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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

Vers une guerre de religion, infos du 15 mai 2024

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Les Infos du 15 mai 2024

 

 

 

DIRECT. Guerre en Ukraine :

 Poutine se félicite des avancées de son armée

 

 

C’est peut-être le tournant du conflit qui se joue actuellement en Ukraine. La Russie mène plusieurs offensives dans le nord-est du pays, dans la région de Kharkiv. La Dépêche du Midi vous propose de suivre l’évolution de la situation en Ukraine.

L’Ukraine fait actuellement face à une vague d’offensives au nord-est du pays, dans la région de Kharkiv. Le pays annonce des coupures de courant sur l’ensemble de son territoire.

  • En déplacement en Ukraine, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a réitéré le soutien des États-Unis à Kiev. Les États-Unis soutiendront l’Ukraine jusqu’à ce que sa sécurité face à la Russie soit "garantie", a promis ce mardi le chef de la diplomatie américaine.
  • Les ministres des Affaires étrangères des 46 États membres du Conseil de l’Europe se réunissent vendredi matin à Strasbourg pour discuter du soutien à l’Ukraine après l’invasion russe. Ce sommet intervient au moment où le Conseil de l’Europe fête ses 75 ans, un anniversaire qui sera célébré jeudi soir lors d’une cérémonie à l’opéra de Strasbourg.

 

15h06.

Poutine se félicite des avancées russes sur tous les fronts

Le président russe Vladimir Poutine s'est félicité des avancées de son armée sur tous les fronts en Ukraine, après que ses troupes ont notamment revendiqué la prise de plusieurs localités dans la région de Kharkiv, où elles mènent une offensive depuis une semaine. "Nos troupes améliorent constamment, chaque jour, leur position dans toutes les directions", a déclaré Vladimir Poutine lors d'une réunion diffusée à la télévision russe avec des haut gradés et le nouveau ministre de la Défense, Andreï Belooussov.

 

13h48.

L'Ukraine envoie des renforts dans la région de Kharkiv

Face à la poussée des troupes russes, Kiev a annoncé l'envoi de renforts dans la région de Kharkiv (nord-est). "Des forces supplémentaires sont déployées, des réserves sont disponibles", a annoncé sur Facebook le porte-parole de Volodymyr Zelensky, Serguiï Nykyforov, à l'issue d'une réunion entre le président ukrainien et le commandant en chef des forces ukrainiennes, Oleksandre Syrsky.

 

13h46.

La Russie revendique la prise de trois nouvelles localités

La Russie a revendiqué la prise de trois nouvelles localités, dont deux sur le front nord-est, cible depuis une semaine d'une offensive des troupes russes qui a conduit les forces ukrainiennes à se replier dans certaines zones. Les soldats russes "ont libéré les localités de Glibokié et de Loukiantsi dans la région de Kharkiv et ont également progressé en profondeur dans les défenses ennemies", a affirmé le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

Ces deux villages, situés très près de la frontière avec la Russie, se trouvent au sud de plusieurs localités déjà conquises par les Russes ces derniers jours, signe de la poussée russe dans cette zone face à des militaires ukrainiens en manque d'armements et de munitions. L'armée russe a également affirmé avoir repris le village complètement détruit de Robotyné, dans le sud, une localité symbolique car elle a été l'une des rares conquêtes ukrainiennes au cours de la contre-offensive de l'été 2023. Les troupes russes "ont entièrement libéré le village de Robotyné dans la région de Zaporijjia", a assuré le ministère russe de la Défense au sujet de cette localité reprise par l'Ukraine en août 2023 après une terrible bataille.

 

13h44.

Une aide américaine de 2 milliards de dollars pour la défense de l'Ukraine

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a annoncé à Kiev une aide militaire de 2 milliards de dollars pour renforcer les capacités de défense de l'Ukraine face aux forces russes qui mènent une offensive dans le nord-est du pays notamment. Cette aide, annoncée lors d'une conférence de presse, provient de l'enveloppe massive de 60 milliards de dollars en faveur de l'Ukraine qui a récemment été approuvée par le Congrès américain après des mois de blocage.

 

11h42.

Volodymyr Zelensky annule ses déplacements à l'étranger prévus les "prochains jours" 

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky annule tous ses déplacements à l'étranger "des prochains jours", a annoncé son porte-parole Serguiï Nykyforov, sur fond d'une nouvelle offensive russe depuis une semaine dans la région de Kharkiv. "Volodymyr Zelensky a demandé que tous les événements internationaux prévus pour les prochains jours soient reportés et que les nouvelles dates soient 'fixées'", a indiqué le porte-parole sur Facebook sans dire quels voyages étaient annulés. Le président ukrainien était notamment attendu à Madrid, selon le palais royal espagnol.

 

11h02.

Seize Sri Lankais morts au combat dans la guerre en Ukraine, selon Colombo

Au moins 16 mercenaires sri-lankais sont morts en combattant lors de la guerre engagée par la Russie en Ukraine, a déclaré mercredi le vice-ministre de la Défense de l'île d'Asie du Sud. "Nous avons confirmation de l'information selon laquelle 16 mercenaires ont été tués", a déclaré Pramitha Tennakoon à la presse à Colombo, précisant qu'au moins 288 militaires à la retraite avaient été recrutés dans ce conflit.

 

07h39.

