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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 6 septembre 2017

 

 

DIRECT. Opération antiterroriste à Villejuif : deux hommes ont été interpellés

 

Deux hommes ont été interpellés après la découverte, dans un appartement, de produits "pouvant entrer dans la composition d'explosifs". Une enquête a été ouverte.

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Une opération anti-terroriste en cours à Villejuif: des bouteilles de gaz découvertes

 

Une camionnette a été interceptée lors d'une intervention policière au Kremlin-Bicêtre, après que de l'explosif TATP a été découvert dans un appartement de Villejuif, dans le Val-de-Marne. Une correspondante de Sputnik est sur place.

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Vladimir Poutine : «Nous ne reconnaissons pas le statut nucléaire de la Corée du Nord»

 

Après des pourparlers avec le président sud-coréen, Moon Jae-in à Vladivostok, dans l'Extrême-Orient russe, Vladimir Poutine a plaidé la modération envers la Corée du Nord et a appelé la communauté internationale à ne pas céder aux émotions.

 

Après l'essai nucléaire nord-coréen, Séoul s'arme davantage

 

Suite au dernier test d'une bombe nucléaire réalisé par Pyongyang, la Corée du Sud compte installer sur son territoire quatre batteries antimissiles THAAD supplémentaires.

Séoul a annoncé le prochain déploiement de quatre systèmes antimissiles THAAD supplémentaires en réaction au récent essai nucléaire nord-coréen, rapporte l'agence Yonhap citant le ministère sud-coréen de la Défense.

Les systèmes seront implantés jeudi sur la base de Sonju située à 300 kilomètres de Séoul.

En juillet 2016, Séoul et Washington ont convenu de déployer en Corée du Sud des batteries THAAD américaines destinées à contrecarrer les menaces balistiques venues du Nord. L'implantation de ce bouclier antimissile suscite l'irritation de Pékin qui le considère comme une menace contre ses propres capacités de dissuasion et pour la sécurité régionale.

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Le dossier nord-coréen n’est-il qu’un prétexte pour une guerre commerciale contre Pékin?

 

La Maison blanche considérera tout pays faisant des affaires avec la Corée du Nord comme complice du programme nucléaire de Pyongyang. C'est ce qu'a déclaré l'ambassadrice des USA à l'Onu Nikki Haley.

Et avant cela le président américain Donald Trump n'a pas écarté la possibilité de décréter des sanctions économiques contre les Etats partenaires de la Corée du Nord. Ces restrictions pourraient également frapper la Chine, qui représente une part majeure dans les échanges de la Corée du Nord. Si les Américains engageaient une telle démarche, les conséquences seraient catastrophiques, estiment les experts. Une guerre commerciale entre la Chine et les USA affecterait le monde entier.

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La bataille décisive pour la Syrie a déjà commencé

 

La percée du blocus de Deir ez-Zor promet-elle une prompte reprise de cette ville et peut-elle être considérée comme précurseur d'une prochaine fin de la guerre en Syrie? Interrogés par Sputnik, des experts livrent leurs opinions.

Les troupes gouvernementales syriennes ont réussi jeudi à percer le blocus de Deir ez-Zor, ville assiégée par les terroristes de Daech depuis plus de trois ans. Plus tôt dans la journée de mardi, le Président Vladimir Poutine, intervenant dans le cadre du sommet des BRICS, avait annoncé que, dans son ensemble, la situation en Syrie évaluait en faveur des troupes gouvernementales. Selon le chef d'État, la prise de Deir ez-Zor infligera une défaite sérieuse aux extrémistes de Daech. Le combat décisif pour la Syrie a commencé.

Progression sur trois fronts

La plus grande ville de l'est de la Syrie, Deir ez-Zor comptait 230.000 habitants avant le début de la guerre. Appelée par les locaux la Perle du désert, cette agglomération occupe une position stratégique sur la rive droite du fleuve Euphrate et constitue un nœud industriel et commercial important. Après la découverte de pétrole dans le désert syrien, elle est devenue le centre d'extraction pétrolière du pays. Mais ce qui importe le plus est que Deir ez-Zor est un carrefour de transport.

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En perte de vitesse en Irak et en Syrie, l'EI se replie dans le désert

 

VIDÉO. Mardi, l'armée syrienne a brisé le siège de plus de deux ans du groupe terroriste dans la zone de Deir ez-Zor, à l'est du pays. Une province riche en pétrole.

En 2014, le groupe terroriste contrôlait un tiers de l'Irak, et étendait son emprise sur la Syrie de Bachar el-Assad. Soit un territoire aussi grand que l'Italie, comptant sept millions d'habitants. Après plusieurs offensives, l'EI a perdu de nombreux territoires. Aujourd'hui, les djihadistes de l'EI sont en déroute aussi bien en Irak qu'en Syrie, et sont forcés de se replier dans le désert et la clandestinité. En Irak, l'EI a perdu 90 % de ses positions, dont la seconde ville du pays, Mossoul, l'un de ses principaux bastions depuis lequel il avait proclamé, en 2014, un "califat" à cheval sur la Syrie.

