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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 10 novembre 2023

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Poutine en visite surprise au centre opérationnel des forces russes en charge de l’offensive…

 

L’ESSENTIEL

  • Le président russe Vladimir Poutine a rendu une visite surprise dans la nuit de jeudi à vendredi au quartier général de l’armée russe pour l’opération en Ukraine, à Rostov-sur-le-Don. Il s’agit du deuxième déplacement du chef d’Etat russe à Rostov en moins d’un mois. Le président s’est vu présenter de nouveaux équipements militaires et a entendu des rapports sur le déroulement de l’opération militaire en Ukraine, ajoute le communiqué.
  • Plus de 20.000 véhicules étaient bloqués jeudi à la frontière entre l’Ukraine et la Pologne, que des routiers polonais paralysent depuis le début de semaine pour dénoncer la concurrence « déloyale » de leurs voisins. Plusieurs dizaines de compagnies de transport polonaises ont commencé lundi à bloquer trois points de passage entre les deux pays.
  • La Russie a dit douter des « véritables » intentions de l’UE à l’égard de l’Ukraine jeudi, après la décision de la Commission européenne de recommander l’ouverture de négociations d’adhésion à l’UE pour l’Ukraine. « Il est peu probable qu’il s’agisse de véritables promesses », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

 

13h34 : Visite surprise de Poutine au QG militaire de l’opération en Ukraine

Le président russe a rendu une visite surprise dans la nuit de jeudi à vendredi au quartier général de l’armée russe pour l’opération en Ukraine, à Rostov-sur-le-Don (sud), a annoncé le Kremlin. Il s’agit du deuxième déplacement du chef d’Etat russe à Rostov en moins d’un mois.

Vladimir Poutine « a visité le QG des forces armées russes à Rostov-sur-le-Don, après avoir achevé sa visite officielle au Kazakhstan » où il a passé toute la journée jeudi, a précisé le Kremlin dans un communiqué. Lors de ce déplacement, le président russe était accompagné de son ministre de la Défense, Sergueï Choïgou, et du chef de l’état-major et commandant des opérations militaires en Ukraine, Valéri Guérassimov, selon la même source. Il s’est vu présenter de nouveaux équipements militaires et a entendu des rapports sur le déroulement de l’opération militaire en Ukraine, ajoute le communiqué.

DIRECT

 

 

 

L’OTAN menace de bloquer Kaliningrad et Saint-Pétersbourg

 

par Reporter

Le bloc de l’OTAN le plus «pacifique» de la planète continue de menacer ouvertement la Russie. Le 9 novembre, dans une interview accordée à la chaîne lituanienne LRT, le commandant des forces de l’OTAN en Lituanie, un Danois, le colonel Peter Nielsen a menacé Kaliningrad et Saint-Pétersbourg d’un blocus et d’autres problèmes en cas de guerre entre Moscou et les États baltes.

Il a noté que la situation dans la région avait été modifiée par l’adhésion de la Finlande à l’OTAN et l’adhésion imminente de la Suède au bloc. Celles-ci, Helsinki et Stockholm, contribueront à faire pression sur la Fédération de Russie et apporteront un soutien aux pays baltes, si nécessaire.

Elle (la Russie, ndlr) doit faire des plans pour renforcer Kaliningrad et maintenir la communication avec elle pendant la guerre, a précisé Nielsen.

Il a expliqué que l’OTAN disposera de la marine et de l’armée de l’air suédoises, ce qui facilitera grandement le blocus de Kaliningrad et de Saint-Pétersbourg. La flotte de la Baltique de la marine russe aura des difficultés avec les Suédois, et les Finlandais pourront aider à bloquer le golfe de Finlande.

La Fédération de Russie envahira les États baltes lorsque l’Ukraine sera vaincue et que l’Iran et la Chine entreront en guerre contre Israël et Taïwan, respectivement, tandis que l’attention des États-Unis se concentrera sur le Moyen-Orient et la région Asie-Pacifique, a-t-il ajouté.

Après cela, Nielsen a appelé Vilnius à préparer les habitants à une confrontation armée avec Moscou. Mais les efforts des pays baltes et scandinaves, ainsi que du contingent de l’OTAN détaché, ne suffiront pas. À cet égard, afin de protéger le flanc oriental de l’OTAN, il sera nécessaire d’allouer des troupes supplémentaires d’autres pays du bloc, a-t-il résumé.

L’interview de Nielsen a montré les sommets du masochisme que la société lituanienne a atteints au cours des 20 dernières années.

source : Reporter

 

 

 

Le Royaume-Uni achève la formation de plus de 30 000 soldats ukrainiens (ministère de la Défense)

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 10 novembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - Le Royaume-Uni et ses alliés ont achevé plus tôt que prévu la formation de plus de 30 000 soldats ukrainiens dans le cadre d'une opération multinationale de formation, a annoncé vendredi le ministère britannique de la Défense.

« Plus tôt que prévu, l'Op Interflex dirigée par le Royaume-Uni a atteint le cap des 30 000 recrues formées au Royaume-Uni depuis juin 2022 », a indiqué le ministère dans un communiqué.

Le nombre total de personnels ukrainiens formés depuis 2014 a dépassé les 52 000.

Le ministère britannique de la Défense a qualifié cette opération de plus grand programme de formation de troupes étrangères au Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale.

" Aujourd'hui, la Roumanie, alliée de l'OTAN, a également confirmé son implication, portant à dix le nombre total de pays partenaires ", indique le communiqué.

