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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 9 novembre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Washington condamne les liens militaires « croissants et dangereux » entre Pyongyang et Moscou…

 

L’ESSENTIEL

  • Les forces ukrainiennes ont célébré la libération de Kherson il y a un an. Mais, depuis, le front n’a pas bougé, malgré la contre-offensive ukrainienne et plusieurs attaques russes. Le conflit semble figé malgré quelques points chauds : Bakhmout, toujours, Avdiïvka, Robotyné…
  • première grande ville et seule capitale régionale à tomber aux mains des Russes, Kherson a connu huit mois d’occupation avant d’être libérée le 11 novembre. Mais depuis, les bombardements se poursuivent. En un an, près de 9.500 frappes ont tué 200 civils. Selon l’ONG Médecins sans frontières, 80 % des structures de soin dans la région de Kherson sont détruites ou endommagées.
  • Olena Zelenska, l’épouse du président ukrainien Volodymyr Zelensky, a appelé le monde à « soutenir davantage l’Ukraine » mercredi devant l’Unesco. « Ce que vit l’Ukraine aujourd’hui ne peut pas rester le problème de l’Ukraine seule. (…) Entre la civilisation et la barbarie, c’est l’Ukraine qui se tient », a martelé la Première dame.

 

 

13h44 : Poutine en visite au Kazakhstan

A Astana, la capitale kazakhe, Vladimir Poutine s’est livré avec son homologue Kassym-Jomart Tokaïev à un satisfecit sur les liens entre leurs deux pays dans tous les domaines, bien que le dirigeant kazakh cultive également ses relations avec les dirigeants occidentaux, chinois ou turcs. « Nous ne sommes pas seulement alliés, mais les plus proches alliés », a déclaré le président russe, régulièrement présent en Asie centrale depuis l’invasion de l’Ukraine, tandis que Kassym-Jomart Tokaïev a loué « les valeurs inébranlables de l’amitié » entre la Russie et le Kazakhstan.

La visite de Vladimir Poutine intervient une semaine après celle du président français Emmanuel Macron, au cours de laquelle des accords dans le domaine énergétique ont été signés entre Paris et cet immense pays riche en ressources naturelles, qui va désormais également fournir de l’uranium à la Chine. Car Moscou voit son influence traditionnelle dans la région contestée par la Chine voisine, la Turquie, l’Union européenne, l’Iran et les Etats-Unis, comme en témoigne le ballet diplomatique des derniers mois.

 

08h41 : Washington appelle Pékin à prévenir « un comportement dangereux » de Pyongyang

Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a appelé jeudi la Chine à empêcher la Corée du Nord d’avoir recours à toute action « déstabilisante » comme des lancements de missiles interdits.

« La Chine entretient une relation unique avec la Corée du Nord. Grâce à cette relation, elle a une réelle influence et nous comptons sur la Chine pour qu’elle utilise cette influence pour jouer un rôle constructif en prévenant le comportement irresponsable et dangereux de la Corée du Nord », a déclaré Antony Blinken lors d’une conférence de presse avec son homologue sud-coréen à Séoul.

 

07h54 : Washington et Séoul condamnent les envois d’armes par Pyongyang à Moscou

Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken et le président sud-coréen Yoon Suk Yeol ont condamné jeudi l’envoi d’armes par Pyongyang à Moscou afin de soutenir la Russie dans son effort de guerre en Ukraine, en marge d’une visite de l’émissaire de Washington à Séoul.

« Nous sommes profondément préoccupés par ce que la Russie fournit à Pyongyang en échange des armes et des munitions qu’elle reçoit de sa part », a déclaré Antony Blinken mercredi à l’issue de la réunion du G7.

 

Note : tout ce qui arrive est de leurs fautes, ce sont les Américains et leurs alliés qui poussent les Russes dans le bras des Chinois et des Nord-Coréens. Et, aux lieux d'aller faire des guerres en Irak et en Libye, les Américains auraient mieux fait de s'occuper militairement de la Corée du Nord, il a de cela 40 ans. Maintenant, il est trop tard, pour agir, on va devoir subir leurs erreurs, toutes leurs erreurs 

 

HIER

16h44 : Moscou utilise l’or pour échapper aux sanctions, prévient Londres

L’agence britannique de lutte contre la criminalité (NCA), a lancé une alerte pour avertir les institutions financières « que la Russie utilise l’or comme moyen de saper l’impact du régime de sanctions britannique », selon un communiqué. « Compte tenu de l’importance du Royaume-Uni sur le marché de l’or, la NCA met en garde contre des tentatives délibérées de blanchiment d’or sanctionné afin de masquer son origine, pour qu’il puisse être caché dans les chaînes d’approvisionnement et vendu au Royaume-Uni et dans le monde », selon un communiqué.