En terre syrienne, l'EI a dû céder plus de 60 % de sa capitale autoproclamée, Raqa (Nord), face à l'offensive d'une alliance de combattants arabes et kurdes soutenue par Washington (FDS). Il est aussi menacé par les troupes du régime de Bachar el-Assad dans la dernière province qu'il contrôle encore, Deir ez-Zor (Est), où l'armée syrienne est parvenue mardi à briser le siège de plus de deux ans imposé par les djihadistes à la partie gouvernementale du chef-lieu du même nom. Alors qu'il avait un temps tenu la moitié du territoire syrien, il n'en régit plus que 15 % aujourd'hui, a indiqué à l'Agence France-Presse le géographe Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie à l'université de Lyon (France).

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Armes US pour l'Ukraine: Poutine avertit Washington

 

Selon le chef du Kremlin, les livraisons d'armes létales au gouvernement ukrainien ne feront qu'aggraver la situation dans le sud-est du pays.

 
Si Washington adopte la décision de fournir les armes létales aux autorités de Kiev, cela attisera les tensions dans les zones rebelles du Donbass, estime Vladimir Poutine.

«La fourniture d'armes dans une zone de conflit ne contribuera pas au règlement pacifique et ne fera qu'aggraver la situation», a déclaré le dirigeant russe lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet des BRICS à Xiamen, en Chine.

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Trump compte expulser 750.000 enfants de migrants des USA

 

 

Donald Trump a mis fin au programme Daca adopté par son prédécesseur Barack Obama et qui avait permis à plus de 750.000 enfants arrivés illégalement aux Etats-Unis de rester sur le territoire américain sans être expulsés.

Le Président américain Donald Trump a annulé le programme qui empêchait d'expulser plus de 750 000 immigrants illégaux arrivés enfants aux Etats-Unis, annonce son administration le 5 septembre.

Le programme en question a été mis en place par l'ex-locataire de la Maison-Blanche Barack Obama en 2012 et visait à protéger les immigrés ayant franchi la frontière américaine avant l'âge de 16 ans et âgés de moins de 31 ans au 15 juin 2012. Ces anciens migrants mineurs étaient en mesure de bénéficier d'un moratoire de deux ans sur leur expulsion et étaient éligibles pour un permis de travail.

«Je ne suis pas un partisan de la punition des enfants, dont la plupart sont devenus adultes, pour les actions de leurs parents. Mais nous devons nous rendre compte que nous sommes un Etat de droit et de ce fait un pays d'opportunités», a déclaré le leader américain dans un communiqué.

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Lire aussi ; Trump met fin au programme de protection des jeunes migrants clandestins mis en place par Obama en 2012

 

 

 

En bref - L'actualité de France

05/09: (93) Procès de Mahmoude Zaier, pousseur du RER et radicalisé à l’Islam (source)
04/09: (91) Un douanier Congolais trafique des fiches S à destination du Maroc (source)
02/09: (62) Nouveaux heurts entre la police et une cinquantaine de migrants (source)
01/09: (31) Taha Mrani.A+Zakariya Banouni en procès pour le meurtre d’Eva (source)
01/09: (30) Brahim, le Marocain tente un cambriolage chez des légionnaires (source)
 

 

 

Yvelines (78) : un jeune policier entre la vie et la mort après avoir été renversé lors d’un contrôle

 

Un jeune policier a été renversé ce mercredi 5 septembre au matin un peu avant 10 heures à Vernouillet dans les Yvelines. Le policier voulait, avec ses collègues, contrôler un véhicule qui était signalé volé. Le chauffeur a refusé d’obtempérer et a foncé sur le policier qui a été grièvement blessé.

La victime a été transportée inconsciente à l’hôpital Baujon, son pronostic vital est engagé. Le chauffeur est en fuite, un homme a été interpellé. Un très important dispositif est en place pour interpeller le chauffeur en fuite.

RTL

 

 

Anne Hidalgo, cible favorite de l'extrême droite ?

 

 

Immigration illégale : les trois quarts des clandestins interpellés restent en France

 

INFOGRAPHIE – Les trois quarts des clandestins interpellés restent en France. Pour les éloigner, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, promet des moyens et une réforme du cadre juridique.

Les chiffres sont éloquents.Les «retours forcés» n’ont pas dépassé 13.000 expulsions l’an dernier, soit 16 % de moins qu’en 2015. En intégrant tous les types d’éloignements (contraints, aidés et même les départs «spontanés»), ce sont les trois quarts des clandestins qui restent donc en France.

