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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 26 septembre 2022

 

 

Les États-Unis menacent la Russie de représailles si des armes nucléaires sont utilisées

 

Washington a mis en garde Moscou contre une éventuelle utilisation de l’arme nucléaire, a affirmé le conseiller présidentiel Jake Sullivan sur NBC. Les conséquences pour la Russie seraient "catastrophiques", selon lui.
La question nucléaire dans le conflit ukrainien reste au centre des préoccupations. Les États-Unis ont ainsi averti la Russie des conséquences qu’aurait pour elle l’usage de l’arme atomique, a déclaré ce dimanche 25 septembre le conseiller présidentiel américain Jake Sullivan.
Vers une guerre de religion, infos du 26 septembre 2022

Nous avons fait savoir directement et en privé aux Russes que les conséquences seraient catastrophiques s'ils utilisaient des armes nucléaires en Ukraine. Nous avons été francs avec eux et avons souligné que les États-Unis donneraient une réponse ferme avec nos alliés et partenaires", a-t-il ainsi expliqué sur NBC.

Le responsable a ajouté que la Russie "comprenait très bien ce que les États-Unis allaient faire en retour", sans vouloir donner plus de détails.

Chantage nucléaire

Ce 21 septembre, Vladimir Poutine avait déjà déploré un "chantage à l’arme nucléaire" du côté de l’Otan. Chantage à travers la possible utilisation d’armes atomiques, mais aussi en lien avec les bombardements sur la centrale de Zaporojié, contrôlée par les forces russes. Le Président russe avait souligné que ce chantage pouvait se retourner contre l’Alliance Atlantique.
Début août, le chef d’État russe avait également affirmé qu’il ne pouvait "y avoir de vainqueur dans une guerre nucléaire", lors la 10e Conférence d'examen du Traité sur la non-prolifération des Armes nucléaires (TNP).
Dans le sillage de ces craintes, une étude américaine a récemment ressurgi, qui simule les conséquences d’une guerre nucléaire entre la Russie et l’Otan. Un tel conflit pourrait faire plus de 90 millions de victimes dès les premières heures, selon les chercheurs.
Source Spoutnik
 
 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev dit enquêter sur une fosse commune présumée proche de la frontière russe...

 

L’ESSENTIEL

  • Mercredi dans un discours télévisé, Vladimir Poutine a fait une allusion à la bombe atomique en se disant prêt à utiliser « tous les moyens » dans son arsenal face à l’Occident qu’il a accusé de vouloir « détruire » la Russie. « Ce n’est pas du bluff », avait-il aussi assuré.
  • Les Etats-Unis ont demandé, via des canaux privés, à la Russie de mettre fin à son discours agitant la menace nucléaire dans la guerre en Ukraine. L’utilisation de cette arme aurait, a prévenu Washington, des conséquences « catastrophiques ».
  • Vladimir Poutine a annoncé la semaine dernière une « mobilisation partielle », qui concerne 300.000 réservistes. Devant le mouvement de fuite du pays que cette décision a provoqué, le président russe a fait passer la peine de prison pour les déserteurs à 10 ans.

 

 

15h15 : L'Ukraine dit enquêter sur une fosse commune présumée proche de la frontière russe

L'Ukraine a dit lundi enquêter sur une fosse commune présumée située dans le nord-est, proche de la frontière avec la Russie, dix jours après avoir découvert plus de 440 tombes et une fosse commune près d'Izioum dans la même région.

Le site sur lequel enquêtent les autorités ukrainiennes est un élevage industriel de vollailles situé près de Kozatcha Lopan, à moins de trois kilomètres de la frontière avec la Russie.

Pendant l'occupation russe de la région ces derniers mois, l'armée russe l'utilisait comme hangar pour y cacher ses chars. Les autorités ukrainiennes ont évoqué lundi «jusqu'à 100 corps», sans toutefois donner plus de précisions.

