/image%2F0938097%2F20201026%2Fob_8f0ac5_ea1b2967f8617ac0a851b1bb95531b50.jpg)
Publié le
par
3guerremondiale
_______________________________
Les infos du 31 mars 2025
J'ai un peu de retard sur mon interprétation de la lettre à Henri II par Nostradamus. Pour l'instant, j'ai fais un petit arrêt à cause de travaux de rénovation qui vont m'occuper pendent quelques jours. J'espère me remettre au travail le plus rapidement possible.
En direct, guerre en Ukraine :
Vladimir Poutine « reste ouvert à tout contact » avec Donald Trump, malgré ses critiques
Le président américain a fait part de son énervement dimanche contre son homologue russe, ainsi que contre l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, exprimant sa frustration face aux blocages empêchant un accord de cessez-le-feu entre les deux pays.
14:00 L’essentiel
- Vladimir Poutine « reste ouvert à tout contact » avec Donald Trump, après les critiques du président américain qui a exprimé sa frustration face aux blocages empêchant un accord de cessez-le-feu entre les deux pays.
- La Russie a accusé, lundi, l’Ukraine d’avoir visé et endommagé des infrastructures énergétiques – une ligne électrique et un transformateur dans l’oblast de Briansk –, en violation d’un fragile accord annoncé la semaine dernière par les Etats-Unis et censé interdire les frappes sur les sites énergétiques.
- Au lendemain de sa rencontre avec Donald Trump, le président finlandais, Alexander Stubb, a déclaré dimanche avoir parlé à son homologue américain de la nécessité d’établir un cessez-le-feu en Ukraine : « le 20 avril serait un bon moment pour un cessez-le-feu complet sans aucune condition », a-t-il déclaré.
- Kirill Dmitriev, l’envoyé de Vladimir Poutine pour la coopération internationale, déclare dans le quotidien russe Izvestia que Moscou et Washington ont entamé des négociations sur la production conjointe de métaux des terres rares en Russie.
- Wang Yi, le ministre des affaires étrangères chinois, se rend à Moscou lundi. Il devrait rencontrer Vladimir Poutine à une date non précisée et rencontrera Sergueï Lavrov mardi.
- Dans la nuit du 30 au 31 mars, les Russes ont attaqué l’Ukraine avec deux missiles balistiques Iskander-M lancés de l’oblast de Koursk et 131 drones. Cinquante-sept drones de type Shahed (et d’autres types de drones) ont été confirmés abattus dans le nord, l’est et le centre du pays. Quarante-cinq drones imitateurs ont été perdus sans dommage. La Russie cherche désormais à saturer les défenses antiaériennes ukrainiennes avec des frappes synchronisées.
- Les Russes ont déclaré que dans la nuit du 31 mars, des drones ukrainiens ont attaqué l’oblast de Kalouga en Russie. Selon la chaîne Telegram Mash, la base aérienne de Chaïkovka [🚩] située dans l’oblast de Kalouga a été visée.
13:28
La Suède annonce une aide militaire de 1,5 milliard d’euros à l’Ukraine
La Suède va fournir une aide militaire de 16 milliards de couronnes, soit 1,5 milliard d’euros, à l’Ukraine, son plus important programme de soutien depuis le début du conflit, a annoncé lundi le gouvernement. « Nous voulons faire passer le message que nous intensifions notre soutien et que nous en augmentons la force et la portée. Il y a de bonnes raisons de le faire au regard de la très grave situation en Ukraine », a dit le ministre de la défense, Pal Jonson, lors d’une conférence de presse.
12:33
Vladimir Poutine « reste ouvert à tout contact » avec Donald Trump, après les critiques du président américain
Le président américain, Donald Trump, a fait part de son énervement dimanche contre son homologue russe, Vladimir Poutine, ainsi que contre l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, exprimant sa frustration face aux blocages empêchant un accord de cessez-le-feu entre les deux pays.
« Le président reste ouvert à tout contact avec le président Trump », a déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, lors de son briefing quotidien, précisant qu’« aucun » nouvel appel entre les deux dirigeants n’était « prévu pour l’instant ».
