« Nous avons besoin de plus d’argent pour planifier la deuxième pandémie. Il y aura une autre pandémie. Nous devons penser à l’avenir », a déclaré Biden.
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Les Infos du 23 juin 2022
Biden : « Nous avons besoin de plus d’argent pour planifier la prochaine pandémie. Il y aura une autre pandémie. »
BIDEN: "We need more money to plan for the second pandemic. There's going to be another pandemic." pic.twitter.com/MoMemMRxZL
— Breaking911 (@Breaking911) June 21, 2022
Note: les américains ont-ils trouvé un nouveau moyen de se remplir les poches ! ! !
Variole du singe : l'OMS réunit son comité d'urgence ce jeudi, l'alerte maximale bientôt déclenchée ?
Le rendez-vous est fixé en milieu de journée. Là, l'OMS pourrait bien élever le Monkeypox au rang d'Urgence de santé publique de portée internationale, soit le plus haut niveau d'alerte.
1 600 cas confirmés, autant de cas suspectés, 72 morts, et 39 pays touchés dont 32 nouvellement affectés : tel est le dernier état des lieux dressé par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
"Je pense qu'il est maintenant clair qu'il existe une situation inhabituelle, ce qui signifie que le virus se comporte de manière inhabituelle par rapport à la façon dont il se comportait dans le passé", a déclaré le directeur de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus lors d'une conférence de presse tenue mardi 14 juin à Genève. "Mais cela affecte également de plus en plus de pays, et nous pensons qu'il y a également besoin d'une réponse coordonnée en raison de la propagation géographique".
A lire aussi : Variole du singe : 72 décès en Afrique, l'OMS "préoccupée" par la flambée des cas dans le monde avant une réunion d'urgence
Rendez-vous en milieu de journée
Du coup, l'OMS a décidé de convoquer une réunion du comité d'urgence. Un meeting fixé ce jeudi lors duquel le Monkeypox pourrait voir son niveau d'alerte élevé au rang d'Urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). Soit le plus haut niveau d'alerte de l'agence de santé, qui n'est aujourd'hui appliqué que pour le Covid et la polio.
Selon l'OMS, une urgence de santé publique de portée internationale est "un événement extraordinaire qui est déterminé à constituer un risque pour la santé publique d'autres États par la propagation internationale d'une maladie et à nécessiter potentiellement une réponse internationale coordonnée". Les conclusions des experts ne devraient pas être connues avant vendredi au moins.
Note: 2 épidémies en l’espace de deux ans, c'est de la science fiction, ou alors c'est voulue ! Mais cela n'a rien de naturel
Guerre en Ukraine EN DIRECT : « L’été sera chaud pour les occupants russes », assure Kiev qui annonce l’arrivée des lance-roquettes américains Himars…
L’ESSENTIEL
- Le destin de l’Ukraine se joue à Bruxelles où les Vingt-Sept se penchent ce jeudi sur sa candidature d’adhésion à l’Union européenne. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit participer de façon virtuelle à ce sommet du Conseil européen.
- Le sommet européen doit être suivi d’un autre du G7 et d’un troisième de l’Otan, auxquels participera Joe Biden. La question de l’aide financière à Kiev devrait être au cœur des discussions de ces trois rencontres. Volodymyr Zelensky interviendra, virtuellement, à chaque rendez-vous.
- Le chancelier allemand Olaf Scholz a appelé à mettre sur pied « un plan Marshall » pour la reconstruction de l’Ukraine, avec un budget de plusieurs milliards d’euros.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a critiqué Israël jeudi lui reprochant de ne pas avoir imposé de sanctions contre la Russie, lors d’une allocution en visioconférence devant des étudiants de l’Université hébraïque de Jérusalem.
« Imposer des sanctions contre la Russie est une question de valeurs. Beaucoup de pays européens sont à nos côtés contre l’agression russe mais malheureusement nous ne voyons pas Israël se joindre » aux sanctions, a affirmé Volodymyr Zelensky, dans un discours en ukrainien traduit en anglais.
