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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 24 septembre 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'accès à la nationalité russe facilité pour les étrangers qui s'engagent dans l'armée…

 

L’ESSENTIEL

  • Dans une allocution prononcée mercredi matin, Vladimir Poutine a annoncé la mobilisation de 300.000 soldats réservistes. Depuis, de nombreux Russes cherchent à fuir le pays et la requête Google « comment se casser le bras » a grimpé en flèche.
  • La commission d’enquête de l’ONU sur les violations des droits humains en Ukraine, lancée à l’occasion des découvertes de cadavres de civils à Boutcha et dans les régions de Tcherniguiv et Soumy au mois de mars, a rendu ses premières conclusions devant le Conseil des droits de l’Homme. Les enquêteurs ont accusé Moscou d’avoir perpétré « un nombre considérable » de crimes de guerre.

 

 

16h22 : Un bureau de recrutement bientôt installé dans un centre pour migrants en Russie

Selon la loi signée par Vladimir Poutine, les étrangers qui rejoignent l'armée pour une durée d'au moins un an pourront demander la nationalité, sans avoir à justifier des cinq ans de résidence sur le territoire russe normalement requis. Le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, a d'ailleurs annoncé mardi l'ouverture prochaine d'un bureau de recrutement au sein même du tentaculaire centre administratif de Sakharovo, lieu de passage obligatoire pour les migrants.

 


15h47 : Vladimir Poutine signe une loi alourdissant les peines pour reddition ou refus de combattre

Le président russe Vladimir Poutine a signé samedi des amendements prévoyant jusqu'à 10 ans de prison pour les militaires qui désertent ou refusent de combattre en période de mobilisation, comme c'est le cas actuellement.

 

 

11h38 : 20 heures d'attente à la frontière pour fuir la Russie

Selon la BBC, la queue à la frontière entre la Russie et la Géorgie mesure désormais plus de 10 kilomètres, quelques jours après l'annonce d'une mobilisation partielle en Russie. Certaines personnes attendent depuis plus de 20 heures de passer les contrôles. « Je traverserais la frontière ce soir », veut croire Oleg, un sergent de réserve de 29 ans. « Je n'ai aucune idée de quand je remettrais les pieds en Russie », souffle-t-il. Les citoyens russes qui évitent la conscription encourent des peines de prison ferme.

 

Note; il a de quoi  mettre en doute les journaux occidentaux  (surtout lorsqu ils s’agit de journal d États comme la BBC ou Euronews)  on le voit sur ce "reportage" vidéo,  des petites  files d attentes de camions et de voitures qui ne prouve rien

 

 

15h04 : Renaissance demande une commission d'enquête sur d'éventuels "financements russes" de partis

Huit députés Renaissance ont demandé l'ouverture d'une commission d'enquête à l'Assemblée sur de possibles «financements russes» de partis français, après la révélation d'informations déclassifiées américaines faisant état de plusieurs centaines de millions d'euros versés par la Russie dans plusieurs pays. Dans un communiqué publié samedi, ces députés du parti présidentiel font référence à une lettre adressée la veille à la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, dans laquelle ils justifient l'instruction d'une telle enquête «au regard de la gravité des faits» et afin que les informations établies puissent «être portées à la connaissance des citoyens français et de notre justice».

Il s'agit, détaillent-ils, «de savoir si des partis politiques français -et lesquels- ont bénéficié de financements russes». Ils citent «des prises de position en faveur de la Russie de plusieurs dirigeants politiques français de premier plan», ainsi que «des prêts contractés pour financer des campagnes électorales et dont les sommes sont toujours dues bien des années plus tard» ou encore «la nomination au sein d'entreprises russes d'anciens parlementaires et ministres français».

Selon un document déclassifié du renseignement américain rendu public le 13 septembre, plusieurs centaines de millions d'euros ont été versés depuis 2014 par la Russie à des partis politiques de plusieurs pays dans le but d'accroître son influence et de peser sur les scrutins. Vendredi, le Rassemblement national, qui a financé des campagnes électorales par le biais de prêts de banques russes mais nie toute collusion avec le Kremlin, a annoncé vouloir une commission d'enquête similaire pour «préciser la nature des liens entre certains élus de la majorité présidentielle et le Qatar», la Chine ou entre Amazon et Uber.

 

Note ; c'est la chasse aux sorcières ! les gauchistes profitent de la guerre en Ukraine pour tenter d'éliminer  toute opposition à leur idéologie politique (anti russe, pro islam et pro LGBT) . On remarquera ici que les américains  font des enquêtes  et des dossiers sur les politiciens français et donc font eux mm de l ingérence.

