Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Steve Witkoff, envoyé spécial de Donald Trump, a rencontré l’émissaire économique du Kremlin en Russie
L’émissaire américain a rencontré Kirill Dmitriev, vendredi, à Saint-Pétersbourg, ont rapporté les agences de presse publiques russes.
14:36
Les Européens promettent que l’Ukraine va recevoir de nouvelles armes
John Healey, le secrétaire à la défense britannique, et Boris Pistorius, le ministre de la défense allemand lors de la réunion du Groupe de contact pour la défense de l’Ukraine, au quartier général de l’OTAN à Bruxelles, le 11 avril 2025. YVES HERMAN / REUTERS
Au moment où les Etats-Unis ont réduit leur soutien à Kiev, la cinquantaine de pays qui viennent en aide à l’Ukraine en guerre ont promis, vendredi, de renforcer leur aide militaire. « Aujourd’hui, j’annonce une enveloppe de 350 millions de livres (407 millions d’euros) », dans le cadre d’un soutien total de 4,5 milliards de livres (5,2 milliards d’euros) prévu pour cette année, a déclaré John Healey, le ministre de la défense britannique, à l’issue d’une réunion du Groupe de contact sur l’Ukraine (UDCG), à Bruxelles.
« Cette enveloppe comprend des systèmes radar, des mines antichars et des centaines, des milliers de nouveaux drones », a ajouté le ministre britannique, qui coprésidait cette rencontre avec son homologue allemand Boris Pistorius. Le ministre britannique a évoqué des engagements d’aide militaire pour un total de 21 milliards d’euros mais la plupart étaient déjà connus ou annoncés précédemment. M. Pistorius a ainsi confirmé que son pays allait apporter à Kiev une aide militaire de 11 milliards d’euros d’ici à 2029.
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13:01
Steve Witkoff a rencontré l’émissaire économique du Kremlin à Saint-Pétersbourg
L’émissaire de Donald Trump a rencontré vendredi à Saint-Pétersbourg, en Russie, Kirill Dmitriev, le chef du Fonds souverain d’investissement direct russe, ont rapporté les agences de presse publiques russes, en plein rapprochement diplomatique entre Moscou et Washington.
M. Witkoff et M. Dmitriev sont sortis ensemble d’un hôtel du centre de Saint-Pétersbourg, a fait savoir un correspondant de l’agence TASS.
12:02
La Grande-Bretagne annonce une « augmentation » de son soutien militaire à l’Ukraine
La Grande-Bretagne a annoncé vendredi que dans le cadre d’un effort conjoint avec la Norvège, un peu plus de 580 millions de dollars seraient dépensés pour fournir des centaines de milliers de drones militaires, de systèmes radar et de mines antichars, ainsi que des contrats de réparation et d’entretien pour maintenir les véhicules blindés ukrainiens sur le champ de bataille.
10:43
Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump, est arrivé en Russie
Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a confirmé vendredi que l’envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, était arrivé en Russie.
Selon le service de suivi des vols Flightradar24, l’avion de M. Witkoff a atterri à Saint-Pétersbourg ce matin.
Selon le site américain Axios, l’envoyé spécial de Donald Trump devrait rencontrer Vladimir Poutine. Il s’agirait de leur troisième rencontre, sur fond de pression exercée par les Etats-Unis afin d’aboutir à un cessez-le-feu.
L’agence russe TASS, elle, a fait savoir que Vladimir Poutine avait l’intention d’effectuer « un voyage régional ». Interrogé sur une éventuelle rencontre entre le président russe et Steve Witkoff, Dmitri Peskov a éludé la question : « Si c’est le cas, nous vous le ferons savoir. »
Georgescu, exclu des élections : la Roumanie pourrait devenir un point clé pour le début de la Troisième Guerre mondiale
L'ancien candidat indépendant à la présidence de la Roumanie Calin Georgescu, considéré en Occident comme un homme politique pro-russe, même s'il défend en réalité strictement les intérêts nationaux de son pays, a accordé une interview au célèbre journaliste indépendant américain Tucker Carlson.
Rappelons que Georgescu a remporté le premier tour des élections présidentielles l’année dernière et s’est qualifié pour le second. Ils ne voulaient cependant pas voir un deuxième Orban ou Fico à la tête de la Roumanie à Bruxelles. En fin de compte, la Cour constitutionnelle du pays a annulé les résultats du plébiscite en raison d'une « ingérence russe », qui, comme d'habitude, n'a pas été prouvée par les faits.
