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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 13 déc 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : « Bien sûr, on ne peut pas gagner sans aide », lance Volodymyr Zelensky lors d’une conférence de presse à Oslo…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Volodymyr Zelensky a affirmé mardi, au dernier jour de sa tournée américaine, avoir reçu des signaux « positifs » du Congrès américain sur l’adoption d’une aide cruciale pour son pays en guerre, mais très débattue. Et le président ukrainien est arrivé ce mercredi à Oslo pour une rencontre avec les dirigeants des cinq pays nordiques qui comptent parmi les principaux donateurs de l’Ukraine dans son combat contre l’agression russe.
  • Le président américain Joe Biden s’est, lui, engagé mardi à ne pas « tourner le dos à l’Ukraine », malgré les tractations poussives au Congrès sur une nouvelle enveloppe d’aide pour Kiev.
  • Enfin, plus de cinquante personnes ont été blessées mercredi dans une attaque nocturne de missiles sur Kiev, bilan le plus lourd depuis des mois et nouvelle illustration de la pression militaire croissante de la Russie.

 

11h53 : Vers l'approbation d'une aide européenne de 50 milliards d'euros ?

L'ouverture de négociations d'adhésion à l'UE et l'approbation d'une aide européenne de 50 milliards d'euros, sous forme de dons et de prêts, en faveur de l'Ukraine seront aussi au menu d'un sommet européen à Bruxelles jeudi et vendredi.

Mais là aussi, il y a des obstacles.

Le nationaliste hongrois Viktor Orban, seul dirigeant de l'UE à avoir maintenu des liens étroits avec le Kremlin après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, a menacé de bloquer ces décisions clés pour l'Ukraine.

 

11h52 : Une nouvelle aide de la Norvège

Depuis le début de la guerre en février 2022, les pays nordiques ont apporté une assistance conséquente à l'Ukraine. La Norvège a consenti en début d'année une aide pluri-annuelle, civile et militaire, de 6,8 milliards d'euros à l'Ukraine sur la période 2023-2027. La Norvège et le Danemark voisin ont déjà donné notamment des chars, des canons et des munitions et promis qu'ils fourniraient des chasseurs F-16 à l'armée ukrainienne qui demande de tels appareils avec insistance. La Suède réfléchit quant à elle à l'envoi d'avions de chasse Gripen.

Mercredi, la Norvège a annoncé le versement d'un peu plus de 250 millions d'euros à Kiev dans le cadre de cette enveloppe, y compris de nouveaux armements antiaériens cruciaux alors que le pays continue d'être bombardé par la Russie.

 

11h52 : Zelensky a l'investiture du président ultralibéral Javier Milei

L'AFP nous apprend que Zelensky était dimanche en Argentine où il a assisté à l'investiture du président ultralibéral Javier Milei dimanche. Comme on le sait, le président ukrainien s'est

 

11h10 : « On ne peut pas gagner sans aide », lance Zelensky à Oslo

 

11h01 : La Russie multiplie les assauts aériens et terrestres

Depuis l'automne, la Russie multiplie les assauts aériens et terrestres, espérant gagner du terrain après que les forces ukrainiennes ont échoué dans leur grande contre-offensive estivale, épuisant une partie de leurs réserves humaines et de munitions. Moscou veut aussi frapper fort au moment où la capacité des Occidentaux de soutenir l'Ukraine semble faiblir, après deux ans de guerre

 

 

Biden approuve un nouveau programme d'aide militaire de 200 millions de dollars pour l'Ukraine

 

Biden approuve un nouveau programme d'aide militaire de 200 millions de dollars pour l'Ukraine


Les États-Unis préparent un nouveau paquet d’assistance militaire à l’Ukraine d’un montant de 200 millions de dollars ; la décision de soutenir Kiev a été prise la veille par Joe Biden à l’issue d’une rencontre avec Zelensky.