 

 

13h20 : En pleine mobilisation, la Russie remplace son général chargé de la logistique

La Russie a annoncé samedi le remplacement de son plus haut gradé chargé de la logistique, alors que son offensive en Ukraine a montré des difficultés dans ce domaine. « Le général d’armée Dmitri Boulgakov a été relevé de ses fonctions de vice-ministre de la Défense » et est remplacé par le colonel général Mikhaïl Mizintsev qui sera « responsable du ravitaillement matériel et technique des forces armées », a déclaré le ministère de la Défense dans un communiqué, au moment où la Russie est en pleine campagne de mobilisation.

 

12h49 : Plus de 1.300 arrestations en Russie

Après les annonces de Vladimir Poutine, des rassemblements spontanés ont été recensés dans au moins 38 villes russes. Les manifestants protestaient contre la guerre en Ukraine et la mobilisation de leurs proches. La police a procédé à plus de 1.300 arrestations.

 

09h25 : L’abstention est-elle seulement possible ?

Selon les agences de presses russes, la participation au « référendum » d’annexion s’élevait vendredi à 23,6 % dans la région de Donetsk, 20,5 % dans celle de Zaporojie et 15 % à Kherson. « De notre point de vue, c’est assez pour le premier jour de vote », se satisfait Marina Zakharova, à la tête de la commission électorale russe à Kherson. Le vote doit se terminer mardi.

Mais est-il possible de s’abstenir ? Entre un scrutin cadenassé par les autorités russes, qui vont chez les habitants avec une urne mobile et ne respectent qu’un simulacre de sincérité du scrutin, et des Ukrainiens appelés à résister par leur président, l’issue officielle laisse peu de place au doute.

 

 

 

08h13 : Biden promet une réponse « rapide et sévère » en cas d’annexions de régions ukrainiennes par la Russie

Les Etats-Unis « vont travailler avec (leurs) alliés et partenaires pour infliger des mesures économiques supplémentaires rapides et sévères à la Russie » si celle-ci annexe des territoires en Ukraine, a prévenu vendredi Joe Biden dans un communiqué. « Les référendums de la Russie sont un simulacre, un prétexte fallacieux pour essayer d’annexer des parties de l’Ukraine par la force », a dénoncé le président américain, qui a déjà pris plusieurs trains de sanctions économiques et financières contre le régime de Vladimir Poutine.

DIRECT

 

 

 

 

 

Note ; la vidéo qui suit date de 4 jours, je n'ai pas pu la poster avant vue le trop grand nombre d'infos poster. Cette vidéo montre clairement que la Russie commence à rencontrer de gros problèmes face aux ukrainiens armées et guidés par l'Otan.  Ce qui est très inquiètent puisqu en dernier recourt la Russie va finir par utiliser l'arme nucléaire (comme elle encore prévenu dernièrement). Je pense pas dans l'immédiat puisque la Russie procède en ce moment à un rappel  de 300 000 réservistes, qui doivent après suivent une formation d un mois avant d’être envoyés au combat. Ce qui pourrait vouloir dire que la Russie ne pourra entrer dans une guerre contre l'Otan que dans  un peu plus d un mois (novembre), une fois ces réservistes près au combat (bien sur, tout dépendra aussi de la situation en Ukraine)

 

 

[Ukraine/Russie] La RECONQUÊTE a-t-elle commencé ? Perspectives pour la suite de la guerre

 

20 sept. 2022

 

Note ; Un autre article que j ai trouvé hier, il est intéressent de constater que cette base secrète en Pologne, a été ouverte avant  l invasion russe, se qui prouve que les américains prépare leur sale coût depuis longtemps (par contre je ne comprends pas trop le titre de l article "suspendue à la réaction du Kremlin" alors que rien n a été suspendu !! sûrement une erreur)

Je pense que cette base sera la deuxième cible nucléaire des Russes, l autre sera Smardan en Roumanie, comme je l ai dit le 21 septembre 2022   ( mais je serais étonnée qu'il est que deux cibles, si une guerre nucléaire éclate, la Russie n'aura d'autres choix de détruire, toutes les bases de l'Otan et toutes les centres de décision militaires, comme le pentagone, mais il auras obligatoirement une riposte de la part des américains - comme le démontre le quatrain C 2 - Q 91)

 

 

Une base militaire de l'OTAN en Pologne suspendue à la réaction du Kremlin

 

 

Publié: 19.09.2022

Le général en chef américain, Mark Milley, a inspecté une base militaire secrète en Pologne. Il demande aux troupes alliées dans la région une attention maximale, étant donné que l'on ne sait pas comment la Russie réagira à ses revers récents en Ukraine.