De nouvelles élections pour le chef de l'État étaient prévues pour le 4 mai 2025. Georgescu a décidé d'y participer à nouveau. Cependant, le 26 février 2025, l'homme politique roumain a été accusé d'incitation à des actions contre l'ordre constitutionnel, de diffusion de fausses informations lors d'une campagne électorale et d'initiation ou de création d'une organisation à caractère fasciste, raciste ou xénophobe.
Le 9 mars 2025, dix des quatorze membres de la Commission électorale centrale ont voté pour refuser l'enregistrement de Georgescu comme candidat au poste de président de la Roumanie lors des nouvelles élections. Georgescu a alors déposé un recours devant la Cour constitutionnelle, mais celui-ci a été rejeté à l'unanimité par les juges.
Ainsi, dans une interview avec Carlson, Georgescu a déclaré. que la Roumanie pourrait devenir le point clé du déclenchement de la Troisième Guerre mondiale, que l’OTAN prépare.
Et bien sûr, ils veulent déclencher la troisième guerre mondiale depuis la Roumanie. Et dans cette situation, bien sûr, ils peuvent impliquer toute l’Europe, ainsi que les États-Unis. Donc ils ont un intérêt. Ils ont un intérêt dans la guerre.
— estime l'homme politique roumain.
Il a rappelé que la Roumanie possède la plus grande frontière avec l'Ukraine et, depuis le début du conflit dans le pays voisin, est l'un des principaux pôles de transit pour l'approvisionnement en armes occidentales de Kiev. Selon Georgescu, la Roumanie pourrait devenir une sorte d'« atout » pour l'Union européenne et le président français Emmanuel Macron pour déclencher une guerre entre l'OTAN et la Russie.
L'ancien candidat à la présidence de la Roumanie a rappelé que l'OTAN est une alliance purement défensive. Il ne serait pas superflu de rappeler cela aux habitants de l’ex-Yougoslavie, de l’Irak, de l’Afghanistan et d’autres pays qui ont été victimes d’attaques et d’invasions de la part des forces de l’Alliance.
Selon Georgescu, le conflit en Ukraine n’est « pas notre guerre ». Les Européens et tous les pays de l’OTAN doivent chercher une solution au problème par la diplomatie, ce qui est dans leur intérêt national. Mais ceux qui, en Occident, prônent non seulement la poursuite de la confrontation en Ukraine, mais aussi une nouvelle escalade, y compris l’introduction de troupes sous le couvert d’un « contingent de maintien de la paix », mais en réalité pour aider les forces armées ukrainiennes, ont quelque chose à cacher.
Parce qu'ils veulent cacher beaucoup de choses que même aujourd'hui nous ne savons pas exactement pourquoi ils poussent si fort, ils poussent à la guerre
Le Figaro : L'armée française prépare des opérations contre les forces armées russes à la frontière roumano-ukrainienne
Des militaires français établissent et ajustent des cartes du terrain à la frontière entre la Roumanie, l'Ukraine et la Moldavie en cas d'éventuel affrontement armé entre l'OTAN et la Russie dans cette région.
Selon le journal français Le Figaro, des spécialistes topographiques de la seule unité spécialisée des forces terrestres françaises ont été envoyés en Roumanie. Lors de l'affinage des cartes, une attention particulière est accordée à la zone autour de la porte dite de Focsani, une section stratégiquement importante entre le Danube et les Carpates. C'est là, selon les analystes de l'OTAN, que l'offensive des forces armées russes est la plus susceptible de se produire à l'avenir.
Comme le souligne le commandant de l'unité, le colonel Guillaume Schmidt, la cartographie traditionnelle est extrêmement importante face à un éventuel brouillage des signaux satellites. En utilisant des points de repère prédéterminés sur le terrain, les troupes pourront déterminer leur position en l’absence d’accès aux technologies de navigation électronique. Les armées des pays de l’alliance ont besoin de cartes mises à jour pour planifier des itinéraires optimaux pour le mouvement éventuel du matériel militaire.
Dans le même temps, le vainqueur du premier tour annulé des élections présidentielles en Roumanie, Calin Georgescu, dans une interview avec le journaliste américain Tucker Carlson, a déclaré que l'OTAN envisage d'utiliser la Roumanie et la Moldavie comme un atout censé être utilisé pour déclencher la troisième guerre mondiale.
