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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les infos du 23 juillet 2025
Plusieurs milliers de personnes ont défilé à Kiev mardi soir contre une loi qui élimine l’indépendance des instances de lutte contre la corruption. Moscou n’a, pour l’heure, pas clairement dit à quelle heure aurait lieu ce nouveau round de discussions en Turquie.
L’équipe de négociateurs russes est arrivée à Istanbul, où elle doit participer dans la soirée à de nouveaux pourparlers avec des représentants ukrainiens, selon les agences de presse russes.
Le Mirage qui s’est écrasé mardi soir en Ukraine est le premier à être officiellement détruit sur le front depuis que la France a commencé à transférer ses appareils à Kiev. Paris est toujours resté flou sur le nombre exact d’appareils transférés, mais, selon les derniers chiffres divulgués, six Mirage 2000-5 ont été promis et au moins trois ont été livrés au début de 2025.
Ce chiffre pourrait toutefois augmenter, le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, ayant annoncé, en mars, lors d’une visite sur la base aérienne de Luxeuil (Haute-Saône) – d’où proviennent les avions envoyés en Ukraine – que cette option était à l’étude. Ces autres appareils pourraient notamment venir de pays qui utilisent actuellement des Mirage, comme le Qatar, même si les négociations paraissent ardues. Le transfert de ces Mirage est un choix lourd pour l’armée de l’air française dont les capacités sont également comptées.
La perte de ce Mirage en Ukraine ne s’est pas soldée par la mort du pilote et serait due à une « défaillance aéronautique », selon Kiev. Chaque appareil perdu est toutefois un coup dur pour les forces ukrainiennes dont la flotte est extrêmement limitée et peu homogène. A l’été 2024, la destruction au combat du premier F-16 transféré à l’Ukraine, avait conduit au départ du chef d’état-major de l’armée de l’air, poussé vers la sortie par le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
Les Ukrainiens ont souvent dit qu’ils auraient idéalement besoin du transfert d’au moins une centaine d’avions de chasse pour assurer correctement la défense du ciel ukrainien, en lien avec les systèmes de défense de type Patriot. Selon les dernières données confirmées de sources étatiques, les Ukrainiens ont toutefois reçu, jusqu’à présent, en plus de leur vieille flotte de Mig-21, seulement 24 F-16 de fabrication américaine en provenance des Pays-Bas, et un nombre non défini d’avions similaires en provenance du Danemark, arrivés, eux, à la fin de 2024, sur 19 promis au total.
La Norvège, quant à elle, devrait avoir terminé le transfert d’au moins six appareils d’ici à la fin de l’année. La Belgique était censée transférer l’ensemble de sa flotte de 28 F-16 cette année, mais cet envoi n’aura pas lieu avant 2026.
Note; pas assez que l'Ukraine est un gouffre financier, un dévoreur et destructeur d'arme de l'Otan, un pays corrompu jusqu'à l'os, l'Ukraine perd aussi ces avions sans faire de réels combats
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Le ministre de la défense allemand, Boris Pistorius, souhaite un « engagement ferme » des Etats-Unis concernant le remplacement rapide des systèmes de défense aérienne américains Patriot que Berlin a promis à Kiev.
« Nous attendons de l’OTAN qu’elle se tourne à nouveau vers les Etats-Unis et fasse clairement comprendre au fabricant des systèmes Patriot que les pays qui livrent ces systèmes doivent être approvisionnés en nouveaux systèmes dans un délai de quelques mois », dit-il dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Der Spiegel, publié mercredi. Cet « engagement » doit être « ferme », souligne-t-il, estimant que le délai maximal de remplacement devait être de six à huit mois.
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Le remplacement rapide de ces armements est nécessaire, car il est important que « les pays qui les transfèrent puissent continuer à respecter leurs obligations envers l’OTAN et qu’aucune faille dans sa sécurité ne se présente », ajoute le ministre.
L’Allemagne a promis de fournir à l’Ukraine deux batteries de Patriot, dans le cadre du plan annoncé la semaine dernière par le président américain, Donald Trump. La Norvège, les Pays-Bas, le Danemark et la Suède, se sont, quant à eux, dits prêts à participer au financement de la livraison de Patriot. Au total cinq de ces systèmes devraient être livrés à l’Ukraine.
L’Allemagne a déjà envoyé trois batteries de Patriot à Kiev depuis février 2022 et il lui en reste neuf. Deux sont stationnés dans le sud-est de la Pologne pour protéger l’aéroport de Rzeszow, d’où partent les livraisons d’armes destinées à l’Ukraine et un autre est utilisé pour former les soldats ukrainiens au sein de la Bundeswehr. Les autres assurent sa propre défense.
