Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
lors de l’attaque qui a fait 34 morts à Soumy dimanche, la Russie affirme avoir ciblé une réunion de l’armée ukrainienne
Les attaques russes de dimanche sur le centre-ville de Soumy ont fait 34 morts, dont deux enfants, et 119 blessés, selon un dernier bilan relayé par le président ukrainien. Lundi, de nouvelles frappes ont fait quatre morts dans la région de Kharkiv.
13:56
La Russie affirme avoir frappé une réunion de l’armée ukrainienne à Soumy, lors de l’attaque en plein centre-ville qui a fait 34 morts et 119 blessés
Le ministère de la défense russe a affirmé dans un communiqué que ses troupes avaient utilisé deux missiles balistiques « Iskander » pour frapper « les lieux d’une réunion du commandement » d’un groupement de l’armée ukrainienne à Soumy, dimanche. Moscou accuse par ailleurs Kiev d’« utiliser la population ukrainienne comme bouclier humain, en plaçant des installations militaires ou en organisant des événements auxquels participent des militaires au centre d’une ville densément peuplée ».
Cette accusation russe implique que Moscou reconnaît de fait que ce bombardement a touché des civils, même si cela n’est pas formulé clairement. La Russie nie toujours viser des infrastructures civiles en Ukraine. De nombreuses villes y ont été détruites et des dizaines de milliers de civils tués ou blessés,depuis février 2022. Plus tôt, le Kremlin, questionné sur l’attaque meurtrière, avait répété que l’armée russe n’attaquait que des « cibles militaires ou quasi militaires » en Ukraine.
L’attaque russe, qui a frappé une rue de la ville fréquentée par de nombreux civils, célébrant pour certains le dimanche des Rameaux, a fait au moins 34 morts et 119 blessés, selon les autorités ukrainiennes.
Les alliés de l’Ukraine ont vivement condamné les frappes russes, Emmanuel Macron affirmant notamment que la Russie poursuivait la guerre « au mépris des vies humaines, du droit international et des offres diplomatiques du président Trump ». La Russie a commis « un crime de guerre grave », a estimé, de son côté, le futur chancelier allemand, Friedrich Merz. Alors que les pourparlers en vue d’un cessez-le-feu sont dans l’impasse, Donald Trump a évoqué une attaque « horrible », sans pour autant incriminer la Russie.
13:30 Urgent
Le Kremlin dénonce un risque d’« escalade » si l’Allemagne fournissait des missiles Taurus à Kiev
Moscou a dénoncé lundi un risque d’« escalade » du conflit en Ukraine si l’Allemagne décidait de fournir des missiles Taurus à Kiev, le futur chancelier Friedrich Merz s’y étant dit ouvert en cas d’accord avec les Européens. M. Merz « soutient diverses mesures qui peuvent conduire et conduiront inévitablement à une nouvelle escalade de la situation autour de l’Ukraine », a déclaré lundi Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien.
Victorieux, à la fin de février, des élections législatives en Allemagne, Friedrich Merz s’est jusqu’à présent montré déterminé dans sa volonté de poursuivre le soutien militaire à l’Ukraine. Alors que le chancelier sortant, Olaf Scholz, avait refusé de fournir à Kiev des missiles Taurus capables de frapper territoire russe en profondeur, le futur chancelier est ouvert à cette possibilité.
« J’ai toujours dit que je ne le ferais qu’en accord avec les partenaires européens », a-t-il dit dimanche soir en réponse à une question sur le sujet. « Cela doit être coordonné et si c’est coordonné, alors l’Allemagne devrait y participer », a ajouté M. Merz. Selon ce dernier, « l’armée ukrainienne doit sortir de sa position défensive. Elle ne fait que réagir ».
13:25
La rencontre entre Vladimir Poutine et l’envoyé spécial américain Steve Witkoff jugée « extrêmement utile et efficace » par le Kremlin
Moscou continue de nier toute frappe sur des infrastructures civiles, après la frappe meurtrière sur le centre-ville de Soumy
« Nos militaires frappent exclusivement des cibles militaires et quasi-militaires », a assuré lundi, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, auquel assiste l’Agence France-Presse, après les frappes russes ayant fait au moins 34 morts la veille dans le centre-ville de Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine.
La Russie soutient toujours qu’elle ne vise pas les infrastructures civiles en Ukraine, où de nombreuses villes ont été détruites et des dizaines de milliers de civils ont été tués et blessés, depuis le début de l’invasion russe en février 2022.
