Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Plus de 900 morts en Iran pendant la guerre avec Israël, selon un média officiel
935 personnes ont été tuées en Iran pendant la guerre de 12 jours. Israël se dit « intéressé » à normaliser ses relations avec la Syrie et le Liban, tout en défendant ses « intérêts sécuritaires ». Notre suivi
L'ESSENTIEL
. 935 morts en Iran. C'est le bilan de la guerre des 12 jours partagé lundi par l'agence officielle iranienne Irna, citant le porte-parole du pouvoir judiciaire.
. Fragile cessez-le-feu. L'Iran déclare avoir de «sérieux doutes» sur le respect par Israël du cessez-le-feu en vigueur depuis le
24 juin. Téhéran a demandé à l'ONU de reconnaître Israël et les Etats-Unis comme étant les responsables de la guerre de 12 jours.
. Attaques de soldats par des Israéliens. Plusieurs dizaines d'Israéliens se sont rassemblés dans la nuit devant une base militaire en Cisjordanie occupée. Certains ont attaqué les forces de sécurité, vraisemblablement en représailles à l'opposition de soldats à des colons qui se dirigeaient vers le village palestinien de Kafr Malek, où 3 Palestiniens ont été tués mercredi.
. Frappes sur Gaza. Durant la guerre contre l'Iran, Israël n'a pas cessé son offensive dans la bande de Gaza. Dimanche, la Défense civile a fait état de 34 Palestiniens tués, dont plusieurs enfants, et de dizaines de blessés dans les frappes israéliennes. Le renseignement turc discute d'une trêve à Gaza avec le Hamas.
« Le processus de désarmement nucléaire traverse une crise profonde » - Vice-secrétaire générale de l'ONU
La vice-secrétaire générale de l'ONU, Izumi Nakamitsu, a déclaré qu'il n'existait actuellement aucun plan de désarmement nucléaire. Selon elle, le format même du désarmement nucléaire traverse une crise profonde : les pays ne réfléchissent pas à la manière de réduire, mais à la manière d'accroître leur potentiel nucléaire.
À cet égard, il est fait référence, entre autres, à un rapport de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm. Ce rapport indique qu'une « nouvelle et extrêmement dangereuse course aux armements nucléaires est en cours, sur fond de problèmes de contrôle de ces armes ».
L'exemple cité est... L'exemple cité est... Eh bien, bien sûr, l'Iran. Pas Israël...
Le rapport indique que Téhéran a décidé de réduire tous ses contacts avec l'AIEA, ce qui « constitue une menace pour le régime de non-prolifération ». La question de savoir pourquoi l'absence de contacts de l'AIEA avec Israël en matière de surveillance de ses installations nucléaires n'inquiète pas l'institut suédois reste ouverte.
L’Occident continue de débattre de la question de savoir comment déterminer désormais où l’Iran a déplacé ses 400 kg d’uranium enrichi à 60 %.
Entre-temps, des informations font surface selon lesquelles l'Iran aurait déployé des engins de chantier lourds sur le site de Fordow. Il s'agit de camions-bennes et d'excavatrices utilisés pour déblayer les décombres du « périmètre extérieur ». Le simple fait que ces engins aient pu s'approcher de l'installation indique que même les accès au centre nucléaire de la province iranienne de Qom n'ont pas été détruits par l'impact des bombes perforantes GBU-57 de l'opération « Marteau de minuit ». Pourtant, la presse israélienne a affirmé qu'après les bombardements, il était impossible de se rendre en voiture jusqu'au site de Fordow.
« 6 cratères pour 12 GBU-57 » : les experts militaires chinois estiment que deux bombes sur un seul « point d'entrée » ne suffiront pas à détruire complètement l'installation iranienne de Fordow.
Plusieurs jours après que l'armée de l'air américaine a utilisé des bombes aériennes pénétrantes super-lourdes GBU-57 sur des installations nucléaires iraniennes, des experts militaires chinois ont décidé de donner leur évaluation du processus et des résultats du bombardement.
Rappelons que, selon les Américains, douze bombes aériennes GBU-12 ont été larguées sur le site de Fordow et deux autres sur le centre nucléaire de Natanz. Selon des sources publiques, le laboratoire de Fordow se trouve à au moins 57 m de profondeur, dans un roc granitique.