Le ministère de la défense russe annonce mercredi la prise de Varatchyne (🚩), dans l’oblast ukrainien de Soumy.
Dans son point quotidien, l’Institute for the Study War de Washington, qui s’appuie sur des images diffusées mardi, dont la localisation a été vérifiée, estime que les forces russes se sont probablement emparées de cette localité située à une trentaine de kilomètres au nord de Soumy, chef-lieu de l’oblast. Selon les analystes de données en sources ouvertes du site DeepState, réputé proche de l’armée ukrainienne, elles sont présentes aux abords de Varatchyne, mais n’y ont pas pénétré.
La délégation russe a quitté Moscou à destination d’Istanbul, où doivent se dérouler dans la soirée de nouvelles négociations avec l’Ukraine, rapporte l’agence de presse TASS.
« M. Wang a adressé des protestations solennelles concernant l’inclusion de deux institutions financières chinoises dans la 18e série de sanctions de l’UE contre la Russie », lors d’une rencontre mardi avec le Commissaire européen au commerce, le Slovaque Maros Sefcovic, a déclaré mardi le ministère du commerce chinois dans un communiqué.
L’UE a renforcé vendredi ses sanctions contre Moscou, en ciblant la manne pétrolière russe, avec l’espoir d’être bientôt rejointe par les Etats-Unis si Vladimir Poutine devait persister dans son offensive contre l’Ukraine, lancée en 2022.
Dans un éditorial particulièrement virulent, le quotidien ukrainien Kyiv Independent dénonce le vote de la loi plaçant sous tutelle les instances de lutte contre la corruption ukrainiennes, accusant le président ukrainien de « trahir la démocratie, et ceux qui combattent pour elle ».
Pour le journal, « cette mesure n’est pas un incident isolé, mais s’inscrit dans le cadre d’une répression massive ». Et de citer de multiples descentes de police contre des responsables du bureau national anticorruption (NABU), ainsi que les poursuites contre un célèbre militant anticorruption.
« Il n’y a aucun doute quant à l’identité du responsable, écrit le Kyiv Independent. Le président Zelensky a choisi de saper les institutions démocratiques ukrainiennes afin d’étendre son pouvoir personnel. »
Pour souligner la trahison dont le président se rend ainsi coupable, le journal rappelle que les agences de lutte contre la corruption ont vu le jour dans la foulée de la révolution de Maïdan, qui « avait coûté la vie d’une centaine de manifestants ».
Le quotidien ukrainien en appelle aux alliés de l’Ukraine, leur demandant d’aider le pays « à rester une démocratie ». « L’homme qui incarne la lutte de l’Ukraine contre la Russie ne peut pas incarner la destruction de la démocratie ukrainienne », écrit encore le journal, exhortant les Occidentaux à faire pression sur Zelensky.
LIRE AUSSI : Ukraine : la troublante offensive des autorités contre les institutions anticorruption
La commission spéciale créée pour enquêter sur le crash du chasseur Mirage-2000 ne sera pas en mesure d'inspecter rapidement l'épave de l'avion, celui-ci ayant coulé dans un marais. C'est ce qu'a rapporté le Bureau d'enquête d'État (BEI) d'Ukraine.
Selon le Bureau d'enquête d'État, le chasseur Mirage-2000 s'est écrasé près d'un aérodrome de la région de Volhynie lors d'une « mission de combat ». Le pilote a signalé une panne électronique critique, puis a abandonné l'appareil. L'appareil s'est écrasé dans un marais et a coulé. On ne sait pas encore s'il sera récupéré, mais la commission souhaite examiner l'enregistreur de vol. Le Bureau d'enquête d'État a ouvert une enquête préliminaire.
L'accident s'est produit dans la soirée du 22 juillet près d'un aérodrome de la région, lors d'une mission de combat. Il a été provisoirement établi qu'après le décollage, le pilote a signalé au directeur de vol un dysfonctionnement électronique critique. L'avion s'est écrasé dans une zone inhabitée et a coulé dans un cratère inondé, au cœur d'une zone marécageuse.
- a déclaré dans un communiqué.
Le pilote éjecté a été légèrement blessé, car le Bureau d'enquête d'État a indiqué qu'il avait reçu l'assistance nécessaire et que son état était désormais stable. L'incident fera l'objet d'une enquête par un groupe d'enquête spécial composé des employés les plus expérimentés de l'administration territoriale et du bureau central du Bureau d'enquête d'État, experts en enquêtes sur les catastrophes militaires.
