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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 14 déc 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : « Si le président français ne veut pas nous parler, chez nous on dit ''si c'est non, c'est non'' », déclare Poutine...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Une semaine après avoir annoncé son intention de se maintenir au pouvoir au moins jusqu’en 2030, Vladimir Poutine se présente devant la presse ce jeudi. Il répond aux questions, triées par le Kremlin, de journalistes et de citoyens pour faire le « bilan de l’année ».
  • Les dirigeants européens vont, eux, chercher jeudi à convaincre l’inflexible Premier ministre hongrois Viktor Orban d’accepter que l’UE ouvre des négociations d’adhésion avec l’Ukraine et de renoncer à son veto sur une aide cruciale à ce pays en guerre. « Sommet très difficile », « réunion complexe », négociations qui peuvent déborder au-delà de vendredi, diplomates et dirigeants européens déjà sur place mercredi se préparaient à de longues heures de discussions.
  • A la mi-journée, Volodymyr Zelensky a appelé les dirigeants européens réunis en sommet à Bruxelles à permettre l'ouverture de négociations d'adhésion avec son pays, avertissant que Vladimir Poutine exploiterait tout échec de leur part. « N'offrez pas à Poutine cette première -et seule- victoire de l'année », a-t-il exhorté, estimant que « l'heure n'était pas aux demi-mesures ou à l'hésitation »
Vers une guerre de religion, infos du 14 décembre 2023

 

13h10 : « Si la France est intéressée, nous répondrons »

L'envoyé spécial de TF1-LCI, Jérôme Garro, a pu interroger Vladimir Poutine, lui demandant quelles seraient les conditions qui rendraient à nouveau possible les discussions avec Emmanuel Macron. 


 

Le président russe a rappelé « les relations de travail » qui ont eu lieu précédemment, soulignant « un agenda international intense aussi bien dans nos relations bilatérales que dans les relations internationales », mais assurant qu'à un moment donné « c'est le président de la France qui les arrêtées », puis il a répondu :  « Si la France est intéressée, nous répondrons. S’il n’y a pas d’intérêt, nous nous en passerons. (…) Nous ne déclinons pas les contacts, mais si les pays européens et notamment le président français ne veut pas nous parler... si c’est non, c’est non, comme on dit chez nous. En revanche, s’il y a un intérêt, alors nous sommes prêts. »

 

12h57 : « S'assurer que le président Poutine comprenne qu'il n'est pas en train de gagner »

Les dirigeants de l'UE sont réunis de leur côté jeudi à Bruxelles pour décider, entre autres, d'une aide à l'Ukraine de 50 milliards d'euros, à laquelle la Hongrie de Viktor Orban s'oppose toujours. « Mettre un terme à l'assistance militaire à l'Ukraine ne ferait que prolonger la guerre et n'y mettrait pas fin », a encore averti Stoltenberg,

« La seule façon d'obtenir une paix juste et durable est de convaincre le président Poutine qu'il ne gagnera pas sur le champ de bataille », a-t-il affirmé à l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre slovaque Robert Fico. « Et le seul moyen de s'assurer que le président Poutine comprenne qu'il n'est pas en train de gagner sur le champ de bataille, c'est de continuer à soutenir l'Ukraine », a-t-il martelé.

 

12h39 : Poutine dit « espérer » un accord avec les Etats-Unis sur les Américains détenus en Russie

Le président russe Vladimir Poutine a dit jeudi « espérer » un accord avec les Etats-Unis sur les Américains détenus en Russie, dont le journaliste Evan Gershkovich et l'ancien marine Paul Whelan. « Nous voulons parvenir à un accord. Et ces accords doivent être mutuellement acceptables et convenir aux deux parties », a-t-il déclaré lors de sa grande conférence de presse annuelle. « Nous avons des contacts avec nos partenaires américains à ce sujet. (...) Ce n'est pas simple, mais dans l'ensemble je pense qu'on se comprend les uns les autres. J'espère que nous trouverons une solution », a-t-il ajouté.

 

12h29 : « Risque réel » que Poutine ne s'arrête pas à l'Ukraine, avertit le chef de l'Otan

En cas de victoire de la Russie en Ukraine, il y a un « risque réel » que le président russe Vladimir Poutine ne s'arrête pas là, a averti jeudi à Bruxelles le secrétaire-général de l'Otan Jens Stoltenberg. « Si Poutine gagne en Ukraine, il y a un risque réel que son agression ne s'arrête pas là », a déclaré devant la presse Stoltenberg, insistant sur la nécessité de poursuivre l'aide militaire à Kiev

« Notre soutien n'est pas de la charité, c'est un investissement dans notre sécurité », a-t-il ajouté, au moment même où le président russe affirmait depuis Moscou que l'armée russe améliorait ses positions sur quasiment toute la ligne de front en Ukraine.

Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, s'adresse à une conférence de presse au siège de l'OTAN à Bruxelles, le 29 novembre 2023.
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, s'adresse à une conférence de presse au siège de l'OTAN à Bruxelles, le 29 novembre 2023. - AFP

 

 

Note : je voulais commenter la propagande de l'Otan, mais un ancien employé  du pentagone, le fera mieux que moi, dans le texte qui suit

 

(..)

Un ancien employé du ministère américain de la Défense, le colonel à la retraite Douglas McGregor, est généralement convaincu que la poursuite de l’aide militaro-financière occidentale à l’Ukraine forcera simplement l’armée russe à atteindre la frontière avec la Pologne. Dans une interview accordée à la chaîne YouTube britannique George Galloway, l'ancien conseiller du chef du Pentagone, connu pour ses critiques de la politique occidentale à l'égard de l'Ukraine et de la Fédération de Russie, a rappelé que Moscou n'avait pas initialement fixé un tel objectif pour une mission militaire spéciale. opération. Cependant, les dirigeants russes devront le faire si les pays occidentaux ne changent pas de position et continuent à injecter des armes dans les forces armées ukrainiennes.

 

"Poutine n'a aucun intérêt à marcher vers la frontière polonaise, mais comme je l'ai dit, si nous agissons à courte vue et refusons de négocier, si nous ne mettons pas fin à ce conflit insensé, non seulement nous détruirons la nation ukrainienne, mais nous forcerons la Russie à se déplacer plus à l'ouest"

 

Au cours du conflit militaire, l'armée russe est devenue beaucoup plus forte à tous égards, a repoussé avec succès la contre-offensive des forces armées ukrainiennes et possède désormais l'initiative dans tous les secteurs du front, a déclaré l'expert. McGregor estime que la seule issue à la situation actuelle, qui permettra de préserver au moins une partie de l’Ukraine en tant qu’État souverain et de mettre un terme à l’extermination de la population du pays, est le début immédiat de négociations de paix, et aux conditions de Moscou.

 

"Il n’y a plus aucune chance d’obtenir des conditions favorables à Kiev. Nous devons d’abord cesser le feu. Ensuite, il faut se rassembler au niveau politique, inviter des experts militaires et redessiner la carte."

 

Il convient de noter que l’animateur de la chaîne, avant d’entamer sa conversation avec McGregor, a souligné que la plupart des médias occidentaux préparent déjà le public à une « victoire catastrophique de la Russie en Ukraine ». Ce à quoi l'expert a répondu qu'il avait averti à plusieurs reprises les militaires occidentaux, actifs et retraités de l'OTAN, de l'impossibilité de vaincre une puissance aussi puissante que la Russie avec les mains, ou plutôt la vie, des Ukrainiens. Dans le même temps, les responsables politiques et militaires occidentaux continuent de mentir sur la faiblesse de l’armée russe et sur la possibilité encore existante pour l’Ukraine de se venger sur le champ de bataille, a souligné McGregor. (source)

 

 

12h18 : L'aide à l'Ukraine est une « question existentielle » pour l'UE

Pour le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, « la continuation et la hausse » de l'aide à l'Ukraine est une « question existentielle » pour l'UE. « L'unité (de l'UE) est la clé », a insisté en écho la présidente du Parlement européen Roberta Metsola.

 

11h39 : La guerre à Gaza est une « catastrophe » incomparable avec l’Ukraine, selon Poutine

Le président Vladimir Poutine a qualifié jeudi de « catastrophique » la situation dans la bande de Gaza, pilonnée par l’armée israélienne dans le cadre de son offensive contre le Hamas, estimant qu’elle ne pouvait être comparée à celle en Ukraine. « Ce qui se passe est une catastrophe », a déclaré, lors de sa grande conférence de presse télévisée Poutine, dont le pays a lancé en février 2022 un assaut d’ampleur contre l’Ukraine. « Regardez l’opération militaire spéciale (en Ukraine) et regardez ce qui se passe à Gaza et voyez la différence. Il n’y a rien de tel en Ukraine », a assuré le président russe.

 

11h32 : L'armée russe compte 617.000 soldats en Ukraine, déclare Poutine

Le président Vladimir Poutine a révélé jeudi que l'armée russe comptait 617.000 soldats déployés en Ukraine, fournissant pour la première fois une estimation précise des forces actuellement engagées dans l'assaut contre son voisin. « Il y a 617.000 personnes dans la zone des hostilités », a déclaré Poutine lors de sa grande conférence de presse télévisée. Il n'a par contre pas révélé les pertes depuis le début de son offensive, le 24 février 2022, que les Etats-Unis estiment à 315.000 soldats russes blessés ou tués.