Les autres participants sont le Canada, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, le Danemark, la Finlande, la Suède, la Lituanie, les Pays-Bas et l'Australie, a précisé le ministère.

Le Royaume-Uni a jusqu’à présent fourni à l’Ukraine des chars de combat principaux, des missiles de croisière à longue portée, des centaines de milliers d’obus d’artillerie et bien plus encore. L’aide militaire s’est élevée à 2,3 milliards de livres (2,8 milliards de dollars) en 2022, le même montant étant promis pour cette année. En septembre, le ministre britannique de la Défense, Grant Shapps, a déclaré que Londres livrerait « des dizaines de milliers » d'obus d'artillerie supplémentaires à Kiev et prévoyait d'entraîner 30 000 soldats ukrainiens d'ici fin 2023.

Le Kremlin condamne l'aide militaire occidentale à Kiev , affirmant qu'elle conduirait à une nouvelle escalade du conflit en Ukraine et à l'implication directe de l'OTAN dans ce conflit.

Spoutnik

 

 

EN DIRECT - Conflit Hamas-Israël : l'extension régionale de la guerre est «inévitable», selon l'Iran

 

«En raison de l'intensité croissante de la guerre sur les habitants civils de Gaza, l'expansion du champ de la guerre est désormais devenue inévitable», a affirmé vendredi le ministre iranien des Affaires étrangères.

 

Le Hamas annonce un nouveau bilan de 11.078 morts

Le groupe terroriste du Hamas palestinien a annoncé vendredi que 11.078 personnes avaient été tuées dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis le début de la guerre le 7 octobre. Parmi les morts recensés à ce jour figurent 4506 enfants et 3027 femmes, a indiqué le ministère de la Santé. En outre, 27.490 personnes auraient été blessées.

 

13:10

Macron appelle à aider les pays «vulnérables» au Moyen-Orient pour éviter une contagion du conflit

Les pays «vulnérables» au Moyen-Orient doivent bénéficier de l'aide financière internationale pour ne pas être entraînés dans le conflit entre Israël et le Hamas, a souligné ce vendredi Emmanuel Macron lors du Forum de Paris sur la paix. «Tout est lié», a déclaré le président français qui animait la première table ronde du Forum. «Aujourd'hui, on a des pays très vulnérables qui, si on ne les aide pas par la solidarité internationale, seront entraînés par le conflit qui est en cours» au Proche-Orient, a-t-il déclaré.

«Et donc en effet, l'action du Fonds monétaire international, en particulier en Jordanie, en Égypte dans le cadre du conflit est absolument décisif», a-t-il ajouté. Le FMI a annoncé jeudi un accord pour une aide de 1,2 milliard de dollars en faveur de la Jordanie, pays frontalier d'Israël, qui redoute les conséquences de la guerre opposant depuis un mois Israël et le groupe islamiste palestinien Hamas.

Dépourvu de ressources naturelles et dépendant des aides internationales, la Jordanie accueille déjà des centaines de milliers de Palestiniens et redoute un nouvel exode massif vers son territoire. La directrice générale du FMI Kristalina Georgieva a également évoqué vendredi l'idée d'aider «davantage» l'Égypte, également affectée par ce conflit.

 


12:52

Des responsables chrétiens attendus à la marche contre l’antisémitisme, mais peu de musulmans

Des responsables catholiques et protestants participeront dimanche à la marche contre l'antisémitisme mais les chefs de file musulmans se sont montrés réticents, regrettant qu'elle se tienne «sans un mot sur l'islamophobie». «Cette marche qui a comme objectif exclusif de dénoncer l'antisémitisme sans un mot surl'islamophobie n'est malheureusement pas de nature à rassembler», a estimé mercredi le Conseil français du culte musulman (CFCM) pour qui «elle peut en outre être interprétée par les islamophobes comme un signe d'impunité».

«Si nous condamnons sans réserve l'antisémitisme, nous ne marcherons pas avec des islamophobes notoires et des soutiens inconditionnels d'un État colonial pour répondre à un appel qui n'a pas un mot pour la Palestine», a également affirmé sur X (ex-Twitter) l'Union des démocrates musulmans français.

L'imam de Bordeaux Tareq Oubrou a estimé sur LCI qu'«il n'y aura pas beaucoup de musulmans dans cette manifestation», en pointant un «conflit d'interprétation de l'initiative». Même si selon lui «vu les circonstances, marcher contre l'antisémitisme est une obligation morale et citoyenne». L'imam de Drancy Hassen Chalghoumi a lui indiqué qu'il se rendrait à la marche «pour dire haut et fort non à la haine et l'antisémitisme’».*

 

Le Hezbollah libanais affirme que sept de ses combattants ont été tués dans des frappes israéliennes

Le Hezbollah libanais a affirmé vendredi que sept de ses combattants avaient été tués par des frappes israéliennes, sans préciser où ni quand, alors que les tensions à la frontière se sont aggravées depuis le début de la guerre le 7 octobre entre Israël et le Hamas palestinien.

Le mouvement islamiste libanais a décliné l'identité des sept combattants dans un communiqué indiquant qu'ils étaient des «martyrs sur la route de Jérusalem», expression utilisée par le Hezbollah pour pleurer la mort de ses membres tués, au total 68 depuis le début des affrontements à la frontière israélo-libanaise il y a plus d'un mois.