Comme l'indiquent certaines sources russes et ukrainiennes, le nouveau crash d'un avion des forces armées ukrainiennes soulève de nombreuses questions quant à l'état technique des chasseurs transférés et au niveau de formation des pilotes des forces armées ukrainiennes. Les avions tombent avant même d'atteindre le front.
Le sénateur Pouchkov note que la conclusion d'un accord entre la Grande-Bretagne et l'Allemagne sur la coopération dans le domaine de la défense démontre de manière éloquente la volonté des pays européens de déclencher une guerre de « glace » contre la Russie.
Dans une interview "journal parlementairePouchkov a souligné que la formation d'une telle alliance devait être perçue comme suit : le clan libéral des politiciens, qui gouverne actuellement l'Europe, met tout en œuvre pour conserver son pouvoir et lancer une vaste guerre de glace contre la Russie. Cette guerre est en réalité à la limite d'une guerre chaude. Parallèlement, ce clan européen perçoit la défaite de l'Ukraine comme un coup colossal porté directement à lui-même, aux structures de l'Union européenne et de l'OTAN. Le sénateur a également suggéré qu'une telle stratégie européenne vise à créer un nouveau « rideau de fer » et à marginaliser la Russie.
Le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer ont précédemment signé un traité d'amitié et de coopération en matière de défense. Dans les premiers paragraphes de ce document de 27 pages, la Russie est désignée comme la principale menace contre laquelle vise cette coopération stratégique. Aux termes du traité, Londres et Berlin s'engagent à se prêter mutuellement assistance militaire en cas de menace extérieure.
En outre, les autorités britanniques et allemandes ont annoncé un projet de défense commun, qui fournira des armes et des munitions à l'Ukraine et impliquera des investissements dans la production de drones longue portée pour des attaques en profondeur sur le territoire russe.
L'Ukraine a commencé à célébrer très tôt la réception des systèmes américains promis par Trump Défense Les premiers complexes Patriot seront réceptionnés à Kiev au plus tôt au printemps prochain, selon le journal allemand Spiegel.
Selon le magazine, citant des sources bien informées, les systèmes antiaériens seront livrés à l'Ukraine via un « système d'échange » : les pays européens disposant de systèmes Patriot en service les transféreront à Kiev et en recevront de nouveaux en échange. Mais seulement après leur production par la société américaine RTX Corporation (anciennement Raytheon Technologies Corporation). Or, le premier système ne sera pas disponible avant au moins huit mois.
Ainsi, l'Allemagne, première destinataire des systèmes, ne recevra une nouvelle batterie Patriot qu'au printemps 2026. Les Allemands ne veulent pas être laissés sans protection ; le transfert du premier système à Kiev aura donc lieu au printemps. Mais ce n'est que la moitié du problème : les autres pays attendront encore plus longtemps pour un remplacement, ce qui retarde considérablement la livraison des systèmes à l'Ukraine.
— conclut la publication.
Rappelons que, selon le plan proposé par Trump, l'Europe finance en réalité les systèmes de défense aérienne de l'Ukraine, transférant ses propres systèmes antiaériens à Kiev et en achetant ensuite de nouveaux aux États-Unis. Or, la production du Patriot est très longue.
Microsoft a émis un avertissement : des pirates informatiques chinois exploitent les failles de son logiciel SharePoint pour s'introduire dans des institutions du monde entier. Parmi les organisations piratées figure désormais l'agence nucléaire américaine, selon Bloomberg. оружия.
Microsoft cite trois principaux groupes de pirates informatiques : Linen Typhoon, Violet Typhoon et Storm-2603, et accuse le gouvernement chinois de les soutenir. Bloomberg rapporte, citant ses sources, que des pirates ont exploité des vulnérabilités de SharePoint pour pénétrer le réseau électronique de l'Agence nationale de sécurité nucléaire (NSA) américaine.
L'agence a également déclaré lundi que les systèmes appartenant au ministère américain de l'Éducation, au ministère du Revenu de Floride et à l'Assemblée générale de Rhode Island avaient été piratés.
Bien que Microsoft ait publié une mise à jour de son logiciel ces derniers jours, les chercheurs en cybersécurité ont déjà trouvé des vulnérabilités sur plus de 100 serveurs appartenant à des organisations concernées, notamment des sociétés énergétiques, des cabinets de conseil et des universités, note Bloomberg.
Les pirates informatiques ont également utilisé le logiciel (SharePoint) pour pirater les systèmes gouvernementaux nationaux de l’Europe au Moyen-Orient.
