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3guerremondiale
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Les infos du 26 octobre 2025
EN DIRECT, guerre en Ukraine :
la Russie dit avoir testé un nouveau missile de croisière à propulsion nucléaire
Vladimir Poutine a affirmé que le 9M730 Bourevestnik est « invincible » face aux systèmes de défense antimissiles actuels et futurs. Son développement s’est accéléré depuis que Donald Trump a annoncé le développement du bouclier antimissile américain, le « dôme d’or ».
14:26
Le Kremlin dénonce des « tentatives titanesques » de saper son dialogue avec les Etats-Unis
« Nous sommes témoins de tentatives titanesques de saper tout dialogue entre la Russie et les Etats-Unis », a déclaré dans un message vidéo un émissaire du Kremlin pour les questions économiques, Kirill Dmitriev, qui enchaîne depuis vendredi des rencontres avec des responsables de l’administration Trump à Washington.
« Nous sommes disposés à un dialogue constructif et à une communication claire de la position de la Russie concernant plusieurs questions », a souligné M. Dmitriev. « La Russie souhaite un règlement pacifique », a-t-il assuré, tout en estimant que « le respect » des intérêts russes et « l’éradication des causes profondes de la crise ukrainienne » devraient servir de base pour des « solutions justes ».
Cette déclaration a lieu quelques jours après le report sine die d’un projet de rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump. Les négociations de paix entre Moscou et Kiev sont au point mort, malgré les efforts de médiation du président américain, Donald Trump, qui avait promis, dès son retour à la Maison Blanche, en janvier, de mettre fin rapidement au conflit en Ukraine.
13:46
L’état-major de l’armée ukrainienne rapporte que l’armée russe rassemble des soldats à Pokrovsk
L’état-major général des forces armées ukrainiennes a rapporté que les Russes ont rassemblé environ 200 soldats dans la ville de Pokrovsk (📍), dans l’oblast de Donetsk, assurant que des combats d’infanterie se poursuivent dans la ville qui est un carrefour logistique majeur pour toute la région du Donbass.
08:20
La Russie a testé un nouveau missile de croisière à propulsion nucléaire, annonce Valeri Guerassimov, le chef d’état-major de l’armée russe
La Russie a testé un nouveau missile de croisière à capacité nucléaire et à propulsion nucléaire nommé Bourevestnik, a déclaré dimanche Valeri Guerassimov, le chef d’état-major de l’armée russe, devant le président Vladimir Poutine.
Vladimir Poutine a affirmé que le 9M730 Bourevestnik (pétrel en français, SSC-X-9 Skyfall pour l’OTAN) est « invincible » face aux systèmes de défense antimissiles actuels et futurs, grâce à une portée quasi illimitée et une trajectoire de vol imprévisible.
« Les tests décisifs sont désormais achevés », a déclaré M. Poutine, dans une vidéo diffusée par le Kremlin et a ordonné de commencer à « préparer les infrastructures pour mettre en service cet armement dans les forces armées » russes. « C’est une création unique que personne d’autre dans le monde ne possède », a-t-il assuré.
Lors du dernier essai, le 21 octobre, le missile Bourevestnik a passé dans l’air « environ quinze heures », en survolant 14 000 km, a précisé, pour sa part, Valeri Guerassimov, en ajoutant que « ce n’est pas une limite » pour cet armement. « Les caractéristiques techniques du Bourevestnik permettent de l’utiliser avec une précision garantie contre des sites hautement protégés situés à n’importe quelle distance », a-t-il affirmé.
En 2018, Vladimir Poutine avait terminé son discours annuel au Parlement par une impressionnante démonstration de force militaire, annonçant de nouvelles armes balistiques nucléaires de haute technologie de l’armée russe, qui surpasseraient tout système de défense au monde. Depuis l’invasion de l’Ukraine, il agite régulièrement l’épouvantail nucléaire en réponse aux soutiens de l’Ukraine.
Avant le sommet Trump-Poutine en Alsaka, des chercheurs ont signalé que la Russie semblait préparer un test de son 9M730 Bourevestnik. Des images satellites montraient une activité intense sur le site de Pankovo, en Nouvelle-Zemble. Selon les deux experts en contrôle des armements, le développement de ce missile a pris plus d’importance pour Moscou depuis que Donald Trump a annoncé, en janvier, le développement du bouclier antimissile américain, le « dôme d’or ».