 

12:06

L'extension régionale de la guerre entre Israël et le Hamas est «inévitable», selon l'Iran

L'extension de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza est «désormais inévitable», a affirmé vendredi le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, allié du mouvement islamiste palestinien, sur fond de craintes d'escalade régionale du conflit. «En raison de l'intensité croissante de la guerre sur les habitants civils de Gaza, l'expansion du champ de la guerre est désormais devenue inévitable», a dit le ministre lors d'un appel téléphonique à son homologue qatari, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, selon le site internet du ministère.
Hossein Amir-Abdollahian ADEM ALTAN / AFP

L'Iran, proche allié du Hamas et ennemi juré d'Israël, avait salué le «succès» de l'attaque du 7 octobre, tout en niant son implication dans sa préparation et son déroulement. Le président iranien, Ebrahim Raïssi, a estimé que la République islamique avait le «devoir de soutenir les groupes de la résistance», en référence aux groupes armés en lutte contre Israël, mais a insisté que ces groupes agissaient de manière indépendante.

Vers une guerre de religion, infos du 10 novembre 2023

 

Le patron de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens appelle à l'arrêt du «carnage» à Gaza

Le patron de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a appelé à l'arrêt du «carnage» dans la bande de Gaza et à la fin du siège imposé par Israël à ce territoire.

«Raser des quartiers entiers n'est pas une réponse aux crimes odieux commis par le Hamas. Au contraire, cela crée une nouvelle génération de Palestiniens lésés, susceptibles de perpétuer le cycle de la violence. Le carnage doit simplement cesser», a-t-il déclaré dans une tribune de presse, selon un communiqué de l'UNRWA transmis vendredi aux médias. «Le siège de Gaza doit prendre fin et une aide humanitaire continue doit être autorisée à circuler dans la bande de Gaza sans restrictions», a-t-il ajouté.

 

11:32

Berlin appelle à ne «pas abandonner» la possibilité d'une paix entre Israël et ses voisins arabes

La perspective d'une paix entre Israël et ses voisins arabes «ne doit pas être abandonnée» malgré la guerre, a déclaré vendredi la ministre allemande des Affaires étrangères avant une tournée officielle en Israël et dans le Golfe. «Dans ce conflit presque insoluble, il est central de ne pas perdre une vision de long terme. La chance historique d'une paix entre Israël et ses voisins arabes ne doit pas être abandonnée», a indiqué Annalena Baerbock dans un communiqué. «C'est précisément l'objectif des terroristes», a-t-elle déclaré.

La ministre se rend dès vendredi soir dans le Golfe pour une visite officielle aux Émirats arabes unis, en Arabie saoudite et en Israël, alors que la guerre fait rage dans la bande de Gaza depuis l'attaque du Hamas du 7 octobre. «Même si une solution durable au conflit du Proche-Orient semble pour l'instant bien lointaine (...) il est de notre responsabilité de continuer à faire face de toutes nos forces», a ajouté la cheffe de la diplomatie allemande.

«Dans nos efforts pour la libération des otages, pour l'accès humanitaire à Gaza ou pour empêcher une propagation régionale de la violence, nous n'avons une chance de réussir que si nous travaillons ensemble avec les États arabes du Golfe», a-t-elle déclaré.

 

Note: il n'aura jamais de paix entre les pays musulmans et Israël, ce conflit dure depuis 1948, c-a-d  75 ans, c'est un conflit religieux. Les musulmans ne supportent pas la présente autre que l'islam sur cette terre. Donc ce conflit finira par enflammer toute la planète, comme nous l'enseignent les écritures saintes, surtout le livre de l'Apocalypse

 

La Russie envoie 25 tonnes d'aide humanitaire à Gaza

La Russie a annoncé vendredi l'envoi de 25 tonnes d'aide humanitaire aux civils de la bande de Gaza à partir de l'Égypte voisine de cette enclave bombardée par l'armée israélienne à la suite de l'attaque sanglante lancée par le mouvement islamiste palestinien du Hamas.

«Un avion spécial du ministère russe des Situations d'urgence a livré 25 tonnes d'aide humanitaire à la République arabe d'Égypte», a indiqué le ministère russe dans un communiqué sur Telegram. «La cargaison humanitaire a déjà été remise à des représentants de la branche égyptienne du Croissant-Rouge», a-t-il ajouté. «D'autres aides russes seront envoyées aux habitants de la bande de Gaza». Le ministère n'a toutefois pas précisé quand cette aide devrait être livrée aux civils de ce petit bout de territoire où les combats font rage entre l'armée israélienne et le Hamas.

Depuis le 19 octobre, la Russie, qui appelle à la création d'un État palestinien indépendant tout en entretenant des relations de longue date avec Israël, a envoyé à plusieurs reprises des dizaines de tonnes d'aide humanitaire aux habitants de la bande de Gaza via l'Égypte.

 

Mahmoud Abbas déclare que l’Autorité palestinienne est prête à assumer ses responsabilités à Gaza

L'Autorité palestinienne est prête à assumer ses responsabilités dans la bande de Gaza dans le cadre d'une solution politique globale pour la Cisjordanie, Jérusalem-Est et Gaza, a déclaré vendredi le président palestinien Mahmoud Abbas, dans des propos rapportés par Reuters.