Le président ukrainien, qui s’exprimait depuis son bureau à Kiev, a déclaré « être reconnaissant au peuple israélien » pour son soutien ajoutant que « nous aurions voulu recevoir le soutien de votre gouvernement ».
Note : Zelensky passe son temps a dicté aux occidentaux a qui et sur qui, ils doivent mettre des sanctions . C'est incroyable que cette avorton pro nazie soit autant pris au sérieux !
15 heures : Kiev annonce l’arrivée des lance-roquettes américains Himars
Le ministre de la Défense ukrainien, Oleksiï Reznikov, a annoncé jeudi l’arrivée des lance-roquettes américains Himars en Ukraine, des armes puissantes réclamées aux alliés pour faire face à l’invasion russe.
« Les Himars sont arrivés en Ukraine. Merci à mon collègue et ami Lloyd Austin (son homologue américain, ndlr) pour ces outils puissants », s’est réjoui Oleksiï Reznikov sur Twitter, accompagnant son message d’une photo de ce système de lance-roquettes mobile monté sur des blindés légers. « L’été sera chaud pour les occupants russes. Et le dernier pour certains d’entre eux », a-t-il menacé, sans préciser combien de Himars avaient été livrés par les Américains.
Le Kremlin a qualifié d'« étrange » que l’Allemagne juge politique la baisse des approvisionnements en gaz russe sur fond de conflit en Ukraine (voir notre post de 10h40), réaffirmant que Moscou augmentera les flux dès que des turbines manquantes seront livrées.
« Si une turbine doit être révisée et qu’on ne la remet pas en place après la réparation (…) tout est clair, il n’y a pas de double sens », a estimé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. « Nos partenaires allemands sont parfaitement au courant des cycles de révision (…) alors c’est vraiment étrange de vouloir qualifier ça de politique », a-t-il dit.
Dmitri Peskov a jugé que la Russie restait un fournisseur « fiable ».
Le Premier ministre albanais Edi Rama a conseillé aux Ukrainiens de ne « pas se faire d’illusions » sur le statut de candidat accordé par l’Union européenne car le processus pour l’adhésion sera très long.
« La Macédoine du Nord est candidate depuis dix-sept ans, si je n’ai pas perdu le compte, et l’Albanie depuis huit ans, alors bienvenue à l’Ukraine », a-t-il ironisé à son arrivée à Bruxelles à une réunion avec les dirigeants de l’UE. « C’est une bonne chose de donner le statut à l’Ukraine. Mais j’espère que le peuple ukrainien ne se fera pas beaucoup d’illusions », a ajouté Edi Rama.
Comment mobiliser les Occidentaux sur la durée face à la guerre en Ukraine, quand on a soi-même perdu de l’autorité diplomatique et du crédit politique ? C’est ce que Joe Biden veut pourtant faire, lors des prochains sommets du G7 et de l’Otan.
Le démocrate de 79 ans s’envole samedi pour l’Allemagne, qui accueille le G7. Il ira ensuite en Espagne, où l’alliance militaire occidentale se retrouve. Et Joe Biden sait très bien à quoi s’attendre : « Peu importe où je vais dans le monde, devinez quoi ? Ils me regardent, et je leur dis "L’Amérique est de retour". » La question peut aussi se poser ainsi : combien de temps Joe Biden sera-t-il capable d’animer la riposte face à la Russie, sous forme de livraisons massives d’armes et de dures sanctions économiques ?
« A un certain moment, cela va devenir un jeu de patience : ce que les Russes peuvent supporter et ce que l’Europe est prête à supporter », a analysé Joe Biden. Mais aussi ce que les Etats-Unis sont prêts à endurer.
L’Ukraine occupe désormais bien moins de place dans les journaux télévisés américains que le risque d’une récession, l’inflation et le prix record de l’essence. Les Américains, consommateurs enthousiastes et grands automobilistes, le font payer à leur président par une cote de popularité anémique, autour de 40 %.
