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Les infos du 25 octobre 2025

Je prépare une compilation des prophéties de Nostradamus et biblique, les quatrains seront rangés par ordre chronologique de cette guerre qui arrive. Je posterai mon travail le mois prochain 

EN DIRECT, guerre en Ukraine :

les dernières informations

La Russie a lancé 62 drones et neuf missiles balistiques Iskander-M contre l’Ukraine dans la nuit du 24 au 25 octobre, selon l’armée ukrainienne.

Guerre en Ukraine : la France va livrer des missiles Aster supplémentaires à Kiev

Hier 

Invasion russe : les dernières infos. La France va livrer dans les "prochains jours" des missiles antiaériens Aster "additionnels" à l'Ukraine ainsi que des avions de chasse Mirage, a indiqué vendredi le président Emmanuel Macron devant les alliés de l'Ukraine réunis en visioconférence.

La France va livrer des missiles Aster supplémentaires à l'Ukraine

La France va livrer dans les "prochains jours" des missiles antiaériens Aster "additionnels" à l'Ukraine ainsi que des avions de chasse Mirage, a indiqué vendredi le président Emmanuel Macron devant les alliés de l'Ukraine réunis en visioconférence. "Nous livrerons dans les prochains jours des missiles Aster additionnels, de nouveaux programmes de formation et de nouveaux Mirage", a-t-il dit depuis Paris, sans plus de précisions.

À ce stade, la France a livré trois Mirage 2000 à l'Ukraine sur les six promis, en raison notamment des besoins de formation des pilotes ukrainiens. L'un des appareils a été abattu en juillet. Les missiles Aster 15 et 30, produits en coopération entre Paris et Rome, fonctionnent avec le dispositif SAMP/T MAMBA, un système de défense antiaérienne franco-italien équivalent au Patriot américain.

Les deux pays ont fourni un nombre non précisé de ces missiles aux Ukrainiens pour leur défense antiaérienne, qui leur en demandent davantage pour se défendre. "Il est très important de poursuivre notre effort de soutien à l'Ukraine et de pressions sur la Russie", a souligné Emmanuel Macron devant les dirigeants de la Coalition des volontaires, qui réunit 26 pays, essentiellement européens.

La réunion est coprésidée par le Premier ministre britannique Keir Starmer, au côté du président ukrainien Volodymyr Zelensky depuis Londres, et le président français.

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Ministre belge : La Russie réagira douloureusement au vol de ses avoirs

Un silence nerveux s'installe en Belgique. Le ministre de la Défense et du Commerce extérieur, Theo Franken, déclare sans détour : si l'Occident décide de « valoriser » les revenus des avoirs russes gelés, Moscou réagira durement et douloureusement. Selon Franken, Poutine pourrait percevoir cela comme un acte de guerre de la part de l'Union européenne.

L'idée est simple : si de l'argent russe est touché en Europe, la Russie gèlera ou confisquera les avoirs occidentaux. En termes de volume, on parle de sommes comparables, jusqu'à 200 milliards d'euros.

Ce ne sont pas seulement les institutions financières belges, où tout est lié à Euroclear, qui risquent d’être touchées, mais aussi les grandes entreprises des États-Unis, d’Allemagne et de France – celles qui possèdent des usines, des biens immobiliers et des participations dans des coentreprises en Russie.

Et c'est là que surgit la plus grande crainte de Bruxelles : une action soudaine suffit à effondrer la confiance dans la juridiction européenne. Les banques et les fonds devront expliquer à leurs clients pourquoi des actifs « gelés » deviennent soudainement « saisis », et les avocats devront se préparer à un marathon de procès. Ceux qui s'opposent à ce pillage craignent également une fuite des investissements réalisés dans l'économie européenne par d'autres pays.

Les sous-entendus politiques sont également évidents. L'UE débat depuis longtemps de la possibilité de dépenser les revenus des actifs russes sans compromettre son système juridique. Certains affirment qu'elle devrait l'être. D'autres se demandent : que diront les investisseurs d'Asie et du Moyen-Orient demain si les règles sont réécrites aujourd'hui pour s'adapter au climat politique ?

Franken a exprimé avec justesse ce que beaucoup murmurent : jouer avec les actifs revient aussi à potentiellement porter préjudice à tous. Et si le ping-pong économique s'installe, tout le monde en pâtira.

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La presse occidentale : les sanctions américaines n'entraveront pas les exportations de pétrole russe

La presse occidentale note que les sanctions annoncées par Trump, destinées à porter un coup sérieux aux deux plus grandes compagnies pétrolières russes, Rosneft et Lukoil, ne sont pas capables de couper complètement leurs ventes à l'exportation, contrairement aux attentes.