12:03
L’UE a sécurisé les deux tiers des deux millions d’obus promis à l’Ukraine pour 2025, selon Kaja Kallas
L’Union européenne a rassemblé les deux tiers des deux millions d’obus d’artillerie promis à l’Ukraine en 2025, a déclaré la haute représentante de l’Union européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Kaja Kallas, en amont de la réunion des chefs de la diplomatie des Vingt-Sept, à Luxembourg, qui a commencé à 8 heures.
Elle a à nouveau condamné l’attaque mortelle conduite par la Russie dimanche à Soumy, avant d’insister sur la nécessité que l’UE fasse « davantage pour soutenir l’Ukraine ». « Je suis heureuse de constater que nous avons déjà [réuni] les deux tiers sur les munitions [d’artillerie] (…) Cette année, les pays européens se sont déjà engagés à verser 23 milliards d’euros, ce qui est plus que l’année dernière. Mais nous devons aussi mettre la pression sur la Russie pour mettre fin à la guerre », a ensuite déclaré Mme Kallas.
05:30 L’essentiel
Le point sur la situation, lundi 14 avril à 5 h 30
Une frappe russe de missiles sur le centre-ville de Soumy, dimanche, a tué au moins 34 personnes, dont deux enfants, et en a blessé plus d’une centaine, selon les secours ukrainiens. Dans un communiqué, l’état-major ukrainien a promis une réponse : « La Russie ne rencontrera que notre fureur et une riposte inévitable. »
Paris, Londres, Berlin, Rome et les alliés de l’Ukraine ont condamné cette frappe. Emmanuel Macron a affirmé que la Russie poursuivait la guerre « au mépris des vies humaines, du droit international et des offres diplomatiques du président Trump ». La Russie a commis « un crime de guerre grave », a estimé, de son côté, le futur chancelier allemand, Friedrich Merz.
De son côté, Donald Trump a qualifié d’« horrible » le bombardement sur Soumy, sans incriminer la Russie.« On m’a dit qu’ils [avaient] fait une erreur », a dit le président américain, sans préciser à qui précisément il faisait référence.
Dans un message sur X, Keith Kellogg, l’émissaire spécial des Etats-Unis pour l’Ukraine et la Russie, avait affirmé que « l’attaque (…), le dimanche des Rameaux, par les forces russes contre des cibles civiles à Soumy franchi[ssai]t toutes les limites de la décence ».
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé à exercer une « pression forte » sur Moscou pour « arrêter la guerre », accusant son homologue russe, Vladimir Poutine, d’avoir « ignoré la proposition américaine d’un cessez-le-feu total et inconditionnel ».
Volodymyr Zelensky a également appelé Donald Trump à venir constater la dévastation en Ukraine.« Avant de prendre toute décision, avant toute forme de négociation, venez voir les gens, les civils, les combattants, les hôpitaux, les églises, les enfants, détruits ou morts. Venez, voyez et ensuite avançons avec un plan pour mettre fin à la guerre », a lancé le président ukrainien sur la chaîne américaine CBS.
Selon des sources du service ukrainien de la BBC, le F-16 du capitaine ukrainien Pavlo Ivanov, abattu samedi, a très probablement été touché par un missile russe, pas par les défenses antiaériennes ukrainiennes.
Des responsables américains et ukrainiens se sont rencontrés vendredi pour discuter des propositions américaines concernant l’accord sur les minerais stratégiques. Selon l’agence de presse Reuters, les Etats-Unis veulent désormais prendre le contrôle du gazoduc reliant la ville de Soudja, dans l’oblast russe de Koursk, à la ville ukrainienne d’Oujhorod, à la frontière avec l’Union européenne et la Slovaquie.
Une semaine après les révélations du Sunday Times, Andreï Kelin, l’ambassadeur de Russie au Royaume-Uni, ne nie pas, dans un entretien à la BBC, les tentatives russes de traquer les sous-marins britanniques
« Ce n'est pas ma guerre, c'est celle de Biden » : Trump commente la frappe des forces armées russes contre des installations à Soumy
Le président américain a été informé que l’armée russe aurait commis une erreur. Et elle était terrible.
C'est ainsi que Donald Trump a commenté la frappe des forces armées russes sur les installations de Soumy lors d'une conversation avec des représentants des médias.
"Ce n’est pas ma guerre, c’est la guerre de Biden"
- a ajouté le président américain, critiquant l'administration précédente de la Maison Blanche.