 

14h45 : La Russie et la Chine au banc des accusés du Conseil des droits humains, une première

En dépit des pressions, la Russie et la Chine, deux membres permanents du Conseil de sécurité, sont pour la première fois de l’histoire du Conseil des droits humains de l’ONU la cible de projets de résolution. Les pays occidentaux ont fini par sonner la charge, en deux temps.

La semaine dernière, les pays membres de l’Union européenne sauf la Hongrie ont présenté un projet de résolution demandant au Conseil de nommer un Rapporteur spécial chargé de surveiller la situation des droits humains en Russie pour une période d’un an, une initiative que Moscou a qualifié de « politiquement biaisée ».

Cette initiative intervient dans un contexte d’inquiétude face à l’intensification de la répression en Russie, alors que la guerre fait rage dans l’Ukraine voisine. Lundi, ce sont les Etats-Unis - soutenus par le Royaume-Uni, le Canada, la Suède, le Danemark, la Finlande, l’Islande et la Norvège - qui ont lancé un projet de résolution pour demander un débat au Conseil, en février-mars 2023, sur la situation des droits de l’homme au Xinjiang. D’autres pays toutefois pourraient co-sponsoriser le texte ces prochains jours.

 

14h11 : L’armée russe à la frontière avec la Géorgie

 

 

13h30 : La Bourse de Moscou plonge de 10,25 %, à son plus bas depuis l’offensive contre l’Ukraine

L’indice principal Moex (en roubles) était en baisse de 10,25 % à 10h10 GMT, à 1.873,55 points, passant brièvement sous la barre des 1.900 points pour la première fois depuis le 24 février.

Ces fortes chutes interviennent sur fond de mobilisation partielle pour renforcer les troupes engagées en Ukraine et au moment où des "référendums" d’annexion sont en cours jusqu’à mardi dans quatre régions de l’Est et du Sud de l’Ukraine contrôlées par Moscou. Le risque de nouvelles sanctions occidentales contre la Russie perturbe aussi les marchés. L’action du géant russe Gazprom, contrôlé majoritairement par l’Etat russe, s’enfonçait ainsi lundi de 6,11 %.

 

12h25 : Le Kremlin admet « des erreurs » au cours de la mobilisation des réservistes

Le Kremlin a admis lundi des « erreurs » au cours de la mobilisation de centaines de milliers de réservistes pour aller combattre en Ukraine, alors que des manifestations de colère ont eu lieu et que de nombreux Russes fuient le pays.

« Il y a des cas où le décret a été violé », a dit le porte-parole du Kremlin disant espérer que « les erreurs seront corrigées ». Il a en outre indiqué que les autorités n’avaient pas « pris de décision » concernant la fermeture des frontières aux hommes en âge de combattre.

 

12h22 : Les pertes militaires russes

 

Note; d'habitude j'évite de poster ce genre de tweet comme celui du dessus, mais aujourd'hui c'est juste pour montrer comment les journalistes de France sont culs et chemise avec la propagande ukrainienne. Ce tweet de Kiev est poster tous les jours sur le site  20 minutes, tous les jours !

 

 

 

08h38 : Fusillade dans un centre de mobilisation de l’armée en Russie, au moins un blessé

Un homme a ouvert le feu lundi dans un centre de recrutement de l’armée russe en Sibérie, blessant grièvement un militaire chargé du recrutement, a indiqué un responsable, en pleine mobilisation partielle pour combattre en Ukraine.

« Le commissaire militaire Alexandre Elisseïev est en réanimation, dans un état très grave (…) Le tireur a été immédiatement arrêté. Il sera obligatoirement puni ! », a indiqué sur Telegram le gouverneur de la région d’Irkoutsk, Igor Kobzev, qui précise que la fusillade a eu lieu dans le centre de recrutement militaire de la ville d’Oust-Ilimsk.

 

07h14 : Les avertissements américains se succèdent

Un peu avant les déclarations d’Antony Blinken, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche avait déjà mis en garde contre les conséquences « catastrophiques » en cas d’utilisation de l’arme nucléaire par Moscou. « Nous avons la capacité de parler directement à haut niveau (aux Russes), de leur dire clairement quel est notre message et d’entendre le leur », avait aussi dit Jake Sullivan sur NBC.