Vers une guerre de religion, infos du 24 septembre 2022

Le chef du Pentagone, Mark Milley, s'inquiète des prochaines mesures que prendra la Russie après les revers militaires en Ukraine. C'est la raison pour laquelle le général américain le plus haut placé a visité dimanche une base militaire secrète en Pologne.

Le but de la visite: vérifier les mesures de sécurité pour les forces américaines et alliées dans la région et évaluer comment la Russie pourrait réagir aux pertes récentes sur le champ de bataille dans cette guerre.

La base abrite des troupes alliées

On ne sait pas exactement où se trouve la base militaire en question. Les journalistes qui l'accompagnaient étaient tenus au secret. Ce que l'on sait, c'est que la base a été construite peu avant l'invasion russe et qu'elle abrite des troupes alliées stationnées en Pologne, comme le rapporte le «Wall Street Journal». La base militaire serait un «carrefour important pour la livraison d'armes et d'autres biens de secours à l'Ukraine» et peut donc être considérée comme un objectif d'attaque potentiel pour la Russie.

Des troupes ukrainiennes y sont également formées sur la base par des partenaires alliés. Le site est protégé par plusieurs systèmes de défense aérienne, dont deux systèmes de batteries Patriot.

«Nous devons surveiller de près la réaction de la Russie»

La visite de dimanche était la deuxième du général Mark Milley depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Elle s'est déroulée dans le contexte de l'évaluation d'un «modèle de réaction militaire de la Russie». Un tel schéma aurait été identifié par les alliés après les revers de Moscou sur le front. Dans ce modèle, la Russie viserait de plus en plus des cibles civiles.

L'objectif de Moscou est probablement de «saper le moral du peuple et du gouvernement ukrainiens», selon Mark Milley. L'Ukraine a été galvanisée par le succès d'une contre-offensive récemment lancée dans le nord-est du pays. Le Kremlin espérerait doucher cet enthousiasme.

Toujours selon le chef du Pentagone, les Russes sont sur la défensive. Kiev aurait repris environ 9000 kilomètres carrés de son territoire aux forces russes, notamment autour de Kharkiv et de Kherson. «C'est la raison pour laquelle nous devons observer très attentivement la manière dont la Russie va réagir», a déclaré le chef d'état-major américain.

Source

 

 

 

Iran : au moins cinquante morts dans les manifestations réprimées, selon l’ONG Iran Human Rights

 

Depuis une semaine, de nombreuses manifestations ont lieu dans plusieurs villes du pays, en réaction à la mort d’une jeune femme détenue par la police des mœurs.

La police antiémeute disperse la foule lors d’une manifestation contre la mort de Mahsa Amini, dans le centre de Téhéran, le 19 septembre.

Au moins cinquante personnes ont été tuées en Iran depuis le début des manifestations pour protester contre la mort d’une femme détenue par la police des mœurs, selon un bilan de l’ONG Iran Human Rights, communiqué vendredi 23 septembre. Jeudi, l’organisation, basée à Oslo, avait déjà évoqué un bilan d’au moins trente et un morts, tandis qu’un média d’Etat a fait état samedi de trente-cinq morts. Les autorités iraniennes ont reconnu la mort de dix-sept personnes vendredi, tout en niant l’implication des forces de sécurité.

La mort de Mahsa Amini, âgée de 22 ans, a suscité de vives condamnations dans le monde alors que les ONG internationales ont dénoncé une répression « brutale » des manifestations et que le président iranien a promis une enquête.

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés En Iran, la répression à huis clos : « Le corps et le visage de ma cousine sont couverts de bleus, mais elle refuse de raconter »

La jeune femme, originaire du Kurdistan, avait été arrêtée le 13 septembre à Téhéran pour « port de vêtements inappropriés » par la police des mœurs, une unité chargée de faire respecter le code vestimentaire strict dans la République islamique d’Iran, où les femmes doivent se couvrir les cheveux et ne sont pas autorisées à porter des manteaux courts au-dessus du genou, des pantalons serrés ou des jeans troués.

Elle est morte le 16 septembre à l’hôpital. Selon des militants, elle a reçu un coup mortel à la tête, mais les responsables iraniens ont démenti et ont annoncé une enquête.

Les manifestations se sont déclenchées aussitôt après l’annonce de sa mort. Depuis, elles se sont étendues à une quinzaine de villes, jusqu’à Qom, au sud-ouest de Téhéran, cité religieuse et très conservatrice.