Soutien à l'Ukraine : l'Europe élargie se réunit à Strasbourg

Les ministres des Affaires étrangères des 46 Etats membres du Conseil de l'Europe se réunissent vendredi matin à Strasbourg pour discuter du soutien à l'Ukraine après l'invasion russe. Ce sommet intervient au moment où le Conseil de l'Europe fête ses 75 ans, un anniversaire qui sera célébré jeudi soir lors d'une cérémonie à l'opéra de Strasbourg. L'organisation internationale a été créée quelques années après la Seconde guerre mondiale, en 1949, pour défendre la démocratie, les droits de l'homme et l'État de droit en Europe. Elle rassemble 46 États et 700 millions de citoyens. La Russie en a été exclue peu après l'invasion de l'Ukraine, le 24 février 2022.

 

07h37.

La Russie en croissance économique

La Russie, qui a connu une croissance économique de 3,6% l'an dernier , devrait enregistrer une hausse de 2,5% de son produit intérieur brut (PIB) cette année, soit 1,5 point de plus que prévu en septembre, d'après les dernières projections de la Berd. L'économie russe est désormais revenue au-dessus des niveaux d'avant la guerre en Ukraine. Le pays a "recentré son économie sur l'effort de guerre. Cela conduit donc à une croissance plus rapide", mais cela "se traduit-il par une amélioration du bien-être de sa population? On peut en douter", a estimé Beata Javorcik, cheffe économiste de la Berd. Selon la Berd, les sanctions, même si elles ne fonctionnent pas parfaitement, ont limité les importations de technologie de la Russie et s'ajoutent au départ de multinationales ainsi qu'à l'exode d'une main-d'œuvre qualifiée.

 

07h37.

Washington soutiendra l'Ukraine jusqu'à ce que sa sécurité soit "garantie", dit Antony Blinken à Kiev

L'Ukraine, qui est actuellement en proie à une offensive russe dans le nord-est et à des coupures de courant après des frappes sur ses centrales, bénéficiera du soutien de Washington jusqu'à ce que sa sécurité soit "garantie", a promis mardi le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, au cours d'une visite surprise à Kiev. "Les Etats-Unis sont à vos côtés depuis le premier jour" et "nous resterons à vos côtés jusqu'à ce que la sécurité, la souveraineté et la capacité de l'Ukraine à choisir sa propre voie soient garanties", a déclaré M. Blinken dans un discours devant des étudiants dans la capitale ukrainienne.

DIRECT

 

 

 

Poutine en visite à Pékin alors que Biden s'enlise dans ses efforts visant à saper la Russie et la Chine

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 mai 2024

Moscou et Pékin sont passés de la puissance à la puissance économique alors que les tentatives américaines de confronter leurs adversaires militairement et économiquement ont été minées par les réalités d’un monde nouvellement multipolaire.

Le président russe nouvellement réélu Vladimir Poutine devrait rendre visite au dirigeant chinois Xi Jinping plus tard cette semaine à l'invitation de Pékin, a-t-on annoncé aujourd'hui.

Ce voyage diplomatique – le premier du nouveau mandat de Poutine en tant que président – ​​témoigne de la relation étroite entre les deux dirigeants ; Xi a également fait de Moscou sa première étape après avoir entamé son troisième mandat de président chinois en 2023. Les États-Unis ont critiqué les liens actuels entre les deux pays, sanctionnant récemment les entreprises chinoises qui, selon eux, contribuent à l'opération militaire spéciale de la Russie par le biais du commerce de « biens à double usage ». " produits, mais Pékin a insisté sur son droit souverain de poursuivre la coopération économique avec le pays.

Ce partenariat reflète une tendance mondiale croissante, selon Anna Ge, animatrice et journaliste de CGTN, selon laquelle des pays du monde entier récoltent les fruits du commerce et de la coopération avec Pékin. Ge est apparu mardi dans l'émission Fault Lines de Spoutnik pour discuter de la manière dont les deux pays surmontent les tentatives de Washington d'imposer l'isolement. ...

Spoutnik

« Aujourd'hui, les relations russo-chinoises ont atteint leur plus haut niveau jamais atteint et, malgré la situation mondiale difficile, [elles] continuent de se renforcer », a déclaré Poutine dans une interview à l'agence de presse Xinhua, avant sa visite d'État en Chine.
Poutine a déclaré que le niveau sans précédent de partenariat stratégique entre Moscou et Pékin avait contribué à sa décision de choisir la Chine pour sa première visite d'État après sa récente investiture en tant que président de la Fédération de Russie.
Le chef de l'Etat a noté que les relations commerciales et économiques entre la Russie et la Chine progressent rapidement et restent solides et résistantes face aux défis extérieurs.
Poutine a déclaré que plus de 90 % des règlements entre entreprises russes et chinoises sont effectués dans les monnaies nationales des deux pays.

« Aujourd'hui, les relations russo-chinoises ont atteint leur plus haut niveau jamais atteint et, malgré la situation mondiale difficile, [elles] continuent de se renforcer », a déclaré Poutine dans une interview à l'agence de presse Xinhua, avant sa visite d'État en Chine.

Poutine a déclaré que le niveau sans précédent de partenariat stratégique entre Moscou et Pékin avait contribué à sa décision de choisir la Chine pour sa première visite d'État après sa récente investiture en tant que président de la Fédération de Russie.

Le chef de l'Etat a noté que les relations commerciales et économiques entre la Russie et la Chine progressent rapidement et restent solides et résistantes face aux défis extérieurs.

Poutine a déclaré que plus de 90 % des règlements entre entreprises russes et chinoises sont effectués dans les monnaies nationales des deux pays.