Guerre en Ukraine : La Finlande se dit prête à combattre la Russie
"La Finlande se prépare à une attaque russe depuis des décennies" a déclaré le chef des armées finlandais.
Depuis plusieurs semaines maintenant, le rapprochement de la Finlande à l'OTAN ne cesse d'accélérer la détérioration des relations entre Moscou et Helsinki. Alors que les Russes ont déjà menacé le pays de "lourdes conséquences politiques et militaires", c'est maintenant la Finlande qui tente d'intimider son adversaire.
Ce mercredi 22 juin, le chef de la Défense finlandaise, Timo Kivinen, a déclaré que son pays était prêt à combattre toute attaque russe.
Des menaces claires
Dans une interview, Timo Kivinen, a loué la puissance militaire de la Finlande, et sa détermination à combattre une potentielle attaque russe. Il a annoncé : "La Finlande se prépare à une attaque russe depuis des décennies et offrira une résistance féroce si cela se produit".
Le chef de la Défense finlandaise a expliqué que son pays était prêt à toute opération militaire : "Nous avons systématiquement développé notre défense militaire précisément pour ce type de guerre".
Il a ajouté que la puissance militaire de la Finlande s'expliquait notamment par le fait que ses habitants sont prêts et motivés à se battre. C'est ce que confirme une étude réalisée en mai, qui indique que 82% des Finlandais seraient prêts à rejoindre la défense nationale si besoin.
En cas d'affrontement, Timo Kivinen prévoit notamment une "utilisation massive de la puissance de feu, des forces blindées et aussi des forces aériennes".
Une armée finlandaise redoutable
Si le chef de la Défense finlandaise se permet des déclarations menaçantes, c'est parce qu'il sait reposer sur une armée solide. N'ayant jamais aboli le service militaire obligatoire, la Finlande compte aujourd'hui 280 000 soldats et près de 870 000 réservistes.
Consacrant 2% de son PIB à la Défense, les Finlandais ont aujourd'hui construit un arsenal militaire surpuissant, classés dans les plus importants d'Europe. Le pays possède notamment des missiles à longue portée pouvant atteindre une cible à plus de 370 km.
Enseignement de la langue arabe dans les écoles élémentaires : un accord franco algérien promulgué
En cette France paralysée institutionnellement l'urgence pour Macron était-elle de s'adresser à la France ou à...l'Algérie. Ce 22 juin en effet il vient de promulguer, au Journal officiel, sous sa signature, le décret pour l'enseignement de l'arabe dans nos écoles élémentaires. En annexe à ce décret il publie aussi l'accord entre la France et l'Algérie - signé à Alger le 8 juin 2021 - sur l'enseignement de l'arabe à l'école élémentaire en France. Et c'est ...Élisabeth Borne qui est ''chargée de l'exécution de ce décret''.
Que dit cet accord ? L'accord de 2021, annexé au décret, s'affirme ''désireux de resserrer les liens d'amitié''(sic : cf. les paroles de l'hymne algérien ci-après) entre la France et l'Algérie : « Dans les écoles élémentaires d'enseignement public en France ; il peut être organisé un enseignement international de langue étrangère (EILE) se rapportant à la langue arabe » (art.1er). Il n'est pas précisé qu'il s'agit de l'arabe classique (celui du Coran) et pas de l'arabe dialectal parlé à la maison. Or l'arabe pratiqué dans les écoles d'Algérie est celui de l'Arabie mais la question fait polémique en Algérie même. Selon la constitution algérienne « L’islam est la religion de l’État. »(art.2) et si « L'arabe est la langue nationale et officielle…et celle de l’État » (art.3) « [Le] tamazight est également langue nationale et officielle » (art.3bis). Le tamazight (berbère) est ici oublié.