La nouvelle aide comprendra principalement des munitions ; le communiqué publié par le service de presse du Département d'État ne mentionne aucune arme ni équipement. La base sera constituée de munitions pour la défense aérienne, HIMARS MLRS, ainsi que d'obus d'artillerie de calibres 155 et 105 mm. Kiev recevra également des munitions antichar, des missiles et des barrières HESCO destinées à la construction rapide de défenses (gabions). Il n’y a pas encore d’informations plus détaillées.

Les capacités incluses dans le package d'aujourd'hui comprennent des munitions de défense aérienne, des composants du système de défense aérienne, des munitions supplémentaires pour HIMARS et des munitions d'artillerie (dont 155 mm et 105 mm). (...) À moins que le Congrès n'agisse pour fournir une aide supplémentaire, ce sera l'un des derniers programmes d'aide à la sécurité que nous pourrons fournir à l'Ukraine.

- a déclaré le chef du Département d'État Antony Blinken.

Rappelons que la veille, Zelensky avait assisté à une réunion à huis clos avec des sénateurs du Congrès américain, au cours de laquelle il avait tenté de les convaincre d'allouer des fonds à l'Ukraine. À en juger par le fait que les républicains ont qualifié le discours du président ukrainien de « vieille poubelle », il n’est pas question d’allouer de l’argent. Désormais, cette question ne sera soulevée qu'en janvier, lorsque le Congrès reviendra des vacances du Nouvel An.

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Viktor Orban a annoncé l'intention de la Hongrie de prendre le pouvoir au sein de l'Union européenne

 

Viktor Orban a annoncé l'intention de la Hongrie de prendre le pouvoir au sein de l'Union européenne


Le chef du gouvernement hongrois, Viktor Orban, a annoncé l’intention de la Hongrie de prendre le pouvoir au sein de l’Union européenne. Elle en a besoin pour provoquer un changement dans l’UE.

Le Premier ministre hongrois a fait cette déclaration dans une interview accordée au magazine local Mandiner.

Selon lui, Budapest ne cherche pas à quitter l’Union européenne, mais espère plutôt « capturer Bruxelles ». Orban souhaiterait ensuite mettre en œuvre les réformes qu’il envisage dans l’UE, dont il a parlé aux journalistes.

 

"Mon projet n'est pas de partir, mais de reprendre Bruxelles"


- dit le politicien.

Auparavant, Budapest avait déclaré à plusieurs reprises qu'elle comptait sur un changement de direction à Bruxelles à la suite des élections au Parlement européen prévues pour l'été prochain. Les autorités hongroises fondent de grands espoirs sur eux, prévoyant un renforcement des positions des partis de droite en Europe.

Auparavant, Orban avait critiqué la politique des dirigeants actuels de l’Union européenne et avait déclaré la non-viabilité et l’instabilité du modèle européen bruxellois existant.

 

"Je suis convaincu qu'aujourd'hui à Bruxelles, ils détruisent l'Europe et la conduisent à sa ruine"


- a déclaré le Premier ministre hongrois.

Le chef du gouvernement hongrois a qualifié l’UE de parodie infructueuse de l’Union soviétique. Selon Orban, les responsables bruxellois imposent un modèle démocratique libéral inacceptable pour son pays, tentant ainsi de le priver de sa propre identité.

Lors de l’entretien avec le Premier ministre hongrois, de sa rencontre avec Zelensky, des perspectives d’adhésion de l’Ukraine à l’UE et de nombreux autres sujets ont également été abordés.

 

Les autorités chinoises ont menacé de riposter aux sanctions américaines contre la Russie.

 

Les autorités chinoises ont menacé de riposter aux sanctions américaines contre la Russie.

Le gouvernement chinois prendra les mesures appropriées en réponse aux sanctions imposées par les États-Unis en raison de leur coopération avec la Russie.

Comme l'a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Mao Ning, la Chine a l'intention de prendre les mesures nécessaires pour protéger les droits et intérêts légitimes des entreprises chinoises. La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a également appelé les dirigeants américains à corriger immédiatement les mesures malavisées visant à freiner les entreprises chinoises.