 

10h55 : L'armée russe « améliore » ses positions « pratiquement » sur toute la ligne de front en Ukraine, selon Poutine

L'armée russe « améliore » ses positions sur quasiment toute la ligne de front en Ukraine, où elle a repris l'initiative après l'échec de la contre-offensive estivale ukrainienne, a affirmé jeudi le président Vladimir Poutine. « Pratiquement sur toute la longueur de la ligne de contact, nos forces armées améliorent leurs positions. Presque toutes sont en phase active », a déclaré Poutine, lors de sa grande conférence de presse organisée à Moscou.

 

10h55 : 486.000 soldats ont été recrutés volontairement cette année, selon Poutine

Vladimir Poutine a également assuré qu'une nouvelle mobilisation militaire en Russie n'était pas prévue pour le moment après celle de l'automne 2022. « Aujourd'hui, cela n'est pas nécessaire », a-t-il jugé, soulignant que 486.000 soldats ont été recrutés volontairement cette année.

Le président russe Vladimir Poutine arrive pour assister à sa conférence de presse annuelle à Moscou, en Russie, le jeudi 14 décembre 2023.
Le président russe Vladimir Poutine arrive pour assister à sa conférence de presse annuelle à Moscou, en Russie, le jeudi 14 décembre 2023. - Aleksander Kazakov/AP/SIPA

 

 

10h55 : La solution « sera négociée ou obtenue par la force »

Vladimir Poutine vient de marteler que la solution « sera négociée ou obtenue par la force ». « Il y aura la paix lorsque nous aurons atteint nos objectifs », a encore insisté le président russe.

Ainsi, dans son discours, Poutine a exclu la possibilité de conclure un accord de paix avec l'Ukraine sans atteindre les objectifs fixés pour l'opération spéciale. Le président a également rappelé les négociations d'Istanbul en 2022. Il a rappelé que les questions de la démilitarisation en Ukraine avaient alors été réglées. Puis, comme nous le savons, ce processus a été interrompu.

À l'heure actuelle, a noté Poutine, la possibilité de parvenir à un accord avec la Russie demeure - à condition, bien entendu, que les conditions soient remplies. Mais le problème peut toujours être résolu par la force, a souligné le président.

Parlant de la situation en Ukraine dans son ensemble, le chef de l'Etat a rappelé qu'aujourd'hui l'Ukraine ne produit rien, elle reçoit tout ce dont elle a besoin des pays occidentaux.

"Mais le cadeau prendra fin un jour"

- a noté le chef de l'Etat russe.

Le héros national de l'Ukraine, a rappelé Poutine, reste le collaborateur Stepan Bandera. Cela témoigne de la tendance actuelle du régime de Kiev vers la fascisation du pays. La dénazification de l’Ukraine est donc toujours d’actualité et il n’y a pas d’échappatoire pour résoudre cette question. (source)

 

 

 

10h36 : « Nous avons fait un grand pas en avant »

Poutine a malgré tout reconnu que l'inflation restait forte en Russie, attendue à 7,5-8% à la fin de l'année, source d'inquiétude au sein de la population et promis que la Banque centrale prendrait les mesures appropriées pour la juguler.

Le président russe a dit s'attendre à une croissance du PIB de 3,5% cette année: « Cela signifie que nous avons rattrapé notre retard et que nous avons fait un grand pas en avant », a-t-il assuré.

 

10h35 : La Russie est suffisamment en confiance pour « aller de l'avant »

Le président russe Vladimir Poutine a affirmé jeudi que la Russie était suffisamment en confiance pour « aller de l'avant » malgré les sanctions économiques, le conflit en Ukraine et la confrontation avec les Occidentaux, en ouverture de sa grande conférence de presse. Selon Poutine, interrogé sur la résistance de l'économie aux sanctions, son pays dispose d'une « marge de sécurité suffisante » du fait de la « forte consolidation de la société russe », la « stabilité du système financier et économique du pays » et de « l'augmentation des capacités militaires » de Moscou.

Cette marge est « suffisante non seulement pour se sentir en confiance, mais aussi pour aller de l'avant », a assuré le président russe, qui a récemment annoncé son intention de briguer un nouveau mandat en mars 2024 qui pourrait le faire rester au Kremlin au moins jusqu'en 2030.