« Cela s’est produit fréquemment ces derniers mois, cela s’est même produit ces derniers jours », a-t-il indiqué, sans toutefois vouloir préciser la nature exacte des canaux de communication employés, afin de « les protéger ».

07h03 : Washington demande à Moscou de cesser ses menaces nucléaires

Les Etats-Unis ont demandé via des canaux privés à la Russie de mettre fin à son discours agitant la menace nucléaire.

« Nous avons été très clairs avec les Russes, publiquement et en privé, pour qu’ils cessent de parler d’armes nucléaires », a déclaré le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, dans un entretien à la chaîne CBS News diffusé dimanche. « Il est très important que Moscou nous entende et sache que les conséquences seraient horribles. Et nous avons été très clairs à ce sujet », a souligné le secrétaire d’Etat. « Toute utilisation d’armes nucléaires aurait des effets catastrophiques pour le pays qui les utilise, bien sûr, mais aussi pour beaucoup d’autres ».

DIRECT

 

Note; ne croyaient pas les Américains qui veulent encore se faire passe pour les gentils de l'histoire. Chaque fois que Poutine parle à la TV, il dit bien que son pays est menacé, et je le crois, parce que toutes les personnes sensées connaissent la malhonnêteté légendaire des Américains et leurs filiations le prouvent

Vers une guerre de religion, infos du 26 septembre 2022

 

 

L'Occident devra changer d'avis sur les référendums dans le Donbass, Zaporozhye et Kherson, selon un analyste L'Occident devra changer d'avis sur les référendums dans le Donbass, Zaporozhye et Kherson, selon un analyste

 

Des référendums sur l'appartenance territoriale ont lieu dans les régions du Donbass, de Kherson et de Zaporozhye du 23 au 27 septembre. Auparavant, des sondages avaient montré qu'une majorité de résidents soutenaient l'idée de rejoindre la Russie en tant que sujets de la Fédération de Russie.

Le vote lors des référendums sur l'adhésion à la Russie a commencé le 23 septembre. Plus tôt, mercredi, le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours à la nation pour assurer la sécurité lors des prochains plébiscites et annoncé une mobilisation partielle dans le pays. Le discours de Poutine a été accueilli avec hostilité par les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN, qui ont qualifié le droit à l'autodétermination des participants au référendum de "imposture" et ont juré de ne jamais reconnaître le résultat des votes.

Vers une guerre de religion, infos du 26 septembre 2022

"L'Europe craint qu'au cours du référendum, encore plus de régions de l'actuelle Ukraine veuillent prendre leurs distances avec la politique européenne imposée et demander l'aide de la Russie", déclare Mehdi Khorsand, chef du département de la diplomatie économique de la municipalité de Téhéran et expert en Eurasie. "En même temps, cela deviendra une sorte de menace pour l'Europe qui, depuis deux siècles, fait pression sur les pays en quête d'indépendance."

L'Occident collectif, en particulier les Européens et les Américains, veut maintenir un conflit inextinguible à long terme dans la région afin d'affaiblir la Russie, selon Khorsand. Cependant, les référendums en cours pourraient créer les conditions pour mettre fin au conflit, souligne-t-il.

"La Russie n'a lancé son opération [militaire] spéciale en Ukraine que pour des raisons de sécurité", note l'expert iranien. "Si le gouvernement ukrainien, après les tensions de 2014, avait respecté ses obligations en vertu des accords de Minsk, nous n'aurions jamais été témoins de ces hostilités, de ce conflit. Il n'aurait jamais commencé en premier lieu."

