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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 6 janvier 2020

 

D'autres informations pourraient être rajoutées, tout dépendra de l'actualité

 

 

La Chine appelle les États-Unis à «ne pas abuser de la force militaire» au Moyen-Orient

 

Dénonçant une «violation des principes fondamentaux des relations internationales», la Chine a mis en garde contre une escalade des tensions au Moyen-Orient après l’assassinat du général Soleimani dans une frappe américaine.

Pékin a appelé Washington «à ne pas abuser de la force militaire au Moyen-Orient» suite aux menaces lancées contre Téhéran après l'assassinat d'un haut responsable iranien.

Vendredi 3 janvier, un raid aérien des États-Unis à Bagdad en Irak a tué le général Qassem Soleimani, commandant de l'unité d'élite des forces iraniennes Al-Qods et architecte de la stratégie iranienne au Moyen-Orient. Donald Trump a ensuite menacé de frapper 52 objectifs en Iran si la République islamique attaquait du personnel ou des sites américains en guise de représailles à la mort du général.

S’exprimant ce lundi 6 janvier, le porte-parole de la diplomatie chinoise Geng Shuang, a dénoncé les «récentes aventures militaires de Washington qui ont violé les principes fondamentaux des relations internationales, entraîné une escalade des tensions et une instabilité dans la région».

Il a également appelé les deux pays à la retenue pour éviter une nouvelle détérioration de la situation.

«Toutes les parties concernées doivent respecter la Charte des Nations unies. La souveraineté, l'indépendance et l'intégrité territoriale de tout pays doivent être respectées et il faut défendre la paix et la stabilité au Moyen-Orient», a déclaré le diplomate.

«Personne ne veut voir une escalade ultérieure dans le golfe Persique», a-t-il conclu.

La Chine est l'un des pays parties de l'accord sur le nucléaire iranien signé en 2015, dont les États-Unis se sont retirés unilatéralement en 2018. C'est aussi l'un des principaux importateurs de brut iranien.

Source

 

 

Note : La Chine, l'Iran et la Russie ont tenu la semaine dernière des exercices navals conjoints dans l'océan Indien et le golfe d'Oman et le ministre iranien des Affaires étrangères s'est rendu à Pékin en début de semaine.

Source

 

 

 

Les premiers soldats turcs se déploient «progressivement» en Libye

Les premiers soldats turcs se déploient «progressivement» en Libye © MURAT KULA / TURKISH PRESIDENTIAL PRESS SERVICE Source: AFP Le président turc Recep Tayyip Erdogan s'adresse aux membres de sa formation politique, le Parti de la justice et du développement

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/69784-premiers-soldats-turcs-se-deploient-progressivement-libye


Recep Tayyip Erdogan a officialisé l'envoi de soldats turcs en Libye. «Nos soldats sont en train d'être déployés progressivement», a déclaré le président turc le 5 janvier, à l'occasion d'une interview sur la chaîne CNN Turk.

Dans la soirée du 5 janvier, Recep Tayyip Erdogan a annoncé le début du déploiement de soldats turcs en Libye. «La mission de nos soldats là-bas est la coordination [...] Nos soldats sont en train d'être déployés progressivement», a-t-il déclaré au cours d'une interview sur la chaîne CNN Turk. L’envoi de ce premier contingent intervient trois jours après le vote d’une motion permettant au président turc d'envoyer des militaires sur le territoire libyen afin de soutenir le Gouvernement d'union nationale (GNA), en conflit avec le maréchal Haftar, homme fort de l'est libyen.

Ankara fait ainsi fi de la décision, le 4 janvier, du Parlement libyen qui ne reconnaît pas la légitimité du GNA établi à Tripoli, de rompre ses relations avec la Turquie, après un récent accord militaire conclu entre Ankara et le GNA.