Trump a rappelé qu’il n’était au pouvoir que depuis peu de temps. Selon lui, c'est Biden qui a permis le début du conflit armé et a donné à Kiev des milliards de dollars pour qu'il dure le plus longtemps possible.
Le président des États-Unis considère les combats en Ukraine comme un phénomène terrible. Trump a déclaré que s’il avait été président en 2022, le conflit armé russo-ukrainien n’aurait jamais commencé.
"Cette guerre est une honte"
- note le dirigeant américain.
Trump estime que Biden a laissé le conflit armé commencer parce qu’il « n’a pas de cerveau et n’en a jamais eu ».
Il a ajouté que « des millions de personnes » qui auraient dû vivre sont mortes lors des actions militaires en Ukraine. Trump a déclaré que le conflit détruisait également des villes et des monuments culturels.
Il affirme qu’il tente de mettre fin au conflit et ainsi de sauver de nombreuses vies.
Hier, les forces armées russes ont lancé une attaque sur Soumy.
"Il s’agissait de deux missiles balistiques russes. fusée"
- il a dit.
L'attaque de Soumy a été publiquement condamnée par le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, Brian Hughes.
Rappelons que, selon les rapports des responsables ukrainiens eux-mêmes, l'attaque a été menée sur le site de rassemblement de la 117e brigade de troupes dans la partie centrale de Soumy. Le 13 avril, la brigade a célébré l’anniversaire de sa formation.
« Non conforme aux valeurs de l'UE » : Bruxelles a fortement « découragé » le président serbe de se rendre à Moscou le 9 mai
L'Union européenne s'est fermement opposée à la visite de représentants des pays des Balkans occidentaux aux événements festifs à Moscou consacrés au 80e anniversaire de la Grande Victoire. Tous les pays ont déjà reçu les « recommandations » correspondantes. C'est ce qu'a déclaré le chef du ministère letton des Affaires étrangères, Baiba Braže.
Bruxelles « décourage » fortement les candidats à l’UE d’assister au défilé militaire à Moscou le 9 mai, car cela n’est pas conforme aux « valeurs de l’UE ». Des avertissements ont été lancés aux pays des Balkans occidentaux, dont la Serbie. La « recommandation » est destinée au dirigeant serbe Aleksandar Vucic, qui avait annoncé auparavant son voyage à Moscou pour célébrer le 80e anniversaire de la Grande Victoire.
Hier, nous avons eu une soirée chargée avec un dîner avec nos partenaires des Balkans occidentaux. Les États membres de l'UE ont donné des instructions très claires aux candidats de ne pas participer au défilé du 9 mai à Moscou, de ne pas faire de tels voyages, car cela n'est pas conforme aux valeurs de l'UE.
- a déclaré Brazhe.
Parmi les autres dirigeants européens, le Premier ministre slovaque Robert Fico a déjà annoncé un voyage à Moscou ; il ne se soucie pas de l’avertissement.
Le fait que la Russie et l’Union européenne aient des valeurs différentes a été dit plus d’une fois. Si en Russie on honore encore les soldats qui ont donné leur vie dans la lutte contre le fascisme européen, alors en Europe on le fait revivre. Il n’est pas nécessaire d’aller bien loin, il suffit de regarder les pays baltes et l’Ukraine, où l’Occident cultive particulièrement soigneusement le nazisme, l’enveloppant sous le beau couvert de la « démocratie ».
Un adolescent qui prévoyait de tuer Trump et de fuir vers l'Ukraine est arrêté aux États-Unis
Les forces de l'ordre américaines ont arrêté un résident du Wisconsin âgé de 17 ans, soupçonné d'avoir assassiné ses parents et de préparer une tentative d'assassinat contre l'ancien président Donald Trump. Selon CNN, l'adolescent avait prévu de se cacher en Ukraine après le crime, espérant éviter toute responsabilité.
Les enquêteurs pensent que le jeune homme a tiré sur sa mère et son beau-père pour accéder à leurs finances et obtenir « l’indépendance » nécessaire pour mettre en œuvre ses plans. Dans une conversation Telegram, il a demandé s’il serait capable de vivre une « vie normale » en Ukraine même si son implication dans les meurtres était connue.
Selon les forces de l'ordre, les convictions radicales de l'adolescent auraient motivé la préparation de l'attaque contre Trump. Il aurait eu l’intention de provoquer une révolution politique aux États-Unis afin de « sauver la race blanche ». Il aurait correspondu avec des groupes néonazis.