Le Figaro

 

Hayange (57) : « Après la Fête du cochon, la ville organisera t-elle la Fête du makrout ? » s’interroge une journaliste de BFM

 

 

Salhia Brakhlia, journaliste du service politique de BFMTV, s’est invitée à Hayange à l’occasion de la « Fête du cochon ». Interrogeant le maire et des participants, elle a déploré qu’une partie de la population ne puisse se joindre aux réjouissances, en raison de leurs interdits alimentaires d’ordre religieux.

 

 

Un rapport parlementaire dénonce l’échec de l’enseignement du français aux migrants

 

 

«La formation linguistique et civique obligatoire pour les étrangers primo-arrivants en France est un échec complet!» Le sénateur Les Républicains (LR) des Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi, qui publie son deuxième rapport parlementaire sur le sujet, est catégorique. En 60 pages d’une analyse très documentée que Le Figaro a pu consulter, cet élu connu pour son franc-parler brosse un tableau peu amène du «contrat d’intégration républicaine» qui a remplacé en 2016 le «contrat d’accueil et d’intégration» créé sous Nicolas Sarkozy, en 2007. […]

Le Figaro

 

Infiltrés djihadistes dans deux ambassades de France

 

 

 

 

 

 

 

M’Jid El Guerrab, mis en examen pour violences avec arme, démissionne d’En Marche mais reste député

 

 

Le député M’Jid El Guerrab démissionne d’En Marche mais garde son poste de député. Il a été mis en examen pour violences volontaires avec arme contre le dirigeant socialiste Boris Faure. Il est accusé de l’avoir violemment agressé à coups de casque sur la tête.
– BFM TV, 5 septembre 2017,13h48

 

Brexit: Le Royaume-Uni pourrait supprimer la libre circulation pour restreindre l’immigration et le regroupement familial

 

Selon le quotidien britannique «The Guardian», Londres pourrait aussi réduire le nombre d’immigrants européens peu qualifiés.

Le Royaume-Uni pourrait être amené à supprimer la libre circulation des travailleurs immédiatement après sa sortie de l’Union européenne (UE) en 2019 et mettre en place des mesures pour réduire le nombre d’immigrants de l’UE peu qualifiés, selon des informations exclusives du quotidien britannique The Guardian, publiées mardi 5 septembre. Le journal s’appuie sur un document de travail gouvernemental de 82 pages, daté du mois d’août, consultable en intégralité sur son site internet.
«En gros, pour être considérée comme avantageuse pour l’ensemble du pays, l’immigration ne doit pas seulement bénéficier aux migrants. Elle doit aussi profiter aux résidents», résument Nick Hopkins et Alan Travis, les deux journalistes qui se sont procuré ce texte.

Des milliers de familles séparées

Le gouvernement envisage l’introduction progressive d’un nouveau système qui supprimera pour la plupart des immigrés européens la possibilité de s’installer au Royaume-Uni et instaurera de nouvelles restrictions sur le regroupement familial. «Ceci pourrait amener des milliers de familles à être séparées», soulignent les auteurs de l’article.

Les personnes possédant des emplois hautement qualifiés pourront se voir remettre des permis de travail pour des périodes allant de trois à cinq ans.

Suite de l’article sur lemonde.fr

 

 

 

Birmanie: Aung Suu Kyi dénonce la «désinformation» sur la crise des Rohingyas

 

 

Aung San Suu Kyi sort de son silence. La chef du gouvernement birman et prix Nobel de la paix a dénoncé ce mercredi un « iceberg de désinformation » dans la crise des musulmans rohingyas.

« Ce genre de fausse information est seulement la partie émergée d’un énorme iceberg de désinformation », a-t-elle déclaré lors d’un échange téléphonique avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, publié par son service de presse.
« Nous ferons en sorte que tous les habitants de notre pays voient leurs droits protégés »
Elle se référait à la publication de photos à l’authenticité douteuse publiées fin août par le vice-Premier ministre turc Mehmet Simsek, qui dénonçait un « nettoyage ethnique ». Il avait retiré les photos, mais l’affaire fait scandale en Birmanie, où la majorité bouddhiste, dont fait partie Aung San Suu Kyi, accuse la communauté internationale, notamment les médias étrangers, d’avoir un parti pris pro-rohingya.