Alger et Le Caire s'opposent à une intervention turque en Libye

L’intervention d’Ankara dans le dossier libyen a suscité une levée de boucliers de plusieurs pays limitrophes de la Libye. Le 17 décembre dernier, deux jours après la rencontre organisée à Istanbul entre Recep Tayyip Erdogan et Fayez-al-Sarraj, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait mis en garde contre toute velléité de «contrôler» le territoire libyen. Cité par plusieurs médias publics, le président égyptien avait alors souligné que la crise actuelle en Libye relevait «de la sécurité nationale de l'Egypte».

En Algérie, la probabilité d’une intervention militaire turque sur le sol libyen est également source d'inquiétudes. Ainsi, le nouveau président Abdelmadjid Tebboune avait tenu, le 26 décembre, une réunion du Haut conseil de sécurité (HCS), qui regroupe les plus hautes autorités civiles et militaires de l'Algérie, cela afin d’évoquer la situation à ses frontières, notamment celle avec la Libye. «L’Algérie prendra dans les prochains jours plusieurs initiatives en faveur d’une solution pacifique à la crise libyenne, une solution exclusivement inter-libyenne», avait déclaré de son côté, le 2 janvier, le ministre algérien des Affaires étrangères Sabri Boukadoum.

En savoir plus sur RT France

 

 

L’Irak lance les préparatifs au retrait des troupes étrangères de son territoire

 

Le Parlement irakien réclame l'expulsion des troupes américaines du pays après l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani. Selon les Forces armées irakiennes, les déplacements terrestres et aériens des forces de la coalition ont déjà été limités.

Les autorités irakiennes ont commencé à préparer le mécanisme du retrait des troupes étrangères du pays, a annoncé lundi 6 janvier Abdel Karim Khalaf, porte-parole du commandant des Forces armées d'Irak.

«Le gouvernement irakien s’est préparé à lancer le retrait des troupes américaines d’Irak. L’activité de la coalition internationale en Irak sera limitée à des consultations, à de l’armement et à l’entraînement des militaires alors que les forces armées quitteront l’Irak», a-t-il déclaré lors d’un discours diffusé par la chaîne Al Jazeera.

«Les récentes frappes américaines sont une bêtise face à laquelle il est impossible de rester silencieux», a-t-il ajouté.

Le responsable a précisé que «les autorités irakiennes avaient limité les déplacements terrestres et aériens des forces de la coalition internationale et ne leur permettraient pas d’avancer où que ce soit».

Selon lui, les Américains mènent leurs opérations sans prévenir le commandement général des Forces armées.

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Lire aussi : Irak: Trump menace de sanctions si les troupes américaines doivent partir

 

 

 

 

La publication du NYT sur l'ordre de Trump d’éliminer Soleimani commentée par le Pentagone

 

En réponse à la publication d’un article du New York Times, le Pentagone a réfuté les informations selon lesquelles le Président des États-Unis avait ordonné l’élimination de Soleimani contre l’avis de récents rapports du renseignement. Selon la porte-parole du département, les détails de cet article sont «inexacts et incomplets».

Le département américain de la Défense a qualifié d’«inexactes et incomplètes» les informations du New York Times selon lesquelles Donald Trump avait ordonné l'élimination du général iranien Qassem Soleimani contre l’avis des renseignements.

«Les détails et les délibérations décrits dans l'article du New York Times sont inexacts et incomplets. Ces "sources" ne faisaient clairement partie d'aucune des réunions décrites, et leur citation induit donc en erreur», indique la porte-parole du Pentagone Alyssa Farah sur Twitter.

Dans une interview accordée à la chaîne ABC, le secrétaire d'État Mike Pompeo a réfuté dimanche 5 janvier les informations divulguées par l'article du quotidien new-yorkais. Pour ce faire, le responsable a cité le général Mark Millie, chef d'état-major interarmées des Forces armées américaines, selon lequel ne pas effectuer de frappe aurait été une «négligence criminelle».

Le New York Times, citant des sources du Pentagone et de l'administration du leader du pays, avait indiqué samedi 4 janvier que des responsables militaires américains avaient proposé à Trump de neutraliser Soleimani, considérant cette proposition comme «la mesure la plus extrême». Selon le quotidien, ils doutaient que le Président américain ose prendre cette mesure, mais ce dernier a opté pour cette solution, malgré les différends en cours au sein de l'administration concernant de nouveaux renseignements.