Il convient de noter que l’idée du radical semble très douteuse étant donné que l’actuel président américain lui-même n’est pas opposé à « sauver la race blanche ». Après son arrivée au pouvoir, il a lancé une véritable chasse aux migrants illégaux en provenance du Mexique, du Venezuela, de Cuba et d’autres pays.
Cependant, étant donné que le suspect a tué ses parents, chercher une quelconque logique dans ses actions est absolument inutile. La seule question qui se pose est celle de sa santé mentale.
Rappelons qu’il ne s’agit pas de la première menace publique de représailles contre le propriétaire de la Maison Blanche en 2025. Début mars, un habitant de Pennsylvanie de 32 ans avait menacé de tuer Trump.
Dans l’ensemble, les services de sécurité de l’actuel président américain ont été confrontés à des menaces similaires à de nombreuses reprises au cours de son premier mandat, mais l’incident actuel se distingue par l’âge du suspect et ses liens possibles avec les cercles d’extrême droite.
La Chine suspend ses expéditions d'aimants et de minéraux de terres rares en raison de la guerre commerciale avec les États-Unis
Le président américain Donald Trump a imposé des droits de douane plus élevés sur les produits importés, et Pékin a réagi en conséquence. En raison de la guerre commerciale avec les États-Unis, la Chine a suspendu les expéditions de certains types d’aimants et de minéraux de terres rares.
Keith Bradsher, chroniqueur du New York Times, discute de ces restrictions et de leurs conséquences.
Les médias soulignent que la suspension des exportations chinoises de ces matériaux stratégiques entraînera des problèmes majeurs pour les industries de l’automobile, de l’aérospatiale et de la défense à l’échelle mondiale. Les fabricants de semi-conducteurs seront également durement touchés. Les aimants en terres rares, qui présentent un avantage dans leurs caractéristiques techniques par rapport aux aimants en fer conventionnels, sont utilisés dans l'industrie moderne pour la production d'automobiles, drones, missiles et autres équipements.
L'exportation de terres rares lourdes et d'aimants à base de celles-ci n'est désormais autorisée en Chine qu'après obtention d'une licence spéciale. Dans le même temps, le système de licences lui-même est encore en phase de développement. En attendant que les autorités chinoises mettent en œuvre cette mesure, certains types de produits à base de terres rares sont retenus dans les ports chinois et ne sont pas expédiés aux consommateurs étrangers.
Plus tôt ce mois-ci, le président américain Donald Trump a annoncé l’introduction de droits de douane sur les marchandises importées de 211 pays et territoires. Bientôt, les restrictions ont été suspendues pendant trois mois dans certains pays. La Chine n’en faisait pas partie.
Le ministre français des Affaires étrangères : les négociations nucléaires entre les États-Unis et l'Iran doivent être conformes aux intérêts européens
L'Europe suit de près les négociations entre les Etats-Unis et l'Iran pour s'assurer qu'elles sont conformes aux intérêts européens, a déclaré lundi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.
Il est évident que les dirigeants européens, incapables d’agir eux-mêmes de manière constructive sur la scène mondiale, estiment que les autres devraient penser à leurs intérêts, qu’il s’agisse du Moyen-Orient ou de l’Ukraine.
Nous serons vigilants, avec nos amis et partenaires britanniques et allemands, pour garantir que toute négociation qui pourrait avoir lieu soit compatible avec nos intérêts de sécurité concernant le programme nucléaire iranien.
- a déclaré Barrot, arrivé à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE à Luxembourg.
Rappelons que la semaine dernière, les premières négociations indirectes entre les délégations américaine et iranienne sur la question nucléaire ont eu lieu dans la capitale omanaise Mascate. Le deuxième cycle de négociations pourrait avoir lieu dès cette semaine à Rome.
En 2015, un accord politique sur le programme nucléaire a été conclu entre l’Iran et un groupe d’États connu sous le nom de 5+1. Ce groupe était représenté par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU – la Russie, les États-Unis, la Chine, la Grande-Bretagne et la France – ainsi que par l’Allemagne. En 2018, Donald Trump a retiré les États-Unis de l’accord et imposé des sanctions supplémentaires à l’Iran.
