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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 24 mai 2019

 

 

 

Lyon : l'explosion d'un colis piégé fait au moins huit blessés

 

Un colis piégé a explosé rue Victor-Hugo, une artère piétonne du centre de Lyon IIe, entre la place Bellecour et la gare de Lyon-Perrache, devant une boulangerie "la Brioche dorée", vers 17h40 ce vendredi 24 mai. 

Il y a huit à dix blessés légers, en "urgence relative", dont une fillette de huit ans, selon le Progrès. Il s'agirait d'un colis piégé chargé de boulons et vis, d'après le parquet. Le quartier a été bouclé par les forces de l'ordre. Une équipe de déminage est sur place. 

Deux minutes avant l'explosion, un homme qui circulait à vélo a déposé un sac devant la Brioche Dorée, selon le quotidien lyonnais. Il est activement recherché. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour "tentative d'homicide volontaire".

De son côté, Emmanuel Macron a évoqué "une attaque", mais pas de mort "à ce stade". "Il y a eu une attaque à Lyon (...) il ne m'appartient pas d'en faire le bilan, mais a priori, aujourd'hui, à ce stade, il n'y a pas de victime. Il y a des blessés, donc je veux avoir évidemment une pensée pour les blessés, leurs familles", a déclaré le chef de l'État. 

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EN DIRECT - Explosion à Lyon : un homme activement recherché

 

L'Iran promet de ne pas se rendre même sous les bombes

 

Même les bombardements ne feront pas Téhéran céder aux pressions américaines, a déclaré ce jeudi 23 mai le Président Hassan Rohani, cité par l'agence IRNA.

L'Iran ne cédera jamais aux pressions des États-Unis, même s’il est bombardé, a déclaré ce jeudi 23 mai le Président Hassan Rohani cité par l’agence iranienne IRNA.

«Nous devons être résistants, pour que nos ennemis sachent que s’ils bombardent notre pays et si nos enfants sont martyrisés, blessés ou arrêtés, nous ne renoncerons pas à nos objectifs au nom de l’indépendance de notre pays et de notre fierté», a indiqué M.Rohani lors d’une cérémonie en mémoire de la guerre entre l’Iran et l’Irak de 1980-1988

Le chef du Pentagone Patrick Shanahan a pour sa part annoncé ce jeudi 23 mai que les États-Unis envisageaient d’envoyer des troupes supplémentaires au Moyen-Orient pour «améliorer la sécurité des forces» américaines dans cette région, selon les médias.

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La guerre US-Iran recule-t-elle dans le golfe Persique? La précision du chef d’état-major de la Marine iranienne

 

Le porte-avions américain Abraham Lincoln se tient en ce moment «à une distance de 700 kilomètres» des côtes iraniennes, a déclaré à la presse le général Hossein Khanzadi, chef d’état-major de la Marine de la République islamique. Selon lui, cela arrive pour la première fois dans l’Histoire.

Le chef d’état-major de la Marine iranienne, le général Hossein Khanzadi, a déclaré devant la presse que le porte-avions américain Abraham Lincoln s’était éloigné des côtes de l’Iran mais c’était approché à une distance sans précédent, selon l’agence iranienne Isna.

Présence US dans le Golfe

«Ce porte-avions américain se trouve en ce moment à 700 kilomètres des côtes de la République islamique, et cela n’était jamais arrivé dans l’Histoire», a déclaré le commandant des forces navales iraniennes.

«Lorsque les Américains sortent du golfe Persique, cela confirme qu'ils craignent que leurs équipements militaires soient détruits par des missiles iraniens dans le golfe Persique et en mer d'Oman. Ils ont donc fui et se sont tenus à une distance lointaine de nos frontières», a-t-il ajouté.

Dans un entretien accordé à Sputnik, le docteur Pierre Azar, expert libanais en questions géopolitiques et économiques, a écarté l'hypothèse du déclenchement d'une guerre dans la région du golfe Persique entre les Américains et les Iraniens. Il a estimé que le déploiement militaire américain dans la région obéit exclusivement à une logique électoraliste à l'approche de l'élection présidentielle aux États-Unis.