Les cours sont ouverts à tous les enfants quelle que soit leur nationalité ou leurs origines familiales alors que l'ancien texte du 01/12/1981 jusqu'à présent en vigueur, était à l'intention des élèves algériens en France. « La mise en place de cet enseignement est assurée par les autorités françaises en coopération avec les autorités algériennes compétentes. » En réalité c'est l'Algérie qui recrute et rémunère les enseignants (art. 11 et 12). Ce n'est certes qu'un enseignement supposé « facultatif, accessible à tous les élèves volontaires [du primaire] après accord de leurs représentants légaux » et « organisé au-delà du temps scolaire obligatoire ». Mais les « outils pédagogiques pourront faire référence à des éléments culturels, notamment algériens, adaptés à l'âge et à la diversité des élèves. »(art.6). Certes, ces enseignants sont censés respecter les règles françaises de laïcité et neutralité (art.1er), mais ce sont les autorités algériennes qui ont seules le pouvoir de sanction disciplinaire (art.14). Et est-ce que l'hymne algérien fera partie de dits '' éléments culturels, notamment algériens'' ? [« Ô France ! le temps des palabres est révolu, Nous l’avons clos comme on ferme un livre Ô France ! Voici venu le jour où il te faut rendre des comptes, Prépare toi ! voici notre réponse, Le verdict, notre révolution le rendra, Car nous avons décidé que l’Algérie vivra, Soyez-en témoin ! »].
La constitution française est-elle respectée (à défaut de respecter la décence politique) ? Selon l'Art.53 « Les traités...qui engagent les finances de l'État…/... ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu'en vertu d'une loi ». Au Conseil constitutionnel donc de décider si la mise à disposition de fonctionnaires étrangers de locaux construits, entretenus, équipés, chauffés, éclairés, assurés et surveillés par l'état français engage ou non les finances de l'État. Et donc si le décret est nul.
Sondage : 65 % des Français estiment qu’il y a trop d’immigration en France
Selon un sondage de l’Institut CSA pour CNEWS, dévoilé ce jeudi 23 juin, 65 % des Français estiment qu’il y a trop d’immigration dans l’Hexagone.
L’immigration inquiète les Français. Ils sont 65 % à la trouver trop importante dans le pays, pointe un sondage de l’Institut CSA pour CNEWS, publié ce jeudi 23 juin.
Dans le détail, 30 % des personnes interrogées estiment que «oui, tout à fait», il y a trop d’immigration en France, et 35 % «oui, plutôt». Dans le camp adverse, 11 % pensent qu’il n’y a «pas du tout» trop d’immigration, et 24 % «non, plutôt pas».
Éric Zemmour sur Face à l’Info : « L’avenir est cet affrontement entre l’islamo-gauchisme et le bloc national où Reconquête devra avoir une place éminente. Je ferai tout pour ça.»
Le président de Reconquête, Éric Zemmour, est l’invité exceptionnel de Christine Kelly dans #Facealinfo pour faire le bilan et tirer les enseignements de cette saison marquée par de grands rendez-vous politiques. (22/06/2022, Cnews).
Bruxelles craint que la guerre en Ukraine provoque des vagues migratoires depuis l’Afrique du Nord vers l’UE. Un plan d’action a été préparé mais n’a pas été rendu public
Les dommages collatéraux de la guerre peuvent être presque aussi douloureux que ceux du champ de bataille. Et dans le cas de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, l’impact s’étend déjà à presque tous les coins du globe, selon le plan d’action élaboré par l’UE pour faire face aux conséquences sociales, politiques et économiques du conflit dans les pays tiers. Le rapport, auquel EL PAÍS a eu accès, met notamment en garde contre le risque croissant d’une “famine catastrophique” dans les pays d’Afrique du Nord, qui déclenchera “de nouvelles vagues de protestation sociale, de déplacements internes et de migration vers les régions voisines et, éventuellement, vers l’UE”. Le diagnostic laisse l’Espagne et l’Italie en première ligne d’un exode potentiellement massif à travers la Méditerranée.