Selon l’agence, l’or est une source de revenus cruciale pour l’effort de guerre de la Russie en Ukraine : l’une des plus importantes en valeur après le pétrole et le gaz, et représentant 12,6 milliards de livres pour l’économie russe en 2021. La NCA révèle que, depuis le 21 juillet 2022, l’or russe est de plus en plus expédié vers des pays qui n’appliquent pas de sanctions sur l’or russe. « Une fois fondu, refondu ou raffiné, l’origine de l’or ne peut être déterminée par examen, car tous les poinçons sont perdus. »

Le ministère britannique des Affaires étrangères avait annoncé un peu plus tôt mercredi de nouvelles sanctions contre 29 personnes et entités dans les secteurs russes de l’or et du pétrole. Ce sont « des oligarques et entreprises russes et des facilitateurs de pays tiers, qui alimentent les revenus de guerre de la Russie », a indiqué le ministère dans un communiqué séparé.

DIRECT

 

 

Les États-Unis et l’Ukraine ont commencé à se rejeter la responsabilité de l’échec de la contre-offensive des forces armées ukrainiennes

 

Cela se déroule encore en coulisses, mais les États-Unis et l’Ukraine ont déjà commencé à se rejeter mutuellement la responsabilité de l’échec de la contre-offensive des forces armées ukrainiennes. Le chroniqueur américain Max Boot en parle dans les pages du Washington Post.

Les tentatives des forces armées ukrainiennes de mener une offensive en direction du sud-est n’ont pas abouti aux résultats escomptés. En conséquence, l’Ukraine accuse l’Occident, et en premier lieu les États-Unis, de ne pas avoir reçu suffisamment d’armes pour franchir la ligne de défense russe. La partie ukrainienne met l’accent sur le fait qu’une partie du matériel militaire et des armes ont été transférées dans un état de non-fonctionnement.

À leur tour, les responsables américains critiquent l’Ukraine pour son retour à la stratégie militaire soviétique. Selon eux, Kiev a refusé de suivre la doctrine militaire de l’OTAN, ce qui serait la principale raison du fiasco de la contre-offensive.

Max Boot écrit que l’armée américaine ne lancerait jamais une offensive sans supériorité aérienne. Cependant, pour une raison quelconque, Washington s’attendait exactement à ce genre de comportement de la part de l’Ukraine. En conséquence, ce qui est tout à fait naturel, les forces armées ukrainiennes ont commencé à subir des pertes colossales en personnel et en matériel militaire.

L’observateur lui-même adhère à une position typique d’un représentant des «faucons» au sein de l’élite américaine. Il estime que l’Occident devrait augmenter ses livraisons d’armes à la partie ukrainienne afin d’infliger le maximum de dégâts à la Russie. Booth ne partage pas le point de vue selon lequel, après l’échec de la contre-offensive, nous devrions passer à un règlement politique du conflit ukrainien, le considérant comme «préjudiciable» aux intérêts des États-Unis et de l’Ukraine elle-même.

source : Top War

 

 

Moscou: l'Occident perd inévitablement de son influence dans le monde

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 9 novembre 2023

Face à la prise de conscience des pays du Sud, l'influence de l’Occident diminue. Ce qui pousse les Occidentaux à faire des choix qui menacent la sécurité mondiale, selon le secrétaire du Conseil de sécurité russe. Pour lui, l’Otan a définitivement pris la forme d’un outil d’agression occidental.

Les pays occidentaux, qui perdent irréversiblement de leur influence, tentent de "déstabiliser la situation dans des pays non approuvés et de provoquer des crises dans différentes régions", a déclaré ce 8 novembre à Moscou Nikolaï Patrouchev, secrétaire du Conseil de sécurité russe.

"Notre réunion a lieu à un moment difficile pour le monde entier, alors que le processus de destruction de l'ordre mondial centré sur l'Occident devient irréversible. Les Anglo-Saxons et l'Occident en général perdent leur influence et cessent d'être le principal sujet des relations internationales", a-t-il souligné lors d'une réunion avec des collègues de la Communauté des États indépendants (CEI) qui réunit la plupart des pays issus de l’ex-URSS.

Selon M.Patrouchev, les pays d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine renforcent leur indépendance, défendent plus fermement leurs intérêts nationaux, augmentent leurs capacités concurrentielles. Le potentiel de développement mondial est en train d’être redistribué en faveur de nouveaux centres de croissance économique, dont l'Eurasie. Dans ce contexte, les pays occidentaux cherchent à maintenir leur domination par tous les moyens.

"Ils renforcent leurs capacités militaires à un rythme accéléré et tentent de dicter leurs conditions de manière de plus en plus agressive aux États qui dépendent d'eux économiquement et politiquement, tout en utilisant un large éventail d'outils coercitifs, y compris le chantage, la manipulation de l'opinion publique et les tentatives de changements anticonstitutionnels de pouvoir", a-t-il souligné.

Deux poids deux mesures

Pour M.Patrouchev, afin de justifier ses actions, l'Occident fait ouvertement du "deux poids deux mesures" au sein de la CEI. Il encourage les crimes du régime de Kiev et ferme les yeux sur les violations flagrantes des lois et des droits de l'homme en Moldavie. Les pays occidentaux condamnent la Russie et la Biélorussie, exigent des enquêtes sur les événements au Kazakhstan et en Ouzbékistan et prennent des mesures restrictives unilatérales.