La voie épineuse du Donbass vers l'indépendance

Après le coup d'État de février 2014 soutenu par les États-Unis, les régions orientales de l'Ukraine ont appelé à l'autonomie en résistant au pouvoir de la junte militaire à Kiev. En réponse, Kiev a lancé une "opération antiterroriste" visant à réprimer les "séparatistes" à l'est. Le Normandy Four, un format comprenant la Russie, l'Allemagne, la France et l'Ukraine, a élaboré une feuille de route, les accords de Minsk, pour arrêter l'effusion de sang dans le Donbass et donner aux régions séparatistes un statut autonome. Néanmoins, les gouvernements successifs de Kiev ont systématiquement saboté les dispositions des accords de Minsk empêchant le Donbass d'acquérir une autonomie légitime. En plus de cela, les dirigeants nationalistes ukrainiens ont fait de l'adhésion à l'OTAN la pièce maîtresse de leur politique, intensifiant l'entraînement militaire et recourant à la militarisation du pays.

"Après 2014, la Russie a tenté de négocier avec l'Ukraine au sujet de sa démilitarisation, de sa non-adhésion à l'OTAN, de l'indépendance et de l'autonomie des régions orientales : Lugansk et Donetsk. Mais le gouvernement ukrainien après 2014 a commis un véritable génocide de la population [ethnique] russe en à l'est de l'Ukraine, ils ont commencé à littéralement 'massacrer' les Russes là-bas », raconte Khorsand.

Moscou a appelé à plusieurs reprises les autres garants des accords de Minsk, Paris et Berlin, à faire pression sur Kiev pour qu'elle respecte les accords. Ces tentatives ayant échoué, la Russie a présenté des projets d'accords de sécurité demandant des garanties de non-admission de l'Ukraine à l'OTAN. Moscou a remis les projets aux États-Unis et à l'alliance transatlantique en décembre 2021, leur rappelant l'engagement des dirigeants occidentaux de ne pas étendre l'OTAN aux portes de la Russie. Les dirigeants russes ont clairement indiqué qu'ils prenaient leur sécurité nationale au sérieux et qu'ils auraient recours à des options militaro-techniques si l'Occident devait ignorer les projets. Néanmoins, les États-Unis, l'UE et l'OTAN ont rejeté les principales dispositions des propositions de Moscou.

"La Russie, compte tenu de la gravité du sujet de l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN, n'a pas vu d'autre solution que le lancement d'une opération [militaire] spéciale pour résoudre le problème de sécurité", a déclaré Khorsand.

Les référendums comme moyen d'obtenir une protection contre le joug du régime de Kiev

"Nous nous attendons à ce que les référendums aboutissent à un vote majoritaire des habitants de ces régions en faveur de l'adhésion à la Russie. Je n'exclus pas que les hostilités se terminent après le référendum", note Khorsand.

La Russie a reconnu l'indépendance des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk le 22 février ; encore, cette décision a fait des régions une simple "zone tampon" entre la Russie et l'Ukraine, ce qui ne garantissait pas leur sécurité, explique l'expert iranien.

Si elles sont admises dans la Fédération de Russie, les régions susmentionnées, y compris Kherson et Zaporozhye, auront des garanties de sécurité en tant que parties inaliénables de la Russie. Les républiques du Donbass et les autorités régionales de Zaporozhye et de Kherson ont annoncé les 19 et 20 septembre leur intention d'organiser simultanément des référendums pour rejoindre la Russie. Dans son discours de mercredi, le président Poutine a clairement indiqué que la Russie protégerait son intégrité territoriale et sa souveraineté par tous les moyens militaires modernes, ajoutant qu'il ne "bluffait pas".

"Quant à la légalité des référendums, il convient de noter que l'autonomie des régions du Donbass (LPR et RPD) a été pleinement acceptée dans l'accord de 2014 (accords de Minsk) et mentionnée dans les termes de ce document, respectivement, ce référendum , reflétant la volonté et le désir des peuples des républiques autonomes et souveraines du Donbass de rejoindre la Russie est une action légitime », a déclaré Khorsand.

Auparavant, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, avait expliqué dans une interview à Newsweek que la République populaire de Lougansk (RPL), la République populaire de Donetsk (RPD) et les régions de Zaporozhye et de Kherson utilisaient leur droit sacré à l'autodétermination, qui est codifié dans le Charte des Nations Unies , lorsqu'ils ont annoncé leur intention de rejoindre la Russie.