Le plan d’action, qui n’a pas été rendu public, a été élaboré conjointement par la Commission européenne et le Service européen d’action extérieure, dirigé par le vice-président de la Commission Josep Borrell. Le rapport a été envoyé cette semaine aux 27 gouvernements de l’UE et définit la marche à suivre pour faire face aux graves conséquences d’une guerre qui frappe déjà de nombreux pays, des plus proches du conflit, comme la Moldavie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan, à d’autres aussi éloignés que le Bangladesh, la Mongolie, le Mexique et l’Argentine.
Le rapport, 27 pages de lecture alarmante, va des Balkans et de la Turquie à l’Amérique latine, en passant par l’Asie centrale, le Moyen-Orient, le Maghreb et le Sahel. Dans tous ces domaines, les conséquences d'”un nouveau scénario géopolitique, marqué par une forte instabilité et des risques croissants de fragmentation de la communauté internationale” se font sentir.
Le déclencheur de cette grave crise, selon Bruxelles, est la guerre de Poutine et, en particulier, le blocus russe des exportations agricoles ukrainiennes et l’escalade des prix de l’énergie. Le document ne précise pas la destination de la crise migratoire potentielle. Mais pour les zones identifiées comme les plus durement touchées par les crises alimentaire et énergétique (le Maghreb et le Sahel, entre autres), il semble inévitable que l’Espagne et l’Italie soient en première ligne d’un éventuel exode massif.
Selon le document, la Commission entend concentrer son aide sur les pays les plus durement touchés par la crise, sur ceux qui aspirent à rejoindre l’Union, sur les acteurs les plus influents de chaque région ou sur ceux qui sont essentiels pour l’importation d’énergie et de matières premières.
La relation privilégiée avec les fournisseurs alternatifs pour réduire la dépendance énergétique de la Russie pointe également vers le sud, selon le rapport. En particulier, à l’égard de l’Algérie et de la volonté de l’UE d’accroître ses exportations de gaz via l’Espagne, notamment par le biais du gazoduc fermé qui traverse le Maroc.
Dans le cas des pays les plus proches de l’Espagne, le rapport note que l’impact “est déjà très important” dans le voisinage sud (Maroc, Tunisie ou Libye et Égypte). La tempête parfaite dans cette région et au Moyen-Orient est aggravée par l’impact encore non résolu de la pandémie, la sécheresse dans certaines parties du territoire et la marge budgétaire limitée des administrations pour aider les populations les plus vulnérables.
Le résultat pour le Maghreb et la région environnante est effrayant : “Le manque de céréales et d’autres produits agricoles essentiels, associé à la hausse des prix des produits de base et des denrées alimentaires et à la réduction des subventions, pourrait entraîner de graves crises économiques et sociales”, indique le rapport de l’UE.
L’UE a déjà commencé à fournir un soutien urgent à ces pays, avec plus de 225 millions d’euros réservés à l’Égypte, au Liban, à la Libye, à la Syrie, à la Tunisie, au Maroc et à la Palestine par le biais de la “facilité alimentaire et de résilience”, indique la Commission. À long terme, l’UE prévoit de les aider à développer leur propre production, dans la mesure du possible.
Toutefois, le rapport note que le risque de crise économique et sociale est “particulièrement élevé en Égypte, en Jordanie, au Yémen, au Liban, en Libye, au Maroc et en Tunisie”, sept pays dont la population combinée dépasse 200 millions de personnes. La menace de famine s’accroît, selon l’UE, “dans les couches les plus pauvres de la population”. Et la possibilité que des personnes fuient à la recherche de meilleures conditions alimentaires, tant dans leur propre pays que dans les pays voisins “et éventuellement dans l’UE”. Les 27 partenaires de l’UE se sont mis d’accord ce mois-ci sur un mécanisme de répartition des réfugiés qui pourrait être utilisé pour la première fois lors de la prochaine crise migratoire, si elle devait se produire.
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