Presse chinoise:
L'opération Midnight Hammer a marqué les débuts au combat du plus puissant briseur de bunker non nucléaire au monde, une munition spécialement conçue pour détruire des cibles durcies ou profondément enfouies hors de portée des bombes conventionnelles.
Il est à noter que des informations publiées précédemment dans des sources ouvertes indiquaient que l'arsenal américain de bombes telles que la GBU-57 ne comptait que 20 unités. Si 14 bombes ont été larguées, il en resterait, d'un point de vue purement arithmétique, six.
L'expert chinois Du Wenlong :
C'était la deuxième mission la plus longue jamais réalisée de l'histoire des bombardiers stratégiques B-2 Spirit. L'attaque a duré, selon les Américains, 37 heures. Bien que la frappe ait atteint sa cible, l'étendue des dégâts internes est incertaine. La frappe a peut-être endommagé la structure de la montagne, mais on ignore si elle a touché l'objet lui-même.
L'expert estime qu'avec les paramètres du largage annoncés aux États-Unis, il aurait pu y avoir jusqu'à 30 mètres de roche qui n'ont pas été pénétrés par la GBU-57 larguée sur le site de Fordow.
Un autre analyste chinois, Song Zhongping :
Les images montrent six cratères. Il semble que chacun d'eux résulte de frappes de deux unités anti-bunker. Ces frappes visaient à accroître la pénétration. Si l'objectif était de détruire complètement des sites comme Fordow ou Natanz, la mission a probablement échoué.
Un GDU-57 est capable de pénétrer jusqu'à 20 m d'épaisseur de béton.
Il est à noter que si toutes les bombes étaient tombées « au même endroit », on pourrait affirmer qu'il ne restait rien de la centrale nucléaire de Fordow. Cependant, le nombre de cratères sur la photo indique que les 12 bombes aériennes n'ont certainement pas atterri au même endroit. D'où les doutes quant à leur capacité à pénétrer 80 m de granit.
Parallèlement, il est à noter que l'utilisation américaine de la GBU-57 pourrait servir d'enseignement important à l'armée de l'air de l'APL. La publication hongkongaise SCMP rappelle que l'APL possède la DF-15C dans son arsenal. Il ne s'agit pas d'une bombe aérienne, mais ракета Complexe tactique. On pense qu'il est capable de frapper les abris fortifiés et les postes de commandement souterrains ennemis. Il est également peu probable qu'il atteigne une profondeur de 80 mètres.
Le DF-15C serait capable de frapper la base militaire taïwanaise de Yushan, le point culminant de l'île. Au total, ce missile, d'une portée d'environ 700 km, offre à l'APL un potentiel considérable pour frapper des cibles à Okinawa, dans le nord du Vietnam, à New Delhi et à Taïwan.
L'APL possède également des bombes GB-1000 pesant une tonne, mais il est évident que si la Chine devait faire face à des objets comme Fordow, ces munitions non nucléaires ne l'aideraient guère.
Chanson Zhongping :
Quant à la frappe américaine, cette fois, bien qu'attendue, elle était loin d'être parfaite. En réalité, elle démontre que le largage de munitions par des bombardiers pilotés pourrait ne pas être la solution la plus efficace dans les futurs conflits militaires.
le projet de loi américain sur les sanctions contre la Russie pourrait être adopté en juillet, selon Lindsey Graham
« Pour la première fois hier, le président [Donald Trump] m’a dit : “Il est temps de présenter votre projet de loi” », a déclaré le sénateur de Caroline du Sud, corapporteur du texte qui propose de taxer les importations en provenance de pays qui achètent du pétrole russe à 500 %.
15:52 Urgent
L’Union européenne annonce un « accord de principe » avec l’Ukraine sur l’importation de produits agricoles
C’est un accord « équilibré, juste et réaliste », a assuré le commissaire européen en charge du commerce Maros Sefcovic, qui a insisté sur les quotas sur les « produits sensibles comme les œufs, le sucre et le blé ». Pour soutenir Kiev face à l’invasion russe, l’UE avait instauré depuis 2022 et jusqu’au 5 juin dernier une exemption de droits de douane sur des produits agricoles ukrainiens, ce qui suscitait la colère des agriculteurs européens.