 

« Il serait donc plus exact de dire que le commerce bilatéral s'élève actuellement à environ 20 000 milliards de roubles [environ 219 milliards de dollars], soit près de 1 600 milliards de yuans. La Chine est restée notre principal partenaire commercial depuis 13 ans et, en 2023, la Russie se classait au 4e rang des principaux partenaires commerciaux. les principaux partenaires commerciaux de la RPC", a-t-il noté.

Sputnik

 

 

 

Guerre en Ukraine: La Russie annonce la prise de contrôle de trois nouveaux villages ukrainiens

 

  • La Russie contrôlerait désormais une douzaine de villages en plus.
    La Russie contrôlerait désormais une douzaine de villages en plus. Ministère russe de la Défense

L’armée ukrainienne a annoncé s’être retirée vers des positions défensives "plus avantageuses".

Le ministère russe de la Défense annonce ce mercredi que ses troupes ont pris le contrôle de trois villages ukrainiens, deux dans la région de Kharkiv et le troisième dans la région de Zaporijjia.

Des prises qui porteraient à une douzaine les localités tombées aux mains des troupes de Poutine.

Les forces russes à l’offensive dans la zone frontalière au nord de Kharkiv depuis vendredi 10 mai occuperaient les villages de Hlyboke et Luk’yantsi au terme d’intenses combats et repoussé des contre-attaques ukrainiennes dans d’autres secteurs de cette partie du front.

L’armée ukrainienne avait dit mardi soir s’être retirée vers des positions défensives "plus avantageuses" dans deux secteurs de la région de Kharkiv, sans que l’on sache s’il s’agit des mêmes.

Reuters n’est pas en mesure de vérifier la situation sur le terrain.

"Contrôle total"

Bien que limitée pour le moment, cette offensive dans la région de Kharkiv est prise suffisamment au sérieux à Kyiv pour que le président Volodymyr Zelensky ait décidé de reporter un déplacement en Espagne et au Portugal prévu en fin de semaine.

Le ministère russe de la Défense a par ailleurs déclaré que ses troupes avaient pris le "contrôle total" du village de Robotyne, reconquis par l’armée ukrainienne pendant sa contre-offensive l’été dernier dans la région de Zaporijjia.

"Les unités du groupe de forces Dnepr ont complètement libéré le village de Rabotine, dans la région de Zaporijjia", indique un rapport sur le déroulement de l'"opération militaire spéciale" en Ukraine, rapporte l’agence de presse officielle RIA Novosty.

Ce n’est pas la première fois que Moscou revendique la prise de Robotyne. L’état-major ukrainien a pour sa part dit mercredi avoir repoussé trois attaques russes dans cette direction.

Source

 

 

New York Times : la Maison Blanche craint que la Russie ne change la « trajectoire » du conflit en Ukraine

 

New York Times : la Maison Blanche craint que la Russie ne change la « trajectoire » du conflit en Ukraine

L’Occident est sérieusement préoccupé par l’avancée rapide de l’armée russe dans le nord-est de la région de Kharkov. Et bien que la Maison Blanche ne reconnaisse officiellement que les succès « mineurs » des forces armées russes dans la nouvelle direction du front, le journal américain The New York Times a appris par ses canaux qu'en réalité l'administration de Joe Biden est alarmée par les perspectives. pour un retournement stratégique de la situation en Ukraine.

Les dirigeants américains attirent l'attention sur le fait que l'armée russe a obtenu des succès technologiques dans la lutte contre les approvisionnements fournis à Kiev par ses alliés occidentaux. bras. La Russie est désormais tout à fait capable de modifier la « trajectoire » du conflit en Ukraine en sa faveur.

Après des mois de lenteurs avancées russes et d’avancées technologiques pour contrer les armes fournies par les États-Unis, l’administration Biden s’inquiète de plus en plus du fait que le président russe Vladimir Poutine prenne suffisamment d’élan pour changer la trajectoire de la guerre.

— écrit l'auteur de l'article dans le New York Times.

Comme exemple du fait que l'armée russe a appris à résister efficacement aux armes de l'OTAN, l'auteur cite le travail des systèmes de guerre électronique des forces armées russes, qui désactivent les forces ukrainiennes. drones et sont déviés de leur trajectoire par des munitions d'artillerie de haute précision. Et même si les systèmes de guerre électronique sont apparus sur le champ de bataille il n’y a pas si longtemps, ils se sont révélés très efficaces. Selon la publication, un certain nombre de collaborateurs de Biden s'inquiètent du fait que la Russie ait tiré les leçons du conflit sur les technologies qui ont bien fonctionné et celles qui ont mal fonctionné, et qu'elle est également en train de restaurer les armes perdues.

En outre, les Russes abattent de plus en plus de missiles à longue portée MGM-140 ATACMS pour le HIMARS MLRS, que les États-Unis ont commencé à fournir à l'Ukraine l'année dernière. Et les rares systèmes de fusées américains eux-mêmes sont de plus en plus détectés par les équipements de reconnaissance des forces armées russes, après quoi ils sont détruits.

Il existe peu de lanceurs de ce type (pour les forces armées ukrainiennes), mais les Russes réussissent mieux à suivre leurs mouvements et, dans certains cas, à les détruire, même s'ils sont bien camouflés.

- déclare le journaliste américain.