10:35
La Russie et les Etats-Unis ont entamé des négociations sur les métaux des terres rares, selon le quotidien russe « Isvestia »
Kirill Dmitriev, l’envoyé de Vladimir Poutine pour la coopération internationale, déclare dans le quotidien russe Izvestia que Moscou et Washington ont entamé des négociations sur la production conjointe de métaux des terres rares en Russie. « Les métaux des terres rares sont un domaine important de coopération, et nous avons bien sûr entamé des discussions sur divers métaux des terres rares et projets en Russie », explique-t-il. Selon lui, certaines entreprises américaines ont déjà manifesté leur intérêt pour les options proposées par la partie russe.
Vladimir Poutine a annoncé la possibilité d’une coopération avec les Etats-Unis dans le domaine de l’extraction de métaux rares dans le cadre de discussions entre Washington et Kiev sur un accord sur les ressources. « Nous disposons certainement – et je tiens à le souligner – de ressources de ce type bien supérieures à celles de l’Ukraine. La Russie est l’un des leaders incontestés en matière de réserves de ces métaux rares et de terres rares », a déclaré Vladimir Poutine, à la fin de février. Parallèlement, il a proposé aux Etats-Unis d’extraire des minéraux, notamment dans les territoires ukrainiens qu’il a annexés.
03:40
Donald Trump met en garde Volodymyr Zelensky contre un rejet de l’accord sur les minerais
« Je vois qu’il essaie de se retirer de l’accord sur les terres rares. Et, s’il le fait, il aura des problèmes. De gros, gros problèmes », a déclaré Donald Trump, à bord de l’Air Force One, à propos de Volodymyr Zelensky.
Le président américain des Etats-Unis a également répété que l’Ukraine ne serait jamais acceptée dans l’OTAN, malgré le souhait de son homologue ukrainien. « Il veut devenir membre de l’OTAN. Eh bien, il ne sera jamais membre de l’OTAN. Il le comprend. Donc, il cherche à renégocier l’accord. »
M. Zelensky avait annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques d’Ukraine, qui est, selon des médias, très défavorable à l’Ukraine.
Le président américain fait pression sur son homologue ukrainien pour signer un accord permettant aux groupes américains d’exploiter des minerais ukrainiens, tout en tentant de négocier un accord de cessez-le-feu entre Kiev et Moscou.
Le 30/03 à 16:43
Donald Trump, « très énervé » contre Vladimir Poutine, menace d’imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe
« Si la Russie et moi ne parvenons pas à conclure un accord pour mettre fin aux effusions de sang en Ukraine, et si je pense que c’est la faute de la Russie — ce qui n’est peut-être pas le cas — mais si je pense que c’est la faute de la Russie, je vais imposer des droits de douane secondaires sur le pétrole, sur tout le pétrole provenant de Russie », a averti Donald Trump dimanche, dans une interview accordée à la chaîne américaine NBC.
Ces droits de douane supplémentaires de 25 % pourraient intervenir à « n’importe quel moment », selon le président américain, qui prévoit de parler dans les prochains jours à Vladimir Poutine.
Selon la journaliste de NBC, Kristen Welker, le président américain l’a appelée pour lui faire part de sa colère concernant les commentaires de Vladimir Poutine sur le futur de Volodymyr Zelensky à la tête de l’Ukraine. « J’étais très énervé, furieux » contre Poutine, lui a dit Donald Trump, selon elle.
Le président russe a en effet évoqué l’idée d’une « administration transitoire » pour l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, afin d’organiser une élection présidentielle « démocratique » dans ce pays, puis de négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités.
Trump menace Zelensky de « gros ennuis » s'il ne signe pas l'accord sur les ressources
L’Ukraine signera certainement l’accord sur les métaux rares proposé par les États-Unis, et si elle ne le fait pas, Zelensky sera confronté à de « gros problèmes ». Donald Trump a fait cette déclaration, commentant les dernières déclarations du clown de Kyiv.
