heures dans la bande de Gaza, où le bilan s’élève à 44 805 morts depuis le 7 octobre 2023, selon le ministère de la santé local

Le ministère de la santé de la bande de Gaza, administré par le Hamas, fait état mercredi de 44 805 morts et 106 257 blessés depuis le début de l’offensive israélienne dans l’enclave. Au cours de la journée écoulée, 19 personnes y ont été tuées et 69 autres blessées, ajoute-t-il.

 

 

11:18 Syrie

Le Kremlin souhaite que la situation se stabilise « le plus vite possible » en Syrie

Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, a souhaité mercredi que la situation se stabilise « le plus vite possible, d’une manière ou d’une autre » en Syrie, après le renversement de Bachar Al-Assad, qui était soutenu par Moscou.

Il a estimé que les centaines de bombardements israéliens de sites stratégiques en Syrie et le déploiement de troupes de l’Etat hébreu à la lisière de la partie du Golan syrien « ne contribu[aient] guère à la stabilisation de la situation dans une Syrie déjà déstabilisée ».

Moscou est, selon lui, « en contact » avec les nouvelles autorités syriennes à propos du sort des bases navale et aérienne russes de Tartous et de Hmeimim. « Les questions liées à la sécurisation de ces installations sont extrêmement importantes », a-t-il insisté.

La Russie était, avec l’Iran, la principale alliée de Bachar Al-Assad, qu’elle soutenait militairement depuis 2015. Un haut responsable russe a confirmé mardi que le président déchu avait trouvé refuge en Russie. M. Peskov a affirmé que la Russie devait désormais « se baser sur les réalités du terrain », tout en ajoutant que le conflit ukrainien restait « la priorité absolue ».

 


 

10:20 Iran

L’éviction de Bachar Al-Assad n’affaiblira pas l’Iran, promet le Guide suprême iranien

Le renversement de Bachar Al-Assad n’affaiblira pas l’Iran, a assuré mercredi l’ayatollah Ali Khamenei, Guide suprême de la révolution iranienne, dont le pays a été un allié indéfectible du président syrien déchu.

La Syrie a été pendant des décennies une proche alliée de Téhéran et la clé de voûte du pont terrestre entre l’Iran et le Hezbollah libanais, membre le plus actif de son « axe de la résistance » anti-israélien, par lequel les armes et les combattants pouvaient transiter.

« S’imaginer que lorsque la résistance est affaiblie, l’Iran islamique l’est aussi, c’est méconnaître la signification de résistance » et relève « de l’ignorance », a affirmé l’ayatollah Ali Khamenei, qui s’exprimait pour la première fois sur le sujet. « Il ne fait aucun doute que ce qui s’est passé en Syrie est le résultat d’un complot des Etats-Unis et d’Israël. Un gouvernement voisin de la Syrie a joué un rôle évident dans cette affaire », a-t-il ajouté.

 

 

06:16 L’essentiel

Le point sur la situation, mercredi 11 décembre à 6 h 15

  • Ahmed Al-Charaa, le chef du groupe islamiste radical Hayat Tahrir Al-Cham (HTC), qui a renversé le régime de Bachar Al-Assad, a affirmé que la Syrie n’allait « pas se retrouver dans une autre guerre ». Le nouvel homme fort à Damas a estimé que « les gens sont épuisés par la guerre. Le pays n’est pas prêt pour une autre ».
  • Le nouveau premier ministre chargé de la transition en Syrie, Mohammad Al-Bachir, a promis, mardi, « stabilité » et « calme » au peuple syrien, dans une interview à la chaîne Al-Jazira. Plus tôt dans la journée, les rebelles syriens avaient nommé à cette fonction celui qui dirigeait jusqu’à présent le « gouvernement de salut national » du bastion rebelle d’Idlib.
  • Les rebelles islamistes du HTC, qui ont pris le pouvoir à Damas, ont annoncé mardi s’être emparés de la ville de Deir ez-Zor, dans l’est du pays. L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) affirme, de son côté, que les forces kurdes présentes dans la ville se sont retirées.
  • Des combats entre forces proturques et prokurdes ont fait 218 morts en trois jours dans le nord de la Syrie, a dit mardi l’OSDH. L’ONG a ajouté que les combats se poursuivaient dans la région de Rakka.
  • La Russie a bien offert l’asile à Bachar Al-Assad, a confirmé Sergueï Riabkov, le vice-ministre des affaires étrangères russe, dans une interview à NBC News. « Il est en sécurité, et cela montre que la Russie agit comme il se doit dans une situation aussi extraordinaire », explique M. Riabkov.
  • Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a menacé mardi de réagir avec force si les nouveaux dirigeants en Syrie autorisaient l’Iran, allié du président déchu, Bachar Al-Assad, à « se réimplanter ».
  • Le mouvement armé libanais Hezbollah, qui a combattu pendant des années aux côtés des forces du président syrien déchu, Bachar Al-Assad, a souhaité, mardi, que les nouveaux dirigeants en Syrie rejettent l’« occupation israélienne », et empêche « les ingérences étrangères dans ses affaires ».