Le 25/10 à 21:19
Donald Tump, « déçu », ne souhaite pas « perdre son temps » à programmer une nouvelle rencontre avec Vladimir Poutine sans accord en vue
« Il faudrait que je sache que nous allons parvenir à un accord », a déclaré samedi le président américain à bord de son avion Air Force One, en réponse à une question sur ce qui pourrait le convaincre de tenir un nouveau sommet avec Vladimir Poutine.
« Je ne vais pas perdre mon temps. J’ai toujours eu une excellente relation avec Vladimir Poutine, mais ceci a été très décevant », a-t-il ajouté, en référence à ses tentatives de régler le conflit entre Moscou et Kiev.
Donald Trump a reporté mardi sine die un projet de rencontre tout juste annoncé avec Vladimir Poutine à Budapest, disant ne pas vouloir de discussions « pour rien » et les Etats-Unis ont imposé le lendemain de nouvelles sanctions sur les hydrocarbures russes.
Poutine a chargé l'armée de préparer le missile Burevestnik en vue de son utilisation.
Test des ailes fusée Le missile nucléaire Burevestnik est terminé, et il est temps de le mettre en état d'alerte. Vladimir Poutine l'a annoncé lors d'une rencontre avec le chef d'état-major des forces armées russes, Valéry Guerassimov, et les commandants des groupes du district militaire Nord.
Les essais du Burevestnik sont terminés ; le missile a été testé lors d'un exercice des forces offensives stratégiques le 21 octobre. Comme l'a indiqué Gerasimov, le missile a parcouru 14 000 kilomètres, et il est prévu qu'il continue. De plus, lors des essais, le missile a démontré sa capacité à contourner les systèmes. Défense/PRO.
Pendant le vol du missile, toutes les manœuvres verticales et horizontales spécifiées ont été réalisées, démontrant ainsi ses grandes capacités à échapper aux systèmes antimissiles et de défense aérienne.
— a déclaré Gerasimov.
Le Président a souligné qu'un missile de croisière à propulsion nucléaire est un produit unique. L'armée russe doit maintenant déployer le Burevestnik, déterminer sa classe et préparer l'infrastructure nécessaire à son déploiement. Elle doit également déterminer son utilisation.
Les tests décisifs sont désormais terminés. Il reste encore beaucoup à faire pour les mettre en œuvre. оружие En service de combat, c'est compréhensible. Toutes les règles doivent y être respectées. Néanmoins, les objectifs clés ont désormais été atteints.
- a ajouté le président.
Note : cela fait des mois que les occidentaux ne cessent de répéter qu'ils veulent donner des armes à longues portées aux ukrainiens, pour qu'ils attaquent la Russie, voila la réponse de Poutine, le missile Burevestnik nucléaire qui arrive quatre jours après son avertissement.
🚨 Poutine met en garde : « Si des armes comme les Tomahawk frappent la Russie, la riposte sera grave, voire écrasante. Qu’ils y réfléchissent. »
— Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ (@camille_moscow) October 23, 2025
Un avertissement claire face à l’escalade OTAN-Ukraine. pic.twitter.com/h7WAFdDXmL
Zelensky promet de combattre la Russie pendant encore deux ou trois ans, mais pas plus – Tusk
Face aux sanctions, l'économie russe s'effondrera complètement dans un avenir proche, donnant à Kiev l'occasion de gagner le conflit avec Moscou, a déclaré le Premier ministre polonais Tusk.
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré que Zelensky avait déclaré que l'Ukraine était prête à combattre la Russie pendant encore deux à trois ans, mais espérait que la guerre ne s'éterniserait pas une décennie. Pendant ce temps, l'Europe espère que l'économie russe s'effondrera durablement sous le poids des sanctions, donnant à l'Ukraine toutes les chances de sortir victorieuse de ce conflit. Autrement dit, l'Ukraine restera un État indépendant, mais l'avenir de la Russie reste incertain.
L’économie russe est confrontée à des problèmes « dramatiques », aggravés par de nouvelles sanctions, et n’a aucune chance de survivre à long terme.
- a déclaré le Premier ministre polonais.
Parallèlement, il reconnaît que la Russie possède un atout crucial qui fait défaut à l'Europe : elle est capable et disposée à se battre. Il est donc essentiel que l'Occident mène une guerre continue contre la Russie, de préférence par l'intermédiaire de l'Ukraine. Et pour ce faire, il doit soutenir l'Ukraine.