 

"Bien sûr, les États-Unis et l'Europe seront obligés d'adopter une autre position après ces référendums légaux, car ces référendums créent une opportunité pour apaiser les tensions entre la Russie et l'Ukraine et pour arrêter les hostilités", conclut Khorsand.

 

 

Un néonazi ouvre le feu dans une école russe, plusieurs victimes parmi les enfants - vidéos choc

 

Plusieurs morts et blessés se trouvent parmi les élèves d’une école d'Izhevsk, dans le centre de la Russie. L'auteur des tirs, cagoulé et vêtu d’un t-shirt noir avec des symboles nazis, s’est suicidé, selon la police
Une fusillade a eu lieu ce lundi 26 septembre dans une école d'Ijevsk, dans le centre de la Russie.
 
Un peu plus tard, le comité d’enquête de la Russie a précisé que le bilan des décédés s’élevait à 13 morts, dont neuf écoliers.
Le chef de la région d’Oudmourtie, Alexandre Bretchalov, a de son côté précisé que 23 personnes avaient été blessées, dont 20 enfants.

Des symboles nazis

Le corps du tireur a été découvert par les forces de l’ordre, il s’est suicidé. Il portait un t-shirt noir avec des symboles nazis et une cagoule, comme l’a indiqué le comité d’enquête. Ses motivations ne sont pas encore claires.
 
"Selon les informations préliminaires, l'auteur était armé de deux pistolets d’alarme convertis pour tirer à balles réelles. Son identité n'a pas encore été établie", a écrit sur Telegram Alexander Khinstein, un responsable de la Douma.
Source Spoutnik
 
 

 

 

Nouveau tir de missile balistique par la Corée du Nord

 

Le 25/09/2022

Le projectile a terminé sa course en mer du Japon. Ce tir intervient à quelques jours d'une visite en Corée du Sud de la vice-présidente américaine Kamala Harris.

Vers une guerre de religion, infos du 26 septembre 2022

Un de plus. La Corée du Nord a une nouvelle fois tiré, dimanche 25 septembre, un missile balistique qui a fini sa course en mer du Japon. Ce tir intervient au moment où un porte-avions américain se trouve en Corée du Sud pour des exercices et à quelques jours d'une visite à Séoul de la vice-présidente américaine Kamala Harris.

La Corée du Nord se livre depuis plusieurs mois à une série d'essais, alors que les négociations avec la communauté internationale sur son programme nucléaire sont au point mort. Le régime nord-coréen a par ailleurs adopté debut septembre une nouvelle doctrine proclamant que le pays ne renoncerait jamais à l'arme atomique.

Le projectile tiré dimanche a parcouru environ 600 km à une altitude maximale de 60 km et à la vitesse de Mach 5 (environ 6 000 km/h), selon l'armée sud-coréenne. Les garde-côtes japonais ont pour leur part publié une mise en garde aux navires se trouvant dans la zone où le missile a chuté.

Source

 

 

 

 

Élections en Italie : l’union des droites obtient la majorité absolue dans les deux chambres, Giorgia Meloni revendique la direction du prochain gouvernement (MàJ)

26/09/22


Selon les résultats partiels, la coalition de droite a récolté plus de 44 % des voix, dimanche aux élections législatives, s’assurant probablement la majorité absolue des sièges aussi bien à la Chambre des députés qu’au Sénat.

Pour Giorgia Meloni, la cheffe du parti ultraconservateur Fratelli d’Italia, l’issue des élections législatives italiennes de dimanche 25 septembre ne fait plus de doute. « Les Italiens ont envoyé un message clair en faveur d’un gouvernement de droite dirigé par Fratelli d’Italia », a-t-elle déclaré lors d’une brève allocution, en soirée, à la presse à Rome. « Nous gouvernerons pour tous » les Italiens, a-t-elle promis. « Nous le ferons dans l’objectif d’unir le peuple », a-t-elle ajouté dans un discours de rassemblement et d’apaisement en reconnaissant que la campagne électorale avait été « violente et agressive ».