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Note: le problème avec les Américains, c’est à force de mensonge passé pour justifier leurs guerres, on leur fait de moins en moins confiance. Et lorsqu’il donne une nouvelle information, comme ici, on ne sait plus si on peut se fier à leurs paroles.

Alors, Soleimani a-t-il était éliminé parce qu'il prévoyait vraiment des attentats contre des Américains, où cet assassinat sert à déclenché une nouvelle guerre 

 

 

 

 

L'Iran a placé ses missiles en alerte renforcée, selon un responsable US

 

Comme l’a déclaré à Reuters un responsable américain, l'Iran a placé ses missiles en alerte renforcée. Pourtant, Washington ignore s'il s'agit d'une mesure défensive ou non.

Les États-Unis ont constaté que l'Iran avait placé son système de missiles en état d'alerte renforcé à travers son territoire, a déclaré le 5 janvier un responsable américain à Reuters.

Ce dernier n'a pas fourni d'autres détails et n'a pas précisé notamment si ces missiles visaient des cibles précises alors que l'Iran a promis de venger la mort de son général Qassem Soleimani, tué dans la nuit du 2 au 3 janvier par une frappe de drone américain en Irak.

«Ils sont clairement en état d'alerte renforcé. Cet état d'alerte renforcé est-il destiné à être mieux préparé défensivement ou à être mieux préparé offensivement? Cela ne peut pas être déterminé à ce stade», a dit ce responsable.

«Mais nous observons cela attentivement», a-t-il ajouté.

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[…]

« J’ai vu mes collègues en pleurs »

Bilan : près de 300 véhicules incendiés dans le Bas-Rhin. 220 rien qu’à Strasbourg. Autant d’interventions des hommes du feu. Des interventions risquées. « Il y avait déjà une certaine appréhension à se rendre dans ces quartiers mais là, certains pompiers sont carrément tombés dans des guets-apens.«  Le renfort des forces de police lors des interventions dans les quartiers sensibles n’y aura pas suffi :  » Vu le nombre d’interventions que l’on a du faire, les forces de l’ordre ne pouvaient pas toujours suivre. »

[…]

Deux guets-apens significatifs

Car lors de leurs nombreuses interventions, certains pompiers sont littéralement tombés dans des guets-apens.

[…]

« Par représailles, ils se sont attaqués à un autre fourgon. Il a littéralement été pris pour cible à coups de barres de fer, de mortiers, de cailloux par une cinquantaine de jeunes. Le but était simple : extraire les pompiers de leur véhicule. S’ils avaient réussi, mes collègues se seraient fait lyncher. Tout simplement. »

« On a franchi un cap, rien ne sera plus comme avant »

Résultat : deux blessés parmi les occupants du fourgon. Le conducteur et son chef. «  Un caillou a atteint le conducteur qui a dû avoir des points de suture au visage. Le copilote souffre, lui, d’une commotion cérébrale. »

[…]

J’ai vu mes collègues totalement traumatisés, en pleurs. C’est la première fois que je voyais ça. Certains se demandent à quoi bon risquer encore leur vie pour une société pareille. C’est triste. » 

[…]

Nous sommes un symbole de l’Etat avec nos gyrophares mais sans défense. C’est un manque de culture. Ils ne se rendent pas compte que si le lendemain, on doit venir sauver leur vie, on viendra. » 

« On a franchi un cap. On a frôlé la catastrophe. Vue la violence dont nous avons été victimes cette année, on se demande bien comment va se dérouler la suite. C’est très inquiétant. « 

[…]

France 3

 

 

 

 

Proche-Orient. Donald Trump menace à nouveau l’Iran… et l’Irak

 

Très remonté, le président américain défie l’Iran de s’en prendre aux États-Unis, mais a aussi prévenu l’Irak que l’armée américaine n’entendait pas quitter son territoire.