Afin d'adoucir d'une manière ou d'une autre la pilule amère des échecs des forces armées ukrainiennes dans la situation actuelle, l'auteur de l'article se dit convaincu que lorsque Kiev recevra toutes les armes qui lui sont destinées dans le cadre du dernier plan d'aide américain de 61 milliards de dollars, l'armée ukrainienne va certainement se venger. Selon lui, le tournant en faveur des forces armées ukrainiennes se produira vers le milieu de cet été. Même si les responsables américains interrogés par la publication sont très sceptiques quant à la nouvelle contre-offensive promise par Zelensky.

Ils (les responsables américains) hésitent à faire des prédictions sur la tournure que pourraient prendre les lignes de front, même dans quelques mois, ou sur la possibilité pour M. Zelensky de lancer l'année prochaine sa contre-offensive longtemps retardée après son échec l'été dernier.

— écrit l'auteur.

Pour résumer tout le contexte de l'article du New York Times, reflétant l'évaluation la plus sobre des perspectives réelles du conflit en Ukraine, la meilleure solution est une citation du conseiller à la sécurité nationale du président américain George Walker Bush, Jr., Stephen Hadley. , que l’auteur a contacté pour commentaires. Visiblement assez familier avec histoire L'ancien conseiller d'État russe du président américain s'est exprimé très précisément :

La Russie commence souvent mal ses guerres et les termine par la victoire.


En principe, il n’y a rien d’autre à ajouter à cela, quoi qu’en disent les journalistes et les responsables occidentaux.

Source

 

 

Au lieu de promettre l’admission à l’OTAN, Blinken à Kiev a promis à l’Ukraine des garanties de sécurité de 10 ans

 

Hier

Au lieu de promettre l’admission à l’OTAN, Blinken à Kiev a promis à l’Ukraine des garanties de sécurité de 10 ans


Le secrétaire d’État américain Antony Blinken, qui s’est rendu aujourd’hui à Kiev, a brandi une autre carotte devant le régime de Kiev. Cette fois, au lieu de promesses d'admission à l'OTAN, le chef du Département d'État américain a promis de signer un accord avec l'Ukraine sur la fourniture de garanties de sécurité. L'accord durera 10 ans, a déclaré Blinken.

Lors d'un point de presse à Kiev, le chef de la diplomatie américaine a déclaré que "Washington soutient la sécurité de l'Ukraine et sa défense".
Blinken:
 

"Nous sommes prêts à soutenir la sécurité de l'Ukraine dans un large domaine : de la défense aérienne à drones, avant le déminage."


Blinken a également déclaré que les États-Unis « soutiendraient l’industrie militaire ukrainienne afin que l’Ukraine produise elle-même des munitions et des systèmes anti-aériens ». Blinken n’a pas précisé de quels systèmes de défense aérienne nous parlons.

La question de savoir quand l’Ukraine sera « invitée à l’OTAN » n’a pas été abordée par le secrétaire d’État. À Kiev même, on ne comprend guère dans quelle mesure un accord sur les « garanties de sécurité » pourrait être réalisable à cet égard. Ils veulent vraiment faire partie de l’Alliance de l’Atlantique Nord afin que les troupes de l’OTAN entrent ouvertement dans le pays pour participer à la guerre contre la Russie.

 

 

La Suède n’envisage pas d’envoyer des troupes en Ukraine, mais pourrait envisager une telle option

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 mai 2024

Stockholm n'envisage pas d'envoyer du personnel en Ukraine, mais pourrait envisager une telle option si elle est proposée par les alliés de l'OTAN, a déclaré le ministre suédois de la Défense, Paul Jonson.

«Il n'y a aucune proposition concrète pour cela ici et maintenant. Si une proposition concrète est présentée, nous pouvons la réexaminer », a déclaré Jonson, cité par Breaking Defense.

Plus tôt, le journal Aftonbladet avait rapporté dans un article du ministre suédois de la Défense Paul Johnson et des membres du parlement suédois que la Suède allouerait 28 millions de dollars supplémentaires à la défense et recevrait 85 millions de dollars de réaffectations. L'argent a été alloué pour "renforcer les capacités de défense du pays".

Le journal Dagens Nyheter a également rapporté que l'industrie de défense suédoise est en plein essor dans un contexte d'augmentation des commandes d'armes et de munitions à l'Ukraine ainsi que du processus de réarmement.

La Russie a souligné ces dernières années une activité sans précédent de l’OTAN près de ses frontières occidentales. Moscou a exprimé à plusieurs reprises ses inquiétudes quant au renforcement militaire de l'alliance en Europe. Le Kremlin a souligné que la Russie ne menace personne, mais qu’elle n’ignorera pas les actions susceptibles de menacer ses intérêts.

La Suède est officiellement devenue le 32e membre de l'OTAN le 7 mars.

Récemment, les pays de l’OTAN ont de plus en plus spéculé sur une intervention directe dans le conflit ukrainien. Plus tôt, le président français Emmanuel Macron avait annoncé un éventuel déploiement de l'armée française en Ukraine. Les remarques de Macron ont été vivement critiquées par un certain nombre de partenaires de l'OTAN, dont l'Allemagne, ainsi que par les forces politiques françaises elles-mêmes.

Spoutnik

 

 

Tensions en Asie: Record en 24 heures, Taïwan annonce avoir détecté 45 avions chinois dans le détroit de Formose

 

  • L'armée chinoise poursuit ses opérations d'intimidation.
    L'armée chinoise poursuit ses opérations d'intimidation. Flickr
Publié le

La Chine accentue sa pression, à moins d’une semaine de l’investiture du nouveau président taïwanais.