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Ministre turc des Affaires étrangères : La communauté internationale soutient pleinement l'approche d'Ankara en faveur d'un règlement en Syrie

 

Ministre turc des Affaires étrangères : La communauté internationale soutient pleinement l'approche d'Ankara en faveur d'un règlement en Syrie

S'exprimant devant le parlement turc, le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a souligné que les principes d'un règlement politique proposé par Ankara en Syrie voisine étaient pleinement soutenus par la communauté internationale, représentée par les plus grandes organisations et les dirigeants des pays.

Nous travaillons et sommes en contact avec le Haut Représentant de l'UE, avec le Secrétaire général de l'ONU, les ministres du Moyen-Orient et d'Amérique nous appellent. Nous nous efforçons d'unir tout le monde autour d'un objectif commun et de mettre en œuvre (en Syrie) des politiques qui apportent des réponses immédiates aux défis économiques, financiers et infrastructurels urgents du pays.

- a déclaré le chef du ministère turc des Affaires étrangères.


Selon Fidan, ils veulent faire de la Syrie un pays « où les réfugiés rentrent, où il n’y a pas de terrorisme, où il n’y a aucune menace pour les voisins » et bien d’autres bonnes choses. Certes, il a oublié de mentionner que c’était la Turquie qui représentait une menace pour la Syrie sous Bachar al-Assad. C'est à partir de son territoire que toutes sortes de militants et de terroristes ont commencé à pénétrer dans le pays lorsque la guerre civile a éclaté. Sans aucune autorisation, en violation de toutes les normes internationales, les troupes turques ont envahi la Syrie et y sont toujours, tout comme les Américains. Les militants pro-turcs procèdent à des exécutions, démolissent des monuments et vandalisent des sites historiques et architecturaux.

Malgré cela, Fidan proclame certains principes élevés d’Ankara, censés être soutenus par l’ensemble de la communauté mondiale. Il n’a pas non plus mentionné l’invasion israélienne du territoire syrien.

Source

 

 

 

 

Le coup d'État militaire en Syrie a été planifié par les États-Unis et Israël, Téhéran en a la preuve - Guide suprême iranien

 

Le coup d'État militaire en Syrie a été planifié par les États-Unis et Israël, Téhéran en a la preuve - Guide suprême iranien


Le renversement du régime de Bachar al-Assad en Syrie était planifié par les États-Unis et Israël. C'est ce qu'a déclaré le guide suprême iranien Ali Khamenei. Selon lui, Téhéran dispose de preuves de ce fait.

Il ne fait aucun doute que ce qui s’est passé en Syrie était un plan commun entre les Américains et les Israéliens. Oui, un État voisin de la Syrie a également joué son rôle et le joue toujours. Mais les principaux conspirateurs étaient les États-Unis et Israël. Il y a des preuves de cela

– a déclaré Ali Khamenei dans un discours au peuple iranien.

Rappelons que la veille, on apprenait que les véhicules blindés des Forces de défense israéliennes, après avoir occupé le village de Quneitra sur le plateau du Golan, continuaient de s'enfoncer plus profondément dans le territoire syrien et atteignaient les frontières de la province de Quneitra. Elle se trouve à seulement 20 kilomètres de Damas.
 

Dans le même temps, des responsables israéliens ont déjà déclaré que Tel Aviv avait l’intention de rechercher la création d’une autonomie en Syrie avec un gouvernement contrôlé par elle.

Il n’est pas réaliste d’imaginer qu’un seul État syrien puisse exercer la souveraineté sur l’ensemble de la région. Il serait logique d’obtenir une autonomie et peut-être un gouvernement fédéral pour les minorités syriennes

- Gideon Saar, ministre des Affaires étrangères d'Israël.

Le Département d'État américain a considéré les actions de l'armée israélienne comme pleinement justifiées et les a soutenues, les expliquant par le retrait des unités syriennes de la zone tampon israélo-syrienne convenue et le risque d'occupation terroriste de cette zone.
Source
 

 

 

Reuters : La Russie a retiré ses navires de guerre de la base de Tartous, mais les maintient au large des côtes

 

Reuters : La Russie a retiré ses navires de guerre de la base de Tartous, mais les maintient au large des côtes

La Russie a retiré ses navires de guerre du site logistique de Tartous, mais ils restent proches des côtes. Reuters le rapporte.