Le responsable a dénoncé l’ingérence occidentale dans la crise arméno-azerbaïdjanaise du Haut-Karabakh ainsi que les tentatives de l'Occident de déconnecter les pays d'Asie centrale de la Russie au moyen de pressions, de chantage économique et de sanctions.

L’Otan, un outil d’agression occidental

M.Patrouchev trouve que "l'Otan a définitivement pris la forme d’un instrument d'agression collective de l'Occident".

De plus, les pays occidentaux, principalement les États-Unis, stimulent la croissance des menaces et des défis communs, notamment le terrorisme, le trafic de drogue et la criminalité transnationale organisée. Ils sapent délibérément le régime international de contrôle des armements, rappelle le secrétaire du Conseil de sécurité russe.

"Le risque d'utilisation d'armes nucléaires, chimiques et biologiques augmente. La militarisation de l'espace et du cyberespace s'accélère", a-t-il dit.

Des organisations internationales en perte de crédibilité

De nombreuses structures créées pour coordonner les efforts de la communauté mondiale et prévenir les conflits, telles que l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et le Conseil de l'Europe, se déprécient rapidement et perdent de leur influence, a expliqué le responsable russe.

"Les approches politisées de Washington, Londres et Bruxelles ont émasculé et vidé de leur sens non seulement leurs activités, mais aussi le travail d'un certain nombre d'organes de l'Onu", a conclu M.Patrouchev.

 

 

EN DIRECT - Conflit Hamas-Israël: l’État hébreu dément toute crise humanitaire dans la bande de Gaza

 

 

Un drone non identifié a percuté un bâtiment à Eilat, en Israël, affirme Tsahal

Un drone non identifié a percuté un bâtiment dans la ville d’Eilat, à l’extrême sud d’Israël, annonce Tsahal. Aucun blessé n’a été constaté dans l’immédiat.

 

 

L'Otan soutient des «pauses humanitaires»

Les alliés de l'Otan soutiennent des «pauses humanitaires» dans la guerre entre Israël et le Hamas, pour permettre d'acheminer de l'aide dans Gaza, assure le secrétaire général de l'organisation, Jens Stoltenberg. Il a par ailleurs appelé à ce que le droit international soit respecté et que les civils soient protégés, juste avant une rencontre avec le chancelier allemand Olaf Scholz.

«La guerre à Gaza ne doit pas évoluer vers un conflit régional majeur», a-t-il ajouté, appelant l’Iran et le Hezbollah à «rester en dehors de ce combat».

 

13:44

«Plus jamais» de tolérance de l’antisémitisme en Allemagne, promet Scholz

Le chancelier Olaf Scholz a promis aux juifs qu'ils ne souffriraient «plus jamais» d'antisémitisme en Allemagne, lors d'une cérémonie commémorative des 85 ans de la «Nuit de Cristal», nuit de pogroms antijuifs sous les nazis.

La promesse de «ne plus jamais» tolérer l'antisémitisme, «c'est une promesse que nous devons tenir maintenant», a martelé le chancelier dans la synagogue Beth Zion, au cœur de Berlin, aux côtés du président allemand Frank-Walter Steinmeier et du chef du comité central des Juifs d'Allemagne Josef Schuster.
Olaf Scholz s’exprimait lors d’une cérémonie commémorative, 85 ans après la «Nuit de Cristal». POOL / REUTERS

«Toute forme d'antisémitisme empoisonne notre société. Comme maintenant lors de manifestations islamistes», a dit Olaf Scholz. Et de promettre de «poursuivre en justice tous ceux qui soutiennent le terrorisme et sont antisémites». Le chancelier a également rappelé qu'avec l'entrée en vigueur d'une nouvelle loi sur la citoyenneté, aucune personne antisémite ne pourrait être naturalisée allemande.

À lire aussiEn Allemagne, rassemblements pour Gaza et recrudescence de l'antisémitisme

Cette mise en garde survient alors que de nombreux incidents antisémites ont été commis par des musulmans et des personnes d'origine arabe en Allemagne.

 

L'Arabie saoudite accueille ce week-end des sommets arabe et islamique

L'Arabie saouditeaccueille ce week-end les dirigeants arabes et le président iranien pour deux sommets consacrés à la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui fait craindre une escalade régionale.

Les réunions d'urgence de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) se tiennent samedi et dimanche à Ryad, un peu plus d'un mois après le début de la guerre.

 

L'Égypte dénonce le «silence international sur les violations du droit» commises par Israël

L'Égypte a dénoncé jeudi lors d'une conférence humanitaire sur Gaza organisée à Paris «le silence international sur les violations du droit humanitaire international commises par Israël» dans le territoire palestinien.