 

 

Le point en carte sur la situation dans le nord de la bande de Gaza

 

09:53

Des syndicalistes bloquent une usine d'armements en Angleterre

Des dizaines de syndicalistes ont bloqué vendredi l'une des usines du fabricant d'armes BAE Systems dans le sud-est de l'Angleterre, accusant le groupe britannique de fabriquer des composants d'avions militaires utilisés par Israël pour bombarder Gaza dans la guerre contre le Hamas.

Réunis sous la bannière «Travailleurs pour une Palestine libre», les militants ont bloqué à partir de 7H du matin les entrées de la fabrique d'armes près de Rochester, dans le Kent, derrière une banderole «les armes fabriquées ici tuent à Gaza», ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les manifestants devant une usine BAE. HENRY NICHOLLS / AFP

Selon les organisateurs, plus de 400 représentants des syndicats Unite, Unison, GMB ou NEU travaillant dans l'enseignement, la santé ou encore l'hôtellerie ont participé au blocage, avec des drapeaux palestiniens et des pancartes «les contribuables ont du sang sur les mains» ou «arrêtez d'armer la machine de guerre israélienne».

Dans un communiqué, ils ont appelé le gouvernement britannique à mettre fin «à sa complicité dans les crimes de guerre commis en Palestine, en arrêtant de vendre des armes à Israël et en soutenant un cessez-le-feu immédiat».

Vers une guerre de religion, infos du 10 novembre 2023

 

La colère monte dans les pays arabes, face à la souffrance des Gazaouis

De Rabat à Tunis, d'Amman à Bagdad en passant par Le Caire et Beyrouth, «la rue arabe» affiche sa solidarité avec les Palestiniens de Gaza, tout en dénonçant le deux poids, deux mesures des pays occidentaux, jugés trop favorables à Israël. Même dans un pays à la structure confessionnelle composite comme le Liban, les franges traditionnellement les moins enclines à soutenir la cause palestinienne sont au diapason. «Tous les Libanais ont leur cœur avec les gens de Gaza», confie au téléphone depuis Beyrouth l'homme d'affaires Nabil Fawaz.

Le pays du Cèdre a pourtant gardé d'amers souvenirs de la «résistance palestinienne», chassée de Jordanie en 1970 venue se réfugier à Beyrouth et dans le Sud, où elle poursuivit ses attaques contre Israël. «Quand je vois les chrétiens du Liban, dont certains ne cachaient guère leurs sympathies pro-israéliennes, critiquer désormais l'État hébreu, cela veut dire que quelque chose a changé», ajoute ce Libanais.

L’éditorial du Figaro - Conflit Israël-Hamas: «Le fossé de l'incompréhension»

En France, ce dimanche, on défilera contre la résurgence d'un antisémitisme putride qui n'attendait que la guerre à Gaza pour se réveiller. Dans le monde arabo-musulman, à l'inverse, les foules manifestent exclusivement contre les «crimes de guerre» commis par Israël et en solidarité avec la cause palestinienne. Le fossé de l'incompréhension a rarement été si profond. Les pays occidentaux ne cautionnent certes pas en principe les bombardements de civils, mais ils reconnaissent à l'État hébreu le droit d'éliminer les structures militaires et politiques du Hamas, fût-ce au prix d'une guerre totale.

Les opinions arabes, elles, sont focalisées sur les soixante-quinze ans de guerre, d'occupation et d'oppression, subis par les Palestiniens depuis la création d'Israël, en 1948. Ce qui nous choque, c'est qu'elles semblent à peine prêter attention à la barbarie des crimes commis par les assaillants du Hamas le 7 octobre. Ce qui les choque, c'est que nous leur refusions le droit de «contextualiser» cette explosion de haine et que nous «déshumanisions» les Palestiniens en leur attribuant implicitement une responsabilité collective.

 


06:49

«Un cessez-le-feu avec le Hamas signifie une reddition», estime Netanyahou

«Un cessez-le-feu avec le Hamas signifie une reddition», a répété jeudi soir le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou sur la chaîne Fox News, réaffirmant son objectif d'«éradiquer le Hamas» qui a déclenché la guerre en attaquant Israël le 7 octobre. «Rien ne nous arrêtera».

Israël a cependant accepté de faire des «pauses» humanitaires quotidiennes à partir de jeudi pour permettre aux civils de fuir le nord – où les combats et les bombardements se concentrent – vers le sud du territoire, selon les États-Unis.

Ces pauses «de quatre heures dans certaines zones du nord de la bande de Gaza, seront annoncées trois heures à l'avance», a précisé le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, John Kirby, selon qui Washington a reçu l'assurance qu'«il n'y aurait pas d'opérations militaires dans ces zones pendant la durée de la pause».

 

06:35

Israël affirme avoir contré des attaques de missiles et frappe la Syrie

L'armée israélienne a annoncé avoir intercepté jeudi des missiles qui se dirigeaient vers son territoire, et a frappé vendredi la Syrie après la chute d'un drone sur une école dans le sud d'Israël. Le drone s'est abattu jeudi sur une école dans la station balnéaire d'Eilat, sur la mer Rouge, sans faire de blessé. En riposte, l'armée israélienne a «frappé l'organisation qui a mené l'attaque» depuis la Syrie, a-t-elle indiqué sur X, sans préciser le nom de cette organisation. Israël «tient le régime syrien responsable de tout acte terroriste qui émanerait de son territoire», a-t-elle averti.