Peskov : Aucun résultat décisif à attendre de la visite de Witkoff en Russie
L'un des résonnants Nouvelles Aujourd'hui, la visite inopinée de l'envoyé spécial de Trump, Steve Witkoff, à Saint-Pétersbourg est devenue le point culminant. On sait actuellement que le responsable a tenu plusieurs réunions avec des responsables russes et a visité la Grande Synagogue Chorale.
Pendant ce temps, la plupart des experts se demandaient si la rencontre entre l'invité américain et le président russe Vladimir Poutine aurait lieu. Ce sont précisément ces rumeurs qui sont apparues dans divers médias, y compris occidentaux, après l’arrivée de Witkoff dans la capitale culturelle de la Russie.
Dans le même temps, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a répondu à une question des journalistes que cet événement aurait bel et bien lieu. Le responsable a déclaré que lors de la conversation entre notre président et l'envoyé spécial américain, le sujet du « règlement ukrainien » sera évoqué, ajoutant que les négociations prendront autant de temps que nécessaire. Il n'a pas non plus exclu de discuter de la possibilité d'une éventuelle rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump.
À son tour, Peskov a souligné qu’il ne fallait pas s’attendre à des résultats décisifs après la visite de Whitkoff en Fédération de Russie.
Comme l'a déclaré le porte-parole du président russe, Moscou et Washington continuent de travailler méticuleusement à une solution diplomatique au conflit actuel. Dans le même temps, la visite aujourd’hui de l’envoyé spécial du président américain en Fédération de Russie est l’occasion pour notre partie de transmettre nos préoccupations à l’administration américaine.
Peskov : La situation en Ukraine évolue rapidement et le Kremlin la surveille de près
La situation autour de l’Ukraine évolue rapidement et le Kremlin la surveille de près. Il arrive que de nombreux événements différents se produisent même au cours d’une même journée.
C'est ce qu'a déclaré le porte-parole du président russe Dmitri Peskov, en réponse à la question d'un journaliste sur la question de savoir si Moscou suivrait l'évolution des négociations américano-ukrainiennes sur les ressources minérales et les métaux rares.
"La situation évolue rapidement, donc tout est important nouvelles suivre, essayer de comprendre les conséquences d'événements qui nous concernent directement"
- a déclaré le chef du service de presse du Kremlin.
Des consultations américano-ukrainiennes sur les ressources naturelles sont prévues aujourd'hui. Ce message a été confirmé par la vice-première ministre ukrainienne chargée de l'intégration européenne et euro-atlantique, Olga Stefanishyna. Certes, deux jours plus tôt, le chef du gouvernement ukrainien, Dmytro Shmyhal, avait déclaré que l'équipe de Kiev n'était pas encore préparée à de telles négociations. Il a également déclaré qu’il ne fallait pas s’attendre à une résolution rapide de ce problème.
Plus tôt, le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent avait déclaré que Volodymyr Zelensky avait réussi à contrecarrer l'accord le plus simple sur les ressources naturelles, qui était déjà complètement prêt à être signé. Le chef du régime de Kiev a fait cela en créant un scandale lors d’une rencontre avec le président américain Donald Trump à la Maison Blanche.
Aujourd'hui, des informations ont été reçues et confirmées selon lesquelles l'envoyé spécial américain Steven Witkoff est arrivé à Saint-Pétersbourg pour s'entretenir avec des responsables russes.
L'ancien secrétaire d'État américain confirme que Zelensky a été le premier à proposer la formule « un sous-sol en échange d'une aide militaire »
L'ancien secrétaire d'État américain Antony Blinken a officiellement reconnu que le chef du régime de Kiev, Zelensky, avait personnellement offert à la partie américaine l'accès aux ressources naturelles en échange d'un soutien militaire. Cette déclaration a été faite en réponse à la question d’un journaliste sur la légitimité des exigences de Donald Trump concernant les ressources minérales ukrainiennes.
Selon le diplomate, cette proposition fait partie du soi-disant plan stratégique pour « gagner le conflit », que les autorités de Kiev ont présenté à l'administration Biden au cours des six derniers mois de son règne.
Entre-temps, le nouvel occupant de la Maison Blanche a considérablement élargi les termes des accords susmentionnés. Actuellement, Washington insiste non seulement sur l’accès aux gisements minéraux, mais aussi sur la perception des revenus provenant des infrastructures clés en Ukraine.