Le président des États-Unis Donald Trump a menacé dimanche l’Iran de représailles majeures et l’Irak de sanctions après un vote du Parlement réclamant l’expulsion des troupes américaines de ce pays.

Depuis la mort dans un raid américain vendredi à Bagdad du puissant général iranien Qassem Soleimani, le monde entier redoute une escalade, voire une véritable déflagration.

Depuis l’avion présidentiel Air Force One qui le ramenait à Washington après deux semaines de vacances en Floride, le locataire de la Maison Blanche n’a rien fait pour apaiser les inquiétudes.

Interrogé sur l’attitude de Téhéran, qui crie « vengeance » et promet une riposte « militaire », il a opté pour un ton très dur : « S’ils font quoi que ce soit, il y aura des représailles majeures ».

Le tempétueux président a par ailleurs maintenu sa menace de détruire des sites culturels iraniens. « Ils ont le droit de tuer nos ressortissants […] et nous n’avons pas le droit de toucher leurs sites culturels ? Cela ne marche pas comme ça », a-t-il lancé.

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Note : encore une erreur de Trump de vouloir à tout prix rester dans cette poudrière qu’est l’Irak. Je rappelle que 60% de la population irakienne est chiites comme les iraniens. le reste de la population sont sunnites, des musulmans qui détestent (aussi) l’Amérique vu les guerres et les embargos du passé.

De plus vu la politique dure que Trump adopte; et la détermination des chiites de vouloir se venger. Je pense que nous nous dirigeons vers un engrenage vicieux qui va mener le monde vers une troisième guerre mondiale. Une guerre que je ne cesse de prédire depuis bientôt 8 ans (en donnant les acteurs clefs de se conflit - Islam - Iran meneur - Prince Arabe - Corée du Nord  etc etc )

RELIRE les Prophéties de Nostradamus page 1 sur 2

 

 

 

 

EN DIRECT - Tensions avec l'Iran : Donald Trump agite la menace d'une riposte "disproportionnée"

 

 

 

 

Irak: au moins deux roquettes s'abattent près de l'ambassade américaine à Bagdad

 

 

 

L’Iran avertit les Etats-Unis : la réponse à l’assassinat de Soleimani sera « militaire »

 

Selon un conseiller militaire de l’ayatollah Ali Khamenei, les Etats-Unis doivent s’apprêter à recevoir « un coup égal à celui qu’ils ont porté ».

 Le général de brigade Hossein Dehghan est allé au-delà d’une forme de prudence affichée par le ministre des Affaires étrangères iranien (capture d’écran).
Le général de brigade Hossein Dehghan est allé au-delà d’une forme de prudence affichée par le ministre des Affaires étrangères iranien (capture d’écran).  CNN

La mise en garde est venue d'un conseiller militaire du guide suprême. La réponse de l'Iran à l'assassinat du général Qassem Soleimani, tué vendredi par une frappe américaine à Bagdad, « sera militaire », a-t-il averti dans une interview accordée dimanche à la chaîne iranienne CNN.

Cette réplique sera par ailleurs dirigée « contre des sites militaires », martèle le général de brigade Hossein Dehghan, conseiller militaire de l'ayatollah Ali Khamenei. Ces propos semblent aller au-delà d'une forme de prudence affichée par le porte-parole des Affaires étrangères iranien, Abbas Moussavi, qui maintient que l'Iran « ne cherche pas la guerre » mais « est prêt à faire face à toute situation ».

« C'est l'Amérique qui a commencé la guerre, appuie le général Hossein Dehghan, selon la transcription en anglais de cet entretien réalisé en persan. En conséquence, ils doivent accepter que les réactions soient adaptées à leurs actes. »

« Vengeance implacable »

« La seule chose qui puisse mettre un terme à ce moment guerrier est que les Américains reçoivent un coup égal à celui qu'ils ont porté », renchérit cet ancien ministre de la Défense. L'ayatollah Khamenei a promis vendredi qu'une « vengeance implacable » attendait les Etats-Unis après l'assassinat de Soleimani.