« Nous savons bien mieux que d’autres ce que c’est que d’être privés de droits et de protection démocratique », a déclaré Aung San Suu Kyi dans une allusion à ses années de lutte contre la junte militaire et d’assignation à résidence. « Nous ferons en sorte que tous les habitants de notre pays voient leurs droits protégés », s’est-elle engagée.
En 11 jours, près de 125.000 personnes, pour la plupart des musulmans rohingyas, ont fui les violences en Birmanie pour se réfugier au Bangladesh voisin, selon les derniers chiffres de l’ONU. Les combats entre rebelles musulmans et forces birmanes ont fait depuis le 25 août au moins 400 morts, quasiment tous des musulmans.
20minutes.fr

 

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Le 5 septembre 2017

 

 

La Corée du Nord promet de nouveaux «cadeaux» à Washington

 

Alors que le Conseil de sécurité des Nations unies s'est réuni lundi en urgence pour s'accorder sur une réponse au sixième essai nucléaire nord-coréen, la Russie et la Chine ont appelé à l'apaisement. Toutefois, les propos belliqueux se multiplient aux États-Unis comme en Corée du Nord.

Deux jours après le sixième essai nucléaire nord-coréen. l'ambassadeur de Corée du Nord à l'ONU à Genève, Han Tae-song, a déclaré ce mardi que son pays était prêt à envoyer d'autres «cadeaux» à Washington. «Les récentes mesures d'autodéfense prises par mon pays, la République populaire démocratique de Corée (RPDC), sont un “cadeau” adressé seulement aux Etats-Unis», a-t-il déclaré lors d'une conférence des Nations unies sur le désarmement.

«Les Etats-Unis recevront d'autres “cadeaux” tant qu'ils continueront leurs provocations irresponsables et leurs futiles tentatives de faire pression sur la Corée du Nord», a-t-il ajouté. Le diplomate nord-coréen estime que pressions et sanctions n'auront aucune influence sur son pays, ajoutant que Pyongyang ne négociera jamais sur son arsenal de dissuasion nucléaire.

Avec cet essai nucléaire, la Corée du Nord a une nouvelle fois défié la communauté internationale, a soutenu pour sa part Robert Wood, ambassadeur des Etats-Unis à l'ONU à Genève. «Nous réfléchissons actuellement avec nos partenaires du (Conseil) de sécurité à une nouvelle résolution qui pourrait sanctionner le plus fortement possible la Corée du Nord», a-t-il dit à la conférence sur le désarmement. «Les avancées du régime sur son programme nucléaire et balistique sont une menace pour tous (...) Les tests, les menaces et les actions de déstabilisation ne seront plus tolérés», a-t-il poursuivi.

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Armes, charbon, fer : l'ONU multiplie les sanctions à l'égard de la Corée du Nord

 

Après le sixième essai nucléaire réalisé par la Corée du Nord ce week-end, les Etats-Unis ont annoncé, lundi, leur intention de présenter au Conseil de sécurité de l'ONU, un projet de résolution sur de nouvelles sanctions à l'encontre de Pyongyang.

> Lire aussiLa Corée du Nord affirme avoir testé une bombe H

L'Organisation des Nations Unies a imposé au régime de Kim Jong-un sept séries de sanctions, chaque fois plus sévères et ce depuis 2006, date à laquelle Pyongyang a réalisé son premier test atomique. Les essais se sont poursuivis en 2009, 2013 puis en 2016 et 2017. Cette dernière sanction a visé à priver le pays de 1 milliard de dollars de recettes provenant de ses exportations de fer, charbon et de sa pêche.

Embargo sur les armes

Après le test atomique, le Conseil de sécurité des Nations unies a décrété, dans un premier temps, un embargo sur les armes et a interdit l'importation et l'exportation de certains équipements et technologies, afin d'empêcher Pyongyang de mener des essais nucléaires ou de lancer des missiles balistiques. Un embargo qui a été étendu, en 2009, à tous les équipements militaires aux transactions financières et aux formations techniques liées à la fourniture et à l'utilisation d'armes et de technologie nucléaire et balistique.

En 2013, ces restrictions ont été renforcées pour permettre aux pays de transit de saisir et de détruire tout équipement lié aux programmes d'armement nord-coréens.

Voyages et produits de luxe

L'ONU a créé en 2006 un "Comité des sanctions", chargé de dresser une liste noire de personnalités et d'entités soupçonnées de fournir de l'aide aux programmes militaires interdits de Pyongyang.

Ces sanctions consistent en une interdiction de voyager, qui touche aussi les familles des personnes sanctionnées, et un gel d'avoirs.

Ce régime a été étendu en 2013 aux individus ou entités qui aideraient la Corée du Nord à échapper aux sanctions. L'ONU a aussi invité tous les pays membres à ne plus vendre de produits de luxe aux dignitaires du régime communiste.

Exportations

Le 2 mars 2016, le Conseil de sécurité a alourdi les sanctions économiques et imposé un contrôle systématique de tous les cargos au départ ou à destination des côtes nord-coréennes. La résolution a interdit les exportations de charbon, de fer et de minerai de fer, sauf si les revenus générés sont utilisés pour la "subsistance de la population nord-coréenne".