Dans le même sens, M.Azar a souligné que «le Président Trump sait qu'il est dans une situation très délicate pour se faire réélire». «À cet effet, il est prêt à payer n'importe quel prix pour être élu une deuxième fois comme Président des États-Unis, d'où ce déploiement militaire dans la région du golfe Persique».

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LIRE AUSSI : L’Iran contrôle les navires US au nord du détroit d’Ormuz, selon les Gardiens de la révolution

 

Le Guide suprême iranien Khamenei fait allusion à un enrichissement d’uranium à plus de 20 % – L’Amérique reculera, aucune guerre n’est prévue

Le 15 mai 2019, le Guide suprême iranien Ali Khamenei a déclaré, lors d’une rencontre à  l’occasion de l’iftar [repas clôturant le jeûne du ramadan] avec de hauts responsables du régime, que l’Amérique était beaucoup plus forte en 1979 qu’aujourd’hui et que le président Jimmy Carter était beaucoup plus intelligent que son homologue Trump. Il a expliqué que les missiles iraniens avaient une portée de 2 000 kilomètres et qu’ils pouvaient frapper à six mètres de leur cible. Il a indiqué : « La partie la plus difficile du processus d’enrichissement est d’atteindre les 20 %. Passer ensuite à des stades supérieurs n’est pas si difficile ».

Khamenei a déclaré que l’Amérique « essuierait certainement une défaite » dans sa confrontation avec l’Iran et que les négociations avec les Américains étaient « un poison », car ceux-ci essaient de priver l’Iran de ses « points forts ». Khamenei a ajouté que l’Iran ne voulait pas de guerre et qu’il était peu probable qu’elle n’éclate. Le discours de Khamenei a été diffusé sur la Première chaîne (Iran). Extraits :

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"Entre les Etats-Unis et l'Iran, le risque de guerre est très réel"

 

Depuis plusieurs semaines, la tension est forte entre les Etats-Unis et l'Iran, faisant craindre la menace d'un conflit armé dans la région. Dina Esfandiary, chercheuse au Belfer Center for Science and Security Studies de l'université d'Harvard, revient pour Paris Match sur la situation actuelle.

Paris Match. Un an après le retrait américain de l’accord sur le nucléaire iranien, les tensions entre les deux pays sont au plus haut. Un conflit armé entre les Etats-Unis et l’Iran est-il vraiment à craindre ?
Dina Esfandiary. Absolument, le risque est là. Tout ce qu’a fait le président américain fait que le risque d’erreur de jugement a augmenté. Il semble que certains membres de l’administration américaine poussent en faveur d’une quelconque forme d’affrontement armé avec l’Iran, le risque de guerre est très réel. Le seul espoir est que Donald Trump tienne sa promesse de campagne qui est de s’assurer que les Etats-Unis ne soient pas entraînés dans un nouveau conflit au Moyen-Orient.

Donald Trump semble en effet suivre les recommandations de John Bolton, le conseiller à la Sécurité nationale de la Maison-Blanche. Le ministre iranien des affaires étrangères ironise sur le sujet, parlant des «4B» : Bolton, Bibi (Benjamin Netanyahou), Mohammed Ben Salmane et Mohammed Ben Zayed, les princes héritiers saoudien et émirati.
Il est clair que, sur l’Iran, John Bolton a le dessus. Le secrétaire d'Etat Mike Pompeo est sur la même longueur d’ondes, comme Brian Hook (le représentant spécial américain pour l’Iran). Ces hommes poussent en faveur d'une guerre. Mais il est difficile de voir ce qu’ils essaient d’obtenir avec cette campagne de pression maximale. S’ils essaient de faire changer l’attitude de l’Iran, ça ne marche pas, car l’attitude de l’Iran n’a pas changé, elle s’est même enracinée dans une démonstration de force. S’ils essaient de pousser pour un changement de régime, cela ne fonctionnera pas non plus car plus la pression étrangère est forte, plus la population soutient le gouvernement et le système lui-même s’unit. Et si le but est de mettre à mal l’économie iranienne, pourquoi ? Que cherchent-ils à obtenir ?