«Ce que le gouvernement israélien fait dépasse de loin le droit à l'autodéfense», a lancé le chef de la diplomatie égyptienne Sameh Choukri, déplorant «un déséquilibre» dans «la conscience internationale».

 

La France va porter son aide à 100 millions d'euros, annonce Macron

La France va allouer cette année 80 millions d'euros supplémentaires à l'aide humanitaire destinée aux populations palestiniennes, atteignant un total de 100 millions d'euros, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron.

«Depuis le 7 octobre, la France a annoncé 20 millions d'euros d'aide humanitaire supplémentaires et nous allons porter cet effort à 100 millions d'euros pour 2023», a-t-il déclaré lors de la conférence humanitaire pour Gaza qui se tient à Paris.

 

11:03

Pour Israël, «il n'y a pas de crise humanitaire» dans la bande de Gaza

«Il n'y a pas de crise humanitaire dans la bande de Gaza», a affirmé jeudi un responsable militaire israélien, reconnaissant les «nombreuses difficultés» auxquelles font face les civils dans le territoire palestinien en proie à la guerre entre Israël et le Hamas.

À lire aussiLes options d’Israël pour «assumer la sécurité» de la bande de Gaza une fois la guerre terminée

Israël «facilite l'acheminement de l'aide humanitaire», a affirmé le colonel Moshe Tetro, responsable pour Gaza de l'organe du ministère israélien de la Défense supervisant les activités civiles dans les Territoires palestiniens. «Nous savons que la situation civile dans la bande de Gaza n'est pas facile», a-t-il ajouté.

 


10:33

«Il faut œuvrer au cessez-le-feu», déclare Macron

Le président français Emmanuel Macron a appelé jeudi à «œuvrer à un cessez-le-feu» entre Israël et le Hamas en ouverture de la conférence humanitaire sur Gaza à Paris.

«Dans l'immédiat, c'est à la protection des civils qu'il nous faut travailler. Il faut pour cela une pause humanitaire très rapide et il nous faut œuvrer à un cessez-le-feu», a déclaré le chef de l'État. «Celui-ci doit pouvoir devenir possible», a-t-il ajouté.

 

Note: les politiciens ne règlent pas les problèmes, ils refusent de creuser l'abcès, ils préfèrent le dialogue, perdre du temps et ne rien régler. Lorsque la guerre viendra en Europe,  ils feront pareil, ils refuseront d'utiliser l'arme nucléaire et préférerons le dialogue et les droits de l'homme. La France ne pourra se sortir de la guerre qu'avec l'arrivée de nouveau leadeur, de vrais dirigeants

 

 

L'Iran rejette les appels du G7 à cesser de soutenir le Hamas palestinien

L'Iran a rejeté jeudi une déclaration du G7 appelant Téhéran à cesser de soutenir le Hamas palestinien et de prendre des mesures qui «déstabilisent» le Moyen-Orient. Cet appel survient alors qu'Israël bombarde sans relâche depuis plus d'un mois la bande de Gaza assiégée affirmant vouloir anéantir le Hamas en représailles à l'attaque inédite menée le 7 octobre par le mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien.

Les chefs de la diplomatie du G7, réunis à Tokyo, ont exhorté l'Iran mercredi à ne pas soutenir le Hamas et le Hezbollah libanais, et à ne rien faire qui puisse «déstabiliser le Moyen-Orient». Jeudi, le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Nasser Kanani, a «condamné fermement» cette déclaration. Il a affirmé que l'Iran avait déployé «des efforts ininterrompus pour mettre fin aux attaques militaires du régime sioniste agresseur (Israël) contre les citoyens sans défense» du territoire palestinien de la bande de Gaza, que contrôle le Hamas.

«Ce que l'on attendait de la réunion des ministres des affaires étrangères du G7 à Tokyo, c'était qu'ils assument leur responsabilité internationale, notamment en condamnant les actes du régime sioniste qui violent les droits de l'homme et le droit international à Gaza», a-t-il ajouté.

 

10:28

Une «conférence humanitaire» sur Gaza s'ouvre à Paris

La France accueille jeudi, à l'initiative de son président Emmanuel Macron, une «conférence humanitaire» pour tenter de débloquer l'aide vers Gaza, rendue quasi impossible par les bombardements incessants d'Israël depuis l'attaque sanglante du Hamas du 7 octobre. Le gouvernement israélien n'est pas représenté à cette conférence organisée à l'Élysée, mais le chef de l'État français s'est entretenu mardi avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu et lui reparlera après, selon la présidence française.

M. Macron a également eu des conversations téléphoniques avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et l'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, dont les pays jouent un rôle clé pour améliorer l'acheminement de l'aide dans la bande de Gaza, où s'entassent 2,4 millions de Palestiniens. Mais les pays arabes ne sont pas représentés au plus haut niveau. L'Autorité palestinienne a envoyé son Premier ministre et l'Égypte, qui contrôle à Rafah le seul point de passage vers Gaza qui ne soit pas tenu par Israël, une délégation ministérielle.