 

10h33 : La paix n'est possible qu'en cas de « dénazification » de l'Ukraine, selon Poutine

La paix passe par la « dénazification » et de « démilitarisation » de l'Ukraine, a martelé jeudi le président russe Vladimir Poutine, assurant que ses objectifs « ne changeaient pas » après près de deux ans de guerre. « Je vous rappelle ce dont nous avons parlé: la dénazification et la démilitarisation de l'Ukraine, son statut de neutralité », a-t-il déclaré lors de sa grande conférence de presse annuelle à Moscou, avant d'ajouter que la solution « sera négociée ou obtenue par la force ».

 

10h03 : L'UE « pas en position » de lancer les négociations d'adhésion avec l'Ukraine

L'Union européenne n'est « pas en position » d'ouvrir des négociations d'adhésion avec l'Ukraine, a affirmé jeudi le Premier ministre hongrois Viktor Orban en arrivant à un sommet européen à Bruxelles crucial pour Kiev. « Il n'y a aucune raison de discuter quoi que ce soit, car les conditions (requises pour l'ouverture de négociations d'adhésion) n'ont pas été remplies », a déclaré le dirigeant nationaliste, qui s'oppose aussi à un soutien budgétaire de 50 milliards d'euros pour l'Ukraine.

 

9h37 : Vladimir Poutine ragaillardi prend la parole

Vladimir Poutine, ragaillardi par les difficultés de l'Ukraine et les tergiversations occidentales, se présente jeudi à une séance marathon de questions de journalistes et de citoyens, une semaine après avoir annoncé son intention de rester au Kremlin au moins jusqu'en 2030. Confiant qu'en 2024 le temps jouera en sa faveur en Ukraine et que les revers de son armée en 2022 appartiennent au passé, le président russe a décidé de reprendre cet exercice de questions-réponses auquel il avait renoncé l'année dernière. Poutine doit répondre aux questions, triées par le Kremlin, de journalistes et de citoyens pour faire le « bilan de l'année ».

Le président russe Vladimir Poutine s'exprime lors de sa conférence de presse annuelle à Moscou, en Russie, le jeudi 14 décembre 2023.
Le président russe Vladimir Poutine s'exprime lors de sa conférence de presse annuelle à Moscou, en Russie, le jeudi 14 décembre 2023. - Alexander Zemlianichenko/AP/SIPA

 

 

07h52 : L’UE cherche une issue au veto hongrois sur l’Ukraine

Les dirigeants européens vont chercher jeudi à convaincre l’inflexible Premier ministre hongrois Viktor Orban d’accepter que l’UE ouvre des négociations d’adhésion avec l’Ukraine et de renoncer à son veto sur une aide cruciale à ce pays en guerre.

« Sommet très difficile », « réunion complexe », négociations qui peuvent déborder au-delà de vendredi, diplomates et dirigeants européens déjà sur place mercredi se préparaient à de longues heures de discussions.

Viktor Orban l’a encore dit mercredi devant son parlement : les Européens feraient une « terrible erreur » s’ils acceptaient, lors de ce sommet à Bruxelles, d’ouvrir des négociations d’adhésion avec l’Ukraine.

DIRECT

 

 

 

 

 

La Russie et la Chine mènent des patrouilles aériennes au-dessus des mers du Japon et de l'est de la Chine (Beijing)

 

BEIJING (Sputnik) - Des pilotes russes et chinois ont effectué leur septième patrouille aérienne conjointe au-dessus de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale, a annoncé jeudi le ministère chinois de la Défense.

"Conformément au plan de coopération annuel entre les forces armées chinoises et russes, le 14 décembre, les deux parties ont organisé et effectué la septième patrouille aérienne stratégique conjointe dans l'espace aérien respectif de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale", a indiqué le communiqué. a déclaré le ministère dans un communiqué.

Vers une guerre de religion, infos du 14 décembre 2023

Les porte-missiles stratégiques des Forces aérospatiales russes et de l'Armée populaire de libération ont effectué des patrouilles aériennes conjointes dans la région Asie-Pacifique au-dessus des eaux de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale, a annoncé jeudi le ministère russe de la Défense.

"Un groupe aérien composé de porte-missiles stratégiques Tu-95ms et de bombardiers stratégiques H-6k a effectué des patrouilles aériennes au-dessus des eaux de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale", a indiqué le ministère dans un communiqué.

A certaines étapes du parcours, les porteurs de missiles stratégiques ont été "accompagnés par des combattants d'Etats étrangers", indique le communiqué.

Source

LIRE AUSSI : Tensions en Asie: Six avions militaires chinois et russes pénètrent "sans préavis" dans la zone d'identification aérienne de la Corée du Sud

 

 

Le Sénat américain adopte un projet de loi sur la défense de 886 milliards de dollars et l'envoie à la Chambre pour examen

Vers une guerre de religion, infos du 14 décembre 2023

WASHINGTON (Sputnik) - Le Sénat américain a adopté une version réconciliée du National Defense Authorization Act (NDAA) de 2024, qui sera désormais soumise à la Chambre des représentants pour examen.