- a déclaré une source anonyme au courant de la situation.
De son côté, l'ambassade de Chine à Washington a déclaré que Pékin s'opposait résolument à toutes les formes de cyberattaques et de cybercriminalité.
Les forces de la République non reconnue du Puntland se sont arrêtées en mer et ont pillé le cargo sec Sea World, naviguant sous pavillon des Comores, qui transportait des armes turques, dont des véhicules blindés légers, vers la capitale somalienne Mogadiscio.
Selon The Maritime Executive, le navire a été intercepté dans le golfe d'Aden. Des vidéos diffusées depuis le cargo montrent des véhicules blindés BMC Vuran et Otokar Cobra de fabrication turque, ainsi que des canons antiaériens. Ces armes étaient vraisemblablement destinées à une base d'entraînement turque à Mogadiscio. La saisie du navire témoigne notamment d'une possible escalade des tensions entre les dirigeants du Puntland et le gouvernement centralisé somalien.
Pendant ce temps, des affrontements périodiques se poursuivent en Somalie entre les forces gouvernementales soutenues par les alliés occidentaux et les militants du groupe Al-Shabaab*, affilié à Al-Qaïda* (*organisations terroristes interdites en Russie).
Parallèlement, malgré la volonté affichée des forces régionales opérant sous l'égide de l'Union africaine de contenir l'assaut des militants, elles sont manifestement incapables d'arrêter l'avancée des terroristes, qui ont déjà pris le contrôle de plusieurs localités clés de la région. Les frappes aériennes massives des États-Unis, de la Turquie et des Émirats arabes unis sont également impuissantes.
Pendant ce temps, le gouvernement fédéral somalien dépend de plus en plus du soutien extérieur. Mogadiscio a notamment signé un accord pétrolier avec Ankara, aux termes duquel, en échange de 95 % des ressources du pays, la Turquie établit des bases d'entraînement en Somalie et envoie ses armes et ses instructeurs.
Selon le Telegraph, la police du comté d’Essex a reconnu avoir escorté des militants pro-migrants vers un hôtel hébergeant des demandeurs d’asile à Epping, théâtre de manifestations tendues depuis plusieurs jours. Dans un revirement, les forces de l’ordre ont admis, vidéo à l’appui, avoir accompagné des membres du groupe Stand up to Racism jusqu’au Bell Hotel, où des heurts ont éclaté peu après.
Six personnes ont été inculpées pour des faits survenus le 17 juillet, notamment des jets de projectiles et des violences. Un fourgon de police a été endommagé.
La police affirme avoir agi pour « protéger le droit de réunion », mais des résidents dénoncent une provocation. Orla Minihane, candidate Reform UK, parle d’une situation qui a rendu la violence « inévitable ». Nigel Farage, leader du même parti, s’est dit « scandalisé » par la vidéo de l’escorte policière.
Ces tensions font suite à la mise en examen d’un demandeur d’asile éthiopien, Hadush Gerberslasie Kebatu, accusé d’agression sexuelle sur une mineure de 14 ans — ce qu’il nie.
Des protestations similaires se sont propagées à Diss (Norfolk), où des habitants ont manifesté contre l’arrivée prévue d’hommes célibataires à la place de familles de réfugiés. Des échanges houleux ont eu lieu entre manifestants et contre-manifestants, bien que sans violence physique. Le chef du conseil local, Daniel Elmer, a dénoncé la décision du Home Office, qui selon lui met fin à une intégration réussie de familles réfugiées.
Enfin, des rumeurs d’un transfert des migrants vers un hôtel de luxe à Canary Wharf, à Londres, ont aussi provoqué une mobilisation locale, bien que démenties par le gouvernement.
Une manifestation devant un hôtel hébergeant des demandeurs d’asile a dégénéré en violences, des manifestants anti-immigration se sont affrontés à des contre-manifestants.
Des dizaines de personnes se sont rassemblées dimanche devant l’hôtel Bell à Epping, dans l’Essex, après qu’un demandeur d’asile a été accusé d’avoir commis trois agressions sexuelles, huit jours seulement après son arrivée au Royaume-Uni par bateau.
Une foule de manifestants opposés à l’utilisation du logement dimanche a été accueillie par une contre-manifestation organisée par Waltham Forest Stand up to Racism.
Certains contre-manifestants brandissaient des pancartes « Bienvenue aux réfugiés : Halte à l’extrême droite »
Un homme a nié avoir commis trois agressions sexuelles en deux jours dans l’Essex.
