Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Tensions entre États-Unis et Iran : Washington envoie 1.500 soldats de plus au Moyen-Orient
Le 24 mai
Les États-Unis évoquent des "menaces persistantes" contre les forces américaines émanant du "plus haut niveau" du gouvernement iranien.
La tension augmente encore d'un cran entre les États-Unis et l'Iran. Ce vendredi 24 mai, Washington a annoncé le déploiement de 1.500 soldats supplémentaires au Moyen-Orient, invoquant des "menaces persistantes" contre les forces américaines émanant du "plus haut niveau" du gouvernement iranien.
"Nous allons envoyer un nombre relativement faible de troupes, pour la plupart préventives, et certaines personnes très talentueuses se rendent au Moyen-Orient en ce moment", a déclaré Donald Trump depuis la Maison Blanche. "Ce sera environ 1.500 personnes", a précisé le président américain avant de s'envoler vers le Japon.
Ces effectifs et ces capacités supplémentaires sont destinés à "améliorer la protection et la sécurité des forces américaines, compte tenu de menaces persistantes de la part de l'Iran, y compris des Gardiens de la Révolution et de leurs soutiens", a indiqué le chef du Pentagone Patrick Shanahan dans un communiqué. "Ceci est une réponse prudente à des menaces crédibles de la part de l'Iran".
Le déploiement décidé par Washington inclut un bataillon de 600 hommes en charge de quatre batteries anti-missiles Patriot qui se trouvaient déjà dans la région mais devaient être redéployées ailleurs. Leur maintien dans la région, pour une durée indéterminée et sur des bases qui n'ont pas été identifiées, porte à 900 hommes seulement les renforts envoyés dans la région, a précisé à la presse l'amiral Michael Gilday, un responsable de l'état-major américain.
Des avions de chasse en renfort
Des appareils de reconnaissance et de surveillance et un escadron de 12 avions de chasse renforcera le dispositif. La secrétaire adjointe en charge de la sécurité internationales du Pentagone, Katie Wheelbarger, a précisé que ce déploiement supplémentaire ne concernait ni la Syrie ni l'Irak, où Washington poursuit ses opérations contre le groupe État islamique (EI).
Le commandement central américain (Centcom), en charge du Moyen-Orient et d'une partie de l'Asie centrale dispose de 70.000 militaires, dont 14.000 sont déployés en Afghanistan, 5.200 en Irak et moins de 2.000 en Syrie. Les effectifs supplémentaires seront dont envoyés sur les bases dont les Etats-Unis disposent au Moyen-Orient, mais pas sur les zones de conflit.
Parallèlement, l'administration Trump a également informé vendredi le Congrès de nouvelles ventes d'armes à l'Arabie saoudite, grand ennemi régional de l'Iran, et aux Émirats arabes unis, en invoquant la menace iranienne pour contourner la possibilité dont disposent les parlementaires de bloquer ce type de contrat.
L’Iran qualifie les renforts américains de «menace pour la paix internationale»
Le 25 mai
Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a déclaré que l'envoi de renforts militaires américains au Moyen-Orient était une «menace pour la paix internationale».
Au lendemain de l'annonce de Donald Trump de l'envoi de 1.500 soldats américains supplémentaires au Moyen-Orient, l'Iran a fustigé cette mesure, la qualifiant de menace, selon l'agence de presse officielle Irna.
«L'accroissement de la présence américaine dans notre région est très dangereux et constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales à laquelle il faut faire face», a-t-il déclaré, lors d'une visite au Pakistan.
Les tensions américano-iraniennes sont montées d'un cran suite à la décision des États-Unis de reconnaître les Gardiens de la révolution islamique (GRI) comme organisation terroriste. Le Conseil suprême iranien de sécurité nationale a à son tour qualifié le Commandement central des États-Unis (CENTCOM) d'organisation terroriste et les États-Unis d'«État sponsor du terrorisme».
«Nous allons envoyer ces navires US au fond de la mer avec des armes secrètes», promet un général iranien
Le 25 mai
L'Iran pourrait couler des navires de guerre américains envoyés dans la région du Golfe avec des missiles et des «armes secrètes», a déclaré un haut responsable militaire iranien cité samedi par l'agence de presse semi-officielle Mizan.
L’Iran est en mesure de faire sombrer, avec des missiles et des «armes secrètes», des bâtiments de guerre que les États-Unis ont envoyés dans la région du Golfe, a déclaré à l’agence de presse Mizan le général Morteza Qorbani, un conseiller du commandement militaire iranien.
«L'Amérique… envoie deux navires de guerre dans la région. S'ils commettent la moindre bêtise, nous les enverrons au fond de la mer avec leurs équipages et leurs avions en utilisant deux missiles ou deux nouvelles armes secrètes», a assuré le général.