Le Sénat a approuvé le projet de loi mercredi par 87 voix contre 13.

La législation autorise des dépenses totales de défense nationale de plus de 886 milliards de dollars, dont des centaines de millions de dollars d’aide à l’Ukraine. Le projet de loi comprend également une extension des autorités de l’article 702 de la Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA) sans réforme du pouvoir de surveillance.

Le chef de la majorité au Sénat, Chuck Schumer, a également exhorté la Chambre des représentants à adopter rapidement le projet de loi. Cependant, le House Freedom Caucus a déclaré qu'il s'opposait au projet de loi en raison de l'extension propre de la FISA.

Plus tôt cette semaine, l’administration Biden a déclaré qu’elle soutenait l’adoption rapide du projet de loi sur la défense par le Congrès.

Spoutnik

 

 

 

Le Président des Etats-Unis menacé de destitution : pourquoi Joe Biden est-il visé par une enquête qui pourrait aboutir sur le fameux impeachment ?

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 14 décembre 2023

La Chambre américaine des représentants a voté ce mercredi en faveur de l'ouverture d'une enquête en vue d'un éventuel procès en destitution ("impeachment") du président démocrate Joe Biden. La Chambre, contrôlée par les républicains, a voté à 221 voix pour et 212 voix contre en faveur de l'enquête, qui vise à déterminer si Joe Biden a tiré un avantage financier des affaires de son fils Hunter Biden à l'étranger à l'époque où il était vice-président de Barack Obama, entre 2009 et 2017.

La Maison blanche a estimé que l'enquête ne se reposait sur aucun fait et qu'elle était motivée politiquement. Joe Biden prépare sa campagne en vue de l'élection présidentielle de 2024, lors de laquelle il pourrait affronter son prédécesseur à la Maison blanche, Donald Trump, lui-même visé par deux tentatives de destitution en 2019 et 2021.

Objectif inaccessible ?

Si la Chambre des représentants devait voter l'impeachment au terme de l'enquête, ce qui n'est pas certain vu que le Parti républicain n'y dispose que d'une majorité de 222 contre 212 sièges, un procès en destitution se tiendrait alors devant le Sénat, où les deux-tiers des voix sont requis pour mettre fin au mandat du président. Un objectif semblant inaccessible alors que chacun des deux partis dispose de 50 sièges à la chambre haute. Cela pourrait toutefois aider les républicains à mettre en avant leurs allégations de corruption pendant une grande partie de la campagne électorale de 2024.

Source

 

 

 

 

 

Guerre Hamas-Israël EN DIRECT : Le Hamas annonce la mort de 19 Palestiniens après les raids aériens d’Israël à Gaza…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Déterminé à mener « jusqu’au bout » sa guerre contre le Hamas, Israël multiplie jeudi les raids aériens dans la bande de Gaza en dépit des signes d’impatience de son allié américain qui dépêche à Jérusalem son conseiller à la sécurité nationale.
  • Tôt jeudi, le ministère de la Santé de l’administration du Hamas a annoncé la mort d’un total de 19 autres Palestiniens lors de frappes israéliennes à Gaza-ville, Nuseirat et Rafah après une journée de raids aériens et d’intenses combats de rue. Un raid israélien a fait deux morts et des blessés à Jénine, bastion de factions armées en Cisjordanie occupée, a indiqué le ministère de la Santé de l’Autorité palestinienne.
  • L’armée israélienne avait annoncé la mort de dix de ses soldats mardi dans le secteur de Chajaya, son bilan le plus lourd en une seule journée depuis le début de son offensive terrestre à Gaza qui a coûté la vie à 115 de ses membres.

 

14h39 : Gaza : le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 18.787 morts

Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé jeudi que la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza avait fait 18.787 morts depuis le début des frappes aériennes israéliennes le 7 octobre.

Le gouvernement du Hamas, qui contrôle Gaza depuis 2007, estime que 50.897 personnes ont également été blessées, d’après un communiqué du ministère.

 

13h41 : Israël attend un émissaire américain tout en poursuivant ses raids à Gaza

Israël reçoit jeudi le conseiller américain à la sécurité nationale, qui devrait répéter que les Etats-Unis attendent une meilleure protection des civils, premières victimes des bombardements dans la bande de Gaza.