"Si l'Iran est visé, l'Iran ripostera"

Donald Trump essaierait-il de satisfaire certains de ses alliés très fermes sur l’Iran ?
Même cette explication ne tient pas réellement. Mettons l’Arabie saoudite à part. Les Emiratis ont montré qu’ils comprennent que le risque d’un conflit armé est mauvais pour eux car ils seraient directement dans la ligne de mire : l’Iran ne peut pas atteindre les Etats-Unis mais peut clairement toucher les Emirats arabes unis si ces derniers font pression en faveur d’une guerre. La semaine dernière, le ministre émirati des Affaires étrangères a appelé au calme après les actes de sabotage sur des pétroliers saoudiens, a appelé à la prudence et a semblé calmer le discours venant des Emirats. Même les Israéliens ont évolué ces derniers jours : ils appellent également à la prudence et ne veulent pas une escalade des tensions.

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Syrie : Washington accuse Damas d'attaque chimique... même l'OSDH et les Casques blancs démentent

 

Le 22 mai

Alors que Damas a décrété un cessez-le-feu après avoir fait reculer les groupes terroristes, Washington menace «le régime de Bachar el-Assad», assurant qu'il a mené une attaque chimique... tout en reconnaissant manquer d'informations fiables.

Les Etats-Unis prennent-ils comme source d'information en Syrie, les djihadistes du Front al-Nosra ? Tout porte à le croire. Le 21 mai, le département d'Etat américain a en effet assuré que Washington disposait d'«indications» selon lesquelles «le régime de Bachar el-Assad» serait responsable d'une «attaque présumée au chlore dans le nord-ouest de la Syrie au matin du 19 mai».

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3 minutes... dans le monde selon Xi Jinping

 

 

Note: personnellement je vois toujours la Chine comme une menace communiste. Aujourd’hui l'argent aveugle les occidentaux, qui ne combattent plus le communisme mais le finance  

 

 

La crise entre Trump et les démocrates renforce l’hypothèse d’une tentative de destitution

 

Claquements de portes, menaces, dénégations outrées : la crise larvée entre le président des Etats-Unis et les démocrates du Congrès s’est enrichie d’un nouvel épisode spectaculaire, jeudi 22 mai. Celui-ci a aggravé la défiance entre les deux camps, confrontés plus que jamais à l’hypothèse périlleuse d’une procédure de destitution (impeachment).

Donald Trump avait invité à la Maison Blanche en fin de matinée la speaker (présidente) de la Chambre, Nancy Pelosi (Californie) et le chef de la minorité sénatoriale Chuck Schumer (Etat de New York). Il s’agissait d’évoquer le financement d’un vaste projet de modernisation des infrastructures américaines, en souffrance depuis des décennies.

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Washington annonce 17 nouvelles inculpations contre Julian Assange

 

Le ministère américain de la Justice vient d'annoncer 17 nouveaux chefs d'inculpation contre Julian Assange, notamment en vertu des lois anti-espionnage.

Les États-Unis ont formulé jeudi 23 mai 17 nouveaux chefs d'inculpation à l'encontre du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, affirmant qu'il avait publié illégalement les noms de sources classifiées et assisté l'ancienne analyste militaire américaine Chelsea Manning en vue d'obtenir l'accès à des informations top secret.

Le ministère américain de la Justice lui reproche entre autres d'avoir mis en danger plusieurs de leurs sources dans le cadre de la publication en 2010 de centaines de milliers de documents militaires et diplomatiques américains sur les guerres en Afghanistan et en Irak.

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LIRE AUSSI ; 170 ans de prison : les Etats-Unis annoncent 17 nouvelles inculpations contre Julian Assange

 

 

Prisons françaises au bord de l’explosion: «Je n’aurais jamais cru ça possible»

 

Entre surpopulation carcérale, manque d’effectifs, violence et radicalisation, la situation devient intenable dans les prisons françaises. Selon Jérôme Massip, secrétaire général du syndicat pénitentiaire des surveillants, la réponse politique n’est pas à la hauteur. Il s’est confié à Sputnik France et tire la sonnette d’alarme.

«Avec mes trente ans de carrière en tant que surveillant pénitentiaire, j’ai pu assister à une dégradation que je n’aurais jamais crue possible en rentrant dans cette administration.»