La conférence est en revanche suivie de près par les organisations humanitaires, qui dénoncent l'impossibilité d'apporter de l'aide tant que se poursuivent les bombardements sur Gaza. Treize ONG ont ainsi appelé à un «cessez-le-feu immédiat», réclamant de «garantir l'entrée de l'aide à Gaza et le respect du droit international humanitaire». L'ONU estime les besoins en aide pour la population de Gaza et de Cisjordanie à 1,2 milliard de dollars jusqu'à fin 2023.

La conférence vise à aboutir à un diagnostic commun sur la situation et à «mobiliser tous les partenaires et les bailleurs pour répondre à ces besoins», selon un conseiller d'Emmanuel Macron. D'après le ministère français des Affaires étrangères, les discussions devaient comporter un volet sur l'aide en matière d'alimentation, d'équipements médicaux et d'énergie, «une question compliquée car Israël ne veut pas que de l'essence rentre dans la bande de Gaza». Un second volet est prévu sur les promesses de dons ainsi qu'un «échange sur les accès humanitaires» au territoire, toujours extrêmement compliqués.

 

Israël poursuit ses bombardements de la ville de Gaza

Israël a de nouveau bombardé jeudi la ville de Gaza où les combats au sol font rage entre soldats israéliens et combattants du Hamas. L'AFP a pu s'approcher mercredi de l'épicentre des combats dans le nord de Gaza lors d'une incursion organisée par l'armée israélienne, et dont les images ont été soumises à la censure militaire.

Palmiers brûlés, lampadaires tordus, panneaux de signalisation déformés témoignaient de l'intensité de l'offensive le long de la route côtière, en ruines, qui relie le nord au sud du territoire, où des drapeaux israéliens flottent sur des bâtiments détruits en bord de plage. L'armée israélienne a annoncé qu'un nouveau «couloir» serait ouvert jeudi, après le départ la veille de 50.000 civils vers le sud.

Vers une guerre de religion, infos du 9 novembre 2023

 

 

Ces inquiétantes bannières brandies par des islamistes dans des cortèges pro-Palestine

L'habit ne fait pas le moine. Mais le drapeau fait-il l'islamiste ? Depuis l'assaut terroriste du Hamas contre Israël le 7 octobre dernier, les manifestations propalestiniennes se multiplient en Europe, charriant leurs lots de slogans, bannières et emblèmes. Certains cris de ralliement radicaux – «From the river to the sea» ou «Allah Akbar!» – ont fait polémique. Le 3 novembre, en Allemagne, ce sont des bannières frappées de caractères arabes qui ont été brandies par des manifestants, inquiétant la presse et les internautes.

Ce jour-là, une manifestation déclarée en soutien à la Palestine a rassemblé quelques milliers de personnes dans la ville d'Essen. Sur les images et les vidéos, on voit clairement de nombreux étendards noirs ou blancs, frappés d'inscriptions arabes. Plusieurs internautes s'alarment à la vision de ce qu'ils considèrent comme des drapeaux «talibans», ou «de l'État islamique».

 

En Égypte, le soutien indéfectible de l'université al-Azhar à la cause palestinienne

«L'Oumma (la nation musulmane, NDLR) doit reconsidérer radicalement sa dépendance à l'égard de l'Occident arrogant», a déclaré la prestigieuse université islamique égyptienne al-Azhar sur sa page Facebook le 18 octobre.

Fondé au Caire en 970, l'organisme, composée d'une mosquée, d'un centre de recherche théologique ainsi que d'une université et d'un réseau d'écoles, est devenu une référence pour les musulmans sunnites. Comment interpréter les propos de cette structure millénaire, connue pour ses prises de parole contre l'extrémisme et sa promotion du dialogue interreligieux?

 

 

07:01

Tsahal détruit méthodiquement les tunnels au nord de Gaza

L'armée israélienne a assuré mercredi qu'elle était entrée «profondément» à l'intérieur de la ville de Gaza où les combats au sol font rage et dans lesquels 33 militaires sont morts depuis le lancement de l'offensive terrestre le 27 octobre.

À lire aussiDans Gaza, Tsahal confrontée aux pièges de la guerre urbaine

Selon Israël, la ville abrite le «centre» du Hamas retranché dans un réseau de tunnels de plusieurs centaines de kilomètres, selon les experts. L'armée israélienne a diffusé mercredi des images montrant ses troupes au sol en train de localiser puis de faire exploser ces souterrains. Quelque 130 entrées de tunnels ont été découvertes, selon elle. «Des réserves d'eau et d'oxygène ont été découvertes à l'intérieur des tunnels, ce qui indique que le Hamas se prépare à rester longtemps sous terre», a aussi indiqué l’armée.

DIRECT

 

 

 

 

Loi immigration : le Sénat supprime l’article 3 sur la régularisation des travailleurs clandestins dans les métiers «en tension». Ils est remplacé par l’article 4b qui entrainera lui aussi quantité de régularisations.