Le ministère de la Santé de l’administration du Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, a déploré la mort de 67 personnes durant la nuit à travers le petit territoire palestinien surpeuplé. Le nombre des victimes palestiniennes dépasse désormais les 18.600, en grande majorité des femmes, des enfants et adolescents, d’après cette même source.

Sans remettre en cause leur soutien à l’opération israélienne, les Etats-Unis ont exprimé ces derniers jours leur impatience, le président Joe Biden évoquant des « bombardements aveugles » et une possible « érosion » du soutien occidental à Israël.

 

07h47 : Victimes d’insultes antisémites, une directrice de crèche attaquée au couteau dans le Val-de-Marne

Un homme s’est introduit mardi dans une crèche et a menacé avec un couteau la directrice de l’établissement situé dans le Val-de-Marne, l’agonissant d’injures antisémites, a-t-on appris mercredi de sources judiciaire et policière.

L’agression s’est déroulée en milieu d’après-midi mardi, vers 15h30. L’homme, armé d’une lame d’environ 15 centimètres « a pénétré dans la crèche Les mini Kids située à Champigny-sur-Marne », s’est introduit dans le bureau de la directrice avant de la menacer verbalement, brandissant l’arme dans sa direction, a indiqué mercredi le parquet de Créteil à l’AFP.

« T’es une Juive, t’es une sioniste, on va venir à cinq te violer, te découper comme ils ont fait à Gaza », a-t-il proféré, toujours selon cette source, en tapant sur le bureau avec sa main. Aucun blessé n’est à déplorer mais la directrice a été fortement choquée, a détaillé une source policière à l’AFP. Cette crèche est fréquentée par de nombreuses familles de confession juive, religion qui est aussi celle de la directrice, selon la même source.

DIRECT

 

 

 

 

Jusqu'à 45 % des munitions air-sol tirées par Tsahal dans la bande de Gaza ne sont pas guidées – Rapports

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 14 décembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - Les Forces de défense israéliennes (FDI) ont tiré jusqu'à 29 000 munitions air-sol sur la bande de Gaza depuis l'escalade du conflit israélo-palestinien, dont environ 40 à 45 % n'étaient pas guidées, a indiqué le communiqué. ont rapporté jeudi les médias, citant des données des services de renseignement américains.

L'évaluation a été menée par le Bureau du directeur du renseignement national et fournie à CNN par trois sources. L'analyse aurait révélé que les munitions restantes étaient guidées avec précision.

En utilisant des «bombes stupides» en si grande quantité, Israël pourrait accélérer l'augmentation déjà significative du nombre de morts civiles malgré les appels de la communauté internationale pour éviter des pertes dans l'enclave, ont rapporté les médias.

En novembre, le New York Times a rapporté, citant des responsables américains, que les États-Unis avaient exhorté Israël à être plus judicieux et à réduire le nombre de morts civiles dans l’enclave. Malgré cela, la directrice exécutive du Fonds des Nations Unies pour l'enfance, Catherine Russell, a déclaré le 1er décembre que plus de 5 300 enfants avaient été tués dans la bande de Gaza en 48 jours.

Le 7 octobre, le Hamas a lancé une attaque à la roquette à grande échelle contre Israël depuis la bande de Gaza et a franchi la frontière, tuant plus de 1 200 personnes et en enlevant quelque 240 autres. Israël a lancé des frappes de représailles, ordonné un blocus complet de Gaza et lancé une incursion terrestre dans l'enclave palestinienne dans le but déclaré d'éliminer les combattants du Hamas et de sauver les otages. Plus de 18 500 personnes ont été tuées jusqu'à présent à Gaza à cause du conflit, selon les autorités locales.

Spoutnik

 

 

Les États-Unis retarderaient la vente de fusils M16 à Israël en raison de la violence des colons en Cisjordanie

 

Vers une guerre de religion, infos du 14 décembre 2023

WASHINGTON (Sputnik) - Les États-Unis retarderaient la vente de fusils d'assaut M16 à Israël en raison de la violence des colons israéliens en Cisjordanie.

Citant des responsables américains proches du dossier, les médias américains ont rapporté mercredi que la vente de 20 000 fusils M16 de fabrication américaine avait été envoyée au Département d'État pour un examen supplémentaire, car l'administration Biden n'est pas convaincue que le gouvernement israélien en fasse assez pour craquer. contre les colons israéliens extrémistes en Cisjordanie occupée.

Le rapport souligne que les responsables au sein de l'administration « ont besoin de plus d'assurances » de la part du gouvernement israélien qu'il fera suffisamment pour freiner la violence en Cisjordanie.

 

"Cet accord n'avance nulle part pour le moment", a déclaré un responsable américain au média. "Nous avons besoin de plus d'assurances de la part d'Israël sur les mesures qu'il va prendre pour freiner les attaques des colons violents et pour garantir qu'aucune nouvelle arme américaine n'atteindra les colons en Cisjordanie."