Dans un communiqué, le Conseil suprême de la sécurité nationale iranien a assuré sans plus de précision que cette « dure vengeance » surviendrait « au bon endroit et au bon moment ».

Source

 

 

 

 

 

«S'il dit 52, on dit 300»: l’Iran avertit qu’il répondra par des frappes sur des sites militaires américains

 

En réponse à un avertissement de Donald Trump qui a promis de frapper 52 sites iraniens, si la République islamique attaquait du personnel ou des objectifs américains, le conseiller militaire du guide suprême iranien a martelé que les Iraniens répondraient alors par une attaque contre 300 sites militaires américains, selon CNN.

Téhéran a promis de mener des attaques contre des installations militaires américaines en réponse au meurtre du général Qassem Soleimani, tué par une frappe aérienne américaine à Bagdad. Hossein Dehghan, le conseiller militaire du guide suprême iranien, Ali Khamenei, a promis, dans une interview accordée à la chaîne de télévision américaine CNN, de venger la mort du haut gradé.

«C'est les États-Unis qui ont commencé la guerre. Donc, ils devraient accepter des réactions appropriées à leurs actions. La seule chose qui peut mettre fin à cette période de guerre est pour les Américains de recevoir un coup qui est égal au coup qu'ils ont infligé. Après, ils ne devraient pas chercher un nouveau cycle», a précisé Hossein Dehghan.

Selon le conseiller militaire d’Ali Khamenei, ce sont les forces armées iraniennes qui frapperont. Il a également répondu à la déclaration du Président des États-Unis, qui a menacé de frapper 52 sites en Iran.

«S'il dit 52, on dit 300, et on peut les atteindre. Aucun militaire américain, aucun centre politique américain, aucune base militaire américaine, aucun navire américain ne sera en sécurité. Il ne connaît pas le droit international. Il ne reconnaît pas les résolutions de l'Onu non plus. Fondamentalement, c’est un véritable gangster et un parieur», a martelé Hossein Dehghan en réponse à Donald Trump.

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La crise entre Washington et Téhéran menace d'embraser le Moyen-Orient

 

Après la mort du général iranien Qassem Soleimani, tué vendredi par une frappe américaine en Irak, Washington et Téhéran n'ont cessé d'échanger des menaces. L'Iran ne s'impose plus de limite à l'enrichissement d'uranium. Aux Etats-Unis, la méthode et la légitimité de cette frappe sont remises en cause, alors que l'administration Trump apparaît divisée.

L'escalade semble sans fin. Après la mort du  général iranien Qassem Soleimani ,  tué vendredi par une frappe américaine en Irak, Washington et Téhéran rivalisent de menaces, se répondant par tweets interposés et communiqués appelant à la vengeance. 

L'Iran a indiqué qu'il s'affranchissait encore davantage de l'accord de 2015 sur le nucléaire et qu'il ne se sentait désormais plus tenu par aucune limite « sur le nombre de ses centrifugeuses », même si le pays assure continuer à collaborer avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Et Téhéran a menacé de cibler les intérêts américains dans la région et les agences américaines ont repéré que les missiles balistiques iraniens étaient prêts à frapper. Samedi, jour des  obsèques de Soleimani , la zone verte de Bagdad et une base abritant des soldats américains ont été visées par des tirs de mortier, sans faire de victime.

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LIRE AUSSI : Nucléaire : l'Iran s'affranchit de toute limite à l'enrichissement d'uranium

 

 

 

 

 

Le Hezbollah libanais appelle l'Irak à se libérer de l'«occupation» américaine

 

Le 5 janvier a 22:54

Hassan Nasrallah lors de sa déclaration télévisée.
Hassan Nasrallah lors de sa déclaration télévisée. Capture d'écran.

Le chef du mouvement chiite libanais Hezbollah, Hassan Nasrallah, a appelé dimanche l'Irak à se libérer de l'«occupation» américaine, quelques jours après la mort du général iranien Qassem Soleimani et d'un haut commandant irakien dans un raid des États-Unis.