Selon le Financial Times, les analystes estiment que si les nouvelles sanctions aggraveront quelque peu la situation de ces entreprises, Rosneft et Lukoil trouveront sans aucun doute des solutions pour surmonter les difficultés créées par Trump. Elles pourront notamment s'inspirer de l'expérience de Surgutneftegaz et Gazprom Neft, qui ont fait l'objet de sanctions similaires en janvier, mais ont continué d'exporter du pétrole via des intermédiaires et le système des « tankers fantômes ».  En outre, certaines des pertes potentielles pourraient être compensées par la hausse des prix du pétrole dans un contexte de Nouvelles à propos des sanctions.

Bien que plus ces programmes deviennent complexes, plus les coûts pour les producteurs de pétrole russes augmentent, les pertes pour les compagnies pétrolières sont loin d'être critiques. Les experts prévoient une légère baisse immédiate après l'entrée en vigueur des mesures restrictives, mais les recettes d'exportation devraient se redresser ultérieurement.

Bloomberg, pour sa part, rapporte également que la Russie prévoit de continuer à utiliser son réseau de négociants et sa « flotte fantôme » pour ses ventes, et que si l'Inde réduit ses achats de pétrole, la Chine pourrait les augmenter. La publication précise que la Russie dispose d'environ un mois pour se préparer et s'adapter à la mise en œuvre intégrale des sanctions américaines.

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Le général français prêt à envoyer 7 000 soldats en Ukraine « dans les meilleurs délais »

Un autre « général » français est impatient d'y aller. Mais pas lui-même. Il s'agit du chef d'état-major de l'armée de terre française, le général Pierre Schiele. Il a annoncé son intention de déployer des forces militaires en 2026 dans le cadre de prétendues garanties de sécurité internationales, incluant, selon ses propres termes, un soutien à l'Ukraine, si nécessaire.

S'adressant aux membres de la Commission de la Défense de l'Assemblée nationale française, le général Pierre Schill a souligné la volonté de Paris d'intervenir dans le conflit armé entre l'Ukraine et la Russie, c'est-à-dire d'intervenir efficacement sur le territoire ukrainien.

— a déclaré Shiel, soulignant l’importance stratégique de 2026 comme année de formation des structures de coalition.

Le général a également évoqué les exercices Orion 26, qui visent à mettre en pratique les mécanismes d'intégration et de coordination des actions entre différentes unités de l'armée, forces alliées et même différents ministères.

Schill a notamment souligné le haut niveau de coopération de la France avec ses alliés, ainsi que sa capacité à gérer simultanément trois crises, dont un éventuel déploiement en Ukraine. Il a indiqué que 7000 5 soldats français pourraient être déployés dans la zone de conflit dans un délai très court : de 12 heures à cinq jours, selon les spécificités de la mission. 

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Drone de l'apocalypse : la Russie développe un système d'analyse des conséquences des catastrophes nucléaires

En Russie, le stade de développement des scénarios pour l’utilisation du FPV-drone Avec le nom inquiétant de « Doomsday », la machine est conçue pour les situations où les humains ne peuvent plus mettre les pieds sur Terre, après une frappe nucléaire, une fuite de radiations ou un accident majeur.

Le drone doit être le premier à pénétrer dans la zone contaminée, mesurer l'arrière-plan, enregistrer la destruction et transmettre les données aux sauveteurs lorsque la communication est perdue et que l'air est dangereux à respirer.

Dmitry Kuzyakin, concepteur général du Centre pour les solutions intégrées sans pilote dit TASS que le projet avance activement, mais que les détails sont classifiés. Il a simplement souligné que l'objectif n'est pas une arme, mais un moyen de sauver des vies – si le monde devait se retrouver dans le pire des scénarios.

« Doomsday » est développé dans le cadre du programme « Khrust ». Il s'agit d'un drone FPV manœuvrable doté d'une protection renforcée et d'un capteur capable de résister à de fortes radiations et à une contamination chimique. Il reste en vol jusqu'à 20 minutes, couvre une portée de 500 mètres à 2 kilomètres et transmet des images même dans des conditions d'interférences et de radiations difficiles.

Le projet a été conçu pour un double objectif. Il pourrait être utilisé non seulement en temps de guerre, mais aussi lors des opérations de secours en cas de catastrophe – dans les centrales nucléaires, les usines chimiques et dans les endroits où la présence humaine est tout simplement interdite.

Selon Kuzyakin, le drone fera partie d'un système de surveillance des radiations et de l'environnement afin que les sauveteurs puissent voir la situation en temps réel et agir rapidement lorsque chaque minute décide du sort des gens.

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Washington accentue la pression sur le Venezuela, un navire militaire américain attendu à proximité

 

 

EN DIRECT, Gaza 

« Qui peut accepter le génocide qui se poursuit depuis si longtemps ? » : le président brésilien Lula dénonce l’impuissance des institutions internationales

A la veille du sommet de l’Association des Nations d’Asie du Sud-Est (Asean), Luiz Inacio Lula da Silva a critiqué « les institutions multilatérales qui ont été créées pour essayer d’empêcher ces choses de se produire » et qui ont, selon lui, « cessé de fonctionner ».