Pyongyang a aussi interdiction de vendre de l'or, du titane et des minerais rares utilisés dans la haute technologie et ne peut plus se procurer de carburant pour l'aviation et pour les fusées.

Le 30 novembre, l'ONU a resserré l'étau des sanctions, en plafonnant les exportations nord-coréennes de charbon vers la Chine.

Le 5 août, de nouvelles sanctions encore plus sévères sont décidées à l'unanimité pour priver Pyongyang de revenus tirés de ses exportations de charbon, fer, minerai de fer, plomb et de sa pêche.

La Chine, vers qui 90% des exportations nord-coréennes sont destinées, promet de respecter les nouvelles sanctions.

> Lire aussi : Commerce : les échanges entre la Chine et la Corée du Nord en hausse

Des sanctions inefficaces ?

Experts et diplomates s'accordent à penser que les sanctions n'ont qu'un impact limité et ne sont qu'un des outils dans la panoplie dont dispose la communauté internationale vis-à-vis de la Corée du Nord.

Selon un rapport de l'ONU, devant être rendu public incessamment, plus des sanctions sont imposées et plus la Corée du Nord réussit à les contourner. Ses moyens, selon des diplomates ayant eu accès au rapport, sont toujours plus variés : utilisation de pays tiers ou de sociétés écrans, changement régulier des immatriculations de bateaux, fausses appellations sur les cargaisons, etc.

Outre les sanctions internationales prises à l'ONU, les Etats-Unis, l'Union européenne et le Japon ont décidé d'une multitude de sanctions individuelles.

Source 

 

Lire aussi : Corée du Nord : 70 ans d’escalade de la violence

 

 

Le grand jeu chinois

 

Derrière la menace nord-coréenne, on trouve l'affrontement Chine-Etats Unis. Kim Jong-un relance malgré lui la guerre des étoiles. Faisons un rapide tour du théâtre des opérations. Notre expert Waldemar Brun-Theremin vous livre son analyse dans ce nouveau Momentum, votre incontournable rendez-vous financier !

 

 

 

Corée du Nord : Poutine met en garde contre une «catastrophe planétaire coûteuse en vies humaines»

 

Le président russe Vladimir Poutine s'est inquiété de la surenchère militaire dans la crise nord-coréenne. Il a également mis en garde contre une «catastrophe planétaire» qui pourrait, selon lui, coûter la vie à de nombreuses personnes.

Corée du Nord : Poutine met en garde contre une «catastrophe planétaire coûteuse en vies humaines»

Lors de la conférence de presse finale du sommet des BRICS, qui se tenait en Chine le 5 septembre, le président russe Vladimir Poutine a réagi aux tensions qui agite le dossier nord-coréen. Le chef d'Etat russe s'est notamment dit inquiet des conséquences que pourrait avoir une escalade militaire de cette crise.

Dénonçant le risque d'une «hystérie militaire» autour de la question nord-coréenne, Vladimir Poutine a estimé qu'elle pourrait bien conduire à une «catastrophe planétaire coûteuse en vie humaines», évoquant un éventuel conflit armé entre Washington et Pyongyang, alors que ce dernier a annoncé avoir réalisé le 3 septembre dernier un tir nucléaire. Selon lui, une telle voie serait «sans issue».

Par ailleurs, Vladimir Poutine a estimé que d'éventuelles sanctions économiques contre Pyongyang, évoquées notamment par Donald Trump récemment, seraient inutiles. «Ils mangeront de l'herbe, mais ils ne changeront pas de politique tant qu'ils ne se sentiront pas en sécurité», a déclaré le président russe. La Corée du Nord justifie en effet le développement de son programme nucléaire par la menace dont elle s'estime l'objet de la part des Etats-Unis.

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Kim Jong-un : la stratégie du fou, jusqu’où ?

Kim Jong-un : la stratégie du fou, jusqu’où ?

Acculée au mur, la Corée du Nord pourrait s'enfermer dans une logique suicidaire, risquant une guerre avec les Etats-Unis, guerre qui anéantirait la Corée du Sud et le Japon. L'analyste Philippe Migault livre des pistes pour éviter un tel scénario.

L’essai nucléaire conduit par la Corée du Nord hier matin est lourd de significations.

Survenant après le survol du Japon par un missile nord-coréen le 29 août dernier, il démontre que Kim Jong-un est déterminé à poursuivre le bras de fer qui l’oppose à Donald Trump, sans se laisser impressionner par les multiples tentatives d’intimidation américaines. L’envoi d’un groupe aéronaval de l’US Navy en mai dernier au large de la péninsule coréenne, les simulations de frappes conduites sur zone, le même mois, par des bombardiers stratégiques américains B-1B, n’ont pas eu plus d’effet dissuasif vis-à-vis de Pyongyang que les récentes manœuvres conjointes de l’armée sud-coréenne et de ses alliés américains.