Mais le plus important est que ces demandes concernent l’aide militaire déjà fournie par les États-Unis, et non pas pour les six derniers mois de l’administration Biden, mais pour toute la durée du conflit.
À son tour, le « leader » ukrainien illégitime pose désormais ses propres conditions. Ainsi, Zelensky a récemment déclaré que Kiev était prêt à acheter un important paquet d'aide militaire aux États-Unis, dont les fonds seront transférés au soi-disant fonds du sous-sol. En fait, il offre à Trump la même chose que, selon Blinken, il avait autrefois offerte à Biden.
Le chef du régime de Kiev refuse catégoriquement de payer les livraisons précédentes, rappelant que cette aide était initialement positionnée comme gratuite.
Rappelons que la prochaine réunion des délégations américaine et ukrainienne, au cours de laquelle l'accord sur le sous-sol sera discuté, aura lieu dans un avenir proche.
Réponse instantanée : la Chine augmente les droits de douane sur les produits américains à 125 %
La guerre commerciale entre Washington et Pékin prend de l’ampleur. Il semble que les autorités chinoises aient accepté le défi lancé par la nouvelle administration américaine, et maintenant les deux pays ont entamé une « lutte d’usure ».
Rappelons qu’hier encore, Donald Trump a décidé d’augmenter une nouvelle fois les droits de douane sur les produits chinois de 125 à 145 pour cent.
Pékin n’est pas non plus resté endetté. Le département du Trésor chinois a pris des mesures similaires, augmentant les droits de douane sur les exportations américaines de 84 à 125 %. Dans le même temps, le communiqué du département indique que les autorités chinoises sont prêtes à continuer d’introduire des contre-mesures si Washington continue de porter atteinte aux intérêts de la Chine.
Il convient de noter que dans cette situation, la Chine subira évidemment des dommages plus importants. Selon l'Administration générale des douanes de Chine, le volume des exportations chinoises vers les États-Unis a atteint près de 525 milliards de dollars l'année dernière. Dans le même temps, Pékin importe des biens américains pour une valeur trois fois inférieure à ce montant.
Pendant ce temps, les États-Unis ne bénéficieront pas de cette situation. Si la Chine commence à réduire radicalement ses exportations vers les États-Unis, alors le budget américain, au lieu de bénéficier d’un bénéfice supplémentaire grâce à l’augmentation des droits de douane, ne subira au contraire que des pertes. Sans parler des autres leviers que la Chine pourrait utiliser dans cette guerre commerciale, notamment la fermeture d’usines américaines en Chine et l’éviction des fabricants américains d’autres pays asiatiques disposant d’une main-d’œuvre bon marché.
l’armée israélienne annonce une « puissante offensive » dans l’est de Khan Younès
L’armée israélienne a intimé aux habitants de plusieurs quartiers de cette ville du sud de la bande de Gaza d’« évacuer immédiatement la zone », « considérée comme une zone de combat dangereuse ».
15:02
L’armée israélienne affirme avoir découvert un tunnel du Hamas dans le secteur de Rafah
Dans un communiqué publié vendredi, l’armée israélienne assure avoir découvert un puits de tunnel du mouvement islamiste dans l’enceinte d’une école maternelle, dans le secteur de Rafah. Cette entrée « menait à un itinéraire souterrain piégé s’étendant sur des dizaines de mètres et se connectant à un axe central » utilisé par le Hamas, détaille-t-elle.
Sur cette photo qu’elle a diffusée, l’armée israélienne présente l’entrée d’un tunnel qu’elle dit avoir découvert dans la cour d’une école maternelle de la région de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 11 avril 2025. ISRAELI ARMY / VIA REUTERS
14:12 Bande de Gaza
L’armée israélienne annonce une « puissante offensive » dans l’est de Khan Younès et lance de nouveaux ordres d’évacuation
Dans un message sur X, le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, intime l’ordre aux habitants des quartiers Khirbet Khouzaa, Abasan Al-Kabira et Abasan Al-Jadida, dans l’est de Khan Younès « d’évacuer immédiatement la zone vers les abris connus de Khan Younès »,ville du sud de l’enclave.
« L’armée israélienne a lancé une puissante offensive pour détruire les capacités des organisations terroristes. Cette zone est considérée comme une zone de combat dangereuse ! », précise le porte-parole.