Loi immigration : le Sénat supprime l'article 3 sur la régularisation des travailleurs clandestins dans les métiers «en tension»

Avant le vote, le ministre de l’Intérieur a réexpliqué la volonté du gouvernement de «régulariser les personnes qui sont dans l’irrégularité et qui travaillent, même si leur employeur ne souhaite pas le faire». Et d’annoncer que le gouvernement avait «entendu le compromis» trouvé par la majorité sénatoriale. «L’amendement est évidemment acceptable par le gouvernement», a-t-il annoncé, avant d’attaquer dans un sourire Bruno Retailleau, qui «régularise» selon lui «plus de monde que nous l’aurions fait». «L’article 3 était juste un article sur 48. Il ne méritait ni les bravos ni les hennissements», a ensuite ironisé Gérald Darmanin.

La droite sénatoriale souhaitait sa suppression. C’est désormais chose faite. L’article 3 du projet de loi immigration, qui prévoyait la régularisation des travailleurs sans papiers dans les métiers dits « en tension », a été supprimé ce mercredi soir au Sénat grâce à la large adoption – 191 pour et 138 contre – d’un amendement de suppression de la rapporteur LR du texte, Muriel Jourda. Il s’agissait du principal point d’achoppement entre les deux composantes de la majorité sénatoriale. L’Union centriste d’Hervé Marseille était favorable à cet article 3, quand Les Républicains de Bruno Retailleau y étaient fermement opposés, considérant qu’il pouvait engendrer une régularisation «massive».

Mais après d’âpres négociations, les deux parties étaient parvenues à un accord, mardi soir. L’article 3 est supprimé, mais il est remplacé par un autre article, le 4B, qui prévoit lui le durcissement des critères prévus par la circulaire Valls, entrée en vigueur en 2012. Cette circulaire autorisait la demande de titre de séjour aux étrangers en situation irrégulière qui vivent en France depuis au moins cinq ans, qui ont travaillé au moins huit mois dans les deux dernières années et disposent d’un contrat de travail ou d’une promesse d’embauche. Elle sera désormais inscrite dans la loi, et durcie.

www.lefigaro.fr

 

Pierre Brochand (ex-DGSE) : « En régularisant les clandestins dans les métiers en tension, une pompe inépuisable est amorcée »

GRAND ENTRETIEN – Pour l’ex-directeur général de la Direction générale de la sécurité extérieure, le projet de loi immigration présenté par Gérald Darmanin ne changera en rien la donne sur le défi migratoire, à ses yeux vital pour notre nation. Il fait ses propositions pour changer drastiquement nos politiques publiques.

LE FIGARO. – Que vous inspire le projet de loi sur l’immigration actuellement en débat au Sénat ?

Pierre BROCHAND. – (…) Les assouplissements sont spectaculaires, puisqu’ils prévoient de régulariser les « clandestins qui travaillent » et faire accéder à l’emploi certains « demandeurs d’asile » : soit, dans un cas, récompenser la fraude et, dans l’autre, rendre encore plus difficile la mise en œuvre d’éventuelles OQTF. S’y ajoute, pour faire bonne mesure – CEDH oblige -, l’interdiction du placement des mineurs en détention.

L’article 3 sur les régularisations dans les métiers en tension fait particulièrement débat…

C’est au fond la mesure la plus concrète du texte. Elle signifie que nos flux ne sont pas seulement calibrés par les juges, mais aussi par les restaurateurs et autres professions. Ce qui n’est pas davantage admissible : si la survie du pays est en jeu, les intérêts particuliers doivent céder. Cette disposition est aussi néfaste, en ce qu’elle crée un cercle vicieux, qui gratifie et encourage l’illégalité : l’emploi d’une main-d’œuvre clandestine dégrade les conditions de travail et de salaire dans certains métiers, les natifs rechignent à les exercer, d’où l’afflux de nouveaux clandestins, qui, une fois régularisés, renâcleront de même. Une pompe inépuisable est amorcée.

De plus, en engageant les rémunérations à la baisse, le processus les rapproche des minima sociaux et affaiblit encore l’incitation des natifs, légaux et régularisés, à prendre ces emplois, même si, hors métropoles, l’hésitation paraît moindre.

(…)

Cela impliquerait un retournement à 180 degrés de toutes nos politiques publiques. N’est-ce pas trop ambitieux ?

Je ne suis pas complètement insensé : ce que j’avance se situe à des années-lumière du « cercle de la raison » qui nous enferme depuis si longtemps et ne semble pas vouloir se desserrer. Du coup, mon pessimisme se hausse en alarmisme. Si vous me permettez une allégorie vulgaire, je me sens comme le passager d’un camion, assis à la « place du mort », qui, connaissant la route, crie au conducteur qu’il va droit dans un ravin et que celui-ci fait la sourde oreille, quand il ne m’insulte pas. Mais, après tout, c’est à nos compatriotes, autres voyageurs embarqués, de décider s’ils veulent continuer à rouler, c’est-à-dire vivre dans un pays, où, a minima, la vie ne vaudra pas d’être vécue, ou, a maxima, ils ne pourront plus vivre du tout.