Ce test signifie, aussi, que la Corée du Nord accélère le rythme de son programme nucléaire et balistique. Avec un deuxième essai nucléaire, en deux ans, des essais de missiles de plus en plus fréquents et aboutis, le pays prouve qu’il a, chaque jour davantage, les moyens de ses ambitions atomiques.

L'éventualité d’une frappe préventive américaine, qui aurait sans doute des conséquences dramatiques, et ce bien au-delà de la péninsule coréenne, semble de moins en moins invraisemblable

Il met, enfin, les Etats-Unis et les principales puissances de la région – Japon, Corée du Sud, Chine, Russie – dans l’embarras. Puisque les menaces ne semblent guère plus efficaces que les sanctions successives contre la Corée du Nord, les options susceptibles d’amener celle-ci à composition semblent de plus en plus restreintes. L’éventualité d’une frappe préventive américaine, qui aurait sans doute des conséquences dramatiques, et ce bien au-delà de la péninsule coréenne, semble de moins en moins invraisemblable.

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Corée du Nord : la riposte nucléaire, coup de bluff de Donald Trump

 

Donald Trump enclenche la vitesse supérieure. Après le sixième test nucléaire de la Corée du Nord survenu dimanche, le président américain a menacé le régime d’une "riposte militaire". Une mise en garde sévère dans laquelle la Maison-Blanche n’exclut pas d’utiliser ses "capacités nucléaires" contre Pyongyang. Tout en s’en prenant violemment à la Corée du Sud qu’il juge trop diplomate avec son frère ennemi, Donald Trump s’est encore une fois positionné comme un chef des armées prêt à en découdre. Mais dans les faits, ce choix de l'option nucléaire ressemble surtout à un coup de poker d’un président sans grande marge de manœuvre face à un dictateur entêté.

Mais viser directement Pyongyang en utilisant les capacités nucléaires des Etats-Unis mettrait le monde au bord de la troisième guerre mondiale et rappellerait de douloureux souvenirs. Interrogé par le JDD, Jean-Vincent Brisset, directeur de recherche à l’Iris et spécialiste des questions de défense, exclut ainsi une frappe nucléaire qui mettrait le dirigeant américain “au pilori” de la communauté internationale.

 

Donald Trump envisage une réponse militaire contre la Corée du Nord.

Donald Trump pourrait opter pour des frappes ciblées

C'est pourquoi Donald Trump pourrait choisir une riposte militaire "simple". Avec 28.500 militaires américains déployés en Corée du Sud, les Etats-Unis disposent sur place d’une force humaine et technologique considérable. C'est pourquoi Jean-Vincent Brisset juge cette option "probable". Selon lui, le président américain pourrait choisir de viser des monuments emblématiques du pays, comme les célèbres statues des anciens leaders Kim Il-sung et Kim Jong-il.

Le chercheur note toutefois qu'une telle action militaire nécessite l'accord de Pékin. Une approbation qui semblait improbable il y a quelques mois mais qui ne l’est plus autant aujourd’hui. La Chine a en effet finalement accepté la mise en place de sanctions économiques contre son allié nord-coréen, même si celles-ci sont pour l’instant inefficaces. Le régime chinois pourrait donner son aval à des frappes ciblées, dans le but notamment de conserver de bonnes relations avec Donald Trump, la relation sino-américaine s'étant redessinée avec l'arrivée du républicain à la Maison-Blanche.

Une analyse nuancée par la déclaration de l'ambassadeur chinois à l'ONU lundi soir lors d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité. Pékin estime que la crise avec la Corée du Nord "doit être résolue de manière pacifique" et prône un "dialogue" avec la Corée du Nord qui devrait permettre "une dénucléarisation de la péninsule coréenne", a-t-il ainsi assuré. Le diplomate a réitéré la proposition faite conjointement avec la Russie de mettre un terme aux manœuvres militaires opérées par les Etats-Unis et la Corée du Sud, en échange d'un arrêt des programmes d'armement nord-coréens. Une hypothèse rejetée par Washington. 

Un ex-conseiller d'Obama prône la diplomatie

L'option militaire est très loin de faire l'unanimité. Sur Twitter, un ancien conseiller militaire de Barack Obama, Jon Wolfsthal, juge que Donald Trump aurait tout faux en choisissant de frapper le régime de Kim Jong-un. Pour lui, "la seule option viable est de parler avec la Corée du Nord".