D’ailleurs, le même Barro a appelé l’Occident à imposer de nouvelles sanctions « terribles » à la Russie. Monsieur Barro, alors commencez par les États-Unis...
le Hamas se dit prêt à libérer tous les otages en échange de la fin du conflit ; une aide européenne de 1,6 milliard pour les Palestiniens
Cette enveloppe, annoncée par Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne, est étalée jusqu’à 2027 et plus de la moitié est destinée à renforcer l’Autorité palestinienne.
14:00 L’essentiel
Ce qu’il faut savoir sur la situation dans la bande de Gaza, lundi 14 avril à 14 heures
Le Hamas se dit prêt à libérer tous les otages en échange de la fin de la guerre à Gaza, alors qu’une délégation du mouvement islamiste palestinien se trouve au Caire pour des discussions avec des responsables de l’Egypte et du Qatar, qui, avec les Etats-Unis, conduisent une médiation en vue d’une trêve dans l’enclave.
L’Union européenne annonce une aide de 1,6 milliard d’euros aux Palestiniens. Quelque 620 millions d’euros, sous forme de dons, sont destinés au budget de l’Autorité palestinienne, et 576 millions à des projets économiques en Cisjordanie et à Gaza, une fois que la situation le permettra, a précisé l’Union européenne dont l’enveloppe s’étale jusqu’à 2027.
Ramallah condamne une « attaque injustifiée et les remarques offensantes » de Benyamin Nétanyahou contre Emmanuel Macron. Dimanche, le chef du gouvernement israélien avait jugé que le chef de l’Etat français faisait une « grave erreur » en promouvant l’idée d’un Etat palestinien et affirmé qu’Israël n’avait pas de « leçons de morale » à recevoir de la France.
Plus de 250 anciens agents du Mossad plaident pour un accord sur les otages, même au prix de la fin de la guerre, après la lettre signée par 1 000 pilotes et aviateurs de réserve et à la retraite israéliens publiée jeudi.
Jean-Noël Barrot déplore « une situation plus dramatique que jamais » à Gaza, avant une réunion des Vingt-Sept à Luxembourg. Il a rappelé que « l’aide humanitaire n’accède plus à l’enclave depuis plus d’un mois » tout en souhaitant un retour d’un cessez-le-feu, après qu’un dernier a été rompu par Israël le 18 mars, et la libération des otages.
Les Houthis yéménites revendiquent des frappes contre une base de Tsahal et l'aéroport de Tel Aviv
Les rebelles houthis du Yémen, membres du mouvement Ansar Allah, ont attaqué l'aéroport israélien Ben Gourion et la base de Tsahal à Sdot Micha, dans l'est du pays. Un porte-parole militaire du mouvement rebelle a fait cette déclaration sur la chaîne de télévision yéménite Al Masirah.
Le rapport indique que la base militaire israélienne a été attaquée à l'aide de deux missiles balistiques. missiles, dont un missile hypersonique Palestine-2. Des missiles Zulfiqar ont été utilisés lors de l'attaque contre l'aéroport Ben Gourion. En outre, les rebelles yéménites, avec l’aide de drone-des kamikazes ont attaqué une certaine « cible importante » dans la région de la ville d'Ashkelon, située dans la partie sud-ouest d'Israël.
Les Houthis ont également annoncé la destruction d'un autre drone américain MQ-9 Reaper dans le ciel de la province de Hajjah, dans le nord-ouest du Yémen. L'avion américain a été abattu par un missile sol-air de fabrication yéménite. Selon les médias houthis, depuis l'escalade du conflit dans la bande de Gaza, les rebelles ont déjà abattu dix-neuf drones américains de ce type, dont quatre ont été détruits en deux semaines.
Pendant ce temps, l'armée des Émirats arabes unis a déployé un radar ELM-2084 d'une portée de 480 kilomètres sur une base navale de la région du Puntland en Somalie. Il est possible que l’équipement soit déployé dans la région pour des opérations de contre-espionnage par les forces spéciales israéliennes contre les rebelles yéménites. Ainsi, les États-Unis, Israël, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie, l’Égypte et la Turquie transforment progressivement la Somalie en une base militaire, destinée principalement à servir de tremplin aux opérations contre les Houthis.