(…)

La gauche semble toujours réticente à maîtriser les flux migratoires. Pourtant, n’y a-t-il pas une incompatibilité entre la défense des acquis sociaux de l’État-providence et l’immigration massive ?

L’État-providence est une conquête qui ne va pas sans exigences. L’une, affective, est la conscience d’une solidarité, que seule la nation a suscitée à grande échelle. L’autre, économique, soumet la redistribution au contrôle strict des bénéficiaires, en quantité et en qualité.

(…) La démonstration en est si évidente que je n’insisterai que sur un point : la saturation des services publics. Je suis interloqué par le fait que, pour expliquer leur délabrement, jamais ne soit invoqué le poids de l’immigration. Or, chaque année arrivent 400.000 à 500.000 usagers supplémentaires de ces biens congestibles, sans y avoir cotisé un centime. De là, une course sans fin entre besoins et moyens, que nous sommes condamnés à perdre.

Regardons le Danemark, où les sociaux-démocrates, chantres de l’État-providence, ont dû opter entre celui-ci et l’immigration. Leur choix a été vite fait.

Lire l’intégralité de l’article dans Le Figaro

 

 

Voleurs, agresseurs, escrocs… Ces inquiétants profils de délinquants étrangers que la France ne peut pas expulser

EXCLUSIF – Les préfets de département ont fait remonter à Beauvau les cas emblématiques de leur impuissance à éloigner les individus les plus dangereux. Un tableau édifiant.

M. X, né en 1962, «de nationalité algérienne» a 35 condamnations à son actif. Il a écopé de sa première peine de 8 mois de prison en 1984 et détient l’un des plus beaux pedigrees de la voyoucratie de l’Isère. Une «carrière» quasiment ininterrompue qui, d’année en année, le mène de vols en falsifications de chèques, filouteries, refus d’obtempérer, agressions, outrages, conduite sans permis, rébellion, violences avec arme et pour finir – le pompon – une condamnation en 2017 pour «menace de crimes et délits contre les personnes ou les biens à l’encontre d’un magistrat». Seulement voilà : M. X est inexpulsable, car arrivé en France avant l’âge de 13 ans et y résidant depuis plus de 20 ans.

Né en 1974, un Marocain de Fez, cumule, lui, déjà 17 condamnations pour onze infractions, allant de la menace de mort à la détention de stupéfiants. Admis en psychiatrie en 2021, ce délinquant du Loir-et-Cher sort et dérobe en mai 2022 une fourgonnette. «Pris en chasse par la gendarmerie et suivi par un hélicoptère, il commet deux refus d’obtempérer puis emprunte l’autoroute, percute un véhicule, enfonce la barrière du péage de Saint-Arnoult et perd le contrôle du véhicule». La suite ? Interpellé et placé de nouveau en psychiatrie, «il s’évade courant juin». Ce célibataire est inexpulsable : «entré en France en 1976», à l’âge de deux ans, et «père d’un enfant français aujourd’hui majeur».

Voleurs, violeurs, agresseurs, receleurs, kidnappeurs, tortionnaires, trafiquants, fraudeurs, braqueurs, escrocs… mais étrangers inexpulsables parce que protégés par la loi. Ces indésirables sont les bêtes noires du ministère de l’IntérieurLe Figaro a eu accès aux «remontées des préfets» à Gérald Darmanin. Un tableau sidérant de près de 450 cas concrets illustrant l’impuissance de l’État face à certains individus, dès lors qu’ils sont bien installés dans le pays d’accueil. L’essentiel des protections dont ils bénéficient aujourd’hui a été inventé sous Gaston Defferre en 1981. Nicolas Sarkozy en a rajouté en 2003, en restreignant encore le principe de la double peine pour certaines catégories.

Un autre Marocain, né en 1975 à Laon (Aisne), célibataire, sans enfant, lui, a demandé à être régularisé en sa qualité d’«étranger malade». Un palmarès de 28 jugements pour vols, violences, destructions, port d’arme, refus d’obtempérer, menace de mort, extorsion, trafic de stupéfiants et agressions sexuelles. Il «a fait l’objet de nombreuses condamnations dont la gravité et la récurrence démontrent le danger que représente l’intéressé», relève le préfet de la Marne, qui ajoute : «Ainsi, à l’âge de 46 ans», il «a passé 21 ans et 7 mois de sa vie en prison, soit un peu moins de la moitié de celle-ci». Qu’importe ! Malade et arrivé en France avant l’âge de 13 ans, nul ne peut le contraindre à partir.

(…)

En clair : des articles qui disposent, par exemple, que l’étranger délinquant est inexpulsable s’il «justifie par tout moyens résider habituellement en France depuis qu’il a atteint au plus l’âge de 13 ans», ou s’il y vit «régulièrement depuis plus de 20 ans», ou bien s’il y «réside régulièrement depuis plus de dix ans» et qu’il est «marié depuis au moins quatre ans» à un ou une Française ou un Français, ou même à un étranger ou une étrangère, arrivés comme lui avant l’âge de 13 ans.