Source

 

 

Corée du Nord : Trump veut vendre à la Corée du Sud de "milliards de dollars" de matériel militaire

 

Un accord juteux sur fond de tensions croissantes avec le régime de Pyongyang, ennemi commun des Etats-Unis et de la Corée du Sud. Lundi 4 septembre, Donald Trump a discuté avec son homologue sud-coréen, Moon Jae-In, d'une éventuelle vente à Séoul de plusieurs milliards de dollars de matériel militaire. "Le président Trump a donné son accord de principe pour l'achat par la Corée du Sud aux Etats-Unis d'équipements militaires et d'armes d'une valeur de plusieurs milliards de dollars", a indiqué la Maison Blanche, sans aucune précisions sur la nature des contrats évoqués, ni sur leur nouveauté. 

Lors de leur échange téléphonique, les deux dirigeants ont souligné "la grave menace que représente pour le monde entier la dernière provocation de la Corée du Nord", selon le compte-rendu de la Maison Blanche.

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Lire aussi : La Corée du Nord va-t-elle tirer un nouveau missile ? La Défense sud-coréenne s'en inquiète

 

Menace nord-coréenne: après la bombe à hydrogène, une arme électromagnétique?

 

Sans pouvoir reprendre leur souffle entre chaque essai nord-coréen, les États-Unis se trouvent maintenant confronté à une autre menace, affirme le Daily Mail. Il s'agit d'une possible impulsion électromagnétique (IEM) lancée par Pyongyang, capable de perturber le réseau électrique et les télécommunications sur le continent américain.

Le dernier test nord-coréen d'une bombe à hydrogène a éveillé l'inquiétude concernant une impulsion électromagnétique (IEM) capable de détruire les réseaux électriques aux États-Unis, indique le Daily Mail. Si la bombe testée dimanche pourrait rayer une ville de la carte, l'IEM est susceptible de semer le chaos sur une zone beaucoup plus vaste.

Pyongyang
L'agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA) a mis en garde contre l'utilisation d'une «bombe nucléaire possédant une énorme force destructrice, qui peut être déclenchée à de hautes altitudes pour une attaque superpuissante à impulsion électromagnétique».

L'IEM, une émission d'ondes électromagnétiques brève et de très forte amplitude, survenue haut dans l'atmosphère, par exemple, à une altitude de quelque 400 km, est capable de détruire de nombreux appareils électriques et électroniques à peu près partout sur le continent américain.

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Israël entame ses plus grands exercices militaires depuis 19 ans

 

Des dizaines de milliers de soldats israéliens participent à des exercices militaires massifs simulant un conflit avec le mouvement libanais Hezbollah. Les plus grandes manœuvres israéliennes depuis 19 ans débutent mardi dans le nord du pays.Pendant les dix prochains jours, les unités régulières et les réservistes de l'armée de terre, l'aviation et la marine, ainsi que les forces spéciales et les services de renseignement d'Israël s'entraîneront à repousser des attaques de combattants du Hezbollah. Au programme de ces grandes manœuvres dont le mouvement chiite libanais est l'ennemi déclaré, figurent aussi l'évacuation de civils victimes d'attaques à la roquette et des opérations offensives visant à détruire complètement l'ennemi potentiel.

«Ce sont les exercices les plus grands et les plus importants que l'Armée de défense d'Israël mène depuis ces 19 dernières années», annonce le service de presse de l'armée du pays.

Les militaires précisent que les manœuvres permettront de tester dans des conditions proches des combats diverses innovations techniques, y compris des voitures et des robots télécommandés.

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Moscou pourrait renvoyer 155 diplomates américains supplémentaires

 

Dans le sillage de la crise diplomatique avec les États-Unis, la Russie pourrait demander à 155 diplomates américains supplémentaires de quitter le pays. Cependant, une telle décision est conditionnée à l'évolution de la situation.

Lire l'article

 

 

87000 réfugiés rohingyas au Bangladesh

Ils sont des dizaines de milliers à *chercher refuge au Bangladesh*. *87 000 Rohingyas ont fui la Birmanie*, d'après l'ONU depuis le 25 août. *20 000 personnes* sont *bloquées à la frontière* et espèrent la franchir. Ces familles ont pris la route de l'exil pour échapper aux violences dont leur *communauté musulmane* est victime en Birmanie, où le *nationalisme bouddhiste* fait loi.

 

Notes : De 87 000 Rohingyas  on passe a 123 milles dans le Monde !

Plus de 123 000 Rohingya réfugiés au Bangladesh pour fuir les violences en Birmanie

 

 

« Qui sème l’islam récolte la charia » : une banderole des identitaires sur le toit d’un lycée islamique à Amsterdam

 

Deux identitaires portant des masques ont grimpé sur le toit d’un nouveau lycée islamique à Amsterdam et ont suspendu une banderole anti-islam sur la façade lundi matin.

Traduit en français, la bannière dit : « Qui sème l’Islam, récoltera la Charia« . Selon AT5, une autre bannière où l’on pouvait lire « Le salafisme n’est pas le bienvenu » a été jetée au sol lorsque certains employés de l’école sont montés sur le toit et ont tenté d’empêcher les deux hommes de la brandir.