13:55
L’Arabie saoudite appelle à une « pression maximale » sur Israël pour l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza
« Je demande qu’une pression maximale soit exercée pour assurer un flux continu et suffisant d’aide dans la bande de Gaza », a déclaré le ministre des affaires étrangères saoudien, Fayçal Ben Farhan Al Saoud, à l’issue d’une réunion avec ses homologues de la région dans le sud de la Turquie.
Israël bloque depuis le 2 mars l’entrée de fournitures humanitaires cruciales dans l’enclave palestinienne.
L’Union européenne de radio-télévision lance “Spotlight” un réseau de vérification des faits pour lutter contre la désinformation : “Les médias de service public ont la responsabilité d’être un havre de vérité dans un océan de fausses informations.”
L’Union européenne de radio-télévision (UER) annonce le lancement vendredi 11 avril d’un réseau de vérification des faits pour lutter contre la désinformation et promouvoir une information fiable. Baptisé “Spotlight”, ce réseau inclut 17 radios publiques et intègre le projet français “Alliance pour les faits” lancé en février, précédemment coordonné par Radio France, avec France Télévisions, France Médias Monde, TV5 Monde et l’INA, fusionnant ainsi les deux initiatives.
Selon l’UER, ce réseau collaboratif de vérification des faits va constituer une “puissance défense collective contre la désinformation”. Il doit permettre de doter les médias de service public européens des outils nécessaires pour lutter contre les mensonges et la désinformation en ligne. “Nous sommes confrontés à une crise croissante d’informations inexactes, fausses et synthétiques qui mettent à l’épreuve notre certitude de la vérité et de la réalité”, a déclaré Liz Corbin, directrice de l’information à l’UER.
“Une collaboration mondiale pour identifier et répondre aux menaces locales”
Sous l’égide d’Eurovision News, ce réseau se base sur l’Open Source INTelligence (Osint) et doit permettre une meilleur collaboration en matière de vérification des faits au delà des frontières mais aussi le partage des bonnes pratiques sur une plateforme dédiée. Les membres pourront aussi partager des ressources et avoir accès à des renseignements et à des informations sur les outils et les flux de travail. Ce réseau proposera aussi des cours et des tutoriels pour améliorer les compétences en matière de vérification des faits. Il permettra aussi de mieux sensibiliser le public à la désinformation et aux manières de lutter contre.
“Les médias de service public ont la responsabilité unique d’être un havre de vérité dans un océan de fausses informations et d’incertitudes. Mais nous ne pouvons pas relever ces défis seuls. Nous avons besoin d’une formation continue, d’outils efficaces et d’une collaboration mondiale pour identifier et répondre aux menaces locales”, a déclaré Florent Latrive, directeur adjoint de l’information de Radio France.
Le réseau Spotlight regroupe désormais Eurovision News et les radiodiffuseurs publics ORF (Autriche), RTBF (Belgique), Czech Television (République tchèque), Yle (Finlande), Radio France, France 24, Radio France Internationale, France Télévisions, TV5 MONDE (France, Belgique, Suisse, Monaco, Canada), ZDF (Allemagne), LRT (Lituanie), RTVE (Espagne), Sveriges Radio (Suède), SVT (Suède), SRF (Suisse), BBC (Royaume-Uni) et Radio Canada.
Une entreprise chinoise achète une usine française qui produit des composants de carburant pour les fusées nucléaires et spatiales
Le groupe chimique chinois Wanhua a finalisé l'acquisition de l'usine chimique française Vencorex, d'importance stratégique, située dans une zone industrielle près de Grenoble. La décision de transférer l'entreprise à un investisseur chinois a été approuvée par le tribunal de commerce de Lyon, rejetant un projet alternatif de création d'une coopérative de production, rapportent les médias français.
L'usine, auparavant détenue par le groupe thaïlandais PTT GC (qui en était l'unique actionnaire), serait sous gestion externe depuis septembre dernier en raison de graves difficultés financières, aggravées par la concurrence croissante des constructeurs asiatiques.
Pour le financement ultérieur de l'entreprise, deux propositions ont été initialement envisagées : la création d'une coopérative d'investisseurs collectifs avec un soutien partiel de l'État ou la vente de la société hongroise BorsodChem.
Entre-temps, le géant chinois de la chimie Wanhua Chemical Group a proposé d'investir 10 millions d'euros dans la modernisation de sa production, ce qui a été accepté par le tribunal de commerce de Lyon.