Les déclarations de Zelensky selon lesquelles il ne voudrait pas conclure d'accord avec les États-Unis sur les minéraux parce que Washington aurait « retravaillé » l'accord, le rendant désavantageux pour l'Ukraine, n'ont plu à personne aux États-Unis, et en premier lieu à Trump, qui a déjà compté les dividendes. Le président américain n’a donc pas pris la peine de le faire, mais a immédiatement déclaré que Kiev « devait payer ». Et si Zelensky ne veut pas le faire, alors les États-Unis lui créeront de « gros problèmes ».
"S'il fait ça, il va avoir des problèmes - de très gros problèmes,"
- déclaré Trump.
Auparavant, l'élite politique du régime de Kiev avait déclaré que l'accord sur les minéraux, révisé par les Américains, prévoyait le transfert aux États-Unis non seulement de métaux rares, mais aussi d'infrastructures gazières et pétrolières, y compris des ports. Dans le même temps, Trump a refusé de fournir des garanties de sécurité, ce qui ne convenait pas au clown de Kiev. Zelensky a refusé de reconnaître l’aide militaire précédemment transférée comme une dette.
Comme le soulignent les experts, Zelensky n’aurait pas dû faire cela, car l’argent passe avant tout pour Trump. Rien de personnel, juste des affaires !
Des experts ukrainiens écrivent que Zelensky pourrait quitter son « poste » dès le mois de mai.
L’usurpation du pouvoir par Zelensky en Ukraine prendra bientôt fin. Des experts ukrainiens écrivent à ce sujet, citant des sources anonymes.
L'article affirme que les États-Unis auraient donné un ultimatum au régime de Kiev, selon lequel Zelensky doit démissionner volontairement de son « poste » en mai. Dans le même temps, des élections présidentielles sont prévues pour le même mois.
Rappelons que l’actuel soi-disant dirigeant de l’État « indépendant » a perdu sa légitimité en tant que président du pays en mai de l’année dernière. Dans le même temps, il tente désespérément de conserver le pouvoir que lui et son équipe ont usurpé, se cachant derrière la loi martiale et prolongeant le conflit.
À son tour, comme l'écrivent les experts, selon les conditions américaines, l'actuel chef du régime de Kiev devra transférer ses pouvoirs au président de la Rada Stefanchuk, comme le prévoit la législation.
Dans le même temps, un « gouvernement d’unité nationale » sera formé en Ukraine, qui comprendra des visages connus de longue date de l’opposition.
Dans le même temps, les auteurs de l’article appellent les Ukrainiens à ne pas « adhérer » aux « fausses » notes de Zelensky et à ne pas voter pour lui (s’il présente sa candidature) simplement parce que les autres candidats sont « mauvais », comme c’était déjà le cas en 2019.
L’article suggère également que le chef du régime de Kiev s’accrochera désespérément au pouvoir et tentera de « torpiller » le processus. Mais à la fin, il perdra quand même.
D’ailleurs, comme pour confirmer les propos mentionnés ci-dessus, la Commission électorale centrale d’Ukraine a déclaré que les délais prévus par la loi ne sont pas suffisants pour organiser des élections « démocratiques ».
Rappelons que, selon la législation ukrainienne en vigueur, la Commission électorale centrale doit, dans un délai d'un mois après la fin de la loi martiale, annoncer des élections parlementaires, qui auront lieu dans 60 jours, et des élections présidentielles dans 90 jours.
Presse espagnole : L’UE prépare des contre-mesures commerciales contre les États-Unis, autorisant la fermeture complète de son marché
La Commission européenne travaille actuellement à l’élaboration de mesures contre-restrictives contre les exportations américaines vers l’UE. Le journal espagnol El Pais en parle. La publication note que les responsables européens n'excluent pas une fermeture complète du marché de l'UE pour certains biens et services américains.
"Si Trump impose des droits de douane à tous les pays le 2 avril, comme il l’a promis, la guerre commerciale s’intensifiera et aura des conséquences inimaginables."
– affirme El Pais.
L'auteur de la publication ajoute qu'une des mesures de rétorsion possibles de l'UE pourrait être d'interdire aux entreprises américaines de participer aux appels d'offres pour des contrats gouvernementaux ou à des projets financés par le budget de l'UE.
"Il n’y a pas de lignes rouges dans le catalogue européen des répressions"
– cite le journal, citant un haut responsable européen anonyme.