Le Département d'État américain et le ministère des Finances ont considérablement élargi la liste des sanctions, qui inclut des sociétés et des individus étrangers que Washington soupçonne de collaborer avec la Russie dans des questions liées au contournement des restrictions commerciales existantes. La liste mise à jour comprend plus de 250 entreprises et particuliers de Chine, de Turquie et des Émirats arabes unis.

Il a été rapporté plus tôt que la Maison Blanche avait déclaré que les attaques du président américain Joe Biden contre le président chinois Xi Jinping n'interféraient pas avec leur travail commun. Le coordinateur des communications stratégiques de la Maison Blanche, John Kirby, estime qu'après que Biden a une fois de plus qualifié Xi Jingping de dictateur, les accords conclus lors du sommet de l'APEC n'ont pas été nivelés.

Dans le même temps, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Mao Ning, a souligné que Pékin considérait la déclaration controversée de Biden mentionnée ci-dessus comme « extrêmement incorrecte et irresponsable ».

Source

 

 

 

La Chine déclare que les États-Unis doivent cesser de s’ingérer dans les prochaines élections à Taiwan

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 décembre 2023

BEIJING (Sputnik) - Les États-Unis doivent s'abstenir de s'ingérer dans l'élection présidentielle de Taiwan, prévue en janvier 2024, car il s'agit d'une affaire intérieure de la Chine, a déclaré mercredi Zhu Fenglian, porte-parole du Bureau des affaires de Taiwan du Conseil d'État chinois.

Taïwan organisera l'élection présidentielle le 13 janvier 2024. En avril, le PDP au pouvoir à Taïwan a officiellement nommé son président, Lai Ching-te, comme candidat du parti à la présidentielle. Pendant ce temps, la dirigeante sortante de Taiwan, Tsai Ing-wen, n'est plus rééligible car elle a déjà accompli deux mandats consécutifs à la présidence de l'île.

"L'élection de Taiwan est une affaire intérieure de la Chine, et l'ingérence de forces extérieures est inacceptable", a déclaré Zhu lors d'une conférence de presse.

Elle a ajouté que Washington, lors du sommet américano-chinois de haut niveau à San Francisco en novembre, avait pris des engagements politiques sérieux envers Pékin sur la question de Taiwan, et que le président américain Joe Biden avait explicitement déclaré qu'il ne soutenait pas « l'indépendance de Taiwan ».

"Les États-Unis doivent tenir leurs promesses, cesser d'envoyer de faux signaux aux forces indépendantistes de Taiwan et cesser de s'ingérer dans les élections à Taiwan", a déclaré Zhu.

Sandra Oudkirk, directrice de l'Institut américain de Taiwan, a déclaré plus tôt que Taiwan avait subi de graves cyberattaques qui seraient une tentative de détruire le « système démocratique » de l'île et a accusé la Chine continentale de tenter d'interférer dans les élections de 2024 à Taiwan.

Taiwan est gouvernée indépendamment de la Chine continentale depuis 1949. Pékin considère l'île comme sa province, tandis que Taiwan maintient qu'elle est une entité autonome mais ne déclare pas son indépendance. Pékin s'oppose à tout contact étranger officiel avec Taipei et considère la souveraineté chinoise sur l'île comme incontestable.

La dernière escalade autour de Taiwan a eu lieu en avril après que la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a rencontré aux États-Unis Kevin McCarthy, alors président de la Chambre des représentants des États-Unis. Pékin a répondu en lançant des exercices militaires massifs de trois jours près de l’île, ce qu’il a appelé un avertissement aux séparatistes taïwanais et aux puissances étrangères. En août et septembre, les forces armées taïwanaises ont signalé de multiples observations de patrouilles navales et aériennes chinoises à proximité de l'île. Le 18 septembre, le ministère a fait état d'un nombre record de 103 avions chinois aperçus près de l'île en une journée.