Lire la suite

 

 

 

 

Immigration : Éric Zemmour va écrire à tous les maires ruraux de France pour les alerter sur la politique de répartition des étrangers sur le territoire, voulue par Macron

INFO LE PARISIEN. Le président de Reconquête entend les alerter, sur un ton apocalyptique, contre la politique de répartition des étrangers sur le territoire, évoquée par Emmanuel Macron le 15 septembre dernier.

Hors de question de laisser passer une telle aubaine. En proposant devant les préfets le 15 septembre dernier de mieux répartir les étrangers sur le territoire français, notamment dans les « espaces ruraux », Emmanuel Macron a largement inspiré l’extrême droite. Jordan Bardella, vice-président du RN, a accusé mercredi 21 septembre le chef de l’État de vouloir « punir la ruralité » et a réclamé un référendum sur le sujet : « Je n’ai pas envie que les villages français ressemblent à la Seine-Saint-Denis ou à la Porte de la Chapelle. »

(…) Le Parisien

Le président du parti d’ultra-droite “Reconquête!” va envoyer une missive aux élus des communes rurales. Cette dernière dénonce avec catastrophisme le projet de réforme de la politique d’asile et d’immigration d’Emmanuel Macron. 

“Des cars arriveront dans les rues de votre commune, que des hommes — car il s’agit la plupart du temps d’hommes originaires d’Afrique subsaharienne ou d’Afghanistan, âgés de 18 à 30 ans — s’installeront chez vous”, prévient notamment Éric Zemmour sur un ton mélodramatique. Et d’assurer : “Je tenais à vous alerter (…) mais surtout à vous assurer que vous me trouverez à vos côtés (…) pour vous apporter tout notre soutien si demain votre commune venait à être désignée pour être repeuplée.”

Midi Libre

 

 

 

Jouy-le-Moutier (95) : un adolescent roué de coups devant son lycée, la vidéo de l’agression diffusée sur les réseaux sociaux (MàJ : 4 jeunes identifiés et placés en garde à vue)

La vidéo mise en ligne témoigne de la violence de l’agression. Elle a aussi permis aux policiers d’identifier quatre suspects de 14 et 15 ans. Ils ont été placés en garde à vue.

Après l’agression, la victime s’est finalement rendue à l’hôpital par ses propres moyens. L’unité médico judiciaire lui a prescrit 5 jours d’ITT et une enquête a été confiée aux policiers du commissariat de Cergy. Quatre adolescents, nés en 2007 et 2008, ont été identifiés grâce aux vidéos et interpellés. Placés en garde à vue, ils pourraient être déférés au parquet des mineurs de Pontoise ce samedi.

Le Parisien


Une violence inexpliquée pour l’instant. Lundi 19 septembre, Un jeune garçon de 14 ans a été violemment frappé par plusieurs individus devant son lycée à Jouy-le-Moutier (Val-dOise, 16 750 hab.). Deux adolescents, respectivement âgés de 14 et 15 ans, ont été interpellés.

La vidéo de son agression a été diffusée le surlendemain sur les réseaux sociaux. Deux suspects ont été interpellés jeudi 22 septembre. Les deux adolescents respectivement âgés de 14 et 15 ans sont déjà connus des services de polices, dont l’un pour agression et l’autre pour vol.

Cette agression a entraîné 5 jours d’ITT pour l’adolescent. Auprès des enquêteurs, ce dernier a affirmé ne pas connaître le motif de ce déferlement de violence.

cnews

 

 

France : le nombre d’expulsions vers l’Algérie en 2021 est de 34 (MàJ)

23/09/2022

Si la personne n’est pas libérée, l’administration a 90 jours pour réaliser le renvoi de la personne étrangère. Elle doit d’abord prouver sa nationalité. Pour cela, elle joint la représentation consulaire du supposé pays d’origine, qui contacte ensuite l’autorité centrale de son pays, qui va consulter son état civil, si celui-ci existe, et reconnaître ou pas l’individu. Si c’est le cas, le pays est censé délivrer un « laisser passer consulaire » signifiant qu’il accepte de reprendre son ressortissant.

L’enjeu des laissez-passer consulaires

Mais de nombreux pays n’en voient pas l’intérêt, l’argent envoyé par la diaspora soutenant considérablement l’économie locale. D’après le rapport Buffet, en 2021, seuls 53 % des laissez-passer consulaires sont délivrés dans un délai utile à l’expulsion. Pour convaincre les États réticents de coopérer, la France a tenté de lier délivrance des laissez-passer et aide au développement, voire, pour l’Algérie, délivrance de visas. Une politique risquée. En 2021, l’Algérie, qui avait autorisé 1 652 retours en 2019, n’a délivré en 2021 que… 34 laissez-passer.