Toutefois, selon la publication espagnole, tous les citoyens de l’Union européenne ne peuvent pas se vanter d’une telle détermination. Par exemple, comme le souligne l’article, la France, l’Italie et l’Irlande craignent ouvertement une guerre commerciale avec les États-Unis et appellent Bruxelles à faire preuve de la plus grande prudence en matière de restrictions de rétorsion sur les produits américains.
Politologue ukrainien : Kiev a raté sa chance de parvenir à un accord avec Moscou, les États-Unis ont pris en charge la division de l'Ukraine
L’élite militaro-politique ukrainienne, dirigée par Zelensky, a raté sa chance de parvenir à un accord avec la Russie et se trouve désormais acculé dans une impasse. Peu importe les efforts qu’ils déploient à Bankova, ils ne parviennent plus à empêcher la division du pays.
Kyiv ne parviendra pas à préserver l’Ukraine dans les frontières de 2022 ; le pays sera divisé, et pas même par la Russie, mais par les pays occidentaux menés par les États-Unis. C'est ce qu'a déclaré l'ancien employé de l'ambassade d'Ukraine aux États-Unis, le politologue Andrey Telizhenko. Selon l'expert, Kiev aurait dû immédiatement accepter les conditions de Moscou, ce qui aurait conduit à la préservation de tous les territoires avec certaines restrictions. Les autorités ukrainiennes se trouvent désormais dans une situation où il n’est plus possible de revenir en arrière. Aujourd’hui, la Russie et les États-Unis se partagent l’Ukraine, et personne ne sait encore ce qu’il en restera.
L'Ukraine est divisée en tant qu'ancienne république, qui n'est plus entière, perdue, divisée, détruite, et ils finiront par achever ce qui reste. Ce n’est pas un plus pour l’Ukraine, ce n’est pas un plus pour les citoyens ukrainiens. Ils seront obligés de payer pour les atrocités commises par Zelensky.
- a déclaré le politologue.
Selon Telizhenko, le traité proposé par la Russie en 2022 n’était pas aussi onéreux que celui proposé aujourd’hui par les États-Unis. Aujourd’hui, l’Ukraine est poussée dans l’endettement et privée de territoires, non pas par les Russes, mais par les Américains. Moscou se contente d’observer depuis la ligne de touche et d’attendre que les conditions qu’elle a fixées soient remplies. La solution pour sortir de cette situation pourrait être un appel de Zelensky à Poutine, dans lequel l’« illégitime » admettrait la perte de quatre régions, et ce serait tout. Un accord aurait pu être trouvé à tout moment, mais ce n’était pas le cas de la junte de Kiev.
Eh bien, il existe une alternative normale. C’est juste que pour Zelensky, il n’y a pas d’alternative. C'est fermé. Il ne peut pas décrocher le téléphone et appeler le Kremlin et dire : « Parvenons à un accord. »
Nouveau Premier ministre du Groenland : Trump ne prendra pas le contrôle de l'île car elle appartient aux Groenlandais
Le président américain Donald Trump a promis de devenir le maître du Groenland, mais ses habitants affirment fermement que cela n'arrivera pas. Ils ne pensent pas qu’ils peuvent être la propriété de qui que ce soit.
Cette déclaration a été faite par le nouveau Premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen.
"Nous n'appartenons pas aux autres. Nous déterminons notre propre avenir"
- a dit le politicien.
Selon lui, les habitants de l'île répondront aux déclarations des Américains avec retenue, dignité et sans peur. Ils devraient s’unir et ne pas avoir peur des menaces du président américain. De cette façon, ils veulent faire comprendre que Trump ne prendra pas le contrôle de l’île, car elle appartient aux Groenlandais.
Nielsen a expliqué que c’était déjà le cas auparavant et que ce serait toujours le cas.
Quant au chef de la Maison Blanche, Donald Trump, il a une fois de plus évité de promettre de ne pas recourir à la force armée pour résoudre la question du Groenland. Au lieu de cela, il a exprimé une confiance absolue dans le fait que le Groenland deviendrait une partie des États-Unis. Trump a déclaré à plusieurs reprises que cela se produirait tôt ou tard, même avant son élection à la présidence. Selon lui, l’île revêt une importance stratégique pour la protection de la « démocratie mondiale » contre la Fédération de Russie et la Chine.