En restant dans l’opposition à tous les gouvernements qui se sont succédé depuis les législatives de 2018, Fratelli d’Italia s’est imposé comme la principale alternative, passant de 4,3 % des suffrages à plus d’un quart des voix (près de 26,50 %), selon les résultats partiels fournis par le ministère italien de l’intérieur.

La coalition formée par Fratelli d’Italia avec l’autre formation eurosceptique d’extrême droite, la Ligue de Matteo Salvini (9 % des voix), et le parti conservateur de Silvio Berlusconi, Forza Italia (8 %) recueille plus de 44 % des suffrages après le dépouillement de 90 % des circonscriptions.

Avec le jeu complexe du système électoral, cette coalition devrait s’assurer la majorité absolue des sièges aussi bien à la Chambre des députés qu’au Sénat.

Le Monde

 

 

Rome (It.) : un migrant africain passé à tabac par la foule après avoir tenté de violer une fillette italienne de 11 ans

“Noir de m…”, et ils l’ont battu à coups de pied et de poing dans la rue. Il s’agit du passage à tabac à motivation raciale subi à Centocelle samedi matin par un individu étranger qui, accusé publiquement de s’être déshabillé devant une fille, était entouré d’une dizaine de passants. Et battu avant l’arrivée des carabiniers de la station de Tor Sapienza, qui ont interpellé l’homme pour tentative de violences sexuelles sur mineur.

(…) Repubblica


Un jeune de 25 ans a été emmené à la caserne par les carabiniers : peu de temps avant, il avait été signalé par une fillette de 11 ans devant le restaurant tenu par sa mère. Les clients l’ont bloqué et l’ont couvert d’insultes racistes avant de lui donner des coups de pied. L’histoire sur Facebook

Un homme de 25 ans a été conduit à la caserne par une patrouille de carabiniers, escorté par d’autres voitures qui sont intervenus via Collatina à midi pour sauver le jeune homme à la merci de certaines personnes qui lui donnaient des coups de pied alors qu’il était déjà au sol et essayer de mettre sa tête à l’abri.

Il n’a pas été gravement blessé, mais – après une série d’enquêtes menées par les militaires de l’Arma – il a été menotté pour avoir agressé sexuellement une fillette de 11 ans, fille du barman du quartier, qui a tiré la sonnette d’alarme. Le jeune homme de 25 ans s’est ensuite enfui à pied mais a été immédiatement poursuivi et bloqué par des passants qui se sont fait justice eux-mêmes et pour cette raison ils sont désormais recherchés par les carabiniers. 

“Noir de m….”, lui ont dit plus d’une personne, selon le témoignage d’un habitant du quartier, Giancarlo Castelli, qui a couru pour tenter de se mettre entre le jeune homme et les “bourreaux” et a ensuite posté son témoignage sur Facebook : “Sous ma maison, j’ai assisté à un demi-lynchage du genre de ceux qu’on lit dans les journaux : j’entends crier “Arrêtez-le !”. Arrêtez-le !”, je m’approche et un groupe de personnes avait bloqué un garçon noir. Un type lui donne un coup de poing et il se retrouve au sol. Il reçoit également quelques coups de pied de la part de certains clients qui se trouvaient là par hasard. L’un d’entre eux me dit : Occupe-toi de tes affaires. Ne vous mettez pas en travers de notre chemin ou nous serons en colère contre vous”.

Selon Castelli, qui a pu être entendu par les carabiniers pour reconstituer l’histoire, le garçon a également reçu des coups de pied de la part de la mère de la fille violentée, qui a alors téléphoné au 112 et demandé l’intervention des carabiniers.

(…) Corriere.it

 

 

Nantes : une femme de 40 ans victime d’un viol collectif en pleine rue par trois migrants soudanais, alors qu’elle rentrait chez elle (MàJ : Un “rassemblement contre l’insécurité” samedi)

26/09/2022


RÉCIT – Trois hommes de nationalité soudanaise ont été interpellés. Un «rassemblement citoyen contre l’insécurité» aura lieu samedi.