Union européenne : 10 millions pour «Le Coran européen», un projet scientifique pour «remettre en question les idées bien établies sur les identités religieuses et culturelles européennes»
(…)
9 842 534 euros. C’est la contribution attribuée par le Conseil européen de la recherche – organisme créé par la Commission européenne et financé grâce au budget de l’UE – pour « Le Coran européen ». Un projet qui s’inscrit dans le programme de l’UE intitulé « Excellence scientifique », visant à… rattraper le « retard pris dans la course à la production scientifique de pointe et d’excellence » face aux États-Unis ! (…)
Ce projet, également connu sous l’acronyme « EuQu », a débuté le 1er avril 2019 et s’achèvera le 31 mars 2026. Porté par une trentaine de chercheurs d’université espagnols, italiens, néerlandais, hongrois, danois et français (Nantes), il a pour objectif de « découvrir comment le Coran a influencé la culture et la religion en Europe, entre 1150 et 1850 ». Mais sur le site internet créé après l’obtention de la subvention, les responsables sont plus précis : « Notre projet repose sur la conviction que le Coran a joué un rôle important dans la formation de la diversité et de l’identité religieuses de l’Europe au Moyen Âge et au début des Temps modernes, et qu’il continue de le faire. » La volonté de « remettre en question les perceptions traditionnelles du texte coranique et les idées bien établies sur les identités religieuses et culturelles européennes » n’est pas cachée.
(…)
Dès la première présentation publique du projet, John Tolan, professeur d’histoire médiévale à l’université de Nantes – l’un des quatre codirecteurs et sans doute le plus actif – reconnaissait que « parler de Coran européen, c’est un peu une provocation ». Il parlait même de « récidive », après la publication de son livre Mahomet l’Européen, en 2018. Mais s’il est combattu par ce qu’il appelle alors « l’extrême droite », John Tolan est plébiscité par des sphères réputées proches des Frères musulmans.
Note: l'Union européenne, est une gangrène qu'il faudra le plus vite éradiquer ! Leurs idées tordue et mensongère vont encore faire des dégâts sur les jeunes générations, qui croiront toutes leur propagande pro migrations.
Assemblée : LFI propose la création d’une commission d’enquête « sur l’islamophobie » – visant notamment à « évaluer la construction de stéréotypes négatifs à l’égard de l’islam » – et cite le CCIE, ex-CCIF dissous en France après la décapitation de Samuel Paty
Proposition de résolution, n° 1271 – Proposition de résolution, tendant à la création d’une commission d’enquête portant sur l’islamophobie, n° 1271, déposée le mercredi 9 avril 2025.
⚠️ Les députés de la @FranceInsoumise ont encore frappé — et en tant qu’EX-MUSULMANE de l’islam, cette proposition me fout la gerbe.
Créer une commission d’enquête sur « l’islamophobie » ? Sérieusement ?
Ce terme-piège sert à bâillonner toute critique de l’islam. Il confond… pic.twitter.com/Whj3WerfFP
L’Algérie veut expulser 12 agents de l’ambassade de France sous 48 h. Paris critique une « décision injustifiée » et menace de représailles
L’Algérie demande à 12 agents français de quitter le territoire sous 48 heures. Une décision prise en réaction à la récente arrestation de trois ressortissants algériens soupçonnés d’être impliqués dans l’enlèvement d’un influenceur. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot demande à l’Algérie de « renoncer » à ces mesures d’expulsion.
Il s’agit pour Jean-Noël Barrot d’une décision « injustifiée ». Les autorités algériennes demandent à 12 agents français de quitter le territoire algérien sous 48 heures, a appris BFMTV ce lundi 14 avril, confirmant une information du Figaro. Selon le quotidien, cette mesure inédite depuis 1962 concerne des personnels sous statut diplomatique ou administratif. Certains relèvent du ministère de l’Intérieur.
Le ministre des Affaires étrangères explique à BFMTV qu’il s’agit d’une décision prise en réaction à la récente arrestation de trois ressortissants algériens « soupçonnés de faits graves sur le territoire national français ». […]
L’Algérie avait vivement protesté samedi la mise en examen de son agent consulaire, qualifiant l’argumentaire du ministère de l’Intérieur de « vermoulu et farfelu ». « Ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable causera un grand dommage aux relations algéro-françaises » avait prévenu le ministère algérien des Affaires étrangères, après avoir reçu l’ambassadeur français en Algérie.