Les États-Unis ont annoncé vendredi 24 mai le déploiement de 1.500 soldats supplémentaires au Moyen-Orient de manière «préventive», décrivant ce mouvement comme un effort visant à renforcer les défenses contre l'Iran.
La mesure a été fustigée par le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif.
«L'accroissement de la présence américaine dans notre région est très dangereux et constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales à laquelle il faut faire face», a affirmé M.Zarif avant son départ du Pakistan où il effectuait une visite.
Soudan: le pouvoir militaire dit «soutenir» Riyad contre l'Iran
Le chef adjoint du Conseil militaire au pouvoir au Soudan a affirmé le «soutien» de son pays à l'Arabie saoudite face à son rival iranien, lors d'une rencontre avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, a indiqué vendredi l'instance militaire.
Les deux hommes se sont rencontrés à Jeddah dans l'Ouest de l'Arabie saoudite, avait rapporté plus tôt dans la journée l'agence officielle saoudienne SPA. Le Conseil militaire a pris le pouvoir au Soudan après le renversement par l'armée du président Omar el-Béchir, après plusieurs mois d'un mouvement de contestation inédit. Les manifestants réclament désormais le transfert du pouvoir aux civils mais les négociations entre les deux parties piétinent.
«Le chef adjoint du Conseil militaire (Mohamad Hamdan Daglo, surnommé »Himeidti«) a affirmé le soutien du Soudan à l'Arabie saoudite contre toutes les menaces et attaques de l'Iran et des milices Houthis» yéménites, est-il précisé dans un communiqué du Conseil militaire. Il s'agit de la première prise de position importante du Conseil sur la scène internationale.
Note: j'aimerais bien avoir l’avis du "calife" Erdogan ! il se rangera avec qui en cas de conflit ? Voyons
C 5 - Q 86
Par les deux testes, & trois bras separés,
La cité grande sera par eaux vexee:
Des grands d'entr'eux par exil esgarés,
Par teste perseBisance fort pressee.
Par les deux chefs unies (Iran & Syrie !) & trois autres séparés (Égypte, Irak et ?)
La grande cité d’Istanbul sera vexée par les troubles (venant de l’étranger)
Certains grands devront s’exilaient Par chef de l’Iran, la Turquie sera fort pressée de rejoindre la révolution
C 5 - Q 25
Le prince Arabe Mars, Sol, Venus, Lyon,
Regne d´Eglise par mer succombera : Devers la Perse bien pres d´un million Bisance, Egipte, vers. Serp. inuadera.
Le prince Arabe , Mars, Soleil , Venus , Lyon,
Règne d’Église ( le trône de saint Pierre a Rome ) par la mer succombera
Au coté de l'Iran bien près d'un million (de soldats) Turquie , Égypte , Serpent envahira
Ventes d'armes à Riyad : Washington invoque «l'agression iranienne», le Congrès proteste
Donald Trump a confirmé de nouvelles ventes d'armes à l'Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis arguant de «l'agression iranienne» pour se passer de l'avis du Congrès. Celui-ci a immédiatement réagit contestant la décision et la méthode employée.
L'administration américaine de Donald Trump a annoncé le 24 mai de nouvelles ventes d'armes à l'Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis, en invoquant «l'agression iranienne» pour contourner un Congrès de plus en plus hostile à l'attitude de Riyad. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a confirmé le recours à une procédure d'«urgence» pour débloquer 22 contrats d'armement en souffrance, qui concernent également la Jordanie, pour un montant total d'environ 8,1 milliards de dollars.
Cela va «soutenir nos alliés, renforcer la stabilité du Moyen-Orient et aider ces nations à faire de la dissuasion et à se défendre de la République islamique d'Iran», a affirmé Mike Pompeo, promettant de n'avoir recours qu'une seule fois à cette procédure contestée. Accusant les élus d'avoir bloqué la fourniture de munitions et d'assistance à l'entretien d'avions militaires ces derniers mois, il a estimé que le partenariat avec ces pays arabes était une «pierre angulaire» de la «stratégie de sécurité nationale des Etats-Unis».
Pourquoi les USA ont brusquement augmenté leurs achats de pétrole russe
Depuis début mai, les compagnies US ont acheté 5 millions de barils de pétrole Urals - une quantité comparable à l'ensemble des exportations de pétrole russe aux USA depuis le début de l'année. Cette montée en flèche résulte d'une forte pénurie de matières premières à cause des sanctions américaines contre le Venezuela.
L'inculpation d'Assange, un dangereux précédent pour les journalistes?
L'inculpation du fondateur de WikiLeaks Julian Assange pour avoir obtenu et publié des informations confidentielles menace-t-elle la sacro-sainte protection des journalistes américains? Beaucoup de juristes le craignent, qui estiment que les reporters risquent désormais des poursuites pénales pour leur travail de sources.