Idem s’il réside régulièrement en France depuis plus de dix ans et qu’il est «père ou mère d’un enfant français mineur résidant en France» et dont il subvient aux besoins. Il est également protégé si son état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et si, dans le pays de renvoi qui le concerne, il ne peut bénéficier effectivement d’un traitement approprié. Même si ledit traitement existe dans son pays.

(…) Le Figaro

 

 

 

Immigration : réunis à Lourdes, les évêques de France mettent en garde contre « l’illusion d’empêcher toute migration »

Ils appellent à « un sursaut d’humanité ». Les évêques catholiques réunis à Lourdes ont tiré mercredi la sonnette d’alarme sur le sujet de l’immigration, dont le cadre législatif devrait prochainement évoluer, mais aussi sur l’IVG ou la fin de vie.

L’immigration est au cœur d’un projet de loi examiné depuis lundi au Sénat, qui compte durcir considérablement le volet prévoyant la régularisation des travailleurs sans-papiers. « Une attention particulière doit être portée à la protection et aux droits de ceux qui contribuent déjà par le travail à la bonne marche de notre pays », estiment au terme de son assemblée plénière d’automne, la Conférence des évêques de France (CEF). Dans une déclaration que son président, Mgr Éric de Moulins-Beaufort, compte adresser au Président de la République « dès que possible », ils appellent aussi à « résister à la tentation de réduire les questions migratoires à des enjeux sécuritaires » .

Appelant à « un sursaut d’humanité face au fait des migrations », Mgr de Moulins-Beaufort a quant à lui mis en garde contre « l’illusion d’empêcher toute migration », se disant convaincu que « nous pouvons, en France, encore, recevoir (…) ceux et celles qui viennent chez nous dans l’espoir d’une vie meilleure ».

(…) Le Parisien

 

Note : ce sont des chrétiens de pacotilles, ils voient le monde comme les hommes politiques, selon les droits de l'homme, qui sont  les droits des autres

Ils veulent ouvrir en grand les frontières de la France, pour faire venir des milliers de migrants qui construiront des mosquées et s'installeront à la place de leurs églises. Ils n'ont rien dans la tête, ils militent pour que l'islam s'implante en France, en creusent leurs propres tombes  !

 

Matthieu Bock-Côté évoque les fermetures sans explication des comptes bancaires de gens engagés politiquement à droite en France et à l’étrange

08/11/2023

 

 

La Roche-sur-Yon (85) : Un réfugié djiboutien soupçonné d’avoir violé une mineure de 13 ans écroué. Il n’a pas encore été jugé dans une autre affaire de viol.

Un homme âgé de 26 ans a été mis en examen pour le viol d’une adolescente de 13 ans à La Roche-sur-Yon (Vendée), ce lundi, avant d’être placé en détention provisoire. C’est la deuxième fois qu’il est mis en examen pour viol en l’espace de deux ans, indique une source proche de l’affaire, confirmant une information de Ouest France.

Le suspect, de nationalité djiboutienne et qui bénéficie du statut de réfugié, est sorti de prison il y a quelques mois, après avoir passé deux ans en détention provisoire. Il n’a pas encore été jugé dans l’affaire du premier viol. Cette fois, l’homme est soupçonné d’avoir abusé sexuellement d’une jeune fille qu’il connaissait, dans un appartement de La Roche-sur-Yon, vendredi dernier.

actu17.fr

 

 

« En 2001, on n’avait pas de vigile. Aujourd’hui, on est obligé de travailler avec deux vigiles » : rixe entre vendeurs à la sauvette dans une pharmacie du quartier Quatre Chemins à Pantin (93)

 

 

Vénissieux (69) : un agent municipal de la médiathèque Lucie-Aubrac urine dans la gourde de sa collègue juive pour soutenir Gaza. Déjà signalé plusieurs fois, il n’a jamais été renvoyé car proche de la mairie PCF

Selon une source syndicale, un agent de la médiathèque Lucie-Aubrac de Vénissieux a été mis à pied. Il est accusé par une collègue d’avoir uriné dans sa gourde en fin de semaine dernière dans le bâtiment situé à deux pas de la mairie.

Un geste bête et même dangereux car pouvant être considéré comme une tentative d’empoisonnement, mais qui entre dans une autre dimension lorsqu’on apprend les raisons qui auraient poussé l’individu à agir. Ce dernier, étant persuadé que sa collègue est de confession juive, a uriné dans sa gourde pour “soutenir Gaza”.

Selon nos informations, l’agent municipal a déjà fait l’objet de plusieurs signalements par le passé mais n’a jamais été renvoyé.

Proche d’un adjoint de la maire Michèle Picard, il se trouve cette fois dans une situation qui pourrait paraître inextricable. Mais Vénissieux a de la ressource en matière de retournements de situations inédits en France…

www.lyonmag.com

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