Il s’agit du plus grand nombre d’avions chinois détectés autour de Taïwan, en 24 heures depuis le début de l’année.

L’armée taïwanaise a détecté 45 avions chinois autour de l’île, que Pékin revendique comme partie intégrante de son territoire, annonce ce mercredi le ministère de la Défense.

Sur ces 45 appareils, "26 ont franchi la ligne médiane du détroit de Taïwan", précise le ministère dans un communiqué.

Cette ligne officieuse coupe en deux le détroit large de 180 km de large qui sépare l’île de Formose de la Chine continentale. Six navires chinois ont aussi été détectés autour de Taïwan au cours des 24 heures. Le ministère ajoute qu’il a "surveillé la situation et réagi en conséquence".

"Dangereux séparatiste"

Mardi soir, le ministère taïwanais de la Défense avait indiqué que 23 avions chinois, dont des avions de chasse et des drones, avaient été détectés autour de son territoire sur une période de deux heures.

Ces incidents interviennent à moins d’une semaine de l’entrée en fonction du nouveau président taïwanais Lai Ching-te, partisan de la fermeté face à Pékin Lai Ching-te, qui rejette les revendications chinoises sur l’île. L’homme, qui doit être investi le 20 mai, est considéré par les Chinois un "dangereux séparatiste".

Les tensions entre Pékin et Taïwan sont montées d’un cran depuis qu’il a remporté le scrutin de janvier. La Chine a affirmé qu’elle ne renoncerait pas à l’usage de la force pour placer Taïwan sous son contrôle.

Ces dernières années, elle a accentué sa pression militaire sur l’île en envoyant presque quotidiennement des avions de guerre et des navires dans son voisinage.

Source

 

 

 

Guerre Israël-Hamas - direct :

les Palestiniens continuent de fuir Rafah face à l'avancée des chars israéliens

 

Les civils continuent de fuir mercredi les bombardements dans le sud de la bande de Gaza, où l'armée israélienne menace de mener une offensive majeure contre Rafah. Selon plusieurs médias, l'exécutif américain a notifié le Congrès qu'il allait procéder à une livraison d'armes à Israël, une semaine après avoir menacé de ne plus fournir certains armements à Israël en cas d'assaut sur Rafah. Le Congrès doit encore approuver cette livraison d'armes. Suivez en direct la situation au Proche-Orient.

L'essentiel

  • Des dizaines de milliers de civils continuent de fuir mercredi la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, pilonnée par Israël et menacée d'une offensive terrestre d'envergure, le jour où les Palestiniens marquent l'anniversaire de la Nakba, la "Catastrophe" que fut pour eux la création d'Israël en 1948.

 

Selon Benjamin Netanyahu, Israël a évité la "catastrophe humanitaire" à Rafah

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a estimé mercredi qu'Israël avait évité la "catastrophe humanitaire" redoutée par la communauté internationale à Rafah, où s'entassent 1,4 million de personnes à la lisière sud de la bande de Gaza et théâtre depuis une semaine d'une opération militaire israélienne.

 

"Pour le moment, près d'un demi million de personnes ont évacué la zone des combats à Rafah. La catastrophe humanitaire dont on a parlé ne s'est pas produite et ne se produira pas", a-t-il assuré dans un communiqué, ajoutant que les forces israéliennes "combattaient à travers la bande de Gaza (...) tout en évacuant la population civile et remplissant (ses) obligations de répondre à ses besoins humanitaires".

 

 

 

Pour Erdogan, Israël s'en prendra à la Turquie si le Hamas est vaincu

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a soutenu qu'Israël s'en prendra à la Turquie "tôt ou tard" s'il parvient à défaire le Hamas dans la bande de Gaza.

"Ne pensez pas qu'Israël s'arrêtera à Gaza", a lancé le chef de l'État aux députés de son parti, l'AKP, à Ankara.

"Si on ne l'arrête pas, cet État voyou et terroriste jettera tôt ou tard son dévolu sur l'Anatolie", a-t-il jugé, faisant référence à la partie de la Turquie située en Asie mineure et qui représente la plus grande partie de son territoire.

 

 

L'Irlande va reconnaitre un État palestinien d'ici la fin mai

L'Irlande va "certainement" reconnaître un État palestinien avant la fin du mois de mai, a déclaré le ministre irlandais des Affaires étrangères Micheal Martin, sans indiquer de date précise.

"Nous reconnaîtrons l'État de Palestine avant la fin du mois", a affirmé Micheal Martin, qui est également vice-premier ministre de l'Irlande, sur la radio Newstalk.

En mars, les dirigeants de l'Espagne, de l'Irlande, de la Slovénie et de Malte avaient déclaré dans un communiqué commun être prêts à reconnaître l'État palestinien. 

 

 

Washington informe le Congrès d'une livraison d'armes à Israël pour un milliard de dollars

L'exécutif américain a notifié mardi le Congrès qu'il allait procéder à une livraison d'armes à Israël pour environ un milliard de dollars, a appris l'AFP de sources proches du dossier, une semaine après avoir menacé de ne plus fournir certains armements à Israël en cas d'assaut sur Rafah.

Le Congrès doit encore approuver cette livraison d'armes, a fait savoir un responsable américain, une source parlementaire indiquant que le montant total est d'environ un milliard de dollars.

Selon le Wall Street Journal, qui a d’abord révélé l’information, cette livraison inclut 700 millions de dollars de munitions pour tank et 500 millions pour des véhicules militaires tactiques. Ce paquet d’aide est dépensé au sein de l’immense plan d’aide américain à l’Ukraine, Israël et Taïwan, d’un montant total de 95 milliards de dollars, dont 13 milliards pour Israël, voté par le Congrès fin avril.