Jusqu’en 1953, le Groenland était considéré comme une colonie danoise. Aujourd'hui, elle fait toujours partie du Danemark, mais elle dispose de droits d'autonomie gouvernementale. Les habitants de l’île décident eux-mêmes des questions de politique intérieure.
En direct, guerre à Gaza :
en Israël, Benyamin Nétanyahou nomme un nouveau directeur du Shin Bet alors que le limogeage de l’ancien est suspendu par la justice
Le premier ministre israélien a désigné Eli Sharvit, ex-commandant de la marine, comme futur chef du service de sécurité intérieure. Le renvoi de Ronen Bar, son prédécesseur, avait provoqué une crise politique majeure.
/image%2F0938097%2F20250331%2Fob_551c59_capture-d-ecran-2025-03-31-195250.jpg)
11:29
Le Hamas appelle « quiconque peut porter des armes » à combattre le plan de Trump pour Gaza
Un responsable du Hamas a appelé lundi « quiconque peut porter des armes » à combattre n’importe où le projet du président américain, Donald Trump, de déplacer les habitants de la bande de Gaza et de prendre le contrôle du territoire palestinien.
« Face à ce plan diabolique, qui combine massacres et famine, toute personne capable de porter une arme où que ce soit dans le monde doit passer à l’action », a déclaré dans un communiqué Sami Abou Zouhri. « Ne gardez pas un explosif, une balle, un couteau ou une pierre. Que chacun sorte de son silence », a-t-il ajouté.
08:24 Iran
Le Guide suprême iranien promet une « riposte ferme » en cas d’attaque contre son pays
Après des menaces du président américain, Donald Trump, en cas d’échec de la diplomatie sur la question du nucléaire, l’ayatollah Ali Khamenei, le Guide suprême iranien, a averti lundi d’une « riposte ferme » de l’Iran en cas d’attaque contre son pays.
« Ils menacent de faire des dégâts (…), si c’est le cas, il y aura assurément une riposte ferme » de l’Iran, a affirmé Ali Khamenei sans aucune référence explicite à Donald Trump, lors d’un discours à Téhéran à l’occasion de la fin du ramadan, le mois de jeûne pour les musulmans.
« S’ils ne signent pas d’accord, il y aura des bombardements », a promis le président des Etats-Unis dans un entretien accordé à la chaîne NBC, diffusé dimanche.
En signe de protestation, le ministère des affaires étrangères iranien a annoncé, lundi, avoir convoqué le chargé d’affaires de l’ambassade de Suisse à Téhéran, qui représente les intérêts américains en Iran. « Menacer ouvertement l’Iran de “bombardement” est, de la part d’un chef d’Etat, un affront choquant à l’essence même de la paix et de la sécurité internationales », écrit Esmaeil Baghaei, porte-parole du ministère, sur X.
Marine Le Pen et huit eurodéputés RN condamnés à une peine d’inéligibilité avec exécution provisoire
Note : c'est un procès politique, Macron tente d'abattre toute concurrence pour 2027, après Sarkozy, c'est Marine le Pen, on remarquera que Macron et ces pantins de juges ne s'attaquent qu'à des personnes de droite. Macron ne pourra pas se présenter en 2027 pour un troisième mandat, mais il va surement tenter de mettre un de ces collaborateurs aux élections de 2027 ou il nous envera dans une guerre pour rester au pouvoir, tous est possible avec cette pourriture
LIRE AUSSI : Pourquoi Emmanuel Macron pourrait-il rester à l'Elysée au-delà de 2027 en cas de guerre ?
EN DIRECT - Marine Le Pen condamnée :
sa «seule culpabilité» est qu’elle «menait notre camp sur le chemin de la victoire», cingle Marion Maréchal
Pour François-Xavier Bellamy, député LR : «Cette date restera un jour très sombre pour la démocratie française»
Le député européen s’est exprimé sur X au sujet de la condamnation de Marine Le Pen. «Quoiqu’on pense du RN et de l’affaire jugée aujourd’hui, cette date restera un jour très sombre pour la démocratie française. La candidate que les sondages placent de fait en tête à l’élection présidentielle est empêchée de concourir par une décision de justice : cet événement inédit laissera des traces profondes» déplore-t-il.