Jérôme Massip, secrétaire général du syndicat pénitentiaire des surveillants, porte un regard sans concession sur la situation des prisons françaises. Le 14 mai dernier, nos confrères de La Croix lâchaient une bombe: «Avec 71.828 détenus pour 61.010 places opérationnelles, la densité carcérale s’établit à 117,7%, sensiblement en hausse par rapport au mois précédent (116,7%). Elle est supérieure ou égale à 200% dans sept établissements pénitentiaires et dépasse les 150% dans 44 (sur 188 au total).»

Pour soulager un peu la pression, le gouvernement s’est engagé, à travers sa réforme de la Justice promulguée le 23 mars, à créer 7.000 places de prison avant la fin du mandat d’Emmanuel Macron. Une multiplication des alternatives en milieu ouvert est également sur les rails. En attendant, la réalité se mue en cauchemar pour les surveillants de prison.

«Sur un étage de 120 à 130 détenus, vous pouvez n’avoir qu’un seul surveillant. Il devient impossible de composer avec les missions qui nous incombent ainsi que les différentes activités. On a toujours plus de droits pour la population carcérale et de moins en moins de devoirs. Nous parlons toujours des premiers, mais rarement des seconds», explique Jérôme Massip.

Un couteau

Alors, la colère monte. Plus d’un an après la grève massive des surveillants pénitentiaires, de nombreux établissements ont subi des blocages ces dernières semaines, comme le 9 mai à la maison d’arrêt de Nice où des membres du syndicat UFAP UNSA ont bloqué les portes et ont brûlé des palettes. L’attaque terroriste du 5 mars à la prison de Condé-sur-Sarthe a ravivé la colère des personnels pénitentiaires. C’est dans cet établissement, l’un des plus sécurisés de France, qu’un détenu et sa compagne s’en sont pris à deux surveillants en les blessant au couteau, avant que le premier ne soit interpellé et sa compagne abattue par le RAID lors d’un assaut.

«Nous avons l’impression de n’être absolument pas entendus par les autorités. Tout ceci n’est que de la poudre aux yeux. Il s’agit de calmer l’opinion publique. L’administration pénitentiaire et notre ministère de tutelle sont bien embêtés par la situation, alors ils multiplient les effets d’annonce telle que la création d’une unité dédiée aux détenus violents, qui ne résoudra pas le problème. Il y a tellement de détenus violents que ce ne sont pas quelques unités réparties sur le territoire qui vont changer la donne. Sans parler des détenus qui ont des profils psychiatriques très dangereux. Ils ne seront pas tous mis à l’écart. Le problème demeure. Les agressions vont perdurer et elles seront de plus en plus graves. De l’agression physique, nous en arrivons à des tentatives d’homicide.»

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Dans la tourmente du Brexit, Theresa May annonce la date de sa démission (vidéo)

 

Empêtrée dans des négociations sur le Brexit, la Première ministre britannique Theresa May quittera son poste le 7 juin. La reine Elisabeth II a déjà été informée de sa démission.

Theresa May a annoncé sa décision de démissionner de son poste de cheffe du Parti conservateur au pouvoir au Royaume-Uni et, par conséquent, de celui de Premier ministre. Sa déclaration est survenue lors de son discours devant sa résidence officielle au 10 Downing Street.

Mme May a précisé qu'elle démissionnerait de ses fonctions de cheffe du Parti conservateur et donc de cheffe du gouvernement le 7 juin. C'est au bord des larmes qu'elle a exprimé «un profond regret de ne pas avoir été capable de mettre en œuvre le Brexit.»

«Il est maintenant clair pour moi qu'il est dans l'intérêt du pays qu'un nouveau Premier ministre dirige cet effort. Ainsi, j'annonce aujourd'hui que je démissionnerai de mes fonctions de dirigeante du Parti conservateur et unioniste le vendredi 7 juin», a-t-elle déclaré.

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Irak : né au Bangladesh et converti à l’islam, Mohamed Ozaki est le premier Japonais de l’État islamique à être arrêté, il était recruteur de djihadistes

 

Le Japonais Mohamed Saifra Ozaki, ancien professeur associé à l’Université Ritsumeikan (Kyoto), est incarcéré en Irak, soupçonné d’être membre de l’Etat islamique. Il a été neutralisé par les forces kurdes.