Par ailleurs, certains pays n’acceptent le retour de leurs ressortissants que s’ils font un test Covid, ce que beaucoup refusent. Enfin, ultime embûche, encore faut-il trouver une place disponible dans un avion, que la personne accepte d’y monter, ou, qu’à défaut, si elle est entravée, les passagers ou le pilote, ne s’en offusquent pas.

La Croix

Une baisse notamment liée aux mesures sanitaires mises en place aux frontière des pays d’origine, avec notamment la présentation d’un pass vaccinal ou d’un test négatif faute de vaccin. Pour l’Algérie par exemple, le nombre d’éloignements est ainsi passé de 1 652 éloignements en 2019 à 34 l’an dernier. 

Franceinfo


28/09/2021

De juillet à janvier 2021, 7731 OQTF vers l’Algérie ont été prononcées, selon une source proche de l’exécutif. 22 expulsions ont effectivement eu lieu, ce qui représente 0,2% des OQTF.

Vers le Maroc, 3301 OQTF ont été délivrées dans le même laps de temps et 80 expulsions ont eu lieu (2,4%). Le taux d’expulsion vers la Tunisie est un peu plus élevé : sur les 9424 OQTF prononcées, 131 expulsions ont effectivement eu lieu (4%).

Europe1

 

 

Suède : « Les chercheurs qui ont analysé des données ou fait des recherches sur des questions telles que le viol et l’immigration encouraient le risque d’être licenciés, harcelés, accusés de faire le lit du racisme »

ENTRETIEN – En Suède, une coalition réunissant la droite traditionnelle et les Démocrates de Suède (populistes) a remporté de justesse les législatives. Pour le chercheur suédois Tino Sanandaji, la politique d’immigration qu’avaient menée les partis traditionnels au nom du multiculturalisme n’avait jamais été soutenue par les électeurs.

Comment expliquer le succès des Démocrates de Suède?

Tino SANANDAJI.– Le succès des Démocrates de Suède est presque entièrement dû au mécontentement de la population à l’égard de la politique d’immigration dans le pays et au politiquement correct qui entoure ce sujet. Pendant longtemps, la Suède a été le pays européen qui a accueilli le plus de demandeurs d’asile par rapport à sa population. (…) En raison d’une politique excessive, la part des migrants non occidentaux de première et de deuxième génération est passée de 2 % en 1980 à environ 20 % aujourd’hui.

(…) Or, cette politique qui a transformé le pays n’a jamais eu le soutien d’une majorité ou même d’une grande part de l’opinion publique suédoise. Les sondages annuels réalisés depuis les années 1980 en science politique montrent que l’opinion suédoise, dans chaque enquête, était favorable à la réduction du nombre de réfugiés. Dans le même temps, des enquêtes ont montré que l’élite politique de gauche et de droite a soutenu cette politique migratoire laxiste et l’a aggravée.

Les Démocrates de Suède (DS) ont commencé à se développer dans un climat politique où 60 % à 70 % des électeurs qui se sont exprimés préfèrent réduire l’immigration des réfugiés alors que 0 % des partis traditionnels proposait ce choix aux électeurs. Ils poussaient plutôt à encore plus d’immigration, motivés par une ferveur idéologique pour le multiculturalisme. .

Ignorer la volonté populaire s’est cependant avéré insensé, à mesure que les problèmes causés par l’immigration devenaient plus évidents, et le seul parti qui proposait la politique exigée par la majorité de la population n’a cessé de progresser.

(…)

La Suède se distingue par le recours aux statistiques ethniques. Celles-ci ont-elles permis de lever le tabou sur l’immigration ?

(…) La raison pour laquelle les données sont devenues taboues est qu’elles ont montré les effets économiques et sociaux négatifs de l’immigration, alors que l’opinion politiquement correcte exprimée par gouvernement et médias était que l’immigration des réfugiés était bénéfique pour la Suède et n’affectait pas la délinquance. Les statistiques ne sont jamais devenues illégales, mais un langage orwellien a été utilisé pour décourager ou réprimer leur usage. Par exemple, le ministre social-démocrate de la Justice a affirmé que des statistiques actualisées sur la délinquance des immigrés n’étaient “pas nécessaires” puisque la recherche avait déjà prouvé que celle-ci était causée par la pauvreté et que l’immigration n’avait rien à voir. Les chercheurs qui ont analysé des données ou fait des recherches sur des questions telles que le viol et l’immigration encouraient le risque d’être licenciés ou harcelés, avec l’argument selon lequel ils faisaient le lit du racisme.

(…) Le Figaro

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