DIRECT

 

 

 

« Nous savons qui est le cerveau » : Erdogan commente les informations faisant état d'un possible coup d'État

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 mai 2024

ANKARA (Sputnik) - Les autorités turques savent parfaitement qui sont les organisateurs d'un éventuel complot, a déclaré mercredi le président turc Recep Tayyip Erdogan.

"Ceux qui veulent rembourser leur dette envers FETO [l'organisation du prédicateur islamique Fethullah Gülen désignée terroriste par la Turquie et accusée d'avoir tenté un coup d'État en 2016] ne restent jamais les bras croisés. Nous savons ce que font ceux qui veulent diviser les gens. Nous savons très "Et bien, qui est la marionnette, qui fait la fête et qui est le cerveau. Aussi dégoûtant que cela puisse paraître, nous ne tomberons pas dans ce piège, ce qui nous convient, c'est la dignité et la tolérance", a déclaré Erdogan. une réunion du Parlement.

Plus tôt dans la journée, le journal turc a rapporté qu'Erdogan avait tenu une réunion d'urgence avec les chefs des services de renseignement et du ministère de la Justice après que son allié, le chef du Parti du mouvement nationaliste, Devlet Bahceli, ait mis en garde contre un possible coup d'État préparé par la loi. les organismes d'application. Le limogeage de plusieurs policiers de la direction de la sécurité d'Ankara accusés de liens avec l'organisation criminelle Ayhan Bora Kaplan a suscité une vive inquiétude.

Spoutnik

 

 

 

Les États-Unis « se font du mal » : Washington menace de sanctions contre l’Inde en réponse à l’accord avec l’Iran

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 mai 2024

Au cours des trois dernières années, les États-Unis ont imposé à l’Iran plus de 600 sanctions similaires.

Lundi, lors d'un point de presse du Département d'État américain, le porte-parole américain Vedant Patel a menacé l'Inde de sanctions si elle choisissait de faire des affaires avec Téhéran. Cette annonce intervient quelques heures après que l'Iran et l'Inde ont signé un contrat de 10 ans pour développer et exploiter le port de Chabahar.

"Nous sommes au courant de ces informations selon lesquelles l'Iran et l'Inde ont signé un accord concernant le port de Chabahar", a déclaré Patel. "Toute entité, quiconque envisage de conclure des accords commerciaux avec l'Iran, doit être consciente du risque potentiel auquel elle s'expose, du risque potentiel de sanctions."

Mardi, le Dr Mohammad Marandi, professeur de littérature anglaise et d'orientalisme à l'Université de Téhéran, a rejoint l' émission The Critical Hour de Spoutnik pour discuter des « risques potentiels » des sanctions imposées par les États-Unis.

«Je pense qu'il est tout à fait clair que les États-Unis ont dépassé depuis longtemps le point où les pays tolèrent l'imposition de sanctions à différents pays et entités. Les États-Unis tentent d’imposer leurs conditions à la Chine, à la Russie, à l’Inde, au Brésil, à l’Iran et à l’Afrique du Sud », a déclaré Marandi. "Et plus cela se produit, plus cela crée de l'animosité et plus il y a d'incitation à créer des institutions financières et des moyens d'échanges commerciaux qui ne soient pas contrôlés par les États-Unis."

«À long terme, les Etats-Unis se font du mal plus que quiconque, car une fois que le dollar américain perdra de son importance, cela signifie qu'il y aura un excès de dollars et cette inflation du dollar américain que nous observons aux Etats-Unis - la constante l’impression de monnaie - va se faire de plus en plus sentir aux États-Unis », a-t-il ajouté.

« En attaquant efficacement l’Inde de cette manière, [les États-Unis] créent un fossé plus large entre eux et ce pays à l’heure où nous approchons du prochain sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai et également du prochain sommet des BRICS. Et la Russie, en particulier, ainsi que la Chine et l’Iran, sont très désireuses de profiter des mois à venir pour se coordonner afin de créer ces institutions.»

Garland Nixon, de Spoutnik, a suggéré que les Américains qui bénéficient de décisions de politique étrangère comme celles-ci constituent le « petit groupe de milliardaires ». Ajoutant toutefois que de telles politiques ne profitent pas à la majorité des travailleurs.

« Je pense que beaucoup de gens le reconnaissent lorsque nous parlons des États-Unis, nous parlons de ces élites », a déclaré Marandi. «Il existe un fossé profond entre ce que veulent les Américains et ce que veut le régime de Washington. Et vous avez tout à fait raison : ceux qui en profitent. Et ils ne profitent plus de ces sanctions, car à cause de ces sanctions, cette époque est révolue.»

« Les États-Unis sont un régime brutal et barbare qui n’abandonnera pas. Il ne lâchera rien. Ils veulent renverser le gouvernement et, ce faisant, ils sont prêts à faire souffrir les gens autant qu'ils le peuvent", a-t-il ajouté. " C'est la nature des États-Unis, c'est la nature du régime de Washington . Et les Américains ordinaires comprennent de plus en plus cela, en partie à cause du déclin des États-Unis, évidemment. Ils constatent que les moyens de subsistance dont disposaient leurs parents n’existent plus dans le monde d’aujourd’hui. Mais je pense que beaucoup de jeunes Américains le sont, ils ont de grands principes. »

Le ministère indien des Transports maritimes a annoncé lundi la signature d'un accord de 370 millions de dollars entre Indian Ports Global Limited (IPGL) et l'Organisation portuaire et maritime (PMO) d' Iran . L'Inde a conclu pour la première fois un accord pour développer le port en 2016, mais le processus a été bloqué pendant deux ans par les sanctions américaines qui ont été réimposées après le retrait unilatéral de Washington de l'accord nucléaire de 2015 avec l'Iran.