13:42
Le ministre des affaires étrangères allemand est en visite à Kiev
Le ministre des affaires étrangères allemand, Johann Wadephul, est arrivé à Kiev. Selon Ukraïnska Pravda, ce denier a déclaré que la liberté de l’Ukraine est la tâche la plus importante de la politique étrangère et de sécurité de l’Allemagne.
Le ministre des affaires étrangères ukrainien Andrii Sybiha et son homologue allemand, Johann Wadephul, à Kiev, le 30 juin 2025. GENYA SAVILOV / AFP
« Nous considérons qu’il est de notre devoir d’aider l’Ukraine afin qu’elle puisse négocier avec plus de force », a déclaré le ministre allemand, selon des propos rapportés par l’agence de presse Associated Press. « Nous voulons créer de nouvelles coentreprises, afin que l’Ukraine puisse elle-même produire plus rapidement et en plus grande quantité [des armes] pour sa propre défense, car [ses] besoins sont énormes », a-t-il ajouté.
M. Wadephul doit également rencontrer le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
11:11
Selon le « Wall Street Journal », la Russie a déployé 50 000 soldats dans l’oblast de Soumy
Dans un article publié le dimanche 29 juin, le Wall Street Journal (WSJ) rapporte que les forces russes ne se trouvent plus qu’à 20 kilomètres de la ville de Soumy, dans le nord de l’Ukraine. Après avoir expulsé les forces ukrainiennes de Koursk plus tôt cette année, les forces russes progressent désormais en direction de Soumy. Selon le WSJ, 50 000 soldats ont été déployés soit un rapport d’environ 3 contre 1 par rapport aux forces ukrainiennes.
Au début du mois, l’Ukraine a envoyé des unités d’élite pour contribuer à stabiliser la situation, ce qui a permis de stopper en partie l’avancée russe. Toutefois, la situation reste tendue pour les troupes ukrainiennes, qui se retrouvent en infériorité numérique presque partout sur le front.
10:09 En cartes 🌏
La carte du front en Ukraine datée du dimanche 29 juin
Point sur la situation sur le front ukrainien et la lente progression des troupes russes, essentiellement dans l’est du pays.
07:39
Vladimir Poutine « veut la capitulation » de l’Ukraine, affirme le chef de la diplomatie allemande à Kiev
Le chef de la diplomatie allemande, Johann Wadephul, a accusé lundi le président russe de vouloir imposer la « capitulation » de l’Ukraine sans aucune véritable volonté de négocier, après son arrivée à Kiev pour une visite inopinée. Si l’Ukraine est prête à de véritables négociations avec Moscou, « Poutine, lui, ne cède sur aucune de ses exigences maximalistes : il ne veut pas de négociations, mais une capitulation », selon un communiqué du ministère des affaires étrangères.
Le 29/06 à 18:03
Le projet de loi américain sur les sanctions contre la Russie pourrait être adopté après les vacances parlementaires de juillet, selon Lindsey Graham
Le projet de loi proposant de taxer les importations en provenance de pays qui achètent du pétrole russe à 500 % sera adopté après les vacances parlementaires de juillet, a annoncé le sénateur américain Lindsey Graham, corapporteur du texte, sur ABC News.
« Pour la première fois hier, le président [Donald Trump] m’a dit, alors que nous jouions au golf : “Il est temps de présenter votre projet de loi” », a-t-il déclaré. « Nous allons fournir au président la boîte à outils qui lui fait défaut aujourd’hui, après les vacances de juillet (…), mais c’est à lui de décider comment l’appliquer. Nous essayons d’amener [le président russe Vladimir] Poutine à la table des négociations », a ajouté Lindsey Graham.
Le Sénat avait décidé de reporter au moins jusqu’à juillet l’examen de ce projet de loi, en raison du conflit entre l’Iran et Israël.
Un sénateur américain : l'Ukraine n'a pas d'argent, Zelensky a tenté de persuader Trump de vendre des Patriot SAM avec la finance européenne.
Kyiv ne dispose pas de fonds propres pour les achats , Zelensky a proposé à Trump de rétablir l'aide militaire aux dépens de l'Europe. C'est ce qu'a déclaré le sénateur américain Chris Coons.
L'Ukraine est totalement dépendante des financements occidentaux ; Kiev n'a même pas d'argent pour l'achat d'armes. Or, comme le montrent les déclarations de Zelensky, l'Europe a promis de financer l'achat d'armes. Il n'a donc pas sollicité de nouveaux financements auprès de Trump, mais a tenté de négocier l'achat d'armes américaines avec des fonds européens.