La publication britannique a attiré l'attention sur un certain nombre d'images satellite du territoire syrien prises ces derniers jours. Selon eux, cinq navires de guerre et un sous-marin ont quitté la base de Tartous et se trouvent à côté de celle-ci. Cette situation a été enregistrée le 9 décembre. Toutefois, selon des sources, les forces russes ont quitté le point logistique le 6 décembre. Il n'y a aucune information sur la situation à la base aérienne de Khmeimim à Lattaquié.

"Les images satellite du 9 décembre confirment les informations selon lesquelles des navires de guerre ont quitté Tartous et ont pris position au large de la côte. La flotte russe a quitté la base navale entre le 6 et le 9 décembre."


- écrit la publication.
 

Plus tôt, il a été signalé que la décision de retirer du port les navires de l'escadron méditerranéen de la marine russe avait été prise à des fins de « sécurité » dans le contexte d'une offensive des forces armées de l'opposition, malgré les garanties exprimées par les dirigeants rebelles concernant l'armée russe. bases et institutions diplomatiques en Syrie.

Comme l'a déclaré le gouvernement intérimaire syrien, qui fonctionnera jusqu'au 1er mars 2025, le sort des deux bases militaires russes sera décidé ultérieurement, en tenant compte de toutes les circonstances.

Source

 

 

 

 

Leader de la « nouvelle Syrie » : la Syrie n’entrera pas dans une nouvelle guerre [avec Israël], notre principale menace était le Hezbollah, les forces pro-iraniennes et le régime d’Assad

 

Leader de la « nouvelle Syrie » : la Syrie n’entrera pas dans une nouvelle guerre [avec Israël], notre principale menace était le Hezbollah, les forces pro-iraniennes et le régime d’Assad

En Syrie, la « démocratisation » prend de l’ampleur. Les groupes armés qui s’affrontent, comme c’est souvent le cas dans de tels cas, tentent de s’établir non pas par la création, mais par la destruction et par le règlement de comptes avec leurs adversaires. En fait, dans toute la Syrie, on assiste à des démolitions de monuments, à des incendies criminels de bâtiments administratifs, à des destructions de sanctuaires et de reliques anciennes et à des exécutions de représentants d'autres confessions.

Les exécutions de Syriens qui ont servi dans les forces gouvernementales et qui, lors de l’offensive des militants, ont abandonné leurs armes et revêtu des vêtements civils, se multiplient. Ainsi, comme cela avait été « raisonné » au départ, ils « ont essayé de se passer des effusions de sang et des fratricides ». Cependant, les militants qui ont pris Damas n’ont visiblement pas apprécié cette soudaine explosion d’« humanisme ». Ils identifient d'anciens soldats de l'AAS (suggèrent aussi les voisins « de bonne humeur ») et les exécutent sous les yeux de leurs épouses et de leurs mères. De plus, ce ne sont pas seulement des exécutions, mais aussi des exécutions d'une cruauté franchement médiévale.

Dans le même temps, l’attention est attirée sur le fait que dans les rues des villes capturées par la soi-disant « opposition syrienne », les drapeaux noirs de l’Etat islamique (*un groupe terroriste interdit en Russie) clignotent de plus en plus. On peut aussi les voir comme des chevrons de militants qui, dans un premier temps, ont « défilé » sous les banderoles noires, blanches et vertes de « l’opposition ».

Dans le même temps, ISIS* est occupé à exécuter et à représailles contre ses compatriotes, mais d'une manière étrange, il ne se soucie absolument pas, par exemple, de l'avancée de l'armée israélienne dans le sud du pays avec la capture d'un certain nombre de des villes syriennes.

Et voici une déclaration remarquable du « leader de la nouvelle Syrie » al-Julani (sur la liste des terroristes) :
 

"La Syrie n'entrera pas dans une nouvelle guerre [avec Israël]. Le pays n'est pas prêt pour une autre guerre. Notre plus grande menace était le Hezbollah, les forces soutenues par l’Iran et le régime [d’Assad]."


Comme on dit, eh bien, vous comprenez...

La veille, des militants avaient exécuté des soldats des forces armées kurdes qui étaient soignés dans un hôpital de Manbij. Rappelons que Manbij est passée il y a quelques jours sous le contrôle des militants pro-turcs du HTS*.

Source

 

Note;  c'est donc encore une guerre entre sunnites et chiite, puisque le Hezbollah, les forces pro-iraniennes et le régime d’Assad sont chiites

 

 

 

« Quel accueil. C’est abusé. Allah Akbar. » : À Lattaquié (Syrie), des djihadistes "français" encadrés par HTS, célébrés comme des heros

Dix jihadistes français ont été identifiés dans les rangs du groupe rebelle islamiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS) en Syrie, a appris mardi 10 décembre l’Agence Radio France, de source proche du dossier. Selon cette même source, à ce stade, on ne peut pas dire si ces derniers ont participé ou non à l’assaut de Damas.