NL Times

 

 

Paris : trafic de fiches S à destination du Maroc

 

Mis en examen pour corruption, un capitaine de la police aux frontières, d’origine congolaise, travaillant à l’aéroport d’Orly est soupçonné d’avoir fourni illégalement des informations au directeur d’une société de « sécurité » à Orly, travaillant pour les « services » marocains.

Charles D. est né et a grandi au Congo, qui s’appelait alors le Zaïre. Il n’arrive en France qu’au début des années 80 comme demandeur d’asile, c’est un capitaine de police à la dérive. Driss A est à la fois un dirigeant d’entreprise matois doublé d’un agent de renseignement marocain. C’est l’étonnant attelage qui a permis au royaume chérifien d’espionner la France en récupérant des informations confidentielles, en toute illégalité. La justice française, qui travaille depuis un peu plus d’un an sur l’affaire, a établi un premier scénario : le fonctionnaire de la police aux frontières d’Orly, retourné par les services secrets marocains, leur transmettait des informations ultrasensibles en échange de voyages tous frais payés. […]

Libération

 

 

Éric Ciotti (LR) : « Il faut limiter le nombre des étrangers que l’on accueille, par réalisme »

 

 

Le député Les Républicains des Alpes Maritimes est l’invité de Jean-Jacques Bourdin ce lundi 04 septembre.

 

 

 

Nice: La justice contraint le préfet à enregistrer la demande d’asile de migrants renvoyés en Italie

 

Roya Citoyenne ne se sépare plus de ses caméras. En filmant à nouveau une de ses actions, le collectif estime démontrer une entrave aux demandes d’asile. C’est à ce motif que l’association a saisi le tribunal administratif de Nice. L’instance vient d’ordonner au préfet des Alpes-Maritimes d’enregistrer la demande d’asile de migrants renvoyés illégalement en Italie.
Sur les images tournées le 22 août, douze migrants, dont un mineur, se rendent à la gare de Breil pour prendre le train vers Nice afin de déposer une demande d’asile. Interpellés, « ils seront réadmis en Italie avec un refus d’entrée », affirme le collectif. De leur côté, les services de l’Etat estiment ne pas avoir violé la loi, les arrestations ayant été réalisées sur un PPA (point de passage autorisé).

« Atteinte grave à la liberté fondamentale »
Considérant les migrants « illégalement empêchés de présenter une demande d’asile en France », le tribunal administratif de Nice considère que « l’administration porte une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale que constitue le droit d’asile », rapporte la figure de l’action envers les réfugiés dans la vallée de la Roya, Cédric Herrou.
La préfecture a trois jours pour leur délivrer un dossier de demande d’asile.

20minutes

 

 

 

Charlotte d’Ornellas évoque les journalistes qui ne disent pas la réalité «pour ne pas faire le jeu du FN»

 

Charlotte d’Ornellas : «Le propos “On ne dit pas la réalité parce que ça va faire le jeu du Front National” est souvent moqué sur les réseaux sociaux. Mais on s’en fiche que ça fasse le jeu d’untel ou untel ! Est-ce que c’est comme ça ou non dans la réalité ?»
– CNEWS, 5 septembre 2017, 9h44

«Il y a chez les journalistes un unanimisme souvent politique ou sur les choses, sur la manière dont on regarde la réalité, sur ce qu’on doit dire ou pas dire. Je vais prendre un exemple qui est souvent moqué sur les réseaux sociaux : “On ne dit pas la réalité parce que ça va faire le jeu du Front National”. Combien de fois ça a été repris en disant “Mais en fait on s’en fiche que ça fasse le jeu d’untel ou untel ! Est-ce que c’est comme ça ou non dans la réalité ? C’est ça qu’on vous demande de faire”. Et le problème, c’est que souvent les journalistes, quand on leur parle objectivité ou honnêteté, il y en a beaucoup, en tout cas trop, qui répondent “Mais on a aussi un devoir de responsabilité”. Mais de quelle responsabilité on parle ? Sur le discours sur la réalité ? Mais les gens sont grands, ils en feront ce qu’ils voudront. Et c’est souvent ça qui est reproché.»

 

 

 

Rimini (Italie) : viol d’une Polonaise, un réfugié congolais, un Nigérian et deux Marocains interpellés

 

Un réfugié congolais ayant l’autorisation de rester en Italie pour raisons humanitaires a été interpellé ce dimanche à bord d’un train par la police. Il est le dernier d’une bande de quatre jeunes hommes soupçonnés d’avoir violé une touriste polonaise sur une plage, battu son compagnon et violé une Péruvienne une heure plus tard à peine dans la même ville italienne de Rimini, ont déclaré les autorités.

 

 

 

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