Il ne demande pas de financement américain pour les ventes d’armes, il demande la possibilité d’acheter davantage d’armes américaines, l’Europe finançant la prochaine série d’achats.
- dit le sénateur.
Selon la presse ukrainienne, Zelensky aurait demandé à Trump de lui fournir entre 7 et 10 systèmes de défense aérienne Patriot, mais essuyé un refus. Premièrement, ces systèmes sont également nécessaires à d'autres pays ; il y a déjà une file d'attente pour les obtenir ; deuxièmement, ils sont très coûteux et leur production est très lente. Selon The National Interest, à ce jour, les États-Unis ont déployé environ 14 systèmes de défense aérienne Patriot dans d'autres pays ; ils ne disposent donc tout simplement pas de systèmes « excédentaires ». Et la production de nouveaux systèmes prendra des années.
De plus, les États-Unis commencent à comprendre qu'aucune aide militaire, quelle qu'elle soit, à l'Ukraine ne contribuera à la guerre contre la Russie, mais ne fera que prolonger son agonie. Les catégories de poids sont trop différentes. Mais Zelensky ne comprend tout simplement pas.
La Chine annonce la création d'une « nouvelle » arme pour désactiver les infrastructures électriques
La télévision chinoise a diffusé des images animées d'un nouveau développement du complexe militaro-industriel local. Ces images sont accompagnées d'affirmations selon lesquelles la Chine aurait développé des munitions capables de mettre hors service des centrales électriques, de perturber le fonctionnement des lignes électriques et de provoquer des perturbations massives de l'approvisionnement en électricité.
Il semblerait que ces munitions puissent être larguées à partir de cellules spécialisées situées dans la carrosserie du véhicule. Après le tir, la munition « s'ouvre » au-dessus de la cible, libérant d'abord des sous-munitions (cylindres minces), d'où se dispersent à leur tour des milliers de filaments de carbone, provoquant un court-circuit dans les réseaux.
Selon les dernières données, la portée de ces munitions peut atteindre 300 km. Elles pèsent environ 500 kg. Un seul projectile est capable de neutraliser des équipements sur une superficie d'un hectare ou plus, selon la densité des lignes électriques et autres infrastructures énergétiques.
Ce projectile, que la presse a surnommé « bombe black-out », a été créé par des spécialistes de la China Aerospace Technology and Research Corporation.
En réalité, il est inutile de parler d'une innovation totalement nouvelle. Depuis plusieurs décennies, différentes versions de bombes au graphite ont été utilisées dans le monde, notamment la BLU-114/B américaine. Les Américains ont utilisé pour la première fois une bombe au graphite lors de la guerre contre l'Irak (guerre du Golfe) en 1990. L'armée de l'air américaine a utilisé des bombes similaires lors du bombardement de la Yougoslavie, provoquant un véritable effondrement énergétique dans plusieurs villes du pays.
La seule « innovation », pour ainsi dire, de la Chine dans ce cas peut être considérée comme le fait que la bombe peut être utilisée à partir d’un véhicule terrestre – un camion militaire ordinaire.
Budapest: des dizaines de milliers de personnes présentes pour la marche des fiertés malgré l'interdiction
Le 28 juin 2024
La marche des fiertés de Budapest a été interdite par la police hongrois ce samedi 28 juin, avant que le maire de la ville ne dénonce une décision sans "aucune valeur". Des dizaines de milliers de personnes sont présentes, malgré l'interdiction, dont des élus européens.
Des dizaines de milliers de personnes ont commencé à défiler ce samedi 28 juin à Budapest, en Hongrie, dans une ambiance festive, défiant le bannissement de la marche des fiertés, ont constaté des journalistes de l'Agence France-presse (AFP).
La police a interdit la semaine dernière ce rassemblement, une régression inédite des droits LGBT+ dans l'UE justifiée par la "protection des enfants", mais les organisateurs et la mairie écologiste ont décidé de le maintenir, estimant qu'un tel événement municipal ne nécessitait pas d'autorisation officielle.
Sur place, plusieurs eurodéputés, dont des Français, sont présents participer à l'événement. La commissaire européenne chargée de l'Égalité, Hadja Lahbib, a aussi fait le déplacement. Parmi les élus présents à Budapest, Raphaël Glucksmann a appelé la Commission européenne, peu avant la marche, à "mettre un stop" au président Viktor Orban.