Au pied du Grand Éléphant et des machines de l’Île de Nantes, familles et touristes flânent en ce dimanche matin, profitant de la douceur de l’automne. À peine 24 heures plus tôt, des faits d’une rare violence se sont pourtant produits dans ce haut lieu culturel de l’ancienne Cité des ducs de Bretagne. Samedi, vers 5 heures du matin, une femme de 40 ans rentre chez elle à pied après avoir passé la soirée chez des amis. Elle est importunée par deux ou trois jeunes hommes – ce point reste à déterminer – lui réclamant de l’argent et son téléphone. Après son refus, elle se voit asséner un coup de poing qui la projette au sol. Les individus lui subtilisent son portable et la poussent dans un bosquet. Elle aurait ensuite subi un acte de pénétration par l’un des agresseurs, après s’être fait arracher ses vêtements.

(…) Le Figaro

 

 

“La France est à l’euro près”, prévient le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avant d’annoncer que le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile et leur allouer 2 milliards d’euros

“La France est à l’euro près”, a affirmé ce lundi le ministre de l’Economie Bruno le Maire en présentant le projet de budget pour 2023 devant les journalistes.

“Je veux tracer une ligne rouge”, a-t-il prévenu : “Aucune nouvelle dépense” ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n’est pas “financée à l’euro près”, a mis en garde le ministre.

Morandini

 


5.900 places d’hébergement pour réfugiés et demandeurs d’asile

Le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile dans différents centres d’accueil et d’hébergement d’urgence, selon le projet de budget 2023 dévoilé lundi et qui prévoit une hausse de 6 % de l’enveloppe « immigration, asile et intégration ».

Les crédits de cette mission progressent de 113 millions d’euros par rapport à 2022 pour atteindre 2,01 milliards d’euros et doivent notamment permettre l’ouverture de 2.500 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile, selon les documents budgétaires de Bercy. En 2022, 900 places d’hébergement supplémentaires avaient été créées.

(…) 20minutes.fr

 

 

 

 

 

Francheville (69) : les élus écologistes réclament la démission du maire car il s’oppose à la transformation d’un ancien hôpital en camp de migrants

Dans un communiqué de presse, le groupe Francheville Respire déclare que le maire agit contre les intérêts de la ville. En cause, la réquisition de l’Etat de l’ancien Hôpital Charial pour héberger des migrants. La mairie n’aurait pas apprécié cette demande et s’opposerait à la Préfecture, à la Métropole et à l’Etat pour chaque projet mis en place.

Parmi eux, les “Grandes Voisines” visant à implanter des activités locales à forte valeur ajoutée de manière temporaire. Une des élues du groupe, Elke Hallez, fait le rapprochement avec ses idées politiques : “Monsieur Rantonnet ne semble pas supporter la présence de migrants sur sa commune, lui qui a parrainé Eric Zemmour”.

Les élus écologistes accusent ainsi le maire de bloquer tous les dossiers et de “prendre en otage des dizaines d’emplois”. Dès lors qu’une action vise à insérer des migrants dans la vie locale, le maire s’y oppose. Selon eux, le maire aurait un discours agressif envers des porteurs de projet et des élus métropolitains et nationaux. Des évènements ont également été supprimés dont le festival des solidarités internationales ou des concerts de musique.

Et pour Hélène Dromain, élue à Francheville et vice-présidente métropolitaine en charge du Tourisme, “la notion de négociation voire de dialogue est étrangère au maire. Il ne connait que le rapport de force.” Ainsi, les élus réclament sa démission “dans l’intérêt de la ville”.

www.lyonmag.com

 

 

« Ça fait 20 ans qu’on nous dit qu’on est 6 millions » : À la Mosquée de Lille, Amar Lasfar, président des Musulmans de France (ex UOIF), conteste le chiffre du nombre de musulmans en France et fait l’éloge du taux de natalité

Amar Lasfar, à la Mosquée Al-Imane de Lille-Sud, le vendredi 09 septembre 2022 :