Spoutnik

 

 

Guerre Hamas – Israël EN DIRECT : Cent quinze soldats israéliens tués à Gaza depuis le début du conflit…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Israël fait face ce mercredi aux pressions croissantes de ses alliés pour sa guerre contre le Hamas, le président américain Joe Biden dénonçant des « bombardements aveugles » dans la bande de Gaza où la situation humanitaire est catastrophique.
  • L’Assemblée générale de l’ONU a réclamé mardi soir « un cessez-le-feu humanitaire immédiat » à Gaza, dans une résolution adoptée par 153 voix pour, 10 contre, et 23 abstentions. Une majorité écrasante qui a même dépassé celles qu’avaient rassemblées les résolutions condamnant l’invasion russe de l’Ukraine. Le texte, non contraignant, ne condamne par contre pas le Hamas. Une absence fustigée par Israël et les Etats-Unis qui ont voté contre.
  • Dans une rare déclaration commune, les Premiers ministres canadien, australien et néo-zélandais se sont déclarés ce mercredi « alarmés par la diminution de l’espace de sécurité pour les civils à Gaza ». « Le prix à payer pour vaincre le Hamas ne peut être la souffrance continue de tous les civils palestiniens », ont-ils ajouté.

 

 

13h15 : Moscou appelle l’ONU à organiser une conférence internationale sur le conflit israélo-palestinien

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a appelé mercredi les Nations unies à convoquer une conférence internationale sur le règlement du conflit israélo-palestinien, y voyant le seul moyen possible de régler la crise « pour toujours ».

« La seule voie possible pour régler ce problème pour toujours et le régler de manière juste est d’organiser une conférence internationale avec la participation obligatoire des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, de la Ligue arabe, de l’Organisation de coopération islamique et du Conseil de coopération du Golfe », a déclaré Sergueï Lavrov à la presse, après une intervention devant les sénateurs russes.

 

11h24 : Ursula Von der Leyen favorable à des sanctions contre les colons « extrémistes » en Cisjordanie

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a dit mercredi être « favorable » à des sanctions contre les colons « extrémistes » en Cisjordanie, dénonçant devant le Parlement européen la « montée » de leur violence qui menace, selon elle, la stabilité de la région.

« La montée de la violence des colons extrémistes inflige d'immenses souffrances aux Palestiniens. Elle compromet les perspectives de paix durable et elle pourrait aggraver davantage l'instabilité régionale. C'est pour ça que suis en faveur de sanctionner ceux qui sont impliqués dans les attaques en Cisjordanie », a déclaré à Strasbourg Ursula von der Leyen, qui s'exprimait en français.

 

09h05 : Cent quinze soldats israéliens tués à Gaza depuis le début de l'offensive

L'armée israélienne a annoncé mercredi la mort de 115 soldats dans la bande de Gaza depuis le début de l'offensive contre le Hamas palestinien. Dix soldats sont morts durant les combats dans le nord de la bande de Gaza mardi, journée la plus meurtrière pour l'armée israélienne depuis le déclenchement de ses opérations terrestres le 27 octobre dans le territoire palestinien.

 

6h25 : Australie, Canada et Nouvelle-Zélande dénoncent les « souffrances continues » des Palestiniens à Gaza

Les dirigeants de l’Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande se sont alarmés ce mercredi des « souffrances continues » des Palestiniens et ont appelé à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Dans une déclaration conjointe, les Premiers ministres australien Anthony Albanese, canadien Justin Trudeau et néo-zélandais Christopher Luxon ont défendu le droit pour leur allié israélien de combattre le Hamas, en représailles à l’attaque sanglante du 7 octobre qui a fait 1.200 morts en territoire israélien. Mais ils se sont également inquiétés du pilonnage continu de la bande de Gaza par Israël, où ont péri plus de 18.000 personnes, selon le Hamas.

« Nous sommes alarmés par la diminution de l’espace de sécurité pour les civils à Gaza », ont-ils déclaré. « Le prix à payer pour vaincre le Hamas ne peut être la souffrance continue de tous les civils palestiniens », ont ajouté les trois dirigeants.