À Eilat, l'école touchée a subi des dégâts et les secours ont pris en charge sept personnes en état de choc. La ville balnéaire accueille des dizaines de milliers de personnes évacuées du nord d'Israël et de la région qui borde la bande de Gaza, où des combats font rage entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas.

L'armée israélienne a par ailleurs annoncé jeudi avoir utilisé son système antimissile à très longue portée Arrow 3 pour intercepter un projectile tiré «depuis la région de la mer Rouge», les rebelles Houthis au Yémen affirmant de leur côté avoir lancé des missiles balistiques contre Israël. C'est la première fois que le système Arrow 3, développé et produit conjointement par Israël et les États-Unis et déployé en 2017, intercepte une cible dans des conditions opérationnelles.

 

«Nous ne cherchons pas à gouverner Gaza», affirme Benyamin Netanyahou

Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a affirmé jeudi soir que son intention n'était ni de gouverner, ni d'occuper Gaza, où l'armée progresse «exceptionnellement bien», a-t-il estimé, dans son offensive contre le Hamas. «Je pense que l'armée israélienne se comporte de manière exceptionnelle», a-t-il déclaré sur la chaîne américaine Fox News, avant d'ajouter: «Nous ne cherchons pas à gouverner Gaza. Nous ne cherchons pas à l'occuper, mais nous cherchons à lui donner, ainsi qu'à nous, un avenir meilleur.» Il a en outre de nouveau exclu un cessez-le-feu. «Un cessez-le-feu avec le Hamas signifie une reddition», a-t-il dit.

DIRECT

 

 

 

 

Les forces américaines au Moyen-Orient attaquées quatre fois en une journée

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 10 novembre 2023

Au moins quatre attaques visant les forces armées américaines déployées au Moyen-Orient ont eu lieu entre le 8 et 9 novembre, a déclaré la secrétaire de presse adjointe du Pentagone. Au total, 46 attaques contre ces troupes ont eu lieu depuis la mi-octobre.

Les troupes américaines stationnées au Moyen-Orient ont été attaquées à quatre reprises par des groupes soutenus par l'Iran après une frappe menée mercredi par les États-Unis contre une installation iranienne en Syrie, a indiqué le 9 novembre le Pentagone.

La secrétaire de presse adjointe du Pentagone, Sabrina Singh, a affirmé que les forces américaines avaient été attaquées 46 fois depuis le 17 octobre.

Il s'agit de 24 attaques en Irak et 22 en Syrie, a-t-elle précisé, ajoutant que les attaques ont été menées par des drones et des tirs de roquettes.

Au total, 56 soldats ont été blessés lors des attaques, selon le Pentagone.

Les dernières attaques font suite à une frappe aérienne américaine menée mercredi, qui a détruit une importante installation d’armement en Syrie utilisée par le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien et des militants soutenus par l’Iran, selon le département américain de la Défense.

Suite à la recrudescence des attaques contre les troupes américaines, les États-Unis ont annoncé récemment le déploiement de 300 soldats supplémentaires au Moyen-Orient.

Spoutnik

 
 

 

 

Guerre Israël-Hamas : les images des attaques terroristes du 7 octobre vont être diffusées à l'Assemblée nationale

 

L'initiative vient du président du groupe d'amitié France-Israël, Mathieu Lefèvre. Le mardi 14 novembre, à 17 h 15, les images des attaques du Hamas, contre Israël, qui ont eu lieu le 7 octobre dernier, vont être diffusées dans la salle de projection du Palais Bourbon. 

Vers une guerre de religion, infos du 10 novembre 2023

Selon le Figarole film va durer 43 minutes avec "des images brutes" et sans commentaires. Les 120 députés du groupe d’amitié France-Israël seront conviés à cette projection. "Je pense que c'est indispensable de pouvoir continuer à témoigner de la barbarie, continuer à pouvoir dire l'indicible pour que ces événements terroristes, absolument atroces, ne soient pas balayés par l'actualité et c'est aussi le rôle des parlementaires et singulièrement des parlementaires du groupe d'amitié France-Israël", justifie Mathieu Lefèvre. 

D'après nos confrères, le film a été réalisé grâce à des vidéos récupérées sur des combattants du Hamas abattus ou capturés. Mais aussi grâce à des séquences filmées par des soldats israéliens avec des téléphones.

Des images de ce genre ont déjà été diffusées dans des ambassades, dont celle d'Israël en France. Tsahal en a également partagé aux journalistes étrangers qui couvent la guerre. "Il ne s'agit en aucun cas, par cette initiative, de justifier quelque forme de réplique que ce soit, de justifier la politique d'Israël et la réplique qu'il mène à l'heure actuelle, les deux choses sont décorrélées, insiste l'élu sur FranceinfoRien ne serait pire que l'oubli, rien ne serait pire que de ne laisser aucune trace de ce qui s'est passé le 7 octobre"

Source

 

Note : LFI  va surement trouver un prétexte pour quitter la salle

 

 

Pierre Lellouche : « Peu à peu, la France découvre qu’elle n’est plus qu’un assemblage de quartiers ethniquement homogènes, coexistant sans empathie et souvent dans une violence quotidienne les uns à côté des autres, sur un même territoire »

TRIBUNE – L’antisémitisme qui se manifeste en France à la faveur de la guerre entre le Hamas et Israël illustre l’échec du «vivre ensemble», analyse l’ancien ministre Pierre Lellouche.