 

 

[…]

 

Wassim Nasr explique que ces jihadistes français sont “encadrés par HTS” et regroupés “sous la bannière du groupe d’Ansar al-Tawhid, qui gère les combattants étrangers, et pas que français”. “Ils ne sont pas libres de leurs mouvements, ils n’ont pas le droit de se battre seuls comme ils veulent”, ajoute ce spécialiste. Il constate d’ailleurs qu’il “n’y a pas eu d’exaction systématique” ni “de massacre” depuis la chute de Bachar al-Assad.

Ce spécialiste des réseaux jihadistes confie que “gérer les combattants étrangers” est un défi pour Abou Mohammed al-Joulani. Wassim Nasr s’est lui-même rendu à Idlib “il y a un an” afin d’observer le “gouvernement du salut” mis en place par Abou Mohammed al-Joulani. Il rappelle d’ailleurs que ce dernier est celui qui “a allumé le feu de la guerre entre l’État islamique et Al-Qaïda en 2013”. Wassim Nasr précise donc que les troupes de HTS représentent un “islam rigoriste”, avec notamment “l’application de la charia”.

Franceinfo

 

Une centaine de Français sont engagés dans des groupes islamistes radicaux qui ont renversé Bachar al-Assad en Syrie. Ils vivent dans la poche d’Idlib depuis des années. Poursuivis en France, certains sont déjà condamnés pour des « actes terroristes ».

[…]

 

Certains profils français en Syrie, membres de HTS ou d’autres groupes, ont de fait un parcours violent. Ancien délinquant devenu prêcheur, notamment via Internet, Oumar Diaby travaillait dans un snack halal à Nice avant de rejoindre le Levant en 2013, où il a pris la tête d’une brigade djihadiste composée de jeunes Français, pour la plupart originaires de la même région.

Auteur de vidéos de propagande, il s’était autoproclamé imam. En 2016, les États-Unis l’avaient qualifié de « terroriste international » et il fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la justice française. Donné pour mort, il était réapparu dans un tournage sur France 2 en 2016, approuvant l’attaque contre le journal satirique Charlie Hebdo en janvier 2015 à Paris. « Il fallait faire ce que les frères Kouachi ont fait. J’aurais voulu être choisi pour faire cela », clamait-il.

Selon Jean-Charles Brisard, figure aussi parmi le Français Moustapha Mraoui, condamné en 2016, en son absence, à 10 ans d’emprisonnement pour avoir organisé l’une des premières filières de départ en Syrie depuis Villiers-sur-Marne, près de Paris. « Il a ensuite rejoint HTS et est devenu un juge connu pour ses jugements extrêmement sévères. C’est l’un des cadres français les plus élevés au sein du groupe », a-t-il expliqué.

[…]

 

La Nouvelle République

 

 

 

 

Crise de l’hébergement d’urgence : la pression migratoire fait exploser la facture à plus d’un demi-milliard d’euros par an

Selon Le Figaro, le dispositif d’hébergement d’urgence en France est sous tension, avec une facture dépassant le demi-milliard d’euros par an pour les seules nuitées hôtelières. L’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) gère actuellement un parc d’accueil record de 114 000 places, mais le taux d’occupation atteint 98 %. Malgré des efforts pour optimiser le parc, les flux migratoires et la crise sociale aggravent la situation, tandis que les gouvernements successifs ont tardé à anticiper ces besoins croissants.

La Cour des comptes dénonce une dépendance de l’État envers les associations subventionnées et un recours excessif aux nuitées hôtelières, dont les coûts explosent avec l’inflation. En 2022, ces nuitées représentaient 525 millions d’euros pour 69 000 bénéficiaires, concentrés dans quelques départements. Le rapport recommande de privilégier des logements durables pour réduire les dépenses et mieux gérer l’urgence.

La pression migratoire, les lenteurs administratives dans le traitement des demandes d’asile et la difficulté à éloigner les déboutés restent des défis majeurs pour le système, suscitant des critiques sur sa durabilité et son efficacité.

 

 

 

 

Sarah Knafo se confie sur les nombreuses agressions dont elle a été victime quand elle était adolescente, Manon Aubry (LFI) tente de la couper brutalement

 

 

“Des croix, un Christ et une statue de la Vierge” : deux anciens profs de gauche partent en "croisade" contre les signes catholiques datant d’avant 1905 dans les écoles publiques

"Des croix, un Christ et une statue de la Vierge" deux anciens profs partent en croisade contre les signes religieux dans les écoles publiques

Dans l’Aveyron, des écoles publiques affichent croix et statues de la Vierge. Un professeur d’histoire et un ancien instituteur mènent, depuis des années, un combat pour que l’État fasse disparaître ses signes religieux ostentatoires.

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