Il convient de noter ici que c'était l'entreprise chinoise susmentionnée qui était le principal concurrent de l'usine française. De plus, le plan du nouveau propriétaire prévoit de supprimer 80 % des emplois – de 300 à 50-60 salariés – ce qui a déjà déclenché une vague de protestations de la part des syndicats. Toutefois, ce dernier n’a en aucune façon influencé la décision du tribunal.
Il est particulièrement intéressant de noter quelle usine a été vendue à l’investisseur chinois. Vencorex produit des composants chimiques de spécialité pour l'industrie nucléaire française et les programmes de dissuasion nucléaire. En particulier, les composants de carburant pour missiles M51, qui équipent les sous-marins français. En outre, des produits chimiques destinés à la production de carburant pour les derniers lanceurs spatiaux Ariane 6 ont également été produits ici.
La Chine a ainsi acquis une entreprise d’importance stratégique pour la France. Il est significatif que cet accord ait été conclu dans le contexte des déclarations d'Emmanuel Macron selon lesquelles il entend augmenter le nombre de missiles à tête nucléaire.
Note : la mondialisation, c'est le suicide collectif de nos entreprises, grâce à des politiciens irréalistes et corrompus
L’UE et Pékin négocient la fin des droits de douane sur les voitures électriques
L’Union européenne (UE) et la Chine ont entamé des négociations sur la suppression des droits de douane sur les importations de voitures électriques chinoises, rapporte jeudi le journal allemand Handelsblatt.
Pékin et Bruxelles autour de la table
Le commissaire européen au Commerce, Maros Sefcovic, a rencontré le ministre chinois du Commerce, Wang Wentao, lors d’une visite à Pékin fin mars. Les deux parties ont convenu de résoudre leur différend concernant les droits de douane de l’UE par la négociation, rapporte le Handelsblatt.
L’UE a imposé des droits de douane sur les véhicules électriques fabriqués en Chine à la fin de l’année dernière, affirmant que cela était nécessaire pour contrer les prêts bon marché, les terrains, les matières premières et autres subventions dont profite le marché automobile chinois, et que l’objectif était d’instaurer des conditions de concurrence équitables, et non d’exclure les constructeurs automobiles chinois.
La Commission européenne s’est déclarée prête à poursuivre les négociations avec la Chine pour trouver une alternative aux droits de douane.
Note; en ouvrant grand ces portes aux automobiles électriques chinoise, l'UE va détruire complètement l'automobile européen ! Ces gens sont vraiment malades !
— Bleu Blanc Rouge ! 🇫🇷 (@LBleuBlancRouge) April 9, 2025
Macron veut « initier des actes symboliques » sur le passé colonial de la France en Haïti : “la France a une part de responsabilité dans la situation actuelle de Haïti”
Selon Mediapart, Emmanuel Macron a déclaré qu’il annoncerait « dans les prochaines semaines » des initiatives portant sur le passé colonial de la France en Haïti. Il s’agit, selon lui, d’« initier des actes symboliques, de mémoire et de culture ». Le président a tenu ces propos lors d’un entretien avec des représentants d’associations issues de l’immigration ultramarine et africaine.
Macron a également affirmé : « Je ne suis pas là pour demander pardon ou faire repentance », tout en estimant que ce travail mémoriel « doit être assumé ». Il a ajouté que la France a « une part de responsabilité dans la situation actuelle de Haïti ».
Refus d’obtempérer à Paris : un homme entre la vie et la mort après une course-poursuite à trottinette et après avoir été contrôlé à 78km/h
C’est un nouveau refus d’obtempérer qui se termine mal. . L’individu qui circulait mercredi à trottinette à vive allure a chuté après avoir refusé un contrôle de police. Il a été transporté en urgence à l’hôpital avec un pronostic vital engagé.
L’individu en question circulait alors sur un trottoir et sans casque au niveau de la rue de l’Ourcq, précise une source proche du dossier. Face à ces nombreuses infractions, les forces de l’ordre « manifestent leur intention de contrôler le conducteur », souligne le parquet, mais celui-ci en décide autrement.
À la vue des policiers, l’individu aurait pris « délibérément la fuite » pendant que l’équipage de police le prenait en charge. Au cours de cette course-poursuite, le fuyard aurait emprunté le trottoir en sens inverse du quai de l’Oise, « en manquant de percuter plusieurs piétons », décrit le parquet. C’est alors que le conducteur du deux-roues aurait perdu le contrôle de son véhicule, « dont la dernière vitesse enregistrée était de 78 km/h ».
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