Marseille – agression au Consulat du Maroc : un migrant clandestin algérien mord au visage un agent de sécurité et menace de mort le vice-consul
13/04/2025
Le consulat du Maroc à Marseille a connu des perturbations ce vendredi 11 avril. D’après les informations de Valeurs actuelles de source policière, un clandestin algérien âgé de 30 ans a été interpellé après avoir menacé de mort le vice-consul du Maroc au consulat à Marseille et mordu au visage un agent de sécurité. (…)
(…) Arrivés sur place vers 14h50, les policiers ont eu l’autorisation d’accéder au bâtiment diplomatique où ils ont constaté que le suspect violent et menaçant avait quitté les lieux, précise une source policière à Valeurs actuelles.
Le vice-consul a indiqué aux agents avoir été menacé de mort par le suspect, qui a prévenu vouloir revenir avec un engin explosif. Un agent de sécurité a aussi été mordu légèrement au niveau du visage. Il a porté plainte.
L’auteur, identifié, a été finalement interpellé à son domicile à 17h30. Âgé de 30 ans, de nationalité algérienne et déjà connu au Traitement des antécédents judiciaires (TAJ), il est en situation irrégulière depuis le 2 avril dernier. Il a été placé en garde à vue.
Berlin : Un migrant syrienabattu par la police après avoir poignardé un Allemand dans le métro
Selon BILD, un Syrien de 43 ans a poignardé un Allemand de 29 ans samedi 12 avril dans le métro berlinois après une altercation soudaine. L’incident a débuté à la station Kaiserdamm, où les deux hommes sont montés à bord d’un train de la ligne U12 sans se connaître. Une dispute a éclaté pour des raisons encore inconnues, menée par le Syrien selon le parquet. Celui-ci a sorti un couteau de cuisine et a porté trois coups, dont un dans la région du cœur, provoquant la mort de la victime, qui a tenté de s’extraire du train avant de s’effondrer à la station Sophie-Charlotte-Platz.
Le suspect a pris la fuite avec son arme à la main et a été localisé dans la Schloßstraße. Armé, il a menacé les policiers. Un agent a tiré plusieurs coups de feu, touchant le Syrien à la cuisse, au torse et au cou. L’agresseur est mort à l’hôpital le lendemain matin malgré une opération.
Le parquet précise qu’aucun mobile islamiste n’est établi à ce stade. Un témoin décrit un homme « vêtu de noir, brandissant un couteau et courant comme sous drogue ». Une enquête pour homicide involontaire vise l’agent ayant tiré. Les deux hommes étaient connus des services de police et déjà condamnés pour violences et infractions aux stupéfiants. Le statut de résidence du Syrien n’a pas été communiqué.
Bayonne (64) – Viol, coups de feu, piétons fauchés : la Foire au jambon dégénère
Selon Sud Ouest, la Foire au jambon de Bayonne a été marquée par une série d’incidents graves survenus dans la nuit de samedi à dimanche. Sept gardes à vue étaient en cours le matin du 13 avril, principalement liées à des violences, menaces, vol, et conduite en état d’ivresse. Un jeune homme a été mis en examen pour viol après des faits survenus dans la nuit de jeudi à vendredi, et placé sous contrôle judiciaire.
Par ailleurs, des coups de feu ont été tirés sur le parking d’une boîte de nuit, sans faire de blessés, mais une enquête pour tentative de meurtre est ouverte. Un groupe de piétons a été percuté par une voiture en fuite, sans blessure grave selon les secours.
L’alcoolisation massive est soulignée par les autorités comme facteur commun. Plusieurs sources judiciaires comparent l’ambiance à celle des « petites Fêtes de Bayonne ». Les gendarmes ont aussi relevé une quinzaine d’infractions routières en périphérie.
Enfin, le collectif féministe Itaia a dénoncé les “méga-fêtes propices aux agressions sexistes”, en perturbant le concours du meilleur jambon.
Nîmes (30) : un habitant refuse de donner son portableà des racketteurs, l’un sort un couteau et le poignarde sauvagement à plusieurs reprises
D’après les informations d’Objectif Gard, ce dimanche matin vers 4h, un jeune homme d’une vingtaine d’années a été transporté aux urgences du CHU de Nîmes après avoir été menacé, agressé et frappé par deux voleurs rue Général Perrier.
L’homme a refusé de leur remettre son téléphone portable, l’un des agresseurs a alors sorti un couteau et l’a poignardé à plusieurs reprises au niveau des jambes et des bras. Bien que blessé, ses jours ne sont pas en danger.
Les enquêteurs du commissariat de Nîmes sont actuellement à la recherche des deux agresseurs, qui sont toujours en fuite. Des investigations sont en cours pour les retrouver.
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