«Notre demande, notre espoir, ce qu'on attend de nos frères au Parlement irakien, c'est [...] d'adopter une loi réclamant le départ des forces américaines d'Irak», a lancé Hassan Nasrallah lors d'une allocution télévisée. Les députés américains doivent se prononcer ce dimanche sur un éventuel départ des 5200 soldats envoyés par Washington dans le cadre de la coalition internationale contre l'État islamique.

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Le corps du général Soleimani transféré en Iran, les cérémonies d'hommage se poursuivent

 

 

Les militaires turcs en route pour la Libye, selon Erdogan

 

Le parlement turc ayant adopté le 2 janvier une motion autorisant l’envoi de troupes turques en Libye, le Président Recep Tayyip Erdogan a annoncé le 5 janvier le départ progressif de soldats afin de soutenir le gouvernement légitime libyen.

Les militaires turcs commencent à partir pour la Libye en vue de soutenir et de se cordonner au gouvernement d'union nationale, a déclaré dimanche 5 janvier Recep Tayyip Erdogan.

«Nos militaires partent progressivement pour la Libye. Ils s’y occuperont de la coordination. Notre but: soutenir le gouvernement légitime», a-t-il déclaré à l’antenne de CNN Turk.

Et d'ajouter que le soutien au gouvernement légitime permettrait de prévenir une catastrophe humanitaire.

Sarraj demande l'aide de la Turquie

Plus tôt les médias avaient annoncé que le gouvernement d'union nationale, également connu comme gouvernement el-Sarraj, avait demandé l’aide de la Turquie face à l’avancée de l'Armée nationale libyenne de Khalifa Hafrar sur Tripoli.

Il a été mentionné qu’il s’agirait d'un soutien militaire «aérien, terrestre et maritime» pour dévier l’adversaire.

La Grande Assemblée nationale de Turquie a adopté jeudi 2 janvier une motion autorisant l'envoi de troupes turques en Libye.

Après ce feu vert du parlement turc, l'Union européenne a exprimé vendredi 3 janvier sa «grave inquiétude».

Source

 

 

 

 

Toulouse est-elle une des seules villes de France à l’abri des missiles de la Corée du Nord ?

 

Alors que pour les fêtes, Pyongyang (Corée-du-Nord) avait promis une "surprise" aux États-Unis, une carte de la portée de leurs missiles refait surface… Toulouse serait épargnée !

Alors que les relations chauffent entre la dictature coréenne et Washington, une carte réalisée par la chaire coréenne de l’université américaine Paul H. Nitze School of Advanced International Studies (SAIS), spécialisé dans les relations internationales, refait surface. Cette carte s’appuie sur les données recueillies par la Corée du Nord, et indique la portée des missiles nord-coréens.

 
Portée des missiles nord-coréens en 2017.
Portée des missiles nord-coréens en 2017. (©US Korean institute at SAIS.)

Peu d’informations fiables sur la Corée du Nord

Toutefois, cette information est à prendre avec des pincettes, depuis 2017 la situation a pu évoluer. La Corée du Nord évolue en vase clos, et il est très compliqué d’avoir des informations fiables concernant son arsenal militaire. Les informations officielles émanent de l’agence centrale de presse nord-coréenne : l’agence de presse gouvernementale KCNA, digne des plus grandes heures de la Pravda à l’époque de l’URSS…

Des tests fréquents de missiles longue portée

Malgré les multiples tentatives du président américain Donald Trump pour calmer les ambitions militaires nord-coréennes, Pyongyang continue ses tests de missiles. En dépit de plusieurs résolutions de l’ONU, Pyongyang a récemment procédé à une série d’essais sur sa base de tir de fusées de Sohae.

Des nouveaux missiles pouvant atteindre 13 000 kilomètres

D’après les sources officielles nord-coréennes, depuis 2017, le pays aurait réalisé des tests satisfaisants de nouveaux missiles. Le Hwasong-15, avec une portée de 13 000 kilomètres. Un missile qui serait donc capable d’atteindre la totalité du territoire des États-Unis… Si cela se confirme, Toulouse ne serait plus à l’abri non plus, la base de lancement de Sohae se trouvant exactement à 9 148 kilomètres du centre de la Ville rose. Seul l’Amérique du Sud et la pointe la plus au sud de l’Afrique seraient hors de portée dans ce cas.