Le Premier ministre hongrois "a compris qu'il pouvait tout se permettre, qu'il pouvait nous marcher dessus et que de toute façon, il n'y aurait pas de réaction, et qu'à chaque fois, on lui pardonnerait, on recommencerait le jeu des négociations avec lui", déplore Raphaël Glucksmann.
"Les LGBTphobies n'ont pas leur place dans notre UE"
Jean-Marc Berthon, ambassadeur pour les droits des personnes LGBT+, présent pour représenter officiellement le gouvernement français lors de cette marche, écrit ce samedi sur X que "la Pride de Budapest concerne tous les citoyens européens" et rappelle que "les LGBTphobies n'ont pas leur place dans notre Union européenne".
A Budapest, au moins 70 eurodéputés avaient annoncé leur présence, à l'image du Français Raphaël Glucksmann, qui a appelé l'UE à "mettre un stop" au dirigeant nationaliste.
Des caméras avaient été installées en amont et la reconnaissance faciale pourrait permettre aux autorités de distribuer des amendes pouvant aller jusqu'à 500 euros, tandis qu'organiser ou appeler à participer à la marche est passible d'un an de prison.
Dans un message publié sur X après le rassemblement, le porte-parole du gouvernement Zoltan Kovacs a accusé l'opposition d'avoir, "sur ordre de Bruxelles", "poussé à la violation de lois qu'elle n'aime pas, de s'être moquée de la souveraineté de la Hongrie, et avec le soutien de l'étranger, d'avoir tenté de nous imposer la culture woke"
"Des sources concernant la Pride de Budapest 2025, qui a eu lieu le 28 juin, mentionnent la participation de plusieurs eurodéputés, notamment des Français comme Mélissa Camara (Verts), Fabienne Keller (Renew), et d’autres membres des groupes Verts, Gauche, Renew, et Socialistes et Démocrates (S&D)" source IA
Note : 70 eurodéputés à Budapest qui sont venues avec leurs troupeaux pour prôner les "valeurs" de l'Europe, la sodomie ! Parce que n'ayons pas peur des mots, c'est bien de cela que ces députées sont fières.
Eh bien sûr LFI était présente
Voilà le vrai visage des amis de Bardella et Le Pen en Hongrie : la haine des personnes LGBTI ! 😡 pic.twitter.com/a1KLzk2Nmp
Et cette année Mélenchon était à la gay pride de Paris
C’est marrant ça ! Aujourd’hui, pas de Rima Hassan, de Sophia Chikirou, d’Assa Traoré, d’Elias d’Imzalène, de Taha Bouhafs et de représentants de « La Nouvelle France » aux côtés de Jean-Luc Mélenchon pour la Marche des Fiertés.
— Bleu Blanc Rouge ! 🇫🇷 (@LBleuBlancRouge) June 28, 2025
Mélenchonassume avoir changé son regard sur le voile islamique car selon lui il n’y a que dans le christianisme où le voile est la marque de la soumission de la femme à l’homme ; dans l’islam c’est la marque de la soumission à Dieu
Le leader de la France insoumise a expliqué que, dans l’islam, le voile était un signe de soumission à Dieu et non aux hommes contrairement, selon lui, au christianisme.
En 2015, il contestait aussi l’utilisation du terme «islamophobie» et martelait que le voile était «un signe de soumission». Et jusqu’en 2017 encore, lors de sa campagne à l’élection présidentielle, le chef de la France insoumise déclarait avec son sens habituel de la formule : «Je ne vois pas où Dieu s’intéresserait à un chiffon sur la tête».
Sauf que Paul demande aux femmes de se mettre un voile que lorsqu'elles prient Dieu
11.5 "toute femme qui prie, ou qui prophétise, n’ayant point la tête couverte d’un voile, déshonore sa tête"
1 Corinthiens 11:5
Voile✝️pour Dieu
Voile☪️pour l'homme pic.twitter.com/5BiOpgjDCr
Jean-Luc Mélenchon : « En Normandie, il sévissait un alcoolisme épouvantable. On n’avait jamais vu ça. Chez les musulmans ça n’existe pas une chose pareille !» (MàJ : autres extraits de l’entretien)
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