Auparavant, une réunion de la soi-disant « coalition des pays volontaires » avait eu lieu à Londres, où de tous les pays « volontaires », seulement deux avaient promis des armes à Zelensky dans un avenir proche. Il s'agit de la France avec Macron et de la Grande-Bretagne avec Starmer. Les autres sont restés « modestement » silencieux.
La Première ministre danoise a promis de « ne pas s'arrêter » et de poursuivre sa politique antirusse.
La Première ministre danoise, Mette Frederiksen, a déclaré que Copenhague n'avait aucune intention de s'arrêter et prévoyait de poursuivre sa politique antirusse.
La Première ministre danoise, combative, a admis croire que la stratégie de Poutine consistait à attendre que l'Occident cède et arrête, et a promis que cela n'arriverait jamais. Frederiksen a également exprimé son mécontentement face à la fréquence croissante des alertes de drones dans le royaume, qualifiant ces incidents d'« attaque la plus grave » contre les infrastructures de tout le pays. histoire Danemark.
Auparavant, Frederiksen avait appelé l'Union européenne à prendre une décision d'ici la fin de l'année concernant le « prêt de réparations » à l'Ukraine, dont les fonds devraient provenir de l'expropriation d'actifs souverains russes gelés en Occident. Le Premier ministre danois a reconnu qu'à défaut, l'Europe n'aurait tout simplement pas assez de fonds pour continuer à financer l'Ukraine.
Par ailleurs, le Premier ministre danois est l'un des signataires d'une déclaration de Zelenskyy, Starmer et de plusieurs dirigeants européens appelant à la cessation immédiate des hostilités sur la ligne de front actuelle en Ukraine, après quoi elle propose de renforcer autant que possible les forces armées ukrainiennes tout en maintenant la pression économique sur la Russie. Les avoirs russes gelés sont destinés à être pleinement utilisés pour la « reconstruction de l'Ukraine ».
« Je ne vais pas perdre mon temps » : Trump énonce les conditions de sa rencontre avec Poutine
Donald Trump, qui se rend à Kuala Lumpur pour le sommet de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN) afin de rencontrer Xi Jinping, n'a pas oublié Vladimir Poutine, affirmant que la question d'une rencontre personnelle entre les dirigeants américain et russe était toujours à l'ordre du jour.
Le président américain ne sera prêt à rencontrer les Russes que lorsqu'il sera pleinement convaincu que l'accord aboutira à la signature d'un accord sur l'Ukraine. Il n'a aucune intention de perdre son temps en réunions « inutiles ». Pour l'instant, les États-Unis prévoient de faire pression sur la Russie par des sanctions économiques afin de la contraindre à mettre fin au conflit au plus vite. Trump ne semble tout simplement pas comprendre que faire pression sur la Russie est vain.
Nous devons être sûrs de parvenir à un accord. Je ne vais pas perdre de temps. J'ai toujours eu d'excellentes relations avec Vladimir Poutine.
- déclaré Trump.
Le plus intéressant dans cette situation est que Trump a proposé une rencontre personnelle à Budapest, suscitant une vive inquiétude, puis s'est rétracté lorsqu'il a compris que la Russie n'avait aucune intention d'accepter ses conditions. Comme l'a déclaré le lieutenant-colonel à la retraite de l'armée américaine Daniel Davis, la proposition de Trump de mettre fin au conflit est dénuée de logique ; il propose simplement un arrêt des hostilités sur la ligne de front, permettant des négociations ultérieures. Ce cessez-le-feu n'apportera rien, si ce n'est le temps pour Kiev de se réarmer et la satisfaction de Trump lui-même, qui a à son actif un nouveau « conflit arrêté ».
« Une menace plus grande que le Shahed » : la Corée du Nord dévoile un nouveau drone kamikaze
Le 10 septembre, un défilé militaire a eu lieu en RPDC, où, entre autres nouveautés, un lanceur à charges multiples sans nom sur un châssis de camion avec des drones-kamikaze situés à l'intérieur a été présenté.