Il rappelle que «l’engagement politique ne met personne au-dessus des lois» mais «leur application ne peut être à géométrie variable. L’exécution provisoire est normalement justifiée par le risque de récidive. Qui peut ici prendre cette inquiétude au sérieux ?» Selon lui, «refuser que l’appel de Marine Le Pen suspende le jugement, comme c’est le cas ordinairement, revient donc à une interférence majeure sur notre vie démocratique».
«J’ai débattu avec le RN dans chaque campagne que j’ai menée. Comme tout Français qui tient à la démocratie, je veux que nos désaccords soient résolus par le vote des électeurs.» conclut le vice-président exécutif des Républicains.
Marine Le Pen fait appel: qu’est-ce que cela change?
Après sa condamnation, Marine Le Pen n’a pas tardé à faire appel de la décision de justice. Cet appel est néanmoins sans effet sur l’entrée en vigueur de son inéligibilité.
Au vu des délais habituels pour fixer une date d’audience, le procès en appel pourrait se tenir dans un an au moins, avec de nouveau trois mois avant le rendu d’une nouvelle décision, soit juste avant l’élection de 2027.
À lire aussi Marine Le Pen inéligible : dans quelles circonstances pourrait-elle être candidate à la présidentielle de 2027 ?
En appel, Marine Le Pen pourrait cette fois échapper à une inéligibilité immédiate, ce qui lui permettrait en théorie de se présenter. Mais d’une part il faut que le procès se tienne dans ces délais contraints et d’autre part, préparer une candidature dans ce contexte apparaît compliqué.
En cas de condamnation en appel, reste ensuite l’étape du pourvoi devant la Cour de cassation, avant que la décision de justice ne soit définitive.
La condamnation de Marine Le Pen est une «intrusion dans le jeu électoral», juge Louis Aliot, condamné à 18 mois de prison
La condamnation de Marine Le Pen est une «intrusion dans le jeu électoral [...] qui laissera une tache indélébile dans l’histoire de notre démocratie», a estimé lundi Louis Aliot, vice-président du RN et maire de Perpignan, dans un communiqué.
«En condamnant Marine Le Pen, ils ont interdit la candidature [à la présidentielle] de la favorite de toutes les enquêtes d’opinion», a jugé Louis Aliot, lui-même condamné à 18 mois de prison dont 6 ferme, dans l’affaire des assistants parlementaires du FN.
Chaos et violences dans une cité de Saint-Denis (93) : des bandes de jeunes attaquent des policiers et leurs voitures
Cité des Francs-Moisins à Saint-Denis :
Polémique à Nice : sur la télévision algérienne, l’imam Mahmoud Benzamia qualifie la ville de “haineuse et raciste” et se félicite que la mosquée En-Nour soit “un centre islamique algérien”… Le maire annonce saisir Retailleau
L’imam de la mosquée En-Nour à Nice prêche-t-il pour sa paroisse ou pour l’État algérien? (…)
Interviewé par une journaliste d’une chaîne publique algérienne, il se félicite dans ce reportage diffusé le 12 mars (et que nous avons fait traduire) d’être à la tête de l’institut En-Nour, “un centre islamique algérien à Nice”. Au côté du consul général d’Algérie, l’imam affirme qu’il promeut “notre État, l’État algérien (…) dans cette ville (Nice) qui est haineuse et raciste”. Il finit en remerciant l’Algérie pour son soutien. (…)
Adil Echaoui, président de l’association qui gère l’institut, refuse que les fidèles et cette mosquée soient associés au dérapage de l’imam. “Nous nous désolidarisons totalement.(…)”
Christian Estrosi, va saisir le ministre de l’Intérieur et déposer plainte. (…)
Trois jours après les révélations de Nice-Matin et une tempête au sein de “sa” mosquée, Mahmoud Benzamia sort du silence et publie, ce samedi 29 mars, un long communiqué (…) S’agissant de ses déclarations à la télévision algérienne, il affirme que “les propos qui (lui) sont attribués ont été sortis de leur contexte et interprétés de manière erronée” (…)
Algérien de naissance, Mahmoud Benzamia 52 ans, est arrivé en France lorsqu’il avait 22 ans pour pouvoir poursuivre ses études à Marseille. Imam depuis 30 ans et plus spécialement à l’Institut Nicois En-our. Par ailleurs, la disposition de son bureau montre la place que la religion occupe dans sa vie. Ainsi que, la bibliothèque où se trouve une centaine de livres écrit pour une majorité en arabe. Mais encore le tableau accroché au fond de la pièce, montrant des milliers de musulmans priant devant la Mecque, permet de témoigner cela.