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Gelsenkirchen (All.) : un Turc armé d’un couteau et criant « Allah Akbar » abattu après avoir tenté d’agresser des policiers

Un homme âgé de 37 ans a été abattu devant le commissariat de Gelsenkirchen, une commune située à l’ouest de Dortmund (Allemagne) ce dimanche soir vers 19h40. Ce dernier était armé d’un couteau et s’est précipité sur deux policiers.

Un policier a ouvert le feu a au moins une reprise ce dimanche soir. Il se trouvait avec l’un de ses collègues devant le commissariat de Gelsenkirchen lorsque les deux agents ont aperçu un homme qui s’approchait d’eux, avec un couteau à la main rapporte Welt.

Malgré les injonctions des policiers, l’assaillant ne s’est pas arrêté et a continué à s’approcher. C’est à ce moment là que l’un des deux policiers a ouvert le feu, tuant le mis en cause. Les secours ont tenté de le réanimer, en vain.

« Allah Akbar »

Ce dernier aurait hurlé « Allah Akbar » au moment des faits selon Bild. Le défunt qui était un ressortissant turc de 37 ans, avait été condamné à plusieurs reprises par la justice précise le quotidien allemand.

Actu 17

 

 

 

 

Espagne : trois sœurs américaines âgées de 18 à 23 ans ont été battues et violées le soir du Nouvel An, trois Afghans arrêtés

 

Espagne – Les agresseurs et leurs victimes se sont rencontrés dans un bar de Murcie le soir du Nouvel An, et plus tard dans la nuit se sont rendus dans deux appartements où les agressions ont eu lieu.

La police espagnole a arrêté trois hommes soupçonnés d’avoir violé et agressé sexuellement trois sœurs américaines le soir du Nouvel An dans la ville de Murcie, au sud-est de l’Espagne. Les victimes présumées, âgées de 23, 20 et 18 ans et originaires de l’Ohio, ont signalé le viol aux autorités, déclenchant une chasse à l’homme qui a duré environ 24 heures jusqu’à l’arrestation des suspects.

Les trois femmes ont rencontré les hommes dans un pub le 31 décembre. Une des sœurs est partie avec un des hommes pour se rendre chez lui. Les deux autres sont restées dans le bar jusqu’à leur départ avec les deux hommes restants. Ils se sont dirigés vers l’appartement où logeaient les Américaines et prévoyaient de poursuivre leurs célébrations du Nouvel An. Les femmes ont déclaré avoir été violées par ces individus qui, selon des sources de la délégation du gouvernement central à Murcie, sont d’origine afghane.

Selon La Opinón de Murcia, deux des femmes ont été violées par voie vaginale et les agresseurs présumés n’ont pas utilisé de préservatifs. Ainsi, les preuves ADN pourront potentiellement étayer le récit de ces victimes. La troisième femme, selon le même journal, n’a pas été violée par voie vaginale, mais a été agressée sexuellement et battue.

(…) Une des sœurs vivait à Murcie pendant ses études universitaires et devait retourner jeudi aux États-Unis. Les deux autres rendaient visite à leur sœur.

El Pais

 

 

Villejuif: le parcours de Nathan C., ce énième converti à la folie islamiste

 

Pour le Parquet antiterroriste, qui s’est finalement saisi, l’assaillant au couteau avait préparé son attaque.

Lire l'article

 

 

 

 

Strasbourg : « Ils voulaient lyncher les pompiers (…) Certains se demandent à quoi bon risquer leur vie pour une société pareille » (MàJ)

 

"On va bientôt vivre un drame dans notre profession !"

À Strasbourg, une cinquantaine de racailles ont attaqué des pompiers :
• caillassage du camion
• coups de barres de fer
• tentative de lynchage

Les pompiers subissent directement l'ensauvagement de notre société ...

VIDEO

 

 

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