En 2018, l’Inde a accepté de reprendre les opérations du port, permettant ainsi à une route de transit ouverte pour les marchandises indiennes d’atteindre l’Afghanistan et l’Asie centrale tout en évitant la route terrestre du Pakistan. Jusqu'à présent, un total de 2,5 millions de tonnes de blé et 2 000 tonnes de légumineuses ont été transportées avec succès de l'Inde vers l'Afghanistan via le port.

« Je pense que les États-Unis et l’Europe s’orientent vers un plus grand despotisme et un plus grand contrôle sur leurs populations. Mais je pense qu'en même temps, il y a un énorme réveil à travers le monde et en particulier aux États-Unis et en Europe, et ils n'ont pas le pouvoir de contrôler les événements au-delà de l'Europe et des États-Unis », a ajouté le professeur.

« Et je pense qu'ils ont aussi des problèmes à la maison. Donc, ils ont beaucoup à faire – les régimes – ont beaucoup à faire. Et je pense qu'il leur sera très difficile de contrôler ces jeunes Américains et Européens », a déclaré Marandi. "Je suis optimiste quant à l'avenir, mais je reconnais également que les mois et les années à venir seront très difficiles."

Les sanctions imposées par Washington à Téhéran resteront en vigueur et seront maintenues sans aucune exemption pour New Delhi, a déclaré le porte-parole américain. L’Inde n’a pas répondu aux menaces américaines, mais Téhéran a déclaré que Washington était « accro » aux sanctions.

Spoutnik

 

 

Note :  les américains n'ont pas conscience que leurs sanctions à tous va, va coaliser le reste du monde contre eux (et nous). Je pense de plus en  plus que l'inde se rangera au côté de la Russie, Chine et Corée du Nord (et pays musulmans, peut-être même l'Amérique du Sud) dans le conflit à venir. Le Royaume uni ayant une grande proportion d'immigré d'inde et du Pakistan, peut se faire du souci 

 

Violences en Nouvelle-Calédonie : nouvelle nuit d’émeutes, 130 interpellations et une soixantaine de blessés parmi les forces de l’ordre, deux civils tués, un gendarme entre la vie et la mort (MàJ : état d’urgence décrété)

 
 
15/05/2024

Les violences ont finalement accouché d’un drame. Une personne est décédée par balle dans la nuit de mardi à mercredi à Nouméa pendant les émeutes qui secouent l’archipel 

« Des trois blessés admis aux urgences, il y en a un qui est mort, victime d’un tir par balle. Pas d’un tir de la police ou de la gendarmerie, mais de quelqu’un qui a certainement voulu se défendre », a déclaré le représentant de l’Etat devant la presse, sans donner d’autres détails.

20 minutes

Encore une nuit d’affrontements et d’incendies à Nouméa et dans le Grand Nouméa. Les blocages et pillages ont continué dans la nuit du 14 au 15 mai. De grandes enseignes du territoire ont pris feu. 130 personnes ont été interpellées. C’est le troisième jour de violences en Nouvelle-Calédonie. A Paris, les débats à l’Assemblée nationale sur le dégel du corps électoral continue.

La1ere

15/05/24

DÉCRYPTAGE – Les exactions commises dans la nuit de lundi à mardi, sur fond de réforme contestée par les indépendantistes, font craindre au gouvernement un cycle de violences.

Des maisons brûlées, des voitures calcinées, des tirs à la carabine de chasse contre des gendarmes, des pillages… La Nouvelle-Calédonie s’est réveillée sonnée, mardi, par une nuit de violentes émeutes dans l’agglomération de Nouméa. Au point qu’un couvre-feu la nuit suivante a été décrété et que le gouvernement local a lancé un appel au calme, au moment où l’Assemblée nationale examine, à Paris, une réforme de la Constitution contestée par les indépendantistes. Explications en cinq questions-réponses.

 

Que prévoit la réforme contestée de la Constitution ?

Cruciale pour la Nouvelle-Calédonie, cette réforme de la Constitution fait suite aux trois référendums sur l’indépendance remportés par le camp du «non» entre 2018 et 2021. La raison des crispations: elle prévoit d’élargir à de nouveaux électeurs le droit de vote aux élections provinciales, le scrutin local le plus important. Dans cet archipel marqué par de subtils équilibres politiques, les indépendantistes craignent que les Kanaks soient «noyés» dans le corps électoral et demandent le retrait de cette réforme. Leurs opposants loyalistes réclament «les mêmes droits» qu’ailleurs dans le pays.

Exception en France, des milliers d’habitants – près d’un inscrit sur cinq – sont privés de droit de vote à ces élections. Ceux installés en Nouvelle-Calédonie après 1998, année de l’accord de Nouméa qui a encadré la série des référendums. C’est en vertu du compromis trouvé avec les Kanaks, qui refusent de se voir «dilués» dans une liste électorale trop étendue, que Jacques Chirac avait décidé en 2007 de la «geler» ainsi.