 

6h15 : Biden met en garde Israël sur les bombardements « aveugles » à Gaza

Fervent soutien d’Israël, Joe Biden a critiqué mardi de manière inédite le gouvernement israélien pour son opposition à une solution « à deux Etats » et l’a mis en garde contre une érosion du soutien international à cause des bombardements « aveugles » à Gaza.

C’est la première fois depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 7 octobre, que le président américain affiche aussi publiquement ses divergences avec la stratégie menée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, avec qui il entretient des relations compliquées.

 

HIER

22h32 : L’Assemblée générale de l’ONU réclame un « cessez-le-feu humanitaire » à Gaza

Prenant le relais du Conseil de sécurité paralysé, l'Assemblée générale de l'ONU a réclamé ce mardi à une écrasante majorité « un cessez-le-feu humanitaire immédiat » à Gaza, un texte non contraignant voulant mettre la pression sur Israël et son allié américain.

La résolution a été adoptée par 153 voix pour, 10 contre (dont Israël et les Etats-Unis), et 23 abstentions sur 193 Etats membres, tandis qu'un amendement américain voulant ajouter une condamnation des « attaques terroristes abominables du Hamas » du 7 octobre a été rejeté.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre Israël-Hamas : Biden appelle Netanyahou à changer le gouvernement et estime qu'Israël ne peut plus dire non à un Etat palestinien

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 décembre 2023

Le président américain Joe Biden a déclaré mardi que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu devait changer son gouvernement ultra-conservateur, estimant qu'Israël commençait à perdre le soutien de la communauté internationale avec ses bombardements indiscriminés dans la bande de Gaza.

Au cours d'un événement de collecte de fonds organisé à Washington dans le cadre de sa campagne de réélection, Joe Biden a dit aussi qu'Israël ne pourrait plus dire non à un Etat palestinien à l'avenir, accentuant la pression sur l'allié de longue date des Etats-Unis. Ces commentaires du président américain constituent un signal supplémentaire de l'inquiétude croissante de Washington à l'égard de l'offensive menée par Israël dans la bande de Gaza en réponse à l'attaque du Hamas du 7 octobre. Ils interviennent alors que le conseiller à la sécurité nationale de la Maison blanche, Jake Sullivan, devrait se rendre cette semaine en Israël pour s'entretenir avec le gouvernement de guerre mis sur pied par Benjamin Netanyahu.

Les bombardements israéliens menés dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre ont fait plus de 18.000 morts, selon le dernier bilan des autorités palestiniennes, et provoqué une crise humanitaire dans l'enclave où vivent quelque 2,3 millions d'habitants, dont de nombreux enfants. Israël "commence à perdre ce soutien", a déclaré Joe Biden en référence à l'inquiétude de la communauté internationale à propos des frappes contre l'enclave palestinienne. Le président américain a fermement soutenu par le passé l'offensive israélienne contre les combattants du Hamas mais lui-même et ses conseillers ont aussi exprimé leur préoccupation à l'égard du sort des civils palestiniens.

"Il doit prendre des décisions"

Si Benjamin Netanyahu a dit avoir le soutien des Etats-Unis pour son objectif annoncé d'éradiquer le Hamas et de récupérer les otages emmenés par le mouvement palestinien à Gaza, les deux alliés ont des divergences sur l'après-guerre. Joe Biden a déclaré mardi qu'Israël ne pourrait au bout du compte "pas dire non" à un Etat palestinien, auquel s'opposent les Israéliens les plus conservateurs. "Nous avons une opportunité pour commencer à unifier la région (...) Mais nous devons nous assurer que 'Bibi' comprenne qu'il doit prendre des décisions (...) Vous ne pouvez pas dire non à un Etat palestinien (...) Ça va être la partie difficile", a-t-il dit, en désignant le chef du gouvernement israélien par son surnom. Le président américain a ajouté que Benjamin Netanyahu devait "changer" le gouvernement israélien, qu'il a décrit comme "le plus conservateur de l'histoire du pays". "Ce gouvernement en Israël rend les choses vraiment difficiles", a-t-il déclaré. Il a mentionné spécifiquement Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité nationale, issu de l'extrême droite.