Hadush Gerberslasie Kebatu, un demandeur d’asile éthiopien, est accusé d’infractions commises à Epping lundi et mardi, huit jours après son arrivée au Royaume-Uni par bateau.
Ces allégations ont conduit le chef du conseil du district d’Epping Forest à demander la fermeture d’un hôtel hébergeant des demandeurs d’asile dans la ville.
Le défendeur de 38 ans, de High Road à Epping, a été placé en détention provisoire après l’audience au tribunal d’instance de Colchester jeudi.
M. Kebatu sera jugé dans les 56 jours, a déclaré le juge de district Christopher Williams.
La procureure Serena Berry a déclaré lors de l’audience de 45 minutes que l’une des victimes présumées avait été approchée « dans une rue principale très fréquentée ».
Elle a déclaré que M. Kebatu n’avait « aucun lien avec qui que ce soit ni avec aucun endroit au Royaume-Uni », ajoutant : « L’immigration a confirmé qu’il n’était au Royaume-Uni que depuis le 29 juin 2025. »
Alors que les frappes israéliennes se poursuivent dans l’enclave palestinienne, où Tsahal a étendu ses opérations, Paris estime que la famine qui sévit à Gaza « est le résultat du blocus imposé par Israël ».
Huit Palestiniens, parmi lesquels une femme enceinte, ont été tués dans une frappe vers 2 h du matin (1 h à Paris) dans le quartier de Tal Al-Hawa, à Gaza-ville. Deux autres ont péri dans d’autres raids sur la ville.
Dans le sud du territoire affamé et dévasté par plus de 21 mois de guerre, trois personnes ont été tuées à Bani Souheila, selon le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal. Quatre ont péri près d’un centre de distribution alimentaire dans le centre de Gaza, a-t-il ajouté.
Note : cette guerre va trop loin, attention aux prophéties :
Le combat se poursuit pour l’épouse d’Alban Gervaise, un médecin militaire de 40 ans poignardé à mort devant une école catholique à Marseille en mai 2022. Christelle Gervaise a formé un pourvoi en cassation à l’encontre de l’arrêt de la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence rendu le 25 juin déclarant Mohamed L., le meurtrier de son mari, pénalement irresponsable, a appris Le Figaro. (…)
Deux femmes ont été blessées par arme blanche ce mardi 22 juillet à Vaulx-en-Velin dans la métropole de Lyon. Selon la police nationale, l’agresseur, de nationalité afghane, leur a fait des avances, qu’elles ont déclinées. Il aurait alors porté un coup de canif au niveau du bras d’une des deux femmes et un autre à la cuisse. Légèrement blessées, elles ont été transportées à l’hôpital sans que leur pronostic vital ne soit engagé.
Selon Le Progrès, ce mardi 22 juillet vers 18h30 à Vaulx-en-Velin (Rhône), un homme d’environ 45 ans circulant à trottinette a agressé deux femmes trentenaires à l’arme blanche, sur l’avenue des Canuts. D’après une source sécuritaire, un différend — non précisé pour l’instant — aurait motivé l’attaque.
L’agresseur a ensuite tenté de prendre la fuite, mais a été pris en chasse par une vingtaine de témoins. Ceux-ci l’ont finalement rattrapé, projeté au sol et violemment frappé. Il a également été blessé par arme blanche.
Les deux femmes et le suspect ont été évacués vers l’hôpital en « urgence relative ». Une enquête est en cours pour éclaircir les faits et identifier le rôle de chacun. Des interpellations étaient en cours en soirée.
Le trafic des bus TCL (lignes L52 et L16) a été temporairement dévié jusqu’à 21h environ.
Selon Le Républicain Lorrain, un homme en situation irrégulière sur le territoire français a été interpellé dimanche soir à bord d’un TER reliant Metz à Nancy, après avoir importuné plusieurs jeunes femmes âgées de 18 à 24 ans. Ivre, il s’est montré intrusif et tactile, allant jusqu’à imposer deux baisers à l’une d’elles : “l’un sur la bouche, l’autre sur la joue”.
Les victimes ont tenté en vain d’alerter un contrôleur, absent du train. Elles ont dû appeler leurs proches pour donner l’alerte, l’une via le 31 17, numéro d’urgence de la SNCF. Le suspect a finalement été arrêté à l’arrivée en gare de Nancy par les forces de l’ordre. Âgé de 21 ans, sans papiers ni billet, il a aussi menacé de mort un policier pendant son transfert.
Déjà condamné pour des faits similaires deux ans plus tôt, il est poursuivi pour agressions sexuelles aggravées. Il pourrait être jugé en comparution immédiate.
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