La presse syrienne a rapporté qu’il est le premier Japonais de l’Etat islamique à être arrêté. Il a été professeur à l’Université Ritsumeikan et était recherché en tant que suspect dans l’attentat terroriste de Dhaka, au Bangladesh, en 2016. Dans cette attaque, 24 personnes ont été tuées, dont 7 Japonais.

Cependant, les médias ont affirmé qu’il était le mentor de l’attaque et non un participant à l’attaque. En 2017, un journal local a estimé qu’il était le chef de la branche de l’État islamique au Bangladesh.

Il aurait été nommé en 2015 lorsqu’il s’est rendu en Turquie. Il cite également le nom de son maître musulman, un Japonais. Il est venu au Japon en tant qu’étudiant boursier à Ritsumeikan Asia Pacific. A l’époque, il était un hindou, né au Bangladesh.

Il a appris le japonais, s’est converti à l’islam et a épousé une Japonaise en adoptant son nom de famille.

Après avoir obtenu son diplôme, il a été embauché comme professeur auxiliaire dans le même établissement. En 2015, alors qu’il enseignait encore, il est parti en Bulgarie et n’est pas revenu. L’université l’a congédié pour une longue période d’absence.

Après sa conversion à l’islam, il s’est radicalisé et est considéré comme le principal recruteur de djihadistes au Bangladesh. Le principal outil de diffusion et de recrutement idéologique qu’il utilise est Facebook.

En tant qu’enseignant, il aurait envoyé une grande partie de son salaire pour financer le terrorisme. Selon les médias locaux, sa femme et deux de ses enfants qui l’accompagnaient ont fini par mourir dans un raid aérien.

Portalmie.com / Asahi.com

 

Interpellée sur la vente d'armes françaises à Riyad, Nathalie Loiseau peine à répondre

 

À trois jours des élections européennes, la question des livraisons d’armes françaises à l’Arabie saoudite continue de peser sur LREM. Manon Aubry, tête de liste de LFI, a interpellé Nathalie Loiseau lors des débats télévisés, laquelle a, de son côté, préféré échapper à une réponse directe.

Après les révélations de Disclose, le gouvernement français se retrouve régulièrement sous le feu des critiques autour de la vente d'armes à l'Arabie saoudite utilisées dans le conflit au Yémen. Lors de l'ultime débat organisé jeudi 23 mai sur BFM TV, la tête de liste de La France insoumise (LFI) Manon Aubry a directement interpellé son homologue du côté La République en marche (LREM) Nathalie Loiseau sur la question.

«Vous n'obéissez pas aux traités internationaux! Vous vous présentez comme un rempart contre la guerre mais vous vendez des armes à l'Arabie saoudite qui tue des milliers de civils. Vous dites qu'il faut obéir aux traités européens, mais vous n'obéissez pas aux traités internationaux qui interdisent les ventes d'armes», a affirmé Mme Aubry face à son adversaire LREM.

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Michel Onfray : «BHL a du sang sur la main droite, demandez aux peuples qui ont reçu des bombes dont il estimait qu’elles étaient philosophiques»

 

Michel Onfray : «BHL a du sang sur la main droite. Demandez aux Libyens, aux Irakiens, à tous ces peuples qui ont reçu des bombes dont il estimait qu’elles étaient #philosophiques. Cet homme n’imagine pas le mal qu’il peut faire (…) Il devrait rendre des comptes.»
– LCI, 23 mai 2019, 11h17

Michel Onfray : «Quand Marine Le Pen rebaptise la France Insoumise en “France Islamiste”, elle dit quelque chose de majeur»

 

Michel Onfray : «Quand Marine Le Pen rebaptise la France Insoumise en “France Islamiste”, elle dit quelque chose de majeur».
– LCI, 23 mai 2019, 10h38

 

Jordan Bardella (RN) : « L’accueil des migrants pour eux, c’est toujours bon, mais uniquement chez les autres et avec l’argent des autres ! «

 

 

Jean-Claude Juncker : « Ces nationalistes stupides sont amoureux de leur propre pays. Ils n’aiment pas les gens qui viennent de loin »

 

Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a qualifié les « populistes » et « nationalistes » de « stupides » dans une interview accordée à CNN, quelques jours avant les élections européennes.