Au cours d'un forum organisé dans la journée par le Wall Street Journal, le conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden a indiqué qu'il allait évoquer avec les responsables israéliens leur calendrier pour la guerre à Gaza. Jake Sullivan a imputé au Hamas la responsabilité de la fin de la trêve avec Israël, qui a duré environ une semaine fin novembre, reprochant au groupe palestinien d'avoir refusé de libérer davantage d'otages. "Le Hamas détient toujours à ce jour des femmes, des personnes âgées, des civils en grand nombre (...) Nous pensons donc qu'Israël a le droit de se défendre", a-t-il déclaré.

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Reuters : le dernier sondage montre que Trump devance Biden de quelques points de pourcentage

 

Reuters : le dernier sondage montre que Trump devance Biden de quelques points de pourcentage

Bien qu'il reste presque onze mois avant les élections présidentielles aux États-Unis, la bataille électorale dans le pays entre les démocrates représentés par le président Biden et les républicains représentés par l'ancien président Trump bat son plein.

Naturellement, il existe de nombreuses enquêtes sociologiques auprès de citoyens américains concernant le soutien de tel ou tel candidat dans le pays. Comme le note l'influente publication britannique Reuters, selon le dernier sondage, Trump devance Biden, mais de peu - de seulement 2 %.

Selon le sondage d’opinion, 38 % des personnes interrogées étaient en faveur de Trump et 36 % en faveur de Biden. Et jusqu'à 26 % des personnes interrogées ne soutiennent ni l'un ni l'autre. Cela suggère qu’une partie importante des électeurs américains n’a pas encore pris sa décision et que c’est pour leurs votes que les démocrates et les républicains se battront l’année prochaine.

Reuters note que le seul troisième candidat à la présidentielle américaine qui ait du poids est celui de Robert F. Kennedy Jr. Cela a été confirmé par le fait que 16 % des personnes interrogées l’ont soutenu lorsqu’il a été inclus dans le sondage aux côtés de Trump et Biden. Dans le même temps, Kennedy Jr. a obtenu plus de voix de Biden que de Trump. Dans ce sondage, Trump a obtenu 36 % et Biden 31 %.

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« Faire comme à Arras » : une élève de 12 ans, armée d’un couteau, stoppée avant d’avoir pu tuer sa professeur d’anglais à Rennes ; la collégienne a affirmé vouloir « être elle-même » (MàJ)


D’après nos informations, l’adolescente âgée de « 11 ou 12 ans » était arrivée dans l’établissement à la rentrée de septembre 2023. « Aujourd’hui je veux être moi-même », aurait déclaré l’adolescente en brandissant son arme blanche, pour faire « comme à Arras », selon une personne présente dans l’établissement. (…)

« Selon les premiers éléments recueillis, à confirmer donc, ce matin, entre 9 heures-30-9h50, (…) une élève née en 2011 à Marseille (…) est venue en cours armée d’un grand couteau avec l’intention semble-t-il de tuer sa professeur d’anglais », indique le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc, dans un communiqué. « Pendant le cours, en classe, elle a brandi un couteau vers la victime qui s’est enfuie en courant. Elle l’aurait suivie avant d’être désarmée par le personnel de l’établissement. Il n’y a pas de blessés. » (…)

Une enquête « criminelle » confiée à la Sûreté départementale de Rennes a été ouverte par le parquet de Rennes et l’adolescente est actuellement « en retenue », précise-t-il. Une « communication » est prévue « dans l’après-midi ».