(…)

Nous sommes donc, je le crains, en train d’entrer dans un autre monde, pour l’avenir des juifs, bien sûr, mais aussi pour nos démocraties. Ces dernières sont confrontées, du fait de l’immigration musulmane de masse de ces 40 dernières années, à une véritable fracturation de leur tissu social et politique selon des lignes identitaires religieuses et ethniques. Davantage tolérées aux États-Unis ou au Royaume-Uni, de telles revendications ou affirmations identitaires heurtent frontalement chez nous l’idée de Nation ou de République, telles que nous les ont léguées Renan, Clemenceau ou de Gaulle.

Une chose est sûre : le « vivre ensemblisme », héritage du « touche pas à mon pote », est désormais mort et enterré, et avec lui, les illusions du soi-disant « Faire nation » chères à l’actuel président de la République. La vérité est que la doxa antiraciste revendiquée par l’extrême gauche a produit un racisme « à l’envers » anti -Blanc et surtout anti- juif, LFI jouant le rôle d’idiot utile des milieux islamistes fréristes engagés dans la conquête systématique de territoires gérés par eux au fil d’élections locales remportées, comme à Stains par exemple, par des listes ethniques. Peu à peu, la France découvre qu’elle n’est plus qu’un assemblage de quartiers ethniquement homogènes, coexistant sans empathie et souvent dans une violence quotidienne les uns à côté des autres, sur un même territoire. Les uns s’installant dans la peur, les autres dans la revanche … avant peut être de s’affronter un jour. De ces quartiers-là, les juifs ont déjà dû partir, comme il y a 60 ans, ils durent quitter les pays musulmans où ils étaient établis depuis des siècles.

Ayons le courage de regarder les choses en face : la nation française, soudée autour de notre histoire millénaire, de notre langue et d’une vision commune de l’avenir n’est plus aujourd’hui, hélas, qu’une chimère, que l’invocation abstraite des fameuses « valeurs de la République », ou l’inauguration à grands frais du château de Villers-Cotterêts, peinent à masquer. Tout est à reconstruire, à commencer par notre non-politique d’immigration, si nous voulons éviter de voir s’établir chez nous des enclaves hors contrôle, comme autant de Kosovos…

(…) Comme tétanisé par nos fractures intérieures, Emmanuel Macron a commencé par proposer l’élargissement de la coalition politico-militaire contre Daesh à la lutte contre le Hamas, pour rétropédaler à toute vitesse après avoir reçu en pleine face l’incompréhension et la colère des chefs de gouvernement arabes, et celle de la rue en France : « Israël assassin, Macron complice »… Résultat : la France n’a plus rien à dire en Orient, laissant Washington seul en charge de penser la paix, pourtant indispensable demain.

Le Figaro

 

 

Plus d’une mosquée sur vingt en France est désormais contrôlée par les salafistes : en 2023, une vingtaine ciblées par des tentatives de prises de contrôle de salles de prière (MàJ : Selon Mohamed Louizy, 70% des mosquées "françaises" sont menacées)

10/11/2023

 Il importe aussi de rappeler que ce processus est aujourd’hui en phase d’accélération, du fait des évolutions démographiques que l’on observe notamment en France. L’immigration, suivie du flux des naissances qui accompagnent assez mécaniquement la fondation de familles sur le sol français, fait que tout ce que les salafistes ont semé dans la tête des parents se retrouve ensuite dans la tête des enfants.

Une écrasante majorité des mosquées françaises est menacée par ce phénomène. La matrice idéologique de l’Islam sunnite, dans sa version wahhabite comme dans sa version frériste, se partage le marché du prosélytisme religieux. C’est vrai également pour les mosquées qui ont des relations avec des puissances étrangères comme le Maroc, l’Algérie ou la Turquie. Les islamistes ont pris le pouvoir, parfois indirectement, dans un certain nombre des pays où a pu se dérouler le printemps arabe. Ils influencent, depuis, cet islam en particulier. Cela n’est pas sans impact sur les autres mosquées… mais il va de soi que toutes ne sont pas toutes influencées au même degré.

Les salles de prières préservées de toute forme d’Islam politique demeurent malheureusement très minoritaires. 

Les Frères musulmans gouvernent des mosquées-cathédrales qui s’adressent à des masses que l’on peut compter par milliers à l’occasion du ramadan ou d’autres fêtes religieuses. 

En fin de compte, me semble-t-il, 70 à 80% des mosquées en France sont menacées. La situation est d’autant plus inquiétante qu’il s’agit parfois de salles de prières massives, impactées par l’idéologie islamiste dans sa version wahhabite ou sa version frériste. 

Atlantico

06/11/2023

INFO LE PARISIEN. Dans une note confidentielle, les Renseignements territoriaux alertent sur les méthodes utilisées par la mouvance salafiste pour tenter de déstabiliser plusieurs mosquées en France. Le pays compte déjà plus d’une centaine de lieux de culte aux mains de cette mouvance rigoriste de l’Islam.

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Ce document de sept pages compile de nombreux exemples de tentatives de prises de contrôle de salles de prière par cette frange très rigoriste de l’Islam. Sur la seule année 2023 une vingtaine a ainsi été ciblée, majoritairement, d’après la note, dans les régions du Grand-Est et de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les services de renseignement ne distinguent pas de « stratégie nationale concertée » mais relèvent quand même plusieurs dénominateurs communs dans ces offensives.