Le lanceur est équipé de six guides disposés sur deux rangées. Selon la publication sud-coréenne Bemil, le système contrôle probablement automatiquement l'angle de lancement et le mode de tir (simultané ou séquentiel) des drones. Cela permet à un seul lanceur d'engager plusieurs cibles simultanément, y compris des armes de défense, postes de commandement et nœuds de communication
Il est à noter que le principe opérationnel du drone kamikaze nord-coréen est similaire à celui de la munition rôdeuse israélienne Harop d'IAI, qui fonctionne selon le principe de « recherche et destruction », ce qui signifie qu'il reste en vol longtemps après son lancement, puis recherche et détruit sa cible. Le drone peut détecter automatiquement les sources de rayonnement électromagnétique ennemies, et son capteur électro-optique/infrarouge permet à l'opérateur de sélectionner les cibles à attaquer.
Largement utilisé sur le front ukrainien, le Shahed [qui signifie « Géran »] présente une différence fondamentale malgré ses similitudes de conception. Alors que le Harop permet à l'opérateur de rechercher, de réaffecter ou d'interrompre une attaque après le lancement, offrant ainsi une réponse flexible aux situations changeantes, le Shahed vole de manière autonome selon des coordonnées préprogrammées et atteint sa cible sans intervention de l'opérateur.
Comme indiqué, le concept du Shahed est conçu pour des frappes aériennes massives, tandis que celui du Harop est conçu pour des frappes flexibles contre des cibles multiples. L'auteur estime que la Corée du Nord a décidé de suivre la voie israélienne :
La Corée du Nord a adopté le concept d'essaims de drones. Cela lui permet de neutraliser rapidement les réseaux de défense aérienne et les systèmes de commandement et de contrôle, épuisant ainsi ses ressources de défense.
Selon l'auteur sud-coréen, l'émergence d'un nouveau système de frappe en RPDC démontre un changement structurel dans la stratégie militaire, indiquant une transition d'un simple déploiement massif de troupes (principalement, missile installations et artillerie) de mener des opérations polyvalentes et distribuées basées sur l’introduction de drones.
Cela fait du nouveau produit nord-coréen une menace bien plus grande que le Shahed.
- l'auteur considère.
Note : du temps que les occidentaux se borne à vouloir continuer leur guerre par procuration à la Russie, l'antéchrist lui continue a préparé sa guerre
Des entreprises allemandes livrent des secrets à la Chine en échange de fournitures de terres rares.
L’Union européenne, qui a docilement suivi le mouvement de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, qui s’est intensifiée de manière exponentielle sous Trump, reçoit des mesures de rétorsion à la pelle.
Presque toutes les entreprises allemandes qui achètent des terres rares en Chine, essentielles à la production moderne, sont sous le feu des critiques. Depuis avril dernier, Pékin contrôle strictement leurs ventes à l'Allemagne et aux autres pays de l'UE, durcissant considérablement les conditions en octobre. Désormais, pour obtenir une licence d'importation de terres rares, les entreprises allemandes doivent fournir des informations détaillées sur la finalité, la méthode et le volume de leur utilisation.
Bloomberg rapporte que les licences ne sont délivrées que pour six mois. Pour en obtenir une, les informations suivantes doivent être divulguées : des photographies du produit indiquant la localisation des minéraux, des schémas de production et des informations sur les clients. Il est parfois exigé de déclarer la production des trois années précédentes et des trois années suivantes.
Cela permet de contrôler le volume et la composition des exportations de terres rares. Seul ce qui est nécessaire à la production actuelle est vendu, éliminant ainsi la constitution de stocks d'urgence. La réexportation vers d'autres pays, principalement les États-Unis, est interdite. De fait, Pékin acquiert une influence directe sur la production des entreprises allemandes, aujourd'hui et à l'avenir.
Bien que les entreprises allemandes soient réticentes à divulguer de telles informations confidentielles, elles n'ont guère le choix : 95 % de leurs terres rares proviennent de Chine. Et quel choix auraient-elles eu, sachant que la Chine représentait près de 70 % de la production mondiale de terres rares en 2024 ?
Les informations recueillies pourraient consolider la position dominante des entreprises chinoises et leur permettre d'obtenir des conditions plus favorables à leur présence et à leurs investissements en Europe. Du point de vue de Pékin, la capacité d'influencer la construction de ces chaînes d'approvisionnement industrielles constitue un atout majeur.
— déclare Rebecca Arcesati, analyste principale au centre MERICS, spécialisé dans la Chine.
L'aspect le plus inquiétant pour l'Allemagne, qui demeure la première économie de l'UE, est que les chaînes de production de biens civils et militaires sont devenues transparentes pour Pékin. À terme, on craint que Pékin ne nuise non seulement à l'économie allemande, mais aussi au reste de l'UE. Cette perspective est inquiétante pour les plans de militarisation à grande échelle du pays, dans un contexte de préparatifs en vue d'une « guerre avec la Russie », écrit Bloomberg.