Le Parisien

 

Au cri de « Allah Akbar », un homme muni d’un couteau menace une femme à Paris et lui demande si elle est juive ; il a été placé en garde à vue

Lundi 11 décembre, un homme a été interpellé et placé en garde à vue dans le 17e arrondissement de la capitale, peu avant 21h. Quelques minutes plus tôt, cet individu s’en était pris à une femme à l’angle du boulevard Pereire et de l’avenue des Ternes, nous indiquent des sources concordantes. (…)

Cet homme muni d’un couteau de cuisine d’une longueur d’environ 40 centimètres aurait brandi son arme en criant «Allah Akbar». Concomitamment, il aurait demandé à une passante si elle était de confession israélite. Alors que cette femme venait de lui répondre négativement, il lui aurait alors dit : «Tu as de la chance sinon tu aurais pris ça (le couteau, NDLR) dans le bide !». (…)

Le Figaro

 

 

Rennes : un jeune migrant afghan condamné pour le viol d’une femme de 49 ans

Un homme de 24 ans, né en Afghanistan, a été condamné mardi 12 décembre 2023 à dix ans de réclusion pour viol. Il était jugé à huis clos depuis lundi par la cour criminelle d’Ille-et-Vilaine pour le viol d’une femme de 49 ans, dans la nuit du 24 au 25 septembre 2021, aux Prairies Saint-Martin à Rennes. La victime avait expliqué aux enquêteurs avoir été agressée en rentrant d’une soirée.

(…)

Interpellé quelques semaines après les faits, l’homme avait d’abord nié avoir rencontré la victime cette nuit-là. Par la suite il avait déclaré que c’était elle qui l’avait accosté. Lors de l’audience, l’avocat général a requis dix ans de réclusion dix ans de réclusion contre Mohammed Omar. C’est cette peine qui a été prononcée par la cour criminelle mardi dans l’après-midi.

Ouest France

 

 

Avignon (84) : une jeune fille de 14 ans violée dans un squat par un individu parlant un français “très approximatif” ; le suspect a aussi tenté de violer une femme de 23 ans sous la menace d’un couteau

Un homme interpellé après le viol d’une adolescente de 14 ans dans un squat à Avignon

L’auteur, qui a aussi tenté de violer une femme de 23 ans, a été interpellé peu de temps après les faits. Une information judiciaire va être ouverte ce mercredi.

Ce lundi, une femme de 23 ans a donné l’alerte. Alors qu’elle venait de déposer son enfant à la crèche et qu’elle se situait sur l’avenue Monclar à Avignon, peu après 8h, elle a croisé la route d’un homme d’une trentaine d’années. Celui-ci s’est tout de suite montré agressif, puis il est passé à l’action. Il a mis un couteau sous la gorge de la victime et a tenté de l’attirer dans un coin de la rue. La jeune femme a compris qu’il sollicitait du sexe, le tout dans un français très approximatif. Elle s’est alors mise à crier et à se débattre, ce qui a stoppé l’homme. Il lui a alors volé son portefeuille et son téléphone avant de prendre la fuite.

(…) La Provence

 

Sondage : 80% des Français estiment qu’il ne faut pas accueillir plus de migrants en France

Alors que le projet de loi immigration, qui devait encadrer l’arrivée de nouveaux étrangers sur le territoire national, vient d’être rejeté par les députés, un sondage de l’Institut CSA pour CNEWS met en avant le fait que 80% des Français estiment qu’il ne faut pas accueillir plus de migrants en France.

Un refus franc et massif. Selon un sondage mené par l’Institut CSA pour CNEWS et publié ce mardi, les Français sont très majoritairement opposés (80%) à l’arrivée de nouveaux migrants sur le territoire national. Ainsi, à la question, «faut-il accueillir plus de migrants en France», seuls 19% ont répondu positivement (1% ne se sont pas prononcés). 

CNews

 

 

« L’immigration est une richesse (…) Ma mère est Suisse, ma femme est Grecque, Google est Américain… » : Sébastien Missoffe, patron de Google France

 

 

Note : ce crétin heureux ne comprend pas trop ce qui se passe en France. L'immigration entre pays occidentaux et certain pays asiatique de l'est ne pose pas de problème, les problèmes, viennent principalement des pays musulmans et d'autre pays qui ne nous ressemble pas. Ni en manière de vivre, ni en valeur, nie en religion

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 décembre 2023

 

 

L’association Musulmans de France (liée aux Frères Musulmans) remercie LFI de parler d’une “discrimination dans un contexte islamophobe” contre le lycée Averroès

 

 

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