Le Figaro

 

 

Narcotrafic : la France est “submergée” alerte une commission d’enquête du Sénat. “Aucun territoire n’est épargné” par le fléau du trafic de drogue

 
15/05/2024

Un rapport de 600 pages, que le Sénat a rendu public ce mardi, décrit la France comme submergée par le narcotrafic. Cette publication intervient alors qu’un convoi pénitentiaire a été attaqué à la voiture bélier dans l’Eure, et fait au moins deux morts parmi les agents de surveillance, pour libérer le détenu transporté. Mohamed Amara, alias La Mouche, s’avère justement être un acteur du narcotrafic. (…)

“Combien de procédures judiciaires ont été ouvertes après les opérations ‘Place nette’ de Marseille ou d’ailleurs ? Quel a été ensuite le sort réservé à ceux qui ont été traduits devant des juridictions lors des opérations qui sont un peu récents ?”

“On ne peut pas se contenter de cela”, assène Etienne Blanc. “Ce n’est pas inutile, il faut le dire, mais ça n’est pas suffisant pour lutter contre le trafic”

Europe 1

(…) Alors que depuis quelques années le terme de « narco-État » est parfois employé à l’adresse de certains pays d’Europe du Nord, tels la Belgique et les Pays-Bas, pour la première fois une commission d’enquête tentait de dresser un bilan global en France. Celui-ci n’est guère réjouissant quant à un phénomène qui touche tout le territoire, des métropoles à la « France des sous-préfectures ». « Le pays est submergé », pointe le rapporteur LR Étienne Blanc, citant un chiffre d’affaires estimé entre 3 et 6 milliards d’euros par an pour le trafic de stupéfiants en France. (…)

Parmi la batterie de mesures préconisées figure la création d’un Parquet national antistupéfiants, sur le modèle du Parquet national financier (PNF) et du Parquet national antiterroriste (Pnat), afin de « spécialiser » et « incarner » la lutte contre les trafics. Sur le volet répressif, les parlementaires souhaitent la création d’une « DEA [Drug enforcement administration aux États-Unis, NDLR] à la française » en renforçant les moyens de l’Office antistupéfiants (Ofast), qui deviendrait « chef de file » en cette matière en ayant autorité sur les autres services d’enquête. (…)

Sud Ouest

(…) Les auteurs du rapport expliquent avoir “découvert l’ampleur, la complexité et l’enracinement” de ce “fléau” débouchant parfois sur de véritables scènes de guerre. C’est la situation à Marseille qui a déclenché le travail de la commission d’enquête, mais “le phénomène est national, précise Jérôme Durain. Il n’épargne aucun territoire, des grandes villes aux sous-préfectures”, sous l’effet notamment des réseaux sociaux qui ont accéléré “l’ubérisation” du trafic.

Selon le sénateur socialiste, la “mesure du risque” n’a pas été prise à temps : “si cela avait été le cas, la France serait déjà dotée des moyens suffisants”. (…)

Le Populaire du Centre

 

Les Démocrates Suédois négocieraient actuellement avec le gouvernement pour créer les conditions propices à la remigration des personnes qui ne se sont pas intégrées.

 
15/05/2024
Åkesson forhandler nå med regjeringen om repatriering

Le mois prochain (6-9 juin), auront lieu les élections au Parlement européen. Le slogan des Démocrates de Suède (SD) avant les élections est : « Mon Europe construit des murs », une attaque mal dissimulée contre ceux qui, lors de la crise migratoire de 2015-2016, voulaient briser les frontières extérieures de l’Europe. Le chef du parti, Jimmie Åkesson, souligne qu’il est important de sécuriser les frontières extérieures et intérieures.

“Aujourd’hui, si nous voulons surveiller nos frontières, comme le pont de l’Øresund, nous ne pouvons pas le faire, mais nous devons aller à Bruxelles chapeau à la main et demander en mendiant si nous sommes autorisés à sécuriser notre frontière ou non”, dit Åkesson.

Il s’attend à ce que la pression migratoire, notamment à travers la Méditerranée, augmente à l’approche de l’été, et estime qu’il est important que l’Europe s’unisse pour retourner à nouveau les bateaux vers l’Afrique. Il souligne en outre les procédures d’asile pour ceux qui parviennent à entrer illégalement en Europe. L’Italie envoie ces migrants et demandeurs d’asile en Albanie pendant que la demande d’asile est traitée. Il estime donc qu’il est possible que d’autres pays de l’UE fassent de même.

La gauche détient la majorité au Parlement européen, et Åkesson estime que renverser cette majorité sera crucial pour le futur profil de l’immigration en Europe. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’une politique d’immigration réaliste pourra être mise sur la table, estime-t-il.

www.rights.no

 

Amiens (80) : un habitant frappé puis menacé au tournevis par Ahmed, un voleur algérien déjà condamné à 9 reprises. Le migrant, qui est en plus un clandestin, écope de dix mois de prison

 
14/05/2024

(…) un automobiliste a la surprise de voir deux pieds dépasser de l’arrière de sa voiture. Ahmed Karouche, 36 ans, un Algérien en situation irrégulière, est en train de chercher un objet à voler dans l’automobile. L’automobiliste l’empoigne. Karouche lui donne un coup et tente de l’asperger de bombe lacrymogène, tout en sortant un tournevis.

Un témoin confirme cette scène. Au contraire, Karouche, déjà condamné neuf fois, dont sept pour vol, affirme qu’il voulait « juste dormir » et que c’est la victime qui l’a attaqué. Jugement : 10 mois de prison avec sursis, maintien en détention.

Courrier Picard

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