119 mosquées déjà sous la coupe des salafistes

Selon les rédacteurs du rapport, 119 mosquées en France sont déjà sous la coupe des salafistes sur les 2 018 qui sont recensées par la DNRT. Le courant est donc encore très minoritaire au sein de l’Islam de France mais les spécialistes alertent néanmoins sur une « rupture générationnelle entre les jeunes pratiquants acquis aux thèses fondamentalistes et des responsables cultuels vieillissants et dépassés ». Et la note des RT conclut : « Il est à redouter que dans ce contexte le nombre de mosquées pilotées par des salafistes augmente. »

Cette conquête des salles de prière par les promoteurs d’un islam plus rigoriste n’est pas nouvelle. Mais la note souligne un phénomène en expansion jugeant qu’en cinq ans la hausse des mosquées touchées a augmenté de plus de 50 %.

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Les rédacteurs de la note expliquent que l’absentéisme des responsables modérés permet aux groupes salafistes déjà présents de « s’immiscer dans les fonctions de gestion et apparaître ainsi comme des fidèles proactifs. Cette manœuvre leur donne le champ libre pour y diffuser leur idéologie ». Plusieurs exemples récents, dans l’Eure, les Bouches-du-Rhône et en Savoie viennent étayer cette méthode. Les fondamentalistes profitent aussi parfois de la mauvaise gestion voir des procédures judiciaires qui visent un responsable, ou de son autoritarisme, pour convaincre les fidèles de la nécessité de changer les têtes.

La note relève des exemples dans le Lot, dans le Jura, mais aussi à Bordeaux où les groupes salafistes ont employé des méthodes plus volontaires qui sont même allées parfois jusqu’à un affrontement physique. Le but recherché est toujours le même : déstabiliser d’abord pour pouvoir reprendre le contrôle ensuite. Là c’est une plainte pour « agression » déposée contre un membre du bureau pour le fragiliser, ici c’est un groupe WhatsApp clandestin qui se monte pour critiquer un imam ou un membre de l’association, des interruptions de prêches jugés trop modérés, ou encore des requêtes pour changer l’imam et en proposer un autre.

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Le Parisien

 

 

Présidentielles : La présidente LR des Bouches-du-Rhône, Martine Vassal, soutient Emmanuel Macron, (MàJ : Face à l’afflux massif de migrants, elle menace de ne plus accueillir de « mineurs non accompagnés »)

Martine VASSAL

(…) Nous tirons la sonnette d’alarme, car la situation devient critique.

En tant que présidente des Bouches-du-Rhône, comment vous organisez-vous sur le plan budgétaire pour assumer cette mission?

L’État demande aux collectivités départementales de gérer un problème qui relève de la politique migratoire. Dans les Bouches-du-Rhône, nous prenions en charge 200 jeunes migrants en 2015 ; d’ici à la fin de l’année, nous devrions en avoir 2000, soit une augmentation de 900% et un budget qui a bondi de 8 à 80 millions d’euros en huit ans. Cette situation est intenable, et nous ne pourrons très bientôt plus financer une telle charge, car les marges de manœuvre dont nous pouvions disposer, grâce à la ressource jusqu’alors relativement dynamique des droits de mutations, se tarissent.

Les départements seront-ils contraints d’arrêter leurs politiques sportives et culturelles, voire de ne plus financer le RSA? Je suis prête à me mettre hors la loi et à ne plus assurer l’accueil des MNA s’il faut sauver les missions essentielles de ma collectivité. Je mesure la portée de ce message, mais malheureusement il correspond à une réalité qui ne va pas aller en s’améliorant. J’en veux beaucoup aux associations qui poussent ces jeunes à se déclarer mineurs pour bénéficier de leur prise en charge par les départements.

Pour quelles raisons?

Ces associations sont de mauvaises conseillères et des marchandes de faux espoirs pour ces jeunes en détresse. Elles considèrent que la France est une terre d’accueil, mais notre pays est surtout une terre d’asile qui ne peut pas accueillir toute la misère du monde. Même le président de la République l’a dit! Alors que la protection judiciaire de la jeunesse et la prise en charge pédopsychiatrique sont défaillants dans notre pays, nous devons faire face depuis la crise du Covid-19 à une augmentation notable du nombre d’enfants faisant l’objet de décisions judiciaires de placement (+15% dans les Bouches-du-Rhône). Placer les jeunes migrants au contact d’enfants pris en charge par l’ASE est une bombe à retardement. C’est pour cela que nous demandons la reconnaissance d’un statut de jeune migrant et la mise en place d’un accueil spécifique dédié et pris en charge par l’État.

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90% des jeunes migrants se déclarent mineurs, alors qu’en réalité près de 70% sont évalués majeurs, car ils savent que c’est la clé pour eux. 

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Le Figaro

 

 

Montpellier : le corps sans vie d’une femme de 80 ans découvert, elle a été massacrée de 26 coups de couteau ; le migrant marocain de 45 ans qu’elle hébergeait, et qu’elle avait épousé, mis en cause (MàJ)

La victime aurait été poignardée à plus de vingt reprises, mercredi 8 novembre au matin. Une enquête pour «meurtre par conjoint» a été ouverte.

Un Marocain de 45 ans suspecté du meurtre de sa compagne, âgée de 80 ans, a été interpellé et placé en garde à vue mercredi 8 novembre à Montpellier (Hérault), a appris Le Figaro de source policière. Les faits ont été confirmés par le parquet de Montpellier dans un communiqué. «Le couple s’était rencontré au Maroc il y a plusieurs années avant de se marier», précise le parquet.