« Ces populistes, nationalistes stupides… ils sont amoureux de leur propre pays », a déclaré Juncker à CNN. « Ils n’aiment pas les gens qui viennent de loin, j’aime les gens qui viennent de loin… nous devons agir en solidarité avec ceux qui sont dans une situation pire que la nôtre. »

(…) Politico

 

 

 

La journaliste franco-libanaise Maya Khadra : Certains politiques français adoptent un discours islamique pour obtenir la faveur des banlieues

 

La journaliste franco-libanaise Maya Khadra a déclaré, dans une interview diffusée sur Al-Hurra (États-Unis), que certains politiques français s’étaient mis à employer un discours proche des islamistes pour gagner les faveurs de la majorité musulmane des banlieues parisiennes et avaient même visité des mosquées salafistes. Elle a déclaré que des organisations non agréées opéraient « dans l’ombre » et propageaient l’idéologie de l’Etat islamique et des Frères musulmans. Selon elle, le Qatar a joué un rôle majeur dans le financement des activités des FM en France et en Europe. Elle a expliqué que les FM avaient recours à un discours moderne et progressiste et que le gouvernement français fermait les yeux sur le financement étranger de leurs actions. Khadra a ajouté que les islamistes ne reconnaissaient ni les frontières ni la souveraineté des pays et considéraient tout lieu où ils vivent comme leur propre « État » où la loi de la charia doit être instaurée. Extraits :

Maya Khadra : Certains officiels élus dans les banlieues parisiennes à majorité musulmane – dans toutes les banlieues parisiennes, il y a aujourd’hui une majorité musulmane… [Les officiels] changent de discours et vont jusqu’à employer un discours islamique. Ils visitent les mosquées salafistes. […]

La peur et le danger proviennent des institutions qui opèrent dans l’ombre. Elles ne sont pas agréées et opèrent dans des lieux fermés. Parfois, elles louent une salle pour les réunions et propagent l’idéologie de l’Etat islamique en France. Nous avons vu cela avec tous les moudjahidines qui ont quitté la France pour mener le djihad en Syrie et en Irak. […]

Le Qatar, par exemple, a joué un rôle majeur dans le financement de nombreux groupes extrémistes et de plusieurs mouvements des Frères musulmans en France et en Europe. Ils utilisent toujours la même supercherie. Ils emploient un discours très progressiste et moderne pour diffuser leurs idées auprès des minorités. Ils leur donnent le sentiment qu’elles sont victimes d’injustice dans les pays occidentaux, et que [les Frères musulmans] leur offriront un monde meilleur et progressiste. Les méthodes des Frères musulmans sont très progressistes. Toute l’opération est financée, mais l’Etat français ferme les yeux. […]

Ils le regrettent désormais, car ils ont permis que la France soit balayée par une grande vague d’extrémisme. Le pourcentage de femmes qui portent le hijab… Je parle du niqab, pas du simple hijab… 40 % des femmes dans les banlieues parisiennes le portent. […]

Ils ne reconnaissent ni les frontières ni la souveraineté des pays. Il y a ce qu’on appelle la « nation islamique ». Ils veulent « l’islamiser ». Plus ils s’étendent dans le pays où ils vivent… Ils commencent par étendre leur quartier, leur ghetto. Ensuite, ils atteignent la capitale, puis ils s’étendent à d’autres régions… Plus ils se développent, plus ils gagnent. De leur point de vue, c’est leur pays. Il y a eu un documentaire filmé dans les banlieues de Paris. Ils ont demandé à l’un des musulmans là-bas : « L’Etat français vous assiste vu que vous ne travaillez pas, alors pourquoi êtes-vous contre lui ? » Il a répondu : « Ce qu’ils me paient, c’est la jizya [impôt islamique que doivent payer les non-musulmans]. » Ils ont une logique réactionnaire, qui ne respecte pas la souveraineté ou les frontières de l’État. Ils pensent qu’ils sont dans leur propre pays – partout où ils vivent – et que la charia devrait faire loi. C’est le vrai danger.

Source

 

Note : des politiciens comme Melanchon, Hamon etc

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