Twitter

– En 2017, les femmes immigrées avaient un taux de fécondité de 2.60, alors qu’il était de 1.77 pour celui des femmes natives

– En 2014, le taux de fécondité des femmes maghrébines était de 3.69, un taux plus important en France que dans leur pays d’origine

INED, étude de 2019

 

 

 

 

 

Bandol (83). Pronostic vital engagé pour un homme blessé de dix coups de couteau lors d’un différend entre automobilistes

Un homme de 21 ans a été hospitalisé avec son pronostic vital engagé après avoir reçu dix coups de couteau. L’homme aurait été blessé au cours d’une altercation avec un autre automobiliste à Bandol.

Un homme de 41 ans et son fils de 17 ans ont été placés en garde à vue.

La Provence

 

 

 

 

« Une junte au service de l’obscurantisme » : à l’ONU, le Mali s’en prend violemment à la France

Le colonel Abdoulaye Maïga, Premier ministre par intérim du Mali, s’en est violemment pris à la France à la tribune de l’ONU en qualifiant les autorités tricolores de “junte”.

Le colonel Abdoulaye Maïga, Premier ministre par intérim du Mali, s’en est violemment pris samedi à la tribune de l’ONU au gouvernement français, qu’il a qualifié de “junte”, ainsi qu’à plusieurs responsables africains et au secrétaire général de l’ONU. Évoquant le retrait des militaires français de la force Barkhane du Mali, il a estimé lors de son discours à l’Assemblée générale des Nations unies que le Mali avait été “poignardé dans le dos par les autorités françaises”.

“Les autorités françaises, profondément anti-françaises pour avoir renié les valeurs morales universelles et trahi le lourd héritage humaniste des philosophes des lumières, se sont transformées en une junte au service de l’obscurantisme”, a déclaré, trois fois, le colonel Maïga désigné Premier ministre par intérim en août par le chef de la junte malienne, le colonel Assimi Goïta. Accusant la France de “pratique néocoloniale, condescendante, paternaliste et revancharde”, il a en revanche salué “les relations de coopération exemplaire et fructueuse entre le Mali et la Russie”.

(…) Europe 1

 

 

Depuis 2011, la police de Berlin devait indiquer dans leur système informatique l’origine ethnique des suspects de nationalité allemande de moins de 21 ans. Mais c’est fini ! Cette pratique étant jugée illégale

Meurtre, homicide, viol, agression sexuelle ou délit de brutalité – depuis le printemps 2011, les policiers devaient indiquer dans le système informatique POLIKS si les suspects de nationalité allemande de moins de 21 ans étaient issus de l’immigration. Mais c’est fini !

Auparavant, le système “Poliks” comportait une case à cocher qui permettait aux policiers d’indiquer si les suspects étaient issus de l’immigration.

Dès la fin du mois de juillet, l’administration intérieure du Sénat a décrété que “la saisie de l’origine migratoire du suspect devait être arrêtée à la date la plus proche possible“. La fonction a été désactivée dès le 3 août.

Mais pourquoi ces données étaient-elles été collectées ?

L’idée de la direction de la police était de savoir si l’origine pouvait être l’un des nombreux aspects expliquant pourquoi les jeunes deviennent criminels. Il s’agissait “d’identifier les dysfonctionnements sociaux tels que la pauvreté, l’inégalité des chances en matière d’éducation ou la discrimination et de les contrecarrer par des mesures préventives”, comme l’indique la lettre de la direction de la police.

La protection des données est claire à ce sujet : quiconque collecte et stocke des données personnelles doit prouver qu’il remplit une mission légale. Dans le cas contraire, c’est illégal !

Le syndicat de la police (GdP) ne comprend néanmoins pas cette décision. Le porte-parole Benjamin Jendro : “Une tolérance aussi mal comprise est du vent au moulin de l’extrême droite et des théoriciens du complot”.

Bz-berlin.de

Le pourcentage de personnes issues de l’immigration étant globalement élevé à Berlin, la saisie de ce critère apparaissait comme obsolète.

Rbb24.de

 

 

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