(…) Sur le chemin du commissariat, Hassan A.R., en situation régulière sur le territoire français et inconnu de la justice, a avoué aux policiers avoir tué sa femme le matin même, précise une source proche du dossier. 

(…) Cette dernière aurait été poignardée à 26 reprises, d’après les constatations du médecin légiste. Les plaies sont compatibles avec des coups portés avec une arme blanche, indique le parquet de Montpellier.

Le Figaro


Ce mercredi 8 novembre 2023, vers 19h, macabre découverte pour les policiers de Montpellier : dans le faubourg de Figuerolles-Chaptal une femme a été retrouvée morte, son conjoint a tenté de se suicider. Il a été placé en garde à vue. La victime qui serait âgée de 80 ans environ hébergeait son conjoint âgé de 45 ans, un étranger qui était en situation irrégulière et en quête de papiers, selon nos informations.

www.ouest-france.fr

 

“Sale ju*ve, je vais te t*er, Allah Akbar !” : à Six-Fours-les-Plages (83), une femme agressée et menacée de mort à son domicile

Mercredi soir, une femme de confession juive qui rentrait seule d’une soirée entre amis rapporte avoir été suivie par un homme. Il l’aurait agressée chez elle et menacée de mort.

(…) La victime y relate avoir été suivie par un inconnu en rentrant dans sa résidence, boulevard des Ecoles.

Elle s’est d’autant moins méfiée que, explique-t-elle, des saisonniers sont régulièrement hébergés dans un appartement situé sur son palier. (…) “J’ai monté les escaliers, lui derrière moi; j’ai ouvert ma porte à clé et l’homme m’a bousculée à l’intérieur de mon domicile. Il m’a donné une violente gifle puis il m’a insultée en ces termes: « Sale juive, je vais te tuer”, puis il a ajouté “Allahu akbar” », rapporte-t-elle.

Son agresseur lui aurait ensuite ordonné de jeter ses mezouzas (objets de culte juif accrochés à l’entrée du domicile), qu’elle avait exceptionnellement placées à l’intérieur de son domicile, sur les conseils de son ex-compagnon, après les attentats du 7 octobre en Israël… “Il a également fait tomber les photos de mes enfants. Il les a piétinées, puis il m’a fait une balayette pour me faire chuter. J’ai eu très peur, j’ai cru qu’il allait me massacrer”, témoigne-t-elle.

Var-Matin

 

L’Italie va délocaliser en Albanie l’accueil de migrants sauvés en mer (Màj : Pas plus de 3000 migrants à la fois ; seulement 15% des mesures d’éloignement vers l’Afrique sont appliquées)

09/11/2023

L’Albanie n’accueillera pas plus de 3000 migrants à la fois

L’Albanie n’accueillera pas plus de 3000 migrants à la fois dans le cadre d’un accord annoncé cette semaine permettant à l’Italie de construire deux camps d’accueil et de détention de migrants dans ce pays, selon des documents officiels publiés mercredi 7 novembre. L’accord italo-albanais est le premier exemple d’un pays non-membre de l’UE acceptant des migrants au nom d’un pays de l’UE, et il s’inscrit dans le cadre d’une campagne menée à l’échelle de l’Union pour lutter contre l’immigration irrégulière.

Ce chiffre est à comparer aux plus de 145.000 migrants arrivés en Italie depuis le début de l’année, une forte augmentation par rapport à 2022 que le gouvernement de droite de la première ministre Giorgia Meloni s’efforce d’endiguer.

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Procédures noyées par la paperasserie

Giorgia Meloni a déclaré que l’objectif était d’examiner les dossiers dans un délai de 28 jours, mais les experts ont souligné que, malgré les efforts du gouvernement pour les rationaliser, les procédures restaient noyées dans la paperasserie. Les experts ont également noté qu’il est difficile de rapatrier les demandeurs déboutés, étant donné l’absence d’accords de retour avec les pays d’origine des migrants. Depuis le début de l’année, l’Italie a rapatrié un peu moins de 4000 personnes.

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Ces installations se trouvent à plus de 1000 kilomètres de Lampedusa, l’île où débarquent actuellement la plupart des migrants de mer en provenance d’Italie. Leur transfert vers l’Albanie par voie maritime prendrait au moins deux ou trois jours. Giorgia Meloni a déclaré que les femmes enceintes, les mineurs et les autres personnes vulnérables ne seraient pas envoyés en Albanie, mais il n’est pas clair si cela pourrait entraîner la séparation des hommes adultes du reste de leur famille.

 

Le Figaro

15% des mesures d’éloignement vers l’Afrique sont appliquées

Les migrants devront soit obtenir le droit d’asile et aller en Italie, soit être expulsés. Sauf que seulement 15% des mesures d’éloignement vers l’Afrique sont appliquées. Or, l’Albanie est claire : l’Italie doit reprendre ceux qu’elle ne parvient pas à éloigner. Au bout du compte, selon Matteo Villa, spécialiste de l’immigration au centre de réflexion ISPI, “sur les 36 000 migrants, l’Italie devra en reprendre environ 31 000 à la fin”.

À moins que les migrants s’éclipsent des centres, ce qui poserait de sérieux problèmes diplomatiques. D’autant que l’Albanie assure n’avoir négocié aucune contrepartie, ce qui n’est pas le moindre mystère de cette affaire.

Franceinfo

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