Seize des 17 chefs d'accusation a présentés jeudi par le ministère américain de la Justice contre le ressortissant australien, actuellement détenu au Royaume-Uni, concernent l'obtention et la diffusion d'informations classifiées.
Il s'agit de documents militaires et diplomatiques obtenus par l'entremise de Chelsea Manning, ex-analyste américaine condamnée en 2013 pour avoir été à l'origine de cette fuite.
EN DIRECT - Explosion à Lyon : "Aucune revendication" à ce stade, selon le procureur de la République
EXPLOSION À LYON - Une explosion a eu lieu vendredi 24 mai rue Victor-Hugo dans le centre de Lyon. Au moins 13 personnes ont été blessées. Un individu d'une trentaine d'années est recherché, un appel à témoins a été lancé pour le retrouver. Le parquet antiterroriste de Paris s'est saisi de l'enquête. Les dernières infos en direct.
DE NOUVELLES PHOTOS
Le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz vient d'indiquer que de nouvelles photos du suspect allaient êtres diffusées.
AUCUNE REVENDICATION
Ont été trouvées sur le sol notamment des vis de 2cm, des billes en métal, 7 piles de type LR6, un circuit imprimé, un dispositif de déclenchement à distance...
"A l'instant où je vous parle, cet acte n'a donné lieu à aucune revendication"
Rémy Heitz, procureur de la République de Paris.
90 ENQUÊTEURS
"Dès hier soir 90 enquêteurs ont été mobilisés" Rémy Heitz, procureur de la République de Paris.
13 BLESSÉS DANS 3 HOPITAUX
" 11 blessés ont été hospitalisés et pris en charge dans 3 hôpitaux" Rémy Heitz
DEUX PATIENTES TOUJOURS AUX URGENCES
"Il n’y a aucune mise en jeu du pronostic fonctionnel. Nous avons été réactifs. Cinq patients (sur les 13 blessés), ont été admis dans le service. Deux patientes sont encore hospitalisées aux urgences. Les soins sont en cours. Il y a des blessures par des corps étrangers qui méritent une exploration des lésions", vient de préciser le Docteur Sylvie Méran, responsable des urgences de l’hôpital Saint Joseph Saint Luc de Lyon.
Le médecin précise que l’hôpital a fait en sorte que des médecins psychiatres soient présents ce samedi pour écouter, s’ils le souhaitent, les blessés et leurs proches.
Ce matin, Gérard Collomb a pu à s'entretenir avec l'une des victimes. Celle-ci est, selon le maire "extrêmement choquée".
GERARD COLLOMB DONNE DES DÉTAILS
Selon le maire de Lyon qui s'est rendu ce matin rue Victor Hugo, l'engin utilisé par le suspect est un"un engin sophistiqué qui ne contient pas beaucoup d'explosifs"
Gérard Collomb, qui vient de s'exprimer depuis sa ville, a ajouté que "Les caméras de la ville permettent de voir le parcours du suspect". "On trouvera peut-être là des éléments d'indice (...) On devrait pouvoir trouver un certain nombre de témoignages", a assuré l'édile.
"On est dans une ville paisible, calme, et tout d'un coup arrive cette attaque, attaque qui reste à expliquer dans les temps qui viennent", a poursuivi le maire et ancien ministre de l'Intérieur rappelant que de "nombreux enquêteurs étaient à l'œuvre" pour tenter de retrouver le suspect.
Sur le profil de l'individu, le maire de Lyon a déclaré : "On ne va pas tous les jours poser un engin explosif en bermuda avec un vélo". L'élu laisse au procureur le soin de qualifier l'attaque, pour voir s'il s'agit ou non d'un acte terroriste.
Enfin, interrogé sur la fuite du suspect, le maire a précisé :
"On a perdu sa trace vers le quai Claude Bernard à hauteur des Universités".
Note; Un attentat en pleine élection européenne, j’attends d'en savoir plus pour accusé qui que se soit (Lyon reste quand mm une ville avec une grande population musulmane)
Lla bombe était constituée de clous, de vis, et de boulons , cela me rappelle les attentats de 1986 en lien direct avec les iraniens
La photo de l’homme à l’origine de l’explosion à Lyon publiée
Montpellier (34) : Trois migrants mineurs algériens agressent et dépouillent une femme âgée de 91 ans
Une piétonne âgée de 91 ans a été violemment agressée jeudi, vers 18h30, dans la rue Marceau, entre le cours Gambetta et le boulevard du Jeu de Paume, à Montpellier. Elle marchait sur le trottoir, non loin de son domicile, quand elle a été encerclée par trois adolescents.
Deux l’ont empoignée, tandis que le troisième lui arrachait le collier en or qu’elle portait autour du cou. Le trio détalait aussitôt en courant, abandonnant la nonagénaire à terre.