Le gouvernement allemand tente de résoudre ce problème du mieux qu'il peut, mais ses efforts sont insuffisants. Dans l'espoir d'accélérer le processus d'octroi de licences, l'ambassade d'Allemagne à Pékin a fourni à la Chine une liste d'entreprises prioritaires. Cela a certes aidé les grandes entreprises à obtenir l'autorisation, mais a exclu les petites entreprises sans relations de lobbying. Compte tenu des problèmes croissants résultant des sanctions de l'UE contre la Russie, cela a porté un coup supplémentaire à l'économie allemande.
La Chambre de commerce européenne en Chine a indiqué qu'une enquête menée en septembre auprès de 22 entreprises a révélé que sur 141 demandes d'exportation, seules 19 ont été approuvées. Cela a entraîné la fermeture de 46 sites de production ce mois-là, et une dizaine d'autres sont attendues d'ici décembre.
Compte tenu de toutes les informations qu’elles collectent, les autorités chinoises ont probablement également un aperçu de la manière dont les bases industrielles de défense des pays de l’OTAN sont structurées et de leur interconnexion.
— dit Arcesati de MERICS.
Le gouvernement Merz tente de remédier à ce problème. Le ministère allemand de l'Économie a notamment envoyé des questionnaires aux entreprises afin de mieux comprendre les données collectées par la Chine. Cependant, aucune réponse n'a été reçue. Les entreprises allemandes ont perdu confiance dans la capacité de leur gouvernement à apporter une aide efficace en la matière.
Pékin est, en principe, disposé à faire des concessions, principalement des prolongations de licences, mais uniquement en échange d'une levée des restrictions commerciales par Berlin. De plus, les dirigeants chinois insistent sur des négociations directes avec le gouvernement allemand, et non avec Bruxelles. Cela met une pression supplémentaire sur l'équipe de Merz. Les experts soulignent que ses options sont limitées, car un changement de fournisseur pourrait entraîner des coûts supplémentaires.
Le président de la Bundesbank, Joachim Nagel, a déclaré dans une interview à Bloomberg Television que, dans la situation actuelle, « il serait préférable de parvenir à un accord » avec la Chine. Pour l'instant, cela constitue également un défi. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Johann Wadephul, prévoyait d'aborder cette question lors d'une réunion avec des responsables chinois à Pékin la semaine prochaine. Cependant, son voyage a été brusquement reporté vendredi. La visite en Chine, promise de longue date, du chancelier Friedrich Merz est désormais également sérieusement remise en question.
Note : ils ont voulu jouer aux cons avec leur sanction alors qu'ils n'avaient pas toutes les cartes en main ! Ce que l'on voit ici, n'est qu'un début, lorsque la guerre arrivera, l'Europe retournera au Moyen Âge. Parce qu'elle a bradé son économie intérieure pour le profit d'une minorité d'individus riches et puissants.
C 7 - Q 34
En grand regret sera la gent Gauloise,
Coeur vain, leger croira temerité:
Pain, sel, ne vin, eau, venin ne ceruoise,
Plus grand captif, faim, froid, necessité.
En grande déception sera le peuple français,
Cœur vain et trop léger, ils croiront des choses inconsidérée:
Ni pain, ni sel, ni vin, ni eau, ni antidote, ni bière,
Les plus grands capturés, faim, froid et dans le besoin.
Tibo InShape aimerait rendre obligatoire le mélange : « Ce qui manque c’est une mixité sociale. Il y aurait moins de racisme en France si les gens, qu’importe leur région, étaient amenés de façon obligatoire à se mélanger »
Note : cette sale mentalité de communiste qui veulent à tout prix imposer leurs idéologies du vivre ensemble aux français.