Le retrait des ventes d’armes est intervenu plusieurs semaines après qu’un accord ait été conclu entre les responsables israéliens et américains selon lequel aucun des fusils ne serait donné aux équipes de sécurité civile établies dans les villages frontaliers près de Gaza.

Les équipes civiles sont destinées à agir en tant que premiers intervenants en cas d'attaque terroriste et sont formées par la police israélienne. Cependant, les inquiétudes ont augmenté au sein de la Maison Blanche de Biden après que les responsables ont eu vent d'un rapport alléguant qu'Itamar Ben Gvir, le ministre israélien de la Sécurité nationale, avait ordonné à la police de ne pas arrêter de colons violents dans la région.

Le rapport de mercredi fait suite à une décision des États-Unis d’imposer officiellement des restrictions de visa à toute personne soupçonnée d’avoir participé à des violences en Cisjordanie. Des rapports indiquent que la violence des colons a plus que doublé depuis l'attaque surprise du Hamas le 7 octobre.

Spoutnik

 

 

Yves Calvi abasourdi lorsque Jérôme Fourquet lui apprend que « 1 enfant sur 5 qui naît en France aujourd’hui a un prénom arabo-musulman »

BFMTV – Calvi 3D du 13/12/2023

 

 

Pour le Parlement européen, les “migrants et les minorités ethniques” feraient face à “une discrimination, une ségrégation et une marginalisation structurelles” dont du “racisme et de la xénophobie structurels et institutionnels”

P9_TA(2023)0457
Santé mentale
Résolution du Parlement européen du 12 décembre 2023 sur la santé mentale (2023/2074(INI))

(…)

AP.    considérant que les migrants, les demandeurs d’asile et les réfugiés rencontrent des situations difficiles qui contribuent au traumatisme psychologique et à d’autres troubles de la santé mentale;

(…)

Agir sur les déterminants de la santé mentale (…)
Autres groupes vulnérables (…)

61. est profondément inquiet du manque d’action, dans le cadre des politiques publiques de l’Union, en matière de protection des migrants, des réfugiés, des demandeurs d’asile et des minorités ethniques, de leurs droits et de l’application effective de leurs droits, une telle lacune nuisant à la santé mentale de ces catégories de population;

62.     estime que les migrants, les réfugiés, les demandeurs d’asile et les minorités ethniques font face à une discrimination, à une ségrégation et à une marginalisation structurelles et à multiples facettes, qui comprennent le racisme et la xénophobie structurels, institutionnels et interpersonnels, et que ces groupes devraient être protégés afin que leur bien-être physique et leur santé mentale soient protégés;

(…)

Renforcer les systèmes de santé mentale (…)
Premiers secours en santé mentale

105.   encourage les États membres à adopter à grande échelle des programmes de formation aux premiers secours en santé mentale, y compris aux premiers secours psychologiques, afin de doter les citoyens des connaissances et des compétences dont ils ont besoin pour détecter les crises de santé mentale et y réagir, en particulier dans des contextes sensibles sur le plan culturel pour les enfants, tels que les migrations;

(…)

Santé mentale à l’échelle mondiale (…)

141.   invite le secteur des soins de santé des États membres à mettre en place de toute urgence des structures psychosociales de soutien en matière de santé mentale destinées spécifiquement aux victimes de catastrophes naturelles, climatiques, humanitaires, géopolitiques et liées aux conflits, aux demandeurs d’asile et aux migrants de tous horizons; enjoint à l’Union et aux États membres de prendre d’urgence des mesures climatiques visant à atténuer les coûts directs et indirects du changement climatique pour la santé, en particulier la santé mentale; invite la Commission et les États membres à intégrer des structures d’assistance psychosociale et en matière de santé mentale à tous les stades (préparation, réponse et reprise) des programmes de planification d’urgence et des plans de préparation en matière de santé et de sécurité au travail, afin de se préparer de manière effective aux futures crises sanitaires et à d’autres menaces, au sein de l’Union comme dans le contexte mondial; (…)

Parlement européen

 

 

 

En 2022, d’après le Ministère de l’Intérieur, dans les vols violents, non violents et cambriolages, les étrangers sont largement surpondérés parmi les mis en cause


Une enquête réalisée par le service Police-Justice de CNEWS, basée sur des données officielles du ministère de l’Intérieur, s’est intéressée à la part des vols commis en France par des étrangers. Sur l’ensemble de la population française, 8% sont des personnes étrangères, selon les chiffres officiels du gouvernement. Le service Police-Justice de CNEWS a mené l’enquête pour déterminer la proportion d’étrangers impliqués dans les affaires de vols en France.