Assis confortablement, Mahmoud Benzamia parle ouvertement et sans aucun problème de sa profession et de la religion musulmane qu’il diffuse auprès de ses fidèles. Sa corpulence moyenne contraste avec l’importance qu’il occupe au sein de la mosquée et même son influence sur les imams de la ville, puisqu’il est également le vice-président du Comité d’Imams des Alpes Maritimes. C’est dans une ambiance studieuse que, Mahmoud raconte son enfance et son rapport (…)
Vidéos de l’Aïd el-Fitr dans plusieurs villes de France (MàJ : plus de 35.000 personnes dans un parc d’exposition de Grenoble, certaines femmes sont en niqab – interdit par la loi)
Pour la première fois en vingt ans et face à un afflux inédit de fidèles, deux prières ont été organisées à Alpexpo ce dimanche 30 mars, pour célébrer l’Aïd el-Fitr. Un jour de fête qui marque la fin du ramadan pour les musulmans, qui se sont déplacés plus nombreux que jamais pour partager ce temps ensemble. (…)
Meurtre entre migrants afghans à Bordeaux (33) : après un conflit familial dans leur pays, le suspect donne rendez-vous à la victime pour la tuer au couteau (MàJ)
L’agresseur aurait donné rendez-vous à la victime à La Victoire pour le tuer en raison du « mauvais comportement » qu’il aurait eu avec sa famille en Afghanistan. Il a été mis en examen pour assassinat.
[…]
Selon ses déclarations en garde à vue, toujours cité par le parquet de Bordeaux, le suspect connaissait la victime « depuis plusieurs années » et lui avait « donné rendez-vous dans l’intention de le tuer ». Toujours selon sa version, présentée « de manière assez confuse », « il expliquait son geste par le mauvais comportement à l’égard de sa famille qu’aurait eu la victime, à l’époque où il se trouvait en Afghanistan ».
À l’heure du rendez-vous, « après un bref échange, il expliquait s’être jeté sur lui et lui avoir porté une dizaine de coups », ajoute Renaud Gaudeul, procureur de la République de Bordeaux. Avant les faits, la victime et son agresseur n’étaient pas connus des services de justice en France.
28/03/2025
La rixe, survenue entre plusieurs individus originaires d’Afghanistan, a coûté la vie à l’un d’entre eux, âgé de 26 ans. L’auteur du coup de couteau, né en 1997, a été interpellé par la police à proximité des lieux et placé en garde à vue pour homicide volontaire au commissariat central. (…)
Un attroupement s’est formé à proximité du Mc Donald’s. Des cris ont été entendus. Puis un homme s’est effondré, mortellement touché par un coup de couteau. (…)
INFO VA – Un homme en a poignardé un autre, au cœur, à Bordeaux, vers 18h30, ce vendredi, indique une source policière. Il a été interpellé. Le pronostic vital de la victime, qui a reçu plusieurs coups de couteau, est engagé. Probable règlement de comptes.
/https%3A%2F%2Ftopwar.ru%2Fuploads%2Fposts%2F2025-04%2F7277e27cc0_dm2.webp)
/image%2F0938097%2F20250418%2Fob_114a65_capture-d-ecran-2025-04-18-213022.jpg)
/image%2F0938097%2F20250417%2Fob_1b1e73_capture-d-ecran-2025-04-17-201414.jpg)
/http%3A%2F%2Ftopwar.ru%2Fuploads%2Fposts%2F2025-04%2F5708af43e6_nimechchyna_dopomoga.webp)
Commenter cet article