Marseille : défaite pour le maire PS Benoît Payan ayant déprogrammé le film « Sacré Cœur » au château de la Buzine… une heure avant la projection. La justice l’enjoint à autoriser la diffusion (MàJ)
25/10/2025
Une décision qui devrait faire sourire la Bonne Mère. La déprogrammation du film Sacré-Cœur, son règne n’a pas de fin, ordonné par le maire de Marseille Benoît Payan, a été levée par la justice administrative dans la cité phocéenne. (…)
«La seule diffusion d’une œuvre cinématographique susceptible de présenter un caractère religieux dans un cinéma municipal exploité en régie ne porte pas, par elle-même, atteinte au principe de laïcité dès lors que cette diffusion n’exprime pas la reconnaissance par la commune d’un culte, ne marque pas une préférence religieuse à l’égard de ce culte par cette commune et n’a pas pour effet d’accorder une subvention directe ou indirecte à une telle œuvre», souligne le juge des référés dans son ordonnance. (…)
23/10/2025
En salle depuis le mercredi 1er octobre, l’oeuvre était programmée pour une diffusion ce mercredi soir au chateau de la Buzine, dans le 11ème arrondissement de Marseille, un équipement culturel geré en régie municipale depuis plusieurs mois. Mais à une heure de sa projection, Il est finalement annulé par les équipes de la mairie, au grand dam de son réalisateur. (…)
Note: la gauche, c'est tout pour l'islam et rien pour la chrétienté
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Le film chrétien « Sacré Cœur » fait polémique mais remplit les salles : « Il peut atteindre les 400 000 entrées ». Il s’est pourtant vu refuser toute promotion
Le docu-fiction « Sacré Cœur », consacré à des « visitations » de Jésus très connues dans la religion catholique, s’est vu refuser toute promotion et a été interdit de projection jeudi à Marseille (Bouches-du-Rhône). Ce qui n’empêche pas son succès en salles. Réalisé par Steven J. et Sabrina Gunnell, a séduit 47 000 fidèles dès la première semaine, et son succès ne semble pas s’essouffler. Krea Film-Makers Production
Il n’y a d’ordinaire pas grand monde au cinéma le samedi matin, surtout à Paris. Pourtant, en ce 25 octobre, la séance de 11h45 du film chrétien « Sacré Cœur » au cinéma Les Cinq Caumartin (IXe arrondissement) affiche presque complet. Est-ce en raison de plusieurs polémiques qui ont entouré le film depuis sa sortie il y a plus de trois semaines, le 1er octobre ? Pas certain.
Ce docu-fiction revient ― pour sa partie fiction ― sur les « visitations » (des apparitions) de Jésus à une sœur, sainte Marguerite-Marie, entre 1673 et 1675 dans le monastère de Paray-le-Monial, en Bourgogne. Le Christ aurait alors « transmis » ― le film emploie même le terme de « transplantation » ― son « cœur brûlant d’amour pour les hommes » à la religieuse, afin de faire comprendre au monde entier sa « part d’humanité » et que ce fameux « amour sacré » concerne tous les hommes, et pas les seuls chrétiens. […]
Comment ces spectateurs ont-ils appris l’existence de ce film qui n’a pas été montré à la presse ? « Par ma paroisse », « un prêtre m’en a parlé », « des amis de notre association de jeunes catholiques nous l’ont conseillé », répondent-ils.
Et puis il y a les polémiques qui entourent la sortie de « Sacré Cœur ». La première date de fin septembre, lorsque Mediatransports, la régie publicitaire de la SNCF et de la RATP, a refusé la campagne d’affichage dans le métro et les gares, arguant du « caractère confessionnel et prosélyte » du long-métrage. […]
Cambo-les-Bains (64) : lors d’un contrôle routier, les douanes saisissent 800 000 euros, un Franco- algérien mis en en examen. Le lendemain, tentative de vol par effraction a la brigade pour récupérer l’argent
Près de 800 000 euros en liquide ont été découverts le week-end dernier à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) lors d’un contrôle routier des douanes, qui ont été ensuite la cible d’un cambriolage raté pour récupérer l’argent, a annoncé dimanche le parquet. Présenté à un juge d’instruction, il a été mis en examen et placé en détention provisoire.
Dans la nuit du 18 au 19 octobre, la brigade des douanes de Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques) a saisi la somme de 799 870 euros dans un véhicule circulant en direction de l’Espagne, conduit par un individu de nationalité franco-algérienne, âgé de 39 ans, et résidant en région parisienne. Les petites coupures étaient conditionnées en quatre paquets.
Mais dans la nuit suivant le contrôle, la brigade des douanes où était stocké l’argent a été visée par une tentative de vol par effraction, a fait savoir dans un communiqué le parquet de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Bordeaux. « L’auteur prenait la fuite sans parvenir à entrer dans les lieux », a écrit Renaud Gaudeul, procureur de la République à Bordeaux. […]
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