VOLS VIOLENTS SANS ARME
Concernant les vols violents sans arme, 35% des mis en cause sont étrangers et 36% d’entre eux sont mineurs. Au total, 30% des mis en cause ont une nationalité d’un pays d’Afrique.

CAMBRIOLAGES
S’agissant du taux de cambriolages en France, 41% des auteurs sont étrangers, tandis que les 59% restants sont de nationalité française.

VOLS SANS VIOLENCE
Au sujet des vols sans violence, la France compte au total 64.784 mis en cause. Parmi eux, 33% sont étrangers, dont 25% sont mineurs. En grande majorité, les individus concernés par des vols sans violence viennent d’Afrique (23%).

VOLS LIÉS AUX VÉHICULES
En ce qui concerne les vols liés aux véhicules, on compte 31.243 mis en cause. Ici, 34% sont étrangers, dont 24% de mineurs. Au total, 24% des individus mis en cause concernant des affaires de vols liées aux véhicules sont Africains.

Cnews

 

 

 

Narbonne : un Mahorais, condamné 17 fois, sème le chaos à la gare, s’en prend à des voyageurs, puis traite de « sale blanc » un policier, avant d’en blesser deux autres en les rouant de coups ; le caractère raciste n’a pas été retenu par la justice

Ce samedi 9 décembre, un individu de 29 ans a fait régner durant 40 minutes le chaos sur un quai de la gare de Narbonne malgré l’intervention à deux reprises d’agents de sécurité. Pour cela et étant en état de récidive légale, l’individu a été condamné à deux ans de prison ferme. 

Il est 12h20 ce samedi 9 décembre quand tout dégénère sur un quai de la gare de Narbonne. Alors qu’un individu de 29 ans essaie de monter dans un train sans billet, un contrôleur de la SNCF lui intime l’ordre de descendre du train. Visiblement sous l’emprise de l’alcool, ce résidant de Montpellier sort de ses gonds et insulte le personnel du train, avant de tenter de leur porter des coups, puis prend à partie les voyageurs. C’est l’intervention des agents de sécurité qui permettra un relatif retour au calme en l’immobilisant sur le quai. 

(…) Interpellé par la police de Narbonne, il n’est pas plus coopérant avec les forces de l’ordre qui le transportent à l’hôpital afin de savoir si son état de santé est compatible avec une garde à vue. Dans le véhicule, il insulte les fonctionnaires, traite l’un d’eux de “sale blanc”, porte des coups de pied à deux policiers les blessant aux jambes. Quatorze jours d’arrêts de travail seront prescrits. 

Dix heures après son interpellation, il est mesuré la présence de 0,84 g/l d’alcool dans le sang laissant penser qu’il était proche des 3g/l au moment de sa montée dans le train. Natif de Mayotte, défavorablement connu de la justice avec 17 condamnations depuis son arrivée en métropole en 2012, le prévenu se trouve d’autant plus en situation de récidive légale. 

(…) Du côté des parties civiles, l’avocat des policiers regrette que le caractère raciste des insultes n’ait pas été retenu dans la prévention et réclame 1 200 € de dommages et intérêts pour le préjudice moral. Quant au parquet, 10 mois ferme et la révocation du sursis probatoire sont requis tout comme le maintien en détention. 

L’Indépendant

 

 

“Sale chrétien ! Vous êtes tous les mêmes, sale chien ! C’est bien d’être un chien ? Demain je vais te retrouver au collège” : un collégien âgé de 11 ans menacé avec des ciseaux à Villeurbanne (69)

Mardi après-midi, alors qu’un jeune collégien de 11 ans rentrait du collège les Iris de Villeurbanne, une camarade de collège l’a pris en grippe.

Selon le Progrès, la scène s’est déroulée vers 15h40 rue du 8 mai 1945. Alors que le jeune garçon marchait en direction de son domicile, il a aperçu deux jeunes filles de son collège, également âgées de 11 ans, se diriger vers lui.

Une des deux filles aurait alors directement été agressive verbalement avec le garçon.

Le garçon aurait alors évité la fille. Cette dernière aurait aussitôt sorti une paire de ciseaux de sa poche en la pointant vers lui en le menacant, pour ensuite lui taper la tête avec.

C’est à ce moment la que la deuxième jeune fille est intervenue en s’interposant entre les deux collégiens. Une fois le garçon sur le trottoir d’en face, la jeune fille continua en déclarant “sale chrétien ! Vous êtes tous les mêmes, sale chien ! C’est bien d’être un chien ? Demain je vais te retrouver au collège”.

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