(…) Ces trois mineurs étrangers non accompagnés, arrivés d’Algérie ces derniers mois sont âgés de 17 ans. Ils seront déférés ce vendredi au parquet des mineurs du tribunal de grande instance de Montpellier.
(…) Une autre personne âgée a été victime d’une violente agression, jeudi, dans le hall de son immeuble, boulevard de Strasbourg, à Montpellier.
Âgée de 84 ans, elle s’est faite dérober son sac à main par de jeunes agresseurs, qui pourraient être mineurs et qui ont réussi à prendre la fuite.
Italie : deux migrants qui avaient détourné un remorqueur acquittés au motif qu’ils ont agi « en état de légitime défense »
Les deux hommes sont restés en prison pendant 10 mois pour violences, résistance aux agents publics et complicité d’immigration clandestine. Ils ont été définis par le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini et le ministre de l’Infrastructure et des Transports Danilo Toninelli, comme des « criminels », des « pirates violents » et des « fauteurs de troubles à punir sans réserve ».
(…) Aujourd’hui, comme l’a rapporté le Corriere della Sera, le tribunal de Trapani a toutefois acquitté les deux migrants, Ibrahim Tijani Bushara un Soudanais de 31 ans, et Ibrahim Amid un Ghanéen de 26 ans, qui avaient détourné en juillet 2018 le remorqueur civil Vos Thalassa qui les ramenait en Libye. Ils ont agi « en état de légitime défense », a expliqué le juge Piero Grillo. Les avocats de la défense ont fait appel devant la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg dénonçant la violation de l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme sur le droit à un procès équitable, pour les déclarations des deux représentants du gouvernement à l’encontre des migrants qui n’avaient pas encore été jugés.
C’est en juillet 2018, alors que le gouvernement vient de s’installer et que le nouveau ministre de l’Intérieur a commencé sa campagne de fermeture des ports, que les deux jeunes Africains, parmi les 67 secourus par l’équipage du remorqueur, ont détourné le navire qui les avait sauvés après avoir réalisé qu’il allait les ramener en Libye, où ils se seraient retrouvés dans un centre de détention où violence, meurtre et racket sont au rendez-vous. Ils ont donc encerclé le commandant l’obligeant à se rendre en Italie, contrairement à ce qui avait été ordonné par Rome. Les deux migrants avaient fait un signe d’égorgement, un geste interprété par le commandant comme une menace évidente.
Les récits de certains de leurs compagnons de voyage avaient alors redimensionné la version de l’équipage qui avait conduit les deux ministres à parler de « criminels qui doivent aller en prison », puisque les deux hommes avaient crié « pas la Libye, pas la Libye », imitant un égorgement pour montrer clairement que pour eux retourner au pays nord-africain signifiait mourir.
Cette dernière version était également partagée par le juge qui a alors ordonné la libération immédiate des deux hommes après les avoir acquittés. Dans ses motifs, Grillo a précisé que le fait, c’est-à-dire le détournement, ne constitue pas un crime parce qu’il s’est produit « en légitime défense » en raison de la perspective d’être ramené dans un pays peu sûr et dangereux.
Mais la sentence a aussi d’autres conséquences que l’acquittement des deux Africains. La première est qu’elle crée un précédent important sur le jugement des migrants et des organisations non gouvernementales opérant en Méditerranée, pourrait justifier la défense légitime des personnes sauvées en reconnaissant une fois de plus que la Libye n’est pas un refuge sûr. Deuxièmement, les avocats des deux parties ont annoncé un recours devant la Cour de Strasbourg, qui devra analyser l’attitude de Salvini et Toninelli dans les heures qui ont suivi le détournement. Les accusations et les propos tenus à l’encontre des deux migrants violeraient selon eux l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme sur l’équité des procès (…)
"Heureusement qu’il y avait une belle République pour accueillir des Bardella !" Ultime Débat BFMTV
Note: La belle république a aussi accueilli 17 000 individus qui sont maintenant fichés S . Et des milliers de nord africains qui ont fait des banlieues française des ghettos islamique
Interdiction du voile lors des sorties scolaires : des mères manifestent contre le projet de loi à Montpellier
Une centaine de femmes voilées a manifesté ce vendredi matin devant une école et la mairie de quartier de la Mosson à Montpellier (Hérault) pour protester contre un amendement du projet de loi « pour une école de la confiance » visant à interdire le port du voile aux accompagnatrices des sorties scolaires.
« En quoi ça dérange qu’on soit voilée dans la rue avec nos enfants? Même les maîtresses sont d’accords, elles respectent notre identité. »
Des foulards accrochés aux grilles de l’école élémentaire Léopold Sedar-Senghor à Montpellier ou agités en l’air, avec des cartes d’identité, au rythme des slogans » on est toutes françaises », « pas de